Les marchands béninois ont été formés pour tirer parti de la nouvelle version de BENINMARKETPLACE.BJ, la plateforme e-commerce dédiée à la promotion des produits ‘'made in Benin''. La séance de formation et d'information a réuni, jeudi 28 août 2025, les marchands de l'outil en présentiel au siège de la CCI Bénin à Cotonou et en ligne pour les régions.
La Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI Bénin) a organisé une séance d'information et de formation, jeudi 28 août 2025, sur BENINMARKETPLACE.BJ au profit des marchands. Les participants ont échangé avec la nouvelle équipe de gestion de la plateforme et découvert les outils nécessaires pour mieux exploiter BENINMARKETPLACE.BJ à la suite de sa refonte.
La plateforme fait partie de la stratégie de la CCI Bénin pour renforcer la compétitivité des entreprises locales face aux défis mondiaux, selon la représentante de la CCI Bénin. Lydie ADISSO informe que la gestion de la plateforme a été confiée, à l'issue d'un processus de sélection, à une nouvelle équipe.
Pour Ulrich AGNOUN, Directeur général de Le Coursier, une entreprise spécialisée dans la livraison express de courriers et colis, la nouvelle équipe a pour mission d'augmenter la visibilité des produits locaux, simplifier les opérations des marchands, et surtout accroître leurs ventes.
« Nous avons pour vision de transformer la livraison express, connecter les entreprises et individus en un temps record et rendre la technologie accessible pour tous », a-t-il indiqué. Le responsable de Le Coursier a insisté sur l'importance d'une collaboration étroite entre la nouvelle équipe de gestion et les marchands pour garantir une gestion efficace des stocks et soutenir la promotion du ‘'Made in Bénin'' au-delà des frontières nationales.
Un outil simple et accessible
La présentation de la plateforme par Wallys KAKAHOUN, responsable technique, a permis aux marchands de découvrir les fonctionnalités de BENINMARKETPLACE.BJ
Les utilisateurs peuvent explorer neuf grandes catégories de produits : agro-alimentaire, mode, art, décoration, cosmétique, informatique, etc. « Le client (…) qui vient visiter la plateforme a la possibilité de faire rapidement une recherche sur un produit. (…) On lui fait des propositions en fonction des produits, en fonction des mots clés qu'il a choisis. En cliquant sur ‘'ajouter'' au panier, il est capable d'acheter directement », a expliqué le responsable technique. Les options de paiement, selon la présentation, incluent les moyens mobiles et même les cartes bancaires internationales.
Serge PADONOU, participant, a souligné l'importance de cette plateforme pour les artisans et les producteurs locaux. Selon lui, « la distribution est l'un des plus grands défis pour les fabricants et artisans ». BENINMARKETPLACE résout ce problème, tout en offrant une solution sans frais supplémentaires.
La plateforme est une excellente alternative puisque chaque producteur n'est pas en mesure de mettre en place sa solution. Avec une gestion efficace de la logistique et des livraisons, BENINMARKETPLACE est une solution clé en main, à en croire Judith EGOUNLETY, une participante.
Lydie ADISSO a invité les marchands à utiliser la plateforme. « Il vous suffit de vous rendre sur www.beninmarketplace.bj pour vous inscrire », a-t-elle indiqué.
Une séance de questions-réponses et la distribution des termes de la collaboration aux marchands ont mis un terme à la rencontre.
Marc MENSAH
Le cabinet du député Edmond Agoua a lancé officiellement, ce vendredi 29 août à Cotonou, la vulgarisation des lois électorales à travers un pamphlet, en vue des élections générales de 2026.
Un pamphlet explicatif, reprenant les dispositions essentielles des lois 2019‑43 du15 novembre 2019 et 2024‑13 du 15 mars 2024, a été présenté ce vendredi 29 août 2025 à Cotonou, aux acteurs politiques, représentants d'Organisations de la Société Civile (OSC) ainsi qu'aux journalistes.
Cette initiative de Edmond Agoua, député à l'Assemblée nationale, 9è législature, marque le début d'une campagne d'éducation citoyenne à l'échelle nationale.
