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ALGER – Les participants à la conférence nationale sur la gestion des risques de catastrophes ont mis l’accent, à l’issue de leurs travaux mardi, sur l’importance du processus de consolidation des capacités juridique, de formation et de sensibilisation de l’Algérie afin d’affronter efficacement les risques des catastrophes naturelles.

Les participants à cette conférence ont appelé à une meilleure prise de conscience quant aux risques indésirables et aux lourdes pertes causés par les catastrophes naturelles qui ont frappé le pays, et ce à travers une meilleure identification des risques et une plus grande collaboration entre les centres spécialisés et les universités.

Les intervenants composés d’experts et de représentants de différents organismes, nationaux et internationaux, ont relevé l’impératif mise en place d’une base de données spéciale à chaque risque, en prenant en considération l’élaboration de cartographies relatives aux risques, et d’un système d’information géographique spécial.

Les participants ont, également, plaidé pour la mise en place de systèmes d’alerte spéciaux des risques (littoral, désertification, invasion de criquets …etc.) et pour la création d’une commission chargée du suivi des risques, tout en informant le citoyen des dangers qui guettent son entourage en le mettant en garde contre ces risques.

Outre le renforcement et l’actualisation de la base juridique et institutionnelle en l’adaptant à la cartographie des nouveaux risques, les conférenciers ont mis en exergue l’importance de promulguer des lois et des textes règlementaires en rapport avec ce thème.

La détermination minutieuse des responsabilités pour une gestion efficace des risques de catastrophes  à travers la cohésion et la complémentarité entre les secteurs a été également relevée.

S’agissant du renforcement de la préparation aux catastrophes pour une intervention efficace, les experts et spécialistes ont préconisé la prévision, la planification et l’intégration de la notion du risque au processus de la planification et de la politique du développement, à tous les niveaux, avec l’encouragement des villes et des sociétés locales à consentir davantage d’efforts pour se développer et se rénover, et ce dans le but de bâtir des sociétés en mesure de faire face, à l’avenir, aux  catastrophes. 

Les conférenciers ont également souligné l’importance de la formation des différents intervenants, à travers des actions de formation dans la réalisation et l’exécution des plans de secours.

Pour rappel, les travaux de la conférence nationale sur la gestion des risques de catastrophes avaient débuté lundi au centre international des conférences (CIC) à Alger, en présence de plus de 600 participants issus d’institutions et organismes nationaux.

Cette rencontre de deux jours s’est penchée sur les grands axes de la stratégie nationale (2019-2030), les plans d’actions multisectoriels en matière de gestion des catastrophes et la sensibilisation et la mobilisation des institutions nationales, des collectivités locales et de toutes les parties prenantes autour de cette problématique, en sus de l’actualisation des fondements juridiques et leur adaptation aux contenus de différentes règlementations internationales.

Lors de cette conférence, le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui avait annoncé, lundi, la décision du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika de prendre en charge « immédiatement », les victimes des intempéries ayant  touché récemment certaines wilayas.

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Le Bénin accueille le 7ème Salon Africain de l'Invention et de l'Innovation Technologique (S.A.I.I.T). Prévu pour se tenir du 24 au 27 octobre 2018, le Salon sera l'occasion de découvrir l'invention et l'innovation technologique africaine. C'est en prélude à ce salon que le ministre Serge Ahissou a rencontré le journaliste mardi dernier pour faire part de l'effectivité de l'événement et ses atouts pour le Bénin.
Le Bénin accueille dès, ce mercredi 24 Octobre, le 7ème Salon Africain de l'Invention et de l'Innovation Technologique (S.A.I.I.T). A ce sujet, le ministre béninois de l'industrie et du commerce Serge Ahissou a rencontré les professionnels des médias, en présence du Directeur Général de l'organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), Dénis Bohoussou.
Il a été question au cours de cette conférence de presse de présenter les enjeux et défis de ce 7ème salon. Le Bénin voudrait selon le ministre, à travers ce salon, marquer son engagement à accompagner les inventions et innovations technologiques des Africains. C'est ce qui sous-tend cette volonté d'accueillir l'événement. Il s'agira donc d'un atout incontestable pour les entrepreneurs africains, non seulement pour nouer des partenariats d'affaires mais aussi et surtout de révéler leurs talents au public. Une grande fierté selon le ministre pour le Bénin d'organiser ce salon.
Dénis Bohoussou, DG OAPI, a souligné que c'est une opportunité visant l'éclosion du génie inventif et créatif africains. Une dizaine de prix sera attribuée aux meilleurs inventeurs africains sur une cinquantaine de postulants.
Ce 7ème Salon Africain de l'Invention et de l'Innovation Technologique (S.A.I.I.T) durera quatre jours. G.A.

