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Qui est Charlotte Marchandise-Franquet, la candidate "citoyenne" à la présidentielle française ?

France24 / France - Sun, 19/02/2017 - 15:04
Désignée par plusieurs milliers de citoyens pour représenter la société civile, Charlotte Marchandise-Franquet, élue à la mairie de Rennes de 42 ans, veut sortir du système des partis.
Categories: France

Élelmiszeripari középvállalkozásoknak nyílt pályázat - február 15-től benyújtható!

Pályázati Hírek - Sun, 19/02/2017 - 14:00

Február 15-től nyújthatják be a kérelmeket az élelmiszeripari középvállalkozások a GINOP keretében megjelent felhívás 212,5 milliárd forintos fejlesztési forrására - amely részben vissza nem térítendő támogatásból, részben kedvezményes hitelből áll.  Az élelmiszeripari középvállalkozások 50-750 millió forint vissza nem térítendő támogatást nyerhetnek el, míg az igényelhető kölcsön összege minimum 50 millió, maximum 2 milliárd forint lehet. Előminősítésre a cikk alján található űrlap kitöltésével lehet jelentkezni. 

Categories: Pályázatok

ÚJ pályázat - Települési közlekedésfejlesztési beruházások támogatása

Pályázati Hírek - Sun, 19/02/2017 - 13:27

A hamarosan megnyíló 21,9 milliárd forint keretű TOP 3.1.1-16 felhívás célja, hogy a fenntartható közlekedés feltételeit megteremtő és erősítő közlekedésfejlesztési intézkedések valósuljanak meg. A pályázat keretében támogatható a kerékpárosbarát fejlesztések, forgalomcsillapítás, közlekedésbiztonság, akadálymentesítés, közúti közösségi közlekedés fejlesztése, illetve szóba jöhet még önkormányzati és/vagy állami utak, hidak építése, fejlesztése, felújítása és a meglévő kerékpárforgalmi létesítmény korszerűsítése.  A támogatás maximális mértéke az összes elszámolható költség 100%-a.  Pályázni kizárólag Bács-Kiskun, Baranya, Békés, Borsod, Fejér, Heves, Jász-Nagykun-Szolnok, Komárom-Esztergom, Nógrád, Somogy és Veszprém megyékből lehetséges.   Előminősítésre a cikk alján található űrlap kitöltésével lehet jelentkezni!

Categories: Pályázatok

Soupçons de cyberattaques russes : Ayrault dénonce "une forme d'ingérence inacceptable"

France24 / France - Sun, 19/02/2017 - 12:56
Le ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a estimé que les cyberattaques que la Russie est soupçonnée de mener en France dans le cadre de la campagne présidentielle sont "une forme d'ingérence inacceptable".
Categories: France

Lettre ouverte à Monsieur Emmanuel Macron, homme politique né d’une PMA entre le grand capital et les Minotaures de la repentance

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Sun, 19/02/2017 - 12:52
Ce communiqué peut être repris à la condition d’en citer la source.

Lancé sur le marché politique tel un nouveau smartphone, vous êtes, Monsieur Macron, un ignorant butor dont les propos concernant la colonisation sont doublement inadmissibles.

1) En premier lieu parce qu’ils furent tenus à Alger, devant ces rentiers de l’indépendance qui, pour tenter de cacher leurs échecs, leurs rapines et la mise en coupe réglée de leur pays, mettent sans cesse la France en accusation.
Certains qui, parmi votre auditoire, applaudirent à vos propos d’homme soumis (cf. Houellebecq), et devant lesquels vous vous comportâtes effectivement en dhimmi, sont en effet ceux qui, le 1er novembre 2016, publièrent un communiqué exigeant que la France :

