La Plateforme médias de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) organise, en collaboration avec la Commission de l'Union, un colloque régional sur le journalisme économique. Le colloque qui se déroulera du 25 au 27 juin 2025 à Abidjan en Côte d'Ivoire, porte sur le thème : « Le journalisme économique à l'ère des mutations technologiques et de l'intégration régionale : défis, opportunités et perspectives pour l'UEMOA ».
Dans un contexte marqué par les mutations numériques et économiques et leurs impacts sur les pratiques journalistiques, notamment dans les secteurs économique et financier, il importe de renforcer les capacités des journalistes. Dans ce cadre, la Plateforme médias de l'Union économique et monétaire ouest africaine soutenue par la Commission de l'Union, organise un colloque régional sur le journalisme économique.
L'initiative selon les organisateurs vise à promouvoir une presse économique dynamique pour renforcer les synergies entre les médias et les institutions communautaires. Elle s'inscrit dans la volonté de bâtir une presse économique plus structurée, mieux outillée et connectée aux enjeux communautaires.
Plus de 70 participants issus des 8 Etats membres de l'UEMOA (journalistes, universitaires, experts, représentants d'institutions régionales et partenaires techniques et financiers), vont participer à ce colloque organisé dans le cadre de la célébration du trentenaire de l'UEMOA (1994 2024).
F. A. A.
Un présumé voleur de motocyclette a été interpellé, mercredi 11 juin 2025, à Womey, dans l'arrondissement de Godomey, suite à un vol avec violence.
Un conducteur de taxi-moto s'est rendu à Womey pour déposer un client. Arrivé devant la maison indiquée, il a été violemment agressé à l'arme blanche par deux individus à moto. Ces derniers l'ont roué de coups de machette avant de s'enfuir avec son engin.
Une patrouille du commissariat de Godomey non loin du lieu de l'agression, est intervenue. Accompagnée de plusieurs conducteurs de taxi-moto, elle s'est lancée à la poursuite des hors-la-loi.
Les deux malfaiteurs ont abandonné les deux motocyclettes (celle de la victime et la leur) et tenté de fuir à pied. L'un d'eux a été arrêté par la police, tandis que le second a pris la fuite.
Les deux motocyclettes ont été récupérées sur les lieux et mises en sécurité au commissariat de Godomey.
La Police poursuit l'enquête en vue d'arrêter le second braqueur en cavale.
M. M.
Un délai supplémentaire a été accordé aux candidats qui n'ont pas encore déposé leurs dossiers au concours de recrutement de 172 fonctionnaires de l'Etat au profit du Ministère de l'Économie et des Finances (MEF).
Le Ministre du Travail et de la Fonction Publique a annoncé, ce 13 juin 2025, une prorogation du délai de dépôt des dossiers au concours de recrutement de 172 fonctionnaires de l'Etat au profit du Ministère de l'Économie et des Finances (MEF).
Les candidats non fonctionnaires de l'État qui n'ont pas pu déposer leur dossier peuvent encore le faire du lundi 16 au mercredi 18 juin 2025, a indiqué un communiqué.
Les fonctionnaires de l'État souhaitant intégrer le corps des élèves contrôleurs budgétaires et n'ayant pas pu transmettre leur dossier par voie hiérarchique, ont désormais jusqu'au 18 juin également pour le faire.
« Passé ce délai, aucun dossier de candidature ne sera accepté », précise le communiqué signé par le Directeur de Cabinet, Victorin V. Honvoh.
Les pièces doivent être déposées dans les directions départementales du Travail et de la Fonction publique suivantes : Atacora, Atlantique, Borgou, Collines, Couffo, Littoral, Mono, Ouémé, Plateau et Zou.
Les épreuves écrites du concours auront lieu comme prévu, les samedi 19 et dimanche 20 juillet 2025. Les candidats sont donc appelés à prendre toutes les dispositions nécessaires.
Le concours prévoit le recrutement de vingt-cinq (25) élèves contrôleurs budgétaires dont une personne en situation de handicap ; onze (11) élèves fonctionnaires de l'Etat et cent trente-six (136) fonctionnaires de l'Etat dont huit personnes en situation de handicap.
M. M.
Die Monopolkommission hat heute ihr 10. Sektorgutachten Bahn an Bundesverkehrsminister Patrick Schnieder übergeben. Tomaso Duso, Leiter der Abteilung Unternehmen und Märkte im DIW Berlin und Vorsitzender der Monopolkommission, äußert sich dazu wie folgt:
Mit dem geplanten Sondervermögen Infrastruktur hat Deutschland eine historische Chance, die Bahn grundlegend zu erneuern. Aber Geld alleine reicht nicht aus. Wir müssen jetzt einen echten Kurswechsel bei der Bahn vollziehen. Es bedarf grundlegender, struktureller Veränderungen, damit das Sondervermögen auch kosteneffizient im Schienennetz ankommt und nicht in intransparenten Finanzflüssen versickert.
