Afrique

ANALYSES SUR L`AFRIQUE

TERRORISM AND POLITICAL CONTENTION
New Perspectives on North Africa and the Sahel Region
(5) “Chasse gardée » or « faubourg »?: Politico-Military Interventions of France in the Sahel Region (Andras Istvan Türke)
Springer, 2024 

LA GEOPOLITIQUE DES PREMIERES MISSIONS DE L’UNION EUROPEENNE EN AFRIQUE
Andras Istvan Türke
(With the English contribution of András Hettyey about Somalia)
L`Harmattan, Paris, 2013

 

Living with a Failed State : Somalia
The East African Regional Security Complex and the EU”

András Hettyei
CERPESC ANALYSES 15/AF/06/2012 – Coming soon

Somalia is a unique place, as it provides the researcher with plenty of material to study. While it has brought terrible suffering and unspeakable sorrow to its inhabitants, the on-and-off civil war that has raged in the country since 1991 presents also a rare opportunity to the interested: here, after all, is a country which has had no functioning government, army, police force, tax collection, football league or national broadcaster for twenty years. What are the reasons for this course of history? How do the Somalis cope with the failure of their state? What can policymakers do to help fix the situation and prevent other countries from taking the same route to state failure? Questions over questions, which all warrant further research. This paper only attempts to examine two little parts of the huge “Somalia picture”, namely (1) the effects of state failure on its region and (2) the response of the European Union.

 

The European Union, the CSDP, and the crisis in Libya
EUFOR Libya: “Phantomized operation of the invisible legion?”

András István Türke
CERPESC ANALYSES 14/AF/05/2012 – 1 March 2012

Almost a year ago that an operation “never” performed was launched by the European Union on 1 April 2011. Why the first official operation of the CSDP has become a failure – before being made? What conclusions about the future of the CSDP? About events in Libya the first reaction to EU 27 date 21 February 2011, four days after the escalation of events in Tripoli. The joint statement called for an immediate end to the use of force against protesters. The axis of Italy, Malta and Cyprus vetoed from the beginning the Franco-German & Danish proposal for immediate sanctions against Gaddafi. The establishment of a no-fly zone was refused by the Secretary General of NATO and the Foreign Minister of France, Alain Juppe, shortly after his inauguration.

 

EUSSR Guinea-Bissau : relative success or preordained failure?
by András István Türke
CERPESC Review, 10 January 2011

The mission “EU SSR / EUSSR Guinea-Bissau” (16.06.2008 – 30.09.2010) is a new experience significant because it was the first ESDP mission in an integrated manner covering the entire security sector combining defense, justice and police. It was also the first mission fully planned and controlled as part of the Civilian Planning and Conduct Capability (CPCC, established in August 2007) for civilian operations of crisis management by the EU. In which context this mission has been deployed and what is its value in the SSR process?

 

UE RSS/EUSSR Guinée Bissau – Une “mission intellectuelle” et ses circonstances
par András István Türke
CERPESC ANALYSES 10/AF/04/2009 – 20 novembre 2009

Après plusieurs missions et opérations plus ou moins réussies en Afrique, notamment en RDC et au Soudan, l’Union européenne a lancé une mission de la réforme du secteur de sécurité (RSS/SSR) en Guinée-Bissau, Etat qui se trouve « en état permanent » de la réforme du secteur de sécurité. Pourquoi la décision de l’UE a été prise en 2007 ? Quel est le rôle du facteur de temps ? Cette analyse cherche à répondre à des questions de bases pourquoi cette mission a été installée, quels sont les Etats membres de l’Union européenne qui étaient partucilièrement intéressées ? Pourquoi une mission civile (soi disant « intellectuelle ») de plus de l’UE si les missions de l’ONU sont déjà longtemps sur place. Quel était le rôle de l’ECOMOG et de la CEDEAO concernant la politique guinée-bissauénne ?

 

La sécurité collective et la conception “groupe de combat” en Afrique
par András István Türke
Revue du CERPESC, 10 mars 2009

L’Union africaine a abandonné le principe de non-intervention de l’OUA et a mis en place le Conseil de paix et de sécurité de l’UA, en vigueur depuis 2004. Elle a décidé (avec peu de succès) la mise en place d’une force permanente de 5 brigades régionales pour pouvoir déployer 25.000 (5×5000) hommes (FAA – Force africaine d’alerte, 75 milles personnes selon les estimations plus optimistes). La première phase pour la création d’une capacité de niveau stratégique de gestion pour la gestion des scénarios 1-2 missions (voir plus bas) s’est terminée le 30 juin 2005. Les brigades seront pleinement interopérables dans la deuxième phase (2010) et les membres continuent à développer la capacité de déployer un QG de mission pour le scénario 4, impliquant des forces de maintiens de la paix d’UA/Regional.