La campagne résulte d'un constat fait par le député. « (…) Les populations à la base, même certains cadres à divers niveaux, ignorent royalement nos textes de lois, bases sur lesquelles les décisions importantes se prennent. Malheureusement, beaucoup d'entre nous vont vers les urnes avec de faux préjugés, les conduisant vers de mauvaises décisions de vote. (…) Ainsi, plusieurs d'entre nous ne votent pas utiles », explique Benoît Seydou, chef de cabinet du député Edmond Agoua. Il s'agit donc de faire connaître aux populations « les fondamentaux du code électoral en vigueur au Bénin afin de faire un choix objectif tenant compte des articles 184,132 nouveau, 146 nouveau, 199 nouveau, 201 nouveau et 201-1 nouveau ».
Le juriste Anderson Vlavonou, membre du cabinet du député, a pris ensuite la parole pour présenter le contenu du pamphlet mis à disposition du public.
Un cadre juridique, des conséquences…
L'orateur a commencé par l'article 184, resté inchangé depuis 2019, relatif à la désignation des chefs de village ou de quartier de ville. Selon lui, cette disposition introduit un changement radical. « Désormais, les chefs de village ou de quartier seront désignés par le parti ayant obtenu le plus grand nombre de voix dans la localité, à condition d'avoir aussi atteint 10 % des suffrages exprimés au niveau national ».
Concrètement, cela signifie que les petits partis, régionaux ou peu représentés, sont d'office exclus de ce processus. « Les micro partis, les partis détaillants ou régionaux auront zéro chef de village, zéro chef de quartier », a-t-il martelé.
Il a ensuite abordé l'article 199, portant sur la désignation des chefs d'arrondissement. Là encore, seule une formation politique ayant franchi le seuil national des 10 % peut proposer un chef d'arrondissement élu parmi ses conseillers.
« À défaut de candidat du parti majoritaire, n'importe quel autre conseiller de la commune peut être désigné », a-t-il précisé, tout en soulignant que la règle exclut automatiquement les partis trop faibles pour atteindre ce seuil.
Toujours selon le juriste, cette même logique s'applique aux élections communales. Seuls les partis qui réunissent au moins 10 % des suffrages à l'échelle nationale peuvent prétendre à l'attribution de sièges de conseillers. « Cela implique que les micro partis ou partis détaillants auront zéro conseiller communal. Le seuil est clair et ferme ».
La présentation s'est ensuite focalisée sur l'article 146 nouveau, qui régit l'élection des députés à l'Assemblée nationale. Désormais, les partis devront non seulement obtenir 10 % au niveau national, mais aussi 20 % des suffrages dans chaque circonscription pour pouvoir siéger.
« Même avec une coalition, un parti doit d'abord franchir les 10 % au niveau national. Sans ça, aucun siège ne sera attribué », a-t-il expliqué.
Il a également rappelé qu'un siège par circonscription est réservé aux femmes, à attribuer à la liste arrivée en tête dans chaque zone.
Enfin, le juriste a évoqué les conditions de candidature à la présidence de la République, selon l'article 132 nouveau de la loi de 2024. Outre les critères classiques (âge, nationalité, moralité, santé, etc.), un nouveau critère de parrainage politique est exigé : « Aucun candidat ne peut se présenter s'il n'est parrainé par au moins 15 % des députés et maires, soit au moins 28 personnes, réparties dans 15 des 24 circonscriptions », a-t-il rappelé.
« Sur le plan national, les partis sans envergure auront zéro élu : ni au niveau local, ni à l'Assemblée, ni à la présidence ».
Une démarche saluée
Représentants d'ONG, leaders politiques, membres de la société civile, tous ont applaudi l'initiative.
Bertin Koovi, acteur politique, a salué un « travail scientifique qui sert à tout le monde », appelant à l'élargir à d'autres textes de loi. « L'honorable Agoua doit être célébré pour ça. Il vient de jouer le rôle de député : aller au-devant des populations avec des lois essentielles ».
De son côté, Loth Houénou a félicité le député Edmond Agoua. « Il a choisi de distraire ses ressources pour la vivacité de la démocratie béninoise ».
Adeline Gotoun, du cabinet du député, a invité toutes les contributions citoyennes à enrichir le pamphlet. « Le travail reste perfectible. Notre cabinet est ouvert à tous les apports », a-t-elle conclu.
L'initiative, d'abord lancée à Cotonou, sera déployée dans les autres régions du Bénin dans les semaines à venir.
Marc MENSAH
A Cotonou, les éléments du commissariat du 8e arrondissement ont interpellé 6 individus pour leur implication dans une affaire d'association de malfaiteurs, de vol et de recel d'objets volés. Leur interpellation fait suite à une plainte déposée par un homme, victime d'une histoire de nuit avec une jeune femme.
