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MyFerryLink: le ministre suit le dossier Nord-Pas-de-Calais

MeretMarine.com - Fri, 18/12/2015 - 11:06

Alain Vidalies, Secrétaire d’Etat chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche, a pris connaissance de la décision de la Cour Suprême britannique remettant en cause l’arrêt de la cour d’appel concernant les opérations de MyFerryLink entre Calais et Douvres.

L’examen de cette décision révèle que la Cour Suprême demande à la CMA de réexaminer la situation à la lumière des évolutions depuis sa précédente décision.

Categories: Défense

Un aviateur thésard en histoire militaire et études de défense

Le 1er décembre 2015, le capitaine Aurélien, chargé de mission histoire au centre d’études stratégiques aérospatiales, a soutenu sa thèse en histoire militaire et études de défense à l’université Paul-Valéry Montpellier III.
Categories: Défense

L’Union africaine a voté le principe d’un envoi de troupes au Burundi

LeMonde / Afrique - Fri, 18/12/2015 - 10:55
Les affrontements de décembre à Bujumbura et en province ont fait au moins 87 morts. Le pays s’enfonce dans la crise après la réélection contestée du président Nkurunziza en juillet.
Categories: Afrique

Jézusként fogadták a lengyel elnököt

Lengyelnet - Fri, 18/12/2015 - 10:55
Jézust köszöntő szavakkal fogadta a város az új lengyel elnököt
Categories: Kelet-Közép-Európa

Les incroyables confessions de Lamine Diack, ex-président de la Fédération internationale d’athlétisme

LeMonde / Afrique - Fri, 18/12/2015 - 10:44
Dans le dossier d’instruction que « Le Monde » s’est procuré, Lamine Diack, le président de l’IAAF, avoue, lui, avoir fermé les yeux sur le dopage des athlètes russes.
Categories: Afrique

Megjelentek a területfejlesztési uniós program első felhívásai

Pályázati Hírek - Fri, 18/12/2015 - 10:40

Négy felhívás jelent meg a Terület- és Településfejlesztési Operatív Program (TOP) keretében, együttesen csaknem 35 milliárd forintos keretösszeggel. A 2014-2020-as európai uniós fejlesztési időszak programjai közé tartozó TOP a helyi közvetlen gazdaságfejlesztést támogatja, forrásokat biztosít a települési önkormányzatok és a megyék fejlesztéseihez.

Categories: Pályázatok

Magyarkanizsa: Segítségnyújtás a gazdáknak a migránsok okozta károk enyhítésére

VajdaságMA (Szerbia/Vajdaság) - Fri, 18/12/2015 - 10:37
A nyári hónapokban a magyarkanizsai községen átvonuló hatalmas migránsáradat nem múlhatott el nyomok nélkül.

Les avocats des 17 pays de l'Ohada se rapprochent

Jeune Afrique / Economie - Fri, 18/12/2015 - 10:36

Les ordres professionnels des pays membres de l'Organisation pour l'harmonisation en Afrique du droit des affaires ont créé début décembre la Conférence des barreaux Ohada. 40 000 avocats seraient concernés.

Cet article Les avocats des 17 pays de l’Ohada se rapprochent est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.

Categories: Afrique

EUTalk avec Jean-Marc Nollet - la COP21... et après ?

Toute l'Europe - Fri, 18/12/2015 - 10:36
Une semaine après l'accord de Paris destiné limiter le réchauffement climatique à 2°C, Jean-Marc Nollet, observateur officiel de la COP21 et député ECOLO/Groen belge, revient sur cet accord historique pour les internautes de Toute l’Europe.
Categories: Union européenne

Publications - AFET/DROI Reports : Annual report on human rights and democracy in the world 2014 - Subcommittee on Human Rights

EU should enforce human rights clauses in cases of gross breaches

The inclusion of human rights clauses in all EU international agreements and their enforcement in cases of gross breaches of human rights were strongly defended by MEPs in a resolution on the annual report on human rights and democracy in 2014, adopted on Thursday. MEPs also called for a stronger dialogue with third countries and finding sustainable solutions to tackle the root causes of migration.
Annual report on human rights and democracy in the world 2014
Press release
Source : © European Union, 2015 - EP
Categories: Union européenne