 

Soudan – La complexité de la crise du Darfour
par András István Türke
CERPESC ANALYSES 08/AF/03/2008 – 02 mars 2008

La nouvelle phase de la crise au Darfour, depuis février 2003, plus violente que jamais, est difficilement interprétable sans connaître la complexité et les antécédents des différentes crises au Soudan. L’Union africaine, pour la première fois depuis sa création, a décidé la mise en place d’une vraie mission civilo-militaire, AMIS/MUAS (Mission de l’UA au Darfour). À cause de l’insuffisance des ressources financières propres, et du manque d’expérience de ce type de mission, l’UA a été obligé de solliciter le soutien de l’Union européenne, de l’OTAN, et des autres partenaires internationaux. Par la résolution 1769 du Conseil de Sécurité de l’ONU l’AMIS a été élargi et mis sous la mission UNAMID (mission hybride de l’Organisation des Nations Unies et de l’Union africaine au Darfour)…

Rapport rédigé auprès de l’EUISS et financé par l’Institut.

 

L’Opération ARTEMIS en République démocratique du Congo
par András István Türke
CERPESC ANALYSES 07/AF/02/2008 – 21 janvier 2008

En 2003, l’Union européenne, après le lancement des opérations/missions EUPM et CONCORDIA dans les Balkans, a élargi son rayon d’action vers le continent africain. Après avoir compris le contexte des conflits dans la région des Grands Lacs, nous allons traiter les différentes phases de la présence de l’union en République Démocratique du Congo. L’opération ARTEMIS est considérée comme la première opération militaire dirigée par l’UEO, la première opération autonome de l’UE, première mission de réaction rapide de l’UE, première opération hors d’Europe, première opération appliquant le principe de la nation cadre et premier exemple d’opération “relais”, menée en coopération entre l’UE et les Nations unies…

 

L’Opération EUFOR RD Congo
par Benoit Duffort
Revue du CERPESC, 5 décembre 2007

Si l’EUFOR RD CONGO n’est que la deuxième opération menée par l’Union européenne sur le continent africain, plus exactement en République démocratique du Congo, pour autant cet Etat, l’ex Zaïre, successeur du Congo Belge, n’est pas un théâtre d’opération inconnu pour les armées occidentales, puisque ce pays, riche en matières premières et d’une superficie quatre fois supérieure à celle de la France, fut longtemps présenté comme un rempart face à l’expansion du communisme en Afrique au cours de la Guerre froide ; rempart qui justifia la conduite de plusieurs opérations militaires dirigées le plus souvent par la France.

 

L’OTAN en Afrique – Plus d’engagement en Afrique = plus de sécurité en Europe?
par András István Türke
CERPESC ANALYSES 06/AF/01/2007 – 16 novembre 2007

Suite aux événements du 11/9, l’OTAN tendit à développer, sous l’impulsion des États-Unis, une approche plus globale de la sécurité. Quelle est la place de l’Afrique dans cette aproche? En 2005, l’Union africaine a demandé un soutien logistique de l’OTAN concernant les violences au Soudan dans la région de Darfour. À Riga, le 29 novembre 2006, les pays membres de l’OTAN ont manifesté leurs inquiétudes concernant les incidences du conflit au niveau régional en Afrique. Après avoir condamné la poursuite des combats au Darfour ils ont décidé de continuer d’apporter un soutien à la mission menée par l’Union africaine dans la région…

 

Reviews

Flash analyses focus on current issues. Studies written in cooperation with the EUISS, the Defence Committee of the AUEO, the Hungarian Institute of Foreign Affairs (MKI / HIIA), The Hungarian Institute for Strategic Research of Defence (SVKI) 

GUERRE EN UKRAINE – Les objectifs géopolitiques russes
par Kinga Torbicka
Revue du CERPESC, 23/05/2017

Le 18 mars 2014 l’accord sur l’accession de la Crimée à la Fédération de Russie est signé. C’est la conséquence de la crise politique qui a eu lieu en Ukraine. L’annexion de la Crimée devient un fait, qui en Europe du XXIe siècle semble un événement inattendu. Ainsi, la Russie multiplie ses aspirations impériales et viole les règles fondamentales du droit international. De surcroit, elle continue les actions militaires sur le territoire d’un autre État. Cet événement spectaculaire éveille des Européens d’un „rêve pacifique” et impose la fin de l’ordre existant. La révision du système de la sécurité européenne, son multidimensionalité et complexité nous dirigent vers une réflexion sur les objectifs russes dans ce conflit.

EASTERN PARTNERSHIP : AZERBAIJAN – The development of the EU-Azerbaijani relations
by Adrienn Herczeg
CERPESC Review, 21 December 2013

The aim of the study is to give an overview on the relations between the European Union and the Republic of Azerbaijan. The first part of the study draws up the origin and purpose of the Eastern Partnership program of the EU then the significance of the South-Caucasian country. In the second part the study examines the rapid economic growth of Azerbaijan and its effect to the country’s economic indicators. This research was supported by the European Union and the State of Hungary, co-financed by the European Social Fund in the framework of TÁMOP 4.2.4. A/2-11-1-2012-0001 ‘National Excellence Program’.

