Trente-six ans après sa chute le 22 décembre 1989, le dictateur communiste Nicolae Ceaușescu est devenu un véritable phénomène sur TikTok, où pullulent des comptes de trolls et de bots réhabilitant son action. Dans le but évident de promouvoir les vertus des régimes autoritaires...
- Articles / Une - Diaporama, Politique, Roumanie - révolution 1989, Radio Europa Liberă RomâniaLe Maroc, pays organisateur de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2025), a effectué une belle entame de compétition s'imposant par un score de 2 buts à zéro aux Comores en match d'ouverture ce dimanche 21 décembre 2025. La communauté marocaine au Bénin a vécu ce moment intense de joie sur le Fan zone du réseau Moov Africa installé au Novotel à Cotonou.
C'est à côté de la piscine du Novotel que les Marocains résidant au Bénin ont suivi le match inaugural de la 35e édition de la CAN. Dans une ambiance festive et très conviviale, les supporters des Lions de l'Atlas, vêtus pour la plupart de leur maillot habituel, ont suivi la cérémonie d'ouverture, suivie de la rencontre elle-même.
En première loge, l'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire au Maroc près le Bénin, SEM Rachid Rguibi, entouré de ses homologues de l'Egypte, de la France, du secrétaire général adjoint du ministère des Affaires étrangères et plusieurs autres personnalités. Ces différentes personnalités aux côtés du Doyen du Corps diplomatique, ont poussé les Lions à la victoire pour ce match d'ouverture. Si le pénalty raté dans les quinze premières minutes en début de rencontre a donné un peu de frissons aux supporters, les Lions en second partie ont vite fait de prendre la rencontre en leur faveur dominant leurs adversaires ; score en fin de match, 2-0 pour le Maroc.
Un résultat très satisfaisant pour le Royaume du Maroc qui espère après le sacre de 1976, remporter ce trophée pour le bonheur de tout le Royaume.
Jeux divers, cadeaux et plusieurs autres activités ont marqué cette soirée consacrée au match d'ouverture de la CAN.
F. A. A.
Au Maroc, à l'occasion de la CAN 2025, les Guépards du Bénin n'ont pas seulement représenté une équipe nationale. Ils ont porté un récit.
La tenue d'apparat choisie pour l'arrivée des Guépards du Bénin à la CAN 2025 n'est ni décorative ni anecdotique. Elle est un geste symbolique fort, pensé et conçu par Jerry Sinclair, créateur béninois, à travers une écriture vestimentaire qui dépasse la mode pour entrer dans le champ de la représentation nationale.
Ce choix vestimentaire dit quelque chose d'essentiel : le Bénin n'est pas un territoire fragmenté, mais un espace de résonances.
À travers cette tenue, un clin d'œil assumé au septentrion, c'est tout un peuple qui se retrouve concerné.
Dans un pays où l'on a parfois opposé les régions, cette tenue propose un autre imaginaire : celui d'un Bénin où les différences ne divisent pas, mais s'additionnent.
En confiant cette mission à un créateur béninois, le message est clair : Le récit national peut et doit être écrit par ceux qui le vivent, le pensent et le ressentent.
Ce n'est pas seulement une tenue. C'est une image du Bénin que nous envoyons au monde.
Slavko Aleksić, « voïvode tchétnik » et figure centrale de la violence paramilitaire durant le siège de Sarajevo, est mort le 18 décembre. Avec lui, disparaît un témoin clé sur les réseaux armés, les chaînes de commandement et les soutiens politiques qui ont encadré les crimes commis contre les civils.
- Le fil de l'Info / Serbie, Une - Diaporama, Courrier des Balkans, Siège sarajevo, Bosnie-Herzégovine, Personnalités, Histoire, Défense, police et justice, Une - Diaporama - En premierLe Tribunal de commerce de Cotonou a prononcé, le 16 décembre 2025, un jugement en faveur de la société AJO, lui accordant le paiement de la somme de 11.353.346 francs CFA par la société LE ROCHER BENIN.
Suite à des prestations de services réalisées mais non payées dans le cadre d'un contrat de sous-traitance, la société AJO a saisi le Tribunal de commerce de Cotonou le 25 avril 2025. Le différend remonte au projet de réalisation de cinq systèmes d'approvisionnement en eau potable dans les départements de l'Alibori, du Borgou et des Collines. La société AJO avait été mandatée pour fournir des matériels et effectuer des prestations de services pour LE ROCHER BENIN, adjudicataire du marché public n°1210/MEF/ANAEPMR/PRMP/PEPRAU/DNCMP/SP du 5 juin 2020.
Selon la société AJO, la société LE ROCHER BENIN a déjà perçu une avance de 2.250.000 francs CFA ainsi que des paiements partiels de 20.603.346 francs CFA. Elle estime que LE ROCHER BENIN lui doit encore 11.353.346 francs CFA, malgré plusieurs relances et mises en demeure.
Lors de l'audience du 2 décembre 2025, la société LE ROCHER BENIN ne s'est pas présentée. Elle n'a pas non plus répondu à la signification de l'exploit de l'assignation. En conséquence, le jugement a été rendu par défaut, et la demande de la société AJO a été considérée comme bien fondée.
La « société LE ROCHER BENIN SARL » a été condamnée au « paiement de la somme de onze millions trois cent cinquante trois mille trois cent quarante-six (11.353.346) francs CFA au titre des prestations effectuées par la société AJO SARL », selon le jugement N°024/2025/CJ3/S1/TCC du 16 Décembre 2025.
