Feed aggregator

 M. Zeggai

Pressenti comme l’un des favoris à l’accession en Ligue 1 qu’il a quittée en 2015, le MCEE a fait preuve d’irrégularité en ce début de championnat. Face à l’ASMO avant-hier au stade Ahmed-Zabana, les « Rouge et Vert » ont inexplicablement raté l’opportunité de confirmer leur statut de postulant à l’une des trois premières places donnant accès à l’étage supérieur. Deux erreurs monumentales ont scellé le sort d’une rencontre qui paraissait à l’avantage des protégés du nouveau coach, le Tunisien Ouajdi Essaïd. Ce dernier estime que son équipe ne méritait nullement la défaite compte tenu de sa prestation. « C’est un résultat qui n’arrange pas nos affaires pour la suite de la compétition, surtout si l’on tient compte des occasions que nous avons procurées. A mon avis, l’efficacité nous a fait défaut. C’est un point sur lequel nous allons travailler pour y remédier et revenir rapidement aux résultats que nous escomptons réaliser. Je ne pense pas que cette inattendue contreperformance va nous perturber lors de notre préparation pour les prochaines rencontres », a-t-il affirmé en fin de partie. Pour certains proches de la formation d’El-Eulma, les absences de plusieurs cadres ont influé négativement sur le rendement et ont été fatales aux Eulmis. On citera les Mellouli (suspendu), Ferrahi, Youcef Zakaria, Djahel et Berbeche, ce qui a laissé un grand vide au sein du MCEE. Il est certain que l’entraîneur tunisien a tiré les enseignements nécessaires lors de cette confrontation face à l’ASMO afin de mieux négocier le reste du parcours avant la fin de la première manche.

A la lecture du programme, le MCEE semble bien loti pour terminer la phase aller parmi le peloton de tête, dans la mesure où il aura l’avantage d’accueillir l’USMAn, l’ABS, l’ASO et la JSMB, avec des déplacements chez des formations mal classées, le RCK et l’USMB, excepté l’USB qui semble avoir retrouvé ses marques. Mais ceci ne nous empêche pas de dire que les coéquipiers de Bezzaz ont manqué une belle occasion de se rapprocher du podium après les semi-échecs concédés par l’ASO Chlef et le WA Tlemcen chez eux. Pour les dirigeants, il est impératif de mettre cette défaite aux oubliettes pour se consacrer à l’objectif assigné, à savoir l’accession. D’ailleurs, le recrutement de l’intersaison a été effectué de manière à répondre aux aspirations du club et, surtout, à réaliser le rêve des milliers d’inconditionnels des « Rouge et Vert » qui ne veulent pas que leur équipe stagne dans l’antichambre de l’élite, le MCEE étant à sa quatrième saison en Ligue 2. L’arrivée des Doucene (ex-NARBR), Ferrahi (ex-MCO), Boudrama (ex-JSMS), Madani (ex-USMA), Benali (ex-MOB), Keffi (ex-NCM), Benkouider (ex-JSS), Bouhafer (ex-ABS), Bezzaz (ex-CSC), Bousseder (ex-RCR), Berbeche (ex-ESS prêt), Djemaâouni (ex-JSS), Guenina (ex-MCS) a été réalisée dans le but de se donner les moyens de sa politique. En somme, c’est jouable pour le MCEE à condition que l’on évite de jouer avec la sensibilité du grand public eulmi et, surtout, d’y croire afin de renouer avec les années de gloire du MCEE qui a eu l’honneur de représenter l’Algérie en 2015 en Ligue des Champions d’Afrique où il a réussi à atteindre la phase des poules (1/4 de finale) avec l’entraîneur français Jules Accorsi.

The post MC El-Eulma: Corriger les lacunes au plus vite appeared first on .