Une jeune femme drogue un homme à Cotonou et emporte ses objets de valeur. La police, une fois saisie du dossier a mené des enquêtes qui ont permis d'interpeller les mis en cause.
Selon la Police, l'affaire remonte à la nuit du vendredi 25 juillet 2025, lorsque le plaignant, de retour du travail aux environs de 2 heures du matin, a fait la rencontre d'une jeune femme. Séduit par son charme, il a réussi à la convaincre de passer la nuit avec lui. Le lendemain, samedi 26 juillet, il a pris contact avec elle pour une nouvelle rencontre. La jeune femme lui a alors donné rendez-vous au quartier Zogbohouè. Sur place, il l'a trouvée en compagnie de trois autres individus, sans pour autant se méfier.
Après quelques échanges, le plaignant détaille la Police, a ramené la jeune femme à son domicile, ignorant que les trois personnes l'avaient discrètement suivi. Une fois chez lui, sa compagne lui a offert une bouteille de sucrerie en plastique qu'elle avait apportée. Quelques minutes après avoir bu la boisson, l'homme s'est retrouvé plongé dans un profond sommeil. La jeune femme et ses complices en profitent pour le dévaliser.
La victime au réveil, fait le constat amer et remarque que sa compagne avait également disparu. Après plusieurs jours de recherches, ce n'est qu'au soir du lundi 25 août 2025 aux environs de 23 heures, qu'il l'a retrouvée lors d'une promenade dans les environs du quartier Vèdoko. Interpellée et mise sous pression, celle-ci a avoué son implication dans le vol et a dénoncé ses complices. L'intervention des enquêteurs du commissariat du 8e arrondissement de Cotonou a permis d'appâter les complices et de les interpeller. Soumis à l'interrogatoire, tous ont reconnu les faits et seront présentés au Procureur de la République pour répondre de leurs actes.
F. A. A.
Le ministre des affaires sociales et de la microfinance a effectué une visite au Palais des congrès ce jeudi 28 août 2025. Véronique Tognifodé est allée encourager les personnes en situation de handicap que son département ministériel appuie dans le cadre du Salon national de l'artisanat du Bénin (SNAB).
Le gouvernement matérialise une fois encore sa politique d'inclusion des personnes handicapées. Plusieurs jeunes de cette couche vulnérable de la société participent au Salon national de l'artisanat (SNAB) 2025 grâce à l'appui de Sightsavers.
Au cours d'une visite, ce jeudi, le ministre des affaires sociales accompagnée de quelques collaborateurs, a pu constater l'effectivité de la participation de ces artisans, très enthousiastes de présenter leurs produits. Véronique Tognifodé a salué leur créativité qui pour elle, constitue « une richesse nationale ». « Le gouvernement reste déterminé à vous accompagner afin que vos talents trouvent toujours un espace d'expression et de valorisation », a-t-elle promis avant d'exprimer sa gratitude au partenaire Sightsavers.
F. A. A.
Une opération de la Police républicaine a permis l'interpellation de trois personnes à Nikki dans la nuit du dimanche 24 août 2025. Elles sont accusées de détention et d'usage de fausse monnaie.
Deux ouvriers d'une scierie à Nikki, auraient été entraînés dans une tentative d'enrichissement rapide, selon des informations parvenues à la Police.
Les suspects ont été séduits par les promesses d'un individu prétendant pouvoir « multiplier l'argent » grâce à des rituels occultes.
Le stratagème a été bien rodé. Moyennant 300.000 francs CFA, les ouvriers ont été dirigés vers un homme. À l'issue de la mise en scène, ce dernier leur aurait remis 1,5 million de francs CFA en fausses coupures de 10.000 francs.
Convaincus d'avoir touché le pactole, les deux hommes ont commencé à dépenser massivement dans la ville. Leur train de vie soudain a rapidement attiré l'attention des forces de l'ordre.
Une surveillance discrète a été mise en place. Elle a conduit à l'arrestation de trois suspects dans la nuit du dimanche 24 août 2025. Un quatrième suspect, considéré comme le cerveau du réseau, est toujours en fuite.
Les trois individus interpellés sont actuellement en garde à vue. Ils devraient être présentés sous peu aux autorités judiciaires.
Les recherches se poursuivent pour retrouver le fugitif et identifier d'éventuels complices, selon la Police.
