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Aussitôt installé à la barre technique de la JSM Béjaïa, Mustapha Biskri, qui succède à Mounir Zeghdoud, se dit déjà très heureux de retrouver la ville de Yemma Gouraya après son passage au MOB.
«Je suis très content de retrouver Béjaïa, après l’expérience que j’avais connue la saison écoulée. Je voudrais remercier la direction d’avoir fait appel à moi pour prendre la tête du staff technique du club. Sachant que la JSM Béjaïa est un club qui n’est plus à présenter, je n’ai pas hésité un instant à donner mon accord aux dirigeants. Je connais très bien la situation du club, avec notamment cette nouvelle équipe dirigeante qui est en train de se mettre en place. Je ne vous cache pas que je suis un homme de défi. Nous allons bien évidemment travailler afin de redorer le blason du club et lui permettre de faire bonne figure la saison prochaine», a déclaré Biskri sur les colonnes de Compétition.
Le néo-driver de la JSMB affirme par ailleurs que la reprise des entraînements pour entamer la préparation de la nouvelle saison a été fixée pour la semaine prochaine. «Nous allons entamer les préparatifs en début de la semaine prochaine, au plus tard samedi. Nous allons avoir droit à au moins une dizaine de jours de préparation à Béjaïa avant d’effectuer un stage à Hammam Bourguiba de deux semaines en Tunisie». Quant à la composante de l’effectif, Biskri explique que le dossier «des recrues sera discuté incessamment» avant l’entame de la préparation.
Ah. A.

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Le CA Bordj Bou-Arréridj, nouveau pensionnaire de la Ligue 1, qui poursuit l’opération de recrutement, annonce la signature de l’international Mohamed Khoutir Ziti. Ayant porté les couleurs du CS Constantine, de l’ES Sétif et de la JS Kabylie, le désormais ex-arrière latéral sétifien a signé un contrat de deux saisons avec la formation des Criquets jaunes. Auparavant, le directoire du CABBA avait convaincu un autre défenseur à opter pour leur équipe, à savoir Farès Aggoune, qui arrive de la JS Saoura, après avoir passé une saison au RC Relizane à titre de prêt.
Ah. A.

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Der Bundesrat will Cannabis-Pilotversuche erlauben. Dazu hat er das Betäubungsmittelgesetz mit einem speziellen Artikel ergänzt. Ausserdem soll die medizinische Anwendung von Cannabis vereinfacht werden.

Der Bundesrat will Pilotversuche für straffreien Cannabis-Konsum zulassen. Einerseits sollen Kranke schnelle an Cannabis-Medikamente kommen. Andererseits will der Bundesrat auch die gesetzliche Grundlage für eine probeweise Gras-Abgabe schaffen.

Der Cannabis-Konsum ist in der Schweiz seit 1951 grundsätzlich verboten und strafbar. Doch trotz Repression gehe die Zahl der Konsumenten und Konsumentinnen nicht zurück, sagte Gesundheitsminister Alain Berset (46) am Mittwoch vor den Medien. Rund drei Prozent der Bevölkerung oder 200'000 Personen rauchten pro Monat mindestens einen Joint.

Heute floriert nur der Schwarzmarkt

Gleichzeitig floriere der Schwarzmarkt. Die Konsumentensicherheit sei damit nicht mehr gewährleistet, weil die Qualitätskontrollen fehlten. Deshalb wollten mehrere Städte und Kantone wissenschaftlichen Studien mit einer regulierten Abgabe durchführen und die Auswirkungen auf den Konsum und die Konsumenten untersuchen.

Doch das Bundesamt für Gesundheit (BAG) lehnte die Gesuche ab mit der Begründung, dass es dafür keine Rechtsgrundlage gebe. Dieses Hindernis will der Bundesrat mit dem neuen Artikel im Betäubungsmittelgesetz nun ausräumen. Die Vernehmlassung dauert bis am 25. Oktober.

Fünf Jahre auf Probe kiffen – und nur für die Wissenschaft

Gemäss der Verordnung dürfen die Pilotversuche während höchstens fünf Jahren und nur für wissenschaftliche Zwecke durchgeführt werden. Sie sollen Erkenntnisse zu den Auswirkungen der Drogen auf die Gesundheit der Konsumentinnen, das Konsumverhalten, den Drogenmarkt, den Jugendschutz und die öffentliche Sicherheit liefern.