Abid Djebbar

Le Sari de Mohammadia vient d’enregistrer un résultat positif hors de ses bases lors de cette quatrième journée du championnat amateur groupe Ouest en battant la coriace équipe du CRB Dar Beida dans son fief au stade de Réghaïa par le score de 2 à 0, buts signés par l’attaquant Mahi. Ce résultat inattendu vient à point nommé pour mettre fin à la mauvaise série des Samistes et de croire un peu plus en leurs moyens lors des prochaines rencontres qui ne s’annoncent pas faciles compte tenu des ambitions des uns et des autres, que ce soit en haut ou au bas du tableau. Agréablement surpris par cet exploit inattendu, les supporters espèrent que les poulains de Mezouar Arafat ont désormais leur match référence pour continuer sur leur lancée dans ce championnat. En tout cas, ce succès va redonner confiance au groupe du président Benfetta Habib, qui attend toujours une aide financière de la part des autorités locales qui, pour le moment, semblent tourner le dos au club, lequel pourtant représente dignement la ville de Mohammadia. Un autre résultat positif à domicile lors de la prochaine journée devant l’US Remchi au stade Ouali-Mohammed est susceptible de faire oublier toutes les divergences et problèmes qu’a connus le club avant l’entame de saison.

The post SA Mohammadia: Enfin le match référence appeared first on .

 M. B.

Tel un rouleau compresseur, l’AS Khroub a remporté sa quatrième victoire de la saison en autant de matches joués. Les Khroubis sont allés cette fois imposer leur diktat au CRB Kaïs chez lui, alors qu’on pensait que ce dernier pouvait lui tenir tête. Grâce à ce succès, l’ASK conforte sa première place avec deux points d’avance sur l’autre prétendant, le CA Batna, qui ne cache plus son jeu.

Ce dernier n’a pas tremblé à domicile et s’est imposé face au HB Chelghoum Laïd. Le podium est complété par l’USM Khenchela, qui s’est contentée d’un seul point lors de son déplacement à Jijel chez le CR Village Moussa. Pour sa part, le CRB Aïn Fakroun, qui avait bien entamé la saison, s’est heurté cette fois au MO Constantine, qui a renoué avec la victoire à domicile, alors que l’US Chaouia, qui est en train de décevoir ses fans, s’est avérée incapable de passer l’écueil de la JSD Jijel.

A Tébessa, l’UST n’a pas fait de concessions à l’USM Aïn-Beïda et reste ainsi aux aguets, tandis que l’AB Merouana est revenue bredouille de son déplacement à Ouled Djellal, où le promu, le RCBOD, a pris le meilleur. Enfin, le duel entre l’AB Chelghoum Laïd et l’Entente Collo n’a pas connu de vainqueur, les deux équipes occupant toujours la deuxième partie du tableau.

The post Division nationale amateur -Est: L’AS Khroub impose son diktat appeared first on .

2546 személy veszítette el szlovák állampolgárságát a 2010-ben elfogadott állampolgárságról szóló törvény életbe lépésétől 2018. szeptember 27-ig.

A horvát kormány csütörtöki ülésén elfogadta a bizalmas információkat közérdekből kiszivárogtatók jogainak védelméről szóló törvénytervezetet, amelyet még a parlamentnek is meg kell szavaznia – jelentette a helyi sajtó.

Az irányelvek védettséget biztosítana alkalmazottaknak és a külsős munkatársaknak egyaránt, minden ágazatban, függetlenül attól, hogy az állami- vagy a magánszférában dolgoznak.

Drazen Bosnjakovic igazságügyi miniszter a kormányülésen elmondta: a kiszivárogtatóknak joguk lesz a tanúvédelemhez, személyazonosság-védelméhez és titoktartáshoz, a védelem pedig kiterjedne azokra az emberekre is, akikhez a szabálytalanságok kapcsolódnak – hangsúlyozta.

Hozzátette: az eljárás alatt a kiszivárogtató névtelen marad, nem folytatható ellene eljárást, nem mondhatnak fel a munkahelyén és nem helyezhetők át rosszabb munkakörbe.

