AFG Assurances Bénin a dévoilé, jeudi 19 juin 2025, une version enrichie de sa plateforme digitale OREMI avec de nouvelles offres digitales. La cérémonie tenue à Epitech Bénin, a été aussi l'occasion de récompenser les lauréats du Hackathon « Level Up L'Assurance Digitale ».
Directeur Général de AFG Assurances Bénin, Mme Florence AYIVI-ELÉGBÉDÉL'assurance change de visage au Bénin grâce à la plateforme digitale ‘OREMI de AFG Assurances Bénin. Lancée en 2021, OREMI s'améliore afin d'être plus accessible. Avec son nouveau bouquet de services, elle incarne plus que jamais la vision de AFG Assurances Bénin ; celle d'une compagnie orientée satisfaction client.
« OREMI, c'est votre ami. Elle permet à tout assuré de pouvoir faire le parcours digital de bout en bout et de se faire délivrer les attestations d'assurance automobile, moto, voyage, et bien entendu la multirisque habitation », a affirmé Aziz Soumaila, Directeur commercial de AFG Assurances Bénin. À compter de ce jour, poursuit-il, l'application digitale OREMI intègre trois nouvelles solutions digitales. Il y a AFG Assist Auto, eConstat Amiable et AFG Répar Express.
AFG Assist est un service d'assistance automobile pour venir en aide aux assurés en cas de panne ou d'accident, avec un dispositif de dépannage rapide activable via l'application. Avec AFG eConstat Amiable, il est désormais possible à deux assurés AFG impliqués dans un accident (sans dommages corporels), de faire leur constat eux-mêmes sans intervention policière. Quant à AFG Répar Expess, il permet de faire réparer son véhicule entre 2 à 7 jours, grâce à un réseau de garages partenaires agréés. Selon le Directeur Général de AFG Assurances Bénin, Mme Florence AYIVI-ELÉGBÉDÉ, ces services sont « des solutions digitales, gratuites, faciles d'accès et efficaces, qui réduisent les pertes de temps, allègent les démarches, et accompagnent l'assuré quand ça compte vraiment ». « Grâce à cette approche, AFG s'impose aujourd'hui comme la première compagnie d'assurance digitale du Bénin, avec une ambition tenue : faire du règlement des sinistres un véritable facteur de différenciation, et désormais, un levier de transformation digitale dans le secteur », a-t-elle déclaré.
Trois équipes de jeunes étudiants primées
En prélude au lancement de ses nouvelles offres, AFG Assurances Bénin a organisé en partenariat avec Future Studio le hackathon « Level Up l'Assurance Digitale ». Pendant trois jours, 28 étudiants de différentes écoles répartis en équipe de quatre, ont réfléchi sur des solutions concrètes pour améliorer l'application digitale OREMI. Les trois premières équipes Kola, Zénith et Essor ont été primées pour la qualité de leurs idées. « C'est une très belle expérience et j'ai beaucoup aimé. On avait des mentors et on a eu l'envie d'amener OREMI plus loin », a confié Haidarath Seidou, designer de l'équipe Kola et étudiante à Epitech Bénin.
Représentants des trois équipes priméesÀ travers OREMI, AFG Assurances réaffirme son ambition de réinventer la relation entre l'assureur et l'assuré, en plaçant l'écoute et l'innovation au cœur de son action. « J'invite toute la population béninoise à nous faire confiance, à rejoindre la famille AFG pour bénéficier de plus d'innovation à travers notre application », a ajouté le directeur commercial de AFG Assurances Bénin, Aziz Soumaila.
L'application Oremi by AFG (https://oremi.afgassurances.bj/) est disponible sur android (https://play.google.com/store/apps/details?id=com.devs41.oremi) ; iPhone (App Store : https://apps.apple.com/bj/app/oremi-by-afg/id1608579815?l=fr-FR).
Written by Sebastian Clapp.
The cooperation between the EU and the North Atlantic Treaty Organization (NATO) has deepened significantly in response to Russia’s full-scale invasion of Ukraine, which has reshaped Europe’s security environment and highlighted the complementary roles of both organisations. NATO remains the cornerstone of collective defence, backed by United States (US) capabilities, while the EU has emerged as a key actor in financial aid, military assistance and sanctions. Both institutions have formalised their partnership through joint declarations and strategic documents, including NATO’s Strategic Concept, the EU’s Strategic Compass and White Paper for European Defence – Readiness 2030.
Practical cooperation now spans a wide range of areas including cyber defence, countering hybrid threats, military mobility, critical infrastructure protection, and joint crisis preparedness. Regular staff-level coordination, shared exercises, and technical arrangements – such as the NATO–EU task force on critical infrastructure – have improved resilience and interoperability. The EU has also significantly ramped up its defence role. It has delivered €50.8 billion in military aid to Ukraine (EU plus Member State contributions). It has introduced industrial policies such as EDIRPA, ASAP, and the ReArm Europe/Readiness 2030 plan to reinforce the European defence industrial base. Despite progress, persistent challenges remain. Political tensions – in particular between Cyprus and Türkiye – continue to block intelligence sharing and formal joint planning. The EU still relies heavily on NATO, particularly US assets, for operational capabilities. Growing uncertainty over US commitments under the second Trump Presidency has reinforced the EU’s drive to strengthen strategic autonomy and ensure greater burden-sharing within NATO.
The European Parliament supports stronger, complementary EU–NATO ties focused on interoperability, resilience and avoiding duplication, while stressing the need for Europe to take greater responsibility for its own security. At the NATO summit on 24-25 June in The Hague (the Netherlands), key challenges include agreeing on higher defence spending targets, maintaining alliance unity, managing the Russia threat, and rapidly scaling up Europe’s defence capabilities.
