La Conférence Episcopale du Bénin (CEB) a tenu du 21 au 24 octobre 2018, sa première session ordinaire plénière, au titre de l'année pastorale 2018-2019. Ladite session a eu lieu au Centre Monseigneur Lucien Monsi Agboka (CEMOLA) de Bohicon.
A travers un communiqué final en date du mercredi 24 octobre 2018, le président de la CEB, Mgr Victor Agbanou, a fait part des questions d'intérêt majeur examinées tout au long des assises.
Les Evêques du Bénin ont béni le Seigneur pour la grâce de cette nouvelle année pastorale.
Au cours de la session, les Evêques ont accordé plusieurs audiences et examiné diverses questions d'intérêt majeur. La CEB s'est réjouie de la ratification et l'entrée en vigueur de l'Accord-Cadre entre le Saint-Siège et le République du Bénin relatif au statut juridique de l'Eglise Catholique au Bénin, intervenue, le 23 août 2018 au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération. Les Evêques du Bénin ont également salué le bon démarrage de l'année scolaire le lundi 17 septembre 2018 sur toute l'étendue du territoire nationale. Ils exhortent les acteurs du système éducatif à bien jouer leur partition pour une année apaisée et réussie.
Pa ailleurs, la CEB s'est inquiétée de l'introduction progressive dans le système éducatif, des droits sexuels et reproductifs. Une situation qui selon le communiqué « risquent d'encourager la permissivité sexuelle, la mentalité contraceptive et la diffusion de l'homosexualité ».
Elle invite « tous les parents d'élèves à la vigilance et les responsables de l'enseignement catholique et de la catéchèse à mettre dans les meilleurs délais à la disposition des familles et des structures éducatives, les manuels appropriés pour une bonne éducation affective ».
Les Evêques du Bénin se sont penchés aussi sur la situation socio-politique du pays. Ils ont relevé « la satisfaction et l'assurance des uns mais aussi la précarité croissante, la peur, la colère ou même la révolte des autres, les clivages de plus en plus prononcés au niveau de la classe politique, la montée de la violence verbale ». Face à cela, la CEB invite les fidèles catholiques et les personnes de bonne volonté à redoubler d'ardeur dans la prière accompagnée de jeûne.
Aussi, les Evêques du Bénin ont-ils encouragé la célébration du 4 au 8 février 2019, du jubilé d'or de la création de l'Union du Clergé Béninois (UCB).
LA CEB a salué et félicité la bonne tenue du pèlerinage marial national à la Grotte Notre Dame d'Arigbo de Dassa qui a eu lieu en août 2018 et a lancé un appel aux jeunes, aux acteurs politiques, aux fils et filles pour un développement durable du Bénin.
Aux termes de leurs assises, les Evêques du Bénin, ont imploré l'abondance des grâces divines sur le peuple béninois et ses dirigeants.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
NEW YORK (Nations unies), 25 oct 2018 (APS) – Le Conseil de sécurité devrait proroger le mandat de la Minurso de six mois, jusqu’au 30 avril 2019, dans une démarche visant à appuyer la relance des négociations directes entre les deux parties au conflit, le Front Polisario et le Maroc.
La toute première mouture du projet de résolution sur la Minurso, consultée par l’APS, prévoit une prorogation de six mois seulement, déclinant la demande du secrétaire général, Antonio Guterres qui a recommandé une prolongation d’une année dans son nouveau rapport sur le Sahara Occidental.
Le Conseil de sécurité, conforté par la position américaine, veut préserver la dynamique insufflée par l’émissaire Horst Kohler et maintenir la pression sur les partis au conflit afin qu’ils reviennent à la table des négociations.
La dernière fois où le Front Polisario et le Maroc se sont installés à la même table de négociations remonte à mars 2012 à Manhasset aux Etats-Unis. Depuis le processus de paix est au point mort.
La durée de la prorogation est au centre des tractations entamées à New York sur cet avant-projet en prévision de son adoption lundi prochain.
Les Etats-Unis, porte-plume des résolutions sur le Sahara Occidental, sont catégoriques sur cette question, estimant qu’un renouvellement de six mois était le seul moyen d’appuyer la relance du processus de paix et de mettre un terme au statut quo au Sahara Occidental.
La France quant à elle s’est dit favorable à une prolongation d’une année évoquant « un élan politique » et « une dynamique positive » sur lesquels il faut bâtir.
Le projet de résolution invite le secrétaire général à informer régulièrement le Conseil de sécurité de l’évolution des négociations à chaque fois qu’il le juge opportun, le priant de présenter un rapport sur la situation au Sahara Occidental avant l’expiration du mandat de la mission onusienne.
Le Conseil a réaffirmé son plein appui au président Kohler, et se félicite que les parties au conflit, le Front Polisario et le Maroc, et les pays voisins et observateurs, l’Algérie et la Mauritanie, aient répondu favorablement à l’invitation de kohler de participer aux discussions de Genève en décembre.
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Avec les changements socioéconomiques que vit nos sociétés au 21ème siècle, nulle ne peut négliger l’impact du choix de la source de l’alimentation sur la santé et l’équilibre familiale.
Les études ont démontré un recours de plus en plus important au fast food par les ménages des pays développés à cause de l’augmentation du nombre de femmes sur les lieux de travail. Cette contrainte familiale stressante, imposée par la situation économique et le besoin d’augmenter les budgets pour faire face aux dépenses domestiques de plus en plus importantes, n’est pas sans impact sur la santé des enfants à cause du taux élevé du sucre ajouté et des calories dans les produits contre une valeur nutritionnelle faible.
