A szappanopera jelentése: kitalált történet, melyet a szereplők kapcsolatai, vitái és mindennapos élete visz előre. Általában évekig is eltart, kisebb megszakításokkal. Célja, hogy a nézőt mindennap a tévé elé rögzítse, így igyekszik növelni a nézettséget és a bevételt.
Külföldi legnézettebb szappanoperák ( korábban és jelenleg ) , valamint főszereplőik
Magyar legnézettebb szappanoperák/sorozatok
Természetesen a nézettségi szintek az aktuális adás lejátszásának évére értendőek.
Általános cselekmény : adott egy család, akiknek a mindennapos problémái viszik előre a sorozatot. Fontos megjegyezni, hogy a bűnügyi és drámaszériás sorozatok nem tartoznak ide. Mint például nem minősül szappanoperának a Doktor House, a Családi Titkok, a Veled is megtörténhet! és társai. Ezeket a média napi sorozatnak hívja.
Ebben a hűvös, hideg évszakban meglehetősen jót tesz, ha az ember ki tud kapcsolódni és nem a saját problémáin rágódik, hanem egy másik család életébe lát bele.
Október 28-án kényszerleszállást hajtott végre a cseh légierő egyik L-159 ALCA repülőgépe, miután egy nagytestű madárral ütközött. Az eset, amely Spanyolországban történt, a nagyszabású Trident Juncture 2015 gyakorlat egyik helyszínén, szerencsés kimenetelűnek mondható, hiszen egy madárral történt ütközés már számos gépet leparancsolt az égről.
A csehek szinte minden jelentősebb gyakorlaton ott vannak, így a Trident Juncture 2015-ön is. A Cáslavból áttelepült L-159-esek bázisa Zaragozában van.
Az ALCA a szárnyvéggel kapta el a madarat. Rosszabbul is végződhetett volna a dolog, ha például a kabintetővel ütközik a madár vagy a szívócsatornába jut.
A helyszín, amely felett az ütközés történt. A lőtéren harckocsik és F-4 Phantomok szolgálnak célpontként.
A sérült ALCA közúton jut vissza Csehországba, a szállításra történő előkészítést már meg is kezdték a cáslavi műszakiak.
A cseh fegyveresek gépágyús lövészetre készítik elő az egyik L-159-est és folytatják feladataikat a Trident Juncture 2015-ön.
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Forrás: army.cz
A quelques semaines de la COP21, Contargo réaffirme son engagement pour un transport et des opérations de manutention plus respectueuses de l'environnement.
Une politique de développement durable clairement affirmée
Au cours de la dernière décennie plus de 700 journalistes ont été assassinés ? La FIJ demande donc une coopération parmi les membres des Nations Unies et des mesures économiques ciblées pour mettre fin à l’impunité pour les violences contre les journalistes. Que les Etats membres des Nations Unies de s’engagent à rechercher et à étendre la coopération judiciaire dans les investigations et les poursuites des assassins de journalistes.
La FIJ, qui vient de lancer sa campagne annuelle contre l’impunité des crimes commis contre les journalistes, demande également aux institutions financières et aux bailleurs de fonds d’adopter parmi leurs critères d’aide au développement des pays ayant le plus haut niveau de violence envers le journalisme, le respect de la liberté de la presse et la protection des médias. La demande de la FIJ intervient à l’occasion du deuxième anniversaire de la Journée des Nations Unies de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes. La FIJ a organisé notamment un événement le lundi 2 novembre pour les médias au Résidence Palace à Bruxelles. De nombreuses autres activités sont prévues dans le monde par la FIJ et ses affiliés dans le cadre de sa campagne annuelle qui se déroulera du 2 au 23 novembre.
“Il est important pour les membres des Nations Unies de donner une réelle signification à la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes », a indiqué le président de la FIJ, Jim Boumelha. « Nous leur demandons instamment de coopérer à travers le partage d’expertise techniques et de savoir-faire, de formation ainsi que de bonnes pratiques pour enquêter sur les assassinats de journalistes, et de faire ainsi la différence dans une situation de crise de sécurité pour les médias. Ce type d’assistance exposerait davantage les régimes répressifs qui continuent de mettre le journalisme à l’épreuve et contribuerait à mettre davantage de pression pour qu’ils remplissent leurs obligations internationales ».
La FIJ enregistre le nombre de journalistes et de professionnels des médias tués depuis 25 ans, et dénombre au moins 85 morts depuis début 2015. La fédération indique que peu d’utilisation est faite de la capacité, de l’expérience et des compétences que beaucoup de membres des Nations Unies pourraient partager afin de résoudre les meurtres des journalistes.
