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Etudes/Rapports, Rapport sur la première année d'implantation d'Erasmus+ (2014-2020)

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 01/02/2016 - 01:00
Le 26 janvier, la Commission européenne a publié son rapport sur la première année de mise en œuvre d'Erasmus+ avec environ 650 000 bourses de mobilité individuelle octroyées.

Etudes/Rapports, Rapport sur les effets du système de préférences généralisées (SPG+)

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 01/02/2016 - 01:00
Le 28 janvier, la Commission européenne et la Haute Représentante de l'Union ont publié un rapport sur les effets du SPG+ : un instrument commercial visant à exempter certains pays tiers des frais de douane lors de l'exportation de produits vers l'UE à condition qu'ils aient ratifié 27 conventions internationales.

Culture, Exposition "Art de l'holocauste" à Berlin

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 01/02/2016 - 01:00
Jusqu'au 3 avril, le Musée historique allemand de Berlin présente l'exposition " Arts de l'Holocauste " qui rassemble cent oeuvres prêtées par le Mémorial israélien de Yad Vashem.

Culture, Exposition sur les peintures des jardins de Monet à Matisse

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 01/02/2016 - 01:00
Jusqu'au 20 avril, l'Académie royale des Arts de Londres propose une exposition basée sur le travail de Monet et ayant pour thème "Le rôle des jardins dans l'évolution artistique du début des années 1860 aux années 1920".

Santé et Sécurité sociale L’Algérien paye-t-il trop cher ?

Algérie 360 - Mon, 01/02/2016 - 00:56

Economistes et organisations pour la protection du consommateur se sont penchés sur cette question et le rapport service-prix analysé ne semble pas tellement satisfaisant.

Avant toute chose, il y a lieu de connaître le système de Sécurité sociale en vigueur en Algérie. Il est qualifié de «système nationalisé».

Autrement dit, le financement de ce département est quasi totalement du ressort de l’Etat, en théorie. Pourtant, les dernières statistiques réalisées démontrent clairement que la contribution des ménages n’est pas négligeable. Elle est évaluée à près de 25% de l’enveloppe financière globale, soit le quart du financement de la Sécurité sociale. Si l’Algérie a opté pour le système nationalisé depuis les années 60, a expliqué le professeur Larbi Lamiri, économiste de la santé, il est à la charge du ministère de la tutelle de veiller essentiellement à ce que la participation des ménages ne dépasse pas les 10%. C’est le fondement même de ce mode de gestion à caractère social.

Il est évident que le citoyen paye quand même «assez cher» sa Sécurité sociale, a indiqué le professeur Mansour Brouri, chef du service médecine interne à l’établissement hospitalier de Birtraria, Alger.

Or, le service reçu en retour est-il à la hauteur du prix déboursé ? S’agissant du secteur public, «la gratuité du service» multiplie les files d’attente et les délais d’attente. Pour ce qui est du privé, il manque foncièrement d’encadrement. D’où les revendications de l’Union nationale de protection du consommateur auprès des pouvoirs publics afin d’imposer une réglementation régissant cette activité et les tarifs «faramineux» qu’elle applique.
Rajoutant à cela que la budgétisation «approximative et non transparente» des programmes de santé, concernant des maladies tels les cancers, le diabète et les vaccins particulièrement, fait que le consommateur n’arrive pas à évaluer le montant réel des soins médicaux qu’il paye, ou de se positionner sur une fourchette bien déterminée, afin qu’il puisse identifier «les excès».

Or, le patient se trouve-t-il dans «une position de force» pour analyser les tarifications ou encore les négocier ? La réponse est évidemment négative. Concrètement, la maladie revêt plusieurs aspects, outre l’effet d’incertitude qu’elle implique, elle met le patient dans une situation d’urgence et «d’obligation de consommation». Autrement dit, il se retrouve systématiquement devant «le fait accompli».

D’où l’accélération d’un effet «d’appauvrissement continu» de la population par ce temps de généralisation des maladies chroniques ou incurables, dénoncent les spécialistes. En effet, en l’absence d’une réglementation claire régissant le binôme santé-Sécurité sociale, protégeant le consommateur face aux «abus», le patient subit doublement sa maladie.
N. B.

Categories: Afrique

DANA M1 CZ

Military-Today.com - Mon, 01/02/2016 - 00:55

Czech DANA M1 CZ 152-mm Self-Propelled Gun-Howitzer
Categories: Defence`s Feeds

Et c’est nous les «complotistes» ?