Brexit: "nuts"

Coulisses de Bruxelles - Fri, 18/12/2015 - 10:24

J’ai publié aujourd’hui un éditorial sur David Cameron, le premier ministre britannique, qui menace d’appeler à voter «non» au référendum sur l’appartenance de son pays à l’Union européenne si ses partenaires n’acceptent pas ses revendications. En un mot, je suggère qu’on lui réponde «nuts» comme l’a fait le commandant américain de la place de Bastogne, le général de la 101e division aéroportée Anthony McAuliffe, en décembre 1944. Bonne lecture!

Categories: Union européenne

Cameron et l'UE s'accordent pour régler leurs désaccords en février

Euractiv.fr - Fri, 18/12/2015 - 10:23

David Cameron a tenu un discours d’une quarantaine de minutes sur la renégociation des conditions d’adhésion du Royaume-Uni. Si les désaccords persistent avec l'UE, la volonté politique de trouver un accord permettant d'éviter le Brexit est manifeste. 

Categories: Union européenne

Publications - Urgency Resolutions : DECEMBER 2015 Strasbourg - Subcommittee on Human Rights

Maldives; Malaysia;the case of Ibrahim Halawa in Egypt

Parliament calls for the immediate release of an Irish citizen,Ibrahim Halawa, detained in Egypt, the release of all political prisoners inMaldives, and the withdrawal of the anti-sodomy law in Malaysia, in threeresolutions passed on Thursday.


Press release
Ibrahim Halawa potentially facing the death penalty
Situation in the Maldives
Malaysia
Source : © European Union, 2015 - EP
Categories: Union européenne

La Grande-Bretagne, une île ancrée à un continent dont elle se défie

Coulisses de Bruxelles - Fri, 18/12/2015 - 10:18

La Grande-Bretagne sera-t-elle encore dans l’Union en 2018 ? Rien n’est moins sûr, le Premier ministre conservateur, David Cameron, ayant promis d’organiser un référendum sur l’appartenance de son pays à l’UE avant fin 2017. Une première ? Nullement : c’est la seconde fois que le Royaume-Uni organise une telle consultation, la première ayant eu lieu en 1975, seulement deux ans après son adhésion à la CEE de l’époque. Mais ce référendum vieux de quarante ans n’a absolument pas réglé le malaise britannique et on peut parier qu’un nouveau « oui » n’aura guère plus d’effets, la réticence de Londres à l’égard de la construction européenne plongeant ses racines dans le temps long.

Une diplomatie schizophrène

Pour le comprendre, il faut se rappeler que la Grande-Bretagne a toujours veillé à ce qu’aucune puissance continentale n’émerge en dehors d’elle par crainte que cela ne nuise à ses intérêts commerciaux. C’est cela qui explique, par exemple, son combat déterminé et victorieux, contre l’Empire napoléonien ou encore la création de la Belgique en 1830 destinée à empêcher que la France se retrouve à portée de canon du port d’Anvers, ce « pistolet sur la tempe britannique ». Cependant, après les deux guerres mondiales dont elle est à nouveau victorieuse, mais exsangue, elle a fait évoluer sa diplomatie européenne, soucieuse d’éviter que les capricieux États continentaux ne l’entraînent dans une nouvelle guerre. C’est pour cela que Winston Churchill s’est fait l’avocat déterminé, lors du congrès de La Haye en 1948, d’une intégration européenne que son pays avait pourtant toujours combattu. Mais cette Europe dont rêvait le Premier ministre victorieux des nazis, pas question d’y participer : Londres se pensait toujours comme une puissance mondiale qui ne saurait tolérer une limitation de sa souveraineté. Dis brutalement, l’idée européenne, c’est quelque chose qui est uniquement réservé aux tribus sauvages du Vieux Continent, la place de la Grande-Bretagne étant celle d’une puissance tutélaire et bienveillante. Le problème est qu’il est difficile d’être à la fois dehors et dedans, surtout quand on n’est plus en réalité qu’une puissance moyenne étroitement dépendante des États-Unis… Toute sa politique européenne, faite de pas de deux, ne peut se comprendre qu’au prisme de cette contradiction ontologique.