Read the complete briefing on ‘EU–NATO cooperation‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
Aujourd’hui dans Les Capitales : Trump et Gates demandent à l’UE de mettre la main au portefeuille, l’UE divisée sur les suites à donner à la révision de l’accord d’association avec Israël, la Slovaquie prête à soutenir les sanctions contre Moscou, et les socialistes allemands veulent interdire l’AfD.
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Un policier pour abus de fonction risque deux ans de prison ferme et plusieurs millions FCFA d'amende. Trois autres personnes, dont un Zémidjan qui sont de simples civils, sont également poursuivis dans le cadre de saisie irrégulière de colis de faux médicaments.
Accusés d'avoir mené une opération irrégulière de saisie de faux médicaments dans le département du Zou, un policier et trois civils jugés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Ils sont en détention provisoire depuis le 14 février 2025. L'homme en uniforme est poursuivi pour abus de fonction. À ses côtés, deux prévenus sont poursuivis pour complicité d'abus de fonction et un conducteur de taxi-moto pour complicité d'exercice illégal en pharmacie.
Selon les faits présentés par le ministère public, il est reproché au policier et ses deux présumés complices d'avoir arrêté le conducteur de taxi-moto qui a transporté trois sacs contenant de faux médicaments depuis la localité de Kpédékpo. La marchandise de faux médicaments devrait être livrée à sa propriétaire au quartier Sodohomè à Bohicon. Le parquet spécial indique que sur informations de ses deux complices, le policier aurait irrégulièrement arrêté la moto ainsi que les faux médicaments pour demander au conducteur de payer. Le Zémidjan n'a pu rien payer et l'information a été portée à la hiérarchie.
Selon le ministère public, la perquisition menée par la police républicaine au domicile du policier a été infructueuse. Mais, le troisième substitut du procureur spécial près la CRIET affirme que les deux présumés complices ont confirmé les faits. Le parquet spécial apprend que le policier, principal prévenu, a mené cette opération de saisie de faux médicaments en violations des règles.
Peine de prison ferme requise
Le ministère public a requis que le policier soit retenu dans les liens de prévention des faits d'abus de fonction. Il a sollicité sa condamnation à deux ans de prison ferme et à cinq millions FCFA d'amende.
Pour ses deux présumés complices, le ministère public a demandé de les retenir dans les liens de complicité d'abus de fonction. Il a requis contre eux un an de prison ferme et un million FCFA d'amende chacun. Quant au conducteur de taxi-moto, le ministère public a demandé à la Cour de le retenir dans les liens de complicité d'exercice illégal de pharmacie. Il a requis six mois de prison ferme à son encontre.
Dans une dernière prise de parole après les réquisitions du parquet spécial, le policier mis en cause a contesté les faits tels que présentés par le ministère public. Il a souligné qu'il ne connait même pas les présumés complices du dossier et que pour les mêmes faits ont lui attribuent trois différentes heures.
Le verdict du procès est attendu pour le lundi 21 juillet 2025, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Bonn, 24. Juni 2025. Europa verliert durch die offensichtliche Doppelmoral im Umgang mit den Konflikten im Nahen Osten an Glaubwürdigkeit. Das zeigt sich besonders in der Reaktion auf Israels jüngste Militäraktionen. Sollte Deutschland außenpolitisch weiterhin im Widerspruch zu den eigenen propagierten Werten handeln, riskiert es, den letzten Rest seiner Legitimität als vertrauenswürdiger Partner in der Region zu verspielen.
Am 13. Juni 2025 startete Israel einen großangelegten Luft- und Raketenangriff auf den Iran, der sich gegen Nuklearanlagen und Wohngebiete richtete. Dabei wurden Hunderte Iraner*innen getötet, darunter Zivilist*innen, hochrangige Militärs und mindestens zwölf führende Atomexpert*innen. Völkerrechtlich stellt dies einen schweren Verstoß dar. Nach Artikel 2 Nummer 4 der UN-Charta ist Gewalt gegen die territoriale Unversehrtheit oder politische Unabhängigkeit eines anderen souveränen Staates strikt untersagt - außer auf Grundlage eines Sicherheitsratsbeschlusses oder im Fall legitimer Selbstverteidigung nach einem bewaffneten Angriff. Israels einseitiger Angriff – ohne UN-Mandat, ohne Resolution, ohne internationale Koalition und ohne unmittelbare Provokation – überschreitet eindeutig die Grenzen der Legalität.
Zwar hat der Iran seine Verpflichtungen aus dem Vertrag über die Nichtverbreitung von Kernwaffen (NVV) nicht vollständig erfüllt. Solche Verstöße sind jedoch von der Internationalen Atomenergie-Organisation (IAEO) und dem UN-Sicherheitsrat zu ahnden - eigens für die Regelung solch komplexer Fragen geschaffen. Israel ist keine Vertragspartei des NVV und verfolgt seit Langem eine undurchsichtige Atomwaffenpolitik in Bezug auf sein eigenes Atomwaffenarsenal. Anders als Indien und Pakistan, die den NVV ebenfalls nicht unterzeichnet haben, hat Israel den Besitz von Atomwaffen nie offiziell anerkannt. Dies wirft eine grundsätzliche Frage auf: Welche Autorität verleiht Israel das Recht, als Hüter eines Vertrags aufzutreten, dem es selbst nicht unterliegt?
