ALGER – Le tennisman algérien Karim Bendjamaâ, bien qu’appartenant encore à la catégorie « juniors », s’est porté candidat à deux tournois professionnels en Roumanie et en Serbie, avec l’espoir d’être retenu pour au moins l’un d’entre eux, selon la pré-liste d’admission, dévoilée vendredi par les organisateurs.
Les deux tournois, dotés d’un prize-money de 15.000 USD, sont programmés en même temps, à savoir : du 21 au 27 août 2017 à Chitila (Roumanie) et à Subotica (Serbie).
Bendjamaâ (17 ans), qui figure actuellement sur la liste d’attente espère être retenu au moins pour l’un de ces deux tournois, prévus l’un comme l’autre sur terre battue.
Le jeune algérien s’était inscrit dans quatre ou cinq tournois de la catégorie « juniors », mais il y a finalement renoncé, pour tenter sa chance en professionnel.
CONSTANTINE – Un incendie s’est déclaré jeudi dans une unité (de statut privé) de production de médicaments, dans la zone industrielle de la commune de Benbadis, wilaya de Constantine, a-t-on appris vendredi auprès des services de la protection civile.
Les flammes ont ravagé deux dépôts et un laboratoire de cette usine, a-t-on précisé dans un communiqué, précisant qu’un des dépôts contenait de la matière première pour la fabrication des médicaments, alors que dans l’autre dépôt était stocké des médicaments ainsi que du matériel.
Le feu a également décimé un laboratoire de cette unité avec tous ses équipements, a-t-on souligné de même source, précisant que fort heureusement aucune perte humaine n’est à déplorer.
L’intervention des services de la protection civile a permis de préserver du feu deux étages de cette unité, l’atelier d’entretien et d’autres sections de fabrication de médicaments, a indiqué la même source.
Les éléments de l’unité principale de la protection civile d’Ali Mendjeli, ceux des unités secondaires d’El Khroub et Sissaoui et Ain S’mara, appuyés par les pompiers du poste avancé Moncef Abderrahmane ont été mobilisés pour venir à bout des flammes, a ajouté le document des mêmes services.
A második gyakorló nappal, hat repülőeszközzel valamint ejtőernyősök és különleges műveleti katonák részvételével folyatódott a felkészülés Szolnokon, a hagyományos augusztus 20-i Tisza-parti bemutatóra.
A gyakorlást megelőző órában kikerült az ejtőernyősök földet érési helyének jelzése, a szélirányt jelző szalag és gumicsónakjukkal elfoglalták helyüket a gyakorlás helyszínéül szolgáló Tisza-szakaszt biztosító vízi rendőrök is.
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A szandaszőlősi reptér feletti várakozási légtérből érkezett a nyitóképet alkotó kötelék, amelyet egy Zlin 242-es vezetett forgószárnyas kísérőivel, két AS350-essel. A könnyű helikopterek és a kiképzőgép után a szállítóhelikopterek érkeztek, egy Mi-8-as két Mi-17-es kíséretében.
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A nyitókép áthúzása után a 3301-es Mi-8-as megkezdte az emelkedést az ejtőernyős ugratáshoz. Azt elérve első körben a célszalagok dobták ki, majd két rárepüléssel ugrottak az ejtőernyősök. Az ugrás idejére a rendőrség leállította a forgalmat a közúti hídon.
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Az ugrók földet érése után a márciusban érkezett kiképzőgépek egyike, a 22-es oldalszámú Zlin 242-es gyakorolta hét perces bemutatóprogramját.
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A Zlin után a könnyű kategória forgószárnyas képviselője, a légimentőktől tavaly átvett, egy éve zöld színben látható AS350 Ecureuil helikopter, meglehetősen dinamikus elemekkel tarkított bemutatója következett.
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Két hete még tüzet oltott a Hortobágyon, most a Mi-17-es bemutatót gyakorolták a 703-as helikopterrel. Az oroszországi nagyjavításról tavasszal hazaszállított gép színét egy ideig még szokni kell a szemnek …
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A levett hátsó ajtókkal érkező 705-össel vízi deszant bemutatót gyakoroltak. Nem ez volt a gép egyetlen feladata a bemutató során.