Algérie 360 - Mon, 01/02/2016 - 00:51

Je sais, je sais, ça devient lassant parfois, mais il faut le rappeler, le répéter, le marteler. En février 2003, nous mettions en cause les «preuves» préfabriquées par Colin Powell, sur une prétendue présence d’armes de destruction massive en Irak. Il en a fallu du temps pour que le gars reconnaisse son mensonge. Quant à ces grands quotidiens – dont le New York Times- qui poussaient à la guerre pour «stopper» ce danger imaginaire, ils s’étaient contentés de quelques lignes d’excuses en page Une…

Quand nous avons écrit, et cela dès le début, que Daesh est sorti des laboratoires de la contrefaçon et de la manipulation américano-saoudiennes, avec l’aide d’Israël, du Qatar et de l’Arabie Saoudite, ce ne fut certes pas un déluge de messages de réprobation, mais des amis lecteurs ont rué sur les brancards : «vous êtes jaloux du Qatar!», «l’Arabie vous dérange parce que c’est la terre de l’islam», «la CIA ne peut faire ça dans un pays démocratique, occupez-vous du DRS!» et j’en passe…

Le DRS n’existe plus et je peux vous assurer que ses agents sont des boys scouts à côté des barbouzes de la CIA. La preuve ? Allez la trouver sur le… New York Times ! Tiens, tiens ! Oui, chers amis, le grand quotidien américain vient de publier un article sur l’Opération Bois de Sycomore qui détaille la manière dont la CIA a entraîné l’Etat islamique. Vous y apprendrez comment l’agence américaine a entraîné les «rebelles» avec l’argent de l’Arabie Saoudite !
Bien sûr, cela ne vous oblige pas à reconnaître notre version du 11 septembre qui fut la plus grande opération de manipulation du siècle naissant ! Mais un jour…

Categories: Afrique

Maurice Audin, un brillant mathématicien mort pour l’Algérie : son pays

Algérie 360 - Mon, 01/02/2016 - 00:48

Il fut assassiné par les parachutistes, il y a cinquante- sept ans, le 21 juin 1957. Comme des milliers de disparus de la Bataille d’Alger, son corps n’a pas été retrouvé.

C’est un immense honneur pour moi d’évoquer, aujourd’hui, le souvenir de ce frère et ami, de ce camarade dont j’eus le privilège d’être l’élève.

orsque je me rendais chez lui, au 22 rue de Nîmes, au centre d’Alger, pour les cours de mathématiques qu’il me donnait gracieusement, je ne savais pas que j’allais à la rencontre d’un savant, tellement sa modestie était grande. Il me consacra généreusement ses samedis après-midi, alors qu’il préparait sa thèse de doctorat en mathématiques.

J’ai connu Maurice Audin par l’intermédiaire de mon frère aîné, Nour Eddine, étudiant comme lui à l’Université d’Alger. Ils partageaient les mêmes convictions politiques. Nour Eddine est tombé au champ d’honneur le 13 septembre 1957, à Bouhandès, au sud-ouest de Chréa, au flanc sud du djebel Béni Salah. Maurice Audin, dont je garde en mémoire le visage souriant, est né le 14 février 1932, dans la ville de Béja, en Tunisie, de père né en France et de mère née en Algérie.  A Alger, où sa famille revint dans les années 1940, il suivit pratiquement toute sa scolarité. Il entra à la Faculté des sciences d’Alger, en 1949, à l’âge de 17 ans.

Brillant étudiant, il fut appelé le 1er février 1953 comme assistant par le professeur Possel qui le prit aussitôt en thèse et le mit en contact avec son patron de Paris, le grand mathématicien Laurent Schwartz.

En plus de ses activités de chercheur, Maurice Audin, membre du Parti communiste algérien depuis 1951, était omniprésent dans les luttes syndicales et politiques.

C’est à travers ces luttes que se forgea sa conscience nationale. Il intégra ainsi la nation algérienne en lutte pour sa dignité.

Le 20 janvier 1956, il était aux côtés de ses camarades étudiants musulmans de l’Université d’Alger lors de la manifestation, organisée par la section d’Alger de l’UGEMA, suite à l’assassinat de l’étudiant Belkacem Zeddour et du docteur Benaouda Benzerdjeb.

Cette manifestation fut d’ailleurs le prélude à la grève générale illimitée déclenchée le 19 mai 1956.

Maurice Audin engagea sa vie dans une voie pleine de courage

Détruire l’ordre colonial sanglant, insultant, raciste, pour construire, avec le peuple libéré, une société juste, solidaire, fraternelle.

Qu’est-ce qui a poussé à l’action ce jeune mathématicien qui, de par sa compétence, était appelé à une brillante carrière et à une paisible vie toute consacrée à la recherche en mathématiques ?

Aux questions des historiens, Josette Audin, son épouse, professeur de mathématiques comme lui, répond avec sérénité : « Ce sont ses convictions communistes que je partage autant que son goût pour les sciences. Nous étions tous les deux conscients des risques que nous faisaient courir nos engagements politiques ».

Pour retracer les circonstances de la disparition de Maurice Audin le 21 juin 1957, je m’appuie sur le témoignage de son épouse, ainsi que sur les écrits d’Henri Alleg, auteur de la « Question », et du Docteur Georges Hadjadj. Je me réfère également à l’ouvrage de l’historien Pierre Vidal-Naquet, « L’Affaire Audin », et aux journaux de l’époque.

