Les résultats de la première session à la Faculté de droit et de sciences politiques de l'université de Parakou, suscitent beaucoup de commentaires et des inquiétudes. Sur un total de 2482 étudiants inscrits en première année, seuls 6 ont pu valider toutes les unités d'enseignement (UE), et passent en année supérieure.
Des résultats catastrophiques en première année à la Faculté de droit et de sciences politiques de l'université de Parakou. Pour la première session de juin 2025, seuls 6 étudiants passent en deuxième année sur un effectif total de 2482. Les 2476 restants doivent revenir composer pour la seconde session.
La faculté selon le doyen, Moctar Adamou, est habituée à ce genre de résultats.
Dans une interview à La Nation, il explique que le système LMD adopté depuis 2012 serait la cause. « Ce n'est plus le système traditionnel qui voulait qu'avec 10 de moyenne, vous passiez. Avec le LMD, ce n'est pas le cas. Ici, il s'agit d'unités d'enseignement avec de grands regroupements effectués par matières », a-t-il expliqué. A l'en croire, en première année, par exemple, il y a environ 13 regroupements ; et pour valider la première session, il faut avoir eu la moyenne dans chacune des 13 unités.
Il a par ailleurs précisé qu'avec le système LMD, les textes appliqués au Bénin exigeaient que l'on laisse l'étudiant qui arrive à éliminer 85 % des unités, aller en année supérieure. Mais, la première expérience en 2019 a montré que ceux qui avaient été déclarés admissibles à la première session avec des reprises dans quelques matières, ne sont plus venus composer à la seconde session. Selon les explications du doyen, ces étudiants déclarés admissibles, pensent disposer de tout leur temps et lorsqu'ils le voudront, ils viendront composer dans les matières qu'ils doivent reprendre. Pour cette raison, sa faculté a fait le choix, depuis 2020, de considérer qu'un étudiant a validé la première session s'il a validé toutes les unités. D'après lui, c'est mieux d'obliger les étudiants n'ayant pas validé les 100 % des unités à venir en éliminer le maximum, au cours de la seconde session ou à défaut, leur accorder « un taux honorable » qui dépasse les 85 %, pour leur permettre d'être rachetés.
Selon les nouvelles règles, il n'est pas possible pour un étudiant de quitter la deuxième année pour la troisième année, alors qu'il lui reste encore des matières à reprendre en première année. D'où la nécessité de l'obliger à faire des efforts pour éliminer le maximum d'unités en première année.
F. A. A.
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A partir de ce mercredi 25 juin 2025, les préparatifs entrant dans le cadre du 65e anniversaire de l'indépendance du Bénin démarrent sur l'esplanade de l'Amazone. Ces préparatifs selon la Société de la logistique des évènements entraineront une perturbation de la circulation sur le boulevard de la Marina à hauteur de cette esplanade.
En vue de faciliter la circulation aux usagers de la route lors des préparatifs de la fête de l'indépendance sur le boulevard de la Marina, un nouveau plan de circulation est établi. Il s'agit selon la Société de la logistique des évènements, de la mise en place d'un décalage de la circulation sur la chaussée gauche pour les usagers venant du port autonome de Cotonou et sur la chaussée droite pour ceux venant de Novotel. Cette portion selon le communiqué en date du 18 juin, servira de voie à double sens pendant les travaux.
Il est recommandé aux usagers de se conformer à cette modification de la circulation. « Les gros-porteurs ne sont pas autorisés à emprunter cette déviation. Ces derniers sont priés de passer par d'autres voies », précise le communiqué signé de Roukiyath Mamah-Djiman.
La Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a condamné mardi 24 juin la Hongrie, qui malgré des décisions de justice préalables, continue de mettre en œuvre des procédures d’expulsions collectives de migrants.
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La commission des Affaires juridiques (JURI) du Parlement européen a voté en faveur d’une action en justice devant la Cour de justice de l’UE concernant l’élaboration du mécanisme de prêts de 150 milliards d’euros pour la défense, SAFE.
