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Management militaire pour de futurs chefs d’entreprise dans la Marne

Aumilitaire.com - Fri, 02/12/2016 - 10:00
De l’encadrement militaire au management en entreprise, n’y aurait-il qu’un pas ? Au 501e régiment de chars de combat à Mourmelon-le-Grand (Marne), 100 étudiants parisiens en commerce et marketing sont venus voir cette semaine ce que l’art du commandement peut apporter à leur future carrière de dirigeant. Lire la suite sur lepoint.fr
Categories: Défense

Martin Patience: 'We survived Boko Haram but face starvation'

BBC Africa - Fri, 02/12/2016 - 10:00
Up to 120,000 people risk starving to death amid the Boko Haram insurgency in Nigeria, the UN warns.
Categories: Africa

« Les États-Unis dans le monde » – 3 questions à Célia Belin et Frédéric Charillon

IRIS - Fri, 02/12/2016 - 10:00

Célia Belin, docteure en science politique de l’Université Panthéon-Assas, est chargée de mission États-Unis/relations transatlantiques au CAPS. Frédéric Charillon est professeur des Universités en science politique à l’Université d’Auvergne, notamment. Ils répondent à mes questions à l’occasion de l’ouvrage Les États-Unis dans le monde, paru aux Éditions CNRS.

Vous évoquez une opposition entre « Amérique forteresse » et « Amérique flambeau ». Quels en sont les termes et les enjeux ?

Au-delà des joutes verbales et des guerres de twitter, ce qui s’est joué dans l’élection présidentielle américaine de 2016, est le positionnement de l’Amérique sur la scène internationale. Hillary Clinton et Donald Trump offraient aux électeurs une véritable alternative entre deux approches diamétralement opposées de la relation des États-Unis au reste du monde.

La candidate démocrate, proche de l’establishment, a clamé son attachement au rôle des États-Unis comme garant de l’ordre libéral international mis en place à l’issue de la Seconde Guerre mondiale. Perçue comme interventionniste, notamment à cause de ses positions en faveur de la guerre en Irak et en Libye, Hillary Clinton croit en l’exceptionnalisme américain et considère que les États-Unis, superpuissance indispensable, ne doivent pas se soustraire à leurs responsabilités internationales. Elle s’inscrit ainsi dans la pensée internationaliste encore dominante à Washington, incarnée par des intellectuels tels que Robert Kagan, auteur de The World America Made, ou Bruce Jones, auteur de Still Ours to Lead, pour qui l’Amérique, flambeau du monde libre, aurait encore vocation à guider les nations alliées hors des ténèbres, quitte à entretenir un réseau d’alliances en Europe, en Asie et au Moyen-Orient, encombrant mais rémunérateur.

À l’inverse, Donald Trump a remis en cause la légitimité de cette vision dominante, en développant une approche de tendance « jacksonienne », du nom du président Andrew Jackson, décrit par Walter Russell Mead comme un mélange d’isolationnisme, nationalisme et unilatéralisme. Donald Trump juge que les alliés de l’Amérique bénéficient des garanties de sécurité de la première puissance mondiale, sans assurer l’effort nécessaire à leur propre sécurité. Le candidat républicain, devenu président-élu, perçoit les relations internationales comme un jeu à somme nulle dans lequel les États-Unis doivent défendre leurs intérêts au sens strict. Dans le même temps, D. Trump cultive une vision obsidionale des États-Unis, qui seraient envahis de toute part, par les immigrés mexicains comme par les musulmans, auxquels il faut interdire l’accès « tant que l’on ne se sait pas ce qu’il se passe ». C’est cette Amérique forteresse avec laquelle le monde devra désormais composer.

Barack Obama a-t-il su adapter le leadership américain au monde post-américain ?

Dès le début de son premier mandat, le président Obama a eu l’ambition de remettre en adéquation la politique étrangère des États-Unis avec les moyens réels du pays et les évolutions géopolitiques.

Le président a d’abord axé son effort sur une stratégie du « retranchement stratégique », incarnée par le retrait d’Irak, la réduction des dépenses militaires, le passage d’une stratégie de contre-insurrection à une stratégie de contre-terrorisme, un usage accru des moyens de la guerre furtive (drones, surveillance, forces spéciales) pour gérer l’instabilité sans procéder à des changements de régime.

