As the 7th AU-EU Summit convenes in Luanda, marking 25 years of partnership, the AU-EU relationship faces a critical juncture. This Policy Brief, “From Cairo to Luanda: A 25-Year Parliamentary Stocktake of AU-EU Relations” argues that the partnership must evolve from symbolic engagement toward a genuinely equitable relationship. The brief examines persistent challenges and opportunities across four areas: geopolitical shifts and the pursuit of a partnership of equals; reframing peace and security cooperation around equity and conflict prevention; ensuring the Global Gateway fosters local prosperity, particularly in Critical Raw Materials; and addressing human capital, mobility, and debt as interconnected priorities. It underscores the essential role of the Pan-African and European Parliaments in translating high-level commitments into tangible benefits for citizens.
Die Monopolkommission hat heute ihr Sondergutachten zum Wettbewerb in der Lebensmittellieferkette veröffentlicht und zentrale Empfehlungen vorgelegt. Tomaso Duso, Leiter der Abteilung Unternehmen und Märkte im DIW Berlin und Vorsitzender der Monopolkommission, äußert sich dazu wie folgt:
Die Lage auf den Lebensmittelmärkten zeigt deutlich, dass sich die Machtverhältnisse seit Jahren verschieben. Die Konzentration im Einzelhandel und teilweise auch bei den Herstellern hat ein Ausmaß erreicht, das strukturelle Marktverzerrungen begünstigen kann. Wenn wenige große Handelsunternehmen rund 85 Prozent des Marktes kontrollieren und ihre Aktivitäten zunehmend auf die vorgelagerten Stufen ausdehnen, geraten kleinere Hersteller und landwirtschaftliche Betriebe zunehmend unter Druck. Künftig müssen Zusammenschlüsse entlang der gesamten Lieferkette konsequenter geprüft werden – und nicht erst auf der letzten Handelsstufe.
Die wachsende Konzentration der Lebensmitteleinzelhändler und Hersteller und deren steigende Preisaufschläge und Gewinnmargen gehen oft zulasten der Verbraucher*innen. Tatsächlich sind die Endverbraucherpreise für viele Produkte in Deutschland stärker gestiegen als in allen anderen EU-Ländern. Landwirtschaftliche Betriebe profitieren oft kurzfristig von steigenden Preisen, bekommen aber langfristig weniger vom Kuchen ab. Um Fehlentwicklungen frühzeitig zu erkennen, müssen wir aus der Vergangenheit stärker lernen. Systematische Evaluationen können zeigen, wo die Durchsetzung von Wettbewerbspolitik und Regulierung nachgeschärft werden muss.
Gleichzeitig brauchen wir eine wirksamere Kontrolle gegen Machtmissbrauch. Viele Landwirt*innen und kleinere Hersteller scheuen Beschwerden aus Sorge vor Nachteilen und Auslistung – der Angstfaktor ist groß. Eine konsequentere Durchsetzung existierender Regeln durch Bundeskartellamt und Bundesanstalt für Landwirtschaft und Ernährung wäre ein wichtiger Schritt, um Wettbewerbsdruck zurückzubringen und Marktprozesse zu stabilisieren.
Die Landwirtschaft erlebt seit vielen Jahren einen Strukturwandel, der sich nicht aufhalten lässt – aber wir können ihn besser gestalten. Wenn landwirtschaftliche Betriebe langfristig bestehen sollen, müssen wir die Wettbewerbsbedingungen auf der Kostenseite verbessern. Weniger Bürokratie, zielgerichtete Förderungen und eine stärkere Ausrichtung der Subventionen an Produktivität, Innovation und Nachhaltigkeit würden nicht nur Effizienz fördern, sondern auch kleinere Betriebe stärken.
À 30 ans, Fabroni Bill Yɔclounon s'est donné la mission ambitieuse : faire exister les langues béninoises en commençant par le fɔngbè dans l'univers de l'intelligence artificielle. Fondateur de IamYourClounon, une startup dédiée à la valorisation du patrimoine linguistique national, il a présenté son projet lors de l'édition 2025 de la Semaine du Numérique.
En juillet 2025, il a lancé le premier dictionnaire numérique des langues béninoises, une application qui réunit déjà plus de 20 000 mots et expressions. Mais pour lui, ce n'est qu'un début. Le constat est clair : l'Afrique est largement absente des technologies vocales et des assistants intelligents, faute de données suffisantes. Sur plus de 2 000 langues africaines, seules 49 figurent aujourd'hui dans les grands modèles d'IA. Une marginalisation accentuée par la particularité des langues du continent. « Les langues africaines sont des langues tonales. Pour marquer cette tonalité, il faut des accents et des caractères spécifiques que les moteurs entraînés en langues étrangères reconnaissent mal », explique-t-il.
Créer nos propres données : la solution choisie
Pour combler ce retard, Fabroni mise sur une démarche participative : fabriquer localement les données nécessaires. C'est l'objectif du projet jaimemalangue.bj, mis en place avec plusieurs partenaires. Sur la plateforme, les citoyens sont invités à décrire des images en fɔngbè. Les enregistrements sont ensuite vérifiés par des validateurs linguistiques, puis transcrits avec précision. Ces milliers d'échantillons vocaux et textuels serviront à entraîner de futurs modèles d'intelligence artificielle adaptés aux langues béninoises.
Un impact qui pourrait transformer le quotidien
L'enjeu dépasse le domaine technologique : il touche à l'inclusion numérique et culturelle. Grâce à ces modèles, il sera bientôt possible de traduire, transcrire ou effectuer des recherches directement dans les langues nationales. « Imaginez demander le prix du maïs ou envoyer de l'argent en parlant simplement dans votre langue », illustre Fabroni Yɔclounon.
Convaincu que le Bénin peut devenir un acteur majeur dans l'IA tout en préservant son héritage linguistique, Fabroni Yɔclounon incarne une nouvelle génération d'innovateurs décidés à faire entrer les langues africaines dans le futur numérique et à s'assurer qu'elles y trouvent enfin leur place.
Fabroni Yɔclounon est convaincu que le Bénin peut jouer un rôle crucial dans l'IA tout en conservant son patrimoine linguistique. Ce dernier représente une nouvelle génération d'inventeurs résolus à intégrer les langues africaines dans le domaine numérique et à garantir qu'elles y obtiennent enfin leur position.
Akpédjé AYOSSO (24 Heures au Bénin)
Production réalisée dans le cadre d'une rédaction éphémère de MEDIAOS (menée par CFI) »
Une patrouille spéciale à vélo de la Police a parcouru certains axes de la ville de Cotonou ce mercredi 19 novembre 2025. Cette patrouille est composée des éléments du commissariat du 5e arrondissement de Cotonou.
Renforcer la présence de la Police républicaine aux côtés des citoyens de la capitale économique du Bénin, c'est l'objectif d'une patrouille spéciale à vélo qui a parcouru certains axes de la ville de Cotonou ce mercredi 19 novembre 2025. L'équipe conduite par le commissaire et son adjoint selon des sources policières, a effectué plusieurs tours du jardin de Mathieu avant de continuer sa ronde vers le carrefour "trois banques". A travers cette nouvelle initiative, la Police entend assurer de sa présence dissuasive.
Ces vélos de la Police qui viennent après les quadricycles destinés à la patrouille le long de la berge lagunaire et de la plage, visent à renforcer en toute simplicité la proximité de la Police républicaine avec les populations pour leur sécurité et celle de leurs biens.
F. A. A.