Chems Eddine Chitour
«Passionnée, étais-je à vingt ans, par la stature d’Averroes, cet Ibn Rochd andalou de génie dont l’audace de la pensée a revivifié l’héritage occidental, mais alors que j’avais appris au collège l’anglais, le latin et le grec, comme je demandais en vain à perfectionner mon arabe classique, j’ai dû restreindre mon ambition en me résignant à devenir historienne. En ce sens, le monolinguisme français, institué en Algérie coloniale, tendant à dévaluer nos langues maternelles, nous poussa encore davantage à la quête des origines ».
Assia Djebbar : discours de réception à l’Académie française
La ministre ruandaise Louise Mushikiwabo a été intronisée par « consensus » comme la nouvelle secrétaire générale, Michaelle Jean la secrétaire générale sortante n’a même pas pu défendre son bilan. La Francophonie est entre les mains d’un petit pays anglophone qui a supprimé le français de l’enseignement ! De plus , il ne brille pas sur le chapitre des droits de l’homme ou de l’alternance. Voilà pour la politique et ses desseins impénétrables !
Qu’est ce que la francophonie ?
Le terme francophonie désigne l’ensemble des gouvernements, pays ou instances officielles qui ont en commun l’usage du français dans leurs travaux ou leurs échanges. La carte de la francophonie se confond largement avec celle de l’expansion coloniale française.
Dès le début des années 1960, des chefs d’État, des anciennes colonies françaises, comme le Sénégalais Léopold Senghor,- l’agrégé de grammaire- proposent de regrouper les pays nouvellement indépendants, désireux de poursuivre avec la France des relations fondées sur des affinités culturelles et linguistiques.
La Francophonie naît officiellement en 1970, à la conférence de Niamey.
La francophonie est elle seulement au nom de la realpolitik, une continuation de la Franceafrique ? Ou est-ce, aussi un vecteur culturel universel qui paradoxalement ferme la porte à celles et ceux qui maitrisent de loin la langue de Voltaire au profit , de pays qui n’ont qu’un lointain rapport avec le français .
Abdelkader Kherfouche écrit à ce propos Au cours d’un point de presse organisé au musée copte du Caire le 18 avril, François Hollande a déclaré : « La francophonie n’est pas un cadeau simplement de ceux qui parlent français.
La francophonie c’est un combat, un combat pour des valeurs, un combat pour la culture, un combat pour la diversité » Les mots qu’utilise le président ne sont pas sans rappeler la rhétorique qu’employaient les élites françaises du XIXe siècle pour justifier la colonisation.
La langue française, la langue d’une nation civilisée pour faire sortir le colonisé de sa barbarie primitive, la langue française comme un don « humanitaire et civilisateur » pour reprendre la formule de Jules Ferry.
Comme le rappelle l’écrivaine algérienne d’expression française, ce n’est pas par les œuvres de Pierre de Ronsard ou de Jean Racine que les Algériens sont entrés dans la langue française, c’est la langue française qui est entrée par effraction en Algérie ( ) La langue française était un outil au service de la colonisation.
Une partie des colonisés était formée en français,« la langue des autres, celle des colonisateurs, ses maîtres », la langue de l’école coloniale : Le français donc, celui de l’école, celui de « nos ancêtres, les Gaulois », or ils n’étaient pas « nos ancêtres », et ils n’étaient pas Gaulois ! Mes, nos ancêtres parlaient, ou criaient, ou chantaient en arabe, en berbère, en Ma grand-mère, en arabe, racontait aux enfants autour d’elle, la guerre, les otages, l’incendie des oliviers, à la zaouïa. À l’école française, l’institutrice venue de France racontait Charlemagne, et même Charles Martel à Poitiers confie Assia Djebar dans un poème »(1).