Parallèlement, Barack Obama a voulu miser sur de nouvelles formes de leadership, selon la logique du smart power, qui combine hard et soft power dans l’objectif que l’Amérique ne fasse plus un usage systématique et coûteux de la force brute. Le pivot vers l’Asie, le leading from behind en Libye, les négociations commerciales avec l’Asie ou l’Europe et les sanctions économiques à l’encontre de l’Iran et de la Russie sont autant de modalités différentes de ce smart power, avec des succès variables.

Enfin, il a choisi de faire évoluer certains blocages historiques, en ouvrant la possibilité d’une relation pragmatique avec Cuba, le Vietnam ou encore la Birmanie. Si l’accord sur le nucléaire iranien a fait tomber l’un des plus gros tabous de la politique étrangère américaine, il est fragilisé par le retour au pouvoir du camp républicain, qui ne croit pas en son efficacité.

Le président Obama a donc fait fortement évoluer la posture américaine dans le monde. Pour certains, il l’a rationnalisée et renforcée afin de mieux appréhender les défis futurs, mais, pour d’autres, il a aussi contribué à accélérer le passage au « monde post-américain », notamment en créant une impression de vide de pouvoir, par exemple en Syrie, et en favorisant l’affirmation de la Russie et de la Chine. Le débat reste ouvert.

Vous évoquez une position insolite pour les États-Unis : celle d’avoir comme priorité extérieure l’ensemble du système international. Pouvez-vous développer ?

Contrairement à la plupart des puissances qui organisent leurs priorités de politique étrangère autour de deux ou trois cercles d’intérêt (généralement l’environnement stratégique régional, la relation avec les puissances globales, et éventuellement des régions plus lointaines avec lesquelles des liens historiques existent), les États-Unis ont le monde entier pour priorité. D’abord parce qu’ils en ont les moyens : c’est la première puissance mondiale, avec un niveau de dépenses militaires qui continue d’approcher 40% du total de la planète. Ensuite parce qu’ils se considèrent comme une nation exceptionnelle, indispensable, dont dépend la sécurité internationale. Enfin parce qu’il est exact que leurs intérêts politiques et économiques sont globaux.

Dans ces conditions, la priorité n’est pas dictée par la géographie, mais plutôt par l’actualité. Toute crise de nature à remettre en question le système international et les valeurs sur lesquelles repose la suprématie américaine (libre échange, stabilité de partenaires clefs), où qu’elle se situe, devient une priorité. C’est naturellement le cas de beaucoup de pays du monde, à cette différence que seuls les États-Unis ont le réseau diplomatique, l’influence politique et la capacité de projection militaire pour intervenir seuls si besoin à l’échelle universelle.

Un mot enfin sur cette préoccupation typiquement américaine pour le « système international ». Depuis l’époque bipolaire, la question de la structure du système international (est-il devenu unipolaire ? – ce que personne ne soutiendrait plus aujourd’hui – est-il multipolaire ? Apolaire ?) est omniprésente dans le débat intellectuel aux États-Unis. Cette préoccupation existe certes également en Russie et de façon croissante en Chine, mais plutôt sur une tonalité critique, pour contester les équilibres actuels de ce système. Nulle-part autant qu’aux Etats-Unis, elle n’est abordée avec autant de conservatisme. Conservatisme, parce que la question est de savoir si, après, un XXe siècle « américain », le XXIe le sera également. En d’autres termes, il y a aux États-Unis, à juste titre, le sentiment que le pays a réussi à constituer un système international globalement conforme à ses intérêts. Et de façon très singulière, ce système, en soi, et sa préservation (ou son évolution dans le maintien des équilibres) constituent un enjeu de politique étrangère fort.

Colère et larmes à la destruction des bidonvilles de Lagos

Maliactu - Fri, 02/12/2016 - 09:55

Chassés de chez eux et abandonnés à leur sort, les pêcheurs d’Otodo Gbame sont les dernières victimes de la croisade lancée par les autorités pour rendre Lagos, mégapole nigériane tentaculaire de 20 millions d’habitants, plus fonctionnelle et la débarrasser de ses bidonvilles.

Ponts à quatre voies, gratte-ciels, nouveaux quartiers résidentiels… L’urbanisation galopante et les grands chantiers lancés ces dernières années pour moderniser la capitale économique ont leur revers de médaille.

