Les paris sont ouverts ce lundi 02 juin 2025 dès 14h30 au Pari Mutuel Urbain (PMU) avec la Masse Commune UEMOA spéciale Tabaski !
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Comment jouer ?
Le Pari Mutuel Urbain (PMU ALR) est un jeu de la Loterie Nationale du Bénin. Il existe depuis 1991.
Le principe est simple : parier sur les chevaux gagnants d'une course française.
Tu dois pronostiquer les 5 premiers chevaux à l'arrivée. C'est ce qu'on appelle le "Quinté".
Tu peux aussi tenter ta chance avec le "4+1", une autre formule de gain.
Les mises sont arrêtées 30 minutes avant le départ de la course.
Les gains, eux, peuvent être énormes, surtout quand il y a une cagnotte spéciale.
On peut jouer au PMU partout au Bénin, dans les agences régionales, centres de jeux ou points de validation. Les paris sont reçus tous les jours, du lundi au dimanche.
Les populations pourront désormais se procurer le Diclofenac 50 Mg et l'Amoxicilline 500 Mg du laboratoire Pharmaquick dans les officines pharmaceutiques. L'Agence Béninoise du médicament et autres produits de santé (ABMed), à travers un communiqué en date du 26 mai 2025, a levé la mesure portant mise en quarantaine de ces deux produits.
Le Diclofenac 50 Mg et l'Amoxicilline 500 Mg du laboratoire Pharmaquick ne sont plus en quarantaine. L'Agence Nationale de Contrôle de Qualité des Produits de Santé et de l'Eau (ANCQ), a effectué des analyses qui attestent que les irrégularités observées n'affectent pas la qualité intrinsèque de ces produits qui demeurent propres à la consommation. L'information a été portée à la connaissance du public à travers un communiqué de l'ABMed le 26 mai 2025.
Le directeur de l'ABMed a invité les grossistes-répartiteurs et les officines de pharmacie à reprendre la distribution et la dispensation desdits produits ; et à retirer de leur stock tous les blisters contenant les comprimés présentant les irrégularités indiquées dans les alertes ayant motivé la mise en quarantaine de ces deux médicaments. Youssounon CHABI a exhorté par la même occasion, les prescripteurs à bien vouloir reprendre la prescription de ces spécialités.
F. A. A.
Un contrôleur financier de la Présidence du Bénin poursuivi dans le cadre d'un dossier de la garde républicaine encourt sept ans de prison ferme et une lourde amende. Son frère risque cinq ans de prison ferme. Le ministère public a fait ces réquisitions lors de leur procès ce lundi 2 juin 2025 devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Une nouvelle audience dans le procès dans le dossier du prévenu A. S. , de son frère et d'un coprévenu à la CRIET. Dans ce dossier, le contrôleur financier et son frère ont été placés en détention préventive le 18 février 2025. Il est reproché au cadre de la présidence du Bénin des faits d'abus de fonction et blanchiment de capitaux. Quant à son frère, il est poursuivi pour complicité d'abus de fonction et de blanchiment de capitaux.
À l'audience de ce lundi 2 juin 2025, le ministère public a fait ses réquisitions. À l'ouverture de l'audience, le représentant de la Garde républicaine a indiqué que l'institution militaire ne se constituait par partie civile et ne réclamait donc rien.
Selon le parquet spécial, tout est parti d'un d'un prestataire qui a dénoncé l'intervention du contrôleur financier dans la passation des marchés publics. Ce cadre s'occupe de neuf (09) institutions de l'État dont la Garde républicaine et le cabinet militaire. Le ministère public affirme que le principal prévenu prend contact avec les prestataires et les assiste dans l'attribution des marchés publics. Il aurait notamment exigé 20 % de commissions sur chaque marché. Le procureur présenté à ce sujet des messages échangés par le contrôleur financier. « C'est 20% non négociable » ou « C'est la manne d'or », aurait écrit le principal prévenu en discutant de marchés publics.
Dans ses réquisitions, le parquet spécial apprend que le contrôleur est également bénéficiaire de certains sociétés qui ont gagné des marchés publics auprès de l'État béninois. Il serait à l'origine des entreprises avec des prêtes noms. Le parquet spécial lui reproche aussi de positionner des Personnes responsables des marchés publics (PRMP) afin d'avoir la main mise sur les marchés publics.