Die Versuche müssen auf eine oder mehrere Gemeinden begrenzt sein, die Teilnehmerzahl darf 5000 Personen nicht überschreiten und Minderjährige sind davon ausgeschlossen. Teilnehmen dürfen nur Personen, die nachweislich bereits Cannabis konsumieren und ihren Wohnsitz in der entsprechenden Gemeinde haben.

Kaufen müsste man das Grad trotzdem

Die Versuchsteilnehmenden dürfen an den zugelassenen Verkaufsstellen ausschliesslich zum Eigengebrauch fünf Gramm Gesamt-THC pro Mal und insgesamt 10 Gramm Gesamt-THC pro Monat erwerben. Der Preis soll den Wirkstoffgehalt und den «ortsüblichen Schwarzmarktpreis» berücksichtigen.

Auch die verkauften Cannabis-Produkte sollen streng reglementiert werden: So darf deren THC-Gehalt höchstens 20 Prozent betragen und in Bezug auf Verunreinigungen und Pestizide eine «hohe Qualität» aufweisen.

Der Bund muss Pilotversuche genehmigen

Interessierte Gemeinden und Städte müssen beim BAG ein Gesuch einreichen. Wenn die Bedingungen erfüllt sind und nach Anhörung der betroffenen Kantone, kann das BAG die Bewilligung erteilen. Der Gesetzesartikel sei auf zehn Jahre beschränkt und ändere nichts am allgemeinen Verbot des Cannabiskonsums, schrieb das BAG.

Gleichzeitig will der Bundesrat den Zugang zu Medizinalcannabis für Patientinnen und Patienten erleichtern. In der Schweiz seien im letzten Jahr rund 3000 Patientinnen und Patienten - oft ältere Menschen mit chronischen Schmerzen und unheilbaren Krankheiten wie Multiple Sklerose oder Krebs im Endstadium - damit behandelt worden.

 

Hilft auch gegen Schmerzen und Schwindel

Denn Cannabis könne Schmerzen, Übelkeit, Krämpfe oder Schwindel der Betroffenen lindern, wenn sonst keine Medikamente mehr wirkten, sagte Berset. Doch das Bewilligungsverfahren sei langwierig und verzögere den Behandlungsstart. Denn heute müssen die Patienten beim BAG eine Ausnahmebewilligung einholen.

Der Bundesrat hat deshalb das Eidg. Departement des Innern (EDI) damit beauftragt, die Gesetzgebung anzupassen. Dazu soll das Verbot, Medizinalcannabis in den Verkehr zu bringen, aufgehoben werden. Damit wäre eine Ausnahmebewilligung in Zukunft nicht mehr nötig. Ein Vernehmlassungsentwurf soll bis im Sommer 2019 vorliegen.

Ausserdem soll das BAG eine allfällige Rückerstattung durch die Krankenversicherung prüfen. Das medizinischen und therapeutische Potenzial sei zwar seit mehreren Jahren bekannt, sagte Berset. Doch wissenschaftlich sei die Wirkung von Cannabis noch ungenügend belegt. Klinische Studien fehlten, was eine Bedingung für die Kostenübernahme wäre. (sda/sf)

Les comptes de GERDDES-Afrique-CIRD, dirigé par Me Sadikou Ayo Alao sont fermés à la SGB (Société Générale Bénin). Le président-fondateur de l'Ong a été informé de la situation par une lettre en date du 26 juin 2018, signée par le directeur commercial clientèle privée et professionnelle, Alfred G. Kpemavo. « Nous n'avons plus convenance à maintenir les relations commerciales qui nous unissent », souligne le document. Ainsi, la banque va procéder à la clôture des comptes de l'Ong dans un délai de 8 jours à compter de la date d'envoi de la correspondance. La SGB demande également au président de GERDDES-Afrique, de lui faire parvenir avant cette date, les chèques et tout autre moyen de paiement en sa possession. « Nous ne sommes plus en mesure également d'effectuer toute opération de versement espèces ou de transfert à l'étranger », précise la lettre.
Pour le moment, aucune information n'est fournie sur ce qui a conduit la banque a fermé les compte de GERDDES-Afrique-CIRD.
Le GERDDES-Afrique (Groupe d'Etudes et de Recherches sur la Démocratie et le Développement Economique et Social) est une OING panafricaine non partisane créée en 1990 par des cadres et intellectuels africains d'horizons divers (avocats, juristes, économistes, professeurs d'université, fonctionnaires internationaux, ingénieurs etc.). Il est présent dans une trentaine de pays d'Afrique de l'Ouest, du Centre, de l'Est et du Sud.
Son siège est à Cotonou au Bénin, où il jouit de certains privilèges dans le cadre de l'accord de siège signé avec le gouvernement béninois. Le GERDDES-Afrique a été en outre agréé par le Conseil Economique et Social des Nations Unis au titre des OING de la catégorie II en juin 1995.
Le GERDDES-AFRIQUE-CIRD est un Mouvement démocratique non partisan qui fait la promotion de la démocratie au service du développement économique et social.

