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Partenariat cet été avec le Cabaret Sauvage !

Survie - Tue, 12/07/2016 - 15:09
La salle du Cabaret Sauvage (dans le parc de la Villette à Paris) accueille pour 10 dates en juillet le spectacle 'La Grande Saga de la Françafrique' de la compagnie Les Trois Points de Suspension. Les groupes locaux de Survie, un peu partout en France, ont déjà eu la chance de s'associer à certaines représentations et les retours étaient à chaque fois très enthousiastes ! A l'occasion du festival Black Summer 2016, un partenariat avec Survie nous permettra d'être présent lors de la plupart de ces (...) - Survie Paris Ile de France / ,
Categories: Afrique

L’amiral Rogel part vers d’autres horizons

Du 7 au 12 juillet 2016, l’amiral Rogel, chef d’état-major de la Marine (CEMM) s’est rendu à Paris, Brest et Toulon, à la rencontre des marins, dont il est le chef depuis 5 ans. 
Categories: Défense

EU pályázatok ellenőrzése – a lengyel eset

Nagypolitika.hu - Tue, 12/07/2016 - 15:04
Folytatjuk sorozatunkat a régiós uniós pályázatok ellenőrzéséről. A közeljövőben változás várható a magyar szabályozásban is. A magyar hatóságok feltehetően a térségi példákból állítják majd össze Bővebben ...
Categories: Biztonságpolitika

Siya Makuzeni: South Africa's trombone-playing jazz singer

BBC Africa - Tue, 12/07/2016 - 15:00
At South Africa's National arts festival, trombone-playing jazz singer Siya Makuzeni explains how she manages to perform both.
Categories: Africa

Latest news - The next SEDE meeting - Subcommittee on Security and Defence

will take place on Wednesday 13 July, 9:00-12:30 and 15:00-17:00 in room Paul-Henri Spaak 4B001 in Brussels (the last item is cancelled).


Organisations or interest groups who wish to apply for access to the European Parliament will find the relevant information below.


Further information
watch the meeting live
Access rights for interest group representatives
Source : © European Union, 2016 - EP
Categories: Europäische Union

Latest news - The next SEDE meeting - Subcommittee on Security and Defence

will take place on Wednesday 13 July, 9:00-12:30 and 15:00-17:00 in room Paul-Henri Spaak 4B001 in Brussels (the last item is cancelled).


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Source : © European Union, 2016 - EP

Accident ferroviaire meurtrier dans le sud de l’Italie

RFI (Europe) - Tue, 12/07/2016 - 14:53
Une collision ferroviaire a eu lieu ce mardi 12 juillet dans la région des Pouilles, dans le sud de l'Italie. Au moins 25 personnes ont perdu la vie. Deux trains se sont percutés frontalement. Les autorités dénombrent une cinquantaine de blessés dont plusieurs sont dans un état grave. Une commission d'enquête a été ouverte pour déterminer les causes de cet accident.  
Categories: Union européenne

Mali : deux morts lors d’une manifestation contre des « injustices » à Gao

LeMonde / Afrique - Tue, 12/07/2016 - 14:43
Selon un manifestant, des jeunes protestaient contre l’application des accords censés ramener la paix dans le pays.
Categories: Afrique

Chine et Royaume-Uni après le Brexit : un saut dans l’inconnu ?

IRIS - Tue, 12/07/2016 - 14:42

C’est l’un des nombreux effets collatéraux du référendum britannique du 23 juin sur la sortie de l’Union européenne. Le Brexit signe la fin d’une lune de miel qui avait débuté il y a moins d’un an. A la veille de la visite d’Etat du président Xi Jinping au Royaume-Uni, George Osborne, chancelier de l’Echiquier, avait alors déclaré : « Faisons corps ensemble et fabriquons une décennie en or pour nos deux pays. » De l’eau est passée sous les ponts depuis cette visite, où Xi fut reçu comme un invité d’honneur par la Reine Elizabeth II à Buckingham Palace et au parlement britannique.

Ces trois dernières années, le Premier ministre David Cameron et son ministre des Finances George Osborne – en charge de la politique chinoise du Royaume – ont décidé d’anticiper le résultat du référendum sur le Brexit. Des partenariats hors Union européenne ont été scellés avec un grand nombre de pays asiatiques – la Chine en particulier – dans le but de financer parmi les principaux projets d’infrastructures nécessaires au Royaume-Uni, dont les centrales nucléaires, les lignes à grande vitesse et les aéroports.