Le ralentissement de l’économie et des constructions qui touche le Nigeria depuis le début de l’année n’aura pas sauvé la communauté d’Otobo Gbame. Entre le 9 et 11 novembre, ce bidonville insalubre où vivaient 30.000 personnes a été rasé. Les bulldozers ont presque tout détruit.

Restent aujourd’hui des dizaines d’hectares de terres dévastées, recouvertes de gravas de tôle et de bois. Et des milliers de sans-abris postés devant les belles maisons de Lekki, quartier de la nouvelle bourgeoisie de Lagos.

« Tout a été brûlé, tout a été dispersé. Je n’ai pas retrouvé ma maison. Je ne retrouve plus mon père et son téléphone ne marche plus. Je ne sais pas où il est », raconte à l’AFP une jeune femme en colère, Joke Soke.

Au moins trois personnes sont mortes par noyade lors de cette opération de démolition, pourchassées jusque dans les eaux de la lagune par la police, selon les témoignages d’habitants. D’autres ont été arrêtés pour « incitation à la violence ».

Des irréductibles s’entassent sous des cabanes branlantes reconstruites à la hâte, à partir des décombres de leurs maisons: dans cette communauté de pêcheurs, on a besoin d’être proche de la lagune pour survivre.

Les habitants, dont la majorité appartient à l’ethnie Egun, affirment qu’ils sont venus du royaume du Dahomey (Bénin) s’installer sur ces terres il y a plus d’un siècle. Mais comme l’immense majorité des plus pauvres, ils n’ont jamais obtenu de titres de propriété.

Il y a quinze ans à peine, Lekki n’était qu’un vaste marécage infesté de moustiques. Aujourd’hui, il absorbe une urbanisation galopante, une des plus rapides au monde. Un cabinet de conseils d’architecture estime que 72.000 habitants, quasiment tous de la classe supérieure, arrivent chaque année sur ce bras de mer humide.

Otodo Gbame n’avait plus sa place au milieu des lotissements hauts de gamme aux accès sécurisés. Le mètre carré vaut de l’or.

« Le gouvernement nous éjecte de force (…) pour saisir nos terres et les vendre aux riches », accuse Toshun Pascal, un pasteur de la communauté.

« Les riches ne veulent pas de nous. A chaque fois qu’ils regardent à travers les fenêtres de leurs demeures et nous voient, leur colère monte », se désole-t-il. « Nous allons combattre cette injustice jusqu’à la dernière goutte de notre sang ».

– Qui seront les prochains ? –

Le gouvernement local nie avoir ordonné la démolition des maisons, assurant que l’incendie « criminel » est dû à des querelles ethniques entre les Egun et leurs voisins Yoruba. La police est intervenue pour rétablir l’ordre, se justifient les autorités qui évoquent des problèmes de sécurité, notamment des rapts d’enfants.

Craignant que des milliers de personnes ne soient mises à la rue, Amnesty International a exhorté les autorités à mettre un terme aux démolitions, et réclame une enquête indépendante.

« Les responsables devront être poursuivis et rendre des comptes », a déclaré l’ONG de défense des droits de l’Homme.

En 1990, plus de 300.000 personnes avaient perdu leur toit avec la démolition du bidonville de Maroko, sur Victoria Island, par le gouvernement militaire de l’époque pour réhabiliter la zone. Il est aujourd’hui remplacé par un centre commercial ultra-moderne, où les élites vont faire leurs courses.

A Makoko, immense cité lacustre de 250.000 habitants, on s’attend à être les prochains sur la liste.

« Nous ne dormons plus sur nos deux oreilles parce que nous ne savons pas quand arriveront les chenilles » des bulldozers, confie à l’AFP Noah Shemede, directeur d’une école flottante.

La question du logement reste un immense défi, avec une pénurie d’environ 16 millions de logements dans un pays de 180 millions d’habitants, selon la Banque nigériane Federal Mortgage Bank.

Le 15 novembre, environ 2.000 expulsés d’Otodo Gbame ont manifesté devant la maison du gouverneur de l’Etat de Lagos, pour exiger une aide au logement. Deux semaines après, ils restent sans réponse.