Les parents doivent trouver l’équation qui préserve à la fois la santé et l’équilibre financier sans oublier l’aspect efficience énergétique de plus en plus important. Changer l’électroménager vers un autre plus efficace est une solution capable de réduire le temps alloué à faire la cuisine (conformément aux contraintes professionnelles des chefs de familles), garantir une alimentation saine (en faisant recours à des repas frais ou faits-maison) et réduire la facture énergétique (en utilisant des équipements écologiques).
L’équipementier électroménager LG a pu trouver le consensus magique entre l’ensemble des aspects cités ci-dessus à travers sa technologie intelligente orientée vers le consommateur. Cette technologie apporte bien plus que de la commodité à l’expérience utilisateur. En s’assurant que chaque appareil fonctionne aussi efficacement que possible, la consommation globale d’énergie est réduite, ce qui permet d’économiser de l’argent tout en réduisant l’impact sur l’environnement. En plus, la connectivité des appareils va optimiser l’expérience culinaire en réduisant le temps d’attente vers un cycle pratique de procédures du choix de la recette à l’accomplissement de la vaisselle et ce en faveur de l’accroissement du temps accordé au repos et à la vie familiale.
Avec une gamme complète de solutions intelligentes, LG dispose d’un appareil connecté pour tous les besoins imaginables, capable de fonctionner avec d’autres appareils LG ThinQ, équipés des solutions d’intelligence artificielle, ainsi qu’avec des appareils intelligents d’Amazon et de Google. LG utilise également le dernier cri en matière de conception ergonomique avec ses réfrigérateurs Door-in-Door améliorant la commodité tout en minimisant les pertes d’air froid.
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ZURICH – La sélection algérienne de football a gagné deux places (67e) au classement mondial du mois d’octobre, publié jeudi par la Fédération internationale (Fifa) sur son site officiel.
Les Verts, qui restent sur une victoire (2-0) et une défaite (1-0) face au Bénin en qualifications de la CAN-2019, pointent au 13e rang au niveau continental derrière la Tunisie (22e), le Sénégal (25e), le Nigeria (44e), la RD Congo (46e), le Maroc (47e), le Cameroun (51e), le Ghana (52e), le Burkina Faso (57e), l’Egypte (58e), la Côte d’Ivoire (64e), la Guinée (65e) et le Mali (66e).
Le Togo, prochain adversaire de la sélection nationale le 18 novembre prochain à Lomé à l’occasion de la 5e journée des qualifications de la CAN-2019, stagne à la 123e position. Le Bénin et la Gambie, qui complètent le groupe D des qualifications, pointent respectivement aux 87e et 173e places.
Dans le haut du classement, la Belgique a pris les commandes, devant la France. L’échange des places entre Angleterre (5e) et Uruguay (6e) est le seul autre mouvement dans le Top 10.
Beaucoup plus loin, Gibraltar (190e) « enregistre la meilleure progression en termes de places (+8) grâce à deux victoires – les premières de son histoire – contre l’Arménie et le Liechtenstein, atteignant du même coup son meilleur classement », écrit la Fifa.
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ALGER – La coopération et les échanges dans les domaines de la culture et les arts ont été au menu des discussions menés mardi par le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, avec plusieurs de ses homologues africains chargés de la Culture, en marge de la 3e session ordinaire du Comité technique spécialisé sur la jeunesse, la culture et les sports, ouverte dimanche à Alger.
Azzedine Mihoubi a évoqué avec son homologue sud-africaine, la vice-ministre des Arts et de la Culture, Makhotso Magdeline Sotyo, les moyens d’élargir les champs de coopération culturelle entre les deux pays, liés par des relations culturelles, historiques et diplomatiques.
« Nous avons évoqué notamment les champs de coopération dans le domaine culturel et l’organisation des manifestations culturelles dans les deux pays », a déclaré M. Mihoubi à l’issue de ses entretiens avec Mme Makhosto Magdeline Sotyo, rappelant que l’Algérie avait célébré cette année le centenaire de la naissance du président sud-africain, Nelson Mandela (1994-1999), figure emblématique de de la lutte anti-apartheid.
Avec le ministre de la Culture et des Arts de la République du Congo Brazzaville, Moyongo Dieudonné, Azzedine Mihoubi a évoqué les volets relatifs à la formation dans les domaines des Beaux-arts et du cinéma entre autres.
Moyongo Dieudonné a déclaré à l’issue de ses entretiens avec M. Mihoubi, que son pays souhaite bénéficier de l’expérience algérienne dans le domaine des Beaux-arts.
Les entretiens avec son homologue malawienne Grace Chiumia Sikitiko ont porté sur l’examen des champs de coopération dans le domaine culturel et la signature prochaine d’un mémorandum d’entente sur la coopération bilatérale.
Azzedine Mihoubi devra poursuivre mercredi ses entretiens avec d’autres ministres chargés de la Culture des Etats membres de l’Union africaine (UA).
La rencontre qui s’inscrit dans le processus de concrétisation des objectifs de l’Agenda 2030 de l’UA, vise la valorisation du patrimoine culturel et la préservation de la diversité culturelle et identitaire du continent.