Quant à son frère, l'accusation souligne que ce dernier mettait la pression aux prestataires. Pour le troisième prévenu, le ministère public a requis sa relaxe au bénéfice du doute.
Le parquet spécial de la CRIET a demandé à la Cour de retenir le contrôleur financier de la présidence dans liens des infractions d'abus de fonction et de blanchiment de capitaux. Il a requis à son encontre sept (7) ans de prison ferme et 10 millions FCFA d'amendes.
Pour frère, le procureur a demandé de le retenir dans les liens de complicité d'abus de fonction et blanchiment de capitaux. Cinq ans de prison ferme et dix millions FCFA d'amendes ont été requis contre lui, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Le délibéré du dossier est attendu pour le lundi 7 juillet 2025.
[1]https://www.libre-express.com/3114/...
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Le procès en appel des trois Nigériens arrêtés pour intrusion frauduleuse au terminal pétrolier de Sèmè-Podji s'est achevé ce lundi 2 juin 2025 devant la chambre des appels de la CRIET. En absence des mis en cause, le verdict rendu par la chambre de jugement a été confirmé en appel.
Pas de surprise au procès en appel dans l'affaire des trois Nigériens condamnés pour intrusion frauduleuse au terminal pétrolier de Sèmè-Podji. Selon les informations de Libre Express, ce lundi 2 juin 2025, la chambre des appels de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rejeté tous les moyens formulés par les avocats de la défense. Elle a néanmoins confirmé la décision rendue par la chambre correctionnelle en première instance
La conséquence de la décision rendue en appel ce lundi 2 juin 2025 est que la Cour confirme le verdict rendu le lundi 17 juin 2024 par la Chambre correctionnelle de la CRIET. Selon ce verdict, la CRIET a requalifié les faits de fausses attestations et d'usage de fausses attestations reprochés aux trois ressortissants nigériens en usurpation de titre et usages de données informatiques falsifiées. Pour ces faits, les trois Nigériens, Moumouni Hadiza Ibra, Directrice Générale Adjointe de Wapco-Niger, Ismael Cissé Ibrahim, Inspecteur Pétrolier et Mousbahou Dan Kané, Inspecteur Pétrolier ont été condamnés à 18 mois de prison assortie de sursis.
Tout au long procès en appel, les trois Nigériens n'étaient pas présents. Les prévenus se sont fait représenter par leurs avocats. Deux avocats venus du barreau du Niger se sont constitués. Il s'agit de Me Moukaila Yayé, ex-batonnier de l'Ordre des avocats du Niger et de son confrère Me Bachirou. Des conseils béninois dont Me Léopold Olory-Togbé et Me Judith Armandine Goudédjessin se sont également constitués.
Ils étaient au départ cinq Nigériens arrêtés au terminal pétrolier de Sèmè-Kpodji, construit dans le cadre du projet pipeline Bénin-Niger réalisé par l'entreprise chinoise Wapco. Deux des cinq Nigériens ont été libérés lors de leur audition devant le parquet. Il s'agit de Saidou Harouna Oumarou, Ingénieur pétrolier, cadre de Wapco Niger ; et Abdoul Razak Djibo, Ingénieur pétrolier, cadre de Wapco Niger.
Dans une déclaration devant la presse jeudi 6 juin 2024, le procureur spécial de la CRIET, Mario Mètonou a déclaré que ces cinq Nigériens avaient été arrêtés pour intrusion frauduleuse sur le terminal de Sèmè-Podji. Le magistrat avait également évoqué "une prétendue planification d'actes d'atteinte à la sûreté de l'État du Bénin".
Le samedi 8 juin 2024, Niamey a balayé dans un communiqué cette accusation d'un revers de main, dénonçant au contraire "les manœuvres dilatoires et le kidnapping" de Cotonou, "sous l'instigation de puissances étrangères", pour "pousser le Niger à la faute" et donner "un prétexte à ses commanditaires pour stopper la conquête de la souveraineté" du pays.
Le commissariat du 3e arrondissement de Djougou appuyé par les éléments du 1er arrondissement, a interpellé un individu au quartier Batoulou le weekend écoulé, pour trafic de stupéfiants.
Conformément aux instructions reçues de la hiérarchie policière, les unités de police s'activent sur le terrain pour le démantèlement des ghettos. A Djougou, dans le département de la Donga, un individu a été interpellé le weekend écoulé au quartier Batoulou. La perquisition effectuée à son domicile selon la Police, a permis de saisir une quantité importance de chanvre indien.
