New York – Der Uno-Sicherheitsrat bereitet nach Diplomatenangaben vom Freitag eine Resolution zur Aufhebung der Sanktionen gegen Eritrea vor. Darin werden unter anderem die Aufhebung des Waffenembargos und sämtlicher Reisebeschränkungen gefordert.
Gemäss dem seit Donnerstag von Grossbritannien verbreiteten Entwurf, den die Nachrichtenagentur AFP einsehen konnte, sollen auch eingefrorene Vermögen wieder freigegeben werden. Der Schritt folgt auf die historische Friedensvereinbarung zwischen Eritrea und Äthiopien.
Die Sanktionen waren 2009 wegen der mutmasslichen Unterstützung Eritreas für die Terrormiliz Al-Shabab-Miliz in Somalia verhängt worden. Dem Resolutionsentwurf zufolge konnte dieser Vorwurf allerdings nie zweifelsfrei belegt werden.
Laut Diplomaten soll der Sicherheitsrat am 14. November über den Entwurf abstimmen. Es wird erwartet, dass das Uno-Gremium die Resolution durchwinkt. Zuvor hatten die USA ihren Widerstand gegen die Aufhebung der Sanktionen aufgegeben.
In dem Entwurf wird überdies gefordert, dass Eritrea Informationen zum Verbleib von Soldaten des ostafrikanischen Staats Dschibuti freigibt, mit dem es immer wieder zu Grenzkonflikten kommt. Ein Waffenembargo gegen Somalia soll dem Entwurf zufolge weiterhin aufrecht erhalten werden.
Die jahrzehntelang verfeindeten Nachbarstaaten Eritrea und Äthiopien hatten im Juli ein Friedensabkommen getroffen und dies im September offiziell unterzeichnet. Eritrea hatte sich Anfang der Neuzigerjahre nach einem drei Jahrzehnte währenden Krieg von Äthiopien abgespalten und sich 1993 für unabhängig erklärt. Danach führten beide Länder einen erbitterten Krieg um den Grenzverlauf.
C'est le centre des jeunes et de loisirs de la commune de Kpomassè, qui a abrité ce vendredi 02 novembre 2018, la cérémonie de remise de matériels aux couches vulnérables.
140 cas sociaux et personnes handicapées en fin d'apprentissage et 110 personnes handicapées ont reçu des appuis financiers pour la réalisation des activités génératrices de revenus. 209 autres personnes handicapées ont bénéficié d'aides techniques et appuis financiers. Chiffrés à près de 50 millions FCFA, l'appui matériel et financier aux couches vulnérables vient témoigner une fois de l'attention que porte le gouvernement à la souffrance des populations notamment aux plus vulnérables. A cette cérémonie étaient présents le Préfet de l'Atlantique, à travers son chargé de mission, Bernard Zannoudaho et le Maire de Kpomassè Kenam Mensah. Les femmes et les bénéficiaires n'ont pas manqué cette cérémonie pour témoigner leur soutien au gouvernement à travers son geste bien grandiose. Le ministre des affaires sociales et de la microfinance Bintou Adam Chabi Taro, a remis ces appuis matériels et financiers aux cas sociaux et aux personnes handicapées pour la réalisation des activités génératrices de revenus, et la facilitation de leur mobilité et leur installation. La preuve que les actions du gouvernement dans le social ne sont pas limitées. Le directeur général du Fonds d'Appui à la Solidarité Nationale (FASN), Alphonse Sogadji, a souligné que les choix n'ont pas été faits au hasard. Il explique qu'il a été question de sélections effectuées sur la base des demandes traitées aussi bien par les Centres de promotion sociale (CPS) que des autorités locales. C'est à l'issue de tout cela que grâce à la volonté déterminante du ministre dans la mise en œuvre de la vision du Président Patrice Talon pour le social, que cette cérémonie devient une réalité.
Le représentant le Préfet, Bernard Zannoudaho, a indiqué qu'en dehors de ces appuis, il est prévu un vaste projet à caractère social qui va démarrer très incessamment. Il s'agit de l'Assurance pour le renforcement du capital humain (Arch), un projet qui tient à cœur au chef de l'Etat. Il adresse son satisfécit au Gouvernement pour l'attention qu'il porte au département de l'Atlantique, à travers des actions sociales. Le porte-parole des bénéficiaires, Donatien Nassara a déclaré qu' « avec les matériels que nous avons reçus gratuitement ce jour, nous allons mieux travailler pour accroître considérablement nos revenus ».