La réalisation du Musée de l’Afrique, que devra accueillir la « Villa du Traité » d’El Biar (bien culturel classé), sur les hauteurs d’Alger, et la création d’une fédération africaine des droits d’auteurs sont parmi les propositions de l’Algérie adoptées par la 3e session ordinaire du Comité technique spécialisé sur la jeunesse, la culture et les sports qui se poursuit jeudi à Alger.
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ALGER- La déléguée nationale, présidente de l’Instance nationale de la protection et de la promotion de l’enfance, Meriem Cherfi a annoncé, mercredi à Alger, la mise en place du Réseau de la société civile pour la promotion et la protection des droits de l’enfant, composé de 30 associations nationales et locales activant dans ce domaine.
Intervenant lors des travaux d’une rencontre sur le réseautage avec la société civile pour la protection de l’enfance, Mme Chorfi a indiqué que ce réseau aura « un rôle important » dans le renforcement du travail de proximité à même de jeter les ponts de coopération entre les différents acteurs en la matière, soulignant que Mme Nouara Saadia Djaafar a été choisie comme présidente d’honneur de ce réseau.
Les membres du réseau avaient déjà participé à plusieurs sessions de formation sur les domaines de la promotion et de la protection de l’enfance organisées récemment par l’Instance, a fait savoir la déléguée nationale, ajoutant que les portes du réseau demeuraient ouvertes et ce pour consolider le travail de terrain dans le domaine de la prise en charge « efficace » de l’enfance notamment en termes de mécanismes de protection à travers la diffusion de la culture du signalement de tout ce qui porte préjudice aux droits de cette frange de la société.
Par ailleurs, la même responsable a fait état de plus de 600 signalements reçus par son instance depuis le lancement du numéro vert 1111 en avril dernier, et de 3.000 à 5.000 appels, majoritairement des demandes d’orientation ou de renseignements relatives à l’enfance ou aux missions de l’instance.
Pour sa part, Mme. Nouara Djaafar a mis en avant le rôle de la société civile dans la mise en oeuvre des politiques et des programmes liées à la promotion de l’enfance par le travail de proximité, insistant sur l’importance de « la coordination des efforts » entre les différents intervenants dans la prise en charge de cette catégorie avec les mécanismes d’évaluation et de suivi.
A cette occasion, la même intervenante a souligné le rôle des associations en matière de sensibilisation et d’accompagnement au profit des différentes catégories, étant » l’intermédiaire » qui assure la liaison avec les pouvoirs publics, « partenaire important » qui contribue à l’identification des besoins et de signalement des préoccupations en vue d’assurer une prise en charge efficace.
Pour leur part, les participants à cette rencontre qui a regroupé des représentants de 60 associations et de quelques départements ministériels en charge de l’enfance, ont préconisé la mise au point de mécanismes de coordination entre l’ONPPE et la société civile, en oeuvrant au développement de l’action préventive et à la mise en place d’un guide pratique en vue d’intervenir dans le domaine de la protection de l’enfance et la consolidation des mécanismes visant l’encouragement d’équipes
composées d’éducateurs au sein des quartiers, la mise en place d’un système informatique, via la création d’un site électronique regroupant les différentes données et les réalisations accomplies dans le domaine de l’enfance en Algérie.
Les participants ont également suggéré d’élaborer des rapports périodiques sur les activités du Réseau de la société civile, lesquels seront soumis, tous les trois mois, à L’ONPPE, l’intensification des campagnes de sensibilisation dans le domaines de l’enfance, outre le renforcement des capacités des associations à travers le soutien aux sessions de formation, en sus de la constitution d’un comité de coordination regroupant des représentants de l’ONPPE et de la société civile en matière de protection de l’enfance.
A signaler que cette rencontre a été organisée par l’ONPPE, en collaboration avec l’Organisation internationale de la réforme pénale pour la région Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (MENA).
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Écrit par Hamid Bellagha
Le président-directeur général du groupe Sonelgaz a tenu une séance de travail, doublée d’une conférence de presse à l’endroit des journalistes, curieusement pas très nombreux, et les absents ont toujours tort, pour exposer les grands axes de la politique du groupe et les moyens pour y parvenir.
Arkab Mohamed est un enfant de la boîte, installé le 30 août 2017 à la tête de Sonelgaz en remplacement de Guitouni Mustapha, promu depuis ministre de l’Energie. Pour la circonstance, le P-DG était accompagné de tous les cadres dirigeants de la société, auxquels un discours circonstancié a été développé. Nous n’oublierons pas Telli Achour, président du syndicat de Sonelgaz et du CP, partenaire social. Trois axes de développement ont été retenus par M. Arkab, que ce soit lors de la séance de travail ou pendant la conférence de presse qui a suivi. Le président du groupe a repris à bras-le-corps le premier axe, si cher à ses prédécesseurs : réduire le taux de perte de l’entreprise. Situé à presque 20%, parfois plus, ce taux occasionne des pertes énormes au groupe, malgré tous les efforts qui ont été consentis ces dernières années. «Nous sommes un groupe très important dans le bassin méditerranéen. Le taux de perte pour les géants des fournisseurs d’énergie se situe aux environs des 6%. Nous atteindrons ces 6 %. Mais pour le moment, nous visons un taux de 12 % pour toutes les sociétés, prochainement, et ce n’est pas une mince affaire», dira en substance M. Arkab. Le second axe concernera un autre cheval de bataille du groupe, essentiellement pour la filiale de distribution qu’est la SDC, le recouvrement des impayés. Pour cela une batterie importante de moyens humains et matériels a été mise en œuvre il y a trois années qui consiste à aller jusqu’au client pour récouvrer les factures impayées.
