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Communiqué de presse - Débat sur la situation des droits fondamentaux en Hongrie - Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 27/02/2017 - 18:09
Lundi après-midi, les députés de la commission des libertés civiles ont débattu de la situation des droits fondamentaux en Hongrie, en présence du ministre hongrois de la justice, László Trócsányi, et de représentants de la société civile.
Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures

Source : © Union européenne, 2017 - PE
Categories: Union européenne

12 független képviselő foglal helyet a parlamentben

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 27/02/2017 - 17:47
POZSONY. Emelkedik a független parlamenti képviselők száma, a legújabb adatok szerint tizenketten vannak. Az eddigi kilenchez újabb három csatlakozik, mégpedig Viera Dubačová és Oto Žarnay, mindketten az Egyszerű Emberek és Független Személyiségek képviselői, valamint a Szabadság és Szolidaritás párttól nemrég megvált Jozef Mihál.

Du 13 au 16 mars 2017 - Session plénière du Parlement européen

Toute l'Europe - Mon, 27/02/2017 - 17:46
Les députés européens se retrouvent à Strasbourg pour voter sur plusieurs textes législatifs.Dans le cadre d'un paquet sur "l'économie circulaire", ils se prononceront en particulier sur des directives visant à transformer les déchets en ressources. Emballages, déchets, véhicules hors d'usage ou encore équipements électroniques sont ici concernés.
Categories: Union européenne