Andrej Plenkovic kormányfő szerint a javasolt törvény általánosságban nézve segíteni fogja a korrupció elleni harcot.

Bár a kormány nem mondta ki, a horvát sajtó szerint nem lehet véletlen, hogy akkor fogadta el a törvénytervezetet, amikor a horvát közvéleményt újabb korrupciós botrányok rázták meg napok óta.

A horvát rendőrség három nappal ezelőtt letartóztatta Franjo Varga volt rendőrségi informatikust, akit azzal vádolnak, hogy hamis sms-üzenteket készített Zdravko Mamicnak, a Dinamo Zagreb labdarúgócsapat korábbi ügyvezető igazgatójának, aki arra használta fel azokat, hogy bebizonyítsa, a főügyész nyomást gyakorolt a bíróságra, hogy az elmarasztaló ítéletet hozzon az ügyében. Mamicot az eszéki bíróság hat és fél év börtönre ítélte adócsalásért, és a játékosok átigazolásából befolyó összegek lefölözésért. Mamic tárgyalása miatt került bajba a Real Madrid sztárja, Luka Modric is, akit hamis tanúzással vádolnak az ügyben tett vallomása miatt. A volt ügyvezető igazgató még az ítélet kihirdetése előtt Bosznia-Hercegovinába szökött. Mamic több szálon is kötődött a jobboldali kormányzó Horvát Demokratikus Közösséghez (HDZ), és pénzel is támogatta a párt választási kampányait.

Az informatikust letartoztatása előtt valaki figyelmeztette. Azt üzente neki, hogy semmisítsen meg minden bizonyítékot a számítógépén. Két nappal később a rendőrség letartóztatatta Blaz Curicot, a mezőgazdasági minisztérium sofőrjét, azzal a váddal, hogy ő küldött figyelmeztetést a programozónak. A sajtó nagyon gyorsan összefüggésbe hozta a sofőrt Milijan Brkiccsel, a horvát parlament és a HDZ alelnökével. Brkic korábban a horvát rendőrség különleges egységének volt a parancsnoka. A politikus újságíróknak úgy nyilatkozott: a sajtóból értesült a letartóztatásról, Curic “harcostársa és esküvői komája”, akivel jó viszonyt ápol.

A Jutarnji List című horvát napilap csütörtökön arról írt, hogy “háború” folyik a HDZ-ben. Brkic a pártban a konzervatív, klerikális vonalat képviseli, amelynek nem tetszenek a brüsszeli, liberálisabb politikát folytató kormányfő törekvései. Sajtóhírek szerint Brkic már eddig is sok borsot tört a miniszterelnök orra alá, aki ezért most le akar számolni vele.

A lap úgy véli: ehhez a kormányfő rendelkezésére állnak a bűnmegelőzési szervek és a titkosszolgálat, ami pedig Brkic politikai karrierjének végét is jelentheti.

Bencherki Otsmane

Dans le but d’optimaliser le travail et donner un nouveau dynamisme aux différents services opérant au niveau du siège de la direction de la Cnas de Chlef, des mesures d’affectation ou de réaffectation du personnel ont été entreprises récemment, a-t-on appris de M. Ahmed Boudjenah, directeur de la dite caisse.

Selon ce dernier, « ces nouvelles mesures permettront d’accueillir dans de bonnes conditions les quelque 800 assurés qui se rendent quotidiennement au niveau du siège de notre agence ». Pour cela, dira-t-il, « nous avons renforcé le personnel chargé d’étudier les dossiers des assurés, tout en installant un distributeur de tickets de file d’attente pour gérer l’un des plus gros problèmes que rencontrent nos agents, à savoir la chaîne ». Concernant le contrôle médical, notre interlocuteur a indiqué que « 14 médecins travaillent au niveau de nos caisses dont 4 au niveau de la direction ». M. Boudjenah reconnaît que l’effectif des médecins est en deçà des besoins exprimés par les assurés et souhaite un renforcement en personnel.