Les ménages, quelques directions étatiques et moult entreprises économiques constituent le gros des mauvais payeurs. Pour l’exemple, les agences d’Aïn M’lila et Aïn Fakroun pesaient dans le décompte de l’ex-SDE, et qui sont actuellement sous l’autorité hiérarchique de la SDC, près de 20 % du manque à gagner, sachant que cette dernière compte près de 100 agences et quelque 4 millions d’abonnés à travers les 16 wilayas de l’Est. Enfin, the last but not the least, le troisième volet abordé par M. Arkab a touché à la réorganisation du groupe Sonelgaz.
Initialement, cette dernière, héritière de l’EGA, était la seule entité qui intervenait à travers tout le territoire algérien par le biais de directions régionales. Puis un groupe éponyme s’est constitué, composé de plusieurs filiales, pour atteindre, au fur et à mesure, une quarantaine. Ce qui a, semble-t-il, créé un frein au développement du groupe, qui commençait à étouffer sous le poids des filiales qui n’étaient pas toutes utiles, faut-il le souligner.
Le recouvrement, cheval de bataille
Pour cela, le groupe a voulu réduire le nombre de ses filiales pour n’en laisser qu’une dizaine, surtout celles des métiers de Sonelgaz, la production, le transport et la distribution. Actuellement, le nombre de filiales est en train d’être réduit progressivement comme le veulent les cadres dirigeants de Sonelgaz, et à leur tête M. Arkab. Le nombre de filiales est actuellement de 13, un nombre encore à réduire pour atteindre les buts et les prévisions du groupe Sonelgaz. Tout cela sous l’œil vigilant du partenaire social représenté par Telli Achour. Ce dernier, de tous les combats du groupe depuis des années, ne voudrait pas que les travailleurs restent en plan à cause d’un développement technique qui pourrait leur nuire. «Le travailleur restera toujours notre raison d’être. Nous protégeons chaque jour nos travailleurs en essayant de parfaire une grille de salaires à la mesure des efforts consentis. Nous ne voulons pas non plus que nos travailleurs et cadres ratent le train de la modernité, puisque nous prévoyons de faire des formations à partir de janvier 2019 pour 4 000 travailleurs.
Pour leur confort et santé, nous prévoyons aussi de renforcer les 53 centres de soins qui existent, tout en créant dans un avenir très proche 4 cliniques médicales modernes dotées de tous le nécessaire humain et matériel. Je n’oublierais pas les centres de vacances qui vont être rafraichis et agrandis peu-à-peu.» Propos du patron du syndicat de Sonelgaz, très applaudi, comme cela est le cas à chaque prise de parole dans les séances de travail du groupe. M. Arkab, dont c’est la première apparition sur le territoire de l’Est, le plus important dans la distribution en nombre d’abonnés, en chiffre d’affaires et en personnel, devrait tenir de telles séances de travail et de presse régulièrement, c’est l’avis de Telli Achour qui tient à ce que «la presse soit toujours informée de ce qui se passe à Sonelgaz». Rendez-vous est donc pris !
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ALGER- Un collecteur sera réceptionné à la fin de l’année en cours au niveau de Oued Ouchayah (Alger), dans le cadre des efforts visant à faire face aux risques d’inondations dans nombre de communes de la capitale, en attendant le parachèvement du projet de remblayage de ce Oued et sa transformation en voie publique à l’horizon 2020, a indiqué mercredi le chargé des projets au niveau de la direction des Ressources en eau d’Alger, Abdelhakim Alioua.
Lors d’une visite d’inspection de plusieurs projets par les membres de la Commission d’urbanisme et d’habitat à l’Assemblée populaire de wilaya (APW), M. Alioua a fait état de « la réception, en décembre 2018 au niveau de Oued Ouchayah, d’un collecteur dont le taux d’avancement des travaux a atteint 96% », précisant que « ce projet mettra fin au problème d’inondations dans les communes de Birkhadem, Ain Naâdja, Bir Mourad Rais, Hussein Dey (rue Tripoli), Bachdjerrah (Tennis) et Kouba (Appreval) ».
Evoquant le projet de remblayage de Oued Ouchayah pour le transformer en voie publique à l’horizon 2020, le même responsable a indiqué que les travaux enregistrent un taux d’avancement de 40%.
Il a ajouté que le budget alloué au projet collecteur s’élève à 4,15 milliards de DA, alors que celui du remblayage de Oued Ouchayah est de 3,6 milliards de DA, a déclaré M. Alioua.
Concernant les difficultés entravant la réalisation de ces deux projets, le représentant de la direction des Ressources en eau d’Alger a cité les bidonvilles construits au abords du Oued et le problème du jet des déchets solides à l’origine des crues pluviales.
Afin de pallier à ce problème, des sociétés privées ont été chargées de procéder quotidiennement à des opérations de nettoyage pour éviter l’accumulation des déchets solides, a indiqué M. Alioua faisant état du relogement de 400 familles dans des logements décents.
Par ailleurs, la Commission de l’urbanisme et de l’habitat de l’APW d’Alger a effectué une visite d’inspection au au lycée Chahid Kharbouche Hamoud à Dergana et à la station de traitement des eaux usées (STEP) de Reghaia, dont la capacité a été augmentée.
