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Updated: 2 days 4 hours ago

Djahida Houadef, artiste peintre: «Accrocher le regard des autres et provoquer des sensations restent ma priorité»

Tue, 10/09/2018 - 10:53

Écrit par Nordine Azzouz

L’artiste peintre Djahida Houadef poursuit depuis peu de temps une expérience intéressante qui consiste à faire usage des réseaux sociaux pour prolonger, non sans une approche ludique, le travail plus sérieux qu’elle accomplit dans son atelier. Clichés de paysages, photos de voyages, impressions où se mêlent la couleur, la lettre et le signe pictural, tout y passe et ses « post » sur Instagram en particulier s’avèrent être une réflexion sur ce que peut être un artiste quand il est au repos ou quand il musarde hors des lieux d’exposition, sur le passage du temps et des objets… Entretien.

Reporters : Vous êtes de plus en plus présente sur les réseaux sociaux. Pourquoi ce choix pour le moins étonnant pour une artiste plasticienne comme vous ?
Djahida Houadef : Je me suis inscrite aux réseaux sociaux sous l’insistance d’amis depuis presque quatre ans maintenant. Et depuis, j’ai bien compris l’impact de ce précieux support de communication. Les réseaux sociaux font un travail miraculeux dans la transmission de l’information, de l’émetteur au récepteur, l’action prend à peine le temps d’un battement de cils. Non seulement, on peut gagner du temps, mais aussi on peut transpercer les géographies et atteindre le monde. Cette technologie ne peut être qu’une aubaine pour les bûcheurs, et surtout pour ceux qui ont une tâche immatérielle qui ne nourrit pas son homme, mais qui reste noble par sa vertu. C’est un excellent moyen pour renforcer la notoriété, la réjouir dans son quotidien, lui donner le souffle et la force pour continuer sa quête de l’avenir. Les réseaux sociaux sont ce terrain fertile où on peut facilement semer nos graines, les oublier tout en restant à l’écoute, et voir, à court, moyen et long termes les repousses qu’il nous offre. Et, bien entendu, on ne récolte que ce qu’on sème !

On remarque que vous utilisez surtout Instagram. Y a-t-il une véritable visibilité sur ce réseau ?

Instragram est spécialisé beaucoup plus dans la publication d’images, et ça, c’est un lien commun avec les arts plastiques. Il pourra être un support efficace pour le visuel. C’est l’image qui s’exprime, elle remplace le mot, le concept lui donne une dimension assez spéciale par sa présentation, des techniques prêtes à l’emploi lui donnent un visage différent, rehaussé avec des disponibilités d’outils, comme les tonalités, les traitements de la couleur et les effets qui renforcent ainsi son langage. Une sorte de nouvelle lecture qui transforme la réalité totalement et lui propose une part importante pour accéder à une image séductrice nivelée au rang du beau et du rêve. Une manière généreuse de s’en servir, nourrir les sensations et les esprits des abonnés. Son utilisation peut arriver même à influer inconsciemment sur les comportements réels. Ceci dit, toutes ces possibilités restent juste une morphologie superficielle en rapport avec la profondeur des valeurs d’un professionnel et d’un passionné en quête d’images. En tout cas, pour ceux qui savent lire entre les lignes, ils sont bien servis.
Personnellement, je n’ai pas de préférence entre ces réseaux, mais j’ai constaté effectivement que sur Instragram mon travail est regardé surtout par les artistes et les professionnels de l’art. J’imagine que le Hashtag y est pour quelque chose, vu qu’il identifie l’objectif à viser. C’est ainsi que les publications se spécialisent quelque part et drainent certainement les férus.

Qui suit vos publications sur ce réseau ? Est-ce votre public, celui qui connaît votre travail de création, ou est-ce un autre ? Quelle réaction cela suscite chez vous ?

Ce qui est intéressant dans ces réseaux sociaux, c’est leur diversité. On trouve différentes catégories de personnes, des métiers variés, des passionnés, des amateurs, des professionnels, une grande panoplie de choix pour prospérer les affinités. Leur conception est étudiée de façon minutieuse et raffinée pour tisser les liens selon les intérêts ; un système autour duquel tout se met en place et s’organise en communauté, comme une ruche. Quand j’ai atterri sur ces réseaux, j’étais déjà faite et formée depuis plus de trente ans, je suis arrivée donc avec des données qui représentent mon réseau palpable et qui a contribué largement à la diffusion de la matière existante.

Dès que je me suis imprégnée de son fonctionnement, j’étais agréablement surprise du constat. Une transmission rampe silencieusement sur le chemin espéré et le bouche-à-oreille continue à franchir les frontières du virtuel. Il faut dire aussi que l’image de mon œuvre est omniprésente et ne les quitte pas des yeux !

En étant présente sur les réseaux sociaux, y a-t-il chez vous la même ambition et la même prétention artistiques et esthétiques que quand vous faites des expositions ?

Toutes les sciences du monde, même les plus avancées, ne sauront vaincre le naturel, le palpable, la réalité et la loi de la vie. Le goût de ces derniers est irremplaçable. De leurs sèves elles-mêmes naîtront les sciences et les nouvelles technologies. Malheureusement, très souvent, on oublie les origines du monde et on s’affronte au paradoxe de la question subtile qui restera toujours dans l’air, celle de savoir « qui est né en premier, la poule ou l’œuf » !

A regarder ce que vous publiez, la photo a tendance à prendre une place importante. Est-ce une expression artistique que vous voulez exploiter davantage ou est-ce uniquement par désir de témoigner d’un instant de vie ?

J’ai commencé à pratiquer la photographie artistique depuis peu de temps, depuis que j’ai enfin acquis mon appareil photo professionnel. Je fais des photos tout en restant dans la timidité, bien que l’essentiel est acquis, l’art et la manière sont là pour relever la fibre artistique acquise depuis de longues dates, mais je dois la pratiquer davantage pour comprendre mieux mon appareil et profiter de toutes les possibilités techniques qu’il m’offre, afin d’aller au-delà de mes attentes, me surprendre et arriver à de meilleurs résultats.
Accrocher le regard des autres et provoquer des sensations restent ma priorité. J’espère seulement trouver des opportunités pour confronter mon travail à des professionnels confirmés et prendre la température de mes productions photographiques. Il faut reconnaître aussi que la photographie complète mon travail en peinture, l’enrichit en lui offrant des choix avec les possibilités des thèmes, des graphiques, des techniques et des médiums.

Sur ces photos, il y a un intérêt manifeste pour les Aurès et pour le voyage à l’intérieur du pays, n’est-ce pas ?

Ce qui me passionne dans la photographie, c’est de prendre tout le temps nécessaire, pour contempler la vie autour de moi et de s’arrêter sur tous ses détails, m’imprégner de tout et de rien, enrichir mon être de toutes les émotions que se dégagent de cette vie. Il y a des choses qui m’interpellent, d’autres pas, ou peut-être pas à ce moment-là. Je retiens le quotidien des gens, leur comportement et leurs mentalités, les idées qui flottent dans l’air. Les images qui se dégagent de tout un chacun, son expression, le miroitement de tous ces sens. La créativité et le savoir-faire que chaque personne soigne au moindre détail pour exprimer sa façon d’être, exprimer son corps et ses habits. Prouver le besoin d’aller à la découverte des lieux, de la tradition, de l’histoire, de notre patrimoine matériel et immatériel.
Après toutes ces années noires passées dans la peur et dans la séquestration, je ne peux que me réconcilier avec les paysages de mon pays, mon engouement s’agrandit de jour en jour pour aller à nouveau à la redécouverte des richesses de mon beau pays. Mes réalisations sont justement une renaissance née de cette organisation qui se tisse dans les réseaux sociaux pour faire des sorties touristiques et culturelles organisées en groupe.

Vous n’hésitez pas non plus à vous exposer vous-même… Pourquoi ?

Cette ère est celle de l’image qui se multiplie à la vitesse de la lumière. De cette effervescence, la tension risquerait de créer des failles et des abus. L’image peut plaire ou déplaire, surtout si elle est utilisée dans un mauvais sens pour nuire l’autre, les exemples ne manquent pas de ceux qui demandent réparation des droits. Malheureusement, parfois, les interdits répriment les témoignages et laisse l’histoire handicapée, sans ses membres pour animer son évolution.
Respecter les territoires des individus et leurs libertés est ma conviction première. Donc pour ne pas heurter la sensibilité des uns et des autres, à défaut de modèle, effectivement, je recours à mon corps pour m’exprimer.

Vous continuerez pendant longtemps à être présente sur les réseaux sociaux ?

Pourquoi condamner un système qui marche, certes, son utilisation consomme du temps et c’est pour cela qu’il serait conseillé de limiter son utilisation ; la modération est de mise !
Je continuerai à y être jusqu’à une nouvelle invention qui marchera mieux que la précédente. Ne faut-il pas suivre son temps ?

Sur quoi travaillez-vous actuellement et à quand la prochaine exposition ?

Actuellement, j’ai choisi de remonter le temps, revisiter la représentation d’animaux, de la préhistoire jusqu’à nos jours. L’art animalier a toujours inspiré les artistes et mon travail consiste à mettre en avant la singularité des animaux qui apparaît au travers de la beauté fascinante qu’ils dégagent. Il relève aussi cette fusion des paradoxes qui interpelle tant, entre la force et la douceur, le mal et le bien, la laideur et la beauté.

