When looking into the political history of many of the world’s most complex issues, often there is a strong sense of injustice in communities on both sides of a conflict. Injustice comes from the belief that one group or individual has a disproportionate amount of power, and abuses that position to its benefit, its family’s needs, or the needs of its interest group or political party.
In societies with little corruption, once the creation of unjust mechanisms and institution becomes entrenched, it is almost impossible to return to a system of balanced and equal justice. In some cases, revolutionary ideals can change a corrupt system, but more often than not it leads to extreme violence and a new system that takes on their own forms of corrupt practices.
Politicking in the modern era reflects many of the same tactics that could rightfully be seen as spurning on absurd religious ideals of the past. Civil discourse has taken generations to develop as a means to have civil conflicts with fellow citizens with a difference of opinion.
This tradition is increasingly being lost. Modern political dialogue seeks to label an adversary as inherently evil. If someone is “evil”, then all ideas must come from a place where the individual, their family or group are acting against the greater good of the society. If the corrupt can claim their adversaries are corrupt, then there is no perception of justice. When every conflict great and small is taken in terms of good vs. evil, no progress can be made and corruption becomes more of a nuance than a lack of accountability.
With such a system in place, corruption will never face justice as powerful groups in black and white societies benefit the most when there is no room for truth and civil discourse. With entrenched corruption, it is inevitable that a nation’s finances will wane and debt will grow. Those in power act according to their self-interest, and if challenged by others in society, they promptly label their challenger as evil, discrediting him or her.
For generations in Colombia, revolutionary groups have claimed that their narco-business was a form of resistance against a corrupt government. The revolutionaries killed many innocent people, and the response by the government also produced civilian causalities.
In Mexico, with the current government being seen by many as not only being inherently corrupt, but having knowledge and perhaps a role in the death of dozens of protestors, the view is that an evil government gives rise to a Robin Hood. Justice is therefore seen as the only alternative, often by any means necessary. Sean Penn and other journalists who engage with narco traffickers take the position that, if they operate in a system where the government itself is inherently corrupt and unjust, then the alternative must be in some sense a righteous one. Often this impression leads to the death of many innocents, at the same time converts the narrative into one of justice against evil.
While this narrative is not unique to one region of the world, it divides discussions into those of “us vs. them.” It promotes not only the status quo, but often hurts those who need justice the most. In the big discussion of El Chapo and the Mexican government, the citizens of Mexico are almost never mentioned.
In a debate between Republicans and Democrats, the distain each side feels towards the other will do more to give rise to added corruption by an elite that has little regard for the people they wish to govern.
In Brazil, corruption scandals have triggered historic debt levels and suffering for its people, leading two million people to take to the streets and demand justice. If there is a method to dispel the dominant narratives, justice can perhaps relinquish the ills of corruption. However, this may only occur when finances are in shambles and debt is affecting each citizen personally. This is happening in Brazil, and only after there were no other choices left.
La secte islamiste a encore frappé au Nigéria. Au moins 7 morts ont été dénombrés dans une nouvelle attaque de Boko haram dans le nord-est du pays. Les responsables locaux de la police ont informé la presse deux jours après l'attaque, vu les difficultés d'accès et de communication dans cette région du pays.
Après le signalement de nouveaux crimes ce weekend à Bujumbura, la situation sécuritaire reste préoccupante au Burundi, certains craignant même une dérive génocidaire. Quels sont les éléments de tension ?
Un rapport confidentiel présenté au Conseil de sécurité des Nations unies indique qu’il y a différents scénarios possibles, dont celui, tout à fait envisageable, d’un génocide. Nous sommes dans une situation qui s’est profondément aggravée au fil du temps. Cela remonte à la décision d’avril 2015 du président burundais Pierre Nkurunziza de se présenter aux élections présidentielles et de faire, si ce n’est un coup d’Etat constitutionnel, une manipulation constitutionnelle dans le but de briguer un troisième mandat. Il y a depuis eu une extension des mouvements d’opposition, des répressions extrêmement violentes, une tentative ratée de coup d’Etat et des attaques de bastions militaires à Bujumbura au mois de décembre, fortement réprimées. Nous sommes donc dans un engrenage.
Jusqu’à présent, le conflit n’était pas réellement ethnicisé, même s’il y avait en mémoire ce qui s’est passé entre 1993 et 2005 où il y a eu environ 300.000 morts. On était dans une situation où le jeu paraissait essentiellement politique. Or, aujourd’hui, entre cinq et sept factions armées sont à la fois présentes au Burundi et dans les deux pays voisins, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, et sont toujours capables de mobiliser des jeunes désœuvrés. De très nombreuses armes circulent et sont disponibles. Il existe un risque réel de dérive pouvant conduire à une augmentation des assassinats et des déplacés que l’on estime déjà à plus de 200.000 personnes. Les risques que cette grave crise dérive vers un génocide sont réels.
La communauté internationale s’est-elle saisie de l’ampleur de la crise ?
