Un ressortissant malien a été interpellé à l'aéroport international de Cotonou pour usage de faux document de voyage. Le prévenu a comparu, mardi 24 juin 2025, devant le Tribunal de première instance de Cotonou.
L'homme d'origine malienne, arrivé au Bénin pour célébrer la Tabaski avec ses proches, détenait un passeport équato-guinéen portant le prénom Miguel.
Le système de contrôle de l'aéroport l'a toutefois identifié comme étant déjà passé par Cotonou sous le nom de Mohamed, avec un passeport malien. C'est ce qui ressort des faits reconstitués lors des débats au Tribunal ce mardi 24 juin 2025.
A la barre, le prévenu a reconnu les faits. Il a expliqué avoir obtenu ce second passeport lors d'un séjour en Guinée équatoriale, où il a eu une relation avec une ressortissante de ce pays, mère de ses enfants. Il a affirmé avoir voulu bénéficier des avantages liés à la nationalité équato-guinéenne.
En larmes, l'homme a plaidé la clémence du tribunal.
Le ministère public a requis une peine de 24 mois d'emprisonnement avec sursis, assortie d'une amende de 500.000 FCFA.
Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 1er juillet. En attendant, le prévenu a été reconduit en détention.
M. M.
Un jeune chauffeur de camion-citerne a comparu ce mardi 24 juin 2025 devant le Tribunal de première instance de Cotonou. Il est poursuivi avec mandat de dépôt pour avoir siphonné 200 litres de gasoil.
En pleine mission de livraison, un jeune conducteur de camion-citerne est surpris en train de siphonner du gasoil. Les faits se sont déroulés au parc de Maro Militaire, point de départ de la livraison.
Le chauffeur attendait les documents du chargement ainsi que les coordonnées de la station-service destinataire à Akpakpa.
C'est alors que le Chef service qualité de la société d'hydrocarbures remarque du carburant au sol. En s'approchant, il découvre un dispositif installé sur la citerne. Le chauffeur aurait utilisé ce montage pour remplir le réservoir de son propre camion, d'une capacité de 200 litres.
Le chauffeur est immédiatement arrêté. Le camion et sa cargaison sont immobilisés.
À la barre ce mardi 24 juin 2025, le mis en cause se défend. Il dit être tombé en panne. Selon lui, il voulait juste prélever un peu de gasoil pour redémarrer le moteur et assurer la livraison.
La société, elle, n'y croit pas. Elle estime que si le chauffeur était réellement en panne, il n'aurait pas rempli tout le réservoir. Elle parle de détournement de carburant destiné à la vente.
L'entreprise réclame 2.000.000 FCFA de dommages et intérêts.
L'affaire est renvoyée au 15 juillet 2025 pour la suite des débats.
M. M.
Written by Barbara Nicoletti.
The Ispra site of the Joint Research Centre (JRC) is European Commission’s third-largest site. Originally established for nuclear research, it has evolved into one of Europe’s leading research campuses today, with cutting-edge laboratories and unique research infrastructure. The site provides science-based responses to policy challenges related to sustainable resources and transport, space, security, energy efficiency and climate change, as well as nuclear safeguards and security.
The STOA Panel and the JRC have a unique partnership that enhances the crucial role of evidence-informed policy-making at EU level. Interaction includes regular exchanges of views, co-organised events and visits, through which the STOA Panel and the JRC cooperate to share knowledge between the institutions, providing opportunities for debate, and supporting evidence-based EU policymaking.
The visit began with a welcome address by Bernard Magenhann, JRC Director-General, and an introductory presentation on the JRC’s mission, organisation, and activities at the JRC Europa Science Experience, an interactive entry point to the research site.
JRC experts provided specific examples of JRC’s scientific work in support of policymaking by presenting the JRC activities related to the circular and bio-based economy, from raw materials, to products and waste, and the ‘Sevilla Process‘, through which the European Commission leads the science-based co-creation of environmental norms for and with European industry.
The visit continued with a tour of the Nanobiotechnology Laboratory, where interdisciplinary studies are conducted on nanomaterials, nanomedicines and therapies, as well as health surveillance technologies, advanced materials, and micro(nano)plastics. The delegation also visited the European Interoperability Centre for Electric Vehicles and Smart Grids, which combines four laboratories gathering knowledge and test facilities on energy efficiency, hybrid exhaust emissions, electromagnetic compatibility, smart grids and battery testing.
The afternoon programme included visits to additional cutting-edge laboratories. At the Microwave Signature Laboratory, the delegation learned about the JRC’s research into space, connectivity and quantum. The visit to the European Crisis Management Laboratory provided direct experience of the monitoring, modelling, analysis and estimation work done by the JRC to enhance crisis responses to various types of emergencies, including security issues, natural and man-made hazards, or health crises.