Categories: Afrique

Ukrajna és Oroszország provokálja egymást

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Fri, 02/12/2016 - 09:54

Kaiser Ferenc biztonságpolitikai szakértő szerint az orosz és ukrán kormányzat “szájkaratézik” és provokálja egymást a legutóbbi ukrán hadgyakorlattal kapcsolatban, amelyet a Krím-félszigettől nem messze tartottak.

A Nemzeti Közszolgálati Egyetem docense az M1 aktuális csatorna péntek reggeli műsorában elmondta, miután az oroszok bejelentették, hogy még a rakétaállásokat is kilövik, Ukrajna nyugatabbra helyezte át azokat és figyel arra, hogy a rakéták ne repüljenek be a Krím légterébe. Oroszországot viszont “nem szokta zavarni”, ha százezres hadgyakorlatokat folytat az ukrán határtól pár kilométerre – jegyezte meg.

Kaiser Ferenc szerint Ukrajna csak vesztese lehet annak, ha az Egyesült Államok és Oroszország kapcsolata javul, de még kérdéses, hogy Donald Trump megválasztott amerikai elnök milyen politikát folytat majd. Úgy vélte, ha a klasszikus republikánus védelmi politikát folytatja, amely erősebb fegyverkezéssel jár a demokratához képest, akkor “ütközés” várható a felek között.

Donald Trump choisit un militaire pour diriger le Pentagone

Aumilitaire.com - Fri, 02/12/2016 - 09:49
Donald Trump, qui a débuté ce jeudi dans l’Ohio sa tournée de remerciements à ses électeurs, en a profité pour annoncer qu’il entendait nommer le général James Mattis à la tête du département de la Défense. C’est une annonce à laquelle ses supporters ne s’attendaient pas. Lire la suite sur bfmtv.com  
Categories: Défense

Kárpátaljai Vándoregyetem idén három helyszínen

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Fri, 02/12/2016 - 09:49

Ötödik alkalommal rendezték meg a Soós Kálmán-ösztöndíjprogram egyik alprogramjaként megvalósuló Kárpátaljai Vándoregyetemet a „GENIUS” Jótékonysági Alapítvány szervezésében. Az ösztöndíjprogram három alprogramból áll:

1. Kárpátaljai Vándoregyetem
A Vándoregyetem célja, hogy a kárpátaljai magyar nyelvű felsőoktatásban dolgozó tanárok és kutatók valamennyi, Kárpátalján magyar nyelven oktató felsőoktatási intézményben bemutathassák kutatási témájukat vagy olyan tudományos eredményeket, melyek széleskörű érdeklődést válthatnak ki.

2. Magyar nyelvű oktatási jegyzetek és magyar nyelvű szaknyelvi szótárak készítése
Az alprogram célja, hogy azoknak a felsőoktatásban oktatott tárgyaknak az esetében, amelyekhez magyar nyelven nincs, vagy hiányos, esetleg nem megfelelő az oktatásijegyzet- és szaknyelviszótár-ellátottság, támogassa a magyar nemzetiségű oktatók jegyzet- és szótárkészítését. Az ösztöndíj elbírálása még folyamatban van, az eredményekről a napokban születik döntés.

3. Kárpátaljai vonatkozású kutatások támogatása
Azok számára szól a pályázat, akik az elmúlt két tanévben magyar nyelven írták és védték meg szakdolgozatukat valamelyik kárpátaljai felsőoktatási intézményben, és szakdolgozatuk témája kapcsolódik vidékünkhöz, azaz Kárpátaljához.

A Vándoregyetem három helyszínen valósult meg hét oktató részvételével. Beregszászban 2016. november 29-én a II. Rákóczi Ferenc Kárpátaljai Magyar Főiskola, Ungváron pedig november 30-án az Ungvári Nemzeti Egyetem és az Ungvári Szent Gellért Szakkollégium adott otthon a rendezvénynek. Az előadók közt voltak a II. Rákóczi Ferenc Kárpátaljai Magyar Főiskola és az Ungvári Nemzeti Egyetem Magyar Tannyelvű Humán- és Természettudományi Karának oktatói.
Beregszászban négy szekcióban (humán-, biológia és kémia-, fizika- és gazdaságtudományi szekciók) mutatták be az előadók saját szakterületükön végzett tudományos munkájukat, eredményeiket, míg Ungváron ugyanez két szekcióban – humán és reál – történt.
Az eseményt mindhárom intézményben nagy érdeklődés övezte a hallgatók körében, hiszen az előadások a tudományterületek széles palettáját reprezentálták, így mindenki kiválaszthatta az érdeklődési köréhez legközelebb álló szekcióülést.
A program beregszászi és ungvári megnyitóján dr. Váradi Natália, a „GENIUS” Jótékonysági Alapítvány irodaigazgatója köszöntötte az előadókat, kollégákat, érdeklődőket, ismertetve a program célját és lebonyolítási menetét.