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L'espace aérien bloqué et des actifs de la Banque centrale saisis. Voilà ce que risque aujourd'hui la Bosnie-Herzégovine à cause d'une dette que l'entité serbe refuse de payer depuis de longues années à la société slovène Viaduct. En juin, le délai de remboursement a expiré, sans solution.Explications.
- Le fil de l'Info / Bosnie-Herzégovine, RS sécession, Courrier des Balkans, Politique, EconomieL'espace aérien bloqué et des actifs de la Banque centrale saisis. Voilà ce que risque aujourd'hui la Bosnie-Herzégovine à cause d'une dette que l'entité serbe refuse de payer depuis de longues années à la société slovène Viaduct. En juin, le délai de remboursement a expiré, sans solution.Explications.
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- Le fil de l'Info / Bosnie-Herzégovine, RS sécession, Courrier des Balkans, Politique, EconomieAFG Assurances Bénin a dévoilé, jeudi 19 juin 2025, une version enrichie de sa plateforme digitale OREMI avec de nouvelles offres digitales. La cérémonie tenue à Epitech Bénin, a été aussi l'occasion de récompenser les lauréats du Hackathon « Level Up L'Assurance Digitale ».
Directeur Général de AFG Assurances Bénin, Mme Florence AYIVI-ELÉGBÉDÉL'assurance change de visage au Bénin grâce à la plateforme digitale ‘OREMI de AFG Assurances Bénin. Lancée en 2021, OREMI s'améliore afin d'être plus accessible. Avec son nouveau bouquet de services, elle incarne plus que jamais la vision de AFG Assurances Bénin ; celle d'une compagnie orientée satisfaction client.
« OREMI, c'est votre ami. Elle permet à tout assuré de pouvoir faire le parcours digital de bout en bout et de se faire délivrer les attestations d'assurance automobile, moto, voyage, et bien entendu la multirisque habitation », a affirmé Aziz Soumaila, Directeur commercial de AFG Assurances Bénin. À compter de ce jour, poursuit-il, l'application digitale OREMI intègre trois nouvelles solutions digitales. Il y a AFG Assist Auto, eConstat Amiable et AFG Répar Express.
AFG Assist est un service d'assistance automobile pour venir en aide aux assurés en cas de panne ou d'accident, avec un dispositif de dépannage rapide activable via l'application. Avec AFG eConstat Amiable, il est désormais possible à deux assurés AFG impliqués dans un accident (sans dommages corporels), de faire leur constat eux-mêmes sans intervention policière. Quant à AFG Répar Expess, il permet de faire réparer son véhicule entre 2 à 7 jours, grâce à un réseau de garages partenaires agréés. Selon le Directeur Général de AFG Assurances Bénin, Mme Florence AYIVI-ELÉGBÉDÉ, ces services sont « des solutions digitales, gratuites, faciles d'accès et efficaces, qui réduisent les pertes de temps, allègent les démarches, et accompagnent l'assuré quand ça compte vraiment ». « Grâce à cette approche, AFG s'impose aujourd'hui comme la première compagnie d'assurance digitale du Bénin, avec une ambition tenue : faire du règlement des sinistres un véritable facteur de différenciation, et désormais, un levier de transformation digitale dans le secteur », a-t-elle déclaré.
Trois équipes de jeunes étudiants primées
En prélude au lancement de ses nouvelles offres, AFG Assurances Bénin a organisé en partenariat avec Future Studio le hackathon « Level Up l'Assurance Digitale ». Pendant trois jours, 28 étudiants de différentes écoles répartis en équipe de quatre, ont réfléchi sur des solutions concrètes pour améliorer l'application digitale OREMI. Les trois premières équipes Kola, Zénith et Essor ont été primées pour la qualité de leurs idées. « C'est une très belle expérience et j'ai beaucoup aimé. On avait des mentors et on a eu l'envie d'amener OREMI plus loin », a confié Haidarath Seidou, designer de l'équipe Kola et étudiante à Epitech Bénin.