Toutefois, pour palier le manque de médecins au niveau de certaines caisses implantées dans les daïras (il en existe 13 dans la wilaya de Chlef), un système de traitement de dossiers par intranet fonctionne à la grande satisfaction des assurés, notamment pour les personnes âgées et malades, nécessitant l’avis du médecin de la caisse et qui ne peuvent pas faire de longs déplacements.

The post Chlef: Des mesures pour moins de pression à la Cnas appeared first on .

Belkecir Mohamed

  En coordination avec la direction de l’Education, les services de la sûreté de wilaya mènent actuellement une campagne de sensibilisation dans les trois cycles, animant des leçons théoriques au profit des élèves avec pour thèmes la sécurité routière et la protection de l’environnement.

Des officiers relevant des services de la sécurité publique sont chargés, à travers cette action, de dispenser des leçons sur la prévention des accidents de la circulation, comportant des conseils et orientations sur la façon de circuler entre l’école et la maison avec en plus le respect des panneaux de signalisation routière, tout en évitant de jouer et de marcher en plein milieu de la route.

D’autres cours ont été prodigués sur la protection de l’environnement afin d’inculquer cette culture chez les élèves pour participer à la préservation de la propreté de l’environnement en mettant les déchets ménagers aux endroits qui leur sont réservés et aux horaires définis.

De même, la participation aux campagnes de reboisement, d’entretien des arbres et des espaces verts a été soulignée. Cette campagne de sensibilisation se poursuivra jusqu’à fin septembre pour toucher le plus grand nombre d’établissements scolaires des trois paliers.

The post Mascara: Sécurité routière et environnement au menu des écoliers appeared first on .

M. Charef *

La lecture de l’arti- cle intitulé : Maghnia, la nouvelle zone industrielle, « une menace pour le barrage » paru dans votre quotidien du 26 septembre, appelle quelques observations et mises au point techniques et réglementaires.

Il y a lieu de signaler que la localisation d’une zone industrielle en amont d’un barrage n’est nullement une menace pour les spécialistes avertis puisque les solutions techniques existent.

Depuis des décennies les sources de la pollution de l’oued Mouillah sont connues, reconnues et soulevées sans pour autant que des solutions soient mises à exécution ; elles ont été identifiées depuis les années 1970, et que nous avons constatées visuellement sur les lieux (lors d’un passage au Maroc) quand la frontière était ouverte. Mais depuis le temps…

Dans la logique, les études d’impact et de danger, qui ont dû être faites pour valider le choix de la localisation du site de la nouvelle zone industrielle, préconisaient le respect des prescriptions prévues par la réglementation dans le domaine de la protection de l’environnement et du développement durable, la clarté de ces textes réglementaires et législatifs sur le sujet n’appelle aucune réserve quant aux préalables à cerner avant de proposer une localisation d’une zone industrielle.

Dans l’article paru, il est mentionné que le wali de Tlemcen a ouvertement critiqué devant les élus de l’APW, le mauvais choix de terrain de cette zone, située à Ouled Bendamou (Maghnia), alors que la logique voudrait une exploitation du dossier (étude d’impact) ayant permis le choix de cet emplacement et les justifications avancées avant toute tentative de sa délocalisation.

Les 48 lotissements totalisant 103 hectares devant attirer des investisseurs qui normalement devraient respecter la réglementation particulière (cas par cas) portée dans l’étude d’impact sur l’environnement. Et ainsi le problème de pollution du barrage de Hammam Boughrara serait résolu et ne constituerait plus la justification avancée de délocaliser cette zone d’une part. D’autre part, il est également possible de sélectionner les demandes des investisseurs et ne retenir que les projets non polluants tels que : les projets agroalimentaires, de conditionnements, montage mécanique… etc.