La France face au risque d'une étrange défaite


 
Entretien dans L'Opinion, avec Jean-Dominique Merchet, le 16 février 2017  Depuis 1952, une grande conférence sur la sécurité internationale se tient chaque année à Munich. Jadis baptisée « Wehrkunde », elle est devenue la Munich Security Conference (MSC) dont la 53e édition se tient de ce vendredi à dimanche. Cette conférence sera l’occasion d’un premier contact direct entre les Européens et l’administration Trump, le vice-président Mike Pence devant y participer. Angela Merkel y prononcera samedi un discours, alors que beaucoup de doutes et d’incertitudes s’expriment sur la diplomatie américaine et notamment son engagement dans l’Otan. Avant la conférence, l’Opinion fait le point avec Frédéric Charillon, spécialiste des relations internationales.
Cette année, le thème de la conférence de Munich sur la Sécurité est « Post-Truth, Post-West, Post-Order ». Entrons-nous vraiment dans ce monde post-vérité, – occidental – ordre international ?
On entre très certainement dans un post quelque chose, mais post-quoi ? Nous sommes dans un « entre-deux stratégique » : nous sortons d’une période post-guerre froide elle-même turbulente, et qui a eu plusieurs phases - la supposée unipolarité américaine en 1990-1992, les difficultés américaines en Afghanistan et Irak… - à quelque chose d’encore plus incertain. Est-elle « post-West » ? C’est probable. Ou plutôt, elle ne sera plus « West Only ». La paix des vainqueurs de 1945, qui voyait la France et la Grande-Bretagne membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies sans l’Inde, le Japon, l’Allemagne ou le Brésil, est arrivée à ses limites. Les grandes structures internationales (Banque mondiale, FMI…) qui accordent plus de poids aux minuscules pays européens qu’aux géants démographiques du Sud, c’est terminé également. L’absence d’« hégémon » autoproclamé laisse penser que le désordre est plus grand. Mais en réalité, la maturation de ce changement était à l’œuvre depuis longtemps
N’y a-t-il pas une illusion – ou un biais idéologique – à considérer que la vérité, l’Occident et l’ordre international allaient ainsi de pair ?
Tout à fait. Ce n’est pas parce que la Russie, l’Iran et la Turquie prennent une initiative en Syrie, que nous sommes dans la post-vérité ou le post-ordre. Ce n’est pas non plus parce que Donald Trump tweete la nuit que nous sommes entrés dans un monde de vérité alternative. La confusion des réseaux sociaux, les propagandes d’Etat, les prises de position d’acteurs privés, religieux, voire mafieux, brouillent certes les pistes, et il semble y avoir autant de vérités que de discours. L’absence d’« hégémon » autoproclamé laisse en effet penser que le désordre est plus grand. Mais en réalité, la maturation de ce changement était à l’œuvre depuis longtemps. Où étaient la vérité et l’ordre au Vietnam, en Afghanistan, au Biafra, en Palestine, au Salvador, à Prague ou Budapest, sous Pol Pot ou Pinochet ? Avec la fin de la guerre froide en 1991, nous avons connu la fin d’un langage commun des relations internationales entre deux puissances du nord (États-Unis et Union soviétique), qui prétendaient régir le monde en duopole. Désormais, après quelques années de latence, nous assistons à une immense ouverture du jeu.
Dans ce contexte, si vous deviez donner un seul conseil au prochain président français, quel serait-il ?Sans doute de ne pas chercher de guide d’action dans des formules du passé. Le gaullisme était une posture d’équilibre dans les années 1960, mais les blocs de la bipolarité n’existent plus. Le néoconservatisme et son obsession du régime change ont fait des ravages dramatiques dans les années 2000, et aujourd’hui ils provoqueraient un cataclysme supérieur encore, avec le grand retour de la Russie ou de la Chine. Le nouveau Sud est éclaté, diversifié, introuvable : un tiers-mondisme à la fois paternaliste et culpabilisant serait désuet. Plus près de nous, il n’y a plus d’« Europe de l’Est », il y a des Europes orientales, parfois européistes, parfois populistes et antilibérales : le discours convenu sur la sécurité européenne globale incluant forcément la Russie, ne tient plus. La « Méditerranée » est plus que jamais une chimère : de Barcelone à l’Union Pour la Méditerranée, tout a échoué, victime des drames régionaux (de l’Intifada à Gaza en passant par les Printemps arabes) qui ont éclipsé les agendas européens. Il faut oser réinventer les relations internationales et les politiques régionales sur de nouvelles bases. Évidemment, c’est plus facile à dire qu’à faire. Mais il faut chercher des schémas nouveaux.
Quels sont, aujourd’hui, les grands défis sécuritaires qui pourraient affecter directement les Français ?
On peut proposer deux réponses à cette question. La réponse convenue, nous la connaissons : le terrorisme est évidemment un défi, les nouvelles menaces aussi, comme celles liées à la cyber-sécurité, la montée en puissance de stratégies autoritaires en Europe orientale (Russie) ou en Asie (Chine), la multiplication des États effondrés dans le sud-méditerranéen ou en Afrique, sans oublier les menaces globales qui pèsent sur l’environnement, notamment avec le réchauffement climatique, constituent un panorama d’ensemble qui fournit une réponse aisée. Il existe une réponse moins convenue, qui réside dans le risque d’une étrange défaite, dans laquelle on est en réalité déjà en partie entré, par refus de sortir des schémas établis. Il y a là un déficit de pensée stratégique qui menace directement notre sécurité, par aveuglement. Ne pas voir le monde qui vient, les puissances qui montent, les aspirations des peuples, conduit à des erreurs importantes. Les printemps arabes nous ont surpris parce qu’au lieu d’écouter les populations, les classes moyennes, les éléments actifs (jeunes, femmes, intellectuels, blogueurs…) du sud-méditerranéen, on s’est enfermé dans quelques face-à-face avec des leaders qui se présentaient comme des garants de stabilité, en réalité d’immobilisme. La poursuite et même l’amplification du terrorisme, avec ses mutations multiples, sont dues en partie à la mauvaise compréhension du phénomène, que l’on continue à réifier comme un adversaire militaire, alors qu’il a des origines éminemment sociales. Au lieu de comprendre l’Amérique ou la Russie, on disserte à l’infini sur Trump et Poutine, etc. Il faut sortir de ces sentiers battus, même si c’est inconfortable. Là réside sans doute le grand défi sécuritaire.
Pensez-vous qu’avec Trump, le monde est devenu plus dangereux ?
Trump est dangereux. Nous en avons la démonstration chaque jour. Il provoque, insulte, déstabilise, remet en cause l’existant sans proposer d’horizon, c’est un destructeur. Il inquiète ses alliés, divise son pays, fait augmenter l’antiaméricanisme dans le monde, vire ses principaux équipiers au bout de quelques jours… Trump est dangereux parce qu’il divise et déstabilise l’Amérique, et qu’une Amérique affaiblie, aigrie, caricaturale d’elle-même, n’est une bonne chose pour personne. Ensuite, ce désordre américain donne un feu vert dangereux à tous ceux qui seraient tentés de profiter du vide ainsi créé. Il peut s’agir de puissances expérimentées (Russie, Chine, Iran), qui savent ne pas aller trop loin et abattre leurs cartes. Il peut s’agir aussi d’alliés paniqués par le désengagement américain, qui pourraient commettre des erreurs par crispation. Ou de petits États turbulents qui pensent pouvoir désormais pousser leurs pions par des actions irresponsables. C’est tout cela qui risque d’être la conséquence directe du « trumpisme ».
Le Brexit pose-t-il un problème de sécurité ?
Le Brexit donne le signal dangereux d’une Europe en voie de détricotage. Si l’UE ne se reprend pas très vite avec des initiatives importantes et pertinentes, d’autres départs suivront. Ensuite, il appartiendra aux Britanniques de démontrer leur capacité à réinventer un projet de politique étrangère qui leur permette de demeurer une puissance de premier plan, justifiant sa place au Conseil de Sécurité des Nations Unies. Si l’Europe échoue à se relancer, et le Royaume-Uni, à se réinventer, alors le couple franco-allemand sera bien seul pour affronter les défis internationaux.
La conférence sur la Sécurité se déroule en Allemagne et Angela Merkel doit prononcer un discours. Quel rôle voyez-vous pour l’Allemagne demain dans les politiques de sécurité ?
Nous devons faire le choix de l’Allemagne. D’ailleurs, nous n’avons plus le choix. L’Allemagne est plus que jamais avec la France le pilier de l’entité européenne, ou de ce qu’il en reste, sur la scène internationale. Les deux pays ont une approche très différente de l’international, qu’il faut mettre en complémentarité. Là où Paris aime les chaînes de commandement rapides, efficaces, notamment pour les interventions extérieures, Berlin préfère construire des consensus mûris, collectifs. Les deux sont compatibles, et nous sommes condamnés à nous entendre, sinon nous disparaîtrons ensemble, au moins comme puissances significatives. L’Allemagne est une puissance démocratique libérale, certes touchée elle aussi, comme nous, par la démagogie populiste, mais dont les fondements sont solides. Elle ne sera pas de sitôt une puissance militaire interventionniste, car cela va à l’encontre de beaucoup de ses valeurs. Mais elle a déjà tous les attributs pour être une puissance de proposition, de concertation, de rassemblement. Ne pas l’associer davantage à la gestion de certains dossiers, au Proche-Orient, en Méditerranée (Libye) ou ailleurs, a sans doute été une erreur, qu’il ne faudra pas renouveler.