« (…) présente des excuses officielles au peuple algérien pour les crimes commis durant les 132 ans de colonisation et pour les crimes coloniaux perpétrés à l’encontre du peuple algérien afin de rappeler les affres de la répression, de la torture, de l’exil, de l’extermination et de l’aliénation identitaire car l’histoire du colonialisme restera marquée par ses crimes de sang et ses pratiques inhumaines ».
Candidat à la présidence de la République française, vous avez donc donné votre caution à de telles exigences autant outrancières qu’insultantes. Ce faisant, vous vous êtes fait le complice des pressions et chantages que l’Algérie exerce à l’encontre de la France afin d’obtenir d’elle une augmentation du nombre des visas ou tel ou tel avantage diplomatique ou financier. En d’autres temps, vous auriez donc pu être poursuivi pour « Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ».
2) Ensuite parce que vos propos constituent non seulement un recul de l’état des connaissances, mais également le viol de ce consensus historique auquel étaient arrivés les historiens des deux rives de la Méditerranée. Or, par ignorance ou par misérable calcul électoraliste, vous les avez piétinés.
Au nom de quelle légitimité scientifique avez-vous d’ailleurs pu oser les tenir ? Avez-vous seulement entendu parler des travaux de Jacques Marseille, de ceux de Daniel Lefeuvre ou encore des miens ?

Oser parler de « crime contre l’humanité », maladroitement rectifié en « crime contre l’humain », au sujet de la colonisation revient en réalité à classer cette dernière au niveau des génocides du XXe siècle, ce qui est proprement scandaleux. Sur ce terrain, vous voilà donc encore plus en pointe que Christiane Taubira, ce qui n’est pas peu dire...
Pierre Vidal-Naquet, pourtant militant de la décolonisation et « porteur de valises » assumé du FLN écrivait à ce sujet :

« Assimiler peu ou prou le système colonial à une anticipation du 3e Reich est une entreprise idéologique frauduleuse, guère moins frelatée que l’identification, à Sétif, (…)  de la répression coloniale aux fours crématoires d’Auschwitz et au nazisme (…). Ou alors, si les massacres coloniaux annoncent le nazisme, on ne voit pas pourquoi la répression sanglante de la révolte de Spartacus, ou encore la Saint-Barthélemy, ne l’auraient pas tout autant annoncé… En histoire, il est dangereux de tout mélanger. Un sottisier peut-il tenir lieu d’œuvre de réflexion ? (…) L’air du temps de la dénonciation médiatique (…), le contexte social, économique et politique actuel est encore fécond qui continuera à générer de telles tonitruances idéologiques à vocation surtout médiatique ».  J’ajoute électoralistes.
Vous devriez pourtant savoir, Monsieur le candidat à la présidence de la République, qu’en créant l’Algérie, la France donna un nom à une ancienne colonie ottomane, traça ses frontières, unifia ses populations, y créa une administration et toutes ses infrastructures. Ce faisant, y aurait-elle commis  un « crime contre l’humanité » ou « contre l’humain » ? Les chiffres de l’accroissement de la population ne semblent pas l’indiquer puisqu’en 1830, la population musulmane de l’Algérie n’excédait pas 1 million d’habitants alors qu’en 1962 elle avait bondi à 12 millions.
Serait-ce donc en commettant des « crimes contre l’humanité » que la France, ses médecins et ses infirmiers soignèrent et vaccinèrent les populations et firent reculer la mortalité infantile ? Serait-ce parce qu’elle commettait des « crimes contre l’humain » que chaque année, à partir du lendemain du second conflit mondial, 250 000 naissances étaient comptabilisées en Algérie, soit un accroissement de 2,5 à 3% de la population, d’où un doublement tous les 25 ans ? A ce propos, relisons René Sédillot :

« La colonisation française a poussé l’ingénuité - ou la maladresse - jusqu’à favoriser de son mieux les naissances : non seulement par le jeu des allocations familiales, mais aussi par la création d’établissements hospitaliers destinés à combattre la stérilité des femmes. Ainsi, les musulmanes, lorsqu’elles redoutaient d’être répudiées par leurs maris, faute de leur avoir donné des enfants, trouvaient en des centres d’accueil dotés des moyens les plus modernes tout le secours nécessaire pour accéder à la dignité maternelle. (…)(L’histoire n’a pas de sens, Paris, 1965, page 71).
Enfin, puisque vos propos indécents tenus à Alger obligent à faire des bilans comptables, voici, Monsieur le candidat à la présidence de la République, celui qui peut être fait au sujet de l’Algérie française : en 132 années de présence, la France créa l’Algérie, l’unifia, draina ses marécages, bonifia ses terres, équipa le pays, soigna et multiplia ses populations, lui offrit un Sahara qu’elle n’avait jamais possédé après y avoir découvert et mis en exploitation les sources d’énergie qui font aujourd’hui sa richesse. Comme je ne cesse de l’écrire depuis des années, en donnant l’indépendance à l’Algérie, la France y laissa 70.000 km de routes, 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels qui étaient propriété de l’Etat français ; 31 centrales hydroélectriques ou thermiques ; une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités. Dès l’année 1848, et alors que la conquête de l’Algérie était loin d’être achevée, 16 000 enfants en  majorité musulmans étaient scolarisés. En 1937 ils étaient 104 748, en 1952 400 000 et en 1960 800 000 avec presque 17 000 classes, soit autant d’instituteurs dont les 2/3 étaient Français (Pierre Goinard, Algérie : l’œuvre française. Paris,  1986). En 1962, il y avait en Algérie, un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants.
Tous ces équipements, toutes ces infrastructures, tous ces établissements ainsi que les personnels qui les faisaient fonctionner avaient été payés par la France et avec l’argent des Français.
Monsieur le candidat à la présidence de la République, je vous poste ce jour en RAR mon dernier livre « Algérie, l’histoire à l’endroit »[1], afin que vous puissiez mesurer l’abîme séparant la réalité historique de vos inacceptables propos.