M. M.
Au terme d'une rencontre stratégique entre la Haute direction politique du parti Union progressiste le renouveau (UP-R) et le Bureau exécutif national du Bloc républicain (BR), ce jeudi 28 août 2025, les deux formations politiques ont apporté des précisions sur la décision de suspendre jusqu'à nouvel ordre, les mouvements de transhumance politique en leur sein.
Des personnalités exerçant un mandat électif ou assumant des responsabilités stratégiques au sein de l'UP-R ne peuvent plus muter vers le BR, et vice-versa. Ainsi en ont décidé les responsables des deux formations politiques de la mouvance présidentielle après une réunion ce jeudi 28 août 2025 au siège du BR à Cotonou. Selon le communiqué conjoint rendu public au terme de cette réunion, tout manquement à cette disposition sera considéré comme une atteinte à la discipline collective et exposera les auteurs aux sanctions prévues par les statuts et règlements des deux partis signataires.
L'UP-R et BR ont réaffirmé leur volonté ferme de consolider et de renforcer leurs liens de coopération et se sont engagés à les développer davantage afin de relever conjointement les défis auxquels la majorité présidentielle est confrontée. Pour ces deux partis, l'unité et la cohésion de la majorité présidentielle constituent des conditions essentielles à la mise en œuvre efficace du Programme d'actions du gouvernement.
F. A. A.
Russia considers multilateralism to be an instrument for promoting and managing multipolarity. It regards the UN as an important component of the international system and would like to see it reflect a multipolar world order, which in Russia’s rhetoric is marked by the dominance of principles of sovereignty and non-interference. This shapes Russia’s approach to the UN development pillar, where it seeks to advance its geopolitical interests, including countering Western influence.
Financially, Russia remains a marginal player in the UN development pillar. Between 2018 and 2022, it was the smallest contributor to UN development activities among the five permanent members of the UN Security Council (P5) and ranked 23rd among all UN member states. In terms of international professional staff, the share of Russian nationals in the UN system has remained below 1 per cent over the past five years, with the majority concentrated in the UN Secretariat. However, its diplomatic missions – particularly in New York and Geneva – are relatively well-staffed and are recognised for their diplomatic skills and expertise.
Lacking prominent material weight, Russia leverages diplomatic and rhetorical tools to project its power. It portrays itself as an “anti-colonial leader” and champion of the Global South. Russia positions itself as an advocate of an alternative approach to development cooperation, affirming in its rhetoric that developing countries have the right to independently choose their model of socio-economic development without external influence or pressure. In line with this, it rejects the imposition of what it argues are Western liberal values on developing states – which it equates with conditionality in development assistance and infringement on sovereignty – and presents itself as a defender of what in Russian discourse are referred to as “traditional values”, which are usually in opposition to individualism and progressivism.
Although Russia’s arguments resonate among Global South states – because they tap into legitimate grievances – there are cases in which its rhetoric appears instrumental and does not match its practices.
While Russia’s material capacity to project its power and position itself as an alternative development partner is limited, its diplomatic efforts, rhetoric and ability to capitalise on the grievances of the Global South as well as Western double standards amid global power shifts position it as a noticeable actor in UN development work, suggesting it should not be prematurely disregarded based on its modest role as a donor.
Main takeaways:
• Strategic use of UN development pillar: Russia engages in UN development work as a platform to advance its broader geopolitical objectives and its view of the international system, including positioning itself rhetorically as a counterweight to Western influence. While already politicised to some extent, this further reinforces the role of UN development work as a stage for power politics.
• Diplomatic leverage: Although Russia’s material weight in UN development pillar is modest, it uses diplomatic channels and discursive engagement in decision-making processes across UN entities and fora to pursue its interests.
• Anti-colonial narratives and normative contestation: Russia rhetorically appeals to the grievances of the Global South and challenges Western-driven norms and approaches to development. It promotes the vision of a multipolar world order with Moscow as one of the poles of power.
1. Nature-based Solutions (NbS) have been gaining prominence across the Rio Conventions primarily as a means of addressing climate change with co-benefits for nature and humans. However, they have also faced significant criticism for enabling greenwashing, encouraging market-driven approaches and not addressing the root causes of environmental degradation. Some critics argue that NbS divert attention from urgent transformative actions such as decarbonisation and systemic economic reforms.
