Afrique

Le Mécanisme de l’Indice mondial des risques climatiques 2025 vient de révéler son dernier rapport, mettant en lumière les pays les plus touchés par les […]

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L’équipe nationale algérienne A’ disputera ce soir le match du quart de finale du Championnat d’Afrique des nations CHAN-2024 contre le Soudan, au stade Amaan […]

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Les robes conçues et fabriquées en Afrique connaissent un grand succès lors des bals de fin d'année des lycéens aux États-Unis.

La Compagnie nationale de transport maritime des passagers a annoncé un communiqué officiel concernant la traversée programmée le dimanche 24 août 2025, reliant le port […]

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La Russie et la Chine sont en tête de la course mondiale aux missiles hypersoniques. Dans quelle mesure devons-nous nous inquiéter du fait que les États-Unis tentent de rattraper leur retard et que le Royaume-Uni n'en possède aucun ?

L’Algérie connaîtra ce samedi 23 août 2025 un temps globalement stable, marqué par des conditions météo plutôt clémentes sur la majorité du territoire. Cependant, une […]

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Une mission du Palais de la République a visité ce mercredi 20 août 2025 l'Hôtel le Trône pour une séance de travail. L'objectif de la mission dirigée par le lieutenant-colonel Roger Tawes est de voir l'état d'avancement des travaux de construction du majestueux hôtel à Abomey.

Un projet privé qui vient en appui au volet tourisme du programme d'action du gouvernement. : Faire du secteur du tourisme une filière de développement économique créatrice de richesses et d'emplois et un outil de rayonnement du Bénin à l'international .

À ce titre, l'initiative de construction de l'Hôtel le Trône dans la cité historique d'Abomey vient à point nommé. La nouvelle infrastructure est très moderne. Elle est de classe internationale et offre toutes les commodités à ce flux massif de visiteurs très exigeant qui commence par fouler le sol béninois. Le standing du nouvel hôtel participe également de l'attractivité et de l'offre touristique d'Abomey.
Au terme de la mission du lieutenant colonel Tawès, "24 Heures au Bénin" publie ici quelques images de l'infrastructure en fin de travaux.

C’est un moment émouvant pour une petite fille algérienne qui a réussi à marcher pour la première fois, sans assistance, grâce à l’expertise égyptienne dans […]

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L'opération de libération de la berge Est de la lagune de Cotonou a officiellement démarré ce jeudi 21 août 2025 au quartier Abokicodji, à Akpakpa

A Abokicodji-Lagune dans le 4è arrondissement de Cotonou, la libération de la berge Est s'accompagne de mesures sociales. Contrairement aux craintes initiales, les populations déguerpies saluent majoritairement la manière dont le processus est conduit. Plusieurs sinistrés ont déjà reçu leurs chèques de dédommagement.

« Le gouvernement ne nous a rien fait de mal. Il nous avait promis de ne pas nous laisser sans rien faire. Aujourd'hui, plusieurs des nôtres sont allés au 4e arrondissement pour prendre leur chèque », témoigne Alfred Sounouvou, un sinistré.

Les montants varient selon les situations administratives des occupants.

Le chef quartier d'Abokicodji Lagune, Razack Délé Dandjinou, explique : « Ceux qui n'ont pas de papiers ont eu 200 000 FCFA. Ceux avec des papiers de lotissement ou de recasement ont reçu jusqu'à 3 millions FCFA. Et ceux avec des titres fonciers, jusqu'à 22 millions FCFA, voire plus selon les constructions. Certains reçoivent 30, 35 millions FCFA ».

Une reconnaissance unanime

Les témoignages sont nombreux et convergents. Christophe Awlé, également sinistré, confirme : « Nous étions sur un domaine public. Nos chefs quartiers ont plaidé pour nous. Aujourd'hui, nous recevons nos chèques. Nous remercions le chef de l'État pour le geste ».

Selon les autorités locales, l'État a tenu compte des doléances, notamment en reportant l'opération à la période des vacances scolaires, afin de ne pas perturber la fin d'année académique des enfants.

L'inquiétude des pêcheurs Toffins

Si les compensations financières sont appréciées, un sujet continue d'inquiéter les sinistrés : la survie de leur activité principale, la pêche artisanale. Alfred Sounouvou s'en fait le porte-voix :
« Nous demandons à l'État de faire quelque chose pour que nous continuions à pêcher. Nous sommes pour la plupart des ‘'Toffins'' », a-t-il indiqué a Speedlinetv.

Un autre pêcheur renchérit : « Même si l'État nous enlève de la pêche, qu'il nous trouve un endroit pour accoster nos pirogues. On ne sait faire que ça ».