Ainsi, après avoir participé à la création de l’OTAN, de l’OCDE/Conseil de l’Europe et des orga?nismes intergouvernementaux, le Royaume-Uni est resté à l’écart de tout ce qui impliquait un partage de souveraineté : traité de 1951 créant la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA), traité de 1952 créant la Communauté européenne de défense (CED), qui échouera devant le Parlement français en 1954, et, enfin, traité de Rome de 1957 donnant naissance à la CEE. Invité à assister à la conférence préparatoire de ce qui allait devenir le traité de Rome, à Messine, en 1955, le représentant britannique quitta la table en des termes restés célèbres : « Le futur traité dont vous êtes en train de discuter n’a aucune chance d’être accepté ; s’il était accepté, il n’aurait aucune chance d’être ratifié ; s’il était ratifié, il n’aurait aucune chance d’être appliqué ; et s’il était appliqué, il serait totalement inacceptable pour la Grande-Bretagne […]. Monsieur le Président, Messieurs, au revoir et bonne chance »

Suez, 1956, le tournant

En réalité, la réticence de Londres à l’égard du projet européen était, au départ, à peine plus forte que celle de Paris. Le traité CECA, extrêmement fédéraliste, fut la résultante d’un véritable coup de force politique de quelques hommes, dont Robert Schuman et Jean Monnet, encouragé par les Américains. Mais très rapidement, les souverainistes et les anti-Américains français ont repris le dessus, comme en témoigne le rejet de la CED par une coalition allant des gaullistes aux communistes. Le traité de Rome aurait sans doute connu le même sort, sans l’échec de l’expédition franco-britannique de Suez en 1956 : obligées de se retirer piteusement d’Égypte sous la pression de Moscou et de Washington, les deux rives de la Manche ont tiré des conclusions exactement inverses de cette aventure néocoloniale : la Grande-Bretagne est quasiment devenue le 51e État des États-Unis d’Amérique, la fameuse « relation spéciale », pendant que la France a vu dans l’Europe un moyen de retrouver un peu de sa puissance perdue, une sorte de France en plus grande si l’on veut.

Cependant, Londres, devant le succès inattendu de la CEE, a rapidement appliqué sa devise : « If you don’t beat them, join them » [Si tu ne peux pas les battre, rejoins-les]. Car, comment accepter que se forme un bloc continental impossible à contrôler et à influencer de l’extérieur ? Sans compter que l’alliance avec les États-Unis avait ses limites, notamment économiques… Dès 1960, et très pragmatiquement, le Royaume-Uni demande à adhérer à la CEE. Mais le général de Gaulle pose son veto en 1963, ce qu’il fait à nouveau en 1967 pour bloquer la seconde candidature britannique, en des termes qui apparaissent aujourd’hui comme prémonitoires : « Faire entrer l’Angleterre […], ce serait pour les Six donner d’avance leur consentement à tous les artifices, délais et faux-semblants qui tendraient à dissimuler la destruction d’un édifice qui a été bâti au prix de tant de peine et au milieu de tant d’espoirs ».

Londres s’y reprend à trois fois

La troisième tentative de Londres est la bonne, à la fois parce que Georges Pompidou, qui a succédé à De Gaulle en 1969, est à la recherche d’un succès de politique européenne, mais aussi à cause de la pression de plus en plus forte des partenaires de la France qui veulent avoir la Grande-Bretagne à bord. Mais cette adhésion ne lève nullement les ambiguïtés britanniques à l’égard de l’Europe, comme l’avait prévu De Gaulle. Devenue membre le 1er janvier 1973, en compagnie du Danemark et de l’Irlande, elle a immédiatement entamé les hostilités. Les travaillistes, revenus au pouvoir entre-temps, obtiennent de renégocier les conditions d’adhésion (notamment sur le plan budgétaire), avant d’organiser un référendum : si le « oui » l’emporte par plus de 67 % des voix, les travaillistes et les conservateurs affirment que l’Union européenne ne peut pas être plus qu’un vaste arrangement commercial et réaffirment la primauté des rapports avec le Commonwealth et les États-Unis.