Contexte de son arrestation par les parachutistes le 11 juin 1957

1957 : La lutte armée pour l’Indépendance entre dans sa troisième année. Nous sommes loin des premiers coups de fusils de chasse. En cette année 1957, l’initiative appartient aux katibas et aux commandos de l’ALN.

Alger, 1957. Le général Massu reçoit, le 7 janvier, les pleins pouvoirs des mains du chef du gouvernement, Guy Mollet. Il devient ainsi le chef suprême de la zone d’Alger. Il s’entoure d’officiers revenus comme lui du Viet Nam après la défaite du corps expéditionnaire français à Diên Biên Phû au mois de mai 1954, Avec ses milliers de parachutistes, il envahit Alger et sème la terreur dans la population.

Il s’arroge le droit de vie et de mort. Il ouvre des centres de torture partout : La villa Sésini, l’école Sarrouy, le café-restaurant Bellan aux Deux Moulins, l’immeuble d’El Biar, le stade de Saint Eugène (Omar Hamadi à Bologhine), la villa des Tourelles.

La liste est longue. A Paul Cazelles (Aïn Oussara), à 250 kilomètres au sud d’Alger, l’armée française ouvre un vaste camp de concentration où les prisonniers, entassés sous les tentes, ne sont même pas recensés.

Nous sommes en pleine bataille d’Alger. Bataille d’Alger déclenchée par le service des renseignements français avec l’attentat monstrueux perpétré dans la nuit du 10 au 11 août 1956, à la rue de Thèbes, contre la population pauvre de la Casbah endormie.

Dans la nuit du 11 juin 1957, des officiers du 1er régiment de chasseurs parachutistes enlèvent Maurice Audin à son domicile, à la cité des HBM de la rue Flaubert, au Champ de Manœuvres.

Son épouse raconte ce qui est arrivé : « Il est 23 heures. Nos enfants – le plus jeune, Pierre, a un mois – sont à peine couchés lorsque les « paras » viennent frapper à la porte. J’ai la naïveté de leur ouvrir, sachant très bien, en réalité, ce qu’une visite aussi tardive peut signifier…Ces hommes venus prendre mon mari me diront en partant :  »S’il est raisonnable, il sera là dans une heure »…Il n’a pas dû l’être, raisonnable, car je ne l’ai jamais revu ».

De son côté, le docteur Georges Hadjadj relate sa rencontre avec Maurice Audin, dans la salle de torture d’El Biar, la nuit du 11 au 12 juin : « J’étais à ce moment-là au deuxième étage, à l’infirmerie, où j’avais été amené dans l’après-midi à la suite d’une crise titanifère que l’électricité avait provoquée.

Le capitaine Faulques est venu me chercher pour me faire répéter, devant Audin, dans l’appartement en face, ce que je lui avais dit, c’est-à-dire que j’avais soigné chez lui M. Caballéro. Il y avait par terre une porte sur laquelle étaient fixées des lanières. Sur cette porte, Audin était attaché, nu à part un slip. Etaient fixées, d’une part à son oreille et d’autre part à sa main, des petites pinces reliées à la magnéto par des fils.

Il y avait dans la pièce outre le capitaine Faulques, le capitaine Devis, le lieutenant Irulin, le lieutenant André Charbonnier et un chasseur parachutiste.

J’ai ensuite regagné la chambre de l’infirmerie, d’où j’ai pu entendre les cris plus ou moins étouffés d’Audin.

Une semaine après, on nous transféra, Audin et moi, dans une petite villa située à un kilomètre du lieu où nous étions détenus. Elle se trouvait en face du PC du régiment de parachutistes et il y avait un panneau accroché à l’entrée indiquant :  »PC 2° bureau ».

On nous mena là soi-disant pour être interrogés. En fait, comme je le sus plus tard, ce déplacement était dû à une visite d’officiels dans les locaux d’El Biar. A cette occasion, j’ai pu revoir Audin. Nous étions enfermés dans une pièce avec d’autres détenus musulmans.

Audin a pu alors me raconter les sévices qu’il avait subis. Il en portait encore les traces : des petites escarres noires aux lieux de fixation des électrodes. Il avait subi l’électricité. On lui avait fixé les pinces successivement à l’oreille, au petit doigt de la main, aux pieds, sur le bas-ventre, sur les parties les plus sensibles de son corps meurtri.

Il avait également subit le supplice de l’eau. A cette occasion, il avait perdu son tricot parce qu’on s’en était servi pour recouvrir son visage avant de glisser entre ses dents un morceau de bois et un tuyau. Et puis, bien sûr, il y avait un parachutiste qui lui sautait sur l’abdomen pour lui faire restituer l’eau ingurgitée… « .

Le 21 juin, Maurice Audin, âgé de 25 ans, père de trois enfants, disparaît.