Olaszországot konkrét terrorveszély fenyegeti

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 27/02/2017 - 17:13
RÓMA. Olaszország az Iszlám Állam harcosainak menekülési útvonala lehet Európa felé, és egyre konkrétabb a veszélye az olaszországi terrorista támadásoknak is - hangsúlyozta az olasz titkosszolgálatoknak a római parlamentben hétfőn bemutatott éves jelentése.

Full disclosure

BBC Africa - Mon, 27/02/2017 - 17:12
Saidy Brown discusses the extraordinary reaction after she disclosed her HIV status on Twitter.
Categories: Africa

Vízumpolitika: a Tanács a grúziai állampolgárok vízummentességéről szóló rendeletet fogadott el

Európai Tanács hírei - Mon, 27/02/2017 - 17:01

A Tanács 2017. február 27-én vízumliberalizációs rendeletet fogadott el, amelynek értelmében a grúziai állampolgárok bármely 180 napos időszakban legfeljebb 90 napra vízummentesen utazhatnak az EU-ba.


„Ez a megállapodás közelebb hozza egymáshoz a Grúziában és az EU-ban élő embereket, valamint erősíti a turizmust és az üzleti kapcsolatokat. A megállapodás azt követően jöhetett létre, hogy Grúzia végrehajtotta az okmányok biztonságosságával, a határigazgatással, a migrációval és a menekültüggyel kapcsolatos elengedhetetlen reformokat, továbbá a felfüggesztési mechanizmus közelmúltbeli módosítása is szükséges volt hozzá.”