La fédération propose une stratégie intégrée dans le Cadre du plan d’action des Nations Unies sur la question de l’impunité et de la sécurité des journalistes. Elle propose notamment de promouvoir une collaboration étroite entre les entités gouvernementales en charge de la mise en œuvre des lois et les institutions internationales spécialisées telles que l’Office des Nations Unies sur la drogue et le crime, afin d’enquêter sur les violences contre les journalistes.
Tout en accueillant la décision de la directrice de l’UNESCO de demander aux gouvernements des informations sur les actions entreprises pour répondre aux assassinats de journalistes, la FIJ note que le système volontaire sur lequel il repose et le fait que l’agence des Nations Unies n’a pas de mandat pour défier les gouvernements affaiblissent l’initiative. Dans de nombreux cas, la réponse des gouvernements indique un manque de preuve pour identifier et punir les auteurs d’attaques envers les journalistes, ou fournit des informations dont l’intérêt est faible.
La FIJ travaille depuis longtemps à l’établissement de liens entre développement et aide économique et un engagement véritable envers le respect des droits des journalistes. La fédération figurait parmi les organisations de défense de la liberté de la presse qui ont fait le succès de telles mesures au niveau de l’Union européenne, aboutissant à la suspension du partenariat économique avec le Sri Lanka en 2009. La FIJ est donc convaincue que les sanctions financières ciblées peuvent contribuer à lutter contre l’impunité des assassins de journalistes.
» En plus de la nécessaire coopération judiciaire entre les gouvernements du monde, la FIJ exige aujourd’hui que les textes internationaux soient appliqués et demande que les Nations Unies mettent tout en œuvre pour les imposer aux gouvernements récalcitrants et aux pouvoirs corrompus » a indiqué Anthony Bellanger, Secrétaire général de la FIJ.
« L’assassinat est un délit et chacun doit savoir que tout délit ne doit pas rester impuni. La FIJ demande donc à l’ONU, ses agences et les autres institutions internationales telles que la Banque Mondiale et le FMI de prendre toutes les mesures restrictives, y compris financières, pour que cessent définitivement les meurtres en toute impunité des journalistes qui ne font que remplir leur mission d’intérêt public. L’impunité fait disparaître la liberté d’expression et par conséquent, la perte, à terme, des droits fondamentaux pour tous les citoyens du monde. Il est temps maintenant que chacun prenne ses responsabilités et les assume. »
La Journée internationale sur la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes a été adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 18 décembre 2013. La Journée des Nations Unies tombe le jour où deux reporters de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, ont été assassinés à Kidal, au Mali, en 2013. En mai dernier le Conseil de sécurité des Nations Unies adoptait la Résolution 2222 sur la protection des journalistes, la deuxième résolution sur la sécurité des médias suite à sa résolution de 1738 adoptée en 2006 pour la protection des journalistes dans les zones de conflits.
A cette occasion le Secrétaire général des Nations Unies à lancé également son appel « Beaucoup périssent accidentellement dans les conflits dont ils assurent si courageusement la couverture. Mais ils sont trop nombreux à avoir été assassinés pour la seule raison qu’ils voulaient faire connaître la vérité et qu’on les a réduits au silence. Seulement 7% de ces cas sont élucidés, et moins d’un sur 10 de ces crimes fait l’objet d’une enquête en bonne et due forme », a noté M. Ban dans un message pour cette journée. « Dans un tel climat d’impunité, les journalistes ont de plus en plus peur et certains gouvernements n’ont aucun mal à exercer leur censure ».
Selon le Secrétaire général de l’ONU, il faut redoubler d’efforts pour inverser cette tendance et faire en sorte que les journalistes puissent faire leur métier en toute liberté. « Les journalistes ne devraient pas avoir à s’autocensurer parce qu’ils craignent pour leur vie », a-t-il dit.
Le chef de l’ONU a félicité l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) d’avoir lancé le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité.
La Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova, qui a pour mandat de promouvoir la liberté d’expression et la liberté de la presse, a rappelé lundi que ces six dernières années elle a condamné publiquement et sans ambiguïté plus de 540 cas d’assassinats de journalistes, professionnels des médias et producteurs de médias sociaux. Le jour même (lundi 2 novembre) elle a condamné le meurtre d’un journaliste de télévision iraquien, Yahya al-Khatib, qui a été tué par des extrémistes le 16 août à Mossoul où il travaillait pour deux chaînes de télévision par satellite, Al-Mosuliyah et Nineveh Al-Ghad.