Henri Alleg, l’auteur du livre La Question, témoigne :

« Il devait être 22 heures ce soir- là, lorsque Charbonnier est venu me demander de me préparer pour un transfert…Je l’ai entendu dire dans un couloir :
« Préparez aussi Audin et Hadjadj… » J’ai attendu. Personne n’est venu me chercher. Dans la cour, une voiture a démarré, s’est éloignée. Un moment après, une rafale de mitraillette. J’ai pensé : « Audin ».

Qu’est-il advenu de Maurice Audin ?

Le rapport du lieutenant-colonel Mayer, commandant du 1° RCP, mentionne :

« Le dénommé Audin Maurice, détenu au centre de triage d’El Biar, devait subir un interrogatoire par la PJ le 22 juin 1957 au matin.
Le 21 juin, il fut décidé de l’isoler et de l’emmener dans un local de la villa occupée par le noyau Auto du régiment OP, 5, rue Faidherbe, où devait avoir lieu l’interrogatoire le lendemain.

Vers 21 heures, le sergent Mire, adjoint de l’officier de renseignement du régiment, partit chercher le détenu en jeep. Le prisonnier, considéré comme non dangereux, fut placé sur le siège arrière du véhicule, le sergent Mire prenant place à l’avant à côté du chauffeur.

La jeep venait de quitter l’avenue Georges-Clémenceau et était engagée dans un virage accentué. Le chauffeur ayant ralenti, le détenu sauta du véhicule et se jeta dans un repli du terrain où est installé un chantier, à gauche de la route.

(…) La 2° Compagnie cantonnée à El Biar fut rapidement avertie, et envoya des patrouilles en direction de Frais Vallon. Il ne fut pas possible de recueillir le moindre renseignement… »

Josette Audin refusa de croire à cette version. Evadé, son mari eût fait l’impossible pour rassurer les siens. Aussi, le 4 juillet, elle porte plainte pour homicide contre X et se constitue partie civile.

« Mon mari a été étranglé le 21 juin 1957 au centre de tri de la Bouzaréah, à El Biar, au cours d’un interrogatoire mené par son assassin, le lieutenant Charbonnier, officier de renseignements du 1° RCP…

Le crime fut commis au su d’officiers supérieurs qui se trouvaient, soit dans la chambre des tortures, soit dans la pièce attenante.

Il s’agit du colonel Trinquier, alors adjoint du colonel Godard, du colonel Roux, chef du sous-secteur de la Bouzaréah, du capitaine Devis, officier de renseignements attaché au sous-secteur de la Bouzaréah, et qui avait procédé par ailleurs à l’arrestation de mon mari, du commandant Aussaresses, du commandant de la Bourdonnaie ».

Le général Massu a été, peu après, informé personnellement de cet assassinat, baptisé accident, par les officiers qui se sont rendus à son bureau de l’état-major. C’est dans le bureau du général que fut réglée la mise en scène de la prétendue évasion de Maurice Audin.

Maurice Audin a été immédiatement inhumé à Fort – l’Empereur en présence du colonel Roux et du lieutenant Charbonnier qui l’assistait ».

Josette Audin n’a cessé de chercher à connaître la vérité.

Où se trouve le corps du supplicié ?

Le général Massu a refusé de dévoiler le secret. Quelque mois avant la mort du général, en 2002, le commandant Aussaresses (le commandant « O ») lui avait demandé : « Vous ne pensez pas, général, qu’après plus de cinquante ans, il faudrait parler pour Madame Audin. » Le général le rabroua : « Je ne veux plus rien entendre : compris Aussaresses ? », lui lança-t-il au téléphone.

Le 19 juin 2007, dans une lettre ouverte, Josette Audin écrit au président de la République française pour lui demander « simplement de reconnaître les faits, d’obtenir que ceux qui détiennent le secret, dont certains sont toujours vivants, disent enfin la vérité, de faire en sorte que s’ouvrent sans restriction les archives concernant cet évènement… « .

Elle n’a pas reçu de réponse.

Mais, par une lettre datée du 30 décembre 2008, le président de la République française informe la fille aînée de Maurice Audin, Michèle, mathématicienne, de sa décision de lui décerner le grade de chevalier de la Légion d’honneur (pour sa contribution à la recherche fondamentale en mathématiques et la popularisation de cette discipline).

Michèle Audin l’a refusée. « Je ne souhaite pas recevoir cette décoration…parce que vous n’avez pas répondu à ma mère… », a-t- elle écrit au chef de l’Etat français, dans une lettre ouverte qui a fait le tour du monde.

Depuis, il y a eu les révélations du général Aussaresses faite à un journaliste peu avant sa mort. Maurice Audin est mort d’un coup de poignard porté par un officier parachutiste placé sous ses ordres, lui a-t-il confié. Josette Audin a émis des doutes sur ces déclarations. « C’est bien que le général ait dit sa vérité, mais c’est seulement sa vérité. Ce n’est pas forcément la vérité », dit-elle.