Cette première phase de libération de ce domaine public n'est qu'un début. Sept quartiers sont concernés : Abokicodji, Dédokpo, Kpankpan, Midombo, Adogléta, Xlacomé et Agbato.
L'opération sera étendue sur les six autres quartiers dans les jours à venir.
M. M.

Le Ministère de l’Éducation nationale a annoncé, mercredi, l’ouverture exceptionnelle de sa plateforme numérique de recrutement pour les enseignants contractuels. Cette opération vise à répondre […]

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Dans une action saluée par les défenseurs de la faune sauvage, les agents de la conservation des forêts de la wilaya de Guelma ont récemment […]

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Le Bénin a participé, pour la première fois, à l'Olympiade internationale d'intelligence artificielle (IOAI). L'édition 2025 s'est tenue du 2 au 9 août à Pékin (Chine).

Quatre jeunes talents béninois ont porté haut les couleurs nationales à la deuxième édition à l'Olympiade internationale d'intelligence artificielle (IOAI).

À Pékin, la compétition s'est déroulée du 2 au 9 août 2025 dans l'enceinte prestigieuse de la Beijing National Day School.

L'édition 2025 de l'IOAI a rassemblé 300 élèves de 61 pays. Deux épreuves majeures au programme : une phase théorique sur les fondements de l'IA, et une phase pratique orientée vers les applications concrètes. Cette année, le défi portait sur l'intelligence incarnée et la robotique.

Seuls 16 pays sont repartis avec des médailles.

Avec cette première participation, le Bénin confirme son ambition de devenir un hub technologique en Afrique de l'Ouest. Une vision portée notamment par Sèmè City, cité de l'innovation en plein essor.

Les représentants du Bénin ont été choisis parmi plus de 700 candidats issus de tout le territoire.
La préparation de l'équipe a été soutenue par le gouvernement, via trois ministères clés : le Numérique, l'Enseignement supérieur et l'Enseignement secondaire. Le tout, coordonné par l'Agence de Développement de Sèmè City.

Fin juillet, les six finalistes présélectionnés avaient reçu leurs ordinateurs et kits de connexion pour se préparer dans les meilleures conditions avant de s'envoler pour la Chine.
M. M.

La footballeuse béninoise Yolande Gnammi a signé, mercredi 20 août 2025, un contrat de 2 ans avec l'AS FAR du Maroc.

Le club champion du Royaume du Maroc, AS FAR Féminine, a engagé l'attaquante béninoise Yolande Gnammi (25 ans).

Un contrat de 2 ans a été signé, mercredi 20 août, entre la footballeuse et le club marocain.

Les performances de Yolande Gnanmi avec Ittihad FF Tanger, où elle a inscrit pas moins de 22 réalisations, ont été déterminantes dans le choix de l'AS FAR.

Le club a été sacré plusieurs fois champion du Maroc. L'AS FAR a remporté la Ligue des champions féminine de la CAF en 2022.
M. M.

La compagnie aérienne nationale a annoncé le lancement de sa première liaison régulière entre Alger et Tamanrasset, prévue pour le lundi 25 août. Selon le […]

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La plateforme de médias sociaux gagne de l'argent grâce aux ventes de gadgets malgré les tactiques contraires à l'éthique des vendeurs.

Le Ministère du Travail et de la Fonction Publique a publié les listes provisoires des candidats au test de sélection des 250 assistants en position probatoire pour les universités publiques du Bénin. Les dossiers validés et rejetés sont consultables en ligne depuis le 22 août 2025. Les candidats dont les candidatures ont été rejetées ont jusqu'au 27 août pour régulariser leur situation auprès du DRAE. La liste définitive sera publiée le 1er septembre et le test se tiendra le 6 septembre au CEG Sainte Rita.

DOSSIERS VALIDES

LISTE DE REJET

COMMUNIQUE

Sauvés par miracle de l'accident de bus dans le fleuve Ouémé, à Glazoué, les survivants se confient à Allah.

« Ce n'est pas de notre force, c'est Dieu qui nous a sauvés ! ». Voilà ce qu'a déclaré un survivant, ce vendredi, au nom des 9 rescapés, qui ont survécu à l'accident de bus qui a causé 43 morts, dimanche dernier, dans le fleuve Ouémé à Glazoué.

Extraits de l'épave du bus et hospitalisés à l'hôpital de zone Savè-Ouèssè, les rescapés avaient perdu tout espoir.

Selon leurs récits, ils doivent leur survie à la providence divine.
M. M.