Selon Mme Bokova, les efforts effectués dans le cadre du Plan d’action des Nations Unies portent aujourd’hui leurs fruits. « La communauté internationale reconnaît de plus en plus combien il est important d’améliorer la sécurité des journalistes et de mettre un terme à l’impunité », a-t-elle souligné. « De plus en plus d’États mettent en place de nouvelles lois et de nouveaux mécanismes pour s’attaquer à l’impunité et améliorer la sécurité des journalistes. Les systèmes judiciaires et les forces de sécurité ont renforcé leur engagement à cet égard ».
Pour en savoir plus
Texte de la Résolution 2222 du Conseil de sécurité des Nations Unies http://www.un.org/press/fr/2015/cs11908.doc.htm
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Transnational organized crime (TOC) has developed into a powerful force impacting lives both locally and globally, having benefitted from the increasing integration of the global economy and regional proliferation of state fragility. Particularly in the post-conflict context where multilateral organizations are mandated to support the government in re-building state capacities, there is a lack of understanding how to tackle organized criminal networks–“the elephant in the room”–often deeply entangled with government institutions. While UN peace operations have become increasingly complex since their origins as traditional peacekeeping deployments in a post-World War environment, their capacities remain very limited in properly assessing and responding to threats posed by TOC.
On November 2-6, the International Peace Institute conducted its second training course on addressing and analyzing organized crime in fragile states. The specialization course, held at the Peace Castle in Stadtschlaining, was organized in co-operation with the Austrian Study Centre for Peace and Conflict Resolution (ASPR) within the framework of Europe’s New Training Initiative for Civilian Crisis Management (ENTRi). Based on the pilot course conducted by IPI in 2013, the training served as the basis for an EU-certified curriculum that is targeted at staff of multilateral organizations deployed in fragile states where organized crime poses a serious threat to peace and stability.
Conceptually, the training program aimed at providing a holistic perspective to the problem at hand – combining a variety of approaches ranging from law-enforcement to development, which the participants could subsequently apply in a realistic simulation exercise. Equipped with background information about the case study and the opportunity to carry out investigative interviews (with counterparts in the roles of the UNDP resident representative, a local customs official, a rebel leader, a traditional elder and a fisherman), participants were tasked to develop an Organized Crime Threat Assessment (OCTA) and provide recommendations for the required capabilities of a planned UN peace operation.
IPI’s extensive research on the issue was used as a basis for this training course, including From the Margins to the Mainstream: Toward an Integrated Multilateral Response to Organized Crime as part of its Peace without Crime project and developed a methodological guidebook on “Spotting the Spoilers: A Guide to Analyzing Organized Crime. The course attracted twenty participants from twelve different countries, including law enforcement and criminal intelligence specialists, as well as TOC and operations planning experts. Course participants had a chance to interact with IPI staff and international crime-fighting experts, learn about the nature, threat and impact of TOC from practitioners and their experiences in the field (such as the case of Mali) and assess existing and potential operational responses and practical tools to address organized crime.
The course also highlighted practical and political dilemmas faced by practitioners dealing with this challenge in the field. For example, when and how should one tackle the problem? Should one mediate with spoilers involved in illicit activities? And what approaches can be taken when threat assessments reveal that senior officials are complicit in criminal activities?
“Since organized crime is a threat in almost every theater where there are peace operations, we hope that this course will inspire national peace training centers as well as regional and international organizations to factor organized crime into their training programs,” said Walter Kemp, IPI’S Vice President.
Returning to the leadership theme, this week’s CCLKOW blog piece reorients the perspective. Rather the usual, in this piece the reader is urged to consider those who lead him or her. Inspired by a piece of writing outside the military community, the humanity, frailty, and vulnerabilities of one’s leaders are highlighted to ask a critical question: what do we owe them? Beyond the realms of basic human kindness, the ramifications of properly tending one’s leaders has substantive importance. Read the piece, ponder the questions, and join the discussion on Twitter at the hashtag.
Overwhelmingly, the majority of words spilled on the subject of leadership focus on the individual’s own, tending to look down the chain of command to examine how it does or should act. To the extent that people contemplate their own leaders, it is often in approval or critique, with the occasional nod to followership and the duties of the led to the person in charge. Moving beyond these well-charted waters, this blog desires to reorient the perspective to consider the subject of how leaders and bosses are treated.
The inspiration for this discussion is from a police blog. In it the author uses her own struggles and perspectives to reflect upon the difficulties of command responsibility. This passage sums the point which influenced my thinking:
I was chatting to [a Chief Constable] several months ago at a mental health event. I had already told him my jokes, I had showed him my double-jointed left elbow and I was getting to the stage where I was wondering what we could now talk about.