De son côté, lors d’un travail de recherche, la journaliste Nathalie Funès révéla le nom de l’assassin. Il s’appelle Gérard Garcet, révèle un écrit du colonel Godard, retrouvé aux Etats-Unis. Au moment des faits, il était sous-lieutenant de l’infanterie coloniale détaché comme aide de camp auprès du général Massu.

Mais Josette Audin ne sait toujours pas où est enterré son mari.

Afin de perpétuer le souvenir du brillant mathématicien, symbole de l’intellectuel engagé, mort pour que vive l’Algérie, son pays, la République algérienne reconnaissante donna, le jour de la célébration de l’an I de l’indépendance, le nom de Maurice Audin à la place centrale d’Alger, en contre bas de l’Université où il mena de brillantes recherches. Dans l’Algérie colonisée, la place portait le nom du général Lyautey, descendant des envahisseurs de 1830.

Le 19 mai 2012, à l’occasion de la célébration de la Journée Nationale de l’Etudiant, le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique inaugura la plaque commémorative scellée au mur de l’Université d’Alger, près de la librairie qui porte le nom du mathématicien martyr.

Le Prix Maurice-Audin, créé en 1957 à Paris, « est décerné, chaque année depuis 2004, par l’association éponyme, établie en France, pour honorer, une fois par an, deux mathématiciens des deux rives de la Méditerranée », rappelle l’agence officielle l’APS. Au mois de mars dernier, c’est Kawthar Ghomari de l’ENST d’Oran qui l’a reçu des mains du ministre algérien de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique qui avait présidé la cérémonie.


Le docu debat – maurice audin – la disparition 1. par 9h42

Categories: Afrique

Stärke von 3.5: Erdbeben nördlich von Davos

Blick.ch - Mon, 01/02/2016 - 00:21

BERN - BE - Nahe der Schweizer Grenze in Österreich hat am späten Sonntagabend die Erde gebebt. Der Schweizerische Erdbebendienst (SED) an der ETH Zürich registrierte die Erdstösse 14 Kilometer westlich von St. Anton am Arlberg. Rund 40 Kilometer weiter südlich liegt Davos.

Das Beben ereignete sich um 23:43:59 Uhr in einem Kilometer Tiefe und hatte eine Stärke von 3.5. Es dürfte laut der Mitteilung weiträumig verspürt worden sein. Schäden seien bei einem Beben dieser Stärke in der Regel nicht zu erwarten.

Im vergangenen Jahr hat der SED rund 700 Beben in der Schweiz oder im grenznahen Ausland registriert. Drei der Beben waren deutlich spürbar. 2015 war damit ein seismisch ruhiges Jahr. Als besonders erdbebengefährdet gelten neben dem Wallis und dem Bündnerland die Region Basel, das St. Galler Rheintal und die Zentralschweiz.

Categories: Swiss News

AirPowerNews 35. (2016. febr.)

Air Power Blog - Mon, 01/02/2016 - 00:20

Így, 2016 februárjának első napján, egy hónappal a V4 EUBG magyar CAS komponensének sikeres készültségbe állása után itt az ideje egy Gripenre függesztett GBU-12-es lézeres irányítású bomba képével előállni. Sajnos nem magyarral, de ezt biztos megbocsátjuk egymásnak, mint oly sok minden mást ;-) Ahogy mondani szokták, ami késik, nem múlik.

Zord


Categories: Biztonságpolitika

Achtung SBB-Pendler: Bauarbeiten legen Strecke Luzern - Zürich lahm

Blick.ch - Mon, 01/02/2016 - 00:04

Der Bahnverkehr auf der Strecke zwischen Zürich und Luzern ist am Montagmorgen ausserplanmässig eingeschränkt. Grund ist eine Verzögerung bei den Bauarbeiten im Albistunnel zwischen Sihlbrugg und Baar ZG.

Für die Erneuerung der Gleise sowie den Ersatz einer Weiche wird die Strecke zwischen Baar und Horgen Oberdorf an fünf Wochenenden gesperrt. Geplant ist jeweils ein Unterbruch bis Montag, 05.30 Uhr. Weil die Bauarbeiten am ersten Wochenende nicht rechtzeitig abgeschlossen wurden, bleibt die Störung nun bis 07.45 Uhr bestehen, wie die SBB am Sonntagabend mitteilte.

Grund sind technische Probleme bei der Abschaltung der Fahrleitung in der Nacht auf Samstag. Die Bauarbeiten konnten erst mit einer Verspätung von rund zwei Stunden aufgenommen werden. Dieser Rückstand konnte nicht wieder aufgeholt werden.

Die Züge zwischen Zürich HB und Bellinzona, Lugano, Locarno und Milano Centrale werden umgeleitet über Rotkreuz und halten nicht in Zug. Die Regionalverbindungen ab Zürich Flughafen respektive HB nach Luzern fahren fallen zwischen Zürich und Baar aus. Es verkehren Ersatzzüge von Zürich HB nach Rotkreuz. Die Anschlüsse in Rotkreuz nach Luzern respektive Zürich HB sind gewährleistet. Die S-Bahnzüge S24 Zürich Oerlikon - Zug fallen zwischen Horgen Oberdorf und Zug aus. Hier verkehren Ersatzbusse.