Cela vous dirait de faire une exposition sur le thème des réseaux sociaux ? Ce serait comment ?

Pourquoi pas ! Dans ce cas, mon thème sera le vrai du faux, la réalité du virtuel, ou peut-être, je m’inspirais de Charlie Chaplin dans les temps modernes…

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Categories: Afrique

Le président de la FAF accuse le DTN démissionnaire de tromper l’opinion publique: Zetchi-Saâdane la vérité si je mens

Tue, 10/09/2018 - 10:50

Écrit par Mohamed Touileb

Rabah Saâdane, désormais ancien directeur technique (DTN) de la sélection d’Algérie, a livré ses vérités en ce qui concerne sa démission du poste. De son côté, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Kheireddine Zetchi, a donné, dimanche à partir de Tlemcen, des contre-vérités à charge pour l’ancien sélectionneur des Verts qui ne seraient que «mensonges». C’est le grand déballage.

Le visa non-délivré, le remplacement par Bouras, entraîneur des gardiens de l’EN, au Congrès de la FIFA à Londres ainsi que l’interdiction d’accès au restaurant du Centre technique national (CTN) pour déjeuner avec les Fennecs de Belmadi, Zetchi a répondu à toutes les accusations.
Tout d’abord, le patron de la FAF a dit être «très surpris de la démission de Saâdane et très déçu par son comportement» notant que «jusqu’à sa démission, tout s’était bien passé. Il n’y a jamais eu de différend, mis à part sur des orientations purement stratégiques. Notre relation était bonne. Je suis déçu parce que la forme n’a pas été respectée. Il est venu déposer sa démission à la FAF alors que j’étais absent. Il aurait dû attendre mon retour. On aurait pu en discuter et libre à lui de démissionner par la suite.» Pour le successeur de Mohamed Raouraoua, Saâdane «a inventé toute une histoire pour se donner une certaine crédibilité. Franchement, je ne comprends pas pourquoi il a usé de tous ces mensonges.»

Manque d’assiduité  du «Cheikh»
Zetchi ne s’est pas arrêté. Pour accabler le technicien de 72 ans, il a sorti le carnet de présences pour montrer que le démissionnaire n’était pas fidèle à son poste. «Il faut que vous sachiez que Rabah Saâdane a été installé le 15 octobre 2017 et a démissionné le 3 octobre dernier. Durant cette période, nous avons tenu 12 réunions du Bureau fédéral. Sur les 12 réunions, il n’a assisté qu’à 6 seulement. Ameur Chafik et Abdelkrim Benaouda l’ont remplacé. Il a été absent donc 50 % du temps. J’estime que nous sommes une équipe. Que son adjoint le remplace, on n’y a pas trouvé d’inconvénient et cela pour vous dire à quel point on a été souple avec lui. On n’a pas crié cela sur tous les toits alors que j’aurais pu exiger sa présence», a-t-il révélé.
Pire encore, il notera aussi que «que toutes les réunions tenues par la DTN avec le ministère de la Jeunesse et des Sports dans le cadre de la préparation des Jeux méditerranéens de Tarragone se sont déroulées en l’absence de Saâdane alors qu’il devait être obligatoirement présent. Il avait laissé le soin à Benaouda de le représenter.» Les absents ont toujours tort.

Précisions sur  l’épisode du visa
Par ailleurs, le premier responsable du football algérien a parlé de la non-attribution du visa qui a empêché Saâdane d’assister à la conférence de la FIFA. Un motif sur lequel l’ancien driver de l’EN s’est basé pour justifier son départ de la DTN. «La raison essentielle qu’il a avancée, c’est qu’il a été poignardé dans le dos et remplacé par Bouras à cette conférence de la FIFA tenue à Londres. Il faut que tout le monde sache que l’invitation envoyée par la FIFA aux DTN et aux sélectionneurs nationaux est nominative et personnelle. On ne peut pas les remplacer», a précisé Zetchi non sans noter que «Bouras est parti le 20 septembre en compagnie de Belmadi à Londres, pour superviser le joueur Saïd Benrahma qui a joué le lendemain, c’est-à-dire le 21 septembre. Par la suite, Belmadi a demandé au SG de la FAF qu’on fasse une accréditation à Bouras pour qu’il puisse assister à cette conférence. Nous avons fait cela et la FIFA a répondu positivement à notre demande, sauf qu’elle a précisé qu’elle ne prenait pas prendre en charge les frais d’hébergement de Bouras. Comment Saâdane peut-il dire qu’on l’a remplacé ? C’est un mensonge !» Zetchi n’a pas trop apprécié l’attitude de Saâdane qui en a fait tout un tas à son goût. «Le DTN de la Tunisie n’a pas obtenu son visa et n’a pas participé à cette conférence, mais est-ce qu’il est passé sur toutes les télévisions pour s’en plaindre et démissionner ensuite pour si peu ? La réponse est non», c’est le parallèle établi par l’ancien chairman du Paradou AC. Cinglant !

On ne mange plus  à la même table
Autre motif avancé par Saâdane, le fait d’avoir été empêché de manger à la même table que Djamel Belmadi, actuel sélectionneur d’«El-Khadra», et ses joueurs lors du regroupement de septembre.
«C’est un argument farfelu. Comment peut-on lui interdire l’accès au restaurant ? C’est impossible et imaginaire.
Ce n’est pas crédible ce qu’il dit», réagit Zetchi. Le «Cheikh» a, de manière sibylline, mêlé Belmadi à cette affaire. Le boss de la FAF a, logiquement, pris la défense de l’entraîneur du Club Algérie. «J’ai rencontré Belmadi hier (samedi, ndlr). Vous savez, c’est quelqu’un de très posé. Il a pris beaucoup de recul par rapport à tout ça. Il est totalement concentré sur le stage qui va débuter lundi. Mais c’est clair quand on voit une personne se comporter comme ça on ne peut être que déçu», a-t-il déclaré «Je crois que Saâdane était là depuis 12 mois. Belmadi est arrivé il y a deux mois seulement, a rappelé Zetchi. Donc, j’ai accompagné le DTN durant 10 mois, c’est suffisant, non ? Après, je ne suis pas une nurserie, je ne suis pas un baby-sitter pour que chaque matin je passe le voir. Une fois que les projets ont été établis, je ne suis pas obligé de passer tous les jours au niveau de la DTN.» La cassure est définitive.

Une dernière  couche au ripolin
En consommant un deuxième DTN en l’espace d’une année et demie, Zetchi se met dans une position bien inconfortable. Lui qui a fait de la formation une priorité pour relancer la balle ronde Dz. Aux dernières nouvelles, ils comptent engager des techniciens espagnols pour mener à bien ce projet qui accuse un énorme retard déjà. Pour ce qui est du remplaçant de Saâdane, il dira : «il ne faut pas se presser pour citer des noms pour le remplacer. Nous allons nommer Ameur Chafik comme DTN intérimaire durant une période puis après on va réfléchir tranquillement sur le nom qu’on va ramener. Nous avons au sein de la DTN des gens compétents.»
Au président de l’instance fédérale d’asséner qu’«il ne faut pas avoir peur de dire qu’on n’a pas de formateurs spécialisés dans la formation des jeunes talents au plus haut niveau. On doit par conséquent former nos formateurs d’abord. Le département de formation au niveau de la DTN met en place un programme spécifique pour cela. On va de ce fait faire appel à des compétences étrangères pour venir nous apporter leurs savoir et expérience.» Le label «Algérie» de la sélection était éphémère. Zetchi a fini par se rendre à l’évidence et au constat établi par son prédécesseur. Plus que faire du sur-place, on a reculé et perdu du temps.

Zetchi en vrac

– Problème d’arbitrage en championnat : «On est habitués maintenant depuis 15 ans, à chaque saison, des accusations sont portées à tort et à travers à l’encontre des arbitres. On continuera à défendre le corps arbitral, mais cela ne veut pas dire qu’on ne va pas sévir et sanctionner certaines erreurs. Depuis notre prise de fonction, nous avons réduit quand même ces erreurs. Il y en a qui sont impardonnables et sur ça, on ne va pas se taire. Nous sommes en train de combattre ces problèmes, mais je demande aussi aux dirigeants de club de mesurer leurs propos aussi. Sachez que les sanctions seront de plus en plus sévères, même si on doit continuer le championnat avec de jeunes arbitres. Des erreurs impardonnables comme on l’a vu depuis l’entame de la saison doivent cesser. Si on doit faire arrêter la carrière d’un arbitre, on le fera.»

– Accusations de Zerouati : «Concernant les accusations portées à mon encontre par Zerouati, je n’ai pas voulu réagir parce que tout simplement, j’ai pris les dispositions réglementaires nécessaires. La commission de discipline a été saisie ainsi que la commission de l’éthique, mais aussi la justice. Qu’il vienne alors présenter les preuves de ce qu’il a avancé. Je ne veux pas trop polémiquer à ce sujet. Je fais confiance à la justice algérienne. Laissons-là faire son travail.»