Bernard Lugan

[1]Ce livre est uniquement disponible via l’Afrique Réelle. Pour le commander :
http://bernardlugan.blogspot.fr/2017/02/nouveau-livre-de-bernard-lugan-algerie.html
Categories: Afrique

Suivez en direct l’émission « Questions politiques » avec Hervé Mariton

Le Monde / Politique - Sun, 19/02/2017 - 12:07
Hervé Mariton, député LR de la Drôme, est l’invité de France Inter, France Télévisions et « Le Monde ».
Categories: France

Négy NATO-tagállam inkább orosz katonai védelmet akar

Hídfő.ru / Biztonságpolitika - Sun, 19/02/2017 - 11:43

Négy NATO-tagállam lakossága inkább Oroszországgal akarna katonai szövetséget kötni, egy NATO-tagállamot pedig inkább tartanak biztonsági fenyegetésnek mint szövetségesnek – derül ki a Gallup friss közvélemény-kutatásából.

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Categories: Biztonságpolitika

Macron tente de déminer la polémique sur la colonisation, un "crime contre l’humain"

France24 / France - Sun, 19/02/2017 - 11:40
Lors d'un meeting perturbé samedi à Toulon, Emmanuel Macron a essayé de clore la polémique sur ses propos sur la colonisation et l'Algérie. Au lieu de parler de "crime contre l'humanité", il a dénoncé un "crime contre l'humain".
Categories: France

FESTMÉNYEK ÉS EMLÉKEK

Air Base Blog - Sun, 19/02/2017 - 10:58

Andrási Sándor volt MiG-21-es vadászpilóta kedvenc téli időtöltése a festészet. Képei témájául azokat a repülőgépeket választotta, amelyeken repült. Két éve a MiG-21-est festette meg, a közelmúltban pedig két kiképzőgép került ki ecsetje alól.

Zlin 326 Trener

„Két okból is jó festeni. Egyrészt hódolhatok a kedvenc időtöltésemnek ezekben a csúnya hideg időkben - csak télen űzöm ezt a hobbimat - a másik, hogy számomra is hihetetlen módon egy csomó történet jut eszembe a képek készítése kapcsán. Anyaggyűjtéskor olyan gépek fotóit is megtaláltam a neten, amelyek életem részei voltak. Ilyen a HA-TRZ lajstromjelű Zlin, amely ma már az USA-ban van egy magyar származású gyűjtő tulajdonában. Ami igazán megörvendeztetett, hogy találtam fotót azokról az oktatókról is, akik Békéscsabán képeztek minket. Többek között az én oktatómról is, Kiss Jenőről. aki az a vékony fickó, jobbról a harmadik.

Fotó: Békéscsabai Veterán Pilóták Baráti Köre

A sors úgy hozta, hogy a tábor után csak egyszer találkoztunk, utána elváltak útjaink és a sors sem segített abban, hogy újra találkozzunk. Ő a szolnoki klub oktatója volt. Az az egy találkozásunk az volt, amikor személyesen elhozta az iskolámba, Jászberénybe a  Kiliánra szóló jelentkezési lapomat. Akkoriban az MHSZ nem bízta a véletlenre a jelentkezésünket, együtt töltöttük ki és szerintem ő is nyújtotta be, nem én. Ennek ellenére a békéscsabai csoportunknak talán csak a fele jött tovább a főiskolára.