Der Bau einer modernen Schule in Vukovar sollte die Integration unterschiedlicher Nationalitäten unterstützen. Das Projekt wurde jedoch niemals vollständig umgesetzt.

Auszüge: Waren die Nazis verkappte Sozis? Besiegte Brüssel Adolf Hitler?

ALGER- Le rapport de la Commission des Affaires juridiques, administratives et des libertés de l’Assemblée populaire nationale (APN) relatif à la constatation de la vacance du poste de président de l’Assemblée a été adopté mercredi à la majorité des députés lors d’une séance plénière présidée par El Hadj Laib en sa qualité de doyen de l’Assemblée.

Lors de cette séance, 317 députés ont voté oui, un (1) contre et deux députés se sont abstenus.

La séance plénière consacrée à l’adoption de ce rapport a été boycottée par les députés du Front des forces socialistes (FFS, 14 députés), le Parti  es travailleurs (PT, 11), le Mouvement de la société pour la paix (MSP, 34), Front El-Moustakbil (14), le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD, 9), le Mouvement El-Islah (1), l’Alliance Adala-Ennahda-Bina (15), ainsi que les députés de l’Alliance nationale républicaine (ANR, 6),  Les partis de la majorité au sein de l’APN qui ont approuvé le rapport sont le FLN qui compte 161 députés à l’Assemblée, le RND (100), Tajamoua Amel El-Djazair (20) et le MPA (13) ainsi que les indépendants (plus de 30 députés).

A l »issue de cette adoption, il sera procédé à élection du nouveau président de l’Assemblée en remplacement de M. Saïd Bouhadja qui a fait l’objet d’un retrait de confiance de la part de la majorité des députés.

L’unique candidat à ce poste est le président du groupe parlementaire du parti du Front de libération nationale (FLN), Mouad Bouchareb.

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Au lieu de 300 millions comme initialement prévu, l'excédent budgétaire est désormais attendu à 2,5 milliards de francs.

On sait désormais que la Haut-Valaisanne Viola Amherd briguait le poste de la conseillère fédérale PDC.

The Serbian Defence Ministry has published a book by the former Yugoslav Army chief of staff Nebojsa Pavkovic, who is currently serving a prison sentence for war crimes in Kosovo.

ALGER-Le député du parti du Front de libération nationale (FLN), Mouad Bouchareb, a été élu mercredi à la majorité nouveau président de l’Assemblée populaire nationale (APN) en remplacement de Said Bouhadja M.Bouchareb a été élu à main levée lors d’une séance plénière présidée par le député Hadj Laib en sa qualité de doyen des membres de l’APN.

Sur l’ensemble des 321 députés qui ont voté lors de cette séance, 320 ont voté oui (33 par procuration), alors qu’un député s’est abstenu. 

Avant son élection à la tête de la chambre basse du Parlement, M. Bouchareb (47 ans) élu de la wilaya de Sétif au titre de la 8ème législature, issue des élections législatives de mai 2017, occupait le poste de président du groupe parlementaire du FLN.

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Le Conseil fédéral a choisi le nouveau président de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich.

ANTWERPEN/ROTTERDAM - Die Technologie ist vielversprechend. Elektro-Frachter sollen dereinst die Dreckschleudern von den Weltmeeren verdrängen. Dumm nur: Nach 35 Stunden machen die Batterien schlapp.

90 Prozent des weltweiten Handels wird mit Frachtern abgewickelt. Diese sind veritable Dreckschleudern, verbrennen Schweröl und verpesten die Luft mit Schwefel. Kein Wunder, forscht man nach ökologischeren Alternativen.