– Clubs – formation : «Les clubs ont bénéficié de terrains d’assiette de la part de l’Etat d’une superficie de 3 hectares, voire plus. Dans un premier temps, l’Etat devait financer la construction de ces centres d’entraînement dans l’ordre de 80%, mais au final, il s’est rétracté. C’est aux clubs de les construire désormais. Jusqu’à aujourd’hui, aucun club justement ne s’est lancé dans la construction de ces centres. La question reste posée : pourquoi ? C’est à eux de trouver les moyens de financement possibles.»

– Organisation du CHAN 2022 : «C’est un énorme atout qu’on a réussi à avoir. Certaines personnes malintentionnées veulent nous nuire malgré tout en disant que l’Etat va dépenser beaucoup d’argent en raison de l’organisation de ce CHAN, Faux ! C’est la CAF qui va prendre en charge les dépenses. Il faut juste que nos infrastructures soient terminées. La CAF nous donnera entre 18 et 20 millions de dollars. Qu’on arrête de mentir à l’opinion publique.»

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Aprés le choléra Le foudroyant virus du Nil menace l’Algérie !

Tue, 10/09/2018 - 10:48

L’Alerte vient d’être donnée par le ministère de la Santé.En effet, les zones frontalières est et sud sont particulièrement exposées auvirusdu Nil occidental

Le ministère appelle ses structures longeant les frontières tunisiennes,libyennes et maliennes, à alerter sur lamoindre apparition du symptômes de cevirus. Le département de la Santé instruitégalement ces structures, à envoyer deséchantillons de sang, notamment despotentiels malades vers l’Institut Pasteurd’Alger. Surtout que la Tunisie a déjà enregistréses premières victimes causées parcette maladie.Les wilayas concernées par cet avertissementsont : Tebessa, Souk Ahras, El Taref, Skikda, Guelma, Khenchela et également El ued, Illizi, Biskra et Adrar.avigilance a été demandée aux responsableses CHU de Annaba, Setif,onstantine, Batna, Bejaia, Alger et Oran. nfin, le ministère insiste pour que ces analysessoient menées en extrême urgence.

Qu’est-ce que le Virus du Nil occidental qui menace l’Algérie ?

Le virus du Nil occidental est un virus de la famille des flaviviridae et du genreFlavivirus (qui comprend également le virus de la fièvre jaune, le virus de la dengue, levirus de l’encéphalite de Saint Louiset levirus de l’encéphalite japonaise). On leretrouve à la fois, dans les régions tropicaleset les zones tempérées.Son nom vient du district de West Nile en Ouganda, où il a été isolé pour la premièrefois en 1937, chez une femme souffrantd’une forte fièvre. Il a ensuite été détectéchez des hommes, des oiseaux et des moustiquesen Égypte, dans les années 1950, et adepuis été retrouvé chez l’homme oul’animal,dans divers pays.

Il est désigné également,sous le nom de virus de Rabensburg.Il infecte principalement les oiseaux, maison a la preuve qu’il peut infecter, outre leshommes, les chevaux, les chiens, les chats, les chauves-souris, les tamias, les mouffettes, les écureuils et les lapins domestiques. La principale voie d’infection del’homme est la piqûre d’un moustique infecté. Les reconstructions d’image et lamicroscopie électronique révèlent un virionde 45−50 mm, recouvert d’une protéine desurface relativement lisse. Cette structure est similaire à celle du virus de ladengue,appartenant, comme lui, au genre desFlavivirus au sein de la famille desFlaviviridae. Le matériel génétique du virusdu Nil occidental est constitué d’un seul brind’ARN, à polarité positive, qui comprendentre 11,000 et 12,000 nucléotides. Sesgènes codent sept protéines non structurelleset trois protéines de structure.

Le brind’ARN est contenu dans une nucléocapside formée de fragments de protéines de 12 uma,la capside est contenue dans une membraneproduite par l’hôte et modifiée par deux glycoprotéinesvirales.Le virus du Nil occidental peut se manifesterde trois façons différentes, sur les humains.La première est une infection asymptomatique,chez la grande majorité de gens qui neprésentent aucun trouble apparent (80 % descas passent inaperçus), la seconde est undiscret syndrome fébrile, semblable àlagrippe, connu sous le nom de fièvre du Niloccidental, la troisième, enfin, est unemaladie neuroinvasive appelée méningiteou encéphalite du Nil occidental. Dans la seconde éventualité, l’épisodefébrile apparaît après une période d’incubationde 3 à 6 jours. Il se caractérise par lasurvenue, accompagnée de maux de tête et dedos, de frissons, de sueurs, de douleurs musculaires,d’un gonflement des ganglions ducou, d’une toux, et de symptômes respiratoires.

En plus de ce syndrome grippal, ilexiste parfois, une brève éruption cutanée,et certains patients présentent des symptômes gastro-intestinaux, avec des nausées,des vomissements, une perte d’appétit ou des douleurs abdominales, ainsique deladiarrhée. Tous les symptômes sontspontanément résolutifs en 7 à 10 jours, mais lafatigue peut se prolonger pendantplusieurssemaines, et les adénopathies persisterjusqu’à deux mois.L’encéphalite, qui est la forme la plus grave,se manifeste par des symptômes similaires aux précédents, mais aussi par une baisse dela vigilance, pouvant aller jusqu’à un étatcomateux. Les réflexes ostéo-tendineuxsont d’abord vifs, puis abolis. Il existe également,des troubles extrapyramidaux. Larécupération est marquée par une longuepériode de convalescence, avec une grande fatigue. La survenue de flambées récentes a conduit à une étude plus approfondie de la maladie, et d’autres formes, plus rares, ontété identifiées.

La moelle épinièrepeut êtreinfectée, avec apparition d’une myéliteantérieure, avec ou sans encéphalite. Uneassociation avec le syndrome de Guillain-Barré a été identifiée et parmi d’autres effetsrares, on a observé une choriorétinite multifocale(qui possède une spécificité à 100 %pour l’identification d’une infection par levirus du Nil occidental, chez les patientsatteints d’encéphalite), une hépatite, une myocardite, une néphrite, une pancréatite etune splénomégalie. Le virus est transmispar les moustiques vecteurs et, en particulier,les Culex qui sont les principaux vecteursdu virus du Nil occidental, lorsqu’ilspiquent les oiseaux et les infectent. Tous lesfacteurs favorisant la pullulation des moustiques(pluies abondantes, irrigation, températuresn plus élevées que la normale…), sont susceptibles d’augmenter l’incidence dela fièvre liée à ce virus, dans les secteurs géographiques où il circule.

Les principaux hôtes sont les oiseaux,qu’ils soient sauvages ou domestiques(canards, pigeons…), car ils jouent un rôlecrucial, dans la dissémination de ce virus.Les oiseaux migrateurs permettent notamment,le passage du virus de l’Afrique auxzones tempérées d’Europe et d’Asie, au printemps.Une fois arrivés, les moustiqueslocaux s’infectent, lorsqu’ils piquent cesoiseaux pour leur repas de sang, disséminant sur d’autres oiseaux sains le virus et perpétuant le cyclemoustiques/oiseaux,essentiel à la circulation du virus.Les oiseaux sont des hôtes amplificateurs,développant une charge virale suffisante,pour transmettre l’infection à d’autres moustiquespiqueurs qui vont infecter d’autresoiseaux (dans l’hémisphère ouest, le merle d’Amérique et la corneille d’Amérique,sontles porteurs les plus fréquents), ainsi que lesêtres humains. Les espèces de moustiquesinfectés varient, selon les zones géographiques,aux États-Unis, Culex pipiens (Estdes États-Unis), Culex tarsalis(Middle Ouestet Ouest) et Culex quinquefasciatus (Sud-Est), sont les principales sources de contamination.Les mammifères (bétail, chiens, chats, chevaux, humains…) sont, quant à eux, considérés comme des hôtes accidentelsdu virus.

Chez les mammifères, le virus ne se multiplie pas aussi facilement, (àsavoir qu’il ne développe pas une virémieélevée lors de l’infection), et on croit que lesmoustiques piquant les mammifères infectésn’ingèrent pas une quantité de virus suffisantepour être infectés, faisant des mammifèresce qu’on appelle une impasse pourl’infection.Un article paru en 2004, dansScience, a révélé que les moustiques Culexpipiens étaient répartis en deux populationsen Europe, une qui pique les oiseaux et unequi pique l’homme. En Amérique du Nord, 40% des Culex pipiens se sont révélés être deshybrides des deux types, ceux qui piquentles oiseaux et ceux qui piquent les humains,fournissant ainsi un vecteur pour le virus duNil occidental. Ce fait est censé fournir uneexplication des raisons pour lesquelles lamaladie du Nil occidental s’est propagéeplus rapidement en Amérique du Nord qu’enEurope. Toutefois, ces conclusions ont étécontestées. Le virus du Nil occidental peutêtre isolé, sur des échantillons prélevés àpartir de l’environnement sur des moustiquespiégés, de tests pratiqués sur des échantillons de sang prélevés sur desoiseaux sauvages, des chiens et des singessentinelles, ainsi que des tests sur le cerveau des oiseaux, trouvés morts par ifférents organismes de contrôle des animaux ou desparticuliers.