Wenn Israel den Angriff mit einer angeblichen existenziellen Bedrohung rechtfertigt, wirft das die Frage auf, warum es legitim sein soll, wenn sich Israel auf diese Angst beruft, während die gleichen Sorgen seiner Nachbarn ignoriert werden? Viele arabische Staaten sehen in Israels uneingestandenem Atomwaffenarsenal eine direkte Bedrohung für die regionale Stabilität. Nach derselben Logik - wären sie dann nicht ebenso berechtigt, Israels Nuklearanlagen und Wissenschaftler*innen im Alleingang militärisch anzugreifen?
Ebenso beunruhigend ist die Reaktion eines Teils des demokratischen Westens. Während westliche Politiker im Umgang mit Konflikten im Globalen Süden häufig Rechtsstaatlichkeit und demokratische Werte betonen, stehen ihre Äußerungen zu Israels Vorgehen im krassen Gegensatz dazu. Anstatt den Angriff zu verurteilen, bekräftigten Staats- und Regierungschef*innen aus Deutschland, Frankreich und Großbritannien sowie die Präsidentin der Europäischen Kommission, Ursula von der Leyen, erneut, dass Israel ein „Recht auf Selbstverteidigung“ habe. Eine vergleichbar klare Einordnung, wie sie im Fall von Russlands Invasion der Ukraine zu Recht erfolgt, lässt sich im Umgang mit Israels Vorgehen nicht finden. Beide Angriffe sind Akte der Aggression. Beide zu verurteilen ist entscheidend, um Gerechtigkeit und die Ablehnung doppelter Moral aufrechtzuerhalten.
Die Berufung auf das Recht auf Selbstverteidigung ist in diesem Zusammenhang problematisch. In den vergangenen zwei Jahren hat Israel in der gesamten Region umfangreiche Militäroperationen durchgeführt – von der Zerstörung des Gazastreifens bis hin zu Luftangriffen im Libanon, in Syrien und im Jemen – und dies häufig mit fadenscheinigen oder nicht belegten Begründungen. Diese Einsätze hatten gravierende humanitäre Folgen. Allein im Gazastreifen wurden nach Schätzungen von UNICEF seit Oktober 2023 über 50.000 Kinder getötet. Laut dem Sonderausschuss zur Untersuchung israelischer Praktiken und Amnesty International stellt Israels Vorgehen ein Verbrechen gegen die Menschlichkeit und Völkermord dar.
Das Ausmaß der Zerstörung ist erschütternd. Bis April 2024 hat Israel über 70.000 Tonnen Bomben auf den Gazastreifen abgeworfen – mehr als das kombinierte Bombardement der Alliierten auf Dresden, Hamburg und London während des Zweiten Weltkriegs. Laut Expert*innen entspricht die Umweltbelastung und das menschliche Leid infolge dieser Angriffe in etwa den CO₂-Emissionen von zwei nuklearen Detonationen. Unter diesen Umständen stellt sich die Frage: Wer hat hier tatsächlich Grund, sich bedroht zu fühlen? Nachbarländer wie Ägypten und Jordanien äußerten ernsthafte Bedenken, selbst Ziel weiterer Angriffe zu werden - insbesondere, da sie sich dem Druck der USA und Israels widersetzen, Palästinenser*innen dauerhaft aufzunehmen, was das Recht der Palästinenser*innen auf eine Zwei-Staaten-Lösung untergraben würde.
Diese Entwicklungen werfen entscheidende Fragen zur Rolle Deutschlands in der Region auf. An erster Stelle sollte Deutschland, anstatt völkerrechtswidrige Handlungen stillschweigend zu billigen, die Waffenverkäufe beenden, die laufende Kriege befeuern. Gleichzeitig sollte es seine diplomatischen Bemühungen intensivieren – nicht nur, um Engagement zu zeigen, sondern mit dem klaren Ziel, eine politische Lösung und dauerhaften Frieden zu erreichen. Nur so kann es die Voraussetzungen schaffen, um seine ehrgeizigen Ziele der nachhaltigen Entwicklungszusammenarbeit im Nahen Osten voranzubringen.
Bonn, 24. Juni 2025. Europa verliert durch die offensichtliche Doppelmoral im Umgang mit den Konflikten im Nahen Osten an Glaubwürdigkeit. Das zeigt sich besonders in der Reaktion auf Israels jüngste Militäraktionen. Sollte Deutschland außenpolitisch weiterhin im Widerspruch zu den eigenen propagierten Werten handeln, riskiert es, den letzten Rest seiner Legitimität als vertrauenswürdiger Partner in der Region zu verspielen.
Am 13. Juni 2025 startete Israel einen großangelegten Luft- und Raketenangriff auf den Iran, der sich gegen Nuklearanlagen und Wohngebiete richtete. Dabei wurden Hunderte Iraner*innen getötet, darunter Zivilist*innen, hochrangige Militärs und mindestens zwölf führende Atomexpert*innen. Völkerrechtlich stellt dies einen schweren Verstoß dar. Nach Artikel 2 Nummer 4 der UN-Charta ist Gewalt gegen die territoriale Unversehrtheit oder politische Unabhängigkeit eines anderen souveränen Staates strikt untersagt - außer auf Grundlage eines Sicherheitsratsbeschlusses oder im Fall legitimer Selbstverteidigung nach einem bewaffneten Angriff. Israels einseitiger Angriff – ohne UN-Mandat, ohne Resolution, ohne internationale Koalition und ohne unmittelbare Provokation – überschreitet eindeutig die Grenzen der Legalität.