Categories: Swiss News

VIDEO: Hunger crisis worsens in Ethiopia

BBC Africa - Mon, 01/02/2016 - 00:00
UN Secretary-General Ban Ki-moon visits a drought-hit region of Ethiopia to help raise awareness of the worsening hunger crisis.
Categories: Africa

The Internal and External Ring

German Foreign Policy (DE/FR/EN) - Mon, 01/02/2016 - 00:00
(Own report) - Within the EU, the mounting pressure to ward off refugees, is intensifying the debate about a possible dismantling of the Schengen system. It is yet unclear, whether Berlin can reach its objective of stopping refugees at the external borders of Greece to be immediately deported to Turkey. Alternately, attempts are being made to turn Macedonia into a buffer state against refugees, while threatening Greece's exclusion from the Schengen system. The establishment of a "Mini-Schengen" is being considered as an emergency solution. Even while officially continuing to reject such a "Mini-Schengen," the German government is already involved in its planning, which the Netherlands is officially directing. Any option beyond effectively sealing off Greece's external borders, i.e. abandoning part of the Schengen-system, would be a first retreat - with unforeseeable consequences. According to observers, this could seriously weaken the EU.

Oldtimer-Restauration: Die Auto-Chirurgin

Blick.ch - Mon, 01/02/2016 - 00:00

Die deutsche Diplom-Restauratorin Gundula Tutt überholt Oldtimer, ohne ihre historische Substanz zu übertünchen. Ihre Methoden erinnern an die Kriminal-Forensik.

Jeder neue Patient ist für Dr. Gundula Tutt ein spannender Fall. Denn unter den alten Lackschichten der historischen Karosserien verbergen sich oft interessante Geheimnisse, denen sie auf den Grund gehen will. Und so könnte das Büro der Diplom-Restauratorin auch in jedem Forensik-Krimi als Kulisse dienen. Auf einem schlichten Tisch steht ein Mikroskop, die Regale dahinter sind vollgepackt mit Reagenzgläsern. «Es sind fast 600», schmunzelt die Oldtimer-Restauratorin. Sie sind die Datenbank – und unerlässlich für die Arbeit der Frau mit den wachen Augen hinter den runden Brillengläsern. In den meisten Behältern befinden sich Lackreste alter Autos, aber auch Spuren von Polsterungen oder Reste von Lederbezügen.

Wer nach Gundula Tutts Arbeit ein wie neu lackiertes und blank poliertes Fahrzeug erwartet, wird enttäuscht. Man sieht auch danach den Zahn der Zeit. Vielmehr gehts bei ihrer Arbeit um Erhaltung und Konservierung der historischen Substanz. Dies erfordert viel Geschick, Erfahrung und Geduld. Das war schon während des Studiums so, als sie stundenlang Farbschichten alter Bilder entfernte, um den Gemälden auf den Grund zu gehen. «Es braucht eine gewisse Demut und Einfühlungsvermögen, weil man die Ideen des ursprünglichen Herstellers und Handwerkers annehmen und quasi in seine Intention eintauchen muss», erklärt die Restauratorin. Neben dieser empathischen Komponente sind aber auch handfeste wissenschaftliche und handwerkliche Fertigkeiten nötig. Mit der Infrarotspektroskopie, das die Wechselwirkung elektromagnetischer Strahlung aus dem infraroten Spektralbereich untersucht, wird der Farbcode des betagten Patienten entschlüsselt. Diese Methodik, die auch in der Kunstgeschichte bei der Restauration alter Gemälde angewendet wird, half Tutt etwa bei der Analyse von Farbproben des Egger-Lohner C2 Porsche, Baujahr 1898, der heute im Porsche-Museum in Stuttgart steht.

Um Oldtimer wieder in ihren Originalzustand zurück zu versetzen, braucht es auch intensive Untersuchungen des Lacks. Oft verbirgt sich die Originalfarbe unter mehreren Schichten und bisweilen stellt sich heraus, dass der angebliche Originallack nur eine Überlackierung darstellt. Um die ursprüngliche Schicht herauszufinden, helfen Lichtquellen. Die Fans der CSI-Serien kennen das Prozedere, wenn Ermittler die zu untersuchenden Flächen mit verschiedenfarbigen Lichtquellen beleuchten und mit den passenden Filtern die Farbübergänge sichtbar machen. Dann kommt das Mikroskop zum Einsatz, um anhand der Zellen die Holzart der Fahrzeugaufbauten zu identifizieren. «So konnte ich an einigen nie bearbeiteten Fahrzeugen nachweisen, dass im Karosseriebau früher beileibe nicht 'alles Esche' war», erklärt die findige Restauratorin. Mittlerweile sind Gundula Tutts Expertisen weltweit gefragt. Die Restauratorin ist Mitglied der Arbeitsgruppe der Fédération Internationale des Véhicules Anciens (FIVA), welche die Charta von Turin – eine Zusammenfassung von Leitsätzen für Nutzung, Unterhalt, Konservierung, Restaurierung und Reparatur von historischen Fahrzeugen – verfasst hat.