Eine Möglichkeit könnten elektrische Frachter sein. In den Häfen von Rotterdam und Antwerpen sind bereits die ersten Elektro-Binnenschiffe unterwegs, wie die «Handelszeitung» berichtet. Sie schippern Waren aus dem Hinterland in die beiden grössten Häfen Europas. 

Platz für 280 Container

Die Binnenschiffe der Firma Port Liner sind 145 Meter lang und fast 12 Meter breit. Sie haben Platz für 280 Seefracht-Container. Leere Batterien können mit einem Ladekran durch volle Akkus ausgetauscht werden. Weiter lassen sie sich direkt an Bord aufladen. Vier Stunden dauert dieser Vorgang.

In den Medien werden die Frachter «Tesla-Schiffe» genannt, obwohl Tausendsassa Elon Musk (47) nichts mit deren Entwicklung zu tun hat. Noch ist die Reichweite nicht wirklich hochseetauglich. Nach 35 Stunden Fahrt machen die Batterien schlapp.

Diesel-Frachter umrüsten

Und doch: Das Potenzial ist enorm. Auch weil ältere Dieselschiffe umgebaut werden können. Allein in Europa schätzen Experten den Markt an umrüstbaren Diesel-Binnenschiffen auf 15'000. In China könnten sogar 200'000 Schiffe auf Batteriebetrieb umgebaut werden. (pbe)

Maître Taleb Khayar ould Mohamed Mouloud - Abordé de manière lapidaire dans la partie (4) de la présente contribution, le taux d’escompte est...

Zum Besuch der "Kohlekommission" haben sich im rheinischen Kohlegebiet 20.000 Arbeiter des Kohlesektors zu Protesten zusammengefunden. Sie fordern, ihre Arbeitsplätze auch im Strukturwandel zu sichern.

L'Autorité de régulation de l'électricité (Are) a conduit, mardi 23 octobre, une délégation de la Commission de régulation de l'énergie de la France et autres acteurs sur le site de construction de 120 Mw à Maria-Gléta 2, dans la commune d'Abomey-Calavi. La visite s'est tenue en prélude aux journées d'échanges qu'elle organise cette semaine à Cotonou.

La situation énergétique et les solutions engagées par le gouvernement Talon séduisent les spécialistes en la matière. Afin de montrer à la Commission de régulation de l'énergie de la France et autres acteurs du secteur les efforts du Bénin matière énergétique, l'Autorité de régulation de l'électricité (Are) du Bénin a effectué une visite sur le site de construction de 120 Mw à Maria-Gléta 2.
Le Coordonnateur du projet de construction des 120 Mw, Emeric Tokoudagba, indique qu'après 306 jours de travaux, le chantier est exécuté à 65% sans incident. Ce qui confirme le respect des normes en matière de santé, sécurité et environnement, selon Roudi Akiki, directeur adjoint du chantier. Selon le président de l'Are du Bénin, Gbèdonougbo Claude Gbaguidi, neuf mois de travail permettront de substituer à la centrale en location qui coûte trois fois, voire quatre fois plus cher. Le Bénin pourra aussi assurer une fourniture de qualité.
Le responsable de la délégation française, chef de la délégation de la Commission de régulation de l'énergie de France Catherine Edwige, a dit sa satisfaction au regard des efforts louables en matière de d'indépendance énergétique dont fait montre le gouvernement béninois.
Le chef de Coopération à la Délégation de l'Union européenne au Bénin, Ruben Alba Agulera, indique que la centrale permettra bientôt de fournir de l'énergie à la population béninoise.
Cette construction entre dans le cadre des engagements du gouvernement à mettre fin au délestage dans le pays. Une réelle satisfaction puisque tout est mis en place pour la réalisation effective de ce rêve cher au chef de l'État.

G'A

TV-Moderatorin Michelle Hunziker schildert in einem Interview, wie sich die Alkoholsucht ihres 2001 verstorbenen Vaters auf ihr Leben als Kind auswirkte.