La communauté internationale s’en est saisie, mais le Burundi ne représente pas un réel enjeu stratégique sur le plan international. Il ne concerne pas les problématiques liées au djihadisme, au terrorisme et à l’islamisme radical, qui préoccupent actuellement le monde occidental. C’est un petit pays enclavé qui n’est pas non plus stratégique du point de vue de ses ressources. Toutefois, la communauté internationale a en tête le génocide de 1994 au Rwanda, où sa responsabilité est grande. Elle est consciente que l’histoire ne doit pas se répéter dans le pays jumeau qu’est le Burundi.
La France a, au niveau des Nations unies, fait des propositions d’intervention. Une intervention des Nations unies est bien entendu envisageable si le scénario pré-génocidaire est retenu. Ceci étant, tous les pays membres du Conseil de sécurité n’ont pas la même position du cas burundais puisque Nkurunziza est notamment défendu par la Russie et la Chine, ce qui est susceptible d’entraîner un veto au niveau du Conseil de sécurité.
L’Union européenne se mobilise comme elle le fait d’habitude, c’est-à-dire par des sanctions, en affirmant que l’aide ne doit pas non plus nuire aux populations burundaises. Il faut en effet savoir que l’aide est fondamentale pour assurer l’équilibre budgétaire du Burundi. L’Europe n’est ainsi pas très mobilisée, si ce n’est au nom de la défense des droits de l’homme.
Quant à l’Union africaine (UA), elle a avancé des propositions d’intervention militaire qui ont été récusées par le pouvoir burundais. Il faut savoir que l’UA est un syndicat de chefs d’Etats et qu’elle peut, en vertu de ses accords constitutifs, intervenir malgré la volonté d’un pays. Mais en réalité, la plupart d’entre eux n’en ont pas envie. Pour ce faire, il faudrait une majorité des deux-tiers, ce qui semble peu probable. Beaucoup de pays dont les chefs d’Etats ont eux aussi manipulé la constitution ne souhaitent pas adopter une position forte vis-à-vis du Burundi. C’est notamment le cas de la RDC, de la Tanzanie, de l’Angola ou encore du Zimbabwe. La négociation lancée sous l’égide de l’Ouganda entre les représentants du pouvoir en place et le regroupement des différentes forces de l’opposition, eux-mêmes très divisés, a échoué. Pour l’instant, l’UA est largement défaillante.
Le Burundi accuse notamment le Rwanda d’entraîner des Burundais sur son sol et les renseignements de la RDC s’inquiètent d’infiltrations à l’Est de rebelles burundais. Quels sont les risques d’un embrasement régional ?
Les risques d’un embrasement régional sont très grands. Il s’agit d’une configuration où les différentes factions armées sont localisées en RDC, au Rwanda et en même temps au Burundi. Le recrutement de jeunes ne pouvant s’effectuer sur une base religieuse, se fera naturellement sur une base ethnique (entre hutu et tutsi). Ainsi, le problème va s’ethniciser. Il est facile de mobiliser des jeunes désœuvrés sur cette base, dès lors qu’on leur fournit des armes et qu’on les paye. Il est évident que le conflit du Burundi deviendra un conflit régional. Le président rwandais Paul Kagamé a affirmé qu’il soutiendra jusqu’au bout les tutsis. La RDC soutiendra quant à elle les mouvements hutus. Les affrontements entre milices hutus et tutsis ayant cours dans la province du Kivu depuis 1994 s’accentueront au niveau régional. Cela n’est pas réjouissant et doit être à tout prix évité. Il y a de ce point de vue une responsabilité de la part de la communauté internationale, qui doit impérativement être présente sur le dossier burundais.
A Tiszakeresztúri Oktatási-Nevelési Központ igazgatósága, valamint szülői közössége köszönetét fejezi ki a Bethlen Gábor Alapkezelő Zrt.-nek, hogy az alapkezelő által nyújtott támogatás révén teljesen felújíthatták az intézmény konyháját, valamint vásárolhattak egy modern, négy főzőlappal ellátott villanytűzhelyet. Ennek a felújításnak köszönhetően elhárultak a keresztúri óvodások és iskolások étkeztetésének akadályai. Egyúttal köszönjük a KMKSZ Jótékonysági Alapítványnak, hogy elősegítette a pályázati cél megvalósulását.
Szokatlan célpontot bombázott kedden az amerikai légierő Irakban. Moszul központjában egy olyan épületet szemeltek ki, ahol az Iszlám Állam pénztartalékai hevertek – tudta meg a CNN amerikai védelmi forrásból.
A rendhagyó légicsapásban porrá zúzták azt az épületet, ahol több millió dollárnyi készpénzt tartottak a dzsihadisták. Amerikai közlés szerint a felrobbantott összeget az Iszlám Állam későbbi műveleteire szánta. A Pentagon egyik szóvivője szerint két 900 kilós bombát dobtak az épületre, amely pillanatok alatt összeomlott.