Jenő minden növendékét birkának hívta. Még annyiban cifrázta a dolgot, hogy voltak "bari", "kos" és "vezérürü" címek is, amiket a repülés utáni értékelésénél osztott ki nekünk. Nagyon jól oktatott minket. Már az első repülések alkalmával az önállóságra tanított bennünket. Megkövetelte a pontos repülési paraméterek tartását. Viszont mutatott olyan dolgokat is a géppel, amiket én még nem csinálhattam. Egy felszállás után folyamatosan háton emelkedtünk ki a légtérbe, azzal a céllal, hogy kipróbáljuk, valóban négy és fél percre elegendő-e az ejtőtartályban lévő üzemanyag. Akkor állította talpra, amikor köhögni kezdett a motor. Ami igazán kellemetlen volt az egészben, hogy a nemrég elfogyasztott teát nem győztem visszanyelegetni, a fejemben volt minden vérem, már szinte fájt csüngeni azokon a vékony hevedereken, és persze a kabinban található összes por, szemét az arcomban volt. Na, hát ezeket az emlékeket is a festés hozta ki belőlem.”

A Tango-Romeo-Zulu a budaörsi repülőtéren. Fotó: Kunár György / avia-info.hu

*

L-29 Delfin

„Amikor megkezdtem tanulmányaimat a Kiliánon, még aktívan repültek az L-29-esek, fedélzetükön inkább már idősebb, viszont nagy tapasztalattal rendelkező pilótákkal. A tanteremben természetesen folyamatosan hallottuk a repülésüket. Elég sok idő telt el mire kivittek bennünket a betonhoz, hogy legalább közelről láthassuk őket repülés közben. Kihasználva a közelséget, szívtuk magunkba az élményeket, gyönyörködtünk az alacsony áthúzásokban és csüngtünk a pilóták ajkán élménybeszámolóik kapcsán. Üröm volt az örömben, hogy nem ülhettünk be a kabinba, mondván az titkos információk megszerzését tette volna lehetővé számunkra. Nem láthattuk annak a gépnek a kabinját, amivel egy-másfél év múlva mi magunk is repülhettünk. Akkoriban ennyire túlszabályozták az információk védelmét.

Andrási Sándor hallgató.

Fotó: Andrási-archív

A repülőgép festése kezdetén arra gondoltam, hogy a magyar terepszínű változatot örökítem meg, de aztán koncepció lett számomra, hogy olyan formában festem meg a gépeket, ahogyan én repülhettem a fedélzetükön, tehát az L-29-es esetében a szovjet változatnak megfelelően. A gép festése közben sok élmény, emlék tört a felszínre bennem, olyanok is, amik már évtizedek óta nem ugrottak be. Igaz, ez már jele lehet a megállíthatatlan öregedésemnek, mert a régmúltban megtörtént dolgokra lassan már jobban emlékszem, mint arra, hogy bezártam-e az ajtót, amikor eljöttem otthonról.

Nem volt kis dolog és érzés, amikor 1977-ben megérkeztünk a Szovjetunióba és megkezdhettük földi kiképzésünket Primorszko Ahtarszk repülő bázisán. Mi Aktarinak hívtuk, egy kb. 30 000 fős város az Azovi-tenger partján. Persze a tematika szerint az első két hónap az orosz nyelvről szólt, ami karantént is jelentett számunkra. Egyáltalán nem hagyhattuk el a laktanyát, mondván még nem vagyunk felkészültek az önálló és biztonságos kint tartózkodásra. Így utólag megértem, hogy nem engedtek ki minket, mert akkoriban finoman szólva is igen ismeretlen és néha félelmetes körülmények fogadtak bennünket. Azért egyszer szervezetileg mégis kivittek, hogy vigyázzmenetünkkel színesítsük a Nagy Októberi Szocialista Forradalom 60. évfordulója tiszteletére rendezett városi megemlékezést.

Az oroszok csodálatosan értettek a külföldiek oktatásához. Voltak ott Angolából, Szomáliából, Kubából, Algériából, Irakból és még talán máshonnan is. Mindent alaposan, részletesen, szájbarágósan tanítottak meg velünk, ami talán érthető is az előbb felsorolt nációk figyelembevételével.