La Police républicaine à travers une publication sur ses canaux digitaux renseigne que dans la localité de Odo-Akaba dans l'arrondissement de Toui, commune de Ouèssè, des emballages de chanvre indien et quelques accessoires ont été saisis dans une maison transformée en ghetto.
Les unités de Police rassurent de leur mobilisation contre ce trafic illicite qui constitue une véritable menace pour la santé publique.
F. A. A.
Après Niamey en 2023 et le rendez-vous de Yaoundé en 2024, Cotonou accueille la 31e Assemblée régionale Afrique de l'Assemblée Parlementaire (APF) du 02 au 04 juin 2025. La cérémonie d'ouverture a connu la présence du doyen du corps diplomatique accrédité au Bénin, l'Ambassadeur du Royaume du Maroc près le Bénin, SEM Rachid Rguibi, du préfet de l'Atlantique Alain Orounla, ainsi que du maire de Cotonou Luc Atropko.
Accès à l'énergie, dividende démographique, géopolitique sont au centre des travaux de la 31e Assemblée régionale Afrique de l'Assemblée Parlementaire (APF), ouverts le lundi 2 juin 2025 au Sofitel Marina Hôtel à Cotonou.
Assan Seïbou, vice-président de la section béninoise de l'APF et président du comité d'organisation, a exprimé la reconnaissance du Bénin pour l'accueil de cette instance. Il a souligné l'importance des réflexions partagées pour bâtir un avenir pacifique et démocratique pour l'Afrique.
Amélia Lakrafi, déléguée générale de l'APF, a rappelé que le Bénin est un pionnier du renouveau africain au sein de la Francophonie. Selon elle, « pour que la paix grandisse, pour que notre démocratie mûrisse et pour que notre francophonie rayonne, il nous faut un village de confiance, de solidarité et de courage ». Elle a aussi insisté sur l'urgence d'un dialogue renouvelé avec des pays comme le Mali, le Burkina Faso et le Niger. « La porte de la francophonie doit rester ouverte », a-t-elle affirmé, rappelant que la paix se nourrit de diversité.
Des enjeux majeurs pour la paix et le développement
Le président de l'APF, Hilarion Etong, a rendu un vibrant hommage au Bénin et à ses dirigeants. Il a rappelé que c'est au Bénin que la Francophonie moderne a pris un tournant décisif lors du sommet de 1995. Il a insisté sur l'importance d'un engagement parlementaire collectif face aux défis géopolitiques, démographiques et énergétiques.
« Nos travaux ne sont pas seulement théoriques, mais doivent déboucher sur des recommandations concrètes pour le bien-être de nos peuples », a-t-il souligné.
Le président de l'Assemblée nationale du Bénin, Louis Gbèhounou Vlavonou, a ouvert les travaux.
Pour lui, le contexte régional actuel, marqué par des crises multiples, exige de « mutualiser les expertises et renforcer les échanges interparlementaires pour promouvoir des législations de plus en plus ambitieuses dans le sens de la construction d'un avenir commun plus stable, plus équitable et plus durable ». Il a cité l'écrivain malien Massa Makan Diabaté : « Si on veut obtenir quelque chose qu'on n'a jamais eu, il faut tenter quelque chose qu'on n'a jamais fait ».
Le président de l'Assemblée nationale du Bénin a salué les efforts régionaux, notamment le dialogue entre les États du Sahel et la CEDEAO pour renforcer la coopération contre le terrorisme. Présentant le Bénin, il a fait savoir que c'est petit pays riche de sa diversité culturelle qui s'appuie sur la langue française comme pont entre ses populations.
« Notre pays a su passer d'un régime de parti unique à une démocratie pluraliste », a rappelé le président Vlavonou.
M. Louis Vlavonou a déclaré ouverte cette 31e Assemblée en souhaitant plein succès aux travaux.
Les présidents des parlements du Gabon, du Cameroun, du Togo et de la Côte d'ivoire prennent une part active aux assises qui prendront fin le mercredi 4 mai.
M. M.
La Fédération interprofessionnelle du secteur avicole du Maroc (FISA) en collaboration avec l'Interprofession avicole du Bénin (IAB), a organisé une formation au profit de 11 jeunes Béninois dans le domaine de l'élevage avicole à l'Institut royal des techniciens spécialisés en élevage de Fouarate, à Kénitra.