Tout en remettant les matériels et appuis financiers, Bintou Chabi Adam Taro souligne que « le Chef de l'Etat, Patrice Talon a pris l'engagement de faire de la protection sociale un droit de tout citoyen et une condition du progrès économique ». Et pour rendre opérationnelle cette ambition, ajoute le ministre, il est prévu un paquet d'activités visant à accompagner les couches vulnérables, en particulier les personnes handicapées et les cas sociaux dans le domaine de l'insertion économique et social.
Elle a expliqué aux populations que la vision du Président Talon est de faire le social qui sort les pauvres de leur situation de souffrance.
Giscard A.
Pour la troisième année consécutive, un groupe de journalistes algériens vont se rendre à Seoul le dimanche 4 Novembre dans le cadre du Presse tour pour la promotion des produits électroménagers et air conditionné du géant industriel LG.
Durant ce voyage les invités iront à la découverte du savoir faire sud-coréen grâce à l’impressionnante gamme de produits électroménagers LG dotés des dernières innovations technologiques ainsi que des multiples infrastructures installées à travers le territoire Sud Coréen.
Nos journalistes ne manqueront certainement pas à faire découvrir aux utilisateurs algériens les produits pensés et fabriqués par le géant Sud-Coréen de l’électroménager, soucieux de concevoir le meilleur et d’apporter des solutions pour le bien être et le confort des utilisateurs.
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LANDAU/BERLIN (D) - Annegret Kramp-Karrenbauer, CDU-Generalsekretärin und Kandidatin für den Parteivorsitz, hat das Armutsproblem in Deutschland als sozialen «Sprengsatz» bezeichnet. Gleichzeitig forderte sie mehr Chancengleichheit.
Die Generalsekretärin der deutschen CDU und Kandidatin für den Parteivorsitz, Annegret Kramp-Karrenbauer, hat das Armutsproblem in Deutschland als sozialen «Sprengsatz» bezeichnet. Gleichzeitig forderte sie mehr Chancengleichheit.
Es bestehe dringender Handlungsbedarf, zumal viele Kinder von Armut betroffen seien, sagte sie bei einer Veranstaltung ihrer Partei am Freitagabend in Landau. Zu ihrer Kandidatur um den CDU-Vorsitz wollte sich Kramp-Karrenbauer nicht äussern. An einem Abend, an dem Menschen für ihren ehrenamtlichen Einsatz geehrt werden, empfände sie dies als «Zeichen der groben Missachtung», sagte sie.
Merz laut Umfrage mit besten WertenDie 56-Jährige hatte angekündigt, dass sie sich erst kommende Woche zu ihrer Kandidatur äussern will. Sie gilt als Vertraute der deutschen Bundeskanzlerin Angela Merkel, die auf dem CDU-Parteitag im Dezember nicht mehr für den Parteivorsitz kandidieren will.
Der frühere Unionsfraktionschef Friedrich Merz und Gesundheitsminister Jens Spahn, die ebenfalls antreten wollen, haben sich öffentlich bereits positioniert. Beide werden dem konservativen Lager zugerechnet.
Von den drei Kandidaten erhält Merz einer Umfrage zufolge aktuell die besten Werte. Nach der Erhebung des Instituts Civey im Auftrag der «Welt» trauen 49 Prozent der Bürger dem 62-Jährigen zu, die Wahlergebnisse der CDU zu verbessern; unter den Unionsanhängern sind es sogar 63 Prozent.
Debatte über Ablösung des CSU-Chefs Horst Seehofer19 Prozent der Bürger schreiben am ehesten Kramp-Karrenbauer diese Fähigkeit zu, nur 6 Prozent Spahn. Etwa 22 Prozent der 5045 online Befragten trauen demnach keinem der drei zu, mehr Wähler für die CDU zu gewinnen.
Der geplante Rückzug Merkels von der CDU-Spitze hat auch die Debatte über eine Ablösung des CSU-Chefs Horst Seehofer befeuert. Nach Informationen der «Süddeutschen Zeitung» (Samstag) hat der bayerische Ministerpräsident Markus Söder nach langem Zögern inzwischen zu erkennen gegeben, dass er bereit wäre, den Parteivorsitz zu übernehmen.
Seehofer selbst hatte angekündigt, er wolle spätestens Mitte November Vorschläge zur inhaltlichen, strategischen und personellen Zukunft der CSU vorlegen. Der Vorsitzende der CSU-Landesgruppe im Bundestag, Alexander Dobrindt, verbat sich Ratschläge aus der CDU zum Rückzug Seehofers.
