Tizennyolc utasa volt annak a kisbusznak, amely a Nagybereg és Kígyós közötti útszakaszon borult az árokba február 22-én – írja a munkachevo.net hírportál.
A Mercedes-Benz típusú járművet, melyet egy 58 éves alsóremetei lakos vezetett, az egyik helyi vállalkozás munkásainak szállítására használták.
Az előzetes vizsgálatok szerint a baleset kiváltó oka valószínűleg a köd és az ónos eső lehetett, de a rendőrök nem zárják ki a gépkocsivezető részéről történt közlekedési szabályok megsértésének lehetőségét sem. Ugyanakkor azt tudni lehet, hogy a sofőr tapasztalt vezető volt és nem ált alkoholos befolyásoltság alatt. Jelenleg a jármű négy utasát kórházban kezelik.
A rendőrség tisztázza az eset körülményeit.
Kárpátalja.ma
Régi képek után kutattam az interneten, amikor ráakadtam a fenti képre, melyen egy munkácsi emlékkönyv egyik lapja látható. Az Orémus Kálmán tulajdonában lévő családi örökség igazi gyöngyszem egy letűnt világból. Az 1925-ben megkezdett, s talán hosszú éveken át kézről kézre adott könyvecske számos jókívánságot, versikét, rajzot, titkos álmot rejt magában. Ma már nem divat emlékkönyvet vezetni. Nagy kár.
1926-ban ezt a versikét írták az emlékkönyvbe:
“Ha bokrétál kötöl egy csokorba,
Kösd azt át három színű szalaggal!
Hisz tudom, hogy szereted a hazánk színét.
Oly szép e három szín, hisz magától beszél.
Én is itt hagyom emlékbe e három színt.
Vedd a zöldet, ez a legnagyobb reményem,
A fehért, mely néha arcomon megjelen,
A piros helyébe meggyötört szívemet.
És kérlek téged, hogy tovább is szeresd
Megsebzett, szegény, bús, árva hazánkat…!”
Marosi Anita
Kárpátalja.ma
Les civils sur le pont de Stanytsia Luhanska (© OSCE, décembre 2016)
(B2) L’OSCE « surveille le cessez-le-feu » annoncé dimanche 19 février dans l’est de l’Ukraine. Lamberto Zannier ne se fait pas d’illusions. Ce cessez-le-feu ne se présente « pas très bien », estime le secrétaire général de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. C’est le message qu’il a lancé à New York, après une intervention au Conseil de sécurité de l’ONU, ce mardi 21 février.
Le nouveau cessez-le-feu a été annoncé samedi soir par les chefs de la diplomatie russe Sergueï Lavrov et ukrainienne Pavlo Klimkin, à Münich à l’issue d’une réunion sous format Normandie (ministres des Affaires étrangères allemand, ukrainien, russe, français). Il est entré en vigueur lundi (20 février), plus de deux semaines après une flambée de violence ayant fait une trentaine de morts à Avdiïvka, ville de l’est de l’Ukraine au nord de Donetsk.
Les armes lourdes pas encore retirées
« Il semblerait que les activités se poursuivent. Je n’ai pas de confirmation de dernière minute, mais cela ne se présente pas très bien ». L’OSCE fait état, notamment, de l’utilisation d’armes légères et d’explosifs. Mais le cœur du problème est le retrait des armes lourdes des zones de frontières. La mission d’observation de l’OSCE constate « dans différentes zones, la poursuite d’une « activité cinétique » (bombardements), avec l’utilisation d’armes légères surtout mais aussi, dans certains cas, également d’explosifs. Ce qui veut dire qu’ils utilisent également des mortiers et d’autres armes plus lourdes, en violation du cessez-le-feu ». La confirmation du « retrait synchronisé de l’artillerie lourde » ne se fera pas avant ce mercredi, au plus tôt, estime l’Italien. Une situation qu’il regrette, considérant « le très nécessaire retrait des armes lourdes » comme « une étape clé vers la désescalade des combats ».
Un risque de reprise des combats
Pour le chef de l’OSCE, la situation sur le terrain reste « confuse » et tous les ingrédients « sont là » pour un redémarrage pour une nouvelle phase de combat intense. « Les combats et les bombardements dans la région d’Avdiyivka ces dernières semaines ont été les plus violents depuis deux ans. »
La reconnaissance des passeports au cœur des tensions diplomatiques
Les tensions entre Ukrainiens et Russes sont montés d’un cran la semaine dernière, après l’ordre donné samedi (18 février) par le président russe Vladimir Poutine de reconnaître « temporairement » les passeports émis par l’administration séparatiste de l’autoproclamée république populaire de Donetsk. Un procédé qui n’est pas sans rappeler celui suivi pour l’Ossétie du Sud comme l’a rappelé Lamberto Zannier. « Il pourrait y avoir un bénéfice humanitaire. Mais la méthode me rappelle la Géorgie, l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud. » Cette décision a d’ailleurs été critiquée par la France et l’Allemagne, qui ont dénoncé une violation de l’esprit des accords de Minsk, sensés permettre une réunification de l’Ukraine en contrepartie d’une autonomie accrue accordée à l’Est russophone.