Le Musée d'art contemporain KIJAIN de Lomé accueille, du 8 août 2025 au 5 février 2026, l'exposition solo de Kossi Assou, intitulée Mes Obsessions. Curatée par Komlan Daniel Agbenonwossi, cette exposition propose une immersion dans près de quarante années de pratique artistique. Plus qu'une rétrospective, Mes Obsessions se présente comme un territoire mouvant où l'artiste explore les lignes de force de son œuvre, offrant au spectateur un regard intime sur ses obsessions créatives.

Kossi Assou, figure incontournable de la scène artistique contemporaine togolaise et africaine, a construit son œuvre autour de la mémoire, de la matière et de la transformation des formes. Depuis ses débuts, Assou se distingue par sa capacité à dialoguer avec les matériaux et les histoires qu'ils portent. Né à Abidjan vers la fin des années 1950, il entame sa formation artistique dans un contexte où la quête identitaire et la valorisation des savoir-faire locaux sont des enjeux majeurs. Sa carrière, jalonnée de collaborations internationales et de résidences artistiques, témoigne d'une volonté constante de renouveler le langage plastique et de questionner les liens entre tradition et modernité.

Les œuvres de Kossi Assou se caractérisent par une approche profondément sensorielle de l'art. Les matériaux qu'il choisit (sacs de jute, bois, pigments naturels, fibres textiles, métaux) deviennent le support d'une réflexion sur le temps, la mémoire et l'obsession. Chaque pièce semble porter en elle une énergie propre, une trace du corps et de l'esprit de l'artiste. Mes Obsessions permet au spectateur de suivre ce fil conducteur qui traverse l'ensemble de sa carrière, révélant la cohérence d'un langage artistique pourtant en constante évolution.

Un dialogue avec la matière
Dans Mes Obsessions, Kossi Assou dévoile une diversité technique impressionnante. L'exposition révèle sa maîtrise de la sculpture, de l'installation, de la teinture et de l'assemblage, souvent combinées dans des œuvres hybrides. Le sac de jute, matériau récurrent dans sa pratique, devient ici un médium expressif de choix : modelé, teint ou laissé brute, cette matière traduit la densité des réflexions intimes de l'artiste.

Le bois, patiné par le temps et parfois associé à des pigments naturels, dialogue avec le métal pour créer des œuvres où le contraste des textures renforce la tension visuelle. La couleur, qu'elle soit naturelle ou synthétique, n'est jamais gratuite : elle souligne les lignes de force de la composition et insiste sur les thématiques de mémoire et de répétition. Les œuvres de Kossi Assou témoignent d'un équilibre subtil entre précision technique et spontanéité gestuelle, entre contrôle et abandon à l'imprévisible.

Komlan Daniel Agbenonwossi souligne dans le catalogue que l'exposition n'est pas une simple rétrospective : « Mes Obsessions est un territoire mouvant, une cartographie des lignes de force qui traversent le travail de l'artiste. » Cette formulation prend tout son sens lorsqu'on observe la mise en espace des œuvres : les pièces dialoguent entre elles, s'entrelacent, créant une narration visuelle où le spectateur est invité à suivre les répétitions, les motifs récurrents et les gestes obsessionnels qui structurent l'œuvre de l'artiste.

Mes obsessions : une exploration intime ?
Le choix du thème Mes Obsessions mérite une lecture attentive. L'obsession, dans le travail de Kossi Assou, n'apparaît pas comme un simple excès ou une fixation irrationnelle, mais comme une force motrice de la création. Chaque répétition, chaque motif, chaque matériau travaillé avec insistance traduit une nécessité interne : celle de comprendre, de préserver, de transformer le réel.

L'obsession devient ici une méthode de connaissance, un outil pour sonder le temps, la mémoire et l'identité. Dans certaines sculptures, on reconnaît la répétition de formes ou de motifs inspirés de l'architecture et de l'artisanat locaux. Ces motifs ne sont pas décoratifs : ils constituent une langue personnelle, un code visuel qui révèle les préoccupations de l'artiste et son dialogue avec l'histoire et la culture togolaises et africaines.
L'obsession chez Assou n'est pas seulement formelle. Elle est aussi thématique. Plusieurs œuvres abordent les rapports entre nature et civilisation, les traces du passé sur le présent, et l'empreinte des rituels et croyances dans la vie contemporaine. L'exposition montre ainsi que l'obsession artistique peut devenir un moyen de rendre visible l'invisible : les forces sociales, culturelles et psychologiques qui traversent l'existence.