Les tests réalisés sur des moustiquesnécessitent l’utilisation deRT-PCR,pour amplifier les ARN viraux et montrer laprésence de virus dans les échantillons prélevés.Lorsqu’on utilise des sérums d’oiseauxsauvages et de poulets sentinelles, les échantillons doivent être testés, pour laprésence d’anticorps contre le virus du Niloccidental ou bien, par l’utilisation deméthodes d’immunohistochimie orEnzyme-Linked Immunosorbent Assay (ELISA). Après autopsie, les différents tissus desoiseaux morts sont testés, pour le virus, soit par RT-PCR, qui permet de d’amplifier etde détecter les ARN viraux, soit par immunohistochimie, qui permet de visualiser le virus qui se présente comme une tache brune
sur tissu, en raison d’une réaction du substratavec une enzyme.

Prévention individuelle

Au niveau individuel, les moyens de prévention traditionnels contre les moustiques sont efficaces : moustiquaire, insecticide et crème anti-moustique. Le port de vêtements couvrants protège également.Il est recommandé d’éviter tout contact àains nues, avec des animaux morts. En 2003 :. Une recherche faite aux États-Unis, sur les dons de 6,2 millions de donneurs de sang a permis de trouver 1.000 donneurspositifs, et deux cas probables detransmission d’encéphalite, liée à ce viruspar transfusion sanguine (0,00016 %).Depuis cette date, les banques de sang desÉtats-Unis dépistent systématiquement levirus chez les donneurs de sang. •

Une même étude, faite dans ledépartement du Varen France, a permis, sur un panel test de 200 donneurs de sang,demettre en évidence que deux d’entre eux avaient été en contact avec le virus (1 %). D’autres donneurs, ayant été au contact avec le virus, ont été trouvés en 2003 auxAntilles françaises, en Guyane et à LaRéunion. Par mesure de précaution, le National BloodService du Royaume-Uni effectue un test,pour rechercher cette maladie chez les donneursqui font un don, dans les 28 jours quisuivent un voyage, aux États-Unis ou au Canada, et entre les mois de mai et deseptembre,n’accepte plus aucun don de quelqu’un qui a visité ces deux pays au coursdes 28 jours précédents.

La Croix-Rouge suisse a également pris desmesures préventives : toute personne revenantdes zones où sévit le virus, dont lesÉtats-Unis, est sous le coup d’une interdictionde donner son sang, pour une période desix mois. L’Établissement français du sanginterdit également, le don de sang pendantune durée de 4 semaines, après un voyageaux États-Unis ou en zone où des cas humains ont été signalés.

Contrôle collectif

Les campagnes de désinsectisation, par voie aérienne, sont le seul moyen d’éliminer les moustiques et les larves sur degrandes surfaces dans les étangs et les marais, avec un effet démontré sur uneincidencemoindre de la maladie, sans effetnéfaste démontrée sur l’être humain.Le contrôle du virus est réalisé par la lutte contre les moustiques, parl’élimination desgîtes de larves de moustiques, lestraitements larvicides des zones de reproduction ctive et l’incitation à l’usage personneldespulsifs. Le public est également invité à passer moins de temps à l’extérieur, à porterdes vêtements longs couvrant, appliquer desproduits contenant du N,N-diéthyl-3- méthylbenzamide, et à faire en sorte que lesmoustiques ne puissent pas pénétrer dansles bâtiments.

Les écologistes ont condamné les tentatives de contrôle des moustiques vecteurs,par pulvérisation de pesticides, en disant queles effets néfastes théoriques de la pulvérisationsur la santé, l’emportent sur lenombre relativement peu nombreux de vies qui pourraient être sauvées, et qu’ilexistedes moyens de lutte contre les moustiques,plus respectueux de l’environnement. Ils s’interrogent également sur l’efficacité de lapulvérisation d’insecticides, carils pensent que les moustiques, qui sont au repos ou en vol au-dessus de la pulvérisation, neserontpas tués, le vecteur le plus commun dans lenord-est américain, Culex pipiens, est unhabitant des forêts (canopée).Plusieurs vaccins efficaces chez le chevalont été introduits.

Dépistage et traitement

Il existe un test de dépistage, mais aucun traitement spécifique contre le virus du Niloccidental. Les traitements proposés visentuniquement à atténuer les symptômes de la maladie. Il n’existe aucun vaccin commercialisé pour l’être humain, bien que plusieurs soient encours de test.

Par : RAHIMA RAHMOUNI

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Categories: Afrique

Elim. CAN 2019/En prévision de la double confrontation contre le Bénin: Deuxième jour de stage pour les Verts

Tue, 10/09/2018 - 10:47

Écrit par Saïd B.

La sélection algérienne de football entamera, aujourd’hui mardi, son deuxième jour de stage au Centre technique de Sidi Moussa pour bien préparer sa double confrontation face au Bénin fixée les 12 et 16 octobre pour le compte des
3e et 4e journées des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations  (CAN-2019) du groupe D.

Les 23 joueurs convoqués par le sélectionneur des Verts Djamel Belmadi ont entamé, hier, cette préparation par une séance de récupération. Les joueurs viennent de remplir leurs obligations avec leurs clubs respectifs et se doivent donc d’être au top physiquement pour débuter, dès aujourd’hui, les séances les plus importantes, à savoir celles de la préparation technique et tactique. Il est utile de noter que la pression serait sur les épaules de Brahimi et ses compatriotes vendredi prochain, lors de la première manche contre les Béninois au stade Tchaker de Blida à partir de 20h45. Aucun droit à l’erreur n’est permis pour les joueurs algériens d’autant plus qu’ils jouent à domicile face à cette sélection du Bénin avec laquelle ils partagent la première place du groupe D. En effet et à l’issue de la deuxième journée des éliminatoires de la CAN-2019, l’Algérie et le Benin partagent la première place de ce groupe, avec un total de 4 points chacun. Et comme les deux premiers à l’issue des six journées de la phase de poules se qualifieront pour la phase finale de la CAN-2019, prévue au Cameroun, gagner les deux matchs contre le Benin suffirait aux Verts pour assurer leur qualification.

Le temps de mettre les choses en place
En tous les cas, et contrairement à son premier match contre la Gambie, le 8 septembre dernier à Banjul, où le nouveau sélectionneur des Verts n’avait pas le temps de bien préparer ses joueurs, cette fois-ci, il en a largement. Ayant déjà visionné les matchs du Bénin, Belmadi et son staff connaîssent désormais les points forts et les points faibles des joueurs du Benin pour tenter de les battre aussi bien ce vendredi que le 16 octobre prochain à Cotonou. Et pour aborder cette double confrontation contre le Benin, le sélectionneur des Verts à convoqué 23 joueurs parmi lesquels on notera un seul jouer local. Il s’agit du gardien de but de l’ES Sétif, Mustapha Zeghba. D’autre part, on notera dans cette liste le retour en sélection nationale de pas moins de 5 joueurs. Il s’agit de Benlamri, Ouanas, Belfodil, Attal et Benzia. Par contre et comparativement au dernier match contre la Gambie, à Banjul (1-1), Belmadi n’a plus convoqué Abid, Boulahia, Belkhiter, Boudebouz, Hassani, le gardien de but Oukidja Soudani et Abdellaoui qui ont fait les frais de leurs blessures. Il est utile de rappeler, au passage, que la rencontre aller est prévue vendredi prochain à 20h45 au stade Mustapha Tchaker de Blida. Elle sera dirigée par un trio guinéen composé d’Ahmed Sekou Touré, directeur du jeu, qui sera assisté par ses compatriotes Aboubacar Doumbia et Sidiki Sidibe, alors qu’Ousmane Jacob Jacob Camar est désigné lui comme 4e arbitre. Quant à la rencontre «retour», elle sera dirigée par un trio arbitral namibien sous la conduite de Jackson Pavasa.

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Adrar: Des collégiens sans chaises !

Tue, 10/09/2018 - 10:32

par Bentouba Saïd

Une rentrée scolaire catastrophique à Adrar. A ce jour, au niveau du chef-lieu de la willaya, des élèves se retrouvent sans chaises.

Les plus chanceux ont parfois des chaises cassées sans articulation. Plus de 45 élèves par classe et des toilettes où les conditions d’hygiène ne sont pas réunies. C’est ce qui a été constaté hier matin au CEM El Hachemi Maâmar.

A l’entrée de l’établissement, un chantier en plein cour avec tous les risques pour les élèves de cet établissement du centre-ville d’Adrar, situé à quelques centaines de mètres de la direction de l’éducation de la wilaya. Si c’est ainsi la situation d’un CEM au centre-ville, quelle serait alors la situation des établissements enclavés de la région ? Après un mois d’attente pour que les conditions de scolarité soient revues, les parents d’élèves ne cachent pas leur mécontentement. Au cours de notre visite à cet établissement scolaire, son directeur a indiqué qu’il a envoyé un courrier à la direction de l’éducation et qu’il ne peut rien faire d’autre, tout en appelant les parents d’élèves à saisir la ministre de l’Education et le directeur du secteur.

Pour en savoir plus sur les conditions de scolarité des élèves, nous nous sommes rendus à la direction de l’éducation de la wilaya d’Adrar. Après une heure d’attente, le directeur de l’éducation a refusé de recevoir Le Quotidien d’Oran.