Dans le domaine de l'élevage avicole, des jeunes béninois renforcent leurs capacités au Maroc. 11 d'entre eux ont bénéficié d'un programme spécial de formation entièrement financé par la Fédération interprofessionnelle du secteur avicole du Maroc (FISA).
Pendant 30 jours, les bénéficiaires de cette session de formation initiée par l'Ambassade du Maroc au Bénin, ont étudié l'ensemble des maillons de la chaîne avicole moderne à savoir : gestion d'exploitation, reproduction, alimentation, transformation des produits avicoles, l'introduction aux techniques de management ; et une approche pédagogique complète mêlant théorie, pratique sur le terrain, ainsi qu'une immersion dans les réalités du métier.
Au terme de cette première édition, les professionnels et les institutions partenaires ont salué l'initiative qui illustre la pertinence des échanges Sud-Sud orientés vers le transfert de compétences et le développement durable.
Cette formation ouvre la voie à une coopération renforcée entre le Maroc et le Bénin dans les domaines agricoles et agroalimentaires.
A terme, la FISA et l'IAB ont exprimé leur satisfaction quant aux résultats obtenus et leur volonté commune de consolider ce programme dans la durée, en l'élargissant à un plus grand nombre de jeunes Béninois.
F. A. A.
Quelques heures avant le lancement officiel des travaux de la 31e Assemblée régionale Afrique de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), le président de l'Assemblée nationale, Louis VLAVONOU a reçu à son cabinet ce dimanche 1er juin 2025, le président de l'APF, Hilarion ETONG, et vice-président de l'Assemblée nationale du Cameroun.
Cotonou, la capitale économique du Bénin accueille depuis ce lundi 2 juin 2025, les travaux de la 31e Assemblée régionale Afrique de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie. En prélude à ces assises de haut niveau, le président de l'Assemblée nationale, Louis VLAVONOU a reçu le président de l'APF, Hilarion ETONG ce dimanche 1er juin à son cabinet.
Les deux personnalités n'ont fait aucune déclaration au terme des échanges qui ont duré quelques minutes. Mais l'ossature de cette 31e Assemblée régionale Afrique de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie, a-t-on appris, était le principal sujet de discussion entre VLAVONOU et ETONG.
Les étudiants ayant déposé un dossier physique pour obtenir leur attestation de Licence ou de Master sont invités pour leur retrait .
Le retrait des attestations de Licence ou de Master s'effectue au Collège Catholique Père Aupiais (Cotonou), selon un communiqué du Directeur des Examens et Concours (DEC).
Les étudiants ayant déposé un dossier physique pour obtenir leur attestation sont attendus du lundi 2 juin au jeudi 12 juin 2025, de 8h à 16h, tous les jours ouvrables.
M. M.
L'examen du Certificat d'études primaires (CEP), a démarré ce lundi 2 juin 2025 sur toute l'étendue du territoire national. 271 890 candidats répartis dans 805 centres de composition affrontent les différentes épreuves.
Ça y est ! Le top est donné ce lundi 2 juin 2025 pour l'examen du Certificat d'études primaires. Le ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane KARIMOU a procédé au lancement officiel des épreuves au centre de composition de Coopaha, dans la commune de Lokossa, département du Mono. Il sonnait environ 8h30 quand l'autorité ministérielle a remis une copie de l'épreuve de lecture à un candidat dans la salle N°4, procédant ainsi au lancement officiel des épreuves.
Le ministre Salimane KARIMOU n'a pas manqué de rassurer les apprenants. « On ne va vous demander que ce que vous avez appris à l'école. Le sujet sera à votre portée », a-t-il confié.
Selon les chiffres officiels de la Direction des examens et concours (DEC), ils sont au total 271 890 candidats dont 131 660 filles et 140 230 garçons à composer pour la session de juin 2025 à l'examen du CEP qui prend fin le mercredi 04 juin prochain.
F. A. A.
Arrivés au Bénin dans le cadre des travaux de la 31e Assemblée régionale Afrique de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), Adama BICTOGO, président de l'Assemblée nationale de la Côte d'Ivoire et Amelia LAKRAFI, Déléguée générale de l'APF ont exprimé leur fierté d'être au Bénin.
« Le Bénin est un beau pays qui a été vraiment transformé par le Président Patrice TALON », c'est ce qu'a confié Amelia LAKRAFI, Déléguée générale de l'APF à son arrivée au Bénin dans le cadre des travaux de la 31e Assemblée régionale Afrique de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie.