EUSSR Guinea-Bissau : relative success or preordained failure?
by András István Türke
CERPESC Review, 10 January 2011

The mission “EU SSR / EUSSR Guinea-Bissau” (16.06.2008 – 30.09.2010) is a new experience significant because it was the first ESDP mission in an integrated manner covering the entire security sector combining defense, justice and police. It was also the first mission fully planned and controlled as part of the Civilian Planning and Conduct Capability (CPCC, established in August 2007) for civilian operations of crisis management by the EU. In which context this mission has been deployed and what is its value in the SSR process?

La sécurité collective et la conception “groupe de combat” en Afrique
par András István Türke
Revue du CERPESC, 10/03/2009

L’Union africaine a abandonné le principe de non-intervention de l’OUA et a mis en place le Conseil de paix et de sécurité de l’UA, en vigueur depuis 2004. Elle a décidé (avec peu de succès) la mise en place d’une force permanente de 5 brigades régionales pour pouvoir déployer 25.000 (5×5000) hommes (FAA – Force africaine d’alerte, 75 milles personnes selon les estimations plus optimistes). La première phase pour la création d’une capacité de niveau stratégique de gestion pour la gestion des scénarios 1-2 missions (voir plus bas) s’est terminée le 30 juin 2005. Les brigades seront pleinement interopérables dans la deuxième phase (2010) et les membres continuent à développer la capacité de déployer un QG de mission pour le scénario 4, impliquant des forces de maintiens de la paix d’UA/Regional.

La suspension de la participation russe au traité sur les Forces Conventionnelles en Europe
par András István Türke
Revue du CERPESC 23/02/2008
Rapport rédigé au sein de la Commission de Défense de l’AUEO et financé par l’Assemblée.

Le Traité FCE a été signé à Paris le 19 novembre 1990 entre 22 représentant de l’OTAN et de la Pacte de Varsovie. Il peut être considéré comme un élément majeur de la politique de désarmement après la chute du mur de Berlin, en fixant des limites identiques aux deux organisations (20.000 chars, 30.000 véhicules blindés, 20.000 pièces d’artillerie lourde, 6800 avions de combat et 2000 hélicoptères d’attaque). Le 5 juin 1992, à l’occasion de la réunion extraordinaire d’Oslo les 8 républiques successeurs de l’URSS ayant des territoires dans la zone d’application de l’instrument ont y adhéré c’est-à-dire le nombre des signataires a augmenté à 30 pays1. Après 35 mois de négociation (décembre 1996 – 19 novembre 1999) lors du sommet de l’OSCE à Istanbul, en Turquie les Parties ont signée une version adaptée du traité qui ne met plus les objectifs par blocs militaires, mais par pays et remplacé les limitations par de nouveaux plafonds d’armement à la fois territoriaux et nationaux. Il n’est pas entré en vigueur parce que seuls la Russie, l’Ukraine, la Biélorussie et le Kazakhstan l’ont ratifié.

L’Opération EUFOR RD Congo
par Benoit Duffort
Revue du CERPESC, 05/12/2007

Si l’EUFOR RD CONGO n’est que la deuxième opération menée par l’Union européenne sur le continent africain, plus exactement en République démocratique du Congo, pour autant cet Etat, l’ex Zaïre, successeur du Congo Belge, n’est pas un théâtre d’opération inconnu pour les armées occidentales, puisque ce pays, riche en matières premières et d’une superficie quatre fois supérieure à celle de la France, fut longtemps présenté comme un rempart face à l’expansion du communisme en Afrique au cours de la Guerre froide ; rempart qui justifia la conduite de plusieurs opérations militaires dirigées le plus souvent par la France.

La Hongrie et la PESC/PESD (POLITIQUE ÉTRANGÈRE ET DE SÉCURITÉ COMMUNE / POLITIQUE EUROPÉENNE DE SÉCURITÉ ET DE DÉFENSE)
par András István Türke et András Rácz
Revue du CERPESC, 30/03/2007
Cette analyse a été rédigée pour la revue scientifique de l`École doctorale ED-385, Dialogues Européens, à l`Université de la Sorbonne Nouvelle Paris 3