Zwar hat der Iran seine Verpflichtungen aus dem Vertrag über die Nichtverbreitung von Kernwaffen (NVV) nicht vollständig erfüllt. Solche Verstöße sind jedoch von der Internationalen Atomenergie-Organisation (IAEO) und dem UN-Sicherheitsrat zu ahnden - eigens für die Regelung solch komplexer Fragen geschaffen. Israel ist keine Vertragspartei des NVV und verfolgt seit Langem eine undurchsichtige Atomwaffenpolitik in Bezug auf sein eigenes Atomwaffenarsenal. Anders als Indien und Pakistan, die den NVV ebenfalls nicht unterzeichnet haben, hat Israel den Besitz von Atomwaffen nie offiziell anerkannt. Dies wirft eine grundsätzliche Frage auf: Welche Autorität verleiht Israel das Recht, als Hüter eines Vertrags aufzutreten, dem es selbst nicht unterliegt?
Wenn Israel den Angriff mit einer angeblichen existenziellen Bedrohung rechtfertigt, wirft das die Frage auf, warum es legitim sein soll, wenn sich Israel auf diese Angst beruft, während die gleichen Sorgen seiner Nachbarn ignoriert werden? Viele arabische Staaten sehen in Israels uneingestandenem Atomwaffenarsenal eine direkte Bedrohung für die regionale Stabilität. Nach derselben Logik - wären sie dann nicht ebenso berechtigt, Israels Nuklearanlagen und Wissenschaftler*innen im Alleingang militärisch anzugreifen?
Ebenso beunruhigend ist die Reaktion eines Teils des demokratischen Westens. Während westliche Politiker im Umgang mit Konflikten im Globalen Süden häufig Rechtsstaatlichkeit und demokratische Werte betonen, stehen ihre Äußerungen zu Israels Vorgehen im krassen Gegensatz dazu. Anstatt den Angriff zu verurteilen, bekräftigten Staats- und Regierungschef*innen aus Deutschland, Frankreich und Großbritannien sowie die Präsidentin der Europäischen Kommission, Ursula von der Leyen, erneut, dass Israel ein „Recht auf Selbstverteidigung“ habe. Eine vergleichbar klare Einordnung, wie sie im Fall von Russlands Invasion der Ukraine zu Recht erfolgt, lässt sich im Umgang mit Israels Vorgehen nicht finden. Beide Angriffe sind Akte der Aggression. Beide zu verurteilen ist entscheidend, um Gerechtigkeit und die Ablehnung doppelter Moral aufrechtzuerhalten.
Die Berufung auf das Recht auf Selbstverteidigung ist in diesem Zusammenhang problematisch. In den vergangenen zwei Jahren hat Israel in der gesamten Region umfangreiche Militäroperationen durchgeführt – von der Zerstörung des Gazastreifens bis hin zu Luftangriffen im Libanon, in Syrien und im Jemen – und dies häufig mit fadenscheinigen oder nicht belegten Begründungen. Diese Einsätze hatten gravierende humanitäre Folgen. Allein im Gazastreifen wurden nach Schätzungen von UNICEF seit Oktober 2023 über 50.000 Kinder getötet. Laut dem Sonderausschuss zur Untersuchung israelischer Praktiken und Amnesty International stellt Israels Vorgehen ein Verbrechen gegen die Menschlichkeit und Völkermord dar.
Das Ausmaß der Zerstörung ist erschütternd. Bis April 2024 hat Israel über 70.000 Tonnen Bomben auf den Gazastreifen abgeworfen – mehr als das kombinierte Bombardement der Alliierten auf Dresden, Hamburg und London während des Zweiten Weltkriegs. Laut Expert*innen entspricht die Umweltbelastung und das menschliche Leid infolge dieser Angriffe in etwa den CO₂-Emissionen von zwei nuklearen Detonationen. Unter diesen Umständen stellt sich die Frage: Wer hat hier tatsächlich Grund, sich bedroht zu fühlen? Nachbarländer wie Ägypten und Jordanien äußerten ernsthafte Bedenken, selbst Ziel weiterer Angriffe zu werden - insbesondere, da sie sich dem Druck der USA und Israels widersetzen, Palästinenser*innen dauerhaft aufzunehmen, was das Recht der Palästinenser*innen auf eine Zwei-Staaten-Lösung untergraben würde.
Diese Entwicklungen werfen entscheidende Fragen zur Rolle Deutschlands in der Region auf. An erster Stelle sollte Deutschland, anstatt völkerrechtswidrige Handlungen stillschweigend zu billigen, die Waffenverkäufe beenden, die laufende Kriege befeuern. Gleichzeitig sollte es seine diplomatischen Bemühungen intensivieren – nicht nur, um Engagement zu zeigen, sondern mit dem klaren Ziel, eine politische Lösung und dauerhaften Frieden zu erreichen. Nur so kann es die Voraussetzungen schaffen, um seine ehrgeizigen Ziele der nachhaltigen Entwicklungszusammenarbeit im Nahen Osten voranzubringen.
Bonn, 24. Juni 2025. Europa verliert durch die offensichtliche Doppelmoral im Umgang mit den Konflikten im Nahen Osten an Glaubwürdigkeit. Das zeigt sich besonders in der Reaktion auf Israels jüngste Militäraktionen. Sollte Deutschland außenpolitisch weiterhin im Widerspruch zu den eigenen propagierten Werten handeln, riskiert es, den letzten Rest seiner Legitimität als vertrauenswürdiger Partner in der Region zu verspielen.