Maintenant qu’il a perdu le réréfendum sur l’appartenance britannique à l’UE, Cameron est sur le départ, tandis que l’avenir d’Osborne demeure incertain. Qu’adviendra-t-il des relations sino-britanniques alors qu’il est presque sûr que le Royaume-Uni va quitté L’Union européenne ? Les signaux intiaux émis par la Chine ont été pour le moins feutrés. Hua Chunying, la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a récemment confié que l’impact du Brexit se ferait sentir à tous les niveaux – et pas seulement sur les relations entre Pékin et Londres.

« La Chine soutient le processus d’intégration européenne et voudrait voir l’Europe jouer un rôle pro-actif dans les affaires du monde, a déclaré Hua Chunying. Nous sommes très confiants dans le développement futur des liens sino-européens. » On est très loin des commentaires enthousiastes des médias chinois en 2015 sur la relation entre la Chine et le Royaume-Uni, lorsque Londres décida – au grand dam de Washington, Tokyo, Berlin et Paris – d’être le premier pays occidental à rejoindre la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (BAII), et lorsque les Anglais accueillirent le président Xi, espérant attirer une mâne chinoise d’investissements directs étrangers (IDE).

« Il n’existe pas dans le monde occidental de pays plus ouvert à l’investissement chinois que la Grande-Bretagne », avait fièrement déclaré David Cameron. Son pays est aujourd’hui la première destination des IDE chinois avec un investissement cumulé de 16,6 milliards de dollars (dont 3,3 milliards pour la seule année 2015). La dernière visite de Xi en octobre a permis de signer un grand nombre de MoU (memorandum of understanding). Ces derniers seront-ils mis en oeuvre maintenant que les Britanniques ont choisi de sortir de l’UE ? Il y a quelques mois, Wang Jianlin, Pdg du Wanda Group et investisseur majeur en Europe, avait prévenu : « Si le Royaume-Uni quitte l’Union européenne, de nombreuses firmes chinoises songeront à déménager leur QG européen dans d’autres pays », ajoutant que « le Brexit ne serait pas un choix judicieux pour la Grande-Bretagne dans la mesure où il créerait davantage d’obstacles et de défis pour les investisseurs, notamment en terme de visa. »

Le Global Times, quotidien anglophone appartenant au très officiel Quotidien du Peuple, montra encore moins de sympathie à l’égard de la situation britannique. « Ce référendum sera probablement un événement marquant la direction prise par le Royaume-Uni : celle d’un petit pays avec une faible population, qui renonce à croire en lui et agit imprudemment. »

Les dirigeants de Pékin – qui, fait rarissime, sont plusieurs fois sortis du bois pour soutenir le camp du « Remain » – demeurent perplexes face au résultat du référendum. Celui-ci n’a pas seulement créé du désordre (terme insoutenable dans le langage du Parti communiste chinois), mais il a conduit également à la démission du Premier ministre britannique tout en aggravant le risque d’autres référendums autonomistes (comprendre : l’Ecosse). Aux yeux d’un PC chinois obsédé par son maintien au pouvoir, Cameron a commis une grave erreur en tant que leader d’un pays majeur.

Après tout, la Chine n’est pas armée de bonnes intentions à l’égard de la Grande-Bretagne. Les deux pays ont connu une histoire pour le moins compliquée. Le « siècle d’humiliation » est toujours l’expression employée par les Chinois pour désigner la période débutée au milieu du XIXème siècle avec les guerres de l’Opium menées par les Anglais. Par ailleurs, cela fait seulement 19 ans que Hong Kong a été rétrocédé à la Chine comme « Région administrative spéciale » (RAS). Non pas que le gouvernement Cameron ait fait grand-chose pour soutenir son ancienne colonie. Tandis que la « décennie en or » démarrait, Hong Kong s’est trouvé face aux pires difficultés en tant que RAS, avec nombre de dissidents arrêtés et plusieurs libraires disparus – dont Lee Bo, citoyen à la double nationalité hongkongaise et britannique – qui avaient publié des ouvrages controversés sur les dirigeants de Pékin.