«Politische Heimat» für alle Wähler von der Mitte bis zur demokratisch Rechten«Wir geben der CDU keine Ratschläge zur Besetzung ihres Spitzenpersonals und erwarten umgekehrt auch das Gleiche», sagte er der «Passauer Neuen Presse» (Samstag). Angesichts der Verluste für die Union bei den Landtagswahlen in Bayern und in Hessen war nicht nur in der CSU der Druck auf Seehofer gewachsen, auch mehrere CDU-Politiker haben Seehofer den Rückzug nahegelegt.
Trotz konkreter Zurückhaltung in der Führungsdiskussion der CDU warnte Dobrindt aber ganz allgemein vor einer zu starken Verengung auf die Mitte. Sie führe auf beiden Seiten links und rechts zu Wählerabwanderungen.
Die Volksparteien müssten wieder stärker ihr jeweiliges politisches Spektrum ansprechen, verlangte er. «Für die Unionsparteien heisst das, allen Wählern von der Mitte bis zur demokratisch Rechten eine politische Heimat zu bieten.» (SDA)
Une convention de partenariat a été signée avec l'Etat nigérian d'Osun par la mairie de Porto-Novo, ce jeudi 1er novembre 2018. C'était dans les locaux de l'Etat d'Osun en présence du maire Emmanuel Zossou et du gouverneur de l'Etat Ogbeni Rauf Adeosoji Arégbésola.
Rendre plus dynamique la culture qui lie les deux régions et faire de Porto-Novo une vraie cité culturelle Yoruba. C'est le but de ce partenariat signé entre la mairie de Porto-Novo et l'Etat nigérian d'Osun.
Les deux régions affirment à travers cette coopération leur volonté de travailler sur des projets culturels dont le Festival l'international de Porto-Novo, la réalisation d'infrastructures retraçant la culture Yoruba à travers la construction d'Oranmiyan House et l'école mondiale de l'alphabet Aebajiogbe à Porto-Novo.
Un projet de grande envergure qui participe au développement de la ville aux trois noms.
Cette cérémonie protocolaire a laissé place à une autre ayant permis de faire de la première autorité de Porto-Novo, citoyen d'honneur de l'État d'Osun. Aussi, pour ses efforts à la tête de la municipalité de Porto-Novo non seulement pour le développement de la ville mais aussi pour le renforcement de la coopération sud-sud, le Gouverneur l'État d'Osun a-t-il décerné au maire Zossou, une distinction honorifique.
La signature de ce partenariat intervient après celle d'avec la ville de Montréal en juin 2017.
Le maire Emmanuel Zossou entend à travers ces liens de coopération donner un nouveau souffle au développement de Porto-Novo, la ville capitale.
G.A.
Le secrétaire général de la Confédération des syndicats des travailleurs du Bénin (Cstb), Nagnini Kassa Mampo, a dans un point au militant révélé les statistiques qui montrent les difficultés de l'école béninoise. La séance s'est déroulée, ce vendredi 2 novembre 2018, à la bourse du travail de Cotonou.
« Nous sommes aujourd'hui à un mois et demi de la rentrée. Quel est l'Etat réel de l'école au Bénin à ce jour ? », se demande le secrétaire général de la Cstb, Nagnini Kassa Mampo. Devant les militants, il indique que « les conditions de vie et de travail des enseignants s'aggravent de jour en jour surtout avec le problème des statuts particuliers et d'autres problèmes tels que les mutations et nominations arbitraires compliquant davantage la vie aux enseignants, ce qui a naturellement une influence négative sur l'école ». Et pour cause, souligne que « dans l'enseignement secondaire, de source digne de foi, on compterait sept cent neuf (709) agents permanents de l'Etat (Ape) dont 94 femmes. Huit mille huit cent trente quatre (8.834) agents contractuels de l'Etat (Ace) dont mille quarante quatre (1.044) femmes ».
M. Mampo souligne que le taux de couverture en enseignant serait en moyenne de 32,7% pour le 1er cycle et de 35,7% pour le 2nd cycle alors que les deux cycles cumulés donnent une moyenne en couverture de 34,2%. Ce qui révèle un manque de plus de 65% d'enseignants dans les collèges et lycées publics. Le secrétaire général de la Cstb affirme que « C'est ce qui explique que la grande majorité des enseignants du secondaire soient des honoraires, communément appelés enseignants vacataires, qui ne sont rien d'autres que des enseignants occasionnels, à statut essentiellement précaire ». Comme exemple, il prend le Ceg Suru-Léré qui serait le plus grand collège du Bénin en effectif d'élèves. Là, on remarque qu'avec les 97 Groupes Pédagogiques et environ 7 000 élèves, les enseignants agents permanents de l'Etat en plus des agents contractuels de l'Etat sont au nombre de 30 tandis que les enseignants vacataires sont plus de 400.