Macron reçoit un prix québécois parodique pour ses propos sur la francophonie
Les «défenseurs grincheux» du français
C’est un fait, et de l’avis de plusieurs spécialistes, la langue française perd du terrain dans le domaine scientifique «l’usage du français dans les sciences tombe en désuétude, la moitié des publications scientifiques est en anglais, seulement 7% en français. Aux Nations unies, le français bataille pour garder son rang: aujourd’hui, seulement 14% des discours sont tenus en français, plus de la moitié le sont en anglais. L’écart entre les deux langues se creuse aussi à l’Union européenne, notamment dans la rédaction des rapports de la Commission, et ce phénomène s’est accentué depuis l’entrée des dix nouveaux pays membres qui parlent plutôt l’anglais. La domination de l’anglais sur les ondes, est aussi avérée. (2)
Promouvoir la francophonie en parlant anglais, le paradoxe n’a pas manqué d’irriter les inconditionnels de la langue française . Après l’injonction vaine en son temps, de Jaques Toubon à parler français, après le prix de la carpette, décernée à ceux qui parlent anglais : « un organisme québécois de défense de la langue française a décerné dimanche un «prix citron» au président français Emmanuel Macron pour des propos défendant son usage occasionnel de l’anglais sur la scène internationale. L’organisme culturel «Impératif français» a choisi le président Macron pour avoir, créé en 1975, Impératif français se décrit comme un «oranisme voué à la promotion de la langue française, de la culture d’expression française et de la francophonie.» Lors de la visite à Paris début mars du Premier ministre québécois, le président Macron avait déclaré ne pas faire partie «des défenseurs grincheux» de la langue française, égratignant au passage les tenants d’une stricte prééminence du français. «lors de la visite du Premier ministre du Québec Philippe Couillard, déclaré vouloir renouveler le logiciel’ de la francophonie en s’inspirant de l’exemple nord-américain’ selon lequel parler l’anglais renforce la francophonie’! Ouf!», écrit cet organisme sur son site ». (3)
La francophonie et l’arabophonie
On pourrait se demander pourquoi l’Algérie veut prendre la défense de la langue arabe en France en lieu et place de plusieurs pays arabes qui sont dans la francophonie. Pourtant l’un des vecteurs de l’acculturation croisée, en l’occurrence la langue arabe , perd elle aussi du terrain en France. Ce que dit Assia Djebbar est important, en ce sens que la langue arabe est consubstantielle de notre personnalité. L’enseignement de la langue arabe est ancien sur le territoire français. Il remonte à l’époque de François 1er. L’agrégation d’arabe fut créée en 1905. A l’époque, l’enseignement de l’arabe était essentiellement lié au phénomène colonial. Durant la période coloniale, la politique «intégro-assimilationniste» de la puissance coloniale fut en grande partie menée contre la langue arabe. Après la décolonisation, la langue arabe continua d’être enseignée et en 1975 le Capes d’arabe fut créé. Depuis, l’arabe semble appelé à connaître un déclin inéluctable. En 2005, la session du Capes d’arabe a été supprimée Pourtant, la langue arabe ne peut pas être considérée comme une langue «rare» puisqu’elle est parlée par plus de 250 millions d’individus dans le monde et qu’elle est la langue officielle de plus de vingt pays (.. ;) L’éducation nationale en France considère que l’arabe est une langue étrangère alors qu’elle fait partie intégrante du patrimoine culturel de millions de Français. Elle est usitée dans les familles, dans les cages d’escaliers, dans les quartiers. Elle domine dans les banlieues, dans les prisons. Pourtant, elle n’est pas enseignée à l’école primaire, elle est marginalisée au lycée. L’arabe en France est la langue des sous-scolarisés et des savants.»(3)
Etat des lieux de l’usage du français en Algérie
Avant 1962 l’enseignement du français à dose homéopathique faisait que les Algériens étaient des voleurs de feu selon l’élégante expression de Jean Amrouche. Ce fut pour nous la la langue du roumi mais aussi la langue pain On dit que les Algériens sont comme monsieur Jourdain ils font de la prose sans le savoir, ils «font de la francophonie» sans le savoir. Ils contribuent efficacement au rayonnement de la langue française sans y émarger ou attendre un quelconque subside. Les Algériens font autant pour la diffusion de la langue française -belle langue au demeurant- que plusieurs pays faisant partie de la liste des pays francophones sans plus mais qui, au premier vent défavorable, tournent casaque, comme c’est le cas des pays de l’Est ou des pays anglophones. L’usage du français véritable butin de guerre pour Kateb Yacine que nous avons préservé sans réciprocité est quotidien. C’est un lieu commun que de dire que l’Algérie est le deuxième pays francophone. Qu’est-ce que cela veut dire au juste? C’est d’abord l’enseignement du français depuis l’indépendance d’une façon intensive avec des fortunes diverses mais tout de même déterminée à telle enseigne qu’il y avait à l’indépendance moins de cent mille francophones- il y a de nos jours plus de 12 millions – d’autres sources parlent d’un tiers des Algériens- qui, d’une façon ou d’une autre, parlent le français de Voltaire . C’est le rai, le cinéma Ce sont des centaines de mots arabes notamment algériens qui sont passés dans la cagnotte de la langue française..
La génération de l’indépendance qui a été acculturée à son corps défendant s’était faite un point d’honneur d’être partout autant que possible malgré tous les obstacles, à l’école ou au lycée, la première notamment en orthographe et en mathématiques. En discutant avec des collègues universitaires français il m’est arrivé de les reprendre gentiment quand ils se prenaient les pieds dans des subjonctifs pas commodes. J’étais étonné de leurs « insuffisances » et ils étaient étonnés de constater que l’enseignant des sciences dures, paléo-bougnoule que j’étais, venu du plus profond du bled se permettait de leur apprendre la fameuse poésie de Malherbes : « Et rose elle a vécu ce que vivent les roses l’espace d’un matin » ou encore la belle poésie la ballade des pendus de François Villon Nous sommes à nous demander, en le paraphrasant mais où est la langue d’antan ? La Révolution de 1789 nous a accompagnés par le vent de liberté qu’elle avait déclenché. Bien plus tard au collège nous récitions le Chant des Partisans pendant que les valeureux moudjahid se battaient pour arracher l’indépendance du pays . Bref tout a été fait par le pouvoir colonial pour magnifier la langue française, l’histoire de France et faire apparaitre les indigènes que nous étions comme des êtres in-civilisés. Il nous fallait cependant nous battre avec les armes de la colonisation pour avoir des chances d’émerger après un parcours du combattant à travers les interstices de tolérance du pouvoir colonial
Les humains dit on ne sont pas seulement eux-mêmes , ils sont aussi le milieu où ils sont nés , le foyer ou la chaumière où ils ont appris à faire les premiers pas, les contes qu’ils ont entendus de leurs grands-mères, les poètes qu’ils ont lus les auteurs qui ont bercé leurs enfances au point de les mettre sur des piédestaux comme ce fut en l’occurrence les auteurs du Moyen âge au XIXe siècle qui ont bercé notre enfance, notamment décrits dans le Lagarde et Michard C’est enfin les instituteurs « ces hussards noirs de la République » Ces instituteurs, on ne le rendra jamais assez justice pour avoir traversé le no man’s land qui nous séparait des européens d’Algérie Ils nous ont appris outre le bon usage du français, le bel usage du français.