Maintenant que les Britanniques ont voté, les risques d’une violente réaction augementent de jour en jour. Pour commencer, la Chine est encline à maintenir une implication étroite avec l’UE – à la fois son deuxième partenaire commercial après les Etats-Unis, une source de transfert de technologie et l’allié des projets de Pékin comme la « Nouvelle Route de la Soie » (One Belt One Road – OBOR) en Europe et en Asie, ou la BAII. Il y a de fortes chances que la Chine veuille poursuivre son partenariat étroit à la fois avec les institutions européennes et les Etats, en particulier en Europe centrale et orientale où le projet OBOR a été chaleureusement accueilli. Xi Jinping a récemment voyagé en Pologne et en République tchèque, deux pays à qui le président chinois a fait des promesses financières substantielles.

Bien entendu, Londres va continuer à jouer un rôle-clé comme l’une des principales places financières internationales, avec les bons du trésor chinois émis en yuans. De même, les visiteurs de Chine (dont les investisseurs immobiliers en quête de nouvelles opportunités) ne cesseront pas d’affluer dans la capitale britannique. Mais lorsqu’il s’agira de servir de pont vers l’UE, il est clair que Pékin cherchera des solutions alternatives, en particulier en Allemagne, le premier partenaire commercial de la Chine en Europe. Il y a quelques semaines, la chancelière Angela Merkel a effectué son 9ème voyage en Chine, où elle est parvenu à aborder une longue liste de questions essentielles, allant du commerce à l’investissement et à la réciprocité, en passant par les droits de l’homme, les nouvelles lois sur les ONG et les revendications en mer de Chine du Sud. Le 12 juin dernier, dans un discours impressionant aux étudiants de l’université de Nankin dans la capitale chinoise, elle a souligné que la confiance des citoyens peut seulement être aquise par l’Etat de droit, « plutôt que le gouvernement par la loi ». Cela fait de nombreuses années que les dirigeants britanniques n’ont pas usé d’un pareil langage en Chine. Même si certains politiciens anglais appellent désormais à revoir la politique chinoise du Royaume, la Grande-Bretagne ne fera rien qui puisse indisposer la Chine, afin de préserver le commerce et l’investissement durant cette période post-brexit pleine de turbulences.

Malgré sa grande ouverture, le « nouveau Royaume-Uni » risque de devenir moins attractif en terme de marché. Après le Brexit, Pékin va également perdre un avocat du libre-échange au sein de l’Union européenne. Ce qui est une mauvaise nouvelle alors que l’Europe des 28 réfléchit à accorder ou non à la Chine le statut d’économie de marché, selon l’accord passé dans le cadre de l’Organbisation mondiale du commerce (OMC). Ce statut affecte directement l’usage des barrières douanières anti-dumping. En matière d’emploi, l’industrie européenne de l’acier reste vulnérable. Depuis l’adoption par le parlement européen d’une résolution non contraignante contre la reconnaissance à la Chine du statut d’économie de marché, plusieurs politiciens européens craignent qu’une implication plus forte des Chinois dans leurs économies nationales n’apporte guère de créations d’emploi mais davantage de biens de consommation bon marché rivalisant avec les produits fabriqués en Europe. D’où un contexte européen moins favorable à la Chine. Les chances d’adopter un accord de libre-échnage Chine-UE s’amenuisent, alors que Bruxelles se concentre en priorité sur la finalisation d’un accord plus global sur l’investissement avec Pékin. Les entreprises européennes ont conduit un lobbying intense en faveur d’un tel accord.

Même si elle tirera tout ce qu’elle peut d’un Royaume-Uni autonome – selon sa propre évaluation -, la Chine n’en déteste pas moins l’incertitude – en particulier dans une période de turbulences chez elle comme à l’étranger. Elle s’inquiète des défis rencontrés par les gouvernements en place, tout comme de la vague anti-mondialisation qui pourrait nuire à sa propre image de pays bénéficiaire de la globalisation. En Europe, l’Allemagne et la France conservent de fortes relations avec la Chine. Avec leur soutien, la Commission européenne vient de publier une ambitieuse nouvelle stratégie chinoise pour l’UE. Mais il y a peu de chances que le Royaume-Uni en fasse partie.