L’action prioritaire devant être engagée par les défenseurs du barrage de Hammam Boughrara devrait porter sur les effluents en provenance de la région d’Oujda pour leur trouver une solution. La deuxième action serait d’obliger les industries rejetant leurs effluents vers l’oued d’installer des stations de traitement calibrées techniquement et physiquement selon les sources de pollution. La menace qualifiée de sérieuse par l’auteur de l’article semble exagérée car les dangers réels sources de risques et de menaces sur le barrage sont les sources actuelles de pollution. Dans ce volet, il y a lieu de noter que la procédure de choix de terrain pour une zone industrielle est strictement réglementée et que les recours sont permis. Si les industries prévues dans cette zone respectent les recommandations des études d’impact et de danger, la menace sur le barrage de Hammam Boughrara sera totalement écartée.

La réticence des opérateurs économiques ne semble pas être la localisation de la zone, autrement comment expliquer les nombreuses zones industrielles localisées en amont de barrages et de rivières. Il semble que d’autres contraintes non identifiées par l’auteur et c’est dommage pour un investigateur, car un investisseur une fois qu’il respecte la réglementation, crée des richesses et de l’emploi.

Il semble plutôt que la future zone industrielle de Maghnia dérange des lobbies dans la région qui craignent que cette région frontalière vienne concurrencer d’autres projets vu le potentiel d’investisseurs dans la ville de Maghnia. (Particulièrement agricole).

L’inquiétude du wali (selon l’auteur de l’article) ne semble pas être l’impact de la zone sur le barrage mais plutôt le coût de l’infrastructure de base permettant aux industriels de s’installer.

Pour une fois que Maghnia bénéficie d’une zone industrielle pouvant permettre aux investisseurs locaux de développer des industries dont la région a besoin. Il semble qu’on invite la société civile à remettre en cause ce projet.

Il faut signaler que cette zone est localisée en dehors des espaces urbanisés, hors de terrains agricoles et sur des terrains accidentés.

Le danger sur le barrage soutenant la thèse des adeptes de sa délocalisation est douteux car il suffit d’obliger les investisseurs (suivant un cahier des charges bien élaboré) à doter leurs unités de micro-station de recyclage ou d’épuration des eaux pour la protection du barrage. Il suffit d’installer une station de traitement calibrée en amont du barrage sur le fond de l’environnement et le problème des sources ayant un impact sur les eaux du barrage sera définitivement résolu. Ainsi la zone industrielle sera occupée, elle créera des richesses et donnera de l’emploi à la population de Maghnia qui en a grandement besoin.

*Expert judiciaire spécialiste en sécurité industrielle et protection de l’environnement – Sidi Bel Abbès.

The post La nouvelle zone industrielle de Maghnia sous les projecteurs… appeared first on .

By WAM
DUBAI, Sep 30 2018 (WAM)

The Ministry of Climate Change and Environment (MOCCAE) has conducted an overall assessment of climate adaptation in the health context in the UAE. Through surveys and a stakeholders’ workshop, MOCCAE outlined the direct and indirect climate-related health risks and the existing and possible actionable solutions for public health adaptation.

Officials from the Ministry of Health and Prevention (MOHAP), Department of Health – Abu Dhabi, Dubai Health Authority, as well as representatives from the private sector and academia attended the workshop and contributed their insights on the topic.

Fahed Al Hammadi, Acting Assistant Undersecretary of the Green Development and Climate Change Sector at MOCCAE, said, “We are already feeling the impacts of climate change in all aspects of our lives. Given the current projections, such impacts will continue to grow in intensity and frequency, and adaptation is the only viable response strategy.

“This assessment of climate-related health risks is the first brick in the wall to identify the current impacts of climate change on various sectors and come up with ways to adapt to these impacts. Such assessments will help us understand the bigger picture and act accordingly.”

For his part, Dr Hussein Abdul Rahman Al Rand, Assistant Undersecretary for Centers and Health Clinics, MOHAP, said, “We are pleased to join forces with the Ministry of Climate Change and Environment to confirm that the National Climate Adaptation Program is delivered as planned. It is crucial to take concrete action to mitigate and adapt to climate change impacts and build national capacities that can effectively tackle these impacts. In order to ensure a comprehensive overview, we need to capitalize on the research and experiments carried out by other nations as well as the data generated across the UAE.