Depuis, la politique européenne de Londres oscille entre les tentatives d’obtenir un statut particulier qui lui permette de bloquer ce qui va trop loin et la tentation de quitter l’Union ou, pour reprendre le nom d’un mouvement favorable au « non » lors du référendum de 1975, « Keep Britain out ». Ainsi, à partir de 1979, le Premier ministre conservateur, Margaret Thatcher (pourtant militante du « oui » en 1975), marquera l’histoire européenne avec son fameux : « I want my money back » qui se termina, en 1984, par un rabais important de la contribution britannique au budget communautaire. Puis, ses successeurs ont obtenu toute une série d’« opt out » [dérogations] : le Royaume-Uni n’est pas membre de la monnaie unique et de l’espace de libre circulation Schengen, il a le droit de choisir ce qui l’intéresse en matière d’immigration, d’asile et de sécurité, il dispose d’un droit de blocage (avec les autres pays non-membres de la zone euro) en matière de réglementation bancaire afin de sauvegarder les intérêts de la City, etc.

Un statut particulier qui la marginalise

Si le Royaume-Uni a, à peu près, toujours obtenu ce qu’il voulait pour lui-même, il n’a pas réussi à empêcher ses partenaires de poursuivre leur intégration. Ses divers « opt out » l’ont petit à petit placé en périphérie du projet européen et non plus au centre. De puissance qui compte, il n’est plus qu’un partenaire extérieur, certes important à cause de la City, mais extérieur quand même. Londres est en réalité victime du succès de sa stratégie : elle souffre désormais d’avoir obtenu le statut particulier dont elle rêvait, statut qui la marginalise. C’est comme cela qu’il faut comprendre le référendum convoqué par David Cameron : il s’agit d’une ultime tentative de freiner ses partenaires. Comme un enfant capricieux, il menace de militer pour la sortie de l’Union s’il n’obtient pas une modification des traités dont le but n’est autre que de les affaiblir. En particulier, il veut supprimer la phrase fondatrice du préambule des traités sur le but de la construction communautaire qui est de « créer une union sans cesse plus étroite entre les peuples de l’Europe », limiter la libre circulation des citoyens européens, l’un des piliers de l’Union, ou encore donner un droit de regard aux pays hors zone euro sur la législation adoptée au sein de la zone euro…

Les Européens céderont-ils à ces demandes, au risque de porter un rude coup à l’Union et de donner des idées à d’autres pays ? Surtout, cela servira-t-il à quelque chose, l’histoire ayant abondamment montré que chaque concession en a appelé d’autres ? Bref, n’est-il pas temps que les Britanniques choisissent enfin clairement entre un grand large que cette puissance moyenne intéresse peu et le continent européen auquel, bon gré mal gré, ils appartiennent?

N.B.: article paru dans l’Hémicycle de décembre

Categories: Union européenne

Highlights - AFET/DEVE/DROI meeting for the Sakharov Prize Laureate - Committee on Foreign Affairs

On 14 December, in Strasbourg, AFET/DEVE/DROI, in association with the Delegation for relations with the Arab Peninsula, held a meeting on the 2015 Laureate of Sakharov Prize for Freedom of Thought. The prize was awarded to Raif Badawi, a Saudi Arabian blogger and writer who courageously expressed his ideas and raised his doubts on the rules of his country.
Raif Badawi, still imprisoned, was represented by his wife, Ensaf Haidar. The EU Special Representative for Human Rights, Stavros Lambrinidis, also participated in the exchange of views.

The European Parliament has always been a vocal supporter of human rights, and since 1988, every year, it has been awarding the Sakharov Prize for Freedom of thought to individuals who have made an exceptional contribution to the fight for human rights across the globe, drawing attention to human rights violations as well as supporting the laureates and their cause.

By awarding the Sakharov Prize to Raif Badawi, the European Parliament asserts its support for freedom of speech as one of the fundamental human rights, a right which must be respected everywhere, with no exception.
Further information
Draft agenda
EP resolution on Raif Badawi
Source : © European Union, 2015 - EP
Categories: Europäische Union

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