Nach der Lackanalyse folgt die eigentliche Arbeit; das Mischen der Farben. Dazu verwendet Gundula Tutt eine selbst entworfene Farbmischmaschine. Auf die Frage nach dem Geheimnis dieser Apparatur gibts als Antwort nur ein freundliches Lächeln und: «Sorry, Betriebsgeheimnis». Einen Lack zu konservieren ist deutlich aufwendiger, als die Farbe neu anzumischen. Damit die originale Substanz möglichst umfangreich erhalten bleibt, greift die Restauratorin zu kreativen Hilfsmitteln. Lackstücke werden mit Klebenadeln oder mit einem Bügeleisen wieder fixiert. Für diese diffizile Arbeit an jahrzehntealten Farbschichten ist neben Routine auch viel Geschick nötig. Ihre exakten Handgriffe erinnern an jene eines versierten Chirurgen. Dass aber ein alter Bugatti oder Alfa nicht antiseptisch ist, spürt Gundula Tutt oft genug am eigenen Leib. Mehr als einmal hat sie sich an scharfen Blechen an schwer erreichbaren Stellen schon verletzt.

Eines ihrer ersten Projekte war ein Bugatti T43, bei dem der Lack von der Zeit gezeichnet war, der Karosserie-Boden fehlte und die Innenausstattung beschädigt war. «Damals stand ich etwa sechs Wochen unter Hochspannung und habe nachts teilweise von der Arbeit am Auto geträumt», erzählt Gundula Tutt. Als sie verschiedene Sattler abklapperte, um die Innenausstattung mit Rosshaar und Stahlfedern, aber ohne Kleber und Klammern wieder in Schuss zu bringen, erntete sie verständnisloses Kopfschütteln. «Die schauten mich an, als wäre ich von Sinnen», lacht sie heute. Weiter brachte sie dann das Buch «Polsterlehrgang» aus dem Jahr 1950. Anhand dieser Anleitung brachte Gundula Tutt das Interieur wieder auf Vordermann. Selbst das Leder färbte sie selbst und nutzte dazu ein Rezept aus den 1930er-Jahren. Das Lackieren kleiner Flächen erledigte Tutt mit einer Airbrush-Anlage, für grössere «Baustellen» fand sie einen Lackierer, der das Handwerk mit den alten Farben nach ihren Vorgaben hinbekam. Und so verfügt Gundula Tutt heute über ein funktionierendes Netzwerk, das ihr einige Aufgaben abnimmt.

Categories: Swiss News

Jetzt abstimmen! Wer ist Ihr Star des Monats?

Blick.ch - Mon, 01/02/2016 - 00:00

Welches dieser neun BLICK-Girls gefällt Ihnen am besten? Die Wahl des Januar-Girls auf Blick.ch läuft bis heute Abend um 18 Uhr. Die Siegerin gewinnt 500 Franken und nimmt an der Wahl zum Girl des Jahres teil.

 

Categories: Swiss News

Pirmin Zurbriggen, Hermann Maier, Stephan Eberharter: Star-Comebacker adeln Feuz

Blick.ch - Mon, 01/02/2016 - 00:00

Beat Feuz begeistert mit seiner Rückkehr sogar die geschichtsträchtigsten Alpin-Comebacker!

Es war im Februar 1985, als Pirmin Zurbriggen mit seinem «Knie der Nation» die Schweiz in einen Ausnahmezustand versetzt hat – der Walliser wurde zweieinhalb Wochen nach einer Meniskus-OP Abfahrts-Weltmeister. Jetzt schwärmt der bald 53-jährige Zurbriggen von Beat Feuz (28), dem Mann mit dem neuen Knie der Nation.

Für Pirmin kommt es einem Wunder gleich, dass Feuz letzten Samstag in Garmisch zum zweiten Mal in sieben Tagen aufs Podest gefahren ist. «Vor ungefähr drei Jahren hat mir ein Arzt erzählt, dass es in Beats Knie katastrophal aussehen würde. Nun hat er sich im letzten Sommer auch noch an der Achillessehne verletzt und kann jetzt trotzdem ohne richtige Saisonvorbereitung an der Spitze mithalten», wundert sich der vierfache Gesamtweltcupsieger und gesteht: «Wenn ich Beat zuschaue, habe ich immer die Befürchtung, dass in seinem Knie wieder etwas kaputt geht. Aber dank seinem genialen Talent, seinem grossen Selbstvertrauen und sehr viel Mut macht er das unmöglich erscheinende trotzdem immer wieder möglich.»

Feuz war als Kind ein grosser Fan von Stephan Eberharter. Mittlerweile ist der Zillertaler ein Fan vom Emmentaler: «Beat begeistert mich total und erinnert mich gleichzeitig an mein eigenes Comeback. Ich bin nach meinen zwei Weltmeistertiteln 1991 wegen gesundheitlichen Problemen für sechs Jahre in der Versenkung verschwunden.»