“In this context, MOHAP has long worked on raising public awareness of the climate-related health risks and enhancing the health system across the country to ensure the UAE is well-poised to adapt to climate change. The recent assessment reveals the burden of climate-related diseases, which should be monitored and addressed. These include diseases associated with carbon pollution, such as cardiovascular and respiratory diseases, climate-related infectious diseases, malnutrition, and heat stress, which leads to reduced labor productivity and spiraling health costs.”

Health experts concluded that the direct and indirect impacts of climate change on human health in the UAE are primarily seen in the form of heat stress. This results in reduced labor productivity, particularly for outdoor laborers, and mortality or morbidity due to heat stroke.

They also noted that the multiple initiatives that have been carried out as part of environmental health and occupational safety policies are relevant – either directly or indirectly – to climate adaptation in the health sector. They highlighted the Ministerial Order No. 401 of 2015 that determines the afternoon working hours of laborers employed outdoors to reduce heat exhaustion and heat stress.

Another finding is that despite the existence of adaptation-related initiatives for climate risks, there is still a lot of room for more climate-focused adaptation policies and programs. Health experts proposed multiple actions to help address high and medium risks. Proposed actions include enhancing early warning systems and developing heat alert plans, especially for outdoor laborers during extreme heat events, and developing the capacity of clinics and health stations to recognize and respond to labor concerns on reduced productivity due to climate-related factors.

Furthermore, they recommended that more research needs to be undertaken on the effects of climate change on labor productivity, in addition to strengthening enforcement of existing initiatives such as the Safety in Heat and midday break programs. They also suggested enhancing monitoring and evaluation to objectively assess results, and mainstream climate change adaptation through reorienting existing programs on environmental health and occupational safety to better highlight their adaptation components.

To reduce climate change impacts and pave the way for green economic diversification, the UAE has adopted various policies at the federal and emirate levels to facilitate the transition from a hydrocarbon-dependent economy to a sustainable knowledge-based economy in line with the UAE Vision 2021.

The assessment findings correlate to those of the Leaders’ Roundtable: Climate Change and Public Health held on the sidelines of the 73rd Session of the United Nations General Assembly (UNGA 73). The roundtable touched on the non-communicable disease (NCD) dimension of the climate-health nexus, given that many greenhouse gas emission sources are key drivers of NCDs.

Dr. Thani bin Ahmed Al-Zeyoudi, Minister of Climate Change and Environment cohosted a roundtable, alongside Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Director General of the World Health Organization (WHO), Nikolai Astrup, Norwegian Minister of International Development, and Gina McCarthy, Professor of the Practice of Public Health in the Department of Environmental Health at Harvard T.H. Chan School of Public Health and the Director of the Center for Climate, Health, and the Global Environment (C-CHANGE).

At the roundtable discussions, Dr Al Zeyoudi said: “It’s evident that our health and the infrastructure underpinning the health industry will be at increasing risk as climate change intensifies. That is why, the health sector is one of the first sectors we are addressing under the National Climate Adaptation Program launched in September 2017, along with energy, infrastructure and environment sectors. We are systematically assessing risks and identifying mitigation options.”

 

WAM/Hatem Mohamed

The post Ministry of Climate Change and Environment assesses adaptation to climate change in UAE appeared first on Inter Press Service.

En 2016, des fidèles de la mosquée An'Nur à Winterthour ont été frappés par un groupe d'hommes. Ces derniers comparaissent devant le Tribunal de district de la ville.

Romandie News - Le président de la fondation de l'ancien chef de l'Etat angolais José Eduardo dos Santos a été arrêté dans une affaire de...

Seit 38 Jahren war ein WM-Rennen nie mehr so hart. In Innsbruck gehts über 4670 Höhenmeter. Kilian Frankiny (24) ist bereit, heute zu leiden.