L-29-esek géppárban. Fotó: Andrási-archív

Megkaptuk az alapokat aerodinamikából, a repülőtér használatának rendjéről, és természetesen a gép technikai felépítéséből (sárkány, hajtómű, elektro-műszer-oxigén, rádióelektronika, katapult, életmentő eszközök és a legfontosabb: ténykedés a fenti rendszerek meghibásodása esetén). A tantermek csodálatosan érzékeltettek mindent. Az ember, ha csak beült és figyelmesen körbenézett már szinte mindent megtudott, megértett a gépről, rendszereinek működéséről. A 2003-2005-ös-években volt szerencsém meglátogatni más, az orosz légierőhöz tartozó alakulatokat és megdöbbenve tapasztaltam, hogy a módszer még mindig élt és a szemléltetés 1977 óta semmit nem változott. Félreértés ne essék, én ezt pozitívumként éltem meg és értékeltem akkor.

A kiképzési terv szerint a földi felkészítés késő ősztől kora tavaszig tartott és rendszerint ekkor engedtek haza bennünket, egy kéthetes szabadságra. Tehát a gyakorlati repülést csak a visszaérkezést követően kezdtük meg, így igazi repülési élményeket nem tudtunk megosztani családunkkal, barátainkkal. Az én csoportom esetében egy kicsit ez is másképp alakult, mivel a kiutazásunk a két hadsereg egyet nem értését követően, a korábbi rutinhoz képest később történt, ezért a földi előkészítésünk is kitolódott már a jobb időjárási körülmények idejére. Ezért úgy döntött az orosz vezetőség, hogy hazautazásunk előtt "megringatják a fenekünket” és végrehajtjuk az első repülési körzet megismerő felszállásunkat.

A repülést megelőző földi előkészítés alkalmával már az éles gépekben tréningeztünk és igyekeztünk mindent magunkba szívni a valóságból, és persze már a kijelölt oktatónk készített fel bennünket a furfangosnál furfangosabb kérdések, meghibásodások bedobásával. Itt megemlíteném, hogy négyfős ekipázsommal egy igazi tagbaszakadt, dobverő ujjakkal megáldott, az orosz férfiakra jellemző minden tulajdonsággal rendelkező csodálatos oktatót kaptunk "Továris kapitan Vinogradov” személyében. Sajnos sem a keresztnevére, sem az apai nevére nem emlékszem, pedig ez Oroszországban még ma is használatos. De hát mi csak a fenti módon hívtuk.

A repülés során, ha beszólt a rádióba, mindig kategorikusan emlegette az anyukánkat (persze ilyenkor elmondta azért a hibánkat is), és ha belenyúlt és megfogta a botkormányt, ott nem volt apelláta afelől, hogy átvette az irányítást. A tantermekben szervezett reputánik alkalmával, ami már egyben a felkészülést jelentette a következő repülésre, sokszor megnevettetett bennünket és jó hangulatot teremtett. Most, hogy így írok róla, még mindig a zsigereimben van az a mindennapi csodálatos, szigorú, de mégis laza érzés, amit akkor éreztem a társaimmal, oktatómmal. Arra is emlékszem mennyire büszkévé tett az az időszak, az a tudat, hogy ha minden jól megy, pilóta lesz belőlem.

Továris kapitan Vinogradov

Fotó: Andrási-archív

A négy főből hármunknak szinte azonos volt a beceneve "Topcsi” (ez voltam én), "Tibcsi” és "Tomcsi”. Egy idő után besokallt, amikor magyarul beszéltünk egymással és belezavarodott, hogy kiről is van szó, ezért aztán ő maga is megtanulta neveinket, de csak a k toldalék használatával tudta azt kiejteni. Így lettünk "Topcsik”, "Tibcsik” és "Tomcsik”. Nem szeretnék megfeledkezni negyedik társunkról, akinek beceneve "Beles” volt, és a mai napig ezt használjuk, amikor együtt vagyunk. Sajnos a kurzus befejeztével elváltak útjaink, mert kezdtük az új típust, a MiG-21 PFM-et, így Krasznodárba költöztünk. Többé nem találkoztunk, de az emlékeinkbe bevésődött az biztos, és igazán hálásak lehetünk neki, hogy megtanított minket repülni.