La francophonie du XXIe siècle entre l’Algérie et la France
La France apprécie-t-elle à sa juste mesure l’apport inconditionnel des millions d’Algériennes et d’Algériens qui, qu’on le veuille ou non, font plus pour la langue française que des dizaines de pays qui émargent au râtelier de la Francophonie ? Il faudra bien qu’un jour «on rende à César ce qui appartient à César», en reconnaissant à l’Algérie un rôle majeur dans la diffusion du français.
C’est toute la littérature algérienne d’expression française, c’est une cinquantaine de quotidiens francophones, c’est 80% des vols des Algériens vers la France, c’est des milliards de dollars pour le tourisme c’est enfin le marché algérien qui fait que la France est le deuxième partenaire depuis l’indépendance malgré toutes les vicissitudes. Quand on parle français, on consomme français, on roule français et ceci malgré la mondialisation. De la même manière, la culture francophone est toujours prégnante, notamment dans la fonction publique que nous avons héritée pour le meilleur et pour le pire, la littérature, musique, arts plastiques, cinéma, la mode vestimentaire.
Enfin, il ne faut pas cacher la réalité; des dizaines de milliers d’universitaires, ingénieurs, médecins s’installent en France, participant de ce fait au dynamisme scientifique de la France et ceci sans que la France n’ait déboursé un maravédi à l’Algérie qu’il faut rappeler et les normes de l’Unesco l’attestent, près de 100.000 dollars pour la formation d’un universitaire. Mieux encore, l’Algérie participe enfin à l’enrichissement de la langue française en y apportant de nouveaux mots qui ont été adoptés. Cette acculturation croisée est peut-être un signe que la vitalité d’une langue a besoin de sang exogène pour conjurer son dépérissement. Malgré cela, la France des arts, des armes et des lois selon du Bellay fait une sélection incompréhensible. Il nous parait qu’il est plus facile d’obtenir un visa commercial qu’un visa pour les intellectuels, notamment les enseignants.
Tout d’abord et pour toutes les raisons, deuxième pays francophone, pays arabophone et amazighophone, l’Algérie ne peut pas et ne devrait pas de mon point de vue être traitée comme les autres pays pour ce qu’elle fait pour la langue française En tant qu’universitaires qui, pendant des dizaines d’années, avons enseigné en français, nous sommes nombreux à penser que la France doit développer une relation spéciale avec l’Algérie au nom de l’histoire des liens de sang tissés, du sang versé sans rapport dominant dominé mais avec une parole désarmée et une réelle volonté de faire un aggiornamento de notre histoire commune pour la reconnaissance du fait que la colonisation ne fut pas un long fleuve tranquille
La « reconnaissance objective» de l’Algérie pour la France passe par la résolution des contentieux en premier lieu, la restitution sans condition des restes des patriotes algériens qui sont entreposés dans les musées de France et de Navarre, C’est aussi la mémoire constituée par toutes archives qui contribueront certainement à la sérénité des relations , c’est enfin cette diaspora trait d’union qui peut être un vecteur de stabilité et vivification de la langue dans une acculturation apaisée
Un signe fort et symbolique serait celui de la mise en place d’une grande bibliothèque numérique qui contribuerai ce faisant à l’apaisement des mémoires, par la restitution sous une forme ou une autre des fonds d’archives .
Souvenons nous ! Quand Mitterrand a inauguré la Bibliothèque d’Alexandrie, les députés égyptiens anglophones qui se sont fait traduire son discours l’ont acclamé debout Pour rappel il faut bien le dire que l’armée d’invasion a brûlé en 1837 la bibliothèque de Sidi Hammouda Constantine et comme rapporté par Adrien Berbrugger : « chaque soldat voulait avoir «son Coran» et que faute de bois, on allumait le feu avec les ouvrages. » .Dans le même ordre du plaidoyer il est utile de rappeler qu’un matin de juin 1962 , le cadeau de l’OAS a pris la forme d’un gigantesque incendie. Ce furent 600.000 ouvrages de la Bibliothèque d’Alger dont certains uniques, qui furent dévorés par le feu.
Si on y ajoute la mise en place d’une présence culturelle digne de ce nom en France dans sa double dimension arabe et amazighe, rien ne s’opposerait alors de mon point de vue à l’acceptation par l’Algérie de donner la pleine mesure de son talent au sein de la Francophonie.