Der 46-jährige Österreicher erklärt, warum die vielen Verletzungen Feuz genauso stark gemacht haben wie ihn: «Nach einer langen Verletzungspause bist du viel geiler aufs Skifahrern, als wenn immer alles nach Plan läuft. Ich habe das Gefühl, dass Beat momentan wie ich damals sogar bei Wind und Regen gerne auf den Ski steht. Genau diese kindliche Freude macht ihn erfolgreich.»

Und was sagt Hermann Maier (43), der nach seinem schweren Töff-Unfall mit einem verstümmelten Fuss Gesamtweltcupsieger und Weltmeister wurde, zur neuerlichen Auferstehung von unserem Kugelblitz? «Das Comeback von Beat taugt mir voll, echt cool. Das besondere an Beats Leistung war, dass er in Kitzbühel und Garmisch auf schwierigen Pisten aufs Stockerl gefahren ist. Nach diesen geglückten Härtetests dürfte er sehr viel Vertrauen in seinen Körper zurückgewonnen haben, was nach solch gravierenden Verletzungen das Wichtigste ist.»

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Das erste von 130'000 Autos wurde in Dübendorf ZH umgerüstet: Dieser Schummel-Diesel ist jetzt ehrlich

Blick.ch - Mon, 01/02/2016 - 00:00

Der Druck, der auf Amag-CEO Hannesbo lastete war in den letzten vier Monaten gross, der Planungsaufwand enorm. Beim ersten von 130'000 Autos wurde das Software-Update durchgeführt. Bis Ende Jahr sollen alle betroffenen Autos einem solchen Update unterzogen werden.

Mächtig steht er da, der VW Amarok 2.0 TDI. Mit offener Motorhaube. Er ist das erste von 130'000 Autos des VW-Konzerns, das in der Schweiz zurückgerufen wurde. Werkstattleiter Ueli Portmann (33) greift zum Diagnosegerät. Denn zur Operation am offenen Herzen kommt es beim Pick-up mit dem Schummel-Diesel nicht. Ein simples Software-Update soll es richten.

Amag-CEO Morten Hannesbo (53) startet den Update-Vorgang. Zehn Minuten später ist der Spuk vorbei. «Die Manipulationssoftware ist gelöscht», sagt er. Der Motor entspricht wieder den gesetzlichen Vorschriften. Ein Stempel im Serviceheft und ein Kleber an der A-Säule beweisen, dass das Update gemacht wurde. Zudem erhält das Bundesamt für Strassen (Astra) eine Meldung. Es registriert jeden der durchgeführten Rückrufe.

Denn er ist obligatorisch und läuft gestaffelt ab. Die Amag schreibt ihre Kunden drei Mal an und bittet sie in die Werkstatt. Geschieht das nicht, wird das Auto vom Astra aus dem Verkehr gezogen. «So weit wird es aber nicht kommen», glaubt Hannesbo. Der grösste Teil der Kunden habe Verständnis für die Massnahme, die je nach Motor zwischen 30 und 60 Minuten dauert. «Aber VW hat viele

Kunden enttäuscht. Wir werden alles daransetzen, dass sie der Marke verzeihen und eine zweite Chance geben.»

Der Druck in den letzten vier Monaten sei gross gewesen, der Planungsaufwand enorm. «Nun können wir endlich Probleme lösen. Und nicht nur über Pro­bleme reden», sagt Hannesbo. Er ist überzeugt, dass seine Leute alle 130'000 Autos bis Ende Jahr updaten können – neben dem Tagesgeschäft in den Werkstätten. «Wir haben in unseren 400 Servicebetrieben 1000 Techniker, die das können.»

Aber man müsse flexibel sein. So werden die Autos von Flottenkunden nach Möglichkeit vor Ort umgerüstet. Private können ihren Diesel auch an einem Samstagnachmittag in die Werkstatt bringen. Zudem stellt die Amag 20 weitere Techniker an. Das ist gut so: Ein einzelner Mechaniker hätte nämlich 50 Jahre zu tun, um alle Autos umzurüsten. Die Aktion läuft langsam an. «Im April geht es richtig los, dann kommen Volumenmodelle wie Passat oder Golf an die Reihe», sagt Portmann.

Der Amag-CEO steht hinter der Lösung, die Volkswagen entwickelt hat. «Sie wurde vom deutschen Kraftfahrt-Bundesamt getestet und vom Astra abgesegnet. Wir haben nichts zu verbergen.» Hannesbo verspricht, dass die Autos nach dem Update zwar sauberer seien, aber nicht mehr verbrauchten oder weniger Leistung aufwiesen. Sagts und setzt sich hinters Steuer. Stolz fährt er den Amarok aus der Werkstatt. «Ein gutes Gefühl! Ich bin erleichtert.»

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