Pour la Défense Nationale Hongroise la participation aux contingents SFOR, IFOR et KFOR n’était pas sans difficultés mais le pays a parfaitement accompli sa mission qui a mérité la reconnaissance. Les forces déployées se montaient à la hauteur de leur tâche, mais de l’autre côté c’est une autre question des efforces énormes a assembler, aménager et a garantir la reconstruction et l’assurance technique de ces forces. Le gouvernement hongrois a pris la décision au 23 novembre 2004 que la Hongrie va mettre en place un groupe léger de 250 membres. Donc la contribution hongroise à un groupe commune sera 250 personnes au maximum (un escadron d’artillerie léger de 156 personnes, un groupe de soutien de 30 personnes et une section de purification d’eau de 30 personnes) mais des conciliations ne sont pas encore finies. Des groupes de combat ne forment pas une armée permanente, ils ne sont convoqués qu’en cas de besoin. La mobilisation pour un but du maintien ou du rétablissement de paix ou d’une intervention humanitaire dans les zones de crise doit être obligatoirement la suite d’un mandat de l’ONU…

Core Documents

EUROPEAN SECURITY & DEFENCE : CORE DOCUMENTS 

András István Türke (ed.)
FROM ST-MALO TO LISBON
Selected Documents of the European Security & Defence Policy (1998-2008)

With a selected list of Council Joint Actions and Council Decisions (2001-2013)
With 196 French & English documents

András István Türke (ed.)
DE SAINT MALO A LISBONNE
Les Textes choisis de la politique étrangère et de sécurité en Europe (1998-2008)

Avec la liste des actions communes et décisions du Conseil (2001-2013)
Avec 196 documents français et anglais

Europa Varietas Institute, 2013.

Textes choisis par András István Türke

Le recueil de textes “De Saint-Malo à Lisbonne – Les textes choisis de la politique européenne de sécurité et de défense (1998-2008)” présente les 196 textes les plus importants de la PESD, Politique européenne de sécurité et de défense (et de la PSDC – Politique commune de sécurité et de défense, depuis décembre 2009). Cette anthologie du CERPESC, avec ces chapitres thématiques, est destinée à faciliter l’étude des documents les importants de la PESD du Sommet européen informel à Pörtschach jusqu’au Traité de Lisbonne, base de la PSDC actuelle. Dans certains cas notre livre dépasse volontairement le cadre temporaire pré-choisi afin de pouvoir mieux présenter, et donner un cadre plus complet pour les contextes, voir par exemple les relations entre l’Union européenne et l’Union africaine ou les processus dans l’espace méditerranéen. Le bouquin finit par une liste élargie, mais non exhaustive des Actions communes (2001-2009) et Décisions du Conseil (2010-2013). Ces documents sont téléchargeables gratuitement depuis le site du CERPESC (Centre européen de recherche pour la PESC – European Solutions for Defence & Crisis Management ; www.pesc.eu) et la liste est régulièrement mise à jour. Ce recueil de texte complète et se base sur le livre suivant : A. I. Türke : La Politique européenne de sécurité et de défense – Quel bilan après 10 ans? Quelles nouvelles orientations?, Paris, L’Harmattan, 2012.

András István Türke (ed.)
FROM DUNKIRK TO AMSTERDAM – Core Documents of the Common Foreign & Security Policy in Europe (1947-1997)
With 53 French, English & German documents

András István Türke (ed.)
DE DUNKERQUE A AMSTERDAM
Les Textes fondamentaux de la politique étrangère et de sécurité en Europe (1947-1997)

Avec 53 documents français, anglais et allemands
Objectif Europe III – Sorbonne, Europa Varietas Institute 2008.

Textes choisis par : Gergely Varga, Guillaume de Rougé, Benoit Duffort, András István Türke

Il existe plusieurs anthologies, recueils de textes ou bases de données sur l’internet qui publient, chacun dans son propre domaine ou suivant sa propre logique, plusieurs documents de politique étrangère et de sécurité en Europe. Notre ouvrage, De Dunkerque à Amsterdam cherche à regrouper, en un seul livre, une cinquantaine de textes concernant l’espace européen pendant la période 1947-1997: traités, plans, stratégies communes, rapports, actes etc. Les documents européens les plus importants, de l’OTAN, de la CPE de l’UEO, de l’UE et de la CSCE/OSCE, mais aussi certains plans non réalisés, sont rassemblés dans un ordre chronologique qui aide à comprendre les interactions entre les différentes formes et la structure complexe de la défense commune en Europe. Nous espérons que la lecture ou relecture de ces textes facilitera la compréhension des débats et des enjeux de la PESC/PESD de nos jours.
En outre, nous souhaitons que cette anthologie tienne lieu de „préface” au numéro de la très honorable série des Cahiers de Chaillot intitulé : Des textes fondamentaux de la PESC (depuis Saint-Malo, 1998), publiée annuellement par l’Institut d’Études de Sécurité de l’Union européenne.