Mali : l'armée tire à balles réelles sur des manifestants, 2 morts

Afrik.com - Tue, 12/07/2016 - 14:36
Au Mali, un rassemblement a été sévèrement réprimé par les forces de sécurité à Gao, dans le Nord de ce pays d'Afrique de l'Ouest. Des manifestants qui protestaient contre la mise en place d'une autorité de transition à Gao, se sont rassemblés dans les rues de la ville avant de marcher sur le commissariat central et l'encercler. Certains manifestants ont incendié des pneus, d'autres jeté des pierres sur la police. L'armée malienne est intervenue et a ouvert le feu causant la mort de deux personnes et plusieurs autres blessées.
Categories: Afrique

Le 14 juillet dans les yeux du caporal Anissia et le lieutenant Charles du 24e RI

#‎14juillet: Le 24e régiment d’infanterie sera mis à l’honneur lors du défilé du 14 juillet. Ce régiment, composé à 99% de personnels de réserve, a vu ses effectifs croître de 35% en 9 mois ; il est ainsi à l’image de  la montée en puissance des réserves à l’horizon 2019 demandée par le ministre de la Défense. Comme ce dernier l’affirmait le 10 mars dernier lors des Assises du même nom : « Les réservistes ont une vie personnelle et professionnelle déjà remplie ; ils prennent cependant de leur temps, de leur énergie, pour se consacrer – de mille façons, toutes importantes – à la Défense de la Nation ». Le caporal Anissia et le lieutenant Charles sont à l’image de cet engagement. Intégrés en 2013 dans la réserve opérationnelle, ils participeront jeudi à leur premier défilé sur les Champs Elysées. 
Categories: Défense

6. Entwicklungspolitisches Forum: Im Brennpunkt: Flucht und Migration. Menschen – Wege – Folgen

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 12/07/2016 - 14:28

Flucht und Migration sind keine neuen oder vorübergehenden Phänomene. Dennoch hat die Zahl der Flüchtlinge mit 65,3 Millionen Menschen Ende 2015 einen neuen Höchststand erreicht. Warum sehen so viele Menschen keine Alternative, als ihre Heimat zu verlassen? Am 12. Juli befasste sich das 6. Entwicklungspolitische Forum der Hanns-Seidel-Stiftung mit dem Brennpunkt Flucht und Migration. Gemeinsam mit dem zahlreich interessierten Publikum diskutierten die geladenen Experten Migrationsursachen, Fluchtwege und politische Handlungsoptionen.

The politics of the LSE-Deutsche Börse Merger amid Brexit uncertainty

IRIS - Tue, 12/07/2016 - 14:26

The LSE-Deutsche Börse merger seems to be on track to be agreed by the companies’ shareholders. What are the reasons for such a merger? How will it impact the financial sector at large?

The financial sector is experiencing a broad trend of centralisation and standardisation. Financial regulation itself encourages the consolidation of stock exchanges. An array of peer-to-peer contracts that were beyond the scope of stock exchanges and clearing houses now have to go through standardised clearing processes so as to support the illusion of stability and liquidity in a context where financial markets are flooded with central bank money.

The merger between the London and Frankfurt exchanges follows a clear financial and commercial logic in this respect. It is supposed to allow the combined entity to cut operating costs by up to 30 percent and to offload more than 1,000 jobs once the merger is completed. It is aimed at increasing the competitiveness of this new European exchange amid fierce global competition, as London strives, among other things, to secure its status as the yuan’s main trading centre outside Asia.

Meanwhile there is a geopolitical dimension to this deal. London is the financial centre of the European Union and in some way of the eurozone due to the extent of trading in euro-denominated derivatives there. This is an embarrassment to European institutions and especially to the ECB, which has tried over the years, long before the Brexit vote, to repatriate the financial activities and the clearing services surrounding these contracts to its jurisdiction, the eurozone. However, the EU’s judicial system has upheld London’s position on this issue, in virtue of the single market’s rules, which apply to capital markets throughout the EU, not only in the eurozone.

London is therefore keen to create a closer link with continental stock exchanges, Frankfurt in particular, in order to confront these attacks, which can only intensify in the context of Brexit. On the German side, a number of objections have been raised against the merger. Yet Germany’s Finance Minister, Wolfgang Schäuble, has adopted a relatively amenable stance to the merger. Generally speaking, Germany has every interest to keep the United Kingdom in the single market so as to preserve its large exports there. Conversely it is crucial for the UK as a whole, which already suffers from a very large trade deficit (with a current account deficit close to 6 percent in 2015) to retain the right to sell its financial services throughout the EU. The need to attract investments is the financial partner to the trade deficit, of which the property bubble is a key driver. In a sense, with the ongoing tension, all the traditional ingredients of a currency crisis are there. The pound’s depreciation is not a problem in itself. It even helps, to some extent, to restore the competitiveness of Britain’s industry after a long period of overvaluation. The problem lies in the dynamics of capital outflows and financial drying-up that depreciation fuels, as exchange rates tremors usually help deflate bubbles in a chaotic way.

