A sokadik alkalommal rendezték meg az európai NATO- és amerikai gyakorlatmenetrendbe illesztve az Adriatic Strike CAS/JTAC/JFO fókuszú rendezvényt Szlovéniában. A bloggernek sem ez az első jelentése innen, de mint korábban, most is meg tudom állapítani: igenis lehet jó hozzáférést adni a médiának éleslövészet, VIP-jelenlét és egyéb nehezítő körülmények közepette.
Már ha van rá akarat. Legkisebb szomszédunknál, ismét és újólag, van.
BDU gyakorlóbombákat dob a szlovén PC-9M. Az AS21 ugyanazzal a csapadékos idővel szenvedett a héten, mint mi odahaza, de Postojna környékén, a Pocek lőtéren mára gyönyörű idő kerekedett.
A korszerűsített M-84-esek éltetik tovább a szlovén páncéloskultúrát. Érdekes, náluk a szárazföldön sem volt "minek a Trabantba színes display".
Egy kicsi haderőnek pláne nem lehet célja, hogy close combatban daráltassa le magát. Ezért is van jelentősége az olyan korszerű irányított páncéltörő rakétáknak, mint a Spike. (gyengébbek kedvéért: ez a kategória soha, semmilyen körülmények között nem téveszthető össze semmilyen irányítatlan pct rakétagránatavetővel, vállról használható hsn eszközzel, ha keleti, ha nyugati, ha mezítlábas-lesajnált, ha nyálcsorgatós-divatos). Az IPTR anno forradalmat hozott a hadviselésbe és köszöni szépen, máig jól tartja magát: stand-off, precíziós, ma már nlos, top attack. Minden ami egy RPG-féleség soha nem lesz - ahogy egy höki ágyú sem)
Zord
La nuit du lundi au mardi, 17 et 18 mai, a été marquée par un crime contre la Féminité, contre le Savoir, et contre les valeurs humanistes de la Société Algérienne. Neuf enseignantes qui habitaient dans une résidence un peu isolée à Bordj Badji Mokhtar, ont été victimes d’une lâche agression perpétrée par une bande […]
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(B2) On peut proclamer sur tous les tons que la liberté de la presse est primordiale. Et que la diversité de la presse doit être préservée. Encore faut-il la mettre en application de façon concrète, en particulier au niveau économique…
Médias attendant dans la cour de l’Elysée © NGV / Archives B2 – Août 2017Une liberté d’informer restreinte
Accéder à l’information est devenu plus difficile en ces temps de crise sanitaire du Covid-19. Au moment où se rouvrent restaurants et cinémas, les restrictions pour la presse demeurent. Les conférences de presse sont réduites au strict minimum. Quand elles existent, elles ne rassemblent qu’une poignée de journalistes, chargés, dans le meilleur des cas, de collecter et relayer les questions de leurs confrères (c’est le système de pool). Le plus souvent, elles sont remplacées par des visioconférences ou des « briefs » téléphoniques.
Quoi de plus facile alors que d’ignorer purement et simplement une question gênante posée sur une boucle WhatsApp ou dans une conversation Teams ? Ou tout bonnement de refuser à un journaliste d’assister à un briefing (NB : sous de fallacieux prétextes techniques, comme l’Élysée sait si bien le faire). Certaines organisations refusent tout bonnement les questions en direct, voire les questions tout court. Autre habitude désormais bien ancrée : le « micro tendu » à l’issue d’un déplacement ou d’une rencontre ne laisse la place, une fois de plus, qu’à un nombre très limité de questions, et permet de couper court à la première occasion. Créer et entretenir un réseau devient aussi plus difficile.
Or, poser des questions librement, demander des précisions, relancer pour obtenir un éclaircissement, s’autoriser à douter d’une affirmation… : autant il est possible de maintenir le lien avec une source par téléphone quand la relation est déjà bien installée, autant il peut devenir délicat de recueillir des informations sensibles ou inédites d’une personne qu’on n’a même jamais rencontrée…
Les différentes associations professionnelles de journalistes viennent d’adresser une lettre aux autorités françaises pour protester contre les restrictions à la liberté d’informer. « La situation sanitaire justifie certes la prudence, mais elle offre aussi à certains l’occasion de limiter l’accès à l’information les Français méritent de pouvoir accéder à une information libre et de qualité », critiquant-elles.
Lettre des associationsTéléchargerDes aides discriminantes
Autre élément, plus économique. Selon les derniers chiffres révélés par la La Lettre A, le gouvernement français, via les aides publiques à la presse, a plutôt aidé à la concentration des groupes de médias que leur diversité. Ainsi sur les 87 millions d’euros d’aides directes à la presse (hors aide à l’AFP et exonération de charges sociales) en 2019, 49 millions d’euros, soit plus de la moitié ont été versés à dix groupes uniquement. Un seul groupe, LVMH (Le Parisien, Les Echos, Investir…), capitalise à lui seul 16,8 millions d’euros. Suivi, de plus loin, par Le Figaro et Le Monde (1).
La distorsion de concurrence nuit gravement au pluralisme
« Une telle disproportion dans la distribution des aides constitue une préjudiciable distorsion de concurrence entre médias » interroge indique le SPIIL (Syndicat de la presse d’information indépendante en ligne, auquel appartient B2 (2)). « Sur ces 87 millions d’euros, en effet plus de 75 millions d’euros concernent exclusivement la presse imprimée en raison de la nature même des aides qui excluent la presse en ligne. » Ce qui est contradictoire avec la volonté de développer le numérique. Le SPIIL « réclame un rééquilibrage d’urgence pour l’année 2021 et une remise à plat des aides à la presse ».
(Nicolas Gros-Verheyde)
Lire tout le communiqué ici
Article complété avec les éléments de la lettre adressée par les associations de journalistes
Cet article Entre aides publiques discriminantes et restrictions au travail des journalistes, la liberté d’informer mise en cause (v2) est apparu en premier sur B2 Le média de l'Europe géopolitique.
Par note circulaire en date du 18 mai 2021, le ministre des Sports Oswald Homeky rappelle à l'attention de toutes les fédérations, ligues et associations, les conditions sécuritaires et sanitaires d'organisation des compétitions sportives.
Selon le ministre des Sports, « en dépit des prescriptions contenues dans les cahiers de charges et en violation de celles-ci, des compétitions sportives se déroulent dans diverses disciplines sans que les conditions minimales nécessaires et indispensables de couvertures sécuritaire et sanitaire n'aient été réunies au préalable ».
« Cet état de chose qui met en danger la vie des sportifs et du public ne saurait perdurer, alors même qu'une dynamique de professionnalisation du secteur est en cours dans notre pays », indique Oswald Homeky.
Le ministre rappelle aux fédérations, ligues et associations sportives qu'il est formellement interdit d'autoriser, d'organiser ou de laisser tenir une rencontre sportive, quelle qu'elle soit, sans la présence conjointe des forces de l'ordre et d'un personnel de santé qualifié et équipé devant assurer les premiers soins et les éventuelles évacuations. Tout contrevenant subira la rigueur de la loi.
A.A.A