Le gouvernement met en œuvre une politique ambitieuse pour améliorer le cadre de vie et les infrastructures de transport en 2026. Avec un budget de 335,32 milliards de FCFA, ces secteurs visent à transformer les villes et les territoires en espaces durables et attrayants.
Dans le cadre du budget de l'État 2026, le Bénin investit massivement dans les secteurs du cadre de vie et des transports pour répondre aux besoins croissants de ses citoyens. Une enveloppe de 335,32 milliards de FCFA est dédiée à des projets visant à assainir les villes, améliorer la mobilité urbaine et développer des infrastructures durables.
Le projet phare "Asphaltage", initié lors du premier quinquennat du Président Patrice Talon, se poursuit avec des travaux d'aménagement de voiries primaires, secondaires et tertiaires dans plusieurs villes du pays, notamment Cotonou, Porto-Novo, Abomey-Calavi, Parakou et Natitingou. Ce projet, qui bénéficie d'un budget de 20,41 milliards de FCFA, vise à améliorer la circulation urbaine, réduire les nuisances et dynamiser les économies locales.
En parallèle, des initiatives d'assainissement pluvial, telles que le projet d'assainissement pluvial de Cotonou (13,69 milliards de FCFA) et l'assainissement des villes secondaires (22,93 milliards de FCFA), contribueront à réduire les risques d'inondation et à améliorer la qualité de vie des habitants. Le développement de l'infrastructure géographique de base et du cadastre, ainsi que l'aménagement des voies d'accès aux stades communaux, sont également au programme.
Dans le domaine des transports, le gouvernement prévoit la réhabilitation et le bitumage de routes stratégiques, la construction d'échangeurs et le renforcement de la mobilité urbaine par des systèmes de transport collectif. Ces projets visent à connecter les 77 chefs-lieux de communes et à créer un système de transport multimodal performant.
M. M.
Opposée à la participation d'Israël au prochain concours de l'Eurovision, la Slovénie fait partie des quatre pays qui boycotteront le célèbre télé-crochet organisé en Autriche l'an prochain. Tandis que trois pays des Balkans signent leur retour dans la compétition.
- Articles / Courrier des Balkans, Une - Diaporama, Culture et éducation, Relations internationales, Slovénie, Bulgarie, Roumanie, MoldavieWritten by Tarja Laaninen with Joris Bol.
Almost all young people in the European Union use the internet daily and are much more likely to participate in social network activities than the total population. Social media platforms have also become young people’s top source for information on political and social issues: in a Flash Eurobarometer survey in 2025, 65 % of respondents aged between 15 and 24 said social media was their main source of information.
Some EU Member States are considering laws banning social media use for under 15-year-olds and calling for a pan-European digital age of majority. An EU-funded pan-European knowledge platform has developed a theoretical framework – the 4C model (content, contact, conduct and contract) –to inform understanding of the ways in which online platforms may pose a threat to young people, including disinformation, hate speech and violent content, or access to harmful communities.
In her State of the Union speech in September 2025, European Commission President Ursula von der Leyen announced that she will commission a panel of experts to advise her on the best approach for Europe concerning social media, by the end of the year. In her key priorities for the following year, she lists an action plan against cyberbullying, expected in early 2026, as well as a digital fairness act, which could further address topics such as addictive design, dark patterns, and in-app purchases. A full evaluation and review of the Audiovisual Media Services Directive (AVMSD) will also take place in 2026, paying particular attention to the regulation of influencers and the protection of minors.
Read the complete briefing on ‘Youth and social media‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
Deuxième jour du week-end, ce samedi 6 décembre s’annonce sous un ciel instable. Pluies et températures fraîches toucheront plusieurs wilayas, promettant une journée marquée par […]
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La Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) a lancé ''e.Accreditation'', sa plateforme numérique dédiée à la gestion des accréditations pour les élections générales de 2026.
Les observateurs nationaux et internationaux pourront désormais effectuer en ligne toutes leurs démarches liées à leur mission dans le cadre des élections générales de 2026. Tout se fait via https://eaccreditation.cena.bj
La plateforme numérique de gestions des accréditations à été lancée par la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA). Selon un communiqué de l'institution, les structures intéressées peuvent déposer leurs demandes directement via la plateforme.
Le porte-parole du gouvernement, Wilfried Houngbédji a donné, vendredi 5 décembre 2025, des explications sur la trêve instaurée dans le cadre de la révision constitutionnelle.
Une trêve de six ans a été instaurée dans le cadre de la révision de la constitution du Bénin. Certains affirment que cela entrave le débat politique. Face aux professionnels des médias ce vendredi 05 décembre 2025 à Cotonou, le porte-parole du gouvernement a fait savoir que la trêve n'est pas un frein à la démocratie.
« La trêve politique ne veut pas dire que les partis politiques n'existent plus ». Ils restent libres de s'exprimer, commenter l'actualité. Ce qui est proscrit, c'est la « réclame politique permanente ». Le gouvernement veut mettre fin au cycle où, dès le lendemain d'une élection, « on commence à dire : le président est mauvais, il faut qu'il dégage », a expliqué Wilfried Houngbédji.
L'objectif, en instaurant la trêve, est de permettre au président élu de réussir sa mission. « S'il (le Chef de l'Etat, NDLR) réussit, c'est au profit de la nation entière. S'il échoue, il aura perdu du temps à toute la nation ». Et parfois, l'échec vient « parce que les politiciens le tirent vers l'arrière ».
La trêve vise donc à favoriser l'unité. Les hostilités électorales pourront reprendre « à un an près » des échéances. « Le débat politique demeure. Le débat politicien, on peut le différer », a conclu le porte-parole du gouvernement.
En novembre 2025, une révision constitutionnelle a été opérée introduisant un Sénat et étendant les mandats électifs (président, députés, maires) de cinq à sept ans, renouvelables une seule fois, tout en maintenant la limite de deux mandats présidentiels. Une trêve politique de six ans a été également instaurée. Mais le texte voté par l'Assemblée nationale avec une large majorité (90 pour, 19 contre), est à l'étape d'examen de constitutionnalité à la Cour constitutionnelle. Il doit être promulgué après par le Président de la République.
M. M.