Das Sondervermögen muss ausschließlich für zukunftsgerichtete Maßnahmen eingesetzt werden: Für die Modernisierung des Netzes und insbesondere für die Digitalisierung. So lassen sich Abläufe effizienter gestalten und Trassenpreise senken. Am Ende profitieren auch die Kundinnen und Kunden durch günstigere Tickets.
Damit die eingesetzten Mittel den größtmöglichen Nutzen für das Gemeinwohl bringen, benötigt es auch mehr Transparenz und Kontrolle in Form einer unabhängigen, fachkompetent besetzten Steuerungs- und Monitoringstelle. Und klar ist auch: Es ist notwendig, Netz und Betrieb eigentumsrechtlich zu trennen. Die bisherigen Verflechtungen im DB-Konzern behindern den fairen Wettbewerb. Bis dahin gilt: Volle Verantwortung, volle Kontrolle bei der InfraGO AG. Schließlich müssen wir den rasanten Anstieg der Trassenpreise dringend bremsen. Dies kann durch eine Absenkung der Eigenkapitalverzinsung der DB InfraGO AG verbunden mit einem Rückgriff auf die Investitionsfinanzierung über Baukostenzuschüsse erreicht werden.
Nur wenn das Sondervermögen und die Gestaltung der Trassenpreise wettbewerbsorientiert für die Schiene ausgestaltet werden, profitieren Reisende und der Güterverkehr von günstigeren Preisen, mehr Innovationen und besserer Qualität.
Li Junhua, Conference Secretary-General, UN Under-Secretary-General for Economic and Social Affairs, Arnoldo Andre Tinoco, Minister of Foreign Affairs, Costa Rica and Olivier Poivre D'Arvor, Special Envoy of the French Republic for UN Ocean Conference address the final press briefing of UNOC3. Credit: Kizito Makoye/IPS
By Kizito Makoye
NICE, France, Jun 13 2025 (IPS)
With the future of the world’s oceans hanging in the balance, global leaders, scientists, and activists gathered in the French Riviera city of Nice this week for the historic UN Ocean Conference, where France declared a new era of high seas governance and marine protection.
At a press briefing on Thursday, Olivier Poivre d’Arvor, France’s Special Envoy for the UN Ocean Conference, said the global gathering marks a turning point for ocean conservation, with 174 delegations and 64 heads of state rallying behind a common goal—to transform the world’s oceans from a lawless expanse into a protected global commons governed by science, cooperation, and binding treaties.
“The high seas are no longer a playground. They are now a protected space,” d’Arvor told reporters, announcing that the UN’s landmark treaty on Biodiversity Beyond National Jurisdiction (BBNJ) will officially enter into force by early January 2026.
Dubbed the “Treaty of Nice,” the pact seeks to place nearly two-thirds of the world’s ocean under international governance, a move hailed by conservationists as the biggest step forward for marine protection in decades. With 56 countries having ratified the treaty and 14 more expected to follow before the ceremonial launch in New York on September 23, the agreement meets the 60-country threshold required for it to become law.
“This is a foundational moment,” said d’Arvor. “Nice could become for ocean governance what Rio was for climate and biodiversity.”
The treaty, negotiated over 15 years, aims to regulate the high seas—areas beyond national jurisdiction that have long been vulnerable to overfishing, pollution, and unregulated extraction. It also lays the groundwork for the first-ever Ocean COP, expected by the end of 2026, where signatory countries will finalize implementation protocols, establish a permanent secretariat, and begin real enforcement through satellites, naval fleets, and drones.
Despite tensions in multilateral diplomacy, France—with co-host Costa Rica and the UN—has managed to galvanize widespread support. In a strong show of unity, even geopolitical rivals such as China, India, and the European Union endorsed the treaty, while Argentina’s President Javier Milei and Indonesia ratified it during the summit.
D’Arvor also used the occasion to caution against a renewed push for deep-sea mining, particularly in light of a recent U.S. executive order authorizing a preliminary exploration mission. “The deep sea is not for sale—no more than Antarctica or Greenland,” he warned, pledging that a coalition of 40 countries would continue to block any attempt to adopt a mining code without consensus under the International Seabed Authority (ISA).
“Those who hoped the code would be adopted at Kingston this July have lost the battle. I hope they’ve lost the war,” he added.
In parallel with the treaty’s legal strides, the conference saw the launch of the European Ocean Pact, a collaborative ocean exploration initiative unveiled by European Commission President Ursula von der Leyen. The pact, backed by countries including India and China, aims to correct the stark imbalance in research funding—currently, ocean exploration receives 250 times less funding than space programs.
By bringing together oceanographic institutes, space agencies, and private sector players, the initiative promises to generate a shared global database to help map and understand the ocean in unprecedented detail. “In 15 years, we aim to fully understand the ocean—or at least enough to truly protect it,” said d’Arvor.
He stressed that science—not political posturing—will be the new compass for ocean policy. “This is the victory of science. The ocean has long been a victim of exploitation and ignorance. But now, it can become a platform for cooperation and peace.”
Yet challenges remain. While Exclusive Economic Zones (EEZs) are relatively well managed, questions linger about compliance and enforcement. The true test, observers say, will be translating high-level pledges into measurable progress.