So we started talking about his interactions with staff.
He told me he often went to the canteen at lunchtime and would like nothing more than to sit down and join a table of fellow police officers and join in with their banter and chat. He missed being able to do that. He couldn’t do it as he was painfully aware when he entered the canteen, all eyes would be on him. He did not want to make anyone feel uncomfortable or awkward by sitting and talking to them. So instead he would just grab a sandwich and quickly exit out of there and go back to his office and eat alone.
I thought that was sad and how lonely he must sometimes feel.
(from “I am a boss in the emergency services, I feel alone and I need help!” 30 October 2015)
I was struck by the humanity of the post, of its self-reflection and the realisation it inspired. Truism though it may be, how often do we contemplate seriously the loneliness at the top? When its condition can be written in such quotidian and heartfelt terms as with whom one can share a quick lunch, how much worse is it in dealing with the hard choices of military command? And struggle in solitude many leaders must given the complexity of conflict in a time of little black and white and much grey. [1]
Of course, one must tend to leaders not merely because it is humane. Rather, it must be taken up as a critical task to minimize the influence of the sycophants and the strivers. If the bulk of the led shy away from the boss, the vacuum is filled by the sorts of people who are the most dangerous, ‘yes men’ who will provide nothing better than an echo-chamber of the leader’s own opinions. Isolated by the structure, this coterie of sycophants serve only to deepen that effect.
And so, although military careers may be highlighted by the points of command, the bulk of the time is spent within the mass of the led. Thus, while it is important to hone one’s thinking and practice for those times when the reins of leadership authority are taken, the practice of service to the leader should equally concern the military officer. Given this, my questions for discussion are:
How do you tend your leaders? How would you rate your performance in that task?
What have you been taught formally about this, if anything? Informally?
Contemplate the questions and join the discussion on Twitter at #CCLKOW.
Notes:
1 The recently retired Chief Constable of Greater Manchester Police made the near startling announcement that at times he sought counselling to cope with the demands of the position. Has a significant commander within the armed forces of either the US or UK ever admitted anything similar? Certainly the struggles of military leadership are as challenging as those in policing, and it is likely that such assistance could be valuable, but the recourse to psychological help remains a taboo in the armed forces.
Réservez votre soirée du 21 novembre à 20h30 dès maintenant pour le Concert qui sera donné par la musique des équipages de la flotte de Toulon au Gymnase d'Ollioules au profit de l'UNICEF. Réservation au 04 94 30 41 20
Ce sont des monstres sacrés de l’underground français qui seront en concert à la péniche A38 de Budapest ce jeudi 5 novembre.
Amateurs de dubstep, de hip hop, de drum&bass, direction l’A38 pour voir en live High Tone, un groupe précurseur de la scène dub française et même européenne. Il faut remonter à la seconde moitié des années 90 pour écouter leurs premiers albums et voir leurs premiers concerts. Depuis, leur réputation est internationale et leur style s’est étoffé. Jeudi, ils joueront une palette qui va du hip hop à la Bass Music et qui porte toute une scène française qui va de Ez3kiel à Meï Teï Shô en passant par Zenzile.
High Tone sera accompagné par le groupe slovène Dubzilla, qui pratique une fusion de dubstep, de rock psyché et d’electro.
En clair, ce sera une grosse soirée pour se remuer sur le Danube.
Le prix : 2000 HUF en prévente, 2500 sur place.
La page internet de l’A38
Photo de Olivier Hoffschir
Cette recension d’ouvrages est issue de Politique étrangère (3/2015). Julien Brault propose une analyse de l’ouvrage de Matthieu Auzanneau, Or noir. La grande histoire du pétrole (Paris, La Découverte, 2015, 718 pages).
L’auteur analyse l’histoire du XXe siècle à travers celle du pétrole. Celui-ci est d’abord le produit de sociétés militarisées fondées sur la guerre mécanisée – la guerre de Sécession, la Première Guerre mondiale, le Blitzkrieg vu comme une gestion optimisée de l’énergie, jusqu’à l’usage du napalm au Vietnam. L’industrie pétrolière apparaît ainsi dans cet ouvrage comme un système monopolistique, coercitif et corrompu créé par les Rockfeller. Sauveurs du système financier américain à la fin du XIXe siècle, artisans de la création de la Fed, se présentant comme les grands défenseurs d’un système néolibéral dont ils seraient la banque, ceux-ci auraient orchestré une transformation du capitalisme en corporatisme. S’alliant successivement avec le charbon, le chemin de fer, l’automobile, l’agriculture, l’ingénierie, la banque, le fisc, la science et notamment la science économique, ce cartel international aux multiples ramifications connaîtrait depuis 1989 un renouveau, incarné notamment par JPMorgan et Citigroup. L’auteur souligne, à l’inverse, le rôle des figures qui combatirent Big Oil, de l’essor du Staline de la Bakou pétrolière aux luttes de Kennedy contre les majors.