Am 13. Juni 2025 startete Israel einen großangelegten Luft- und Raketenangriff auf den Iran, der sich gegen Nuklearanlagen und Wohngebiete richtete. Dabei wurden Hunderte Iraner*innen getötet, darunter Zivilist*innen, hochrangige Militärs und mindestens zwölf führende Atomexpert*innen. Völkerrechtlich stellt dies einen schweren Verstoß dar. Nach Artikel 2 Nummer 4 der UN-Charta ist Gewalt gegen die territoriale Unversehrtheit oder politische Unabhängigkeit eines anderen souveränen Staates strikt untersagt - außer auf Grundlage eines Sicherheitsratsbeschlusses oder im Fall legitimer Selbstverteidigung nach einem bewaffneten Angriff. Israels einseitiger Angriff – ohne UN-Mandat, ohne Resolution, ohne internationale Koalition und ohne unmittelbare Provokation – überschreitet eindeutig die Grenzen der Legalität.
Zwar hat der Iran seine Verpflichtungen aus dem Vertrag über die Nichtverbreitung von Kernwaffen (NVV) nicht vollständig erfüllt. Solche Verstöße sind jedoch von der Internationalen Atomenergie-Organisation (IAEO) und dem UN-Sicherheitsrat zu ahnden - eigens für die Regelung solch komplexer Fragen geschaffen. Israel ist keine Vertragspartei des NVV und verfolgt seit Langem eine undurchsichtige Atomwaffenpolitik in Bezug auf sein eigenes Atomwaffenarsenal. Anders als Indien und Pakistan, die den NVV ebenfalls nicht unterzeichnet haben, hat Israel den Besitz von Atomwaffen nie offiziell anerkannt. Dies wirft eine grundsätzliche Frage auf: Welche Autorität verleiht Israel das Recht, als Hüter eines Vertrags aufzutreten, dem es selbst nicht unterliegt?
Wenn Israel den Angriff mit einer angeblichen existenziellen Bedrohung rechtfertigt, wirft das die Frage auf, warum es legitim sein soll, wenn sich Israel auf diese Angst beruft, während die gleichen Sorgen seiner Nachbarn ignoriert werden? Viele arabische Staaten sehen in Israels uneingestandenem Atomwaffenarsenal eine direkte Bedrohung für die regionale Stabilität. Nach derselben Logik - wären sie dann nicht ebenso berechtigt, Israels Nuklearanlagen und Wissenschaftler*innen im Alleingang militärisch anzugreifen?
Ebenso beunruhigend ist die Reaktion eines Teils des demokratischen Westens. Während westliche Politiker im Umgang mit Konflikten im Globalen Süden häufig Rechtsstaatlichkeit und demokratische Werte betonen, stehen ihre Äußerungen zu Israels Vorgehen im krassen Gegensatz dazu. Anstatt den Angriff zu verurteilen, bekräftigten Staats- und Regierungschef*innen aus Deutschland, Frankreich und Großbritannien sowie die Präsidentin der Europäischen Kommission, Ursula von der Leyen, erneut, dass Israel ein „Recht auf Selbstverteidigung“ habe. Eine vergleichbar klare Einordnung, wie sie im Fall von Russlands Invasion der Ukraine zu Recht erfolgt, lässt sich im Umgang mit Israels Vorgehen nicht finden. Beide Angriffe sind Akte der Aggression. Beide zu verurteilen ist entscheidend, um Gerechtigkeit und die Ablehnung doppelter Moral aufrechtzuerhalten.
Die Berufung auf das Recht auf Selbstverteidigung ist in diesem Zusammenhang problematisch. In den vergangenen zwei Jahren hat Israel in der gesamten Region umfangreiche Militäroperationen durchgeführt – von der Zerstörung des Gazastreifens bis hin zu Luftangriffen im Libanon, in Syrien und im Jemen – und dies häufig mit fadenscheinigen oder nicht belegten Begründungen. Diese Einsätze hatten gravierende humanitäre Folgen. Allein im Gazastreifen wurden nach Schätzungen von UNICEF seit Oktober 2023 über 50.000 Kinder getötet. Laut dem Sonderausschuss zur Untersuchung israelischer Praktiken und Amnesty International stellt Israels Vorgehen ein Verbrechen gegen die Menschlichkeit und Völkermord dar.
Das Ausmaß der Zerstörung ist erschütternd. Bis April 2024 hat Israel über 70.000 Tonnen Bomben auf den Gazastreifen abgeworfen – mehr als das kombinierte Bombardement der Alliierten auf Dresden, Hamburg und London während des Zweiten Weltkriegs. Laut Expert*innen entspricht die Umweltbelastung und das menschliche Leid infolge dieser Angriffe in etwa den CO₂-Emissionen von zwei nuklearen Detonationen. Unter diesen Umständen stellt sich die Frage: Wer hat hier tatsächlich Grund, sich bedroht zu fühlen? Nachbarländer wie Ägypten und Jordanien äußerten ernsthafte Bedenken, selbst Ziel weiterer Angriffe zu werden - insbesondere, da sie sich dem Druck der USA und Israels widersetzen, Palästinenser*innen dauerhaft aufzunehmen, was das Recht der Palästinenser*innen auf eine Zwei-Staaten-Lösung untergraben würde.
Diese Entwicklungen werfen entscheidende Fragen zur Rolle Deutschlands in der Region auf. An erster Stelle sollte Deutschland, anstatt völkerrechtswidrige Handlungen stillschweigend zu billigen, die Waffenverkäufe beenden, die laufende Kriege befeuern. Gleichzeitig sollte es seine diplomatischen Bemühungen intensivieren – nicht nur, um Engagement zu zeigen, sondern mit dem klaren Ziel, eine politische Lösung und dauerhaften Frieden zu erreichen. Nur so kann es die Voraussetzungen schaffen, um seine ehrgeizigen Ziele der nachhaltigen Entwicklungszusammenarbeit im Nahen Osten voranzubringen.