Cependant et pour terminer la question qui se pose est la suivante : La francophonie devra t-elle continuer à être une sorte de « françafrique » par d’autres moyens ? Ou doit elle s’affranchir du passé pour aller vers l’universel ? De notre point de vue si elle veut perdurer la francophonie ne doit pas se départir de sa fonction culturelle qui devrait sans condescendance favoriser le dialogue des cultures qui peuvent s’exprimer en langue française tout en favorisant une altérité croisée par un accueil bienveillant des autres expressions linguistiques.
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Der Wunsch nach Wohneigentum ist nach wie vor weit verbreitet in der Schweiz. Da die Preise weiter steigen, bleibt für viele das Traumhaus wohl ein frommer Wunsch.
Ungebrochen ist das Interesse an Wohneigentum, besonders an Einfamilienhäusern. Hier ist ein deutlicher Nachfrageüberhang auszumachen, besagt die am Mittwoch publizierte Studie von Immobilienberater Wüest Partner.
Der Grund: Der Schweizer Wirtschaft geht es gut, die Arbeitslosigkeit ist niedrig, und die Löhne sowie das Vermögen der Schweizer sind in den letzten Jahren kontinuierlich gestiegen.
Gesucht seien vorwiegend Objekte mit fünf oder sechs Zimmern und einer durchschnittlichen Wohnfläche von gut 160 Quadratmetern.
Deutlich mehr Suchabos als AngeboteTrotz grosser Nachfrage fehlt vor allem in den Kantonen Zug, Zürich, Basel-Stadt, Schwyz und Luzern das Angebot. «Die kantonsweite Menge der Suchabos ist hier mindestens viermal so gross wie das kantonale Angebot», so die Studienautoren. Und aufgrund der dort weiter sinkenden Neubautätigkeit werde sich das vorerst auch nicht ändern.
Weil sich die Schere zwischen Nachfrage und Angebot weiter öffnet, führt das weiter zu steigenden Preisen. Sowohl die Preise in den Inseraten als auch bei den Transaktionen hätten angezogen, so Wüest Partner. Überdurchschnittlich stark stiegen die Preise von 2017 aufs 2018 in der Region Bern mit 7 Prozent bei den Einfamilienhäusern. Der Schweizer Schnitt beträgt in dieser Periode 1,3 Prozent.
Innerschweizer Preise steigen am stärkstenBlickt man auf die vergangenen zehn Jahre zurück, stiegen die Preise schweizweit im Schnitt um 35,2 Prozent. Obenaus schwingt die Innerschweiz mit plus 47,2 Prozent, gefolgt von Zürich (+44,6 Prozent) und der Ostschweiz (+39,8 Prozent). Mit steigenden Preisen von plus 25,1 Prozent liegt die Region Bern dagegen am anderen Ende bei den Preisveränderungen.
«Weil in Bern die Preise vielerorts noch auf einem vergleichbar attraktiven Niveau liegen, sind die aktuellen Anstiege dort zurzeit überdurchschnittlich stark», erklären die Studienautoren. (uro)
K. Assia
C’est en présence du wali d’Oran, M. Mouloud Chérifi, du P/APW, du P/APC d’Oran, du chef de la Sûreté d’Oran le divisionnaire Boumesbah Abdelmalek, des Autorités civiles, des médias et des retraités de ce corps sécuritaire qu’a été célébrée, avant-hier, au siège de la Sûreté d’Oran, la Journée nationale de la Presse qui coïncide avec le 22 octobre de chaque année. Une occasion pour le commissaire Arioua chargé de la Communication de lire le message du DGSN, le colonel Lahbiri Mustapha, dans lequel il félicite la corporation pour tous les efforts déployés, dans l’exercice de leurs fonctions et leur rôle dans le développement socio-économique du pays. Il souligne, également, l’intérêt accordé par l’institution quant à la consolidation des liens et du rapprochement entre la police et le citoyen, la police et la presse, en rappelant, ainsi, l’une des missions de la police algérienne et qui est d’offrir un travail de sécurité qualifié. Prenant la parole, le chef de la Sûreté d’Oran a tenu à féliciter la presse pour tout le travail accompli afin d’éclairer l’opinion publique. Pour sa part, le wali d’Oran a mis en exergue le message fort du président de la République M. Abdelaziz Bouteflika, à l’occasion de la célébration de cette journée, en soulignant ainsi les efforts consentis par les services de la police et de la gendarmerie, dans le renforcement de la sécurité des biens et des personnes.En saluant les efforts et les sacrifices des générations successives de journalistes, le wali a mis l’accent sur la nécessité de dire la vérité et être toujours du côté de la vérité. Des cadeaux ont été offerts à la famille de la presse nationale et une collation leur a été offerte.