Carmelo Abela, Málta nemzetbiztonsági és belügyminisztere

A Tanácsnak és az Európai Parlamentnek most alá kell írnia az elfogadott rendeletet. A szöveg ezután megjelenik az EU Hivatalos Lapjában, majd 20 nappal később, a vízummentesség felfüggesztésének új mechanizmusával egyidejűleg hatályba lép.

A rendelet az 539/2001/EK rendeletet módosítja, aminek eredményeképpen Grúzia átkerül az I. mellékletből (azon országok, amelyek állampolgárai vízummal léphetnek be a schengeni övezetbe) a II. mellékletbe (vízummentességet élvező országok). Ezentúl a biometrikus útlevéllel rendelkező grúziai állampolgárok üzleti, turista vagy családlátogatási célból legfeljebb 90 napra vízummentesen utazhatnak be az EU-ba.

Ezek a rendelkezések a Szerződésekhez csatolt jegyzőkönyvekkel összhangban nem vonatkoznak Írországra és az Egyesült Királyságra. Ezekben a tagállamokban továbbra is a nemzeti jogszabályok alkalmazandók a vízumrendszerre.

Vízumpolitika: a Tanács elfogadta a vízummentesség felfüggesztésére szolgáló mechanizmus módosítását

Európai Tanács hírei - Mon, 27/02/2017 - 17:00

2017. február 27-én a Tanács elfogadta azt a rendeletet, amely a hatályos vízumliberalizációs megállapodások felfüggesztését lehetővé tevő mechanizmust módosítja.


„A vízumliberalizáció komoly előnyökkel jár az EU és a harmadik országok számára. Ugyanakkor az Uniónak képesnek kell lennie arra, hogy hatékonyan lépjen fel, ha a szabályokat nem tartják be. A felfüggesztési mechanizmus ma elfogadott módosítása révén könnyebben kivédhetjük a rendszerrel való visszaélést.”

Carmelo Abela, , Málta nemzetbiztonsági és belügyminisztere

A felülvizsgált rendelet célja a felfüggesztési mechanizmus megerősítése. A rendelet ezt úgy éri el, hogy a tagállamok számára egyszerűbbé teszi a felfüggesztést indokoló körülményekről szóló értesítést, a Bizottság számára pedig lehetővé teszi, hogy saját kezdeményezésére indítsa meg a mechanizmust, továbbá a Bizottság feladatául jelöli meg, hogy küldjön éves jelentéseket az Európai Parlamentnek és a Tanácsnak arról, hogy a vízummentességet élvező harmadik országok milyen mértékben teljesítik az előírt kritériumokat.

A felfüggesztéshez vezető lehetséges indokok köre bővült, és most már kiterjed azokra az esetekre is, amikor a visszafogadás terén gyengül az együttműködés, vagy amikor jelentősen megnő az elutasított visszafogadási kérelmek aránya, többek között az érintett harmadik ország területén átutazó más harmadik országbeli állampolgárokra vonatkozóan, valamint amikor jelentősen megnőnek a tagállamok közrendjét vagy belső biztonságát fenyegető kockázatok.

A mechanizmus alkalmazását az is megkönnyíti majd, hogy az eljárás felgyorsítása érdekében lerövidítették a referenciaidőszakokat és a határidőket. Különösen lényeges, hogy a felfüggesztéshez vezető körülményeknek és az előző év azonos időszakában vagy a vízummentesség alkalmazását megelőző időszakban fennálló helyzetnek az összevetésekor a korábbi hat hónap helyett mindössze két hónap a referenciaidőszak.

A felfüggesztési mechanizmus vagy valamely tagállam által küldött értesítés alapján, vagy a Bizottság kezdeményezésére indul. Amennyiben a tagállamok egyszerű többsége értesítést küld a Bizottságnak, annak végrehajtási határozatot kell elfogadnia, amellyel az érintett harmadik országbeli állampolgárok bizonyos kategóriái tekintetében kilenc hónapos időtartamra ideiglenesen felfüggeszti a vízummentességet. Ezen időszak alatt a Bizottság megerősített párbeszédet kezd az érintett harmadik országgal annak érdekében, hogy orvosolja a szóban forgó körülményeket.