Au niveau de l'enseignement primaire, la situation est pareille. Il prend le cas du département du Mono, où l'effectif total des enseignants de la maternelle et du primaire s'élève à 2.424 sur un besoin de 3.017, soit un déficit de 593 enseignants (environ 20%).
La situation n'épargne guère la ville de Cotonou.
Kassa Mampo indique qu'à Gbégamey, siège de la région pédagogique n° 28, l'Epp Gbégamey Sud/A, compte 3 enseignants sur 6, l'Epp Gbégamey Sud/ B, 5 enseignants sur 6, l'Epp Gbégamey Sud/ C, compte 4 enseignants sur 06 et l'Epp Saint Jean 3 enseignants sur 6.
« Si à Cotonou, la situation se présente comme décrite vous pouvez imaginer ce qui se passe à l'intérieur du pays », se désole le syndicaliste.
L'état des infrastructures
Le secrétaire général de la Cstb souligne que « le manque d'infrastructures vient s'ajouter au manque d'enseignants dans la complication des conditions d'enseignement ». Il indique que la pénurie d'enseignants et le manque d'équipement et d'infrastructures ajoutés aux effectifs pléthoriques dans des salles induisent une mauvaise qualité de l'enseignement. Outre ces problèmes répertoriés, il note qu'il y a près de 2.000 enseignants sans salaire depuis 11 ans.
Au regard de ce constat amer, Kassa Mampo conclut : « Pas d'enseignant, pas d'infrastructure et de matériel didactique ».
Il appelle « les enseignants qui ont à charge l'école pour tout le pays à exiger la résolution des problèmes de l'école sans laquelle le pays ne peut s'émanciper ». Selon lui, « le gouvernement doit faire face aux problèmes de l'école dont les programmes d'enseignement doivent correspondre à l'environnement socioéconomique ».
G.A.
Après les fausses informations sur les réseaux sociaux et les polémiques autour de la liste des établissements privés d'enseignement supérieur qui circulent de réseaux, le directeur Etablissements privés d'enseignement supérieur (EPES), le professeur Dodji Amouzouvi, reçu sur Canal 3 donne des précisions. C'était dans la soirée de ce vendredi 2 novembre 2018.
« Je voudrais du haut de cette tribune redire une fois encore ce que j'ai déjà dit à tous les promoteurs d'établissements privés d'enseignement supérieur. Il n'y a pas une liste officielle des établissements privés d'Enseignement Supérieur rendue publique. Qu'ils soient agréés, qu'ils soient autorisés à ouvrir cette année, qu'ils soient suspendus, qu'ils soient fermés ou réservés, cette liste n'est pas encore publiée », souligne le directeur des établissements privées d'enseignement supérieur. Le professeur Dodji Amouzouvi explique que le processus qui a commencé depuis Mai 2017 est arrivé à son terme néanmoins la liste n'est pas encore sortie.
« Puisque c'est une première, il faut prendre les précautions pour s'assurer que tout se fait dans les règles de l'art. Tout est fin prêt, et je puis vous dire que dans les jours ou les heures qui viennent, cette liste sera publiée », a indiqué M. Amouzouvi.
Il précise que la liste est mise à la disposition de l'autorité, après le travail, aussi bien des comités techniques que des Commissions techniques du Conseil Consultatif National pour l'Enseignement Supérieur qui regroupe des membres issus de par moins de six ministères, de la société civile et mêmes des représentants dûment désignés des promoteurs des établissements privés d'enseignement supérieur. « Nous sommes dans une grande première et il s'agit de l'agrément des Établissements Privés de l'Enseignement Supérieur », se réjouit-il.
La révolution dans le secteur
Pour le professeur Amouzouvi, « les textes sont durs mais ce sont les textes. Lorsqu'on lit les différents textes qui régissent le fonctionnement des établissements privés d'enseignement supérieur, quand on voit les différents documents servant de guide de l'usager depuis des années, les pièces à fournir sont connus ». Il défie les établissements qui estiment ne pas recevoir l'information. « Depuis Janvier 2018 où l'information est officiellement donnée aux établissements privés d'enseignement supérieur qui ont émargé et les cahiers de transmission sont à la direction générale pour preuve et à qui on a dit 16 Août 2018, donc huit (08) mois de préparation pour réunir les pièces et les déposer, il en a qui reviennent en Septembre, en Octobre, dire qu'ils n'ont été informés qu'il y a 5 jours. C'est un mensonge », s'indigne-t-il.