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J. Boukraâ
Dans le cadre des dispositions prises par la CASNOS pour expliquer aux hommes de loi, toutes les facilitations et les offres de la Caisse, notamment une couverture tous azimuts, en l’occurrence la carte Chifa’ , une journée de sensibilisation et d’information a été organisée, hier, à la Cour d’Oran, animée par des cadres de la CASNOS. La rencontre était une occasion pour éclaircir les procédures et les avantages de la carte Chifa’.En Effet, il s’avère que le nombre des avocats et huissiers de justice, débiteurs de cotisations auprès de la Sécurité sociale demeure encore très minime par rapport aux autres travailleurs des professions libérales. Selon les chiffres communiqués par la CASNOS sur un total de quelque 2.500 avocats recensés, près de 800 sont affiliés à la caisse. Le fait de cotiser donne tous les droits à non seulement pour la personne qui cotise mais aussi pour tous les ayants-droit. Rappelons que la Caisse nationale de la Sécurité sociale des non-salariés (CASNOS) d’Oran a enregistré un chiffre de 307 milliards de centimes, en 2017, et 163 milliards de centimes durant les 3 premiers mois de cette année, en ce qui concerne les recettes de cotisations, enregistrant par la même occasion, quelque 7.000 nouveaux matricules, en 2017.
Actuellement la CASNOS compte plus de 107.000 affiliés, dont plus de 43.000 cotisants, contre 37.000 cotisants en 2016. La CASNOS a dépensé, en termes de prestations quelque 210 milliards de centimes, en 2017, dont 109 milliards pour le paiement des pensions de quelque 12.000 retraités.
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Seit Anfang des 21. Jahrhunderts hat sich die Zusammensetzung der Migrationsströme in die Schweiz stark verändert. Gemäss einer neuen Studie nahm die Zuwanderung hochqualifizierter Arbeitskräfte zwischen 1991 und 2014 in der Schweiz um mehr als das Doppelte zu.
Demnach ist die Anzahl der neu Einwandernden mit Tertiärausbildung von 30'000 im Jahr 1991 auf 40'000 nach 2000 und auf über 60'000 nach 2007 angestiegen. Heute machen die hochqualifizierten Migrantinnen und Migranten die Hälfte aller jährlichen Zuwanderungen aus.
Die Unterschiede sind je nach Herkunft der Zugewanderten gross. Gemäss der Studie sind vier von fünf Einwandernden aus Frankreich und Grossbritannien hochqualifiziert. Bei den Personen aus Deutschland und Österreich beträgt dieser Anteil zwei Drittel, während es bei den Portugiesinnen und Portugiesen nur knapp ein Viertel ist.
Die grösste Veränderung gab es bei Migrantinnen und Migranten aus Spanien und Italien. Heute sind über die Hälfte der zugewanderten Personen aus diesen beiden Ländern hochqualifiziert. Vor einem Vierteljahrhundert war dieser Anteil noch viel kleiner.
Die Wissenschaftler erklären sich den Wandel hauptsächlich durch die Nachfrage auf dem schweizerischen Arbeitsmarkt. Die neuen Datensätze zeigen, dass mehr als die Hälfte der hochqualifizierten europäischen Migrantinnen und Migranten schon vor ihrer Einreise in die Schweiz einen Arbeitsvertrag hatten.
Trotzdem habe die internationale Migration nur eine untergeordnete Rolle in der Antwort auf die Bedürfnisse des Arbeitsmarkts gespielt, schreiben die Forscher. Von 2010 bis 2013 konnte sie weniger als 30 Prozent der Nachfrage nach hochqualifizierten Arbeiterinnen und Arbeitern decken. Neue Generationen von jungen Einheimischen, die besser qualifiziert sind als ihre Grosseltern, haben die grössere Rolle gespielt.
Die Untersuchung für die Reihe «Social Change in Switzerland» der beiden Wissenschaftler Philippe Wanner und Ilka Steiner basiert auf mehreren neuen Datensätzen. Beteiligt gewesen waren die Universitäten Lausanne und Genf, das Institut Fors und das Schweizerische Kompetenzzentrum für Forschung.
Herzogin Meghan sogte mit ihrem gestrigen Marktbesuch für ungute Gefühle bei Gatte Prinz Harry: Sie musste das Treffen abbrechen, weil die Halle überfüllt war.
Abrupt endete Herzogin Meghans (37) gestriger Besuch auf dem Markt in Suva. In der Hauptstadt Fidschis hätte sie gestern im Rahmen des Uno-Projekts «Markets for Change» 20 Minuten lang Royal-Fans und Marktverkäufer grüssen sollen. Nach acht Minuten wurde der Besuch plötzlich unterbrochen: Wie «Mirror» berichtete, wurde die schwangere Herzogin aus Sicherheitsgründen weggebracht. «Bevor Meghan den Markt betrat, flüsterte sie ihren Helfern etwas zu», sagte ein Augenzeuge zu «Mirror». Sie habe ausserdem ängstlich ausgesehen.
Prinz Harry (34) war derweil 50 Kilometer weit weg im Colo-i-Suva-Regenwald – Meghan durfte ihn aufgrund des heimtückischen Zika-Virus nicht begleiten. Wie ein Royal-Insider verrät, habe sich Prinz Harry «grosse Sorgen» gemacht. Das Sicherheitsteam habe nach dem Vorfall eine Sitzung einberufen.