De a dzsihadistákra mért csapás pénzügyi vonzata ennél sokkal fontosabb szerepet játszik. Éppen ezért több támadást terveznek a közeljövőben, a cél továbbra is az Iszlám Állam pénzügyi meggyengülése egészen addig a szintig, hogy képtelenek legyenek tovább finanszírozni állami entitásukat a régióban. Hasonló légitámadás volt a pár héttel ezelőtti is, akkor az amerikai harci gépek az Iszlám Állam olajszállító teherautóit semmisítettek meg.
A moszuli légicsapás – bár sikeresnek bizonyult – rendkívül kockázatos támadás volt, mivel az épület egy sűrűn lakott területeten helyezkedett el. A parancsnokság eredetileg 50 civilt áldozott volna fel a sikeres akció érdekében, de a robbanás utáni hírközlések 5-7 áldozatról számoltak be.
A közlés nem tér ki arra, milyen forrásból értesült az amerikai hírszerzés a pontos helyszínről. De ahogy az információk birtokába jutottak, pár napos megfigyelés után drónokat és harci gépeket irányítottak a területre. A felvételek alapján végül eldöntötték, hol a legkevésbé kockázatos bombázni.
Negyedik alkalommal szervezett Beregszászban találkozót január 9-én a Kárpátaljai Magyar Nagycsaládosok Egyesülete (KMNE) a kis- és nagycsaládok számára. Az egész napos programra érkező szülőket és gyerekeket idén is a II. Rákóczi Ferenc Kárpátaljai Magyar Főiskola látta vendégül. A népes társaságot először Török Dénes, a KMNE elnöke, valamint Sipos József református lelkész, Levcsenkó Róbert görögkatolikus áldozópap és Molnár János római katolikus pap köszöntötte. Az eseményt megtisztelte jelenlétével dr. Brenzovics László, a Kárpátaljai Magyar Kulturális Szövetség elnöke, Szalipszki Endre, Magyarország Beregszászi Konzulátusának főkonzulja, dr. Orosz Ildikó, a Rákóczi-főiskola elnök asszonya, valamint Pataki János, a Kárpát-medencei Családszervezetek Szövetségének elnöke.
Az üdvözlő szavak után a felnőttek és a korosztályos csoportokra osztott gyerekek külön-külön programokon vehettek részt. A legkisebbek (3−6 évesek) előbb Csernik Szende székely lábbábos előadását tekinthették meg, majd kézműveskedhettek. A kiskamaszok (7−12 évesek) számára a beregszászi cserkészek szerveztek vetélkedőt. A 13 év felettieket nemek szerint szétbontották, a fiúkkal Gogola István pszichológus foglalkozott, míg a lányok a tiniket megszólító Pure Fashion szervezetet ismerhették meg.
Fotó: Pataki János
Eközben a szülők két előadást hallgathattak meg. Léder László pszichológus Apák az apátlan társadalomban címmel beszélt arról, hogy milyen szerepet kell betöltenie a családban az édesapának, s hogy ez mennyire valósul meg napjaink társadalmában.
Ezt követően Telek Péter Pál pedagógus A férfivá válás útján címmel tartott előadást a férfi nemi identitásról.
A délelőtti program ebéddel zárult, majd a Beregszászi Református Egyházközség gyülekezeti termében A boldog herceg című mesét adták elő a gyermekszínjátszók.
Ezután a kamaszok kipróbálhatták a város főterén felállított korcsolyapályát, majd a Csörömpölők Együttes tartott zenés-táncos foglalkozást valamennyi gyermek részére.
Eközben a felnőttek – közülük is inkább a férfiak − csoportos beszélgetést folytattak Léder László és Telek Péter Pál koordinálásával.
A több mint 400 fő részvételével megtartott rendezvény színházi programmal zárult: a Kárpátaljai Megyei Magyar Drámai Színház társulata adott elő egyfelvonásos Csehov-komédiákat.
Marosi Anita
Kárpátalja.ma
A VS.hu erdélyi, felvidéki, kárpátaljai és vajdasági magyar iskolákban forgatott dokumentumfilmjében arra kereste a választ, van-e jövője a magyar nyelvnek az országhatárokon túl. Tanárokkal, szülőkkel, diákokkal beszélgettek iskolaválasztásról, többnyelviségről és identitásról.
C'est l'information qui a fait les gros titres de la presse sénégalaise lors des derniers jours de l'année 2015. Dans la nuit du 24 au 25 décembre, soit la veille du Gamou, une fête religieuse musulmane qui tombait cette année la veille de Noël, onze «supposés homosexuels», pour reprendre les mots employés par les médias locaux, ont été arrêtés dans la ville très religieuse de Kaolack.
EXKLUSIV / Der britische Premierminister David Cameron fährt schon vor dem Referendum einen wichtigen Sieg ein: Die Halbzeitüberprüfung des siebenjährigen EU-Haushalts, ein wichtiger Termin für die Juncker-Kommission, fällt definitiv ins Wasser. EurActiv Brüssel berichtet.