Amennyiben a kifogásolt körülmények továbbra is fennállnak, a Bizottság (az említett kilenc hónapos időszak vége előtt legalább két hónappal) felhatalmazáson alapuló jogi aktust fogad el, amely további 18 hónapra ideiglenesen felfüggeszti a vízummentességet az érintett harmadik ország valamennyi állampolgára tekintetében. A Bizottság a felhatalmazáson alapuló jogi aktus időbeli hatályának lejárta előtt jelentést nyújt be az Európai Parlamentnek és a Tanácsnak. E jelentést jogalkotási javaslat is kísérheti, amelynek célja az érintett harmadik ország áthelyezése a II. mellékletből (vízummentességet élvező országok jegyzéke) az I. mellékletbe (azon országok jegyzéke, amelyek állampolgárai csak vízummal utazhatnak be a schengeni térségbe).

Annak biztosítása érdekében, hogy a vízumliberalizációs párbeszédet követően vízummentességet kapó harmadik országok folytatólagosan teljesítsék a vízummentességet megalapozó kritériumokat, a rendelet monitoringmechanizmust vezet be.

Írország és az Egyesült Királyság az EU-szerződésekhez csatolt jegyzőkönyvekkel összhangban nem vesz részt ezen intézkedések alkalmazásában. Ezekben a tagállamokban továbbra is a nemzeti jogszabályok alkalmazandók a vízumrendszerre.

Következő lépések

A Tanácsnak és az Európai Parlamentnek még alá kell írnia az elfogadott rendeletet. Az aláírt szöveg megjelenik az EU Hivatalos Lapjában, majd 20 nappal később hatályba lép.

Visa: Rat nimmt geänderten Mechanismus zur Aussetzung der Befreiung von der Visumpflicht an

Europäischer Rat (Nachrichten) - Mon, 27/02/2017 - 17:00

Der Rat hat am 27. Februar 2017 eine Verordnung angenommen, mit der der Aussetzungsmechanismus, der auf alle bestehenden Visaliberalisierungsabkommen angewendet werden kann, geändert wird.


"Eine Visaliberalisierung hat große Vorteile für die EU und für Drittländer. Zugleich muss die EU in den Fällen, in denen die Vorschriften nicht eingehalten werden, wirksam reagieren können. Mit der heute angenommenen Änderung des Aussetzungsmechanismus wird es einfacher, gegen Missbrauch der Regelung vorzugehen."

Carmelo Abela, maltesischer Minister des Innern und der nationalen Sicherheit

Ziel der überarbeiteten Verordnung ist eine Verstärkung des Aussetzungsmechanismus. So sollen die Mitgliedstaaten künftig Umstände, die zu einer Aussetzung führen können, leichter melden können. Zudem wird die Kommission den Mechanismus auf eigene Initiative auslösen können und sie wird beauftragt, Jahresberichte an das Europäische Parlament und den Rat zu erstellen und darin darzulegen, inwieweit Drittstaaten, deren Staatsangehörige von der Visumpflicht befreit sind, weiterhin die Kriterien hierfür erfüllen.

Die möglichen Gründe für eine Aussetzung wurden erweitert; dazu gehören eine Verschlechterung bei der Zusammenarbeit im Bereich Rückübernahmen, ein beträchtlicher Anstieg der Ablehnungsrate bei Rückübernahmeersuchen, auch für Drittstaatsangehörige auf Durchreise, und eine erhebliche Erhöhung der Risiken für die öffentliche Ordnung oder die innere Sicherheit der Mitgliedstaaten.

Um die Anwendung des Mechanismus zu erleichtern, wurden zudem die Bezugszeiträume und Fristen verkürzt, sodass ein schnelleres Verfahren möglich ist. So wird der Bezugszeitraum für den Vergleich der aktuellen Lage, die Probleme aufwirft, mit der Lage des Vorjahres oder mit der Lage vor der Visaliberalisierung von sechs auf zwei Monate verkürzt.