F. A. A.

Une rencontre régionale organisée hier mardi par le CCI Dahra avec la collaboration des conseillers de la société FACT Algérie spécialisée dans la climatisation, ventilation, froid industriel et équipements et fournitures thermiques a regroupé les professionnels en agro-alimentaire et en agriculture et autres producteurs de la semence de la pomme de terre.
L’objectif de cette journée est d’échanger sur des expériences concrètes sur le stockage sous froid de la pomme de terre et des oignons et des projets d’exportations réussis.
Cette journée d’échange technique est devenue un rendez-vous incontournable des acteurs des filières fruits et légumes à Mostaganem et comme on sait, cette wilaya est à vocation agricole. Cette journée technique a permis aux professionnels de la chaîne du froid d’avoir des discussions privilégiées entre tous les acteurs des filières agricoles et des représentants de la recherche et du développement, producteurs, transformateurs, distributeurs, jusqu’aux consommateurs. Des thématiques ont été animées par les professionnels du métier de la Sarl FACT avec des témoignages de praticiens où ont été mêlées les interventions scientifiques et techniques qui laisseront également une large place aux échanges et aux débats.
«Dans les pays à climat chaud, comme en Algérie, le recours à la réfrigération est indispensable pour assurer la conservation, pour une longue durée, des pommes de terre de consommation, des oignons et des semences. Le grand avantage de la conservation sous froid est de stocker ces aliments sous une température contrôlée, dira l’un des intervenants.»
Les travaux menés par les dirigeants de la société FACT répondent de manière directe ou indirecte avec une stratégie de recherche et d’expérimentation spécifique à cette filière. Avec l’appui de plusieurs experts, en fin de ce colloque, un diagnostic a été réalisé pour connaître avec exactitude les nouvelles techniques de conservation sous froid de ces denrées alimentaires.
A. B.

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Dans un premier bilan de lutte contre les incendies provoqués par la chaleur, enregistrés depuis le début de la saison de l’été de cette année, les services de la Protection civile sont intervenus pour sauver des récoltes et des têtes de bestiaux menacées d’être embrasées, voire calcinées, qui n’ont dû leur salut qu’à l’intervention efficace des éléments de la Protection civile de l’unité de la commune de Menaâ au sud de la wilaya où on a pu mettre à l’abri 25 têtes ovines cernées par les flammes, 2,5 hectares d’orge encore debout dans ses tiges en attendant sa moisson, 20 hectares de récoltes et d’herbes sèches dans une opération de sauvetage qui a duré plus de trois heures, selon le communiqué de la cellule de communication de la Direction de la Protection civile de la wilaya.
Malheureusement, on a pu enregistrer la destruction de champs de céréales et d’autres d’arbres fruitiers et cela, malgré les efforts déployés par les sapeurs-pompiers qui sont arrivés quand même à éteindre plusieurs hectares ayant enflammé et détruit 7,5 hectares d’orge, 635 bottes de foin, 55 abricotiers, 20 figuiers et 15 hectares de récoltes embrasés par le feu selon la même source d’information.
A. Laïdi.

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The US declared independence from the UK 242 years ago today. As the always loquacious Brexiteer Dan Hannan put it in on Twitter: “things worked out OK for them”.

The Humanitarian Law Centre NGO said an appeals court decision to acquit members of the Sima’s Chetniks paramilitary group of killing 27 Roma civilians in 1992 will hinder successful prosecutions in future.