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Ligue 1 Mobilis (10e journée): Deux grands derbies à Alger et un choc à l’Est

Tue, 10/09/2018 - 10:32

Deux grand derbies algérois, MC Alger – NA Hussein Dey et CR Belouizdad – USM Alger, ainsi qu’un énorme choc à l’Est, entre l’ES Sétif et le CS Constantine seront à l’affiche de la 10e journée de Ligue 1 Mobilis, devant s’étaler sur les journées de mardi, mercredi et jeudi, suivant la dernière programmation de la Ligue de football professionnel (LFP).

D’autres matchs intéressants devraient également valoir le détour, certes, comme le duel Paradou AC – CA Bordj Bou Arréridj, entre deux équipes de milieu de tableau, qui pratiquent un football plaisant, mais ce sont certainement les chocs entre «clubs voisins» qui devraient le plus captiver l’attention.
Des oppositions relativement déséquilibrées, puisque l’USMA et le NAHD sont actuellement ex aequo à la deuxième place du classement général, avec 16 points, alors que le MCA est 11e, avec neuf points, et le Chabab lanterne-rouge, avec trois unités, mais ces duels devraient quand même conserver une part d’incertitude quant à leur issue finale, car le «cachet derby» les laissent ouverts sur différentes probabilités.
En effet, dans les derbies, les données d’avant-match ne peuvent permettre une prédiction exacte de l’issue final, car en football, aucun match ne ressemble à un autre et le (0-0) dans le derby USMA-MCA le confirme, car bien qu’en difficulté, le Doyen a réussi à accrocher les Rouge et Noir. Autre match intéressant à suivre, le duel ES Sétif – CS Constantine, entre les deux derniers champions d’Algérie en titre qui devraient en découdre dans un chaud duel, avec la victoire comme seul mot d’ordre, car ils commencent à se faire distancer par les équipes du peloton de tête.

Victoire impérative
Il est donc primordial de gagner lors de cette 10e journée, aussi bien pour l’Entente que pour le CSC, afin de rester au contact des autres ténors et conserver par la même occasion leurs chances de jouer le titre. Les Sétifiens qui viennent de s’imposer en déplacement contre le MC Oran (1-0) sont bien décidés à continuer sur leur lancée contre les Sanafirs avant leur demi-finale retour de Ligue des champions contre les Egyptiens d’Al-Ahly le 23 octobre prochain
De son côté, le leader JS Kabylie, qui reste sur un nul inattendu à domicile contre l’Olympique de Médéa aura peut-être l’occasion de se ressaisir et de consolider sa première place au classement général, en accueillant le mal classé DRB Tadjenanet. Ce dernier (14e / 8 pts) a tout autant besoin de points, certes, mais théoriquement, ce sont les Canaris qui devraient partir avec la faveur des pronostics, tout comme l’Olympique de Médéa face au MC Oran.

L’USM Bel-Abbès en grand danger
Les deux autres matchs inscrits au programme de cette 10e journée sont: AS Aïn M’lila – JS Saoura et USM Bel-Abbès – MO Béjaïa. De ces quatre clubs, c’est probablement l’USMBA (avant-dernier / 5 pts) qui sera le plus tenu par l’obligation de résultat, au risque de voir sa situation se compliquer davantage dans les abysses du classement. L’ASAM, la JSS et le MOB, quant à eux, sont relativement plus ou moins à l’aise dans le milieu de tableau et joueront donc probablement avec moins de pression. Tous les matchs de cette 10e journée se joueront en présence du public, car aucun des clubs hôtes n’est sanctionné de huis clos.

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Mbappé, le phénomène n’a pas fini de nous bluffer

Tue, 10/09/2018 - 10:00

On s’habitue à tout. Mais on ne se lasse pas du tout. Il y a même des moments où on n’a pas envie de jouer les blasés. Et on ne voit pas comment on pourrait le devenir devant le talent de Kylian Mbappé. Ce gamin de 19 ans ne cesse de sortir des performances aussi époustouflantes que déconcertantes. Ce dimanche soir, il a ainsi encore réussi à bluffer son monde : avec quatre buts en 13 minutes ! Et face à Lyon s’il vous plaît, l’équipe qui avait fait tomber Manchester City il y a quelques semaines. «C’est génial ! C’est le travail de toute une équipe», s’est-il réjouit humblement au micro de Canal +.

Il est difficile de ne pas tomber sous le charme de l’enfant de Bondy. De ne pas avoir le souffle coupé devant un tel talent. Cela fait pourtant presque trois ans maintenant qu’il a commencé à enflammer le football tricolore. Et des soirées d’exception, il en a signées plus d’une. On parle quand même déjà d’un champion du monde et d’un double champion de France. Mais il ne faut pas s’y tromper, ce match au Parc restera dans les annales du football français.

« J’aurais dû marquer plus de buts»
Dimanche, Mbappé est devenu le plus jeune joueur à inscrire un quadruplé en L1 lors des 45 dernières saisons, selon Opta. Et comme il l’a fait en 13 petites minutes, il est aussi le plus rapide à en planter quatre sur la même période. Le pire ? Il a eu d’autres occasions franches. Avant – et le plus souvent sur des passes parfaites de Neymar -, il avait buté à plusieurs reprises sur Anthony Lopes, qu’il l’avait blessé lors d’un choc brutal lors du dernier Lyon-PSG, remporté par l’OL (2-1). Mais il n’a pas douté. A persévéré. Et a finalement régalé. «A aucun moment j’ai douté, car un attaquant, tant qu’il se crée des occasions, tout va bien. Le jour où j’arrêterai de m’en créer, je commencerai à réfléchir»,a-t-il analysé avant de démontrer son énorme ambition. «J’aurais dû marquer plus de buts, ça fait partie des paliers qui me reste à franchir pour être au plus haut niveau».
Voilà qui promet. Surtout que le jeune crack ne s’est pas limité à ses quatre buts dimanche soir. Avant, c’est lui qui a obtenu le penalty marqué par Neymar pour ouvrir le score. Et c’est aussi lui qui a provoqué le deuxième carton jaune de Lucas Tousart. Difficile d’être plus décisif dans un tel sommet du championnat de France. Il rejoint d’ailleurs Neymar au classement des meilleurs buteurs du championnat avec ses huit buts inscrits en cinq rencontres (contre 8 pour l’international brésilien). Comme un symbole. Car il ne faut pas oublier le Brésilien dans la réussite du Français.

Tuchel sous  le charme
Les deux ont été associés devant avec la sortie d’Edinson Cavani (39e) après le rouge de Kimpembe. Ils se sont entendus à merveille. Neymar, à l’origine du premier et du troisième but du champion du monde tricolore, a souvent décroché. Et Mbappé a pris la profondeur pour profiter des espaces et des ouvertures de son coéquipier dans une défense lyonnaise beaucoup trop naïve face à un tel duo.
«Fantastique! Incroyable! Le foot, c’est fait pour marquer des buts, pour attaquer», s’est réjoui son coach Thomas Tuchel. Avec un tel duo, le technicien allemand sait qu’il possède une arme de choix s’il veut jouer des attaques rapides. Et il a surtout, une nouvelle certitude : la valeur n’attend point le nombre des années.

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USM Bel-Abbès: Chérif El-Ouazzani de retour

Tue, 10/09/2018 - 09:54

Kadiri Mohamed

Le désormais ex-coach du CRB, Chérif El-Ouazzani a donné son accord de principe à la direction de l’USMBA pour effectuer son come-back au sein du club de la Mekerra. C’est ce qui nous a été confirmé par le président de la SSPA El-Hennani Abdeghani, qui a rencontré le technicien en question en lui proposant de prendre en charge la barre technique.

Ayant remporté la dernière édition de la Coupe d’Algérie avec l’USMBA, le coach oranais est toujours aussi sollicité par les fans du club. Ce dernier devait être présent aujourd’hui dans les tribunes à l’occasion du match face au MOB pour superviser l’équipe et entamer sa mission dans la semaine, en remplaçant le technicien tunisien Moaz Bououkaz, lequel a été prié par la direction de mettre un terme à sa collaboration avec le club.

Pour en savoir plus, nous avons essayé de contacter Moaz Bououkaz, mais nos tentatives sont restées vaines. L’on ne sait pas encore si ce dernier va accepter l’offre des dirigeants de l’USMBA pour une séparation à l’amiable, mais ce qui est sûr, c’est que les jours du technicien tunisien sont comptés. A rappeler que, conformément à la réglementation en vigueur, El-Hennani Abdelghani est revenu à son ancien poste à la tête de la SSPA, notamment après la démission de Hadj Hasnaoui Okacha. Ce dernier a expliqué, par le biais d’un communiqué, les raisons qui l’ont poussé à se retirer de la présidence. Par ailleurs, il est à signaler que le nouveau patron de la SSPA, El-Hennani a eu une entrevue avec le nouveau wali de Sidi Bel-Abbès, Ahmed Abdelhafid Sassi, qu’il a qualifiée de très positive.

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FAF: Zetchi descend en flammes Saâdane et ignore Zerouati

Tue, 10/09/2018 - 09:54

Kamel Mohamed

La réaction du président de la FAF, Kheireddine Zetchi, aux accusations de l’ancien responsable de la direction technique nationale (DTN) Rabah Saâdane, a été prompte. Zetchi a qualifié Saâdane de «menteur» et a révélé beaucoup de choses le concernant. Il a fait savoir qu’une année après sa désignation à la tête de la DTN, Saâdane n’a pas présenté son plan d’action et a été absent à 6 réunions organisées par la FAF avec la DTN.