Na és hát jöjjön az első repülésem az L-29 Delfinen. Röviden: emlékezetes, csodálatos suhogás a levegőben, nagyobb sebesség, több gépészkedés leszálláskor, mint a Zlinen. Leszállás után viccesen csak úgy értékeltem társaimnak, hogy felért egy kisebb orgazmus érzésével.

Bővebben: félelmetesen nagy érzés, hogy végre beülhetsz abba a gépbe, amit közel fél éven át tanultál, beindíthatod a hajtóművét, ami gyönyörűen süvített és elkezdhetsz gurulni a felszálláshoz. Ezek azok a dolgok, amiket korábban egyszer sem csinálhattál, pedig már ismerted a gép szinte minden porcikáját. Szóval felgurulhattam a betonra és a felszállási engedély vétele után benyomtam a gázt, kiengedtem a féket, és irány az ég. Ennek az érzésnek a kifejezésére nincsenek is megfelelő szavak. Robogsz a betonon aztán egy pár pillanat múlva eléd tárul az Azovi-tenger látványa. Igaz, a ma embere már gyakran repül és ezeket éli át ő is, azonban hatalmas különbség, amikor te vezetsz és érzed, hogy kezded uralni azt a gépet, ami majd elvezet egy erősebb, gyorsabb "madár” megismeréséhez és úgymond elkezded első szárnycsapásaidat afelé, hogy vadászpilóta lehess.

"Elkezded első szárnycsapásaidat afelé, hogy vadászpilóta lehess." Fotó: Andrási-archív

Az én szubjektív megítélésem szerint a Delfin egy csodálatosan megkonstruált, strapabíró, megbízható repülőgép volt. Kiválóan műrepülhető, sokszor egészen sokat megbocsátó - itt a reptechnikai hibákra gondolok - és teljesen tökéletes alapokat adott a sugárhajtású repülés elsajátítására. Kiemelkedő képességeinek tartom, hogy lehetett vele liftezni, dugóhúzót végrehajtani, keményen csúsztatni - ez nekem annyira nem is ment - és lehetett üzemeltetni füves repülőtérről. Még volt egy tulajdonsága, amit én is talán gyakran megtapasztaltam, hogy leszállásnál, ha csak egy kicsit is nagyobbra sikerült a kilebegtetés sebessége, szinte le kellett tunkolni a földre, mert csak repülni akart tovább és persze néha "bakugrani”. Szóval azt a gépet tényleg a pilóták képzésére találták ki. Az utódjáról, az L-39-ről is hasonló jókat hallottam, és biztos nagyszerű gép lehetett. Sajnos nekem nem adatott meg, hogy repülhessek vele.

A csodálatos Delfin segítségével így alakult az én vadászpilóta életem kezdete, amelyből csak momentumokat idéztem fel, de nagy örömmel tettem. És reménykedem, hátha a fiatalokban, akik esetleg elolvassák e sorokat, érdeklődést vált ki e csodálatos hivatás.  Már csak ezért is megérte lefestenem a gépet, mert egy kicsit újra pilóta lehettem, ha csak gondolatban is, és felidéződött a fiatalságom egy csodálatos időszaka.”

* * *


Categories: Biztonságpolitika

Hillarys Clinton Fan Gemeinde: Hord des Verbrechens: von Pablo Excobar bis Boko Haram

Balkanblog.org - Sun, 19/02/2017 - 10:11
Tief mit Balkan Verbrecher Clans verbunden! Deutsche Verbrecher Aussenpolitik als System: Nigeria und keine Ende Die dreisten van Rompuy Aktivitäten und Hillary Clinton und ihre Terroristen wie: “ Boko Haram“ Berlin finanzierte FSA – al-Nusra-Front und Scheich al-Muhaysini kommen auf die Terrorliste. “War on Terror” Has Been a Lie – Pakistanische Schleuser Mafia Pablo Escobar’s Son Reveals His Dad “Worked for the CIA Selling Cocaine” — Media Silent Published: February 17, 2017 Share | Print This Source: Claire Bernish   Juan Pablo Escobar Henao, son of notorious Medellín cartel drug kingpin, Pablo Escobar, now says his father “worked for the CIA.” In a new book, “Pablo Escobar In Fraganti,” Escobar, […]
Categories: Balkan News