La colère est montée d’un cran ; depuis plusieurs mois, les habitants de cette localité réclament l’ouverture du seul accès à leur village, mais aucune solution ne semble pointer à l’horizon. Comprend qui peut à ce problème qui touche pourtant au quotidien de cette population, qui en fait, ne réclame pas grand-chose sauf le droit d’accéder à leur village.
Le rappel des faits : l’unique chemin, qui existait a été approprié par un tiers, qui l’a rattaché à son exploitation agricole, c’est du moins ce qu’affirment les habitants ,qui ont saisi toutes les instances, daïra, APC, gendarmerie, y compris la justice. Mais, que se passe-t-il donc ? Aucune autorité n’a pu donner suite à ce dossier à ce jour, alors que la tension monte et malheureusement, on sait comment se termine ce genre de problème, quand il perdure dans le monde rural. «On se pose la question, qui a intérêt à ce que la situation s’envenime, on ne réclame pourtant qu’un droit de passage pour nous et nos enfants, nous avons tapé à toutes les portes, tout le monde nous donne raison, mais quand il s’agit d’appliquer la loi, c’est une autre histoire. nous sommes de paisibles paysans nous ne cherchons pas à créer des problèmes alors nous lançons un appel solennel à M. Ali Benaïche, wali de Tlemcen, car nous jugeons que c’est la seule autorité qui peut mettre fin à notre calvaire», nous déclare un habitant du village.
Des problèmes de ce genre ont toujours existé, certes, mais ils ont été résolus, car il y a encore des lois dans ce pays qui protègent et les uns et les autres. Le wali de Tlemcen a réglé pas mal de problèmes depuis sa nomination à la tête de la wilaya, il a pris des mesures exceptionnelles pour faciliter les choses aux habitants du monde rural, il a instruit par exemple les responsables à ne plus exiger l’acte de propriété pour l’obtention du permis de construire quand il s’agit de terre d’héritiers dans les zones reculées. Alors trouver une solution pour un accès ne nécessite certainement pas une formule magique : le bon sens suffit.
M. Zenasni

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Pas moins de deux tragiques accidents de la circulation et un autre drame survenu au niveau du chantier de la pénétrante autoroutière ont été enregistrés dans la journée d’hier, faisant un bilan macabre de 2 morts et 11 blessés dans la matinée d’hier à travers la wilaya de Béjaïa.
Le premier drame s’est produit au niveau du chantier de réalisation du tunnel de la pénétrante autoroutière à Sidi-Aïch où un ressortissant étranger de nationalité chinoise, ouvrier du chantier, a été mortellement écrasé par un rétro-chargeur. La victime, âgée de 20 ans, est décédée sur le coup alors que le conducteur de l’engin, un ouvrier algérien de 34 ans se trouvant en état de choc émotionnel, a été évacué vers la structure sanitaire de Sidi-Aïch par les secours de la Protection civile qui se sont aussitôt déplacés sur les lieux, a-t-on appris de la Protection civile. Un autre grave accident de la route a été signalé dans la matinée d’hier vers 9h dans la municipalité d’Amizour, où un camion-citerne de marque FAW est entré en collision avec un bus de transport de voyageurs de marque Hyundai, avec 24 personnes à bord.
L’accident, qui s’est produit plus précisément au niveau du CW-21, à hauteur de la station électrique d’Amizour, a fait 9 blessés, 5 hommes âgés de 32 à 79 ans ; 3 femmes âgées de 19 à 77 ans, ainsi qu’un enfant de sexe masculin âgé de 12 ans.
L’ensemble des blessés souffrant de blessures plus ou moins légères ont été évacués par les éléments de la Protection civile vers l’hôpital d’Amizour, selon la Protection civile de Béjaïa. Le troisième accident de la route a été enregistré vers 11h13 lorsque une Seat Ibiza, immatriculée à Béjaïa a dérapé sur le CW-32 au lieu-dit Djermouna-Kherrata, avec 4 personnes à bord, avant de heurter 2 personnes de sexe féminin.
La première personne blessée a été évacuée par des particuliers avant l’arrivée des secours de la Protection civile tandis qu’une fillette de 8 ans est décédée sur place. Elle a été transférée vers l’hôpital de Kherrata par les pompiers.
A. Kersani

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Les services de la Protection civile de la wilaya de Aïn-Témouchent ont lancé une campagne de sensibilisation au profit des estivants. Cette caravane sillonnera toutes les plages autorisées à la baignade pour sensibiliser contre les risques dans les plages interdites à la baignade et les plages rocheuses, et ceci dans le but d’éviter le triste bilan de l’année dernière.
La caravane est constituée, en plus de la Protection civile, des secteurs du tourisme, du commerce et des scouts musulmans. Des conseils sont prodigués aux estivants particulièrement contre les zones rocheuses en raison des risques majeurs qu’elles présentent et où plusieurs personnes ont péri, et aussi en raison de leur inaccessibilité aux agents de la Protection civile. des dépliants sont distribués aux vacanciers pour leur expliquer comment agir en cas d’accidents.
La campagne a débuté hier par la zone nommée Hafer el-Djamel «le sabot du chameau», une plage interdite à la baignade, située à proximité de la ferme Djouabra et qui est fréquentée par de nombreux citoyens de Sidi Djelloul. Cette plage a connu la noyade d’une personne et la disparition d’une autre l’année dernière, raison pour laquelle on a préféré lancer cette caravane de sensibilisation à partir de cette plage.
S. B.