Un motocycliste transportant de l'essence de contrebande communément appelé ‘'kpayo'' a percuté un piéton dans la nuit du lundi 23 juin 2025, au quartier Albarika, dans la ville de Parakou. Le bilan provisoire fait deux blessés graves et des dégâts matériels.
Après Adja-Ouèrè, dans le département du Plateau le weekend écoulé, le transport de l'essence de contrebande fait encore des dégâts à Parakou. A Albarika, un quartier situé dans le premier arrondissement de cette ville située dans le Nord-Est du Bénin, un motocycliste transportant le liquide inflammable a percuté un piéton. Le choc a provoqué un incendie. Deux blessés graves ont été enregistrés. L'un brûlé au 3e degré, et l'autre avec une fracture au pied, renseignent nos sources.
Une équipe de sapeurs-pompiers s'est dépêchée sur les lieux pour maîtriser les flammes. La motocyclette transportant les bidons d'essence a été consumée.
F. A. A.
Au cœur de la dynamique artistique, une rencontre des esprits créatifs, réunissant les talents émergents de Kunakey Dzidu Koku et d'Amenounve Messan Kankoe, se tient à l'hôtel 2 Février de Lomé, du 1er avril au 30 juin 2025. Cet espace emblématique, véritable phare d'innovation artistique, se positionne comme un lieu de convergence pour les voix diverses, qu'elles soient ancrées dans la tradition ou en quête de modernité.
L'exposition de Kunakey et d'Amenounve révèle une sélection d'œuvres captivantes, abordant des problématiques cruciales telles que l'identité, la mémoire collective, et les enjeux socioculturels actuels.
Qui sont-ils, Kunakey et Amenounve ?
Les parcours des artistes Kunakey Dzidu Koku et Amenounve Messan Kankoe se dessinent comme des fresques vibrantes, témoignant d'une richesse culturelle et d'une créativité foisonnante.
Kunakey Dzidu Koku, togolais, se distingue par sa pratique pluridisciplinaire, où il transcende habilement les barrières des médiums artistiques. Ses œuvres, souvent nourries de mythes africains, fusionnent habilement des éléments traditionnels avec des expressions contemporaines, témoignant d'une volonté de réinterpréter le patrimoine culturel. Il a affiné son expertise dans les techniques de peinture et de sculpture tout en osant l'expérimentation avec des matériaux inédits. Son engagement en faveur de la durabilité l'incite à intégrer des objets recyclés dans ses créations, abordant ainsi avec acuité des thématiques sociales et environnementales via son art.
Quant à, Amenounve Messan Kankoe, aussi togolais, il se fait un nom dans l'univers des arts. Kankoe fusionne habilement techniques classiques et influences contemporaines, donnant naissance à des œuvres vibrantes, riches en engagements. Son parcours l'amène à explorer les interconnexions entre l'art et l'identité, utilisant sa voix artistique pour faire résonner des récits souvent négligés, en particulier ceux de la diaspora africaine. Par le biais d'œuvres qui éveillent tant l'émotion que la réflexion, il interroge les défis de l'immigration et l'importance de la mémoire collective.
Ces deux artistes se rejoignent dans leur quête d'explorer les identités et les récits africains à travers un prisme artistique contemporain. Leur travail est le reflet d'une richesse et d'une diversité narrative, tout en mettant en lumière l'impératif de la responsabilité sociale dans la pratique artistique contemporaine. En scrutant leurs influences, leurs techniques et leurs engagements, on parvient à mieux appréhender les formes d'art qui émergent de cette région du monde, des créations enracinées dans des traditions tout en aspirant à établir un dialogue fécond avec l'universel.
Authenticité culturelle comme racine profonde de la mémoire
L'exposition s'affirme comme une véritable odyssée visuelle, plongeant le spectateur dans un univers où les thèmes de l'amour, de l'identité et de la mémoire s'entrelacent avec une intensité rare. Au cœur de cette rencontre artistique, la quête de l'authenticité culturelle se manifeste avec force, chaque œuvre étant un hommage vibrant aux racines profondes et aux récits ancestraux qui jalonnent l'histoire du Togo. Les artistes, grâce à une utilisation novatrice de matériaux issus de l'environnement immédiat, tissent un récit où passé et futur s'unissent, offrant ainsi une perspective unique sur le dialogue intergénérationnel. Ce jeu subtil entre tradition et innovation se traduit particulièrement dans les œuvres sculpturales, où chaque forme devient un miroir réfléchissant les aspirations et les luttes collectives d'une société en mutation.
Un autre axe de cette exposition réside dans l'exploration des notions de mémoire et d'oubli. À travers leurs créations, Kunakey et Amenounve abordent la nécessité de se souvenir face à l'effacement des identités, évoquant des récits de résistance et de résilience qui résonnent avec la réalité contemporaine. Les installations interactives, quant à elles, encouragent une immersion profonde, transformant la simple contemplation en un acte d'engagement collectif et personnel. En intégrant des éléments narratifs puissants, les artistes parviennent à instaurer un dialogue vivant, questionnant la place de l'individu dans le tissu social tout en éveillant une conscience critique.
Enfin, l'exposition se fait l'écho d'une transformation perpétuelle, tant sur le plan esthétique que spirituel. Les œuvres, en transcendant les limites des conventions artistiques, invitent le spectateur à envisager ses propres perceptions de l'art et de la culture, soulignant ainsi la capacité de la création à catalyser des émotions et à susciter des réflexions profondes. Par ce biais, l'exposition se dresse comme un véritable carrefour d'échanges, où les idées s'entremêlent et où la richesse des expériences humaines trouve une résonance universelle.