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A gyorsköteles kirakáshoz szintén a 705-ös érkezett, fedezetét az ajtólövésszel repülő Mi-8-as látta el. A valóságban nem a rossz fiúk fegyverei elé lógatott kötélen csúsznának le a katonák, de egy bemutató esetében inkább a látvány a lényeg. Abban pedig nem volt hiba, ahogy a hanghatásokban sem. A hajtóművek fütyülését, a forgószárnyak csattogását és a faroklégcsavar zúgását a fegyverek ropogása egészítette ki.
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Helikopterrel általában a kimentendő személyt vagy az elfogott ellenséget szállítják el. A különlegesek által vezetett személy hátrakötözött kezét látva, nyilván az utóbbiról van szó, az Ecureuil őt és kísérőit vitte el a rajtaütés helyszínéről.
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A 705-ös visszatért a kötélen kirakott katonákért és a háromból két futót letámasztva leszállt a meredek partoldalon. A mozzanat vége felé, a gyakorlást az édesanyjával néző, talán három éves kislány a következő kérdést fogalmazta meg a géphez futó katonák láttán: - Miért fogócskáznak a bácsik?
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Miután a 705-ös tovább(sz)állt, még egy vízi mozzanat és a zárókép következett, utóbbi ugyanabban a felállásban, mint ahogy a nyitóképben láthattuk.
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Fotó: Szórád Tamás
Les pluies torrentielles qui se sont abattues jeudi sur plusieurs régions de la wilaya de Batna ont inondé des dizaines de maisons et d’autres structures dans la localité de Chemora, où les éléments de la protection civile ont procédé à une opération de drainage des eaux, a indiqué vendredi à l’APS le chargé de l’information auprès de ce corps constitué, Zouhir Nekaa.
La même source a indiqué que la crue d’Oued Chemora et de ses affluents, dont Oued Kouachia, a été derrière l’inondation des dizaines d’habitations au quartier Kariet El Louz et les rez-de-chaussée des immeubles des cités de 80 et 100 logements, ainsi que les sièges de plusieurs instances administratives dont ceux de la protection civile et du centre de formation professionnelle de la ville.
« Tous les moyens matériels et humains ont été mobilisés pour les opérations de drainage des eaux entamées dans la nuit de jeudi et qui se poursuivent ce vendredi », a affirmé M. Nekaa.
Les pluies ont également engendré la fermeture de la route nationale (RN) 3, au niveau du tronçon reliant Ain Yagout, dans la wilaya de Batna, à Ain M’lila, dans la wilaya d’Oum El Bouaghi, a-t-il noté, soulignant que les unités de la protection civile sont intervenues pour assister les usagers de la route et évacuer les flaques d’eau et la boue qui se sont constituées sur ce tronçon avant sa réouverture à la circulation.
Selon les mêmes services, les éléments de la protection civile sont également intervenus dans les communes de Merouana et Ain Djasser où des pluies orageuses ont été enregistrées.
ALGER – Trois œuvres cinématographiques algériennes, ont été sélectionnées en compétition officielle du 4 e Festival du film africain « Africlap » prévu dans la ville française de Toulouse prévu du 30 août au 3 septembre, annoncent les organisateurs.
« Chronique de mon village » de Karim Traidia sera en compétition dans la catégorie long métrage de fiction avec « L’interprète » de l’Ivoirien Kadhy Toure, « Insoumise » du Marocain Jawad Rhalib ou encore « Le gang des Antillais » du Guadeloupéen Jean Claude Barny.
Dans la catégorie court métrage, « Lmudja » de Omar Belkacemi et « Le jardin d’essai » de Dania Reymond se disputeront le grand prix du festival avec des films comme « La laine sur le dos » du Tunisien Lotfi Achour, « Dibi » du Malien Mamadou Cissé, « Le bleu blanc rouge de mes cheveux » de la Camerounaise Josza Anjembe ou encore « Tiroirs caisses, Tontine & solidarité » du Sénégalais Gilbert Kelner.
Aucun film algérien ne figure dans la catégorie documentaire qui compte sept productions en provenance de six pays du continent.