La société AJO a également réclamé 2 millions de francs CFA en dommages-intérêts pour le préjudice causé par le retard de paiement. Toutefois, le tribunal a rejeté cette demande, estimant qu'aucun élément concret n'a été apporté pour justifier ce préjudice.
Concernant la demande d'exécution provisoire sur minute, la demande a été rejetée. AJO n'ayant pas justifié d'un "péril imminent" ou d'une "extrême nécessité", a jugé le Tribunal.
M. M.
La promulgation de la Constitution révisée le 17 décembre dernier alimente les débats sur un changement de régime. Invité sur Bip Radio ce dimanche 21 décembre 2025, le constitutionnaliste Gilles Badé lève toute équivoque.
Pas de « nouvelle République » à l'horizon avec la révision constitutionnelle opérée au Bénin. Pour le professeur Gilles Badé, la révision constitutionnelle de novembre 2025 s'inscrit dans la continuité de l'historique Conférence nationale. « C'est toujours la Constitution de 1990, telle que révisée en 2025 », a-t-il expliqué, dimanche 21 décembre 2025 dans L'entretien de Bip radio. Selon le constitutionaliste, tant que l'on ne fait pas table rase du passé, l'identité de l'État reste intacte. « On est toujours dans la même République », a-t-il insisté.
Le professeur Gilles Badé rappelle que la procédure a suivi les règles établies. L'initiative, la prise en considération par les députés et l'adoption définitive sont les étapes classiques. Le constitutionnaliste cite l'exemple de grandes démocraties. « En France, c'est une trentaine de fois qu'ils ont déjà modifié. Aux États-Unis, il y a plus de 200 ans, ils ont ce qu'ils appellent les amendements. Il y en a eu plein, mais ils sont toujours dans la même République. »
Pour qu'il y ait une « nouvelle Constitution », il faudrait abandonner entièrement le texte de 1990. « Si on mettait en place une Commission qui révisait entièrement une nouvelle Constitution, on aurait en ce moment une nouvelle Constitution, donc une nouvelle République. Et on aurait peut-être, par exemple, la Constitution de 2025, ou la Constitution de 2030, si jamais l'envie nous prenait de procéder ainsi », précise-t-il. Ce n'est pas le cas ici. La mention « modifiant et complétant la loi 90-32 » reste la preuve juridique de cette continuité.
M. M.
La Cour constitutionnelle voit son champ d'action se réduire au profit du Sénat, notamment sur la surveillance des discours politiques, avec la révision constitutionnelle de novembre 2025. C'est ce qui ressort des explications données, dimanche 21 décembre 2025 sur Bip radio, par le professeur Gilles Badé, ex Secrétaire général de la Cour Constitutionnelle.
Rempart ultime depuis 1990 contre les dérapages verbaux des dirigeants, la Cour constitutionnelle est compétente pour condamner un président ou un ministre pour des propos jugés contraires à l'unité nationale. Mais avec la Constitution révisée le 14 novembre 2025, cette époque est révolue. « La Cour constitutionnelle n'est plus compétente pour apprécier des propos et des déclarations », a affirmé professeur Gilles Badé, ancien secrétaire général de la Cour constitutionnelle, dimanche 21 décembre 2025. L'invité de Bip radio précise que la Cour se recentre sur le droit pur, tandis que le Sénat devient le nouveau « conseil de discipline » de la classe politique. Ce retrait de compétence s'explique par une volonté de séparer le juridique du politique.
Le professeur a rappelé des exemples célèbres pour illustrer ce que la Cour faisait auparavant, comme les propos du président Boni Yayi en 2012 qui avaient été censurés : « Un président ne doit pas parler comme ça... Le président de la République est le garant de l'unité nationale ». Désormais, face à de tels dérapages, les juges resteront muets. C'est le Sénat qui montera au créneau pour « veiller à ce que les acteurs politiques n'aient pas des attitudes et ne tiennent pas des propos qui menacent l'unité nationale, l'intégrité du territoire, la paix ou la sécurité ».
Le Sénat n'est pas seulement là pour donner des conseils de sagesse. Il dispose de moyens de pression que la Cour n'utilisait pas de la même manière. « Au niveau du Sénat, aujourd'hui, le Sénat a la possibilité de faire appliquer des sanctions de nature politique ». Et la sanction peut être lourde. Selon le professeur Gilles Badé, le Sénat peut aller jusqu'à « retirer la capacité d'être élu au nom des populations parce que vous n'avez pas été digne ».
Pour l'expert constitutionnaliste, le Sénat est un véritable tribunal des mœurs républicaines. L'idée derrière cette réforme est que seuls des « anciens », ayant eux-mêmes exercé le pouvoir, possèdent la légitimité pour juger si un comportement est digne ou non de la République.
Fin du contrôle judiciaire de la Cour : Le Sénat à la manœuvre
La Cour constitutionnelle perd également le droit de regarder ce qui se passe dans les décisions de justice ordinaires, un autre point de tension historique. « Aujourd'hui, on dit : écoutez, la Cour constitutionnelle ne se mêle plus des décisions de justice », a souligné le professeur Gilles Badé.
En confiant la gestion de la "trêve politique" et des "mœurs" au Sénat, le législateur béninois fait le pari d'une régulation par l'expérience plutôt que par la sanction judiciaire immédiate. C'est ce que Gilles Badé appelle le passage à un « regard supposé de sagesse, de maturité politique et d'expérience », afin d'éviter que « le pays n'aille dans le décor ».
Marc MENSAH
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