A Vándoregyetemen a következő oktatók mutatták be saját kutatási területeiket az alábbi témákban:

Bacsó Róbert Virtuális valuta a jelenlegi pénzpiaci szabályozás tükrében: elméletektől a gyakorlati megvalósításig Bárány Erzsébet A magyar–ukrán és ukrán–magyar lexikográfia múltja és jelene Csoma Zoltán Az ivóvizek nitrátszennyezettsége a Kárpátaljai-alföld településein Kohut Erzsébet Egy ismeretlen ismerős: a biotechnológia Komonyi Éva Válságban Kárpátalja történelmi és táji almafajtái Tarics Zoltán Az évszázad felfedezése: végre befogták a gravitációs hullámokat Váradi Natália Kárpátaljai iratfeltárási, kutatási projektek a rendszerváltozás előtti évtizedek bemutatása céljából

Az Alapítvány ezúton is hálásan köszöni a három felsőoktatási intézménynek azt, hogy helyszínt biztosítva közreműködtek a program sikeres lebonyolítása érdekében, valamint az oktatóknak a színvonalas előadásokért.
A Soós Kálmán-ösztöndíjprogram három alegységének ösztöndíjátadó ünnepségére 2016. december 6-án kerül sor a II. RFKMF Győr termében délután 15:10-től, melyre minden kedves érdeklődőt szeretettel vár a „GENIUS” Jótékonysági Alapítvány.
Az ösztöndíjprogram megvalósulását a Bethlen Gábor Alap támogatta.

„GENIUS” Jótékonysági Alapítvány

Szélre, hóra, jégre kell számítani

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Fri, 02/12/2016 - 09:47

Erős szélre, havazásra és jegesedésre vonatkozó sárga jelzésű figyelmeztetést adtak ki a meteorológusok az ország egész területére. Ez péntek reggel 8 órától lépett életbe, és szombat hajnali 2 óráig tart.
Kategória: Aktuális/Csíkszék

Margvelashvili: Georgia counts on Trump's support

News.Az - Fri, 02/12/2016 - 09:45
Georgia expects relations with the United States under Donald Trump to remain strong, Georgian President Georgy Margvelashvili told Reuters in an interview.
Categories: Russia & CIS

Egyre súlyosabb pilótahiánnyal küzd az Amerikai Légierő

JetFly - Fri, 02/12/2016 - 09:41
Régóta kering a sajtóban a hír, miszerint az Egyesült Államok légiereje (USAF) egyre komolyabb pilótahiánnyal küszködik. A probléma megoldásának felelőse Scott Vander Hamm vezérőrnagy, aki elmondta, hogy a jelenség már a légierő harci képességeit is veszélyezteti.
Categories: Biztonságpolitika

Attentats du 13 novembre : la vie en miettes de celle qui a dénoncé l’ennemi public numéro 1

France24 / France - Fri, 02/12/2016 - 09:39
Le 16 novembre, la vie de Sonia bascule. Celle qui a permis de localiser Abdelhamid Abaaoud après les attentats de Paris, se retrouve isolée de tous. Sortie de son silence, son témoignage a permis la reconnaissance de son statut de témoin.
Categories: France

Szent Miklós-napi búcsú Csíkszentmiklóson

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Fri, 02/12/2016 - 09:39

Jövő kedden van Szent Miklós napja, hétfőn este jön a Mikulás, Csíkszentmiklóson azonban már vasárnap megtartják a plébániatemplom búcsús ünnepét.
Kategória: Aktuális/Csíkszék

Lockheed C-130: deux avis de modifications de marché notifiés à Lockheed

Lignes de défense - Fri, 02/12/2016 - 09:39

Deux avis lus dans la dernière livraison des avis d'attribution de marchés du Pentagone:

Lockheed Martin Aeronautics, Marietta, Georgia, has been awarded a $133,434,778 modification (P00658) to previously awarded contract FA8625-11-C-6597 for aircraft. Contractor will provide two U.S. government-configured C-130J-30 aircraft. Work will be performed at Marietta, Georgia, and is expected to be completed by Aug. 30, 2020. This modification involves unclassified foreign military sales (FMS) to France. FMS France funds in the amount of $133,434,778 are being obligated at the time of award. Air Force Life Cycle Management Center, Wright-Patterson Air Force Base, Ohio, is the contracting activity.

Lockheed Martin Aeronautics, Marietta, Georgia, has been awarded a $36,598,273 not-to-exceed modification (P00580) to previously awarded contract FA8625-11-C-6597 for configuration changes to four aircraft (2 C-130J-30, and 2 KC-130J). Work is to be performed at Marietta, Georgia, and is expected to be complete by April 30, 2020. This modification involves unclassified foreign military sales (FMS) to France. FMS France funds in the amount of $3,478,898 are being obligated at the time of award. Air Force Life Cycle Management Center, Wright-Patterson Air Force Base, Ohio, is the contracting activity.

Ces deux avis s'inscrivent dans le cadre de la FMS de 2015 (à lire ici) qui porte sur la fourniture de deux C-130J et de deux KC-130J.

Categories: Défense

#La Réplique : L’Europe n’est pas une prison, ni comparable à l’Union Soviétique

EU-Logos Blog - Fri, 02/12/2016 - 09:36

Le temps du changement est venu, selon Matteo Salvini, député européen depuis 2004 et secrétaire fédéral de la Ligue du Nord (LN).

En premier lieu, il estime qu’après le Brexit, l’élection de Donald Trump pourrait changer la politique européenne, et son existence. Si le président américain s’engage à s’occuper de ce qui se passe d’abord dans son propre pays ce serait bénéfique pour l’Union européenne, et en particulier pour ses relations avec la Russie qui ne feront que s’améliorer, car ce serait une folie de continuer avec ces sanctions. Il oublie que les sanctions contre la Russie ne sont pas des «punitions  gratuites». En raison de la non‑reconnaissance par l’UE de l’annexion illégale de la Crimée et de Sébastopol par la Russie, le Conseil a imposé d’importantes restrictions en matière de relations économiques avec la Crimée et Sébastopol. En mars 2015, les dirigeants de l’UE ont décidé d’aligner le régime de sanctions en vigueur sur la mise en œuvre intégrale des accords de Minsk, qui était prévue pour la fin décembre 2015. Étant donné qu’à la date du 31 décembre 2015, les accords de Minsk n’avaient pas entièrement été mis en œuvre, le Conseil a prorogé les sanctions économiques jusqu’au 31 juillet 2016. En juillet, après avoir évalué la mise en œuvre des accords de Minsk, le Conseil a prorogé les sanctions jusqu’au 31 janvier 2017. Ceci démontre que l’UE est une puissance économique, mais pas seulement. Les sanctions, qui ont des effets négatifs aussi pour l’UE, doivent être considérées comme un instrument de droit international. La souveraineté nationale de l’Ukraine ne doit pas être remise en cause, puisque les idéaux de justice et liberté précédent les intérêts économiques.

En deuxième lieu, le député Matteo Salvini, rejoint la position de Donald Trump en ce qui concerne la fonction de l’OTAN et la relation avec l’Union européenne. Pour lui, l’OTAN dans son état actuel n’a plus aucun sens. On discute de la présence de l’OTAN en Italie, de cette alliance qui n’est plus défensive mais offensive, qui exporte la guerre et qui joue à la guerre avec la Russie…Pour lui si Donald Trump fait ce qu’il dit et redéfinit le rôle de l’OTAN, cela n’apportera que du bien à tout le monde. Cependant, le député italien, n’a pas pris en considération que Donald Trump sait  que les États-Unis ont besoin de l’OTAN pour protéger leurs intérêts en Europe et au Moyen Orient. De plus, l’OTAN n’est pas une organisation offensive mais défensive, et doit réponde aux exigences de chaque Etat membre. Les mesures contre la Russie ne sont pas liées à l’intention de déclencher une nouvelle guerre froide, mais à la défense des Alliés limitrophes à la Russie, laquelle depuis le conflit ukrainien a commencé à intensifier ses activités militaires.