Books

 

EUROPEAN SECURITY & DEFENCE : CERPESC BOOKS 
András István Türke 
LA POLITIQUE EUROPEENNE DE SECURITE ET DE DEFENSE –
Quel bilan après dix ans? Quelles nouvelles orientations?
Paris, L’Harmattan (2012)
Présentation du livre
Download

András István Türke
LA GEOPOLITIQUE DES PREMIERES MISSIONS DE L’UNION EUROPEENNE –
en Afrique
With the English contribution of András Hettyey about Somalia
Paris, L’Harmattan 2013 (second updated edition : 2016, hungarian edition : 2016)
Présentation du livre HU
Download

András István Türke
LA GEOPOLITIQUE DES PREMIERES MISSIONS DE L’UNION EUROPEENNE –
dans les Balkans
Book in preparation
FR

András István Türke (ed.)
THE GEOPOLITICS OF THE FIRST EU-MISSIONS –
in (Eur)asia
Book in preparation
EN

András István Türke – János Besenyő – Péter Wagner (ed.)
Magyarország és a CSDP – Magyar részvétel az Európai Unió biztonság- és védelempolitikájában
Hungary & CSDP Handbook
Budapest, Zrínyi Kiadó (2016)
Abstracts (EN)
Download (HU)

More information : info@europavarietas.org
© 2006- CERPESC
© 2008- Europa Varietas Institute

Analyses

Strategic analyzes from a historical perspective. Understand the crises, the objectives of the actors, the politico-military challenges and the geopolitical issues. Papers written in cooperation with EUISS, AWEU Defense Committee, Hungarian Institute of Foreign Affairs (MKI/HIIA), Institute for Strategic Defense Research (SVKI) (etc.) .

Analyses stratégiques d’une perspective historique. Comprendre les crises, les objectifs des acteurs les défis politico-militaires et les enjeux géopolitiques. Etudes rédigées en coopération avec l’EUISS, la Commission de Défense de l’AUEO, l’Institut Hongrois des Affaires Etrangères (MKI/HIIA), L’Institut pour la Recherche Stratégique de Défense (SVKI) (etc.) . 

ISSN 2073-5634

The EU and NATO : a Strange Marriage
Historical, legal, and political frameworks of EU-NATO relations
András István Türke
CERPESC 17/E/04/2017 – 09 January 2017

This analysis, beyond giving an outline of the historical, legal, and political frameworks of EU-NATO relations, is to draft by some examples that behind the scenes which fault lines make internal cooperation difficult, with a strong emphasis on French opinions, as a key state of European integration. With the reintegration of France and the considerable military decline of Europe, there are few left that could question the role of NATO in Europe. With BREXIT, the creation of a powerful and projectable European army will be much more difficult. Over the past three years, the range of subjects discussed between NATO and the EU has expanded considerably. Since the crisis in Ukraine, both organisations have regularly exchanged views on their decisions, especially with regard to Russia, and consultations have covered the Western Balkans, Libya, and the Middle East.

 

The Deficiencies, Mistakes and Contradictions of the New EU Foreign and Security Strategy
Evolution or Devolution? From the « Solana Paper » to the « Mogherini Paper »
András István Türke
CERPESC 16/E/03/2016 – 20 December 2016

The events of the last 20 years, the first operations and missions, show that the Common Security and Defense Policy, the CSDP (the European Security and Defense Policy: the ESDP, before 2009) does not exist only on paper. Europe must act to prevent wars and crises or to stop them. The European Union and its member countries are confronted with decisive choices for the future of Europe as a political entity. The external (and above all, energy) dependence of the Union is particularly emphasized by the European security strategies. The documents that function as strategies (the first, the 2003 ESS and the most recent, 2016 EUGS) of the European Union are quite poor in terms of content and objectives. They list the challenges, without drafting the places and means of the overall strategic presence. The purpose of this analysis is to examine the major development issues of EU strategic thinking during the period 2003-2016. Can we talk about development, stagnation, or devolution? Is the new strategy capable of fulfilling its role and can really serve as the basis of our ambitions?

The Evolution of European Diplomacy in the Balkan Region and the Reasons for the Dissolution of Yugoslavia
András István Türke
A.I.T dedicate this analyse to the 70th birthday of Professor Ferenc Gazdag (born Sept. 24, 1946)
CERPESC Special issue / 2016 – 24 September 2016

After the rupture with Stalin in 1948 Tito’s Yugoslavia did not become a member of the Warsaw Pact and chose a policy of non-alignment. Shortly after the birth of the European Economic Community, relations between Yugoslavia and the Federal Republic of Germany became rather tense because of the Hallstein doctrine.
On 19 March 1970, official relations between the EEC and Yugoslavia began with the initial non-preferential agreement signed in Brussels. Since 1977, the Community has assisted Yugoslavia in accessing the resources of the European Investment Bank.
The disintegration of the Socialist Federal Republic of Yugoslavia began with the reintensification of internal crises in the 1980s. The SFRY was divided into six republics: Serbia, Montenegro, Croatia, Slovenia, Macedonia and Bosnia-Herzegovina (BiH) and two autonomous territories, Vojvodina and Kosovo.
In 1981, the first phenomena of crisis emerged in Kosovo, which was the only territory of the federation where the South Slavs were in a minority. In Kosovo, the Albanian population has multiplied much more rapidly than other nations since 1960…