Saluant la dynamique démocratique au Bénin, elle s'est dite très satisfaite que les travaux de cette assemblée aient lieu à Cotonou. « Nous sommes très heureux, quand on voit comment avance la démocratie au Bénin. Pour nous, ça semble absolument évident d'être là aujourd'hui. Je remercie les députés béninois d'accueillir cette rencontre. Beaucoup de sujets sont à l'ordre du jour. Beaucoup de conflits en Afrique et des restitutions de déplacement importants à partager entre députés et sénateurs […] », a-t-elle confié.
Pour sa part, Adama BICTOGO, président du Parlement ivoirien fondent ses motivations sur plusieurs raisons. Il a d'abord évoqué la dynamique et l'excellence des relations entre les deux chefs d'État, les présidents Alassane OUATTARA et Patrice TALON. Ensuite ses bonnes relations avec le président de l'Assemblée nationale du Bénin, Louis VLAVONOU. « Le peuple béninois et le peuple ivoirien sont des peuples frères liés par l'histoire et par la culture ; liés donc par l'histoire des anciens, des premiers chefs d'État. Donc ma présence au Bénin répond à plusieurs raisons. Venir au Bénin, c'est comme si nous sommes chez nous ; nous sommes donc chez nous ici […] », a déclaré Adama BICTOGO.
La 31e Assemblée régionale Afrique de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie s'ouvre ce lundi 2 juin 2025 au Sofitel.
F. A. A.
A Agongointo, un arrondissement de la commune de Bohicon, une femme est morte par électrocution la semaine écoulée. Elle a tenté de dégager de son passage, un câble électrique sous tension.
Drame à Bohicon. Une femme est morte par électrocution. La victime selon La Nation, revenait d'un ménage voisin avec une bassine d'eau sur la tête. Elle rencontre sur son passage, un fil électrique dangereusement bas qu'elle tente de dégager à la main. Mais hélas, ignorant que le câble était sous tension, elle a été électrocutée.
Conduite d'urgence à l'hôpital pour des soins, elle a été déclarée morte par les agents de santé.
Ce drame souligne une fois encore le danger que représentent les réseaux électriques, en particulier ceux qualifiés de “toiles d'araignée” pour la population.
F. A. A.
Ce lundi 2 juin 2025, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) au Bénin a rendu son verdict dans le procès très médiatisé de Steve Amoussou, présenté comme le controversé chroniqueur politique anonyme "Frère Hounvi".
Steven Amoussou a été fixé sur son sort. Ce lundi 2 juin 2025, la chambre correctionnelle de la CRIET a condamné le présumé Frère Hounvi à deux ans de prison ferme et à un million FCFA d'amendes. La Cour a requalifié les faits de harcèlement par le biais d'une communication électronique, initiation et diffusion de fausses nouvelles, provocation à la rébellion en « injure avec motivation politique, initiation et diffusion de fausses nouvelles ».
Le ministère public avait initialement requis en avril 2025 deux ans de prison ferme et un million de francs CFA d'amende à l'encontre de Steve Amoussou, soupçonné d'être à l'origine des virulentes critiques envers le régime du président Patrice Talon sous le pseudonyme de "Frère Hounvi".
Lors du procès, le prévenu a toujours nié être le fameux "Frère Hounvi", malgré les éléments à charge présentés par l'accusation. Steve Amoussou a notamment contesté les conditions de son arrestation, affirmant avoir été kidnappé à Lomé en août 2024 avant d'être ramené de force au Bénin.
Cette affaire remonte à l'arrestation de Steve Amoussou le 20 août 2024, quelques jours après son enlèvement au Togo. Il était alors soupçonné d'être derrière le compte anonyme "Frère Hounvi" qui distillait depuis des années des critiques acerbes envers le pouvoir en place.
Lors de l'audience du 7 avril 2025, le juge a confronté Steve Amoussou à des éléments retrouvés dans le téléphone d'un autre individu incarcéré, à savoir un numéro de téléphone appartenant au présumé "Frère Hounvi" avec lequel ce dernier discutait d'une de ses chroniques. Steve Amoussou a reconnu avoir utilisé ce numéro, mais a nié être l'auteur de l'avatar "Frère Hounvi".
Le ministère public a souligné que depuis l'incarcération de Steve Amoussou, les chroniques du "Frère Hounvi" avaient cessé, et que l'accusé avait reconnu devant le parquet être l'auteur de ces publications "à caractère corbeaux".