En dernier lieu, il croit que plus vite l’UE, (selon lui) pire que l’Union soviétique, sera démantelée, le mieux ce sera pour tout le monde. Il faudrait qu’il lise le Traité de Lisbonne. Il n’utilise même pas le mot «Russie», mais «Union Soviétique» pour identifier l’UE. Si nous prenons en considération le Traité de Lisbonne nous pouvons lire que l’Union se fonde sur le respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, d’État de droit ainsi que de respect des droits de l’homme, y compris les droits des personnes appartenant à des minorités. Ces valeurs sont communes aux États membres. De plus, les sociétés des États membres sont caractérisées par le pluralisme, la non-discrimination, la tolérance, la justice, la solidarité et l’égalité entre les femmes et les hommes. Ces valeurs jouent un rôle important. Aussi, les États membres de l’UE ont décidé d’y rentrer. L’Union soviétique se fondait sur une Constitution  qui affirmait la dictature des ouvriers et des paysans et interdisait la propriété privée, à l’exception de très petites propriétés des paysans et des artisans qui travaillaient sur leur propre terrain, (qui était, à l’exclusion de l’embauche d’employés, définie comme exploitation), reconnu comme bien personnel. L’Union européenne est bien différente d’un système autoritaire et dictatorial.

Maria Elena Argano


Classé dans:#LaReplique, Face au populisme
Categories: Union européenne

Ortutay Elemér születésének 100. évfordulója tiszteletére nyílt kiállítás az Ungvári Nemzeti Egyetemen

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Fri, 02/12/2016 - 09:33

 „Holnap is felkel a nap…– Kárpátalja a 20. században egy görögkatolikus pap élettörténetén keresztül” címmel kiállítás nyílt az Ungvári Nemzeti Egyetem magyar karán november 29-én.

Az esemény megnyitóján Dr. Zubánics László, a Magyar Tannyelvű Humán- és Természettudományi Kar dékánhelyettese köszöntötte az egyetem diákjait, oktatóit, s minden jelenlévőt, többek között Dupka Györgyöt, a Kárpátaljai Magyar Művelődési Intézet igazgatóját, Szabó Konstantint, a Boldog Romzsa Tódor Hittudományi Főiskola prefektusát, aki Ortutay Elemér tanítványa is volt, illetve Marosi István parochust, a GörögKör elnökét.

Beszédében kiemelte a hallgatók tudományos ismeretei gyarapításának fontosságát. Hangsúlyozta, a diákoknak ismerniük kell azokat a személyeket, akik Kárpátalján még akkor is a magyarság érdekét szolgálták, ha ezért mártírságot kellett vállalniuk. Bizonyosságát fejezte ki aziránt, hogy a kiállítás több hallgatónak is ihletet ad, s majd ötleteket merítenek ebből szakdolgozatuk témájának kiválasztásakor. A dékánhelyettes felhívta a figyelmet annak fontosságára, hogy Ortutay Elemér életére tekintve ne csupán iratokat és képeket lássanak a látogatók, hanem az élő embert érezzék, aki családapa, oktató és pap is volt egy személyben. Hozzátette: a diákokat arra próbálják nevelni, hogy helyt álljanak a világban, biztonságban érezzék a magukat azon az úton, ahová Isten vezette őket. Többek közt így próbálják megőrizni Ortutay Elemér hagyatékát.

Ezt követően Marosi István görögkatolikus áldozópap, a II. Rákóczi Ferenc Kárpátaljai Magyar Főiskola görögkatolikus lelkésze nyitotta meg a dr. Ortutay Elemér születésének 100. évfordulója tiszteletére rendezett kiállítást. Kihangsúlyozta, hogy a görögkatolikus egyházat csupán 1989-ben törvényesítették Kárpátalján, de a teológus mindaddig a lakásában titokban18 papnövendéket készített fel az egyházi pályára. A parochus megkérte a közönséget, hogy próbáljanak úgy tekinteni a pap életművére, mint a 20. századi Kárpátalja történelmére.