In this regard any concrete disruption of the UK’s participation in the single market, in terms of trade and capital markets, would result in a genuine financial upheaval due to Britain’s dependency on its financial sector and foreign investments. The current market period of instability would retrospectively appear as a mere prelude if that were the case. That outcome would be in no European country’s interest, whatever their competitive goals.

What does the decision to have dual headquarters, in London and Frankfurt, reveal? Is this merger going to marginalise the Paris stock exchange and Euronext?

The idea of the double headquarters has come to the fore with the difficulties related to Brexit. The plan initially worked out and submitted to the shareholders favoured London headquarters while allowing Deutsche Börse’s CEO to head the conglomerate. The Brexit vote has changed this situation and prompted fears that Europe’s largest bourse would be managed from outside the European Union. It is this aspect which matters particularly since Amsterdam has also been mentioned as a possible host.

The British side strives to secure their financial and commercial position within the single market and retain London’s status as Europe’s financial centre. Beyond mere trade issues, Britain’s macro-financial stability is at stake because of the imbalance that undermines its economic model and the unintended consequences of the housing bubble. In Germany, while the government, and in particular Wolfgang Schäuble, has been rather supportive of the merger proposal and has shown an interest in the project, a portion of the political establishment, especially at the local level, remains opposed to the plan.

Diverging voices were also heard in France, whose government has stated its opposition to the merger and its desire to take advantage of Brexit and help its financial sector to gain new market shares. The Germans have opted for a starkly different strategy. As they understand that Frankfurt is not seen as a credible alternative to London as Europe’s main financial centre, even if London eventually left the single market, the German authorities rather tend to promote an association between London and Frankfurt.

Brexit was instrumental in the merger, since the European Commission would probably have dismissed it on the ground of abuse of a dominant position? Is it also a response to the economic consequences of Brexit?

The project of a merger between Frankfurt’s and London’s exchanges predates the British people’s vote to leave the European Union. The negotiations took place during the Brexit campaign, at a time when most observers believed that “remain” would prevail. So there was already a strong strategic interest in linking the two exchanges, particularly as London was threatened by its status outside the eurozone. At that time, this aspect seemed much more crucial and tangible than the remote threat of Brexit. In addition, in terms of EU competition laws, the case is technically hard to settle since LSE and Deutsche Börse tend to focus on different market segments.

More importantly however, the European Commission is increasingly threatened and deprived of its key prerogatives. Jean-Claude Juncker, whose skills fail to impress European capitals and whose “sacking” is being considered in Berlin, cannot afford to voice his concern if German interests are clearly at stake. This deal would be both a financial and a highly political one, in an inter-state fashion. The final outcome will speak volumes about the state of mind surrounding the negotiations on the UK’s participation in the single market. Despite tailored public statements, the negotiations on the terms of Brexit have undoubtedly started, in a down-to-Earth manner and under the threat of a financial crisis not only in the United Kingdom, but also in the eurozone.

Communiqué de presse - Werner Langen élu président de la commission d'enquête sur les Panama Papers - Commission d'enquête chargée d'examiner les allégations d'infraction et de mauvaise administration dans l'application du droit de l'Union en matière...

Parlement européen (Nouvelles) - Tue, 12/07/2016 - 14:16
Lors de sa réunion constitutive à Bruxelles mardi, la commission d'enquête parlementaire sur le blanchiment de capitaux, l'évasion fiscale et la fraude fiscale (PANA) a élu Werner Langen (PPE, DE) comme président, par acclamation.
Commission d'enquête chargée d'examiner les allégations d'infraction et de mauvaise administration dans l'application du droit de l'Union en matière de blanchiment de capitaux, d'évasion fiscale et de fraude fiscale

Source : © Union européenne, 2016 - PE
Categories: Union européenne

Le meurtre du réfugié nigérian Emmanuel Chidi, symbole de la fabrique de la haine en Europe

LeMonde / Afrique - Tue, 12/07/2016 - 14:12
Pour notre chroniqueur, le meurtre du Nigérian de 36 ans, le 6 juillet en Italie, vient rallonger une liste déjà fournie de crimes racistes sur le Vieux Continent.
Categories: Afrique

What a difference a Treaty makes: CFP reform debates in the 2000s and 2010s

Ideas on Europe Blog - Tue, 12/07/2016 - 14:08

Long-time readers of this blog will remember my (past) obsession with the EU’s Common Fisheries Policy (CFP) thanks to my PhD research on information flows in EU policy-making during the recent CFP reform.