Halálos baleset Kápolnás közelében

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Sun, 19/02/2017 - 08:15

Egy személy életét vesztette, egy pedig megsérült abban a közúti balesetben, amely vasárnap reggel történt Szentegyháza és Kápolnás között.
Kategória: Aktuális/Udvarhelyszék

Engagement américain dans l’Otan: Mike Pence n’a pas levé tous les doutes

RFI (Europe) - Sun, 19/02/2017 - 08:01
Les représentants de l'administration Trump étaient particulièrement attendus à la 53e édition de la Conférence sur la sécurité de Munich où se retrouvent chaque année le gratin de la diplomatie. Le vice-président Mike Pence s'est efforcé samedi 18 février, en soulignant l'attachement des Etats-Unis à la relation transatlantique, de rassurer des Européens inquiets après les déclarations de Donald Trump durant sa campagne qui avait qualifié l'Otan « d'obsolète ». Mais tous les doutes n'ont pas disparu pour autant chez les partenaires de Washington.
Categories: Union européenne

Hamon regrette « le rendez-vous manqué » entre Hollande et les banlieues

Le Monde / Politique - Sun, 19/02/2017 - 07:42
Dans un entretien au « Journal du dimanche », le vainqueur de la primaire promet de « pacifier la relation entre la police et le contrôlé » et rappelle sa conception de la laïcité.
Categories: France

Cyril Dion : « Le film “Demain” m’a permis de devenir enfin moi-même »

Le Monde / Politique - Sun, 19/02/2017 - 07:37
Le co-réalisateur du documentaire à succès, est aussi cofondateur avec Pierre Rabhi de l’association Colibris, entend peser dans la campagne présidentielle.
Categories: France

Sudan hosts more than 300,000 South Sudanese refugees: UN

Sudan Tribune - Sun, 19/02/2017 - 07:20

February 18, 2017 (KHARTOUM) - More than 300,000 people have arrived in Sudan since the beginning of the South Sudanese crisis in December 2013, said the UN Refugee Agency (UNHCR)..

South Sudanese refugees cook on an open fire at a camp run by the Sudanese Red Crescent Society in the western part of Sudan's White Nile state on 27 January 2014 (Photo: AFP/Ashraf Shazly)

"The number of South Sudanese refugees in Sudan "has surpassed the 300,000 mark and as of 13 February and stands at 305,000 people," reported OCHA in its weekly news bulletin.

Nearly the half of South Sudanese refugees, 131,000 refugees, arrived in Sudan during the past year 2016.

49% of 2016 influx arrived between February and April in East Darfur State from the Bahr El-Ghazal province fleeing food shortage and famine.

29% crossed to the White Nile state from through the Upper Nile state, a small percentage also arrived from the Unity region through the South Kordofan State.

"Over 65% of the refugees are children, with many of them arriving with critical levels of malnutrition," said the report.

UN agencies have noticed also the return of Sudanese refugees to their homeland in South Kordofan or the White Nile states.

Before the December 2013 crisis, there 350,000 South Sudanese who remain in Sudan and didn't return to their areas after the independence of South Sudan.

Also in December 2014, the Sudanese government agreed with the UN to deliver residence permits to South Sudanese refugees enabling them to circulate and to work in the country.

The failure of the peace agreement mediated by, the Intergovernmental Authority on Development (IGAD), and the continuation of clashes in different parts of the country pushed the UNHCR to anticipate the arrival of more refugees across the 2000 km long border between the two countries.

"The planning figure for 2017 is an estimated 60,000 additional refugees, with the corresponding response outlined in the South Sudan Regional Refugee Response Plan for 2017," said OCHA.

Following the resumption of armed clashes in Juba last July, IGAD leaders agreed to give President Salva Kiir the time to implement the content of the August 2015 peace agreement and to keep his rival and former First Vice President Riek Machar outside the region in South African.

However, the continuation of the war in different regions in the country and the absence of prospects for a viable settlement, push aid agencies to consider long-term humanitarian plans for the internally displaced people and refugees in neighbouring countries alike.

(ST)

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Fleeing civilians cut off from healthcare in Yuai: MSF

Sudan Tribune - Sun, 19/02/2017 - 07:03

February 17, 2017 (JUBA) - The international medical charity Médecins Sans Frontières (MSF), said fighting in Yuai town in South Sudan's Bieh State between the country's warring factions has had major impact on the civilian population in the area.