«Viele Leute kamen der Herzogin sehr nah»Laut «Mirror»-Fotograf Ian Vogler, der vor Ort war, sei die Markthalle überfüllt gewesen. «Die Gänge waren eng und ich kann verstehen, warum Meghans Sicherheitspersonal den Markt als unsicheres Umfeld einstufte, vor allem für eine Schwangere. Es war sehr heiss und feucht und viele Leute kamen der Herzogin sehr nah.»
Mode-Panne am FlughafenDer Schreck dürfte mittlerweile verdaut sein: Meghan erholte sich mit ihrem Gatten im Luxus-Resort Vatuvara auf der privaten Insel Kaibu. Das Paar ist mittlerweile an seiner nächsten Destination, in Tonga, angekommen.
Doch am zehnten Tag ihrer Pazifikreise passierte der stilsicheren Herzogin glatt eine Modepanne: Bei ihrer Ankunft baumelte noch das Preisschild an ihrem 400-Franken-Kleid! Lange behielt sie dieses aber nicht an. Zur Begrüssungszeremonie und zum Abendessen mit den Ronga-Royals in der Hauptstadt Nukuʻalofa erschien die Herzogin elegant in einem weissen Kleid von Theia Couture. (kad)
YEREVAN, 25 October 2018 – Concluding a two-day visit to Yerevan yesterday, the OSCE Representative on Freedom of the Media, Harlem Désir, welcomed the commitment of the Acting Prime Minister Nikol Pashinyan to strengthen freedom of the media, and encouraged the authorities to undertake additional initiatives.
During his visit to Yerevan, in addition to meeting the Acting Prime Minister, Désir met with Acting Foreign Minister Zohrab Mnatsakanyan, and Acting Justice Minister Artak Zeynalyan to discuss challenges to, and the promotion of, media freedom and other areas where the OSCE Representative may offer legal expertise and assistance.
“I welcome the commitment expressed by the authorities to strengthen media freedom as a cornerstone of democracy. This is especially important in the context of the country’s current political developments,” said Désir. “I encourage the government to vigorously promote a safe and enabling environment for journalists, and to consider steps to strengthen media pluralism, independence of the public broadcaster, transparency of media ownership and access to information.”
The Representative called on the authorities to prioritize the safety of journalists and to act against any threats and intimidation media workers may face. He underlined the importance of measures to further facilitate public access to information. In the meetings, Désir discussed the need for reforms that would guarantee the independence and accountability of public service media and of the National Commission on Television and Radio. He further stressed the necessity of ensuring that the transition from analogue to digital broadcasting will contribute to media pluralism.
The Representative also discussed the challenge of "fake news" and freedom of the media with the Acting Prime Minister.
“Armenia is a very important partner in the promotion of media freedom in the OSCE region. After the elections it will be important to see strong political will from the future government to protect and advance media freedom in the country,” said Désir. “My Office stands ready to work with all stakeholders and contribute with expert advice and recommendations in line with OSCE media freedom commitments and international standards.”
Désir also met with representatives of media and civil society organizations, including the Yerevan Press Club, the Media Initiatives Centre, the Committee to Protect Freedom of Expression, the Freedom of Information Center, the Public Journalism Club, the Armenian Service of Radio Free Europe/Radio Liberty, the MediaMax News Agency, the Eurasia Partnership Foundation, the Regional Studies Center, EVN Report, CivilNet and Hetq. These meetings offered the Representative the opportunity to hear a diversity of professional viewpoints on the media freedom situation in the country. In separate meetings, the Representative also met with the Deputy Human Rights Defender, Artyom Sedrakyan and the Director of Public TV of Armenia, Margarita Grigoryan.
The OSCE Representative on Freedom of the Media observes media developments in all 57 OSCE participating States. He provides early warning on violations of freedom of expression and media freedom and promotes full compliance with OSCE media freedom commitments. Learn more at www.osce.org/fom, Twitter: @OSCE_RFoM and on www.facebook.com/osce.rfom.Ein Fussballfan des FC Schaffhausen traf nach einem Match gegen den FC Winterthur auf zwei Stadtpolizisten in Zivil. Diese liess er seine Abneigung spüren – was ihn nun teuer zu stehen kommt.
Eigentlich hätte der Anhänger des FC Schaffhausen fröhlich gestimmt sein sollen. Sein Team hatte am 6. April auswärts gegen den FC Winterthur mit 2:1 gewonnen. Die Fans marschierten zurück zum Bahnhof. Einer der Schaffhausen-Fans erkannte aber auf dem Weg einen Zivilbeamten der Stadtpolizei.
Laut Strafbefehl, aus dem der «Landbote» zitiert, baute sich der Mann vor dem Polizisten in Zivil auf, stiess ihn zweimal in den Brustbereich, nannte ihn «Scheiss-Zivi» und drohte mit Gewalt. Der Polizist – unterwegs mit einem Kollegen – versuchte die Situation zu entspannen. Doch mehrere Fans unterstützten den Pöbler. Einer vermummte sein Gesicht.