Organisé depuis 2014 par l’association éponyme, le festival « Africlap » est dédié au cinéma africain, considéré par les organisateurs comme une nouvelle forme d’oralité adoptée par des conteurs contemporains.
DAMAS – L’armée syrienne cumule les victoires sur le groupe terroriste autoproclamé « Etat islamique » (EI/Daech), notamment en l’encerclant presque totalement dans la partie centrale d’un vaste désert, rapporte vendredi l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
« Avec le soutien aérien russe, l’armée syrienne a largement avancé ces deux jours dans la badiya (désert syrien) », aux mains de l’EI depuis 2014, a précisé l’ONG syrienne.
L’armée syrienne a lancé en mai dernier une vaste offensive en vue d’en finir avec l’EI dans cette zone désertique qui s’étend sur 90.000 km2, du centre du pays jusqu’aux frontières jordanienne et irakienne, à l’est et au sud-est.
L’armée régulière « est parvenue à encercler la localité d’Oqayrbat et les 44 hameaux environnants, situés à cheval sur les provinces centrales de Hama et Homs », a expliqué à la presse Rami Abdel Rahmane, directeur de l’OSDH.
« Avec ces succès (…), la dernière voie d’approvisionnement (Ndlr: des terroristes de l’EI) en armes, munitions et matériel dans la zone d’Oqayrbat se trouve sous le feu et le contrôle de l’armée syrienne », a affirmé pour sa part vendredi le ministère russe de la Défense.
Précisant que les terroristes cherchaient à fuir vers la province de Deir-Ezzor, leur fief plus à l’est, le ministère a indiqué que « les forces aériennes russes menaient en permanence des vols de reconnaissance via des drones pour trouver et détruire les blindés, les pickups avec armes lourdes et les voitures des terroristes ».
Egalement dans cette partie centrale du désert, les troupes loyalistes ont pris le contrôle jeudi « de quatre champs gaziers », dont l’important champ de Twinan, a indiqué l’OSDH qui souligne que cela correspond à une superficie de 1.000 km2.
L’agence de presse syrienne Sana a également confirmé l’encerclement de la région d’Oqayrbat et la capture des champs gaziers.
Au centre du désert, il ne reste plus à l’armée syrienne, selon l’OSDH, que 25 km à parcourir pour rejoindre les régions d’al-Kom et d’al-Soukhna, ce qui lui permettrait d’assiéger complètement l’EI dans des poches désertiques.
L’éviction de l’EI de Homs et Hama permettrait à l’armée de lancer sa bataille pour la reprise de Deir Ezzor, province pétrolière située également dans le désert syrien et aux portes de l’Irak.
Deir Ezzor est la dernière province syrienne quasi-totalement aux mains de l’EI. Sa reconquête signifierait la fin de l’organisation terroriste en Syrie, selon Moscou.
Des romans d’Agatha Christie aux Mille et une nuits, les initiatives se multiplient en Grèce pour offrir de la lecture aux dizaines de milliers de réfugiés bloqués dans le pays, pour s’évader ou s’ouvrir à leur nouvel environnement.
Dans les rayons d’une bibliothèque ambulante qui sillonne la région d’Athènes, ce sont plus de 1.000 ouvrages qui s’entassent. En anglais, grec, français, arabe, kurde et farsi, ils ont été offerts par des Grecs, envoyés de Belgique, d’Angleterre et du Liban ou achetés avec les dons des bénévoles sur internet.
Le véhicule effectue une tournée hebdomadaire dans les camps de réfugiés entourant Athènes ou les quartiers défavorisés de la ville, pour « rendre la culture accessible à tous », explique Esther Ten Zijthoff, une Americano-néerlandaise de 25 ans, cofondatrice du projet.
Parmi les habitués, Ali, réfugié syrien de 26 ans, ne rate jamais le rendez-vous sur la place du marché central de la capitale. « J’aime beaucoup avoir de la lecture. Cela me fait du bien », affirme-t-il à l’AFP, un livre d’Agatha Christie sous le bras.
« Les romans d’Agatha Christie sont très prisés, nous aimerions bien avoir toute sa collection. Le mystère et le romantisme de ses histoires plaisent beaucoup aux arabophones », relève Mme Zijthoff.