Living with a Failed State : Somalia
The East African Regional Security Complex and the EU

András Hettyei
CERPESC 15/AF/06/2012 – 9 November 2012

Somalia is a unique place, as it provides the researcher with plenty of material to study. While it has brought terrible suffering and unspeakable sorrow to its inhabitants, the on-and-off civil war that has raged in the country since 1991 presents also a rare opportunity to the interested: here, after all, is a country which has had no functioning government, army, police force, tax collection, football league or national broadcaster for twenty years. What are the reasons for this course of history? How do the Somalis cope with the failure of their state? What can policymakers do to help fix the situation and prevent other countries from taking the same route to state failure? Questions over questions, which all warrant further research. This paper only attempts to examine two little parts of the huge “Somalia picture”, namely (1) the effects of state failure on its region and (2) the response of the European Union.

The European Union, the CSDP, and the crisis in Libya
EUFOR Libya: “Phantomized operation of the invisible legion?”

András István Türke
CERPESC 14/AF/05/2012 – 1 March 2012

Almost a year ago that an operation “never” performed was launched by the European Union on 1 April 2011. Why the first official operation of the CSDP has become a failure – before being made? What conclusions about the future of the CSDP? About events in Libya the first reaction to EU 27 date 21 February 2011, four days after the escalation of events in Tripoli. The joint statement called for an immediate end to the use of force against protesters. The axis of Italy, Malta and Cyprus vetoed from the beginning the Franco-German & Danish proposal for immediate sanctions against Gaddafi. The establishment of a no-fly zone was refused by the Secretary General of NATO and the Foreign Minister of France, Alain Juppe, shortly after his inauguration.

The CSDP in Practice : EUMM Georgia
Dániel Jádi
CERPESC 13/AS/02/2011 – 17 May 2011

The first, mostly individual step of the EU on the field of international crisis-management is clearly a landmark on the road to an efficient and approved CSDP. In my paper I tried to assess the activities of the European Union in relation to the Georgian-Russian conflict in 2008. The main focus is on the security policy instruments: the EU Monitoring Mission Georgia, the EU Special Representative for the crisis in Georgia, the Independent International Fact-finding Mission on the Conflict in Georgia and last but not least the international talks in Geneva. After analysing them one can say that they are still not adequate response to the emerging challenges the EU, and the world is facing recently, but we can still consider them as a ray of hope: the bloodshed ended, the parties engaged in negotiations, IPRMs were launched, a certain level of consolidation has started. However the talks in Geneva are stuck. Although the EU was proud to present a security strategy in 2003, its significance is not proven by the time passed. A list of achievements is not suitable to be a guideline for dealing with present and future challenges.”

La structure de commandement des missions et des opérations de la PSDC – Vers un Quartier Général Européen?
par András István Türke
CERPESC 12/E/02/2010 – 10 septembre 2010
Version complétée par le Processus de génération des forces

L’objectif de cette analyse est la présentation de l’institutionnalisation de la structure de commandement des missions et des opérations de la PSDC (ancienne PESD). Elle présente le niveau politico-militaire (stratégique : choix des options stratégiques, phase « prédécisionnelle ») et le niveau militaro-stratégique (planification opérationnelle et conduite de l’opération) mais n’entre pas dans les détails du niveau local (planification locale, conduite de le opération) et du niveau tactique. Ce rapport traite également les débats sur l‘intégration et des « marchandages » par la présentation de différentes positions des Etats membres notamment par rapport aux relations transatlantiques. Notre travail présente également le processus d’institutionnalisation et des fonctions des organismes politiques et militaires (Etat-major de l’UE, etc. ) en tête de l’administration européenne. Surtout par l’aide des tableaux nous présentons également le schéma des différentes phases du processus de planification opérationnelle (CMC-MSO-IMD-CONOPS-OPLAN) s’agissant une mission militaire, civilo-militaire ou civile, effectuées des institutions en question.

Ce rapport a été rédigé avec le soutien de l’Institut pour la Recherche Stratégique de Défense, SVKI Budapest

EUBAM Rafah & EUPOL COPPS – Les missions de l’Union européenne dans les territoires palestiniens
par Maria Gianniou
CERPESC 11/AS/01/2009 – 01 décembre 2009

En 2003, la Stratégie Européenne de Sécurité a identifié la prévention des menaces internationales, telles que le terrorisme, la prolifération des armes de déstruction massive, la déliquescence des Etats, la criminalité organisée et bien évidemment les conflits régionaux, comme l’une des trois priorités principales de l’action extérieure de l’Union européenne – les deux autres étant la réaction rapide aux challenges posés par l’environnement international et l’assistance continue et cohérente aux régions du monde faisant face à des crises majeures, ayant comme but précis de mettre en place un système multilatérale efficace. L’Union européenne a envoyé, en 2005, une mission de police dans les territoires palestiniens (EUPOL COPPS) et une mission d’observation frontalière au point de passage de Rafah (EUBAM Rafah). Qu’est-ce que cette présence européenne signifie pour l’UE elle-même et pour les parties en conflit ? Quelle est l’état actuel des missions ? Quelles sont les perspectives de l’action européenne dans la région ?