2. We present the case for a broader framework, centred around the concept of Integrated Nature-Climate Action (INCA), which extends beyond NbS to drive the structural changes essential for tackling climate change, biodiversity loss and desertification, while delivering positive outcomes such as supporting livelihoods, addressing inequities and upholding the rights of Indigenous Peoples and Local Communities. We provide examples of INCAs with significant, tractable benefits for people and nature, including the removal of environmentally harmful subsidies, land rights recognition and circular economic transitions.
3. We argue that the wide range of actors mobilised by INCAs would increase the finance available to fill the deficit for climate and biodiversity action. While tracking the impact of these actions could be challenging, existing United Nations (UN) initiatives could provide models for ensuring the integrity of INCA. A clear definition and set of standards must also be agreed upon to avoid the pitfalls that plague NbS. Careful oversight from stakeholders and rightsholders is vital to ensure legitimacy and that the uptake of INCA does not favour one outcome over others.
4. Policy implications: Moving beyond NbS to pursue an inclusive INCA concept can help address the systemic drivers of the global polycrisis. With synergies between the Rio Conventions expected to be a key focus of the upcoming Conference of the Parties for the UN Framework Convention on Climate Change (COP30), there is a clear policy window to broaden the scope of interventions relevant to all three conventions and engage a more diverse array of actors to support enhanced coordination. This is essential for transitioning towards a regenerative economic system that works for people and the planet.
Un incendie s'est déclaré dans une maison, ce jeudi 28 août 2025, à Cocotomey, un quartier situé dans l'arrondissement de Godomey, commune d'Abomey-Calavi. Aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée mais des dégâts matériels.
Plus de peur que de mal après un incendie à Cocotomey. Les flammes se sont déclarées dans l'une des chambres d'une maison en location non loin de Aglouza carrefour, à Cocotomey. A l'intérieur, se trouvaient 7 occupants, une mère de famille et ses six enfants, sortis sains et saufs.
D'importants dégâts matériels ont été enregistrés ; la chambre à coucher ayant été ravagée par les flammes. Les causes du sinistre restent à déterminer.
F. A. A.
A Kpessou Samari, un village de l'arrondissement de Bétérou, dans la commune de Tchaourou, un accident de la circulation a fait un mort et 4 blessés graves ce jeudi 28 août 2025.
Grave accident de la circulation à Tchaourou ce jeudi. La collision selon les informations, a impliqué un taxi en partance pour Parakou et un autre véhicule personnel qui allait en sens inverse. Le drame s'est produit dans la localité de Kpessou Samari, arrondissement de Bétérou. Sous le choc, l'un des passagers a rendu l'âme. Quatre autres personnes ont été grièvement blessées et conduites d'urgence à l'hôpital.
F. A. A.
Décédé le 21 août dernier, l'Abbé Simon Pedro Dossou du diocèse de Lokossa sera conduit en sa dernière demeure, jeudi 6 septembre 2025, au cimetière du Grand Séminaire Mgr Louis Parisot de Tchanvédji, dans la commune de Klouékanmey.
C'est par un riche programme de triduum et de messes veillées que l'Evêché de Lokossa veut rendre un dernier hommage digne de nom à l'Abbé Simon Pedro, rappelé à la maison du Père le 21 août dernier. Les obsèques démarrent, dimanche 31 août, par un triduum de messes sur toutes les paroisses du diocèse. Ce triduum sera suivi de deux messes veillées, lundi 1er septembre, sur les paroisses Sacré cœur d'Agoué et Saint Augustin d'Adjaha.
Mardi 2 septembre, deux autres messes veillées seront célébrées sur les paroisses Saint Michel d'Aplahoué et Sacré-Cœur de Lobogo, dans la commune de Bopa.
La levée de corps, selon le programme des obsèques signé de Mgr Roger Anoumou, évêque de Lokossa, est prévue pour mercredi 3 septembre à la morgue les Saints Anges de Calavi. La messe de requiem sera célébrée jeudi 4 septembre à la Cathédrale de Lokossa, suivie de l'inhumation au cimetière du Grand Séminaire Mgr Louis Parisot de Tchanvédji.
L'Abbé Simon Pedro Dossou est natif de Guézin, un arrondissement de la commune de Comé (Mono). Il est le premier prêtre de l'Eglise catholique de ladite localité. Le regretté a rejoint la maison du Père Céleste des suites d'une maladie au CNHU-HKM de Cotonou.