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Le wali de Boumerdès maintient le cap sur sa méthode, pas du tout administrative, visant à secouer les instances qui ont la responsabilité de la gestion des espaces sociaux vitaux pour la société. Il a introduit parmi elles de la concurrence pour les faire sortir de la léthargie dans laquelle les confinent les responsables.
Le chef de l’exécutif a, en effet, introduit un système de compétition entre des institutions qui ont un impact social direct sur la population. Après les concours du meilleur village (top-village), du meilleur quartier (top-cité) , la meilleure école (top-school) de la meilleure commune balnéaire – en cours — (top-summer) et enfin l’école de l’excellence.
Pour rappel, le concours top-school concernait l’aspect environnemental, la propreté et la bonne gestion de l’école primaire. En la matière, c’est l’école de filles Ibn Rochd de Bordj-Menaïel qui a décroché le premier prix.
S’agissant du prix de l’école d’excellence, la commission de la wilaya instituée par arrêté du wali et supervisée par l’inspecteur général de la wilaya Ahmed Zerrouki, s’est penchée exclusivement sur le volet pédagogique plus particulièrement sur les résultats scolaires obtenus par chacune des 375 écoles que compte la wilaya.
Ce concours vise à honorer les directeurs d’écoles, les corps enseignants de ces écoles et les meilleurs élèves surtout ceux qui ont obtenu 10/10 à l’examen de la fin de la 5e année primaire (ex-6e).
Cette commission comprend des responsables pédagogiques, des administratifs, un représentant de l’APW et ceux des associations des parents d’élèves. Elle a fonctionné sur la base d’un règlement intérieur pour fixer 15 critères totalisant 200 afin de choisir la meilleure école primaire qui sera honorée le 5 juillet.
Nombre d’élèves ayant obtenu un 10/10 à l’examen à la 5e année primaire et ce depuis l’année 2015, nombre d’élèves ayant obtenu 9,5 et plus à l’examen de l’ex-6e et ce, depuis 2015, de taux de réussite à l’examen de la 5e année primaire depuis 2015, les prix obtenus par chaque élève lors de concours hors école, la disciple dans l’école sont les principaux critères notés sur 20.
A l’issue des délibérations de la commission de wilaya, l’école du chahid Ahmed-Chabi de Souk-el-Had notée à 132,5 est proclamée école d’excellence pour 2018. Elle est suivie par l’école Ibn Rochd de Bordj-Menaïel.
Pour rappel, lorsque cette dernière école avait décroché le prix top-school, elle était suivie par l’école du chahid Ahmed-Chabi. L’encadrement et les corps d’enseignants de ces deux établissements peuvent fêter avec fierté l’année qui s’achève.
Dans les grandes communes, c’est la déception. Si en effet Bordj-Menaïel a décroché 3 places parmi les 10 premières, Souk el Had et Ouled Moussa, deux places chacune et Boumerdès (une école à la 6e place), il n’y a par contre aucune trace de Boudouaou, Khemis El Khechna, Les Issers, Dellys et Thénia. En fait, quand les gens sont sérieux et font leur travail correctement, les résultats positifs finiront par leur rendre justice.
Abachi L.

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Terminálkiürítési gyakorlatot tartottak hétfőn Budapesten, a Liszt Ferenc-repülőtéren – közölte a rendőrség a honlapján.

Az Országos Rendőr-főkapitányság kommunikációs szolgálatának közleménye szerint a közvetlen uniós finanszírozású programban ezerkétszáz önkéntes vett részt.

A résztvevők rendkívüli eseményeket szimulálva gyakorolhatták, hogy egy nemzetközi repülőtéren milyen intézkedésekre van szükség: az utasokat hogyan lehet a lehető legrövidebb időn belül biztonságba helyezni, a veszélyhelyzetet elhárítani, a sérülteket minél előbb orvosi ellátáshoz juttatni, majd a működést helyreállítani.

Azt írták: a projekt során olyan előrejelző és értékelő rendszert fejlesztenek ki, amellyel a “kritikus infrastruktúrák” védelmi szintjét valós időben képesek mérni és értékelni. A repülőtér esetében azt vizsgálják, hogyan javítja a védelmi képességet az, ha “smart” rendszerek, kamerák és egy applikáció segítségével a kijelölt menekülési útvonalak helyett az adott veszélyhelyzetre reagálva, interaktív módon menekítik ki az okosalkalmazást használó utasokat, a lehető legbiztonságosabb útvonalat választva – olvasható a rendőrségi közleményben.