Dans ce contexte, la présidente de la Commission, Kheras Zakia a déclaré que la wilaya d’Alger avait entamé la réalisation de 11 lycées au niveau « des nouvelles citées » pour assurer à l’ensemble des scolarisés des places pédagogiques, expliquant « qu’il manque seulement une assiette pour l’édification du lycée au niveau de la nouvelle citée d’El Hammamet, malgré la disponibilité du budget ».
Concernant les travaux de la deuxième tranche de la STEP de Reghaia, elle a précisé qu’il s’agit d’une extension pour augmenter ses capacités de traitement, notamment avec la construction de nouvelles cités, indiquant que cette station, couvrant les communes de Bordj el Bahri, Bordj el Kiffan, Heuraouas, Rouiba, Reghaia et El Marsa, visait la préservation du Lac de Reghaia.
Cette station, a expliqué Mme. Kheras, prend en charge l’épuration de 90% des déchets émanant des unités industrielles situées à Reghaia pour éviter la pollution de l’environnement, a-t-elle ajouté.
Les eaux épurées sont destinées à « l’irrigation de l’ensemble des espaces verts à travers la wilaya d’Alger », a soutenu M. Alioua.
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ZÜRICH - Vor einem Jahr war die Geburtsstunde der SwissID. Inzwischen hat sich einiges getan. Der Kreis der Anwender, Partner und Anbieter wächst. Neu ist auch Ringier dabei.
Eines für alles! Das ist die Idee hinter SwissID. Ihr Ziel: Die sogenannte elektronische Identität bringt Ordnung ins Passwort-Chaos. Verschiedene Zugänge, etwa für den Online-Billettkauf, das Post-Konto oder E-Banking kann man sich damit sparen.
Lanciert wurde die Idee vor einem Jahr am Digitaltag. Inzwischen ist sie in der Bevölkerung angekommen. Über 500'000 Anwender nutzen SwissID. Damit gibt sich das Projekt aber nicht zufrieden. Bis Ende 2022 sollen es über 4 Millionen werden, wie Markus Naef anlässlich des zweiten Digitaltags vermeldet. Er ist CEO der SwissSign Group, dem Gemeinschaftsunternehmen hinter der E-Identität.
20 Partner ziehen an einem StrangAuch dieses erhält immer mehr Zulauf. Neu dabei ist die Luzerner Kantonalbank (LUKB). Als erste konkrete Folge wird man sich Anfang 2019 auf ihrer Crowdplattform funders.ch mit der SwissID einloggen können. Weitere Anwendungsmöglichkeiten sollen dazukommen.
Für die LUKB passt die Partnerschaft zur Digitalisierungsstrategie. CEO Daniel Salzmann ist überzeugt, «dass eine sichere und benutzerfreundliche digitale Identität eine zentrale Voraussetzung für die Digitalisierung des Werk- und Finanzplatzes Schweiz darstellt».
Schon seit Anfang mit dabei sind etwa die SBB, die Post, die Grossbanken UBS und Credit Suisse oder auch Swisscom. Insgesamt mischen inzwischen 20 Partner mit.
Auch BLICK-Leser profitierenAuch für die Anwender gibts Neues. Das Medienhaus Ringier führt neu die SwissID ein. Als Erstes werden sich Leser bei Blick.ch damit anmelden können. Weitere Angebote werden folgen.
Zum praktischen Aspekt von einem Login für alles gibt es für CEO Marc Walder noch einen zweiten Grund, der für die einheitliche SwissID spricht: «Es ist davon auszugehen, dass die Nutzer unserer digitalen Angebote zu einer Schweizer Login-Lösung mehr Vertrauen fassen werden als zu einer Registrierung über Facebook oder Google.»
Und tatsächlich wird Datensicherheit bei SwissID grossgeschrieben. Alle Daten bleiben in der Schweiz und der Nutzer behält jederzeit die Kontrolle über seine Angaben. Er kann individuell entscheiden, wie viel er den einzelnen Onlinedienstanbietern mitteilen will.
This report is for the media and the general public.
The SMM recorded fewer ceasefire violations in Donetsk region and more in Luhansk region, compared with the previous reporting period. It followed up on reports of a civilian casualty in Marinka. An explosion occurred 100m from an SMM patrol, assessed as inside the Stanytsia Luhanska disengagement area. The Mission also recorded ceasefire violations near the Petrivske disengagement area. The SMM’s access remained restricted in all three disengagement areas as well as near Zaichenko, Bezimenne, Kozatske and Novolaspa.* The SMM observed weapons in violation of withdrawal lines on both sides of the contact line. It facilitated and monitored adherence to the ceasefire to enable repairs to critical civilian infrastructure in Donetsk and Luhansk regions, as well as to enable demining in Zolote-2/Karbonit and Nyzhnoteple. In Kyiv and Dnipro, the SMM monitored public gatherings against rising gas costs.
In Donetsk region, the SMM recorded fewer ceasefire violations,[1] including 140 explosions, compared with the previous reporting period (about 150 explosions).
On the evening of 23 October, while in Svitlodarsk (government-controlled, 57km north-east of Donetsk), the SMM heard about 35 undetermined explosions 3-12km at directions ranging from east to west-south-west and about 160 bursts and shots of heavy-machine-gun and small-arms fire 3-7km at directions ranging from south-east to west-south-west.
On the evening and night of 23-24 October, the SMM camera at the Donetsk Filtration Station (DFS) (15km north of Donetsk) recorded 13 explosions (one assessed as an airburst and the remainder undetermined) and 34 projectiles in flight (mostly from north-east to south-west and from west to east), all 0.5-4km at southerly directions.