Sie sprach ein weiteres schweres Kapitel ihres Lebens an: Nachdem Michelle Hunziker (41) in ihrer Biografie «Ein scheinbar perfektes Leben» ausführlich über ihre Jahre in den Fängen der Sekte «Krieger des Lichts» berichtete, erzählte sie gestern Abend in der katholischen Sendung «Ave Maria» auf dem italienischen Sender Tv2000, wie schwierig es für sie gewesen sei, einen trinkenden Vater zu haben.

Wie sich das im Alltag äusserte, schilderte sie mit einem Beispiel: «Einmal habe ich in der Schule auf ihn gewartet», erinnert sich die Moderatorin in der Sendung. «Er nannte mir eine Zeit, zu der er kommen wollte, doch er kam nicht.» Weil er wieder mal betrunken gewesen sei, habe er den Abholtermin einfach vergessen. «Ich wartete Stunden mit meinem Rucksack vor der Schule und war mir sicher, dass Papa kommen würde. Ich verteidigte ihn auch gegen alle anderen.»

«Ich dachte, er liebt den Alkohol mehr als mich»

Ihre Mutter Ineke (72) habe ihr die Illusionen dann allerdings genommen. «Sie hat zu mir gesagt: ‹Dein Vater kann das nicht, er ist Alkoholiker.›» Sie habe es aber nicht wahrhaben wollen und sei sauer auf ihn geworden, ergänzt sie. «Weil ich dachte, er liebe den Alkohol mehr als mich.»

Als Kind sei sie allerdings schlicht zu jung gewesen, um ihre Eltern zu verstehen. «Irgendwann wurde mir dann aber klar, dass ich die Liebe meines Vaters fühlte – als er nüchtern war. Doch als er trank, machte er all das wieder kaputt.»

So unterschiedlich erzieht sie ihre Töchter

In der Sendung war auch ihre frühe Mutterschaft Thema – und welche Schwierigkeiten das mit sich brachte. Hunziker war gerade mal 19, als sie Aurora (heute 21) zur Welt brachte. «Wenn du so jung Mami wirst, hast du keine Lebenserfahrung, und dann klammerst du dich an die Regeln und versuchst dein Bestes zu geben.» Regeln, die ihr geholfen hätten, Aurora zu erziehen. Und das habe auch gut funktioniert. «Dennoch sagt Aurora immer, ich sei ein General.»

Jetzt, als eher ältere Mutter ihrer beiden anderen Töchter Sole (5) und Celeste (3), sei das ganz anders. «Wenn du älter bist, bist du flexibler, hast mehr Erfahrung und daher einen anderen Ansatz.» So könne sie auch die frühe Kindheit ihrer Mädchen viel mehr geniessen. «Weil du über einige Dinge lächeln kannst, die dich vielleicht beim ersten Kind noch beunruhigt hatten.» (wyt)

Több, mint harmincezren vettek végső búcsút pénteken Kercs főterén a város műszaki szakiskolájában történt vérengzés áldozataitól.

A szertartáson az ámokfutó húsz áldozata közül 17-et búcsúztattak el muszlim és ortodox keresztény imaszóval, a Krím Köztársaság vezetője, Szergej Akszjonov és a helyi parlament vezetője, Vlagyimir Konsztantyinov részvételével. A többieket a szülőföldjükön, a félszigeten kívül temették el.

A rendkívüli biztonsági intézkedések közepette megtartott kercsi szertartáson a város polgármestere, Szergej Borozgyin összefogásra és az áldozatok hozzátartozóinak támogatására szólított fel.

A Krímben csütörtökön háromnapos gyász kezdődött, a szórakoztató rendezvényeket és műsorokat törölték. A félsziget templomaiban gyászliturgiát tartanak. A helyi kormányzat az életüket vesztett áldozatok hozzátartozóinak 1 millió rubel (4,26 millió forint), a sebesültekének pedig 500 ezer rubel fájdalomdíjat fizet ki, és állja a temetés költségeit is.