UE RSS/EUSSR Guinée Bissau – Une “mission intellectuelle” et ses circonstances
par András István Türke
CERPESC 10/AF/04/2009 – 20 novembre 2009 (version améliorée)

Après plusieurs missions et opérations plus ou moins réussies en Afrique, notamment en RDC et au Soudan, l’Union européenne a lancé une mission de la réforme du secteur de sécurité (RSS/SSR) en Guinée-Bissau, Etat qui se trouve « en état permanent » de la réforme du secteur de sécurité. Pourquoi la décision de l’UE a été prise en 2007 ? Quel est le rôle du facteur de temps ? Cette analyse cherche à répondre à des questions de bases pourquoi cette mission a été installée, quels sont les Etats membres de l’Union européenne qui étaient partucilièrement intéressées ? Pourquoi une mission civile (soi disant « intellectuelle ») de plus de l’UE si les missions de l’ONU sont déjà longtemps sur place. Quel était le rôle de l’ECOMOG et de la CEDEAO concernant la politique guinée-bissauénne ?

France – OTAN/NATO : Dans le contexte de la Défense européenne (1966-2009)
par András István Türke
CERPESC 09/E/01/2009 – 12 mars 2009

Dans le 21ème siècle le processus de réintégration de la France à la structure militaire de l’OTAN (quittée en 1966 après la décision du président Charles de Gaulle) a été relancé en 2004. La participation française aux états-majors de l’OTAN a été déjà formalisée dans l’accord dit « Flag to posts » du 18 mars 2004. Issue des négociations entre le conseiller diplomatique de M. Sarkozy, Jean-David Lévitte, et le conseiller de M. Obama pour la sécurité nationale, le général James Jones, deux commandements soient attribués à des généraux français au sein de l’OTAN…

Soudan – La complexité de la crise du Darfour
par András István Türke
CERPESC 08/AF/03/2008 – 02 mars 2008

La nouvelle phase de la crise au Darfour, depuis février 2003, plus violente que jamais, est difficilement interprétable sans connaître la complexité et les antécédents des différentes crises au Soudan. L’Union africaine, pour la première fois depuis sa création, a décidé la mise en place d’une vraie mission civilo-militaire, AMIS/MUAS (Mission de l’UA au Darfour). À cause de l’insuffisance des ressources financières propres, et du manque d’expérience de ce type de mission, l’UA a été obligé de solliciter le soutien de l’Union européenne, de l’OTAN, et des autres partenaires internationaux. Par la résolution 1769 du Conseil de Sécurité de l’ONU l’AMIS a été élargi et mis sous la mission UNAMID (mission hybride de l’Organisation des Nations Unies et de l’Union africaine au Darfour)…

Rapport rédigé auprès de l’EUISS et financé par l’Institut.

L’Opération ARTEMIS en République démocratique du Congo
The Operation ARTEMIS in the Democratic Republic of Congo
par András István Türke
CERPESC 07/AF/02/2008 – 21 janvier 2008

In 2003, the European Union, following the launch of operations/missions like CONCORDIA and EUPM in the Balkans, has expanded its outreach to the African continent. After understanding the context of conflicts in the Great Lakes region, we will deal with the various phases of the presence of the union in the Democratic Republic of Congo. Operation ARTEMIS is considered the first military operation led by the EU, the first autonomous EU operation, the first rapid response mission of the EU first operation outside Europe, first operation applying the principle of the framework nation and first example of “relay operation”, conducted in cooperation between the EU and the United Nations.

En 2003, l’Union européenne, après le lancement des opérations/missions EUPM et CONCORDIA dans les Balkans, a élargi son rayon d’action vers le continent africain. Après avoir compris le contexte des conflits dans la région des Grands Lacs, nous allons traiter les différentes phases de la présence de l’union en République Démocratique du Congo. L’opération ARTEMIS est considérée comme la première opération militaire dirigée par l’UEO, la première opération autonome de l’UE, première mission de réaction rapide de l’UE, première opération hors d’Europe, première opération appliquant le principe de la nation cadre et premier exemple d’opération “relais”, menée en coopération entre l’UE et les Nations unies…

L’OTAN en Afrique – Plus d’engagement en Afrique = plus de sécurité en Europe?
par András István Türke
CERPESC 06/AF/01/2007 – 16 novembre 2007