On the evening and night of 23-24 October, the SMM camera 1.5km north-east of Hnutove (government-controlled, 20km north-east of Mariupol) recorded four undetermined explosions and about 55 projectiles in flight (mostly from north to south), all 2-4km at directions ranging from north-east to east-south-east.
During the day on 24 October, positioned about 1km north-west of the railway station in Yasynuvata (non-government-controlled, 16km north-east of Donetsk), the SMM heard 23 undetermined explosions and about 290 bursts and shots of heavy-machine-gun and small arms fire, all 1-4km at southerly and westerly directions.
In Luhansk region, the SMM recorded more ceasefire violations, including 45 explosions, compared with the previous reporting period (one explosion).
On the afternoon of 24 October, positioned in Zolote-2/Karbonit (government-controlled, 62km west of Luhansk), the SMM heard 42 explosions assessed as artillery rounds and uncountable bursts and shots of heavy-machine-gun, automatic grenade launcher and infantry fighting vehicle (IFV) cannon fire, all 3-8km south-east.
The SMM followed up on reports of a civilian casualty in Marinka (government-controlled, 23km south-west of Donetsk). On 22 October, at the Marinka District Hospital in Kurakhove (government-controlled, 40km west of Donetsk), accompanied by a Ukrainian Armed Forces officer of the Joint Centre for Control and Co-ordination (JCCC), the SMM saw a man (aged 40) with a bandage on his right thigh. He told the SMM that during the day on 21 October, while repairing the roof of his house at 28 Matrosova Street in Marinka, he had heard a burst of small-arms fire and then felt pain in his right thigh. On 24 October, medical staff at the same hospital told the SMM that the man had been admitted to the hospital on the evening of 21 October with a wound in his right thigh caused by a bullet.
The SMM continued to monitor and to pursue full access to the disengagement areas near Stanytsia Luhanska (government-controlled, 16km north-east of Luhansk), Zolote (government-controlled, 60km west of Luhansk) and Petrivske[2] (non-government-controlled, 41km south of Donetsk), as foreseen in the Framework Decision of the Trilateral Contact Group relating to disengagement of forces and hardware of 21 September 2016. The SMM’s access remained restricted, but the Mission was able to partially monitor them.*
On the evening and night of 23-24 October, while on the eastern edge of Stanytsia Luhanska, the SMM heard an undetermined explosion 4-5km south-south-east and 34 shots of small-arms fire 3-5km south-west, all assessed as outside the disengagement area. In the morning of 24 October, positioned about 300m north of the Stanytsia Luhanska bridge (15km north-east of Luhansk), inside the disengagement area, the SMM heard an explosion approximately 100m west, assessed as probably caused by a mine or unexploded ordnance (UXO) inside the disengagement area.
On the morning of 24 October, positioned about 2km north of Petrivske for about 60 minutes, the SMM heard an undetermined explosion 5-6km south and two bursts of small-arms fire 2-3km south, all assessed as outside the disengagement area.
The SMM continued to monitor the withdrawal of weapons in implementation of the Memorandum and the Package of Measures and its Addendum. In violation of withdrawal lines in government-controlled areas, on 23 October, an SMM long-range unmanned aerial vehicle (UAV) spotted a surface-to-air missile system (9K35 Strela-10) near Novoluhanske (53km north-east of Donetsk).
In violation of withdrawal lines in non-government-controlled areas, on 23 October, an SMM long-range UAV spotted two surface-to-air-missile systems (9K35) in Pervomaisk (58km west of Luhansk).
Beyond the respective withdrawal lines but outside designated storage sites in government-controlled areas, on 23 October, an SMM long-range UAV spotted six tanks (T-72) near Siversk (99km north of Donetsk), six anti-tank guns (MT-12 Rapira, 100mm) near Vyimka (93km north of Donetsk), 19 tanks (T-64), three surface-to-air missile systems (9K35) and two self-propelled anti-aircraft systems (2K22 Tunguska) near Spirne (96km north of Donetsk) and three surface-to-air missile systems (9K33 Osa) near Verkhnokamianka (84km north-west of Luhansk).
The SMM observed armoured combat vehicles and an anti-aircraft gun [3] in the security zone. In government-controlled areas, on 23 October, an SMM long-range UAV spotted eight IFVs (BMP-1) and an armoured personnel carrier (APC) (MT-LB) near Troitske (69km west of Luhansk), and four IFVs (BMP-1) and an APC (BTR-70 or BTR-80) near Novoluhanske. On 23 October, the SMM saw an anti-aircraft gun (ZU-23, 23mm) mounted on a truck near Zalizne (formerly Artemove, 42km north-east of Donetsk). On 24 October, the SMM saw two APCs (BTR-80) near Shchastia (20km north of Luhansk).
In non-government-controlled areas, on 23 October, an SMM long-range UAV spotted five APC (MT-LB) in Pervomaisk and two IFVs (BMP-1) near Sanzharivka (67km north-east of Donetsk). On 24 October, the SMM saw an IFV (BMP-1) near Starolaspa (51km south of Donetsk).
The SMM continued to facilitate and monitor adherence to the ceasefire to enable repairs to water wells near Krasnyi Lyman (non-government-controlled, 30km north-west of Luhansk), to water pipelines and the phenol sludge reservoir near Zalizne and to the Petrivske pumping station near Artema (government-controlled, 26km north of Luhansk). The SMM continued to monitor adherence to the ceasefire to enable demining in Zolote-2/Karbonit and in Nyzhnoteple (government-controlled, 26km north of Luhansk). The SMM also continued to facilitate the operation of the DFS.