En ce sens, Zetchi n’a pas laissé passer sous silence les banales accusations de Saâdane qu’il a descendu en flammes et sans aucune retenue. Toutefois, on aurait souhaité que le président de la FAF réagisse de la même manière aux graves accusations du porte-parole de la JS Saoura, Mohamed Zerouati. Ce dernier a accusé crûment le président de la FAF et son frère d’arranger les résultats des matches avec la complicité directe des arbitres. Zerouati s’exprimant devant les caméras des chaînes de télévision, avait cité nommément le président de la FAF et son frère, Hacen Zetchi. Devant le silence du président de la fédération, Zerouati a enfoncé le clou en révélant qu’il a été menacé de mort par des individus qui seraient de mèche avec Zetchi.

A l’évidence, on s’attendait à ce que Zetchi réagisse promptement et de manière violente à des accusations qui ont porté atteinte à sa crédibilité en tant que président, mais aussi à sa dignité et à son honneur dans la mesure où le nom de son frère a été cité. Pis encore, le président de l’ES Sétif, Hacen Hamar, a déclaré devant les caméras de la télévision qu’il soutenait Zerouati dans ses propos, accusant ouvertement les arbitres et le président de la commission fédéral d’arbitrage. Hamar aura donc soutenu les accusations de Zerouati contre Zetchi. Malgré toutes cette série d’accusations graves, le président de la FAF observe un silence plutôt inquiétant. Il est ainsi à se demander pourquoi Zetchi n’a pas ménagé Saâdane dans ses réponses, alors qu’il a passé sous silence les accusations de Zerouati, soutenu par Hamar.

Zetchi a fait croire que Zerouati sera poursuivi en justice, mais cela ne devrait pas empêcher le président de la FAF de lui répondre et surtout défendre son honneur, d’autant plus que son frère qui occupe le poste de président du Paradou AC a été cité. Des questions restent posées sur le silence de Zetchi face à Zerouati dont les déclarations remontent à deux semaines, alors qu’il a réagi à Saâdane 24 heures plus tard.

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CR Belouizdad: Quel entraîneur pour quelle équipe ?

Tue, 10/09/2018 - 09:45

M. Lamine

Les dirigeants du CRB ne sont pas encore au bout de leurs peines. De nouveau, ils sont appelés à dénicher un autre entraîneur après le départ confirmé de Cherif El-Ouazzani, qui a mis fin à ses fonctions avec le club belouizdadi après avoir dirigé l’équipe pour la dernière fois contre le CSC à Constantine où elle avait tenu ce dernier en échec. Un départ prévisible et attendu par les milieux sportifs qui savaient que ce technicien est venu seulement pour une période déterminée afin de faire démarrer l’équipe. Cherif El-Ouazzani, pour argumenter son désir de partir, aurait avoué à ses dirigeants l’impuissance de l’équipe à progresser en championnat en raison de la faiblesse de l’effectif et cela lui a fait peur d’endosser la responsabilité en cas d’échec. Mais l’ancien international a reçu les éloges des dirigeants pour avoir accepté de driver le CRB dans une situation très compliquée. C’est une page tournée pour le club qui est déjà en quête d’un nouvel entraîneur. De toute évidence, ce sera difficile de dénicher un nouveau technicien capable de redonner un nouveau souffle à la formation de «Laâkiba» en raison de la situation financière difficile dans laquelle se trouve le CRB. Les entraîneurs ne vont certainement pas se presser devant la porte du club pour prendre l’équipe. Les mésaventures vécues par leurs collègues vont certainement les pousser à réfléchir avant de s’engager avec le CRB.

Mais on annonce tout de même un premier contact avec Youcef Bouzidi, l’ex-driver du NAHD et de la JSK. Bouzidi pourrait accepter le challenge qui consiste à éloigner le plus vite possible l’équipe de la zone rouge du classement. En attendant de se mettre d’accord avec le prochain entraîneur, les dirigeants ne veulent pas laisser les choses traîner au niveau de la barre technique. Ils viennent de charger l’entraîneur adjoint Lotfi Amrouche et l’ancien joueur de l’équipe Karim Bakhti d’assurer l’intérim. La décision a été acceptée par les joueurs. Le CRB se retrouve dernier au tableau avec seulement trois points au compteur.

La situation est catastrophique, et seuls le courage et la persévérance des joueurs pourraientt sortir l’équipe du marasme dans lequel elle se trouve, d’autant plus que les chances de ce sursaut sont évidents au vu de la programmation des trois prochains matchs du CRB, qui recevra trois fois de suite sur son terrain, à commencer par le derby contre l’USMA, pour recevoir ensuite le CABAA et le NAHD. Ce sera un challenge à neuf points qui pourra permettre à la formation belouizdadie de reprendre confiance.

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MCO – Des joueurs pointés du doigt: La situation est alarmante

Tue, 10/09/2018 - 09:36

M. Zeggai

Le Mouloudia d’Oran s’enfonce dans la crise après sa défaite, la première à domicile, face à l’ES Sétif. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation est des plus alarmante. Beaucoup de choses restent à revoir, et la direction du club est dans l’obligation de prendre des mesures draconiennes avant qu’il ne soit trop tard. Il se passe au MCO des choses graves qu’il faut dénoncer. Le Mouloudia d’Oran, qu’on le veuille ou pas, est otage de certains proches de l’équipe avec la complicité de quelques joueurs. La défaite face à l’ESS, pourtant diminuée par l’absence de plusieurs titulaires, a mis à nu les carences d’une équipe sans âme. Aussi, les joueurs de l’ESS ont donné une leçon en matière de discipline et de rigueur tactique à leurs homologues du Mouloudia, dont la plupart s’illustrent par un comportement inadmissible. A titre d’exemple, Bouchar prend gratuitement un avertissement pour contestation de décision, synonyme de suspension automatique d’un match face au CRB. Aït Ouamar se fait expulser gratuitement et inexplicablement face à l’ESS, laissant son équipe à dix. Selon notre source, Aït Ouamar a proféré des insultes à l’encontre d’un arbitre-assistant. A titre d’information, ces deux éléments sont d’anciens joueurs de l’ESS. Sebbah et Mekkaoui, pour dissimuler leurs insuffisances, ont «joué» contre l’arbitre. Yettou n’a été d’aucune utilité au milieu de terrain où Heriat a de nouveau pénalisé son équipe par son jeu agressif, tandis que Mansouri a abusé dans les temporisations. Il faut ajouter à cela l’altercation en fin de partie entre Feham Bouazza et l’entraîneur intérimaire Aïssa Kinane dans les vestiaires, en présence du président Baba, nous a-t-on confirmé. Pourtant, Bouazza ne devrait en aucun cas discuter les choix de son entraîneur. Tous ces paramètres ont provoqué des clans au sein du groupe. A l’issue de ce revers, le MCO (11 points) se trouve à trois longueurs seulement du troisième potentiel relégable, le DRBT, et qui risque d’être dépassé au classement par l’OM et le MCA (9 points) avec un match en moins. Aujourd’hui, le MCO est en train de récolter ce qu’il a semé durant l’intersaison, comme en témoigne ce recrutement nullement étudié et qui ne répond à aucune logique. N’obéissant à aucun critère objectif, cette opération, qui se chiffre en millions de dinars, a finalement influé négativement sur la gestion et la bonne marche de l’équipe. Les grincements de dents dans les vestiaires en sont la parfaite illustration. Le Mouloudia d’Oran a commis l’erreur d’engager des joueurs chevronnés, et de surcroît libérés par leurs clubs respectifs. Le cas du Malien Dousse Kodjo (ex-DRBT) prouve l’anarchie de gestion, du moment qu’il a été recruté sans la traditionnelle visite médicale pour une maladie détectée après plusieurs journées de championnat, alors que Bedbouda (ex-MCA) n’est d’aucune utilité pour le club. De nombreux nouveaux joueurs et bien d’autres anciens ne se soucient que de leurs mensualités ou primes de matches. En somme, le MCO connaît actuellement les pires moments de son histoire et voit son image se dégrader de jour en jour. Les autorités locales doivent impérativement intervenir pour mettre fin à cette mascarade d’un club qui suscite un engouement dépassant les frontières, ne serait-ce que par respect aux regrettés Freha, Mehdi, Beddiar, Lahouari Chaïla, Kacem Elimam et tant d’autres qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour ce club mythique.

Par ailleurs, on a appris qu’une rencontre est prévue aujourd’hui à Alger entre le président Ahmed Belhadj et l’agent de l’entraîneur Badou Zaki, (peut-être en présence de ce dernier), pour trouver un dénouement final, par la résiliation de contrat qui bloque ainsi le recrutement d’un nouvel entraîneur.