Le Depes souligne que « Quand on investit un domaine, on s'occupe de connaître les règles qui régissent cette activité. Donc, les EPES ne sont pas excusables même si on peut comprendre ça. Et c'est à cela nous nous attelons en mettant à disposition les textes afin que plus personne ne les piétine ». Dodji Amouzouvi explique par ailleurs que « pour le travail qui a été fait, le paquet est mis pour que désormais en quittant le régime premier précaire qui est le régime d'ouverture pour venir vers le régime de l'agrément, les établissements puissent obtenir l'agrément de leur établissement et de leurs filières. C'est donc un bon début pour que plus rien ne soit comme avant ». Il met en confiance les étudiants et leurs parents car confie-t-il, « À l'issue de la publication de la liste, la possibilité sera donnée aux promoteurs de réclamer. Il y aura une deuxième délibération. À partir de ce moment, la liste définitive sera publiée au bout d'une semaine après la publication de la liste provisoire ». Une fois cette étape bouclée, le processus d'homologation démarrera et « un soleil nouveau se lèvera sur le secteur des établissements privés d'enseignement supérieur », à conclu.
G.A.
Le 22 mai 1938, le journal français Ce soir publiait une interview inédite de son envoyé spécial René Dunan avec le beau-père et le frère de Géraldine, la reine d'Albanie. Les échanges ont eu lieu à leur domicile, à Nice, un mois après le mariage royal dans la capitale albanaise.
Voici, ci-dessous, leurs impressions sur ce grand événement :
Rentier à Nice, le commandant Gireaud nous déclaré : Je fais mon apprentissage de beau-père (de notre envoyé spécial René Dunan)
Nice, 21 mai (par téléphone) :
Le (...)
Le 22 mai 1938, le journal français Ce soir publiait une interview inédite de son envoyé spécial René Dunan avec le beau-père et le frère de Géraldine, la reine d'Albanie. Les échanges ont eu lieu à leur domicile, à Nice, un mois après le mariage royal dans la capitale albanaise.
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Erdogan kifejtette: a projektben a török Védelmiipari Igazgatóság, a török Tudományos és Technológiai Kutatóintézet (TÜBITAK), valamint az ASELSAN, illetve a ROKETSAN török hadiipari vállalatok vesznek részt. Mint fogalmazott: egyelőre csak a nevét fedem fel ennek a történelmi jelentőségű projektnek, “Lövészárok”. Az első darabok átadását 2021 végére tervezzük – tette hozzá.
Erdogan beszédében hangsúlyozta: “ahhoz, hogy napjaink világában függetlenségünket stabil alapokra helyezzük, minden területen saját technológiát kell kifejlesztenünk”. Törökországnak nincs más választása, minthogy a védelmi iparhoz hasonlóan a többi területen is tervező, fejlesztő, gyártó és exportáló országgá válik – mutatott rá a török elnök.
Ezzel párhuzamosan Hulusi Akar török védelmi miniszter a múlt héten azt nyilatkozta, hogy Ankara 2019 októberétől kezdi meg az Oroszországtól vásárolt Sz-400-as légvédelmi rakétarendszerek telepítését. Akar akkor azt mondta: jelenleg a személyzet kiválasztásának fázisában tartanak, a megfelelő embereket 2019 elejétől küldik Oroszországba továbbképzésre.
A török védelmi miniszter közölte azt is, hogy Törökország az Sz-400-asokat a NATO-rendszertől “eltérően és függetlenül” használja majd. Egyúttal hangsúlyozta: indokolatlannak tartja ezzel kapcsolatban az Egyesült Államok és a NATO aggodalmait, mert Törökország nem fogja hagyni, hogy az orosz rendszer az ő rendszereiknek “kényelmetlenséget” okozzon.
Az Sz-400-asok ügye az utóbbi hónapokban egyre inkább terheli az amerikai-török viszonyt. Donald Trump augusztus közepén írta alá a washingtoni kongresszus által megszavazott védelmi költségvetést, amely kiköti, hogy a Pentagon mindaddig nem engedélyezheti F-35-ös harci repülőgépek eladását Törökországnak, amíg Ankara nem vállal kötelezettséget arra, hogy nem vesz több orosz fegyvert. A törvény értelmében amíg el nem készül az a jelentés, amely Törökországnak az F-35-ös vadászbombázók fejlesztési programjában való részvételét hivatott felülvizsgálni, az Ankara által vásárolt gépek leszállítását is felfüggesztik.
Augusztus végén Erdogan kijelentette, hogy az Sz-400-asok vételéről szóló üzletet a török és az orosz fél már megkötötte, ugyanakkor Törökországnak több mint 120 darab F-35-ös vadászbombázóra is szüksége van az Egyesült Államoktól.