La scénographie : une cartographie mouvante
La disposition des œuvres dans l'espace muséal contribue largement à la compréhension du concept d'obsession. Les sculptures et installations ne sont pas simplement alignées ; elles forment des parcours sinueux, des zones de tension et de calme, des points de concentration où le regard se pose et s'interroge. Le visiteur est invité à errer, à revenir sur ses pas, à découvrir des résonances entre des œuvres disposées dans le temps et l'espace.

Cette scénographie traduit parfaitement l'idée de cartographie évoquée par le curateur. Cette salle devient un territoire où les obsessions de l'artiste se déploient, où les lignes de force s'entrecroisent et se confrontent. La circulation entre les œuvres impose un rythme contemplatif, une immersion progressive qui rend palpable l'évolution de la pensée artistique de Kossi Assou sur trois décennies.

Mes Obsessions n'est pas une exposition hermétique. Elle invite le spectateur à s'engager activement, à décrypter, interpréter et ressentir. Les gestes répétés de l'artiste, les textures, les couleurs et les formes deviennent autant d'indices pour comprendre son monde intérieur. Le spectateur devient complice de l'obsession, témoin de la patience, de la persévérance et de la minutie qui caractérisent les œuvres de Kossi Assou.

Cette interaction est renforcée par la présence de pièces interactives et immersives, où la lumière, l'ombre et le son participent à la mise en récit. L'expérience sensorielle complète l'analyse formelle et thématique, soulignant que l'obsession n'est pas seulement une démarche intellectuelle, mais un engagement total de l'artiste dans son matériau, dans sa technique et dans son rapport au monde.

Une leçon de persévérance et de mémoire
L'exposition Mes Obsessions de Kossi Assou est une démonstration magistrale de la manière dont l'obsession peut se transformer en moteur créatif. Elle montre que la répétition, la minutie et la persistance ne sont pas des excès, mais des méthodes pour explorer et révéler l'invisible. L'obsession devient ici un territoire, un espace de liberté où l'artiste peut expérimenter, dialoguer avec le temps et les matériaux, et inviter le spectateur à une réflexion profonde sur l'art, la mémoire et l'identité africains.
Par cette exposition, Kossi Assou confirme sa position d'acteur majeur de l'art contemporain africain. Il offre au public une expérience qui dépasse le simple regard esthétique, en proposant une immersion dans un monde où chaque geste compte, où chaque motif raconte une histoire, et où chaque obsession devient une mémoire à partager.

Mes Obsessions est donc bien plus qu'un ensemble d'œuvres ; c'est un voyage intime et universel dans la créativité d'un artiste dont la constance et la curiosité n'ont cessé de nourrir une œuvre riche, complexe et profondément humaine. Cette exposition, par sa richesse technique, sa profondeur thématique et son exigence esthétique, constitue un jalon incontournable pour quiconque souhaite comprendre la dynamique de l'art contemporain africain et les lignes de force qui traversent la pratique de Kossi Assou.

Cokou Romain AHLINVI

Isabelle Marie-Louise Ékué, la veuve de feu professeur Albert Tévoédjrè, décédée le 3 août dernier, à l'âge de 95 ans, sera conduite à sa dernière demeure, samedi 23 août 2025, à Adjati, dans la commune d'Adjarra.

Les cérémonies funéraires de Mme Isabelle Marie‑Louise Ékué, veuve du professeur Albert Tévoédjrè, auront lieu ce samedi 23 août 2025 à Adjati, avec une messe d'enterrement retransmise en direct sur Internet.

Programme des obsèques

Le programme des obsèques démarre, ce vendredi 22 août, à 18h à la morgue de Porto-Novo, avec le retrait du corps suivi de son transfert vers Adjati, où il sera exposé jusqu'à minuit dans un cadre de recueillement ponctué de prières et de louanges.

Le lendemain samedi, la levée du corps est prévue à 7h30 à destination de la Cathédrale Notre-Dame-Immaculée de Cotonou où la messe sera célébrée à partir de 9h00.

Des hommages seront rendus à la fin de la cérémonie religieuse, notamment par M. Serge Ékué et Éric Tévoédjrè.

L'inhumation aura lieu à 11h45 dans l'intimité familiale, au sein de la "Maison Africaine de la Paix" à Adjati, selon le souhait de la défunte.

Isabelle Marie-Louise Ékué est l'épouse de feu professeur Tévoédjrè, grande personnalité intellectuelle et politique béninoise, ancien Médiateur de la République, ancien ministre du Plan, acteur clé de la Conférence nationale de 1990, chef de parti et défenseur du dialogue social en Afrique.
M. M.

Un organisme soutenu par l'ONU affirme que plus d'un demi-million de personnes à Gaza sont confrontées à « la famine, la misère et la mort ».