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JSM Skikda: Rebondir au plus vite

Tue, 10/09/2018 - 09:35

 A. Mallem

A l’issue du match comptant pour la 9e journée du championnat de Ligue 2, qui s’est joué à domicile face à l’US Biskra samedi dernier, match sanctionné par un score vierge, l’entraîneur de la JSMS, Liamine Bougherara, a fait part à son entourage et devant les correspondants de presse, de son intention de remettre le tablier et quitter l’équipe skikdie. Le match contre l’USB était son dernier à la tête de la JSMS, assurant qu’il allait prendre langue avec l’administration du club pour régler cette question. Cela nous a été confirmé dimanche par le porte-parole du club, Hafiane Lamine, lequel a affirmé avoir bien entendu les déclarations de l’entraîneur, puisqu’il était à ses côtés lorsqu’il a parlé à la presse. Mais dimanche, lorsque nous lui avions posé la question, le chargé de la communication du club a assuré que le technicien en question n’était pas encore passé des paroles à l’acte, autrement dit, qu’il n’a pas remis officiellement sa démission. «Je pense qu’il faut attendre la reprise des entraînements pour savoir ce qu’il en est vraiment de cette démission», a estimé notre interlocuteur. Evoquant la rencontre face à l’équipe des Ziban et de son résultat qui serait probablement à l’origine de la décision extrême prise par Bougherara, Hafiane a considéré que l’issue du match était logique et prévisible à plus d’un titre. «L’USB n’est pas n’importe qui.

C’est une équipe respectable et coriace qui a joué la saison passée parmi l’élite du football national. Ajoutons à cela que le match avait des allures de derby et que les deux équipes se connaissent depuis longtemps», a-t-il indiqué. Par la suite, le représentant de la JSMS nous annonça que l’équipe a repris les entraînements lundi pour préparer le déplacement à Chlef afin de croiser le fer avec le leader du groupe, l’ASO. Un match qui, selon lui, s’annonce très difficile. «Et puis, on prévoit que cette rencontre soit télévisée».

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MO Constantine: L’entraîneur Mechehoud jette l’éponge

Tue, 10/09/2018 - 09:34

 A. Mallem

Mécontent des résultats négatifs enregistrés par son équipe à chacune de ses sorties, et considérant que la dernière défaite de rang essuyée par son équipe vendredi dernier à Khenchela face à l’équipe locale de l’USMK, a été la goutte qui a fait déborder le vase, Youssef Mechehoud, l’entraîneur du MOC, a jeté l’éponge à l’issue de ce match de la 5e journée du championnat de division nationale amateur groupe Est. «Ça ne veut pas marcher. Nous jouons bien, mais nous ne faisons pas de résultat.

Il faut donc un changement pour provoquer un déclic», a dit le désormais ex-entraîneur du Mouloudia sur un ton déprimé. Il nous parla ensuite du harcèlement qu’il n’a cessé de subir depuis pratiquement la première journée du championnat de la part d’un groupe de supporters manipulés, «et qui croient que ce sont eux les vrais mocistes, qu’ils sont les seuls à aimer les couleurs du MOC.

Mais en réalité, ils travaillent pour des gens qui veulent casser le MOC. Je m’abstenais à chaque fois de répondre à leurs provocations mais, maintenant, je ne peux plus accepter d’être insulté à chaque sortie et j’ai préféré m’en aller», a-t-il ajouté.

Le départ de l’entraîneur a fortement choqué le président du club Belegherabli Mohamed El-Hadi, qui ne s’y attendait pas, car il n’avait rien prévu. D’autre part, le président s’est retrouvé tout à coup seul. Nous l’avons appelé plusieurs fois au téléphone, mais dérogeant à son habitude, il n’a pas répondu, se murant dans un silence qui laisse planer beaucoup de doutes sur l’avenir immédiat du MOC.

Quant à nous, nous n’avons pas tenu compte des rumeurs diffusées sur l’éventualité de son départ lui aussi, et nous avons préféré prendre le temps pour le contacter et avoir des explications sur la situation provoquée par le départ de Mechehoud. Pour le moment, dit-on dans les cercles du MOC, c’est l’entraîneur-adjoint Benyamina qui conduira l’équipe pour son prochain match de championnat à domicile contre l’USM Aïn-Beïda.

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IRB Maghnia: Un début de saison mitigé

Tue, 10/09/2018 - 09:31

Chergui Abdelghani

En dépit d’un renfort de choix, avec la présence des Bachiri (ex-MCA), Mebarki (ex-CAB), Tiouli (CRBAF), Boughalia (WAT) ainsi que Moussa Mbarek (JSS), associés à une pléiade jeunes talents tels que Hajib, Boutouba, Amiret, Mersel, Gafri pour ne citer que ceux-là, l’IRBM n’arrive pas à décoller car, hormis la victoire à domicile face au voisin l’ASBM, les protégés de Zemani ont concédé sur leur terrain deux revers, un nul face au RCB Oued-R’hiou et une défaite samedi dernier contre le SCMO alors, qu’à l’extérieur, ils n’ont ramené qu’un seul point de Remchi face à l’USR, concédant une défaite à Oued-Sly. Un maigre bilan en ce début de championnat qui accentue le doute dans les esprits des joueurs qui doivent vite se ressaisir pour éviter de revivre le cauchemar de la saison écoulée où le club avait flirté avec la relégation. Il est de même pour l’entraîneur Kamel Zemani, qui devra vite trouver les solutions adéquates qui tireront l’équipe vers le haut. Le coach n’est pas sans savoir que seuls les bons résultats lui permettront de travailler dans la sérénité. Il devra user de tout son savoir-faire pour remettre l’équipe sur les bons rails et renouer avec le succès. Dans le cas contraire, la situation, déjà alarmante sur le plan financier, se compliquerait davantage. Une situation qui plongerait le club dans une crise qui sera difficile à dépasser. Les camarades de Bachiri sont sommés de se secouer afin de rassurer leurs supporters, déjà assez irrités par la défaite de samedi at-home face au SCMO et de ce début laborieux en championnat où l’équipe n’a récolté que cinq points sur les quinze possibles. Une moisson jugée en deçà des espérances, étant donné le renfort de qualité par rapport à l’effectif de la saison écoulée. Cette équipe, qui s’est fixé comme objectif un maintien honorable, semble, du moins pour le moment, trouver les pires difficultés pour se frayer un chemin dans ce championnat, et cet objectif semble pour le moment difficile à concrétiser pour une équipe qui n’arrive pas à décoller en se faisant corriger, y compris à domicile, par des formations loin d’être un foudre de guerre. En attendant un réveil aussi rapide des camarades de Tiouli, la sonnette d’alarme est tirée.

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Tissemsilt : Des terrains attendent la distribution depuis 16 ans !

Tue, 10/09/2018 - 00:48
Les habitants de la localité d’El B’hayer relevant de  la commune de Khemisti ne cessent d’interpeller les responsables  de la wilaya et ce depuis que les élus locaux de cette dernière avaient affiché une volonté de distribuer un quota de (40) lots de terrains mais pour des raisons qui restent inconnues, toute l’opération est tombée dans l’eau. En effet, tout a été décidé il y a plus de (16) ans où  une quarantaine de postulants avaient honoré les engagements financiers mais depuis,  c’est toujours le flou total qui enveloppe l’opération. Les rumeurs font la route alors que les concernés  veulent interpeller non pas les responsables mais le premier responsable de la wilaya en personne pour prendre les mesures qui s’imposent. Ces derniers espèrent  obtenir la satisfaction de  leurs revendications qui se résument principalement à minimiser un tant soit peu leur longue attente et trouver une solution définitive à cet épineux problème.  Ces demandeurs fatigués d’attendre précisent qu’ils se sont acquittés de leurs obligations financières pour l’acquisition de terrains à usage d’habitation dans la région d’El B’hayer depuis 2002. Malheureusement, les responsables concernés n’ont jusqu’à nos pas daigné faire la partition des lots de terrains (lotissement). Aujourd’hui, l’attente est consommée alors que la tension devient de plus en plus perceptible et tout le monde n’a de discours ces derniers jours que sur l’intransigeance du nouveau wali et de sa fermeté dans la prise des décisions, ils tablent sur une prise en charge rapide et salutaire pour mettre fin à une attente qui dure depuis 16 longues années. A.Ould El Hadri

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OAIC Rouiba : Un scandale de détournement secoue l’unité

Tue, 10/09/2018 - 00:46
L’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), le « grenier » du pays, est au centre d’un grave scandale de détournement. Selon le journal Ennahar, qui affirme détenir des documents prouvant les faits, le directeur régional de l’unité de l’office de Rouiba est directement impliqué. Ce dernier se serait octroyé indûment d’importantes sommes d’argent ces derniers mois. Pour bénéficier de « ces avantages indus », le directeur en question, explique la même source, a eu recours à un stratagème : les heures supplémentaires. Rien qu’en août dernier, ce responsable a reçu un paiement pour l’équivalent de 246 heures supplémentaires, soit huit heures par jour. Ce paiement a attiré l’attention des responsables de l’OAIC qui, indique la même source, ont découvert que cette pratique dure depuis plusieurs années. Plusieurs cadres et travailleurs de l’unité ont également bénéficié  des mêmes avantages. « Le directeur de l’unité n’a pas le droit de bénéficier de paiement des heures supplémentaires, car il perçoit une prime de responsabilité. Il s’est permis même une prime de transport, alors qu’il bénéficie en tant responsable d’un véhicule de service, d’un chauffeur et de bons d’essence», ajoute la même source citant le directeur général de l’OAIC, Chin Abdelkrim. Ce dernier a qualifié le nombre d’heures supplémentaires dont a bénéficié ce directeur régional « d’imaginaire », promettant d’ouvrir une enquête sur cette affaire. Ismain

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Bouhadja, sortira gagnant !