Cet été, l’espace de création et de libre expression Melin’Art vous propose des stages de comédie musicale pour les enfants et les adolescents âgés de 5 à 15 ans.

Situé au Val d’Hydra, Melin’Artest connu pour mettre à la disposition des adultes et des enfants des ateliers artistiques variés. Pour le mois de juillet, ce sont des stages de comédie musicale destinés aux plus jeunes qui sont programmés.La formation compte des workshopsde danse, de chant, de théâtre et de mise en scène.Cela se déroulera du 1 er au 26 juillet 2018.

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Libyen ist das wichtigste Transitland für Flüchtlinge, die über das Mittelmeer nach Europa wollen.Die Küstenwache fängt derzeit im Westen Libyens regelmäßig Boote ab. Die EU hat Unterstützung zugesagt.

ZÜRICH - ZH - Trotz guter Rahmenbedingungen nimmt die Schweiz bei den Unternehmensgründungen keinen Spitzenplatz ein. Bei der Gründungsrate bleibt sie unter dem Durchschnitt vergleichbarer Länder, wie eine Studie der Hochschule für Wirtschaft in Freiburg zeigt.

In den vergangenen Jahren haben sich gemäss dieser Studie 8,5 Prozent der Schweizer ins unternehmerische Abenteuer gestürzt. Gegenüber dem Vorjahr ist das ein leichter Anstieg um 0,3 Prozent. Dennoch klassiert sich die Schweiz unter dem Durchschnitt vergleichbarer innovationsbasierter Volkswirtschaften (9,1 Prozent) wie etwa den USA, Kanada oder Australien.

Markant besser als der Durchschnitt der Vergleichsländer schneidet die Schweiz beim Durchhaltewillen der Gründer ab. Die Quote der etablierten Gründer (länger als 3,5 Jahre im Gründungsprozess) ist mit 11 Prozent markant höher als im Durchschnitt der Vergleichsländer.

Gleichzeitig ist die Unternehmensgründung lediglich für eine Minderheit der Schweizer Bevölkerung eine Option: 53 Prozent der Bevölkerung betrachtet sie als gute Karrierewahl, in anderen Ländern wie den Niederlanden (81 Prozent), Kanada und Israel dagegen liegen diese Raten deutlich höher (je 66 Prozent).

Die Studie ist Teil des Global Entrepreneurship Monitors (GEM), der grössten internationalen Studie zu Unternehmertum. Die Ausgabe 2017/2018 verfasste die Hochschule für Wirtschaft Freiburg (HSW-FR) mit den Partnern SUPSI, Swiss Start-up Factory (SSUF) und Swiss Economic Forum (SEF). Die Schweizer Studie basiert auf der Befragung von rund 2'400 Personen. (SDA)

Par Boumediene Abed.

Depuis la nuit l’homme a aimé entendre chanter pour se créer un espace de bonheur qui le réconforte dans les moments difficiles, se délecter d’une musique vocale et instrumentale pour retrouver son équilibre mental.

On trouve voluptueux quelque chose qui nous procure un plaisir intense comme la chanson dont les paroles sont une réponse à nos angoisses internes et l’harmonie des sons un remède magique à l’agitation de nos sentiments. Heureux les chanteurs qui trouvent les paroles qui dissipent tout handicap maladif et les sons qui parlent beaucoup plus à la raison qu’au cœur.

La volupté des sons
Cela n’a pas d’explication scientifique tant c’est naturel. On reste indifférent ou on vibre à des sons et pas à d’autres parce qu’ils répondent mieux à notre intériorité faite de désirs, de rêves qui guident chacun dans son quotidien et que chacun n’arrive pas à s’expliquer : ils sont le produit d’une réalité, de l’éducation reçue, d’un imaginaire fait de notre expérience de la vie et accumulée au fil des jours.
On peut expliquer pourquoi des jeunes font une vingtaine de kilomètres à pied pour se rendre à une soirée organisée au son d’une cornemuse et d’un tambour, instruments traditionnels joués par des spécialistes en la matière. Ces jeunes ont dansé au son de cette musique qu’ils ont trouvée voluptueuse. D’autres trouvent de la volupté dans le «raï», certains préfèrent quelques variétés de musique moderne qui les inspirent mieux alors qu’une catégorie d’individus adorent une forme de chanson populaire.