Représentants des trois équipes priméesÀ travers OREMI, AFG Assurances réaffirme son ambition de réinventer la relation entre l'assureur et l'assuré, en plaçant l'écoute et l'innovation au cœur de son action. « J'invite toute la population béninoise à nous faire confiance, à rejoindre la famille AFG pour bénéficier de plus d'innovation à travers notre application », a ajouté le directeur commercial de AFG Assurances Bénin, Aziz Soumaila.
L'application Oremi by AFG (https://oremi.afgassurances.bj/) est disponible sur android (https://play.google.com/store/apps/details?id=com.devs41.oremi) ; iPhone (App Store : https://apps.apple.com/bj/app/oremi-by-afg/id1608579815?l=fr-FR).
Written by Sebastian Clapp.
The cooperation between the EU and the North Atlantic Treaty Organization (NATO) has deepened significantly in response to Russia’s full-scale invasion of Ukraine, which has reshaped Europe’s security environment and highlighted the complementary roles of both organisations. NATO remains the cornerstone of collective defence, backed by United States (US) capabilities, while the EU has emerged as a key actor in financial aid, military assistance and sanctions. Both institutions have formalised their partnership through joint declarations and strategic documents, including NATO’s Strategic Concept, the EU’s Strategic Compass and White Paper for European Defence – Readiness 2030.
Practical cooperation now spans a wide range of areas including cyber defence, countering hybrid threats, military mobility, critical infrastructure protection, and joint crisis preparedness. Regular staff-level coordination, shared exercises, and technical arrangements – such as the NATO–EU task force on critical infrastructure – have improved resilience and interoperability. The EU has also significantly ramped up its defence role. It has delivered €50.8 billion in military aid to Ukraine (EU plus Member State contributions). It has introduced industrial policies such as EDIRPA, ASAP, and the ReArm Europe/Readiness 2030 plan to reinforce the European defence industrial base. Despite progress, persistent challenges remain. Political tensions – in particular between Cyprus and Türkiye – continue to block intelligence sharing and formal joint planning. The EU still relies heavily on NATO, particularly US assets, for operational capabilities. Growing uncertainty over US commitments under the second Trump Presidency has reinforced the EU’s drive to strengthen strategic autonomy and ensure greater burden-sharing within NATO.
The European Parliament supports stronger, complementary EU–NATO ties focused on interoperability, resilience and avoiding duplication, while stressing the need for Europe to take greater responsibility for its own security. At the NATO summit on 24-25 June in The Hague (the Netherlands), key challenges include agreeing on higher defence spending targets, maintaining alliance unity, managing the Russia threat, and rapidly scaling up Europe’s defence capabilities.
Read the complete briefing on ‘EU–NATO cooperation‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
Aujourd’hui dans Les Capitales : Trump et Gates demandent à l’UE de mettre la main au portefeuille, l’UE divisée sur les suites à donner à la révision de l’accord d’association avec Israël, la Slovaquie prête à soutenir les sanctions contre Moscou, et les socialistes allemands veulent interdire l’AfD.
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Un policier pour abus de fonction risque deux ans de prison ferme et plusieurs millions FCFA d'amende. Trois autres personnes, dont un Zémidjan qui sont de simples civils, sont également poursuivis dans le cadre de saisie irrégulière de colis de faux médicaments.
Accusés d'avoir mené une opération irrégulière de saisie de faux médicaments dans le département du Zou, un policier et trois civils jugés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Ils sont en détention provisoire depuis le 14 février 2025. L'homme en uniforme est poursuivi pour abus de fonction. À ses côtés, deux prévenus sont poursuivis pour complicité d'abus de fonction et un conducteur de taxi-moto pour complicité d'exercice illégal en pharmacie.
Selon les faits présentés par le ministère public, il est reproché au policier et ses deux présumés complices d'avoir arrêté le conducteur de taxi-moto qui a transporté trois sacs contenant de faux médicaments depuis la localité de Kpédékpo. La marchandise de faux médicaments devrait être livrée à sa propriétaire au quartier Sodohomè à Bohicon. Le parquet spécial indique que sur informations de ses deux complices, le policier aurait irrégulièrement arrêté la moto ainsi que les faux médicaments pour demander au conducteur de payer. Le Zémidjan n'a pu rien payer et l'information a été portée à la hiérarchie.