These visits gave the STOA members the opportunity to witness the innovative research shaping EU policies and address questions directly to JRC experts. Inspiring discussion took place in a cooperative and informal setting about some of the most pressing challenges facing the EU, helping to explore ways in which research and technology can help address these issues.
The STOA delegation greatly appreciated JRC’s warm welcome, confirmed the importance of the visit in deepening the longstanding STOA-JRC cooperation, and emphasised the relevance of independent scientific advice in informing EU policymaking.
Participants: European ParliamentLes eurodéputés Jordan Bardella et Alexandre Varaut (Rassemblement national, RN), ont formé un recours contre le Parlement européen, qui refuse de prendre en charge les salaires de leurs assistants à Strasbourg — des proches qui exercent déjà d’autres fonctions à Paris, a-t-on appris de sources concordantes.
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La coopération dans le domaine sécuritaire se renfirce entre le Royaume du Maroc et la République française. Un Plan d'action conjoint a été signé, mardi 24 juin 2025, à Rabat, entre les services de la Sûreté nationale et la Direction Générale de la Police nationale française.
Le Plan d'action conjoint a été signé, mardi dernier, à Rabat, entre le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi, et le Directeur général de la Police nationale française, Louis Laugier.
Le document a été signé à l'occasion de la rencontre de M. Hammouchi avec M. Laugier, qui était accompagné de l'Ambassadeur de la République française à Rabat et d'une importante délégation sécuritaire comprenant plusieurs directeurs des directions centrales de la Police nationale française, précise le Pole DGSN-DGST à travers un communiqué.
Le plan d'action jette les bases d'une feuille de route conjointe dans le domaine de la lutte contre la criminalité organisée transfrontalière dans les deux pays frères, indique la même source.
Ce plan conjoint tire son importance du fait qu'il permet l'institutionnalisation des mécanismes de la coopération distinguée établie depuis des décennies entre les services sécuritaires marocains et français. Par ailleurs, il favorise le développement et l'élargissement des domaines de cette coopération de sorte à baliser la voie à la création de groupes de travail conjoints afin de faire face aux différents défis liés au crime organisé, dont la traque des fugitifs et des personnes recherchées au niveau international.
Des perspectives prometteuses
Ce plan ouvre aussi des perspectives prometteuses en matière de coopération sécuritaire et d'assistance réciproque entre les services de police du Royaume du Maroc et ceux de la République française, pour la hisser à la hauteur des relations distinguées unissant les deux pays amis, et d'un partenariat stratégique durable dans les domaines de la formation, d'échange d'informations, d'assistance technique et de coopération opérationnelle.
La visite de travail du Directeur général de la Police nationale française dans le Royaume vise à consolider la coopération sécuritaire et renforcer les mécanismes d'assistance mutuelle dans les divers domaines de coopération policière bilatérale.
M. Laugier a exprimé sa profonde gratitude aux services marocains de sûreté nationale et de surveillance du territoire pour leur rôle dans l'appui à la sécurité française dans la lutte contre la menace terroriste, la traque et l'interpellation de plusieurs individus recherchés par la justice française dans le cadre d'affaires liées au crime organisé et la sécurisation des Jeux olympiques de Paris.
Il a assuré de la volonté et de la disposition de la France à offrir toute forme d'appui possible en vue d'aider la police marocaine en matière de protocoles de sûreté pour sécuriser les manifestations sportives internationales que le Maroc abritera à l'avenir.
Reconnaissance et confirmation du rôle pionnier des services de sûreté nationale
En marge des séances de travail tenues entre les deux parties, l'Ambassadeur de la République française à Rabat, Christophe Lecourtier, a remis les insignes d'Officier de la Légion d'Honneur, dont les autorités françaises ont décoré le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire, Abdellatif Hammouchi.
La partie française a affirmé que l'attribution à M. Hammouchi de la plus haute et prestigieuse des décorations françaises constitue une reconnaissance et une confirmation du rôle pionnier qu'assument les services de sûreté nationale dans le cadre des efforts internationaux de lutte contre le terrorisme et le crime organisé.
Cette distinction témoigne également de l'efficacité de l'assistance mutuelle en matière de sécurité entre les deux pays, au service des questions de sécurité commune.
Le Directeur général de la Sûreté nationale et de la Surveillance du territoire a eu avec M. Laugier des entretiens sur l'évaluation du niveau de coopération bilatérale dans le domaine sécuritaire, l'examen de diverses questions d'intérêt commun et l'exploration de nouveaux mécanismes visant à renforcer l'assistance entre les deux parties afin de garantir les plus hauts niveaux de préparation pour neutraliser les différents risques et menaces sécuritaires.
La visite du Directeur général de la Police nationale française illustre l'importance et le niveau de coopération entre les services de sûreté nationale du Maroc et de la France. Elle traduit également la volonté des deux parties de renforcer l'assistance mutuelle et la coopération opérationnelle afin d'atteindre le plus haut niveau de préparation pour faire face aux différentes menaces et risques qui guettent la sécurité des deux pays.