C’est l’ensemble de l’histoire récente des relations internationales que l’auteur présente comme inféodé à l’or noir, en s’attachant au récit de ses événements marquants : percement du canal de Suez, accords Sykes-Picot, invasion de l’Éthiopie, création des organisations internationales après 1945, renversement de Mossadegh, mort de Mattei ou guerre du Biafra. Au centre du jeu : une alliance américano-saoudienne fondée sur les astuces fiscales des majors, le refus de la démocratie et le réinvestissement des pétrodollars. À ce titre, la crise pétrolière et ses conséquences – chômage, dette et restructurations néolibérales – sont interprétées comme profitant avant tout aux majors américaines. La révolution iranienne et la première guerre d’Afghanistan conduisent d’ailleurs à un renouveau rapide de la puissance américaine au Moyen-Orient, la CIA jouant les uns contre les autres, notamment pendant la guerre Iran-Irak. Le contre-choc pétrolier apparaît quant à lui comme un tribut payé par les Saoud à Washington pour accélérer la chute de l’empire soviétique. Georges W. Bush se garde d’ailleurs bien d’inquiéter les Saoudiens après le 11 Septembre, qui l’en remercieront en favorisant sa réélection. Au regard du chaos irako-syrien actuel, ce renouveau américain au Moyen-Orient apparaît aujourd’hui comme un échec, qui profite paradoxalement aux compagnies chinoises. La dernière facette de la question pétrolière est enfin écologique, et renvoie à un déclin, qui détermine aujourd’hui l’évolution d’une partie du système international.
Le livre pâtit d’un certain nombre de longueurs, de considérations philosophiques approximatives sur la nature du progrès, et d’un défaut d’analyse économique. L’auteur n’hésite ainsi pas à lier étroitement le pétrole à l’essor du fascisme, mais aussi à une libération des potentialités humaines… D’un indéniable talent littéraire, rempli de détails fouillés et de brillants passages, il comble néanmoins utilement un vide dans un champ traditionnellement dominé par l’historiographie anglo-saxonne.
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Épül az M11, vagyis a Moszkvát Szentpétervárral összekötő fizetős autópálya. A 2018-as foci vb-re kéne elkészülni, amitől még igen messze állnak. A közel 700 kilométeres távból ugyanis eddig kb. száz kilométer készült el. Ennél is jobban érdekli azonban az autósokat, hogy mennyibe fog kerülni az utazás. A most átadott 36 kilométeres szakaszon hétköznap csúcsidőben akár 1800 forint is lehet egyetlen út.
“My greatest strength as a consultant is to be ignorant and ask a few questions,” said Peter Drucker, the father of management consulting. Had we met Mr Drucker we’d probably have asked him “what are the right questions to ask in order to become a good consultant to our clients?” Unfortunately for us, Peter Drucker passed away 10 years ago – fortunately, FleishmanHillard organises the “FH Fundamentals” training every six months for young consultants from all over the EMEA region to get to know each other and further familiarise themselves with the values that make FH the best communications agency in the world.
The latest generation of “FH Fundamentalists” from Brussels, London, Paris, & Milan
But let’s cut to the chase – what are the five questions a communications and public affairs consultant should ask himself or herself in order to provide its clients with the best services?
In the FH pyramid of training FH Fundamentals is the basis – as we know the basis is the most important part; it ensures stability. And for communications consultants having good bases is key to understanding our clients’ needs. We may have not drunk from the Holy Grail however we did ask ourselves some questions about our current accounts – now it’s up our managers to embrace our improved selves!
Immavera & Adrien working on their mock pitch with colleagues from London and Munich
Building on Peter Drucker’s inspiring quotes, we too would like to contribute to the Consultant Hall of famous quotes, with a somewhat more impertinent twist to it.
For instance, young FH consultants like to say: “My colleagues are my best friends and my family at the same time.” What we mean: “I spend more time with my colleagues than with my friends and family combined.” Also heard: “I feel privileged to be exposed to such a high degree of expertise on a daily basis.” What that young and dynamic FH consultant actually means: “I can speak in acronyms for hours on end without ever feeling the need to rely on actual words.”
The latest “FH Fundamentalists”, Immavera Sardone, Ilektra Tsakalidou, and Adrien Rorive