A tömeggyilkosság tettesét, Vlagyiszlav Roszljakovot külön fogják eltemetni hozzátartozói. Az elkövető holttestét orvosszakértői vizsgálatnak vetik alá, a szervezetében alkohol és kábítószer nyomait keresik. Roszljakov posztumusz pszichológiai és pszichiátriai vizsgálata megkezdődött az ámokfutás indítékainak megállapítására.

A kiemelt bűnügyekben eljáró Nyomozó Bizottság (SZK) elnöke, Alekszandr Basztrikin is a Krímbe utazott. A hatóság egyebek között azt akarja kideríteni, hogy hogy mi volt az elkövető agresszivitásának oka, valamint hogy előre kitervelt, avagy spontán támadás történt-e szerdán a kercsi szakiskolában.

A 18 éves, negyedikes, vegyész szakos tanuló Roszljakov húszembert – 15 diákot és öt felnőttet – agyonlőtt, majd magával is végzett a tanintézményben. A támadó egy házi készítésű, srapnellel megtöltött robbanószerkezetet is működésbe hozott.

A lövöldözés és a detonáció következtében több mint félszázan megsebesültek. A sérültek közül pénteken húszat a Krímben, további 23-at pedig a félszigeten kívül, Moszkvában és más orosz nagyvárosok kórházaiban kezeltek.

A nyomozásról eddig nyilvánosságra került információk szerint Roszljakovnak személyes indítékai lehettek. A médiában oly értesülés is megjelent, hogy a fiatalember többször konfliktusba keveredett az őt egyedül, nagyon szerény körülmények között nevelő anyjával, aki az Oroszországban betiltott Jehova tanúi felekezet követője.

A hatóságok egyebek között arra is igyekeznek választ találni, hogy honnan volt Roszljakovnak pénze fegyvervásásra.

La Libre - La politique européenne appuie un régime de ségrégation raciale pour des raisons commerciales. Stop ! Une opinion de Maryvonne...

A report published by the European Commission on World Polio Day sheds light on the low levels of trust in most immunisations among Bulgarians, despite their high vaccination rates.

Romania’s biggest cybersecurity company, Bitdefender, announced that it has finalised the purchase of Dutch network security analytics startup RedSocks. 

BOSWIL AG - In Boswil AG ist ein Streit zwischen zwei Männern am Mittwoch eskaliert. Dabei wurde der Schweizer Benji R. (22) von seinem Mitbewohner mit einem Messer angegriffen und verletzt.

Eine Stichverletzung am Oberarm ist das Resultat einer heftigen Auseinandersetzung zwischen zwei Männern in Boswil AG. Gegen 5 Uhr war am Mittwochmorgen bei der Kantonspolizei Aargau die Meldung über eine schreiende Person in der Nähe des dortigen Bahnhofs eingegangen.

Ein Grossaufgebot der Polizei rückte aus. Das Sondereinsatzkommando Argus umstellte das Haus an der Vor Ort trafen die Rettungskräfte auf einen verletzten 22-jährigen Schweizer.

Mitbewohner attackiert Benji R. (22) mit Messer

Laut «Tele M1» handelt es sich bei dem Opfer um den Benji R., der in Boswil wohnt. Der Angreifer soll demnach sein Mitbewohner sein. Dieser ergriff nach der Messer-Attacke die Flucht.

Der Auslöser für den Angriff sei gemäss dem 22-Jährigen ein banaler Streit gewesen. «Ich schätze, er hat sich gestört gefühlt, weil ich ihm gesagt habe, dass er etwas leiser sein soll», sagt Benji R. zu «Tele M1». Der Mitbewohner habe zuvor Zoff mit seiner Freundin gehabt.

Messer-Angreifer von Boswil AG ist auf der Flucht

Benji R. musste mit einer «fünf bis sechs Zentimeter tiefen Wunde» von der Ambulanz ins Spital gebracht werden, wo die Stichverletzung genäht wurde. Er konnte derweil das Spital wieder verlassen.

Die Kantonspolizei Aargau, unterstützt durch weitere aufgebotene Patrouillen und einen Polizeihund, fahndeten nach dem Täter – bisher aber ohne Erfolg. Die zuständige Staatsanwaltschaft Muri-Bremgarten hat eine Strafuntersuchung eröffnet. (rad/jmh)