Toujours dans le centre d’Athènes, une bibliothèque s’est elle sédentarisée dans les locaux d’une ONG internationale accueillant dans cinq immeubles des femmes et enfants syriens et afghans.
‘Culture nouvelle’
Bloqués dans le pays par la fermeture des frontières européennes après le grand exode de 2015, ils sont dans l’attente soit d’un asile en Grèce, soit d’être relocalisés ou réunis avec leurs familles dans le reste de l’UE.
Le lieu, baptisé « We need books », dispose « de la plus grande collection de livres en farsi de la capitale grecque » avec plus de 150 livres envoyés directement d’Afghanistan, selon Ioanna Nissiriou, une de ses cofondatrices.
Assise sur un pouf coloré, Zahra, une jeune Afghane de 16 ans, découvre dans sa langue l’Odyssée de Nikos Kazantzakis, un des papes de la littérature grecque. De quoi découvrir, et apprécier, « la vision grecque de la religion et du romantisme de ses dieux », note-t-elle.
« J’aime ce livre parce que c’est une culture nouvelle. Mais celui que j’ai préféré, c’est le recueil des contes des Frères Grimm. C’est de la littérature très sérieuse et pourtant totalement féerique, ça ressemble aux contes que je lisais plus jeune ».
Féerie mais aussi peut-être nostalgie: les contes des Mille et une nuits sont ici les plus demandés, relève Mme Nissiriou, une ex-journaliste de 38 ans.
« Nous en avons reçu un recueil, en farsi, en juin. Il était tout neuf et aujourd’hui je suis très heureuse de voir qu’il est déjà presque en morceaux ».
‘Très studieuse’
« Au départ, notre objectif était de permettre aux réfugiés de s’évader par la lecture. Mais aujourd’hui, nous cherchons à éduquer les enfants qui sont encore ici, à leur inculquer la notion de partage des cultures, dans le but d’intégrer ces nouveaux arrivants », ajoute Ioanna Nissiriou.
Outre la fiction, les dictionnaires de langues sont également très demandés. Malgré les applications de traduction, « beaucoup de réfugiés préfèrent emprunter la version papier qu’ils photocopient généralement afin d’en garder un exemplaire sur eux », selon Mme Ten Zijthoff.
En plus de dictionnaires illustrés, « We Need Books », accueille aussi des cours de langues, notamment arabe et français.
Massoma, une fillette afghane de 10 ans, patiente entre les rayons de livres avant sa leçon de français dispensé par une volontaire afghane, elle-même réfugiée, Wahida Rahmat.
La petite annone sans fautes son alphabet. « Massoma veut savoir manier la langue avant de rejoindre son père, qui l’attend à Paris. Elle est très studieuse », raconte Mme Rahmat, qui enseignait la religion à Kaboul.
Tentant de combler le vide laissé par la rareté en Grèce des bibliothèques publiques, ces initiatives s’inscrivent parmi une pléthore de projets solidaires impulsés dans le pays par la crise économique et l’afflux des réfugiés.
Sur la place centrale d’Athènes, la bibliothèque ambulante se gare ainsi entre un camion de distribution de nourriture et un van où des machines à laver sont mises à disposition des plus démunis.
Köszönet Bamakóból, valamennyi - a fogyatékos gyermekeket támogató /AEDMP/ programunkban résztvevő - támogató szülő számára. Fogadják szeretettel a alapítvány vezetőjének KONÉ úrnak köszönő levelét és annak magyar fordítását.
Köszönjük támogatásukat.
"Köszönetnyilvánítás a nagylelkű adományozóknak.
Teljes szívvel hálásan köszönjük, hogy országunk szegény gyermekeit támogatják. Nagyra értékeljük erőfeszítéseiket. Köszönjük az AHU egész csapatának munkáját, hiszen közreműködésükkel kerültünk kapcsolatba Önökkel.
Az AEDMP vezetői, valamennyi támogatott gyermek és a szülők nevében mondok köszönetet a segítségért a nagylelkű adományozóknak.
Nincsenek szavak hálánk kifejezésére."