Täter war «Risikofan»Den Polizisten wurde es zu ungemütlich und sie zogen sich zurück. Wie die Zeitung weiter aus dem Strafbefehl zitiert, hätten sie einen «unmittelbaren körperlichen Übergriff» befürchtet. Für den Täter hatte das Konsequenzen. Von der Staatsanwaltschaft wurde er wegen Gewalt und Drohung gegen Beamte zu einer Geldstrafe von 16'000 Franken verurteilt.
Der Täter war als «Risikofan» eingestuft und hatte bereits einmal ein Stadionverbot erhalten. Da der Mann den Strafbefehl nicht angefochten hat, ist das Urteil rechtskräftig. (neo)
By WAM
DUBAI, Oct 25 2018 (WAM)
The 5th World Green Economy Summit (WGES), held under the patronage of His Highness Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, the Vice President, Prime Minister and Ruler of Dubai, concluded today. The summit, held under the theme ‘Driving Innovation, Leading Change’ brought together many prominent speakers from across the globe, in addition to dignitaries and representatives from government organisations, academicians, experts and the media.
Saeed Mohammed Al Tayer, Vice Chairman of the Dubai Supreme Council of Energy, Managing Director and CEO of Dubai Electricity and Water Authority (DEWA), and Chairman of WGES, announced the Dubai Declaration 2018 at the conclusion of WGES 2018, expressing his gratitude and appreciation to His Highness Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, for his patronage of the Summit. He also thanked H.H. Sheikh Maktoum bin Mohammed bin Rashid Al Maktoum, Deputy Ruler of Dubai, for his presence at the opening ceremony of the summit.
Al Tayer said: “Since its inception in 2014, the summit has made great progress and many achievements, notably due to increased cooperation between decision-makers from the public and private sectors. Over 3,700 participants consisting of global experts, thought leaders and business leaders in green economy and sustainable development, have participated in WGES 2018 to discuss key issues such as climate change and global warming.”
“This summit is especially important, because it has set the journey towards the adoption and signature of the agreement establishing the World Green Economy Organisation (WGEO). We sincerely hope that we can count many of your countries amongst the original members of WGEO, who have a very important role in shaping its future,” Al Tayer added.
He further said, “We are concerned by the report recently released by the IPCC defining a stringent scenario for the world to achieve the 1.5 degrees target. Nonetheless we are optimistic, as we know that it can be achieved by harvesting the capabilities of the private sector to make their industries and sectors green. This is why we are here, to form and focus an engine of green transformation built on diversity and entrepreneurship.”
Speaking about the summit’s pillars, Al Tayer said, “WGES 2018 focused on three main pillars including ‘Green Capital’, which has been a focus of discussions at this year’s Summit. This comes at a time when the World Green Economy Organisation (WGEO) and the Global Green Growth Institute (GGGI), signed in October 2018 a partnership agreement in Dubai to fast-track green investments into bankable smart city projects.”
“One of Dubai’s major green projects is the Mohammed bin Rashid Al Maktoum Solar Park. This is the largest single-site solar park in the world. Based on the Independent Power Producer model, it will have a capacity of 5,000MW by 2030. This includes the world’s largest single-site Concentrated Solar Power (CSP) project with a capacity of 700MW,” Al Tayer highlighted.
WAM/Hatem Mohamed/Tariq alfaham
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In Trübbach SG kam es am Mittwochnachmittag zu einer Frontalkollision zwischen einem Auto und einem Lastwagen. Der Autofahrer fuhr ohne Führerschein in nicht nüchternem Zustand. Er wurde verletzt ins Spital gebracht.
Ein 39-jähriger Audi-Lenker baute am Mittwochnachmittag in betrunkenem Zustand einen Unfall auf der Hauptstrasse in Trübbach SG.
Der Mann kam mit seinem Auto aus bisher unbekannten Gründen auf die Gegenfahrbahn, wo es zu einer Frontalkollision mit dem Lastwagen eines 56-jährigen Mannes kam.
Der 39-Jährige wurde dabei verletzt und ins Spital gebracht. Abklärungen der Kantonspolizei St. Gallen ergaben, dass der Audi-Lenker ohne einen gültigen Fahrausweis unterwegs war. Dieser war ihm bereits vorgängig entzogen worden. Ausserdem zeigte ein Atemluftest bei ihm einen Wert von 0.96 mg/l. Aus diesem Grund wurde beim Autofahrer eine Blut- und Urinprobe angeordnet. Es entstand ein Sachschaden von mehr als 20'000 Franken. (man)
In den sozialen Medien erreichen diese Kinderstars Millionen von Menschen – und das, obwohl manche von ihnen noch nicht einmal lesen und schreiben können.
Influencer haben keine Altersbegrenzung! Mit der Unterstützung ihrer Eltern gehen diese Kids auf Youtube viral oder sammeln auf Instagram Likes – und machen damit ordentlich Geld.