Still, the momentum in Nice has brought renewed hope for ocean defenders around the globe. “We are not there yet,” said d’Arvor. “But for the first time, we are truly moving forward—and there is no turning back.”
IPS UN Bureau Report
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L'économiste et ancien Premier ministre du Bénin, Lionel Zinsou, a livré une analyse lucide sur les transformations nécessaires du financement du développement en Afrique de l'Ouest. C'est ce jeudi 12 juin 2025, lors de la première journée des BOAD Development Days à Lomé (Togo).
« Est-ce qu'on est légitime à réfléchir ensemble au financement du développement ? », interroge d'entrée Lionel Zinsou. Pour le banquier d'afaires, la réponse est désormais évidente : oui.
Grâce aux efforts conjoints des États, des institutions comme la BOAD, du secteur financier et des acteurs de la production, l'Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) a la légitimité pour penser son développement de façon créative.
L'ancien Premier ministre du Bénin rappelle que l'UEMOA affiche l'une des croissances les plus fortes au monde. « On est même en fait sur le plan mondial, l'une des rares zones très résilientes. Nous avons été pendant la période du Covid-19, l'une des seules zones au monde à ne pas être en récession », a-t-il rappelé.
Malgré cette résilience, Lionel Zinsou alerte sur les limites du système financier sous-régional. Il évoque des « pathologies » qui freinent le développement. L'économiste fait part d'un excès de dépôts non transformés en financement productif. « Nous avons en Afrique subsaharienne, un système financier qui réussit à collecter beaucoup plus de dépôts qu'il ne fait de crédits. Ce qu'un système financier est normalement en charge de délivrer, c'est de la transformation où on prend des ressources d'épargne et on les multiplie et on essaye d'en faire des moyens de financement moyen terme. Vous ne pouvez pas avoir un des systèmes bancaires les plus liquides et riches en ressources en réalité très stables et les transformer en crédit court terme », a relevé Lionel Zinsou. L'ancien Premier du Bénin a aussi noté une faible orientation du crédit vers le secteur privé, qui ne capte que 11 % du PIB ; une concentration excessive sur les entreprises publiques au détriment des entreprises et de l'agriculture, de l'énergie et du logement.
Vue partielle des participantsFinancer autrement et surtout autre chose
Pour Zinsou, il ne suffit pas de corriger les défaillances. Il faut aussi redéfinir les priorités. Il insiste notamment sur l'importance de diriger les ressources vers l'agriculture durable et l'énergie, deux piliers selon lui intimement liés et stratégiques pour la création de l'emploi. Dans une économie moderne, soutient-il, le plus grand consommateur d'énergie, c'est l'agriculture.
Lionel Zinsou plaide également pour un meilleur financement des ménages, notamment dans le logement, encore largement sous-financé, malgré une demande forte liée à la croissance démographique.
Le banquier d'affaires salue les efforts pionniers de la BOAD, qui amorce une nouvelle dynamique de financement, mais souligne que le changement ne pourra réussir qu'avec l'implication de l'ensemble du système financier africain, du secteur public comme du privé. « On va financer autrement et on va le faire avec les acteurs qui veulent le faire », a déclaré l'ancien Premier ministre béninois.
Organisée les 12 et 13 juin 2025 à Lomé, la première édition des BOAD Development Days rassemble des experts, décideurs, acteurs du secteur privé et partenaires techniques et financiers autour du financement de la transition énergétique et de l'agriculture durable.
Akpédjé Ayosso
Le Centre de Recherche en Astronomie, Astrophysique et Géophysique (CRAAG) a enregistré, ce vendredi 13 juin 2025 à 12h12, une secousse tellurique d’une magnitude de […]
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Az amerikai szárazföldi haderő Németországban (Katterbach) állomásozó 12. Helikopterdandárjának harci helikopterei repülnek néhány héten keresztül az MH bakonyi lőtérkomplexumában a Saber Guardian 2025 gyakorlat keretében.
2002, 2019 és 2021 után újra Apache-ok éleslövészetére kerül sor Magyarországon.
APG-78 Longbow radarral felszerelt AH-64E közelíti meg a "0"-pont melletti helikopterleszállót.
Haladó repülésben dolgozik a 30 milis chain gun, hullanak az üres hüvelyek.
Gépágyúlövészet függeszkedésből.
Hydra indul a "0"-ponthoz közeli terepszakaszon...
...ez a 70 milliméteres lövészet meg már a Móroc-alatti célterületet veszi célba.
Még egy rakétalövészet oldalról és kissé távolabbról :-)
Töltött 19-es M261 indító elölről...(a középső négy csőből kilógó rakéták orr-részén látható "köldökzsinór" biztosíték általában a résztöltet hordozására alkalmas változatokat jelöli, mint például a célmegjelölő WP, vagy a MPSM illetve annak gyakorlója)
..és hátulról, mellette a szokásos négyes Hellfire indtón egy gyakorló rakéta árválkodik.
Zord