Selon le ministère public, la perquisition menée par la police républicaine au domicile du policier a été infructueuse. Mais, le troisième substitut du procureur spécial près la CRIET affirme que les deux présumés complices ont confirmé les faits. Le parquet spécial apprend que le policier, principal prévenu, a mené cette opération de saisie de faux médicaments en violations des règles.
Peine de prison ferme requise
Le ministère public a requis que le policier soit retenu dans les liens de prévention des faits d'abus de fonction. Il a sollicité sa condamnation à deux ans de prison ferme et à cinq millions FCFA d'amende.
Pour ses deux présumés complices, le ministère public a demandé de les retenir dans les liens de complicité d'abus de fonction. Il a requis contre eux un an de prison ferme et un million FCFA d'amende chacun. Quant au conducteur de taxi-moto, le ministère public a demandé à la Cour de le retenir dans les liens de complicité d'exercice illégal de pharmacie. Il a requis six mois de prison ferme à son encontre.
Dans une dernière prise de parole après les réquisitions du parquet spécial, le policier mis en cause a contesté les faits tels que présentés par le ministère public. Il a souligné qu'il ne connait même pas les présumés complices du dossier et que pour les mêmes faits ont lui attribuent trois différentes heures.
Le verdict du procès est attendu pour le lundi 21 juillet 2025, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Bonn, 24. Juni 2025. Europa verliert durch die offensichtliche Doppelmoral im Umgang mit den Konflikten im Nahen Osten an Glaubwürdigkeit. Das zeigt sich besonders in der Reaktion auf Israels jüngste Militäraktionen. Sollte Deutschland außenpolitisch weiterhin im Widerspruch zu den eigenen propagierten Werten handeln, riskiert es, den letzten Rest seiner Legitimität als vertrauenswürdiger Partner in der Region zu verspielen.
Am 13. Juni 2025 startete Israel einen großangelegten Luft- und Raketenangriff auf den Iran, der sich gegen Nuklearanlagen und Wohngebiete richtete. Dabei wurden Hunderte Iraner*innen getötet, darunter Zivilist*innen, hochrangige Militärs und mindestens zwölf führende Atomexpert*innen. Völkerrechtlich stellt dies einen schweren Verstoß dar. Nach Artikel 2 Nummer 4 der UN-Charta ist Gewalt gegen die territoriale Unversehrtheit oder politische Unabhängigkeit eines anderen souveränen Staates strikt untersagt - außer auf Grundlage eines Sicherheitsratsbeschlusses oder im Fall legitimer Selbstverteidigung nach einem bewaffneten Angriff. Israels einseitiger Angriff – ohne UN-Mandat, ohne Resolution, ohne internationale Koalition und ohne unmittelbare Provokation – überschreitet eindeutig die Grenzen der Legalität.
Zwar hat der Iran seine Verpflichtungen aus dem Vertrag über die Nichtverbreitung von Kernwaffen (NVV) nicht vollständig erfüllt. Solche Verstöße sind jedoch von der Internationalen Atomenergie-Organisation (IAEO) und dem UN-Sicherheitsrat zu ahnden - eigens für die Regelung solch komplexer Fragen geschaffen. Israel ist keine Vertragspartei des NVV und verfolgt seit Langem eine undurchsichtige Atomwaffenpolitik in Bezug auf sein eigenes Atomwaffenarsenal. Anders als Indien und Pakistan, die den NVV ebenfalls nicht unterzeichnet haben, hat Israel den Besitz von Atomwaffen nie offiziell anerkannt. Dies wirft eine grundsätzliche Frage auf: Welche Autorität verleiht Israel das Recht, als Hüter eines Vertrags aufzutreten, dem es selbst nicht unterliegt?