Sie ist zwar nur gerade 3,2 Kilo­meter lang – und doch so brutal, dass es einem das Blut in den Adern gefrieren lässt. Die Steigung zur Höttinger Höll bei der WM in Innsbruck mach ihrem Namen alle Ehre. Sie ist – zumindest an ihrem steilsten Abschnitt – die Hölle.

Unglaubliche 28 Prozent Steilheit werden gemessen. Zum Vergleich: Die legendäre Alpe d’Huez in Frankreich übersteigt nie mehr als 14,8 Prozent. In der Schweiz dagegen gilt der Balmberg-Pass in Solothurn als steilster Anstieg überhaupt (25 Prozent) – er war schon siebenmal Etappenankunft der Tour de Suisse.

Und nun also diese «Wand» unmittelbar vor Innsbruck. Kilian Frankiny (24) hat keine Angst. «Ich freue mich auf die Höll – oder eben auf die Hölle», sagt er schmunzelnd, «da wird eine gigantische Stimmung herrschen.» Das Schweizer Team-Küken aus Naters VS ist ein Berg­fahrer, wie er im Buche steht. Zwar nicht klein (1,88 m), dafür federleicht (68 Kilo) und mit einem riesigen «Motor» ausgestattet. Genau das, was es auf dem WM-Kurs in Innsbruck (Ö) braucht.

Auf den 258,5 Kilometern müssen Frankiny und seine fünf Schweizer Teamkollegen (Frank, Morabito, Reichenbach, Schär und Schelling) total 4670 Höhenmeter bewältigen. Diese verteilen sich auf neun kurze, harte Anstiege. In sieben Runden gehts während 7,9 Kilometer hinauf nach Igls. Und in der letzten Schleife folgt dann die Höttinger Höll.

Zu diesem Zeitpunkt haben die Fahrer 250 Kilometer in den Beinen. Wer den Mini-Pass solo erreicht, hat gute Chancen auf das Regenbogentrikot. Ein Sprinter wird es nicht sein. Es wird die härteste WM seit 1980 in Sallanches (Fr) – damals wurde Bernard Hinault Weltmeister.

Obwohl Bergfahrer, zählt Frankiny nicht zu den Medaillenanwärtern. Noch fehlt ihm die «Rennhärte», welche die Favoriten auszeichnet. Und auch deren Selbstvertrauen und Frechheit. Frankiny ist sympathisch, bescheiden, zurückhaltend. Schöne Attribute. Aber um sich im Profi-Feld durchzusetzen, braucht es eben auch eine Portion Aggressivität.

«Ich will selbstbewusster werden», gibt Frankiny zu. Ob er selbst in Aktion tritt? Frankiny hofft es. Einen klaren Leader im Schweizer Team gibt es nicht. «Wir müssen etwas riskieren», sagt er, «sonst haben wir keine Chance.»
Im kommenden Jahr wechselt Frankiny vom Team BMC zu Groupama-FDJ. Gemeinsam mit Stefan Küng (24), der aufgrund des harten Parcours auf die Strassen-WM verzichtet. Dort treffen sie auf Morabito (35) und Reichenbach. Macht vier Schweizer in einer Equipe. Frankiny: «Diese Vertrautheit ist mir wichtig. Ich freue mich auf so viele Eidgenossen in einem Team.»

Vorher steht aber die WM an. Und mit ihr die Höll(e). Schmerzen sind garantiert. Peter Sagan (Slk) wurde zuletzt dreimal Weltmeister. Nun dürfte er abgelöst werden. Es winkt ein Platz im siebten WM-Himmel.

With European elections coming up in May 2019, you probably want to know how the European Union impacts your daily life, before you think about voting. In the latest in a series of posts on what Europe does for you, your family, your business and your wellbeing, we look at what Europe does for cross-border marriages.