The area of Yuai that remained largely peaceful throughout the three years of civil war, is now witnessing clashes between government and rebels.

In a statement issued on Saturday, the international medical charity said the recent surge in fighting in Yuai town, has left those forced to flee cut off from healthcare.

The medical aid charity pointed out that its national staffs in Yuai town have fled together with the civilian population after the clashes in the area.

"MSF is extremely concerned about the humanitarian consequences of the fighting,” says Liz Harding, MSF's head of mission for South Sudan.

The organization called on all warring parties to ensure that civilians are protected and that medical and humanitarian facilities as well as staff are respected and protected.

(ST)

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RDC: pour le gouvernement, la vidéo du massacre au Kasaï est un «montage»

RFI /Afrique - Sun, 19/02/2017 - 06:59
Une vidéo d'un peu plus de sept minutes montre des soldats congolais en train de commettre des exactions contre des civils. Ces images auraient été tournées lors d'affrontements entre l'armée congolaise et la rébellion Kamuina Nsapu dans le sud de la province du Kasaï-Central. Elle a été diffusée sur les réseaux sociaux. Samedi 18 février, le gouvernement congolais a qualifié cette vidéo de « montage ».
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Centrafrique : l'ONU et ses partenaires condamnent les dernières violences perpétrées par les groupes armés

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Sun, 19/02/2017 - 06:00
L'Organisation des Nations Unies, la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale, l'Union africaine, l'Organisation internationale de la Francophonie et l'Union européenne ont exprimé dimanche leur profonde préoccupation concernant la situation sécuritaire en République centrafricaine.
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Sudan's Bashir holds bilateral talks in the UAE

Sudan Tribune - Sun, 19/02/2017 - 05:46


February 18, 2017 (ABU DHABI) - Sudanese President Omer al-Bashir Saturday has held talks with the Crown Prince of Abu Dhabi Mohamed bin Zayed Al Nahyan, focusing on bilateral ties as well as regional and international issues of common concern.

Al-Bashir, who arrived in the United Arab Emirates (UAE) on Saturday in an official visit, was received at the airport by the Crown Prince of Abu Dhabi and Deputy Supreme Commander of the Armed Forces Mohamed bin Zayed Al Nahyan and several members of the diplomatic community.

According to the Emirates News Agency (WAM), the meeting between the two sides discussed ways to enhance cooperation on political, economic, development and cultural fields besides regional and international issues of common concern.

The Sudanese President stressed his country's keenness to promote ties with UAE for the benefit of the two nations, expressing appreciation for the role played by the UAE in support of the Arab issues and on preserving security, stability and identity of the region.

For his part, Crown Prince of Abu Dhabi expressed his delight for the recent development of fraternal ties between the two countries in light of the growing attention from President Khalifa bin Zayed Al Nahyan and his keenness to support and develop these relations to serve common interests of the two countries and the two brotherly peoples.

He underscored UAE's strong ties with Sudan, pointing to the historical and economic relations between the two countries besides their cooperation to defend interests of Arab nation against foreign aggression.

The Sudanese President was accompanied by the Minister of Presidential Affairs Fadl Abdalla Fadl, Foreign Minister Ibrahim Ghandour, Minister of Investment Mudathir Abdel-Ghani, Minister of Social Welfare Mashai'r al-Dawalab and Minister of State and Director of the Office of the President Taha Osman al-Hussein.

It is noteworthy that Al-Bashir will attend the inauguration ceremony of the International Defence Exhibition and Conference (IDEX 2017) that will kick off in Abu Dhabi on Sunday.

Sudan managed to achieve a breakthrough in ties with UAE after a long period of strained relations over Khartoum's close ties with Tehran.

UAE is in a long-standing territorial dispute with Iran over the three Gulf islands of Abu Musa and Greater and Lesser Tunb.

Iran refuses international arbitration over the dispute and insists that its sovereignty over the islands is non-negotiable.

In 2014, Sudanese authorities ordered the closure of Iranian cultural centre in the capital Khartoum, and other states in a move which was seen as a gesture to the Arab Gulf states.

The estimated size of UAE investments in Sudan is $11 billion approximately, of which about $5 billion are projects in progress while the rest are still in pre-execution phase.

In May 2015, Sudan said it offered UAE's companies $59 billion investment opportunities mainly in agricultural projects.

(ST)

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