The SMM monitored two public gatherings in Kyiv and one in Dnipro against rising gas costs. In Kyiv, the SMM saw about 500 people (mostly aged 60-80; 70 per cent women and 30 per cent men) near the building of the Presidential Administration at 11 Bankova Street. Participants were holding dozens of flags of a political movement and banners with messages critical of the increase of gas prices. In front of the building of the Cabinet of Ministers at 12/2 Mykhaila Hrushevskoho Street, the SMM saw about 100 people (aged 40-60, 60 per cent men and 40 per cent women), many of whom were holding flags of a political movement and similar banners. In Dnipro, the SMM observed about 450 people (mixed genders and ages) gathered in front of the building of the Regional State Administration at 1 Oleksandra Polia Avenue, some of them carrying national Ukrainian flags and flags of a political movement. Some participants held speeches critical of the Government’s decision to increase the cost of gas from 1 November. All three protests ended peacefully.
The SMM continued monitoring in Kherson, Odessa, Lviv, Ivano-Frankivsk, Kharkiv and Chernivtsi.
*Restrictions of SMM’s freedom of movement or other impediments to fulfilment of its mandate
The SMM’s monitoring and freedom of movement are restricted by security hazards and threats, including risks posed by mines, UXO and other impediments – which vary from day to day. The SMM’s mandate provides for safe and secure access throughout Ukraine. All signatories of the Package of Measures have agreed on the need for this safe and secure access, that restriction of the SMM’s freedom of movement constitutes a violation, and on the need for rapid response to these violations. They have also agreed that the JCCC should contribute to such response and co-ordinate mine clearance. Nonetheless, the armed formations in parts of Donetsk and Luhansk regions frequently deny the SMM access to areas adjacent to Ukraine’s border outside control of the Government (for example, SMM Daily Report 22 October 2018). The SMM’s operations in Donetsk and Luhansk regions remain restricted following the fatal incident of 23 April 2017 near Pryshyb; these restrictions continued to limit the Mission’s observations.
Denials of access:
Regular restrictions related to disengagement areas and mines/UXO:
[1] Please see the annexed table for a complete breakdown of the ceasefire violations as well as a map of the Donetsk and Luhansk regions marked with locations featured in this report.
[2] Due to the presence of mines, including on a road between Bohdanivka and Petrivske, the SMM’s access to its camera in Petrivske remains limited, and thus the SMM has not been able to access observations from the camera since 22 June 2018.
[3] This hardware is not proscribed by the provisions of the Minsk agreements on the withdrawal of weapons.
[4] The SMM informed Ukrainian Armed Forces officers of the JCCC. Russian Federation Armed Forces officers of the JCCC withdrew from the JCCC as of 18 December 2017.
A hozzávetőlegesen 1,3 millió lakosú Belgrádban a becslések szerint 3-5 ezer hajléktalan van, közülük ezer kiskorú. Egy civil szervezet egy évvel ezelőtt útjára indított egy programot: Drumodom - Út a lakáshoz címmel.
Júniusban az interneten kampányt indítottak és a megvalósítandó projektre sikerült összegyűjteniük 75 ezer dollárt, amit a Google további 100 ezer dollárral támogatott. A projekt ötletét a San Fransisco-i LavaMae szervezettől vették. Az amerikai nagyvárosban három évvel ezelőtt jelent meg egy hasonló autóbusz a városvezetés segítségével.
A Drumodom az összegyűlt pénzből az amerikai példához hasonlóan felújít egy autóbuszt, aminek szolgáltatásait ingyenesen vehetik igénybe azok, akik az utcán kénytelenek élni.
A buszban lesz két zuhanykabin, WC, emellett különféle szolgáltatások a hajléktalanoknak: fodrász, szociális és pszichés támogató szolgálat, segítségnyújtás személyi okmányok beszerzésében, segítség egészségügyi ellátásban, munkavállalásban, lakhatási lehetőség keresésében, ruhák, cipők biztosítása.
Az autóbusz egy olyan központ lesz, ahol egy helyen tudnak segítséget nyújtani az arra rászorulóknak.
A Drumodom az első ilyen projekt lesz Európában. Szerbiában az ADRA – Adventista fejlesztési és humanitárius szervezet támogatja, együttműködve a Topaloworks építészeti stúdióval, emellett logisztikai támogatást kapnak a szerb főváros kerületeinek elöljáróságaitól.
fotó: facebook
In der ersten Donnerstags-Partie in Basel bezwingt Medwedew den Italiener Seppi in zwei Sätzen.
Das erste Duell am Donnerstag in Basel stand ganz im Zeichen von jung gegen alt. Der russische Youngster Daniil Medwedew (22, ATP 20) überzeugt mit seiner ungewöhnlich schlaksigen Athletik. Sein zwölf Jahre älterer Gegner Andreas Seppi (34, ATP 43) punktet immer wieder mit seiner Ruhe und mit seinen auf die Linie platzierten Bällen.
Schlussendlich gewinnt die Athletik, der Youngster aus Russland. Medwedew krallt sich den ersten Satz im Tiebreak. Im zweiten Satz übernimmt der 22-Jährige das Geschehen auf dem Centre Court und bezwingt den Oldie mit 6:2. Ciao Seppi!