Továbbá felhívást intézett a fiatalok felé: a GörögKör civil szervezet négy éve alapította meg a Keresztény Tudományos Diákköri Konferenciát, amelyre szeretettel várnak minden ifjú kutatót, bármilyen vallási tematikával is foglalkozzon. A konferencia célja a különböző szakterületek keresztény vonatkozásának megtalálása.

A kar Bercsényi Miklósról elnevezett könyvtárában egy információban gazdag videót tekinthettek meg az érdeklődők a teológiai tanár életéről. Megtudhatta a közönség, hogy Ortutay Elemér görögkatolikus pap, teológiai tanár 1916. június 2-án született a Huszti járásban, Kövesligeten (Drahovo). 1928-tól 1938-ig Beregszász városbírójaként tevékenykedett, itt végezte el az állami főgimnáziumot. Teológiai tanulmányait Olmützben és Budapesten, a Pázmány Péter Tudományegyetemen végezte el. 1945-től az Ungvári papnevelő intézet teológiai tanára volt. 1949-ben 25 évi börtönre ítélték, mert nem tagadta meg hitét, ugyanis a szovjet csapatok azon dolgoztak, hogy elnyomják a görögkatolikus egyházat. 7 évvel később, 1956-ban engedték szabadon, de továbbra sem tevékenykedhetett papi hivatása szerint. Egy ungvári kályhagyárban dolgozott közel húsz évig. Nyilatkozata szerint a titkosrendőrség folyamatosan, heti rendszerességgel figyelte. Haláláig számos egyházban tartott szent liturgiát, valamint szerepe volt abban, hogy a templomok visszakerüljenek az egyház birtokába. 1997-ben hunyt el Ungváron.

Az esemény zárásaként a főiskola kispapi kórusa színvonalas előadással szórakoztatta a közönséget.

Vaszecsko Karina
Kárpátalja.ma

Le « COSTRAT », symbole de la transformation 
de l’armée de Terre

Le 19 novembre dernier, à l’occasion de la cérémonie de remise des sabres et casoars marquant l’entrée dans la carrière d’officier de 197 jeunes Saint-Cyriens et 97 élèves de l’école militaire interarmes, le général d’armée Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT) a réuni son comité stratégique (COSTRAT) aux Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan. Par l’union de ces deux évènements, le général Bosser a souhaité renforcer le lien de proximité entre la haute hiérarchie militaire et les élèves officiers, futurs commandeurs de l’armée de Terre.
Categories: Défense

Russia to draft oil production cuts plan by Dec. 9 OPEC meeting

News.Az - Fri, 02/12/2016 - 09:18
"It will be ready by the meeting with OPEC countries."
Categories: Russia & CIS

December 5-től Svédország ad otthont a 12. női kézilabda Európa-bajnokságnak

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Fri, 02/12/2016 - 09:06

Az eddigi kontinensvetélkedők során hat válogatott – Dánia, Magyarország, Németország, Norvégia, Oroszország és Ukrajna – mindig ott volt még a mezőnyben, de most ez a dicsőségtabló eggyel apad majd, hiszen Ukrajna nem harcolta ki a részvételi jogát.

Ami a magyar válogatottat illeti, a Kim Rasmussen által irányított alakulat a csoportmérkőzések során Csehországgal, Dániával és Montenegróval találkozik. A C jelű kvartett első három helyén végző együttes a középdöntőben a D csoport (Oroszország, Norvégia, Románia, Horvátország) első három helyezettjével szemben folytatja majd a küzdelmet a minél jobb helyezésekért.

(jéel)

Ennyibe még nem került Községháza felirat

Székelyhon.ro (Románia/Erdély) - Fri, 02/12/2016 - 09:04

A Hargita Megyei Törvényszék döntése értelmében pénzbírságot kell fizetnie Madéfalva polgármesterének a Községháza felirat eltávolítására vonatkozó jogerős bírósági végzés végrehajtásának elmulasztásáért.
Kategória: Aktuális/Csíkszék

Conservateurs : la nouvelle vague

Le Figaro / Politique - Fri, 02/12/2016 - 09:01
Manif pour tous, percée du FN, victoire de Fillon... Une génération qui a soif de repères, de racines et de limites, émerge. La gauche exsangue politiquement est également en train de perdre son hégémonie culturelle et médiatique.
Categories: France

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