In a new paper posted on arxiv.org by titled “Exploring the Political Agenda of the European Parliament Using a Dynamic Topic Modeling Approach“, Derek Greene and James P. Cross look into the question what topics are discussed in MEPs’ speeches from 1999-2014 and how to detect this with text mining.

On page 23 of the paper, they show a chart with the number of MEP speeches relating to EU fisheries policy, with a visible spike in the 2009-13 period (my PhD looked in particular at 2009-11), i.e. during the time of the recent CFP reform, with additional spikes at key events.

[Chart from p. 23 about here, will ask the authors whether I can use it]

The authors argue on the following page that:

“As can be seen, MEPs pay a reasonably stable level of attention to fisheries between 2000 and 2010. This trend is interrupted in 2010, when MEP attention to fisheries increases.”

What is ignored in this interpretation is that there had already been a  CFP reform in the early 2000s, including with a 2001 Green Paper on CFP reform. However, different to the 2009 Green Paper, there was no spike in 2001 and also no spike after the 2002 reform proposal was published in late May 2002. I suppose that MEPs’ attention where probably as high back than as it was in the 2010s, but the competencies of the EP to deal with this topic was lower.

Assuming that the data is correct, it shows that making the EU Parliament a co-legislator in core CFP matters under the Lisbon Treaty has made a big difference between 2001-02 and 2009-13. I didn’t study the 2002 reform for my PhD, but one could also assume that the difference in public attention by MEPs in the 2000s and 2010s may also have had different effects on media and general public attention to the topic of EU fisheries policy in both periods.

These observations don’t change the overall argument of the paper by Greene and Cross (where CFP is anyway just one of several topics and by far not the focus). Strictly speaking, it could also be put in line with a more complex view of the punctuated equilibrium theory that they refer to to explain the 2010s spike. But since the paper is just on arxiv.org, I still thought to point this out for the CFP, supposing there is time to reflect this in a version that might go into peer review.

What the data for EU fisheries policy shows in any case is that the agenda dynamics observed by the authors through their data also have to do with the overall competencies of the European Parliament. These have changed over time, not least through the Lisbon Treaty, bringing new topics at the centre stage of the plenary, something that probably will come up quite frequently in the analysis on other policies, too. 

The post What a difference a Treaty makes: CFP reform debates in the 2000s and 2010s appeared first on Ideas on Europe.

Categories: European Union

Taïwan aussi rejette la décision de la Cour permanente d'arbitrage de La Haye

Lignes de défense - Tue, 12/07/2016 - 14:03

Comme prévu, Pékin a rejeté la décision de la Cour permanente d'arbitrage de La Haye qui estime que la Chine n'a pas de raison valable de revendiquer les eaux de la mer de Chine méridionale.

Dans son jugement de 497 pages, la CPA estime que les patrouilles navales chinoises menacent les bateaux de pêche philippins de collision et que la Chine, en poldérisant des récifs et en construisant ports et aéroports, a occasionné des dégâts irréparables aux récifs coralliens.

Les Chinois de Chine populaire ne sont pas les seuls à râler.

Taïwan a également rejeté mardi le jugement de la CPA donnant raison à Manille. Sa colère concerne Itu Aba(Taiping Island, 太平島), seule île administrée par les Chinois de Taïwan dans l'archipel des Spratleys.

Itu Aba est la plus grande île des Spratleys, archipel sur lequel la Chine populaire, le Vietnam, la Malaisie et le sultanat de Bruneï ont aussi des revendications. Taïwan qui n'a pas été convié aux discussions entre la CPA et les pays riverains impliqués dans ces réclamations territoriales avait, dès février, annoncé qu'elle rejetterait les décisions (lire ici).

Pour en savoir (et en voir plus) sur Itu Aba, cliquer ici.

On lira aussi ici un article du Taipei Times sur les piètres défenses d'Itu Aba.

 

Categories: Défense

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