Tue, 10/09/2018 - 00:44
La main de fer au parlement entre les lieutenants d’Ouyahia, Ould Abbes et l’insoumis Bouhadja, change d’apparence et prend l’allure d’un conflit politique qui se joue à haut niveau. Ouyahia et Ould Abbes, les deux frères ennemis qui ne se sont jamais mis d’accord sur un objectif politique, se serrent la main pour la première fois pour descendre en flamme le président de l’APN, l’ancien ami qui devient du jour au lendemain l’ennemi commun à abattre !
Seul contre tous, Bouhadja, qui ne veut en aucun cas se faire bananer par la politique aux enchères des deux puissants chefs des partis au pouvoir, il joue le jeu’’ je démissionne, je ne démissionne pas. Têtu, le patron de la chambre basse, met en train son plan ‘’B’’ et tant que la présidence ne s’est pas prononcée sur le sort du parlement, le Moudjahid Bouhadja, arme son ‘’Kalachnikov politique’’ et que la guerre continue, le têtu l’emporte toujours contre le méchant (Samet yaghleb kebih) !
Jeux de mots ou une manière de tester jusqu’où iront ses ennemis dans leur dessein pour destituer le troisième homme de l’Etat algérien. L’ancien compagnon d’armes du Président Bouteflika, Bouhadja mène sa guerre médiatique à l’option arabe, tantôt, il déclare qu’il va quitter son poste, en affirmant qu’il ne peut plus travailler dans une atmosphère minée et tantôt il déclare qu’il est demeurant, jusqu’à ce que le patron d’EL Mouradia lui demande de quitter les lieux. Le temps joue en faveur de Bouhadja, et les gladiateurs d’Ould Abbes, risquent de voir leurs têtes coupées dans l’arène de l’APN, après que les langues commencent à se délier.
La situation à l’APN se complique de plus en plus pour les demandeurs de la tête de Saïd Bouhadja qui ne se laisse pas faire, après qu’un autre nom se pointe dans le conflit. Le Chef de cabinet de Bouhadja qui serait cité par le secrétaire général de l’APN limogé, Bachir Slimani, comme étant la personne qui a joué un rôle très important dans cette crise et qu’il serait même à l’origine du refus de Saïd Bouhadja de démissionner, selon une information rapportée par le site ALG24. Ainsi qu’avec le soutien de poids de l’Organisation nationale des moudjahidines et la mobilisation des militants du FLN, la roue commence à tourner en faveur de Bouhadja.
Les observateurs politiques prédisent que cette crise qui secoue l’APN va  précipiter l’éclatement du parti FLN , du fait que depuis quelques temps la contestation gagne les rangs du parti majoritaire et les Sit-In organisés par les fidèles de Bouhadja à Skikda, la ville natale du président de l’APN, est un autre danger qui menace de raviver les clivages claniques et régionalistes qui le minent de l’intérieur.
La résistance de Saïd Bouhadja face aux dinosaures du FLN, et les voix qui commencent déjà à s’élever pour réclamer la démission de Djamel Ould-Abbès, tout en appuyant le maintien du Président du parlement dans son poste, précipite l’échec de la bataille de l’APN.

Belkacem

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Oran : Les jardins publics d’Arzew à l’abandon

Tue, 10/09/2018 - 00:43
La ville d’Arzew manque affreusement de lieux de detente.Ses jardins publics demeurent livrés à l’abandon, ils ne sont ni sécurisés et ni entretenus. Ils restent livrés à la petite délinquance qui sévit en maitresse des lieux, qui ne cesse de faire fuir les riverains et le reste des citoyens si écœurés.

Les habitants de la ville d’Arzew, sont pratiquement livrés à la rue. Les espaces culturels, les espaces sportifs et ceux de détente se comptent sur les doigts d’une seule main. Du coup, les citoyens n’ont d’autres choix que de se cloitrer à l’intérieur de leurs logements ou errer à travers les ruelles étroites, sales, bruyantes et incommodes aux promenades. À Arzew, il n’y a pas d’espaces de détente pour les habitants. Hormis la maison de la culture de la cité des jardins et la salle de cinéma ‘’El Marsa’’ où on peut espérer y passer un moment, quand un programme est mis en place, c’est l’oisiveté qui guette les citoyens. Les quelques jardins publics existants ne sont ni entretenus, ni sécurisés. Ils sont livrés à la petite délinquance qui sévit en maitresse des lieux. Ce qui fait fuir les habitants. «L’entretien et l’affectation d’un agent pour garantir la sécurité de ces espaces ne ruinerait ni les caisses municipales ni celles de la wilaya», a regretté un vieux retraité. En effet, les quatre jardins publics dont dispose la ville d’Arzew et dont l’aménagement a coûté des montants importants plus de 11 milliards de centimes ont été injectés au jardin de la cité ‘’Khelifa Benmahmoud’’, qui, est aujourd’hui à l’abandon et dans l’insécurité absolue. Le jardin de la stèle  des  martyrs en face le groupement du darak el watani, et  celui en face de la mairie sont tout bonnement abandonnés. Les travaux d’entretien ne se font que rarement. Les espaces verts sont abandonnés. Au lieu de plantes ornementales et de fleurs, on y trouve des herbes sauvages touffues et hautes de plusieurs dizaines de centimètres. Les jets d’eau  et cannettes de bière et des bouteilles de vin rouges ont été abandonnés et tout ce qui peut constituer une source de repos physique ou à l’esprit a disparu. Pire encore, certains jardins sont envahis par des malfrats qui ont fini par coloniser les lieux pour les détourner  en beuverie. Les habitants préfèrent ne pas y montrer le nez. Une ville, autrefois appelée port de plaisance et de distraction. Le manque d’entretien des jardins publics s’explique par le manque d’ouvriers.  A  ce sujet, un des élus de l’APC, dira : ‘’On ne peut pas affecter des ouvriers et des gardiens pour l’entretien des jardins et abandonner les établissements scolaires ou la voirie. De toutes les manières, nous sommes déterminés à améliorer la situation mais pour cela aussi il nous faut plus d’ouvriers. Et on les réclame!» Medjadji Habib

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Dramatique accident de la route à Mostaganem : Une famille de 6 personnes décimée à Oued El-Kheir

Tue, 10/09/2018 - 00:38
Six personnes, membres d’une même famille, ont trouvé la mort et deux autres ont été grièvement blessées dans un accident de la circulation survenu le dimanche 07 Octobre 2018  à Mostaganem, a-t-on appris de la direction de la Protection civile. Selon le chargé de l’information à la direction de la Protection civile de la wilaya, l’accident s’est produit sur la RN90 A au douar Ouled Dani  relevant de commune d’Oued El-Kheïr, non loin des limites territoriales avec la wilaya de Relizane, à la suite d’une collision frontale entre un camion et un véhicule touristique. Six personnes, membres d’une même famille, à savoir deux femmes (40 et 31 ans), trois enfants (3, 4 et 10 ans) et le conducteur du véhicule (31 ans), sont mortes sur le coup, tandis que deux autres dont une femme qui était à bord du véhicule et le conducteur du camion ont été grièvement blessées, a-t-on signalé de même source. Les agents de la Protection civile ont transféré les blessés à l’hôpital de Yellel (Relizane) et les corps des victimes vers la morgue de l’hôpital d’Aïn Tedelès. Les services de la Gendarmerie nationale ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cet accident. S.Bentoumi

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Cliniques privées : Le ministère lance le plan ‘’Zoning’’

Tue, 10/09/2018 - 00:36
Ce sont des centaines de médecins spécialistes, anesthésistes, réanimateurs qui pratiquent la médecine à leurs comptes, dans des endroits de la ville condensés par les spécialistes, alors que les malades dans d’autres endroits isolés trainent pour trouver un spécialiste. Fin du match, le ministère de la santé a décidé d’opter pour le plan ‘’Zoning’’. Le ministère de la santé et de la population a décidé d’adopter le principe du zoning, qui interdit aux médecins spécialistes d’ouvrir des cabinets médicaux sans l’approbation de la commission spécialisée, qui est chargée de vérifier s’il n’existe aucun autre médecin assurant le même service dans le secteur concerné. Le cabinet médical des spécialistes devra être approuvé par des représentants du ministère de la santé, de l’ordre des médecins, de la direction de la santé et de la direction des ressources humaines qui représentent la commission. Des médecins spécialistes ont qualifié cette décision d’injuste, et la perçoivent comme une restriction de leurs libertés. Ils ont souligné la difficulté de trouver des endroits pour exercer la médecine, en affirmant que ces démarches vont encore compliquer les choses davantage pour eux. Ainsi la Tutelle, change de politique et impose de nouvelles restrictions aux cliniques privées et aux médecins spécialistes voulant pratiquer la médecine à leurs comptes, pour éviter la condensation des spécialistes dans les mêmes endroits. Rappelons que le ministère de la santé avait suspendu tous les agréments aux cliniques privées depuis des ans, le temps de trouver une solution au manque de médecins spécialistes dans les établissements étatiques et de mettre en œuvre un plan efficace pour éviter la concentration des spécialistes dans une même localité. Belkacem

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