Suite aux événements du 11/9, l’OTAN tendit à développer, sous l’impulsion des États-Unis, une approche plus globale de la sécurité. Quelle est la place de l’Afrique dans cette aproche? En 2005, l’Union africaine a demandé un soutien logistique de l’OTAN concernant les violences au Soudan dans la région de Darfour. À Riga, le 29 novembre 2006, les pays membres de l’OTAN ont manifesté leurs inquiétudes concernant les incidences du conflit au niveau régional en Afrique. Après avoir condamné la poursuite des combats au Darfour ils ont décidé de continuer d’apporter un soutien à la mission menée par l’Union africaine dans la région…

Les premières missions de la PESD dans les Balkans (2003-2007)
par András István Türke
CERPESC 05/B/04/2007 – 15 décembre 2007

Nous savons comment la crise de Kosovo a influé la mise en place de la PESD, le plan de l’Objectif Global d’Helsinki (en 1999, 60.000 personnes) et le PAEC (100.000 personnes.). Nous pouvons prendre en compte le fait que la PESD était opérationnelle depuis 2001. Les facteurs de blocage qui ont freiné le lancement des premières opérations de la PESD jusqu’au déblocage lors de la conférence de Copenhague en novembre 2002 sont également connus : Les événements du 9/11 ont rendu la lutte contre le terrorisme international au cœur des débats, et les veto turc et grec concernant le processus de Berlin Plus, ont annihilé le recours aux capacités de l’OTAN. Dans notre analyse, nous essayons de focaliser sur les opérations dans les Balkans : à conclure les opérations, trouver un bilan, souligner les enjeux et les défis. Les deux territoires choisis qui seront présentés plus en détail vont être la Bosnie-Herzégovine et la Macédoine.

Rapport financé par l’Institut Hongrois des Affaires Etrangères (HIIA)

L’UEO, l’UE et la crise albanaise en 1997 (La mission ALBA)
par András István Türke
CERPESC 04/B/03/2007 – 23 mai 2007

Après 45 ans sous le régime communiste, l’Albanie, le seul pays athée du monde, a repris son indépendance (pour la deuxième fois dans son histoire) en 1990. Tirana a posé sa candidature pour adhérer à l’OTAN dès décembre 1992. Au début de l’année 1997, conséquence de l’effondrement brusque de la pyramide, les investisseurs se retrouvaient seuls et sans aide face à la subite disparition de leur épargne. Une série de manifestations ont commencé contre le gouvernement, accusé d’entretenir des relations avec les compagnies pyramidales…

Les missions de l’UEO dans les Balkans (1991-2002)
par András István Türke
CERPESC 03/B/02/2006 – 20 décembre 2006

En 1991, l’Europe a été surprise par le processus de désintégration de la Yougoslavie, elle n’a pas reconnu l’importance et le danger de la crise peut-on lire souvent. Mais la dissolution du monde bipolaire, l’unité allemande, la disolution des régimes communistes en Europe de l’Est étaient tous des surprises pour l’Europe. Les missions de l’UEO pendant cette période, parfois sous l’égide de l’OSCE peuvent être caractérisées par la faiblesse ou des importantes lacunes du côté communautaire, “européen”, notamment en ce qui concerne la chaîne de commandement et la capacité de transport…

Enjeux et défis pour la PESC dans les Balkans (1991-2006)
par Elisabeth du Réau
CERPESC 02/B/01/2006 – 10 juillet 2006

L’année 1991 est important tournant dans l’histoire de l’Europe. À l’Ouest, une conférence intergouvernementale des douze membres de la Communauté européenne s’achève par des négociations ultimes à Maastricht qui mettent en perspective la création de la politique étrangère et de sécurité commune. À l’Est, le processus de dislocation du Pacte de Varsovie est à l’oeuvre et l’URSS vit ses derniers jours. Au Sud-Est de l’Europe, un grave conflit surgit en Yougoslavie où des Républiques, la Croatie et la Slovénie demandent à faire sécession et proclament leur indépendance en juin 1991 : les Balkans s’embrasent. Dix-sept ans après ces évènements est-il possible d’étudier le comportement des acteurs européens occidentaux?

Questions d’armements au sein de l’Union européenne
par Benoit Duffort
CERPESC 01/AR/01/2005 – 02 avril 2005

Questions d’armements au sein de l’Union européenne par Benoit Duffort Depuis le début des années 1990, les gouvernements européens ont lancé de nombreuses initiatives afin de renforcer leur coopération dans le domaine de l’armement. Cependant toutes ces initiatives se sont longtemps développées en dehors du cadre de l’UE. Néanmoins, dans le sillage des avancées réalisées depuis 1998 par la PESD, les Etats membres, également incités par la situation difficile de leurs industries de défense, ont récemment introduit ces questions traditionnellement exclues du processus européen d’intégration. En effet, dans l’optique de saisir l’occasion du renouvellement des divers matériels et équipements en service dans les forces armées européennes les Etats membres ont récemment entrepris le lancement d’une Agence européenne de défense apte à lancer des programmes menés en coopération…