Des oeuvres riches ancrées dans la tradition africaine
L'exploration des créations de Kunakey Dzidu Koku et d'Amenounve Messan Kankoe met en lumière une richesse esthétique profondément ancrée dans les racines culturelles africaines, tout en s'inscrivant dans des échanges contemporains vibrants. Kunakey Dzidu Koku, par exemple, déploie une palette de couleurs éclatantes et des formes audacieuses pour interroger les thèmes de l'identité et de l'appartenance. Ses œuvres se distinguent par une synergie entre techniques modernes et motifs ancestraux, illustrant ainsi une volonté manifeste de réinterpréter les récits héréditaires à la lumière des défis actuels.
Parallèlement, Amenounve Messan Kankoe se démarque par une approche sculpturale plus introspective, s'attachant à interroger les relations entre l'homme, la nature et l'environnement culturel. Ses créations, dominées par des matériaux naturels tels que le bois et les fibres végétales, manifestent une esthétique minimaliste qui invite à une contemplation profonde de la matière et de son essence. Les sculptures en bois qu'il propose incarnent des figures emblématiques de la mythologie africaine, tout en résonnant avec une sensibilité spirituelle qui engage un questionnement sur la place de ces récits dans le monde contemporain. Les préoccupations écologiques et de durabilité se dévoilent à travers ses choix de matériaux et sa manière de célébrer la beauté intrinsèque de la nature tout en mettant en exergue les défis environnementaux pressants.
Ainsi, l'analyse de ces œuvres révèle comment Kunakey Dzidu Koku et Amenounve Messan Kankoe, chacun à sa manière singulière, questionnent les notions d'identité, de culture et d'environnement. Ils incitent le public à s'engager non seulement avec l'œuvre en tant que telle, mais aussi avec les histoires et les enjeux qu'elle véhicule. Cette dualité entre tradition et modernité offre une compréhension nuancée de la dynamique artistique actuelle en Afrique, où les artistes, tout en restant fermement ancrés dans un patrimoine riche et varié, reflètent et interrogent leurs réalités. Ces approches distinctes mais complémentaires enrichissent le paysage artistique et ouvrent des perspectives inédites sur les dialogues culturels en cours dans le monde contemporain.
Mêmes aspirations artistiques, différentes techniques
Les méthodes déployées par Kunakey Dzidu Koku et Amenounve Messan Kankoe dans leurs créations incarnent un profond engagement envers l'innovation artistique, tout en honorant des traditions ancestrales. Koku, par exemple, choisit de privilégier l'utilisation de matériaux recyclés, intégrant des éléments issus de son environnement dans une démarche écoresponsable. Cette approche ne se limite pas à une simple réutilisation, mais incite également à une réflexion critique sur la durabilité et les pratiques de consommation dans notre ère moderne. Sa capacité à métamorphoser des objets quotidiens en œuvres d'art éclatantes témoigne d'une finesse technique où chaque élément est soigneusement sélectionné et assemblé, tissant ainsi une narration visuelle captivante. En revanche, Kankoe adopte des techniques picturales qui s'inspirent des styles traditionnels tout en les interprétant à la lumière des courants contemporains. Son utilisation de la peinture acrylique sur toile, associée à des techniques de collage, permet d'établir une juxtaposition dynamique entre motifs modernes et représentations culturelles. Ses compositions, souvent stratifiées, dévoilent des couches de sens qui requièrent une participation active du spectateur. De plus, Kankoe s'aventure dans l'exploration de la texture, intégrant des matériaux variés tels que le sable ou la terre, conférant ainsi une dimension tactile à ses œuvres.
En alliant divers médiums et matériaux, Koku et Kankoe réussissent à insuffler un sens de contexte et d'histoire à leurs créations. Ces techniques, oscillant entre innovation et tradition, ne sont pas de simples choix esthétiques, mais constituent le langage même par lequel ces artistes expriment leurs réflexions sur la culture, l'identité et la mémoire collective. Au-delà de la technique, leur travail établit un dialogue entre le passé et le présent, tout en interrogeant les futures orientations que pourrait prendre l'art contemporain.
Une progression des deux artistes au sein du discours contemporain
L'exposition mettant en lumière quelques œuvres de Kunakey Dzidu Koku et d'Amenounve Messan Kankoe suscite une série de critiques élogieuses, témoignant d'une progression des deux artistes au sein du discours contemporain.
L'utilisation vibrante de la couleur et des coups de pinceau audacieux de Koku, qui engendrent une interaction dynamique captivant les spectateurs et éveillant des émotions profondes, est à louer. Ses pièces encapsulent souvent des thèmes d'identité et de résilience, résonnant avec un public qui trouve des connexions personnelles dans les récits visuels qu'il tisse. La nature captivante de son art n'est pas seulement agréablement esthétique, mais elle invite également à un engagement critique, incitant les spectateurs à explorer les complexités sous-jacentes de son œuvre.
Les contributions de Kankoe à l'exposition sont tout aussi significatives. Son approche novatrice en matière de forme et de texture, décrivant ses œuvres comme une confluence d'art traditionnel et de méthodes contemporaines est à saluer. Ses sculptures, souvent intégrées sur toile, remettent en question les frontières conventionnelles de l'expression artistique. Le dévouement de Kankoe à l'artisanat est manifeste, alors qu'il fusionne habilement des formes organiques avec des détails complexes. Cette synthèse d'éléments sert non seulement à enrichir l'expérience tactile des pièces, mais symbolise également l'interconnexion entre nature et culture dans le monde moderne.