Twitter Hashtag #EUandME

Falling in love is never predictable, and when a couple decides to marry, nationality is usually the last thing on their minds. A growing proportion of EU marriages are between persons of different nationalities, however cross-border marriages do come with additional formalities and legal complexities.

Laws on marriage are decided by individual EU countries. EU powers are limited to facilitating free movement of persons and developing judicial cooperation on cross-border issues.

If you are planning to marry a citizen of another EU country, you will be happy to learn that administrative formalities will soon be easier. Until recently, EU administrations demanded translation and legalisation of foreign documents, but this procedure was simplified in 2016 with an EU law. As of 16 February 2019, couples won’t need to pay for legalisation of their translated documents, and a multilingual standard form will be introduced for documents like birth or marriage certificates.

© glogoski / Fotolia

International EU couples may discover, however, that choosing a matrimonial property regime is subject to complicated rules. Recognising the problem, 18 EU countries cooperated to adopt a law in 2016 that sets out the rules applicable to matrimonial property regimes in cross-border situations.

Finally, EU rules come to the help of married couples when they move in together. Freedom of movement is one of the EU’s basic foundations. All EU citizens can move to another EU country to live, work and study. A spouse who wants to join their partner, but does not plan to work or study is entitled to residence as a dependant.

Further information

• European Commission website on marriage, https://europa.eu/youreurope/citizens/family/couple/marriage/index_en.htm
• European Commission website ‘Your EU spouse and children’, https://europa.eu/youreurope/citizens/residence/family-residence-rights/eu-wife-husband-children/index_en.htm
• Regulation (EU) 2016/1191 on promoting the free movement of citizens by simplifying the requirements for presenting certain public documents in the EU, https://eur-lex.europa.eu/legal-content/EN/TXT/?uri=LEGISSUM%3A230101_2

Voting has begun in Macedonia’s high-stakes referendum – where voters must decide whether or not to support an historic agreement that could unblock the country’s stalled path towards EU and NATO membership.

Slovénie : ce village qui se mobilise pour défendre sa forêt
Slovénie : « l'insurrection citoyenne » emporte la mairie de Maribor
Église et spéculation en Slovénie : les mauvais comptes de l'archevêché de Maribor

/ Culture et éducation, Courrier des Balkans, Slovénie, Relations internationales

Référendum sur le nom de la Macédoine : les Albanais iront-ils voter ?
Macédoine : le VMRO-DPMNE reconnaîtra les résultats du référendum
Référendum en Macédoine : la mauvaise stratégie de Zoran Zaev
Macédoine : le référendum sur l'accord avec la Grèce divise la diaspora

/ Nom de la Macédoine, Courrier des Balkans, Macédoine, Relations régionales, Politique intérieure

Référendum sur le nom de la Macédoine : les Albanais iront-ils voter ?
Macédoine : le VMRO-DPMNE reconnaîtra les résultats du référendum
Référendum en Macédoine : la mauvaise stratégie de Zoran Zaev
Macédoine : le référendum sur l'accord avec la Grèce divise la diaspora

/ Nom de la Macédoine, Courrier des Balkans, Macédoine, Relations régionales, Politique intérieure

Référendum sur le nom de la Macédoine : les Albanais iront-ils voter ?
Macédoine : le VMRO-DPMNE reconnaîtra les résultats du référendum
Référendum en Macédoine : la mauvaise stratégie de Zoran Zaev
Macédoine : le référendum sur l'accord avec la Grèce divise la diaspora

/ Nom de la Macédoine, Courrier des Balkans, Macédoine, Relations régionales, Politique intérieure

Deutsche Welle - Abidjan, la capitale économique Ivoirienne a abrité du 19 au 20 septembre dernier, un panel sur les migrations. Les participants...

Babos Ádám korláton, az Európa-bajnoki bronzérmes Vecsernyés Dávid nyújtón, Fehér Nóra pedig talajon jutott döntőbe a tornászok Párizsban zajló challenge világkupa-versenyén.