Die weiteren Partien am Donnerstag:Tsitsipas s. Gojowczyk 6:3, 6:1
Bautista Agut s. Lajovic 6:7, 6:3, 6:3
Zverev s. Popyrin 6:4, 6:4
Federer s. Struff 6:3, 7:5
Simon s. Gulbis 7:6, 7:6
ZÜRICH - Im dritten Quartal hat die UBS einen Gewinn von 1,25 Milliarden Franken erzielt. Mit so viel hatte niemand gerechnet. Doch die wirkliche Überraschung: Künftig wird sie ihre Resultate in Dollar vorlegen – und nicht mehr in Franken!
Es ist natürlich immer eine Frage der Perspektive: 1,25 Milliarden Franken Gewinn sind für die UBS ein gutes Quartalsergebnis. Deutlich mehr als vor noch vor einem Jahr im dritten Quartal – und deutlich mehr als Finanzexperten und Analysten erwartet haben. Wohl auch deshalb, weil UBS-Boss Sergio Ermotti (58) nach dem zweiten Quartal tief gestapelt und vor übertriebenen Gewinnerwartungen gewarnt hat.
Doch dieses Quartalsergebnis ist auch das bislang schlechteste in diesem Jahr. Traditionellerweise ist das dritte Quartal bei den Banken das schwächste, doch das muss nicht zwingend sein, wie die US Grossbank J. P. Morgan vor kurzem gezeigt hat: Das dritte Quartal war bei den Amerikanern in diesem Jahr das zweitbeste.
Vermögensverwaltung harztDer wirkliche Wermutstropfen: Die Gewinnsteigerung kommt aus der Investmentbank und nicht aus der Vermögensverwaltung. Doch die ist das erklärte Kerngeschäft der UBS. Immerhin: Die Bank hat wieder frisches Geld von reichen Kunden gewinnen können – ein gutes Zeichen.
Fast etwas versteckt in der Mitteilung der Bank ist die eigentliche Überraschung: Die Schweizer Grossbank UBS wird künftig über Geschäftsverlauf, Buchhaltung und Berichterstattung in Dollar und nicht mehr in Schweizer Franken berichten. Die Umstellung erfolgt bereits auf Ende 2018!
Dollar statt FrankenKeine andere grosse Bank der Welt berichtet nicht in der Währung ihres Heimatlandes. Die grösste Bank der Welt, die Industrial Bank and Commercial Bank of China berichtet in der chinesischen Währung Renminbi. Auch die grösste Bank Japans und Nummer Vier der Welt, oder die grösste europäische Bank, die französische BNP Paribas, veröffentlichen ihre Zahlen in der Währung des Heimmarktes.
Das Geschäft in den USA und in Asien hat für die UBS grosse Bedeutung. Erträge, aber auch Kosten fallen also zu einem guten Teil in Dollar an. Da ist es verlockend, sich das Umrechnen zu ersparen, wie das zum Teil auch Industrie- oder Pharma-Konzerne tun. Auf die Frage von BLICK begründet UBS-Chef Ermotti den Wechsel: «Das hat vor allem mit Auflagen für die Buchführung zu tun. 80 Prozent unserer Gelder sind nicht in Schweizer Franken angelegt.» Das sei kein Entscheid gegen die Schweiz!
Diesbezüglich meldet Bankenexperte Martin Janssen (69) gewisse Zweifel an: «Die Bedeutung der Schweiz für die UBS nimmt ab.» Dafür gebe es aber auch gute Gründe, sagt der Bankenexperte und Geschäftsführer der Ecofin-Gruppe: «Keine andere Bank der Welt ist so international aufgestellt wie die UBS. Sowohl in Bezug auf die Eigentümer, die Mitarbeiter und als auch die Kunden.»
Trotzdem: Zehn Jahre nach der Rettung der UBS durch die Eidgenossenschaft ist der Rausschmiss des Schweizer Frankens aus der Konzernberichterstattung der Bank doch ein seltsames Zeichen!
NATO response to Vostok 2018 : Trident Juncture 18, abbreviated TRJE18, is a NATO-led military exercise to be held in Norway in October and November 2018 with an Article 5 collective defence scenario.
Trident Juncture 2018 will consist of three main parts:
- A phase of deployment lasting from August to October,
- LIVEX (live field exercise) from 25 October to 7 November. The land battle will take place in the area south of Trondheim and north of Rena Camp in Hedmark County. There will also be sea activity along the Norwegian Coast, the North Sea and limited areas in The Baltic Sea and Skagerrak. There will be air activity in the airspace over Norway, Sweden and Finland.
- CPX ( command post exercise) from 13 to 24 November 2018 at NATO's Joint Warfare Centre in Stavanger, Norway. This is a data simulated desk exercise to train the headquarters. This exercise is also a certification test for Allied Joint Force Command Naples.
The Norwegian Armed Forces have called the exercise the largest to be held in Norway since the 1980s, it will be NATO's largest exercise since 2002. An expected 50,000 participants from 31 nations will take part, including 10,000 vehicles, 250 aircraft and 65 vessels.
The exercise will mainly take place in central and eastern parts of Norway, and air and sea areas in Norway, Sweden and Finland. The main goals of Trident Juncture is to train the NATO Response Force and to test the alliance's defence capability. For Norway, the exercise will test the country's ability to receive and handle allied support.
Tag: Trident Juncture 2018Vostok 2018