Les avocats de la défense ont quant à eux dénoncé tout au long du procès les "conditions inhumaines" de l'arrestation de leur client, estimant que son procès n'aurait jamais dû avoir lieu.
Le travail des enfants continue au Bénin en violation de la législation béninoise. À la Haie-Vive, à Cotonou, des enfants âgés de moins de 14 ans travaillent sur des chantiers de construction.
Âgés de 7 ans, 10 ans ou à peine de 13 ans, ils manipulent des barres de fer, pelles, brouettes sur des chantiers de construction sans équipements de protection. Le constat a été fait à la Haie Vive, quartier résidentiel de Cotonou. Sur quatre (04) chantiers de construction visités, trois (03) emploient des mineurs. Deux (02) enfants travaillent sur le premier chantier, un (01) seul sur le deuxième, et entre quatre (04) et cinq (05) sur le troisième. La majorité d'entre eux sont des apprentis ferrailleurs ou maçons, s'exprimant principalement en goun et en fon. Ils sont considérés comme étant « en apprentissage », contrairement aux ouvriers adultes qui perçoivent une rémunération en fin de journée ou à la fin de la semaine.
Une violation de la législation béninoise
La loi N˚98-004 du 27 janvier 1998 portant Code du Travail en République du Bénin en son article 166 est pourtant claire : « les enfants ne peuvent être employés dans aucune entreprise avant l'âge de 14 ans ». L'article 66 du Code de Travail précise que « nul ne peut être apprenti s'il n'est âgé de 14 ans révolus ».
La loi N˚ 2015-08 du 08 décembre 2015 portant Code de l'enfant en République du Bénin va encore plus loin. Son article 223 encadre strictement les conditions d'entrée en apprentissage. Avant d'être admis en apprentissage, l'enfant doit être âgé d'au moins 14 ans ; avoir fini les cours de l'enseignement primaire ; et faire l'objet d'un contrat d'apprentissage. Mettre en apprentissage un enfant sans avoir réuni ces conditions est une forme d'exploitation des enfants et donc une violation de la législation béninoise.
Mieux, le Bénin a ratifié plusieurs instruments juridiques internationaux relatifs aux droits de l'enfant dont entre autres : la Convention Internationale des Droits de l'Enfant (CIDE) de l'ONU, la Charte africaine des droits et du bien-être de l'enfant (CADBE). Sans oublier la Convention 138 de l'Organisation internationale du travail (OIT) sur l'âge minimum d'admission à l'emploi ; et la Convention 182 sur les pires formes de travail des enfants. En ratifiant ces textes, le Bénin s'est engagé à protéger les enfants contre toute forme d'exploitation.
Des progrès, mais un défi persistant
Le gouvernement béninois a renforcé la lutte contre le travail des enfants. Selon les résultats de l'enquête MICS réalisée par l'Institut National de la Statistique et de la Démographie (INSTaD), le taux de prévalence national en matière de travail des enfants est passé de 52,5 % en 2014 à 19,9 % en 2022. Les cas des enfants travaillant sur plusieurs chantiers à la Haie Vive montrent que des efforts restent encore à faire.
La lutte contre le travail des enfants ne peut reposer uniquement sur l'existence de lois. Elle exige une veille constante, des sanctions fermes contre les auteurs d'abus, et une sensibilisation renforcée auprès des communautés et employeurs.
A.A.A
Le ministre béninois des Affaires étrangères, Olushegun Adjadi Bakari, a donné des précisions sur le sort de Gildas Agonkan, ambassadeur du Bénin au Niger, rappelé pour consultation.
Rappelé du Niger suite à des propos controversés sur les relations bilatérales, l'ambassadeur du Bénin, Gildas Agonkan sera remplacé dans les prochains jours.
Cotonou procédera à la « nomination d'un nouvel ambassadeur », selon les propos tenus par le ministre béninois des Affaires étrangères Olushegun Adjadi Bakari, ce 1er juin 2025, sur l' « Entretien Grand Format » de Bip radio.
Lors d'une cérémonie à Gaya, au Niger, le 1er février 2025, Gildas Agonkan a présenté des excuses publiques au peuple nigérien au nom des autorités béninoises, évoquant des "choses graves" ayant engendré des "sacrifices" et des "problèmes" à Gaya. Ces propos ont été perçus à Cotonou comme une reconnaissance implicite des accusations nigériennes selon lesquelles le Bénin aurait soutenu des actions déstabilisatrices contre le régime en place à Niamey.