Die Aussetzung kann durch eine Mitteilung eines Mitgliedstaats oder durch die Kommission ausgelöst werden. Auf Mitteilung einer einfachen Mehrheit der Mitgliedstaaten hin hat die Kommission einen Durchführungsbeschluss zu erlassen, mit dem die Befreiung bestimmter Gruppen von Staatsangehörigen des betreffenden Drittlands von der Visumpflicht für einen Zeitraum von neun Monaten ausgesetzt wird. Während dieser Zeit sucht die Kommission mit dem betreffenden Drittland im Rahmen eines verstärkten Dialogs nach einer Lösung.

Bestehen die Probleme fort, so erlässt die Kommission (spätestens zwei Monate vor Ablauf der Neunmonatsfrist) einen delegierten Rechtsakt, mit dem die Befreiung von der Visumpflicht für alle Staatsangehörigen des betreffenden Drittlands weitere 18 Monate lang ausgesetzt wird. Vor Ablauf der Gültigkeit des delegierten Rechtsakts legt die Kommission dem Europäischen Parlament und dem Rat einen Bericht vor. Sie kann einen Vorschlag für einen Gesetzgebungsakt beifügen, mit dem das betreffende Drittland aus Anhang II (Länder mit Visumbefreiung) gestrichen und in Anhang I (Länder, deren Staatsangehörige für die Einreise in den Schengen-Raum ein Visum benötigen) aufgenommen wird.

Ferner wurde ein Überwachungsmechanismus eingeführt, um sicherzustellen, dass Drittländer, denen nach einem Dialog über die Visaliberalisierung eine Befreiung von der Visumpflicht gewährt wurde, die Kriterien hierfür auch weiterhin erfüllen.

Gemäß den Protokollen, die den EU-Verträgen beigefügt sind, sind Irland und das Vereinigte Königreich nicht zur Anwendung dieser Maßnahmen verpflichtet. Diese beiden Mitgliedstaaten regeln die Visumpflicht weiterhin in ihrem innerstaatlichen Recht.

Die nächsten Schritte

Der Rat und das Europäische Parlament müssen nun die angenommene Verordnung unterzeichnen. Der unterzeichnete Text wird im EU-Amtsblatt veröffentlicht und tritt 20 Tage später in Kraft.

Categories: Europäische Union

Veronai baleset - Reagál a külső ingerekre az utoljára hazaszállított sérült

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 27/02/2017 - 16:58
BUDAPEST. A veronai buszbaleset sérültjei közül utolsóként hazaszállított, súlyos koponyasérüléssel ápolt beteg reagál a külső ingerekre, ha beszélnek hozzá, a fejét mozdítja - mondta a Magyar Honvédség Egészségügyi Központ, Honvédkórház orvosigazgatója az intézményben tartott sajtótájékoztatón.

Un référendum contre l’agrandissement de la centrale de Paks ?

HU-LALA (Hongrie) - Mon, 27/02/2017 - 16:47
Le parti vert LMP a indiqué vendredi 24 février vouloir un référendum national sur l’agrandissement de la centrale nucléaire de Paks, rapporte l’agence de presse MTI.


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Cette demande tombe juste après que le mouvement Momentum a obtenu le retrait de la candidature de Budapest pour accueillir les Jeux Olympiques de 2024. Cette fois, c’est le LMP (« Une autre politique est possible »), un petit parti écolo-agrarien, membre du parti Vert européen, qui souhaite un référendum national sur l’agrandissement de la centrale nucléaire de Paks, confié au début de l’année 2014 à l’entreprise russe Rosatom.

Nucléaire : la Hongrie s’en remet à Moscou

Sa co-présidente, Bernadett Szél, a annoncé lors d’une conférence de presse vendredi dernier que le recul du gouvernement sur la question des Jeux olympiques prouve que les citoyens hongrois ne devraient pas non plus donner quitus sur un sujet aussi important. Selon elle, tous les Hongrois devaient être consultés avant de poursuivre un projet d’ampleur nationale comme celui-ci, représentant un investissement estimé à 12 milliards d’euros.

Le LMP a toutefois peu de chance de réussir dans son entreprise. Interrogé par l’agence de presse MTI, Miklós Szánthó, directeur du Centre pour les droits fondamentaux, estime que la Commission nationale électorale (NVB) pourrait rejeter la demande de référendum initiée par LMP. En effet, l’extension de la centrale nucléaire relevant de financements et d’investissements internationaux, elle est régie par des accords entre État sur lesquels un référendum n’aurait aucune valeur. La Loi fondamentale hongroise stipule qu’il est impossible de soumettre à référendum ni la signature de traités internationaux, ni les obligations et engagements qui en découlent. Par ailleurs, une initiative similaire portée par l’eurodéputé hongrois Benedek Jávor avait achoppé pour cette raison.