Der ErfolgreichsteVom Erfolg des US-Amerikaners Ryan (6) können die meisten Influencer nur träumen. Auf seinem Youtube-Channel «Ryan ToysReviews» spielt der Kindergärtler mit einer Vielzahl an Spielsachen, um sie danach zu bewerten. Mittlerweile hat der Bub 16,7 Millionen Abonnenten auf der Video-Seite, seinen erfolgreichsten Clip haben sich 1,5 Milliarden Menschen angesehen. Auch seine Eltern, die seine Videos filmen und seinen Channel betreuen, dürften sich über den Erfolg ihres Sohnes freuen. Laut «Forbes» konnte der kleine Ryan dank seiner Videos im vergangenen Jahr elf Millionen Dollar durch Werbegelder verdienen. Damit befindet er sich derzeit auf Platz 8 der erfolgreichsten Youtube-Influencer! Nicht schlecht für einen 6-Jährigen.
Die KomikerinMila Stauffer bedient die beliebte Nische von Instagram-Sketches und erreicht damit pro Clip ein Publikum von durchschnittlich anderthalb Millionen Zuschauern. In kurzen Videos beschwert sie sich über erste Dates, Weihnachtsstress oder Smalltalk beim Coiffeur. Der Clou: Stauffer ist nur vier Jahre alt! Ihre Mutter Katie betreut den Instagram-Channel, auf dem Mila auch oft mit ihrer Zwillingsschwester Emma zu sehen ist. Seit Katie 2014 erstmals ein Baby-Foto der Zwillinge gepostet hat, steigt die Follower-Zahl jeden Tag. Inzwischen macht Mila in ihren Comedy-Clips auch Werbung, etwa für Duracell oder Amazon. Ganz wie die Grossen.
Die ModelsDie Zwillinge Alexis und Ava McClure (5) machen auf ihrem Profil grösstenteils das, was man auch bei erwachsenen Instagram-Influencern sieht: Rumstehen und cool aussehen. Die Schwestern sind als Models für berühmte Kindermarken tätig und zeigen ihren 1,5 Millionen Followern auch mal die neueste Kollektion von Levi's. Auch auf Youtube konnten die beiden und ihre Mama Ami inzwischen Fuss fassen. Dank einer Million Follower konnten sie sich auf der «Forbes»-Liste der Top-Kid-Influencer platzieren.
Die SportlicheSogar in der Fitness-Szene sind Kinder-Influencer inzwischen anzutreffen. Bestes Beispiel dafür: Celeste (9), die auf ihrem Instagram-Profil «CC Starrz» unter dem Motto «Auch Kinder können stark sein» fast 35'000 Menschen erreicht. Die Clips, in denen die Primarschülerin Hanteln stemmt, an Ringen turnt und ihr Sixpack präsentiert, hinterlassen dann aber doch einen schalen Beigeschmack. Laut ihrem Mami Crystal, die ihr Profil betreut, fördere der Account aber Celestes Traum, Kunstturnerin zu werden. «Wir sorgen dafür, dass sie glücklich ist», sagt die Mutter zu RTL.
Der SchweizerDoch nicht nur international starten die Kinder-Influencer durch. Auch in der Schweiz haben wir ein bekanntes Beispiel. Auf dem Instagram-Account «ardifashion» zeigt sich der Berner Ardi Klimenta (5) in teuren Markenkleidern, die er von den Firmen oft geschenkt bekommt, und bringt es damit auf stolze 133'000 Abonnenten. Inzwischen hat das Mini-Model sogar ein eigenes Management. In einem «10vor10»-Beitrag sagt sein Vater Kushtrim: «Ich denke, wenn wir sehen würden, dass er das nicht gerne möchte, würden wir auch anders handeln.» (klm)
Aus sechs nackten Männer muss sich Erotik-Sternchen Jeanette den richtigen auswählen. Zum Glück steht ihr der Bruder mit Rat und Tat zur Seite.
Mit Nacktheit hat Jeanette (29) keine Probleme – dafür aber mit Entscheidungen. Bei «Naked Attraction» sucht die Porno-Darstellerin ihren Traummann und muss sich rein anhand von nackten Tatsachen für diesen entscheiden.
Die erste Runde übersteht sie noch alleine, der etwas beleibte Student Felix (22) ist «einfach nicht ihr Typ». Doch als die Sicht-Barrieren auch die Oberkörper freilegen, braucht Jeanette Unterstützung. Und die bekommt sie auch: In Form ihres Bruders Kevin!
«Jetzt haben wir die Qual der Wahl»Der sei, wie das Porno-Sternchen zuvor mehrfach versichert hat, «immer für sie da». Und so steht der etwas schüchterne Kevin an der Seite seiner Schwester, während diese den richtigen Penis für sich aussucht. Viel Entscheidungshilfe kann er aber nicht geben: «Jetzt haben wir die Qual der Wahl. Das sind ja alles schöne Männer.» Nicht nur Kevin drückt Jeanette die Daumen. «Unsere ganze Familie hofft, dass sie jemanden finden wird», versichert der Bruder in der Sendung.
Am Ende konnte Lastwagenfahrer John überzeugen. Der stach Jeanette schon in der ersten Runde wegen seines grossen Revolver-Tattoos auf dem Bauch ins Auge. Und nach einem ersten Date stimmen beide überein: «Die Chemie stimmt.» John hat sogar schon ein Flugticket für einen Besuch bei Jeanette gebucht. Ihre Familie kann sich also freuen. (klm)