(Leonor Hubaut)
La routine des convois russes. Dans le rapport quotidien du 21 février, la mission d’observation de l’OSCE en Ukraine annonce qu’un convoi de dix véhicules ont passé la frontière entre la Russie et l’Ukraine, au point de contrôle de Donetsk à 7h20 du matin et sont retournés en Russie vers 15h30, le même jour. ici
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Budapest promettait pour 2024 des Jeux olympiques modestes, en raison de l’utilisation d’infrastructures déjà existantes ou qui seraient construites pour répondre à des besoins réputés réels des habitants. Selon le magazine HVG, une bonne partie des projets d’équipements sportifs et de transports urbains figuraient effectivement déjà dans plusieurs documents de planification. Ce qui signifie qu’ils seront mis en chantier tôt ou tard, en dépit du retrait de la candidature hongroise.
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Du côté des équipements sportifs, le document de référence reste le Schéma de développement Ferenc Kemény, objet d’un décret gouvernemental en 2016. Censé « augmenter le niveau des infrastructures sportives » de la capitale, ce document de planification prévoit la construction de nombreux stades, gymnases, etc., d’ici 2022. Au-delà – ou plutôt en-deçà – des olympiades, la stratégie assumée de Budapest est de se spécialiser en métropole sportive pour accueillir de nombreuses compétitions internationales, à l’instar cette année des championnats du monde natation ou en 2020 de quelques matchs du championnat d’Europe de football. Les développements en transports urbains devraient suivre selon HVG, qui cite de nouveau un décret gouvernemental de janvier 2017, ainsi que le Schéma de développement urbain conçu à l’horizon 2030.
Budapest devrait se voir dotée d’ici quatre à cinq ans d’une piste d’Xtrem VTT, d’un centre nautique sur le Danube, d’un stade d’athlétisme à la confluence du Danube et du « bras de Ráckeve » (au niveau du pont Rákóczi), d’un palais des sports, d’un nouveau court de tennis, d’un nouveau vélodrome, d’un hippodrome, d’un stand de tir et d’une patinoire. A cela s’ajoutent les reconstructions du stade Ferenc Puskás et de la piscine de Dagály, ainsi que le développement du Népliget comme lieu d’entraînement sportif. En matière de transports urbains, la ville devrait anticiper les flux de visiteurs par le renouvellement de nombreux matériels roulants (tramways, métro, bus), la reconstruction du métro 3 et le développement d’infrastructures autoroutières aux abords de Budapest.
La confirmation de ces grands projets pose néanmoins question, alors que la mobilisation en faveur d’un référendum sur les Jeux olympiques s’appuyait en grande partie sur un argument économique. Le mouvement Momentum – mais aussi les autres partis d’opposition ayant participé à la récolte des signatures – estimaient notamment que la Hongrie ne pouvait pas se permettre des investissements somptuaires alors que certains services publics sont dysfonctionnels, la santé en particulier.
En Hongrie, des Jeux Olympiques pour faire oublier les vrais problèmes ?
Ex-candidat à la présidentielle béninoise, l'homme d'affaires, présenté comme la deuxième fortune du pays, se dit victime d'une guerre d'usure. Il cherche à transférer ses activités à l'étranger.
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Condamné une première fois à six ans de prison pour terrorisme, le Français sera jugé en appel le 1er mars. Sa mère et ses avocats dénoncent un "procès fabriqué de toutes pièces" et mobilisent les médias et les politiques français.
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Ils sont venus des quatre coins de Bretagne, de Rouen, de Paris et même du haut Limousin. Le projet de Grand Voilier École (GVE) a réuni à Brest ses forces vives pour rappeler l'avancée du projet et le prochain appel à financement de ce trois-mâts de 90 m de long.
Záhoczky Csenge írása
A líbiaiak jelentős tömege vett részt a líbiai forradalom hatodik évfordulója előtt tisztelgő ünnepségen február 17-én, pénteken. Az évforduló azért jelentős Líbia népének, mert megdöntötte a Vezér, Moammer Kadhafi több évtizedes uralmát 2011-ben. Az ünneplés hihetetlen méreteket öltött: több ezren lengettek zászlókat a fővárosban, Tripoliban, és sokan a főtérre vonultak ki a hatodik évforduló alkalmából. Itt is rendkívül nagy felhajtás volt: a polgárok Líbia nemzeti zászlaját lengették, miközben tűzijáték világította meg a környező épületeket, motorosok dudáinak hangjától kísérve. Az ENSZ által is támogatott helyi erő, a GNA is a helyszínre vonult, hogy biztosítsa az esemény balesetektől mentes lefolytatását. Habár az olajban gazdag észak-afrikai ország a forradalom kitörése és Kadhafi halála óta soha nem látott zűrzavar közepette tölti mindennapjait, az emberek mégis önfeledten ünnepelték a hat évvel ezelőtt útjára induló demokratikus változást. A felvonulás egyik résztvevője például a következőképp nyilatkozott: „A mai napon Misrata, Isten akaratából, csak úgy ragyog; és Misrata lakossága, nem csak én, a nagy forradalmat és annak hatodik évfordulóját ünnepli. Isten adja, hogy mártírjaink békében nyugodjanak.” Tagadhatatlan, hogy az országnak rengeteg problémával kell szembenéznie, kezdve a forradalom által ráhagyott káosztól a migrációs válságig, azonban az általános kilátástalanság ellenére ezen a pénteki napon az emberek elfeledték problémáikat, és hálát adtak az Úrnak, hogy a diktatúra megbukott, és hogy talán rájuk is egy szebb jövő vár.
Kép:www.libyaherald.com
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