Wenn Israel den Angriff mit einer angeblichen existenziellen Bedrohung rechtfertigt, wirft das die Frage auf, warum es legitim sein soll, wenn sich Israel auf diese Angst beruft, während die gleichen Sorgen seiner Nachbarn ignoriert werden? Viele arabische Staaten sehen in Israels uneingestandenem Atomwaffenarsenal eine direkte Bedrohung für die regionale Stabilität. Nach derselben Logik - wären sie dann nicht ebenso berechtigt, Israels Nuklearanlagen und Wissenschaftler*innen im Alleingang militärisch anzugreifen?
Ebenso beunruhigend ist die Reaktion eines Teils des demokratischen Westens. Während westliche Politiker im Umgang mit Konflikten im Globalen Süden häufig Rechtsstaatlichkeit und demokratische Werte betonen, stehen ihre Äußerungen zu Israels Vorgehen im krassen Gegensatz dazu. Anstatt den Angriff zu verurteilen, bekräftigten Staats- und Regierungschef*innen aus Deutschland, Frankreich und Großbritannien sowie die Präsidentin der Europäischen Kommission, Ursula von der Leyen, erneut, dass Israel ein „Recht auf Selbstverteidigung“ habe. Eine vergleichbar klare Einordnung, wie sie im Fall von Russlands Invasion der Ukraine zu Recht erfolgt, lässt sich im Umgang mit Israels Vorgehen nicht finden. Beide Angriffe sind Akte der Aggression. Beide zu verurteilen ist entscheidend, um Gerechtigkeit und die Ablehnung doppelter Moral aufrechtzuerhalten.
Die Berufung auf das Recht auf Selbstverteidigung ist in diesem Zusammenhang problematisch. In den vergangenen zwei Jahren hat Israel in der gesamten Region umfangreiche Militäroperationen durchgeführt – von der Zerstörung des Gazastreifens bis hin zu Luftangriffen im Libanon, in Syrien und im Jemen – und dies häufig mit fadenscheinigen oder nicht belegten Begründungen. Diese Einsätze hatten gravierende humanitäre Folgen. Allein im Gazastreifen wurden nach Schätzungen von UNICEF seit Oktober 2023 über 50.000 Kinder getötet. Laut dem Sonderausschuss zur Untersuchung israelischer Praktiken und Amnesty International stellt Israels Vorgehen ein Verbrechen gegen die Menschlichkeit und Völkermord dar.
Das Ausmaß der Zerstörung ist erschütternd. Bis April 2024 hat Israel über 70.000 Tonnen Bomben auf den Gazastreifen abgeworfen – mehr als das kombinierte Bombardement der Alliierten auf Dresden, Hamburg und London während des Zweiten Weltkriegs. Laut Expert*innen entspricht die Umweltbelastung und das menschliche Leid infolge dieser Angriffe in etwa den CO₂-Emissionen von zwei nuklearen Detonationen. Unter diesen Umständen stellt sich die Frage: Wer hat hier tatsächlich Grund, sich bedroht zu fühlen? Nachbarländer wie Ägypten und Jordanien äußerten ernsthafte Bedenken, selbst Ziel weiterer Angriffe zu werden - insbesondere, da sie sich dem Druck der USA und Israels widersetzen, Palästinenser*innen dauerhaft aufzunehmen, was das Recht der Palästinenser*innen auf eine Zwei-Staaten-Lösung untergraben würde.
Diese Entwicklungen werfen entscheidende Fragen zur Rolle Deutschlands in der Region auf. An erster Stelle sollte Deutschland, anstatt völkerrechtswidrige Handlungen stillschweigend zu billigen, die Waffenverkäufe beenden, die laufende Kriege befeuern. Gleichzeitig sollte es seine diplomatischen Bemühungen intensivieren – nicht nur, um Engagement zu zeigen, sondern mit dem klaren Ziel, eine politische Lösung und dauerhaften Frieden zu erreichen. Nur so kann es die Voraussetzungen schaffen, um seine ehrgeizigen Ziele der nachhaltigen Entwicklungszusammenarbeit im Nahen Osten voranzubringen.