La réponse globale à cette exposition met en lumière une reconnaissance collective du rôle des artistes dans l'élargissement du dialogue autour de l'art contemporain africain. Il faut reconnaître que Koku et Kankoe ne se contentent pas de créer des œuvres pour leur valeur esthétique ; leurs créations servent plutôt de véhicules pour un commentaire culturel et une réflexion sociale. En stimulant la pensée et le dialogue, ils contribuent de manière significative à une compréhension plus large des récits africains dans la scène artistique mondiale.
Toutefois l'exposition des artistes Kunakey Dzidu Koku et Amenounve Messan Kankoe, requiert une attention minutieuse. L'une des lignes de critique s'articule autour de l'idée que les œuvres semblent dépourvues d'innovation. En effet, on peut dire que les styles et les motifs abordés par les artistes sont ancrés dans des traditions préexistantes, sans offrir une synthèse ou une réinvention véritablement significative. Cette observation soulève des interrogations sur la capacité des artistes à dépasser les attentes historiques tout en restant fidèles à l'héritage culturel qui les définit.
Hôtel 2 Février, carrefour d'influences artistiques et culturelles
L'Hôtel 2 Février, véritable symbole de la ville de Lomé, se présente comme un carrefour où se croisent les influences artistiques et culturelles du Togo, en particulier à travers l'accueil d'expositions telles que celles des artistes Kunakey Dzidu Koku et Amenounve Messan Kankoe. En tant qu'institution phare, cet hôtel ne se contente pas de fournir un cadre somptueux ; il se dote également d'équipements adaptés pour accueillir des événements d'envergure, créant ainsi une atmosphère propice aux échanges intellectuels et artistiques. Son architecture singulière attire non seulement les artistes et les critiques d'art, mais également un public avide de découvertes culturelles, établissant un espace de dialogue autour des œuvres exposées.
L'Hôtel 2 Février s'impose comme un catalyseur essentiel pour la promotion de l'art contemporain togolais, en offrant une plateforme d'exposition qui rehausse la visibilité des créateurs, qu'ils soient locaux ou internationaux. Grâce à ces initiatives, l'établissement contribue à la reconnaissance et à la valorisation des talents émergents, tout en suscitant des réflexions sur des questions sociopolitiques qui touchent à l'identité togolaise. Les créations de Kunakey Dzidu Koku et Amenounve Messan Kankoe, qui interrogent respectivement la modernité et les racines africaines, trouvent un écho particulier dans ce décor dynamique, accentuant leur pertinence dans le récit artistique actuel du Togo.
De surcroît, l'engagement de l'Hôtel 2 Février envers des projets culturels témoigne d'une volonté affirmée de s'impliquer activement dans l'évolution du paysage artistique togolais. À travers des partenariats avec divers artistes et institutions, l'hôtel favorise l'émergence de nouvelles idées et l'expression créative, tout en renforçant le lien social par l'organisation d'événements qui rassemblent des publics variés. Les expositions organisées, telles que celle mettant en avant les deux artistes, offrent une occasion unique de redéfinir des espaces culturels et de promouvoir une vision artistique qui puise dans le local tout en s'ouvrant à l'universel. Ainsi, l'Hôtel 2 Février ne se limite pas à être un simple lieu de séjour ; il devient une métaphore vivante de la symbiose entre les héritages du passé et les aspirations du futur, tout en étant un témoin de l'évolution constante de l'art en Afrique.
En définitif, l'évaluation approfondie de l'exposition présentée par Kunakey Dzidu Koku et Amenounve Messan Kankoe à l'hôtel 2 Février de Lomé, révèle que leurs initiatives artistiques ne se contentent pas de mettre en lumière la richesse du tissu culturel de l'art africain contemporain, mais suscitent également des dialogues essentiels autour de l'identité, du patrimoine et des enjeux sociétaux. Les œuvres exposées s'apparentent à une lamentation des traditions perdues tout en célébrant simultanément la vitalité et la résilience des expressions modernes. L'utilisation innovante des matériaux par les artistes, conjuguée à leurs langages visuels distincts, souligne leur engagement à aborder des thèmes multifacettes inhérents aux contextes locaux et globaux. À travers une exploration critique de leurs pièces, il est évident que Koku et Kankoe emploient une palette de techniques qui défient les perceptions conventionnelles de l'art. L'intégration de motifs traditionnels aux esthétiques modernes invite le spectateur à parcourir un éventail d'expériences, favorisant une compréhension plus profonde des récits qui imprègnent leur travail. Cette synthèse d'ancien et de nouveau enrichit non seulement l'expérience visuelle, mais favorise également un sentiment de continuité, comblant les fossés générationnels et invitant au discours parmi des publics divers. L'exposition devient ainsi une plateforme de réflexion sur des problématiques sociopolitiques, suggérant que l'art peut effectivement agir comme un catalyseur de changement et de sensibilisation. En fin de compte, la synergie entre les visions artistiques de Koku et Kankoe encapsule un commentaire poignant sur l'état de l'art contemporain. Leur œuvre constitue un témoignage de l'identité évolutive de l'artisanat africain, marqué par un mélange de tradition et d'innovation qui résonne tant avec les communautés locales qu'avec les spectateurs internationaux. La conclusion de cette critique réaffirme l'importance de l'exposition, non seulement en tant qu'affichage de prouesses artistiques, mais également comme un récit essentiel qui encapsule les complexités et la richesse des expressions culturelles africaines. De telles expositions ne devraient pas être perçues isolément, mais plutôt comme des contributions à un dialogue continu sur le rôle de l'art dans la réflexion sociétale et la transformation.
Par Romain COKOU
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F. A. A.