Plusieurs enquêtes d’opinion réalisées depuis 2014 semblent indiquer que l’opinion publique est réservée voire hostile au projet « Paks 2 » et qu’une majorité de hongrois se montre en faveur du développement des énergies renouvelables.

Categories: PECO

Szakértő: Nagyobb hozzáértést igényelne a VšZP megújítása

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 27/02/2017 - 16:34
POZSONY. Az Általános Egészségbiztosító revitalizálása sokkal több ambíciót igényelne – vélekedik Dušan Zachar, a Gazdasági és Szociális Reformok Intézete (INEKO) elemzője.

Ungarn baut einen zweiten Grenzzaun zu Serbien

EuroNews (DE) - Mon, 27/02/2017 - 16:30
Ungarn baut seinen Zaun an der Grenze zu Serbien aus.
Categories: Europäische Union

L'égalité entre les hommes et les femmes en Europe

Toute l'Europe - Mon, 27/02/2017 - 16:25
Malgré l’existence d’une législation européenne, de gros progrès restent à faire. Quels sont les différences de salaire entre les hommes et les femmes ? Quel pays compte le plus de femmes ministres ? De députées européennes ? Découvrez notre infographie qui fait le point sur la parité en Europe.
Categories: Union européenne

Akár 200 ezer lengyel is haza térhet a Brexit után

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Mon, 27/02/2017 - 16:15
VARSÓ, LONDON. A lengyel kormány becslése szerint akár 100-200 ezer lengyel is hazatérhet a Brexit után Lengyelországba.

Nemtsov march turned into crazy quilt about nothing

Pravda.ru / Russia - Mon, 27/02/2017 - 16:10
On Sunday, February 26, a number of events took place in several cities of Russia in memory of Boris Nemtsov, who was assassinated on February 17, 2015. It was obvious in advance that the marches and demonstrations would be held in a political key, because there was a reason for it. The event was a political action
Categories: Russia & CIS

Article - Antonio Tajani à Berlin : « L’Europe doit rester unie »

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 27/02/2017 - 15:57
Général : Le Président du Parlement européen Antonio Tajani s’est rendu à Berlin les 23 et 24 février pour rencontrer le Président Joachim Gauck et la Chancelière Angela Merkel. En évoquant le futur de l’Union européenne à quelques semaines de l’anniversaire du traité de Rome, il a souligné l’importance pour l’Europe de rester unie et de mieux répondre aux préoccupations des citoyens.

Source : © Union européenne, 2017 - PE
Categories: Union européenne

Article - Tajani in Berlin: "Europe should not allow itself to be torn apart"

European Parliament (News) - Mon, 27/02/2017 - 15:50
General : Parliament President Antonio Tajani discussed Europe's future and EU-Germany relations during meetings with chancellor Angela Merkel and president Joachim Gauck during a vsit to Berlin on 23-24 February. "It's important to look after the interests of Europeans," said Tajani at the end of his visit. "It is important that Europe stands together and not allows itself to be torn apart."

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

Article - Tajani in Berlin: "Europe should not allow itself to be torn apart"

European Parliament - Mon, 27/02/2017 - 15:50
General : Parliament President Antonio Tajani discussed Europe's future and EU-Germany relations during meetings with chancellor Angela Merkel and president Joachim Gauck during a vsit to Berlin on 23-24 February. "It's important to look after the interests of Europeans," said Tajani at the end of his visit. "It is important that Europe stands together and not allows itself to be torn apart."

Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: European Union

Tudománytörténeti értékű megfigyelés magyar kutatóktól

Origo / Afrika - Mon, 27/02/2017 - 15:49
Különösen kis tömegű helymeghatározó segítségével először szerzett információkat két magyarországi fecskefaj vonulásáról és telelési területéről a Magyar Madártani és Természetvédelmi Egyesület (MME) és a Svájci Madártani Intézet munkatársainak közös kutatócsoportja.
Categories: Afrika

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