On ne peut guère expliquer les raisons des penchants de chacun à moins de faire subir à tous un examen psychologique approfondi qui donne pour chacun son bilan psychiques. On raconte qu’une femme de l’ancien temps aimait à en mourir les musiciens et chanteurs ambulants qui venaient danser au son de leurs instruments traditionnels sur les places publiques. Le public médusé les suivait dans leur moindre geste et cherchait à profiter au mieux de leur spectacle.
La femme en question sensible à leur musique dansait malgré elle, elle s’exhibait allégrement pendant tout le spectacle. Son mari était ailleurs et sitôt qu’il était de retour il la battait au point de lui laisser des marques sur la peau. Mais elle n’en a cure, la prochaine venue de ces musiciens, elle sera présente sur scène et les mêmes coups se répéteront. Le mari est de ces hommes anciens qui ne comprennent qu’une femme ou un homme éprouvent des sentiments et des désirs à satisfaire sous peine de frustration aux conséquences graves sur l’état psychologique.

La volupté des paroles
Les chanteurs en général et les poètes en particulier ont ce don rare de trouver des paroles à valeurs connotatives qui en disent long sur les vertus, vices, comportements incompréhensibles, et travers humains ; ils trouvent une matière inépuisable qu’ils remodèlent de manière à la présenter de manière subtile au moyen d’images polysémiques, métaphores souvent in décryptables euphémismes, hyperboles ayant pour but d’impressionner et donner de la valeur à leurs thèmes de prédilection.
C’est ainsi que des chanteurs de talents créent de nouvelles figures de style qui permettent de valoriser la langue populaire, celle qui a du génie et dans laquelle il cible des catégories sociales tout en les envoûtant par la qualité des expressions langagière de niveau relevé ; ceci pour impressionner le public et le marquer à vie. Ainsi une expression telle celle -ci traduite de l’arabe : «fais de ton œil un instrument de mesure» (D’après Dahmane el Harachi : dir aynek houa mizan :fais de ton œil une balance), très belle expression en arabe.
Nous trouvons dans les chansons d’El Anka des passages qui nous font rêver par sa musique voluptueuse faite d’une diversité d’instruments choisis pour son orchestre medh : la banjo, la derbouka, le piano, la mandoline et le luth, bel ensemble pour des paroles voluptueuses de meddah au sens originel du terme. En effet le meddah est celui qui chante devant un public médusé l’actualité d’un temps au son d’une musique en parfaite harmonie avec les paroles poétiques.
Les paroles d’El Anka entrent toujours dans des compositions poétiques. Et quel plaisir immense on peut éprouver en l’entendant chanter accompagné de son orchestre.

C’est sublime ! Il aurait 650 poèmes chantés différemment mais sur le même ton musical avec à chaque fois un thème différent et pas n’importe lequel, jugez-en par ces exemples pleins d’allusions : «el h’ mame», «el mendoza», «erfed sebbatek ou emchi», avec souvent des allusions aux colons. Le répertoire d’El Anka est aussi vaste que riche, c’est toute une carrière de chanteur hors catégorie. Mais alors qu’il prenait de l’envergure, on l’a accusé d’avoir cassé le genre classique andalou alors en pleine expansion.
Comme chansons voluptueuses, on a aussi celles d’Aït Menguellat adulé depuis des décennies pour sa voix mélodieuse et sa thématique orientée vers les problèmes de société et le vécu collectif au quotidien au moyen d’images métaphoriques à fortes connotations, d’allusions extrêmement imagées et qu’il faut placer dans le contexte pour comprendre leurs portées exactes, le tout dans un langage recherché, le chanteur a cette rare particularité de re lui-même ses textes et de bien travailler ses paroles de manière à les rendre plus expressives qu’elles ne le sont dans la réalité.
C’est des paroles pleines de non dits et de sous entendus, il appartient à chacun de saisir au vol ce que veulent signifier ces paroles sans perdre de vue la beauté poétique du texte parce qu’elle ajoute du sens. L’autre particularité majeure d’Aït Menguellet c’est d’avoir de beaux textes qui n’ont pas besoin d’accompagnement musical.