M. M.
Le ministère du travail et de la fonction publique organise les samedi 19 et dimanche 20 juillet 2025, un concours direct et/ou externes de recrutement de 172 fonctionnaires de l'Etat dont 9 personnes en situation de handicap au profit du ministère de l'économie et des finances.
Dans le cadre de ce concours qui vise à renforcer les capacités du ministère de l'économie et des finances, il sera procédé au recrutement de 25 élèves contrôleurs budgétaires dont 01 personne en situation de handicap ; et 11 élèves fonctionnaires de l'Etat et 136 fonctionnaires de l'Etat dont 08 personnes en situation de handicap.
Le communiqué du ministère du travail
C'est dans une ambiance conviviale et festive que les Guépards du Bénin ont rencontré le public sportif béninois, samedi 31 mai 2025, au Centre Éya, situé à Akpakpa à Cotonou. Echanges, photos, dédicaces et partage ont été les temps forts de ce moment de communion entre la sélection nationale et ses supporters.
Quelques images de la rencontre
Ce dimanche 1er juin 2025 à Gankpintin, une localité de la commune de Dassa, dans les Collines, plusieurs personnes ont perdu la vie suite à une collision entre un bus de transport en commun, et un camion gros porteur. Le bilan provisoire fait état de 5 morts.
Grave accident de circulation à Dassa ce dimanche 1er juin 2025. Un bus de transport en commun provenant de Cotonou est entré en collision avec un camion gros porteur transportant du bétail aux environs de 2 heures du matin. Le bilan provisoire selon Bip radio, fait 5 morts et 21 blessés transférés d'urgence à l'hôpital.
Cette collision provoqué un autre accident. Un camion chargé de poteaux en provenance de Cotonou, a percuté le bus accidenté en stationnement sur la chaussée.
Les forces de sécurité se sont dépêchées sur les lieux pour le constat et rétablir la circulation.
F. A. A.
Le Niger a sollicité les marchés financiers de l'UEMOA, mercredi 28 maí 2025. Le Bénin a apporté une contribution non négligeable à cette mobilisation.
Niamey a organisé une double émission de titres publics pour mobiliser 100 milliards de FCFA à travers des Bons et Obligations du Trésor. Les maturités proposées étaient de 364 jours et 3 ans.
A l'issue de l'émission, mercredi 28 mai 2025, Niamey n'a récolté que 69,329 milliards de FCFA, soit environ 69 % de l'objectif initial.
Le Bénin maintient le lien
Malgré ce score partiel, certains pays ont répondu présents. Le Burkina Faso en tête, avec 34,605 milliards de FCFA. Vient ensuite le Bénin, avec 933 millions de FCFA, suivi du Mali (23 millions) et du Sénégal (52 millions).
La Côte d'Ivoire, le Togo et la Guinée-Bissau sont restés en retrait. Aucun soutien financier enregistré de leur part pour cette opération.
La contribution du Bénin peut sembler modeste. Mais elle est symbolique. Dans un contexte régional tendu, le Bénin montre qu'il reste un partenaire de confiance pour le Niger.
M. M.
Le Niger a sollicité les marchés financiers de l'UEMOA, mercredi 28 maí 2025. Le Bénin a apporté une contribution non négligeable à cette mobilisation.
Niamey a organisé une double émission de titres publics pour mobiliser 100 milliards de FCFA à travers des Bons et Obligations du Trésor. Les maturités proposées étaient de 364 jours et 3 ans.
A l'issue de l'émission, mercredi 28 mai 2025, Niamey n'a récolté que 69,329 milliards de FCFA, soit environ 69 % de l'objectif initial.
Le Bénin maintient le lien
Malgré ce score partiel, certains pays ont répondu présents. Le Burkina Faso en tête, avec 34,605 milliards de FCFA. Vient ensuite le Bénin, avec 933 millions de FCFA, suivi du Mali (23 millions) et du Sénégal (52 millions).
La Côte d'Ivoire, le Togo et la Guinée-Bissau sont restés en retrait. Aucun soutien financier enregistré de leur part pour cette opération.
La contribution du Bénin peut sembler modeste. Mais elle est symbolique. Dans un contexte régional tendu, le Bénin montre qu'il reste un partenaire de confiance pour le Niger.
M. M.