D’ailleurs il a une musique sobre. Il présente quelques similitudes avec Dahmane el harrachi qui pouvait, lui aussi chanter sans musique tant il disait des paroles magnifiques et à retenir comme leçons sur la vie. Les chansons d’Aït Menguellat méritent amplement le qualificatif de voluptueuses, elles sont belles même quand on les chante seules sans musique, on a beaucoup plus accès au sens, sinon avec un seul instrument : le tambour et la flûte.
Ce qui classe le chanteur parmi les meilleurs sages d’antan, il en a l’envergure, le langage et la philosophie. On nous a une fois gratifiés d’un spectacle où une vieille femme à la belle voix, seule sur scène, a chanté l’une de ses chansons accompagnée d’un tambour manié par elle-même. Ce fut un régal !
Si le rire et le théâtre sont des thérapies reconnues, mondialement pour ses nombreux bienfaits, comme la thérapie par le sport, particulièrement le football dont personne ne doit être privé, celle de la chanson voluptueuse, surtout celle d’Aït Menguellet, est plus que jamais nécessaire pour recouvrer l’équilibre mental dans un monde difficile à vivre. C’est pour ces raisons que Frantz Fanon, psychiatre, faisait venir le chanteur Aderrahmane Aziz pour des séances de musicothérapie à l’hôpital de Blida Joinville, ses chansons servaient à guérir certains pathologiques et le médecin spécialiste en avait la preuve certaine.

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Dass OVS in der Schweiz nicht weiter macht, schmerzt auch Migros und Coop im Portemonnaie: Den Konzernen brechen die Mieteinnahmen der Pleite-Italiener weg.

Der abrupte Schweizer Abschied des italienischen Modehändlers OVS trifft auch Coop und Migros. Das schreibt die «Handelszeitung» in ihrer aktuellen Ausgabe. 55 der insgesamt 140 OVS-Filialen waren in Schweizer Shopping-Centers eingemietet. Rund ein Drittel von diesen gehört Coop und Migros. Konkret verliert Coop 11 und Migros 13 OVS-Standorte in eigenen Shopping-Centern – und damit wertvolle Mieteinnahmen.

Noch stärker betroffen als die beiden Grossverteiler ist der Immobilien-Konzern Privera aus Wallisellen ZH: Er verliert OVS an 20 Standorten als Mieter.

Tempo ist ein Problem

2017 wurden in Schweizer Einkaufszentren durch das Aus des Modehändlers Yendi sechzig Flächen frei. Die OVS-Nachmieter-Suche wird sich für Coop und Migros aber schwieriger gestalten, sagt Shopping-Center-Experte Marcel Stoffel: «Der Fall OVS ist für die Shopping-Centers gravierender, weil die OVS-Verkaufsflächen markant grösser sind als jene, die damals durch Yendi frei wurden.»

Es gebe nur wenige Anbieter, die als Nachmieter für die grossen OVS-Flächen infrage kommen, sagt Stoffel. «Erschwerend kommt dazu, wie schnell das Aus von OVS kam. Den Center-Managern fehlte die Zeit, um schnell Nachfolger für die leeren Flächen zu finden.» (kst/jfr)

Die deutschen Sozialdemokraten haben eine klare rote Linie für die Verhandlungen mit den Christdemokraten über die Ausgestaltung eines schärferen Asylrechts gezogen.

«Es wird mit uns keine geschlossenen Lager geben», sagte die SPD-Partei- und Fraktionsvorsitzende Andrea Nahles am Mittwoch nach einer Sondersitzung der SPD-Bundestagsabgeordneten in Berlin.

Geplant sind sogenannte Transitzentren an drei Grenzübergängen an der deutsch-österreichischen Grenze. Von dort aus sollen bereits in anderen EU-Staaten registrierte Asylbewerber in diese zurückgeführt werden. Hierzu bedarf es aber zunächst auch einer Übereinkunft mit Österreich.

Transitzentren an deutsch-österreichischer Grenze

Völlig unklar ist, wie ohne Bewachung verhindert soll, dass die betreffenden Personen nicht weiterziehen. In der SPD hiess es, CDU und CSU argumentierten, die Lager seien ja zumindest nach Österreich hin offen, dorthin könne die Person immer zurückkehren.

An diesem Donnerstag wird erneut ein Koalitionsausschuss mit den Spitzen von Union und SPD über die Details reden. CSU-Chef und Innenminister Horst Seehofer hatte zunächst mit Rücktritt gedroht, wenn es nicht härtere Regeln an ausgewählten Grenzübergängen in Bayern gibt, schliesslich willigte Kanzlerin und CDU-Chefin Angela Merkel in die auch rechtlich umstrittene Transitzentren-Lösung ein.

Die SPD regiert mit CDU und CSU seit 2013 als Juniorpartner in einer grossen Koalition. Nach der Bundestagswahl 2013 war das Bündnis nach langen Verhandlungen erneuert worden. Die CSU ist die bayerische Schwesterpartei der CDU. Im Bundestag bilden beide eine gemeinsame Fraktion. (SDA)

 

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