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Un film nourri par une expérimentation sociale a remporté ce dimanche 28 mai la Palme d’or. « The Square » du Suédois Ruben Östlund raconte les limites de l’altruisme dans notre monde d’aujourd’hui. L’actrice allemande Diane Kruger a été couronnée pour son interprétation subtile d’une femme combattante dans « Aus dem Nichts ». L’acteur américain Joaquin Phoenix a remporté le prix pour son rôle de mercenaire psychopathe dans « You Were Never Really Here ». Même si Netflix est resté absent du palmarès, la 70e édition du Festival de Cannes restera marquée par le débat autour du géant de la diffusion en streaming.

A muzslyai Önkéntes Tűzoltó Testület tagjai a mai napon az aratás előtti tűzvédelmi intézkedések programja keretében azoknál a gazdáknál jártak, akik kombájnnal rendelkeznek, és készülődnek az aratásra.

LE CONTRE-POINT - Le nouveau chef de l'État sait que sa liberté d'action se joue le 18 juin, date du second tour des législatives.

Le ministre algérien du Tourisme et de l'Artisanat a été limogé dimanche, trois jours seulement après sa nomination, a annoncé la présidence sans expliquer la raison de ce renvoi.

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Le président français reçoit ce lundi 29 mai son homologue russe pour une visite de travail. Le rendez-vous entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron se déroulera dans le parc du château de Versailles, résidence des rois Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Les deux hommes vont inaugurer au Grand Trianon une exposition sur Pierre le Grand, empereur de toutes les Russies.

Le Front national espère recomposer le paysage de la droite après les élections législatives.

Harmonikusnak értékelte a tartományi kormány és a tartományi képviselőház elmúlt egy éves együttműködését Pásztor István, a tartományi képviselőház és a VMSZ elnöke az újvidéki Dnevnik napilapnak adott interjújában.

Gauthier Destenay, mari de Xavier Bettel, Premier ministre du Luxembourg, était, le 25 mai dernier au sommet de l’Otan, le premier conjoint d'un dirigeant européen à poser sur la photo de famille des «premières dames». La photo avait fait sensation. Trois jours plus tard, elle fait à nouveau parler d’elle, pour une autre raison. Et la Maison Blanche n’y est pas étrangère.

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Le président français Emmanuel Macron a annoncé dimanche la libération d'un Français qui avait été "enlevé le 1er mars dans l'est de la République démocratique du Congo" (RDC), dans un communiqué de l'Elys

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La police britannique a diffusé des photos du kamikaze responsable de l'attentat de Manchester et a lancé un appel à témoins afin de retracer les derniers jours de l’auteur de l’attaque. Le niveau d'alerte terroriste a été abaissé de « critique » à « grave » suite aux progrès dans l’enquête.

Des affrontements ont éclaté entre manifestants et policiers, dans la soirée de samedi, dans le nord du Maroc, à Al-Hoceïma, où des manifestations populaires secouent la ville depuis la mort tragique d'un vendeur de poisson fin octobre.

Alors que le bras de fer entre Madrid et Barcelone bat son plein concernant la possible tenue d'un référendum d'autodétermination en Catalogne rejeté par l'Etat central et ardemment désiré par les leaders catalanistes, le gouvernement de Mariano Rajoy a pour la première fois frappé du poing sur la table. Le Premier ministre espagnol a opposé un « non » sans fissure contre toute velléité sécessionniste.

Rétrospective consacrée à l'œuvre du photographe et cinéaste français d'origine roumaine du 14 février au 28 mai 2017 Jeu de Paume, Concorde, Paris
Photographe et cinéaste français d'origine roumaine, Eli Lotar (Eliazar Lotar Teodorescu, Paris, 1905-1969) est le fils du poète roumain Tudor Arghezi.
L'exposition « Eli Lotar (1905-1969) » examine, sous un jour nouveau, le rôle de cet acteur crucial de la modernité photographique. Elle rassemble plus de cent tirages vintage récemment localisés dans une (...)

/ Roumanie, Région parisienne

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/ Roumanie, Région parisienne

Classé parmi les organisation terroristes par les Nations unies et les États-Unis, le groupe jihadiste libyen, proche d’al-Qaïda, a annoncé sa « dissolution », via un communiqué diffusé le soir du 27 mai. Créé en 2011 à la suite de la chute du régime du colonel Kadhafi et de la fusion de plusieurs milices, dont la Brigade […]

Cet article Le groupe jihadiste libyen Ansar Asharia rend les armes est apparu en premier sur Zone Militaire.

Under a huge baobab tree in Sudan’s Nuba mountains, I met Sebila, a 27-year-old mother of three. In March last year, her village had been attacked by Sudanese ground troops and bombed by government war planes. The assault forced Sebila and many other villagers to flee deeper into rebel-held territory.

She was just back in the village for the day with her children, two toddlers in tow and carrying a baby, to dig up sorghum she had buried. Sebila said food here is scarcer than it has been for years, because of poor rains and conflict fighting. “It’s exhausting, trying to feed them all [my family],” Sebila said of her children.

Aid obstruction in the rebel-held territories of Sudan’s South Kordofan and Blue Nile has been in force for nearly six years, and has had a devastating impact on the communities here. For Sebila – and all the women living across these territories – it has meant no access to contraception. “Every year, I give birth,” she told me. “It would be better if I could space it [out].” But Sebila cannot space her babies out, or have any control of her body. Like all women living in rebel-held territory here, she has zero access to contraception.

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 In the Nuba Mountains, South Kordofan, access to family planning and maternal healthcare is severely limited by blocks on humanitarian supplies.

© Goran Tomasevic/Reuters

It has also meant a severe lack of maternal healthcare. There is no local midwife, and Sebila lives five hours’ drive from a hospital, in a region where cars are a rare luxury. Women told me of waiting hours for transport while in obstructed labour, or being held propped up, bleeding and falling in and out of consciousness, between two men on the back of a motorcycle to reach a hospital. Multiple and closely-spaced births can carry serious health risks for both mother and infant, and can be life-threatening without proper treatment.

Yet there is no coordinated international aid effort under way in the Nuba mountains. Funds are in place, but both the government and the rebel group are preventing supplies getting in. The conflict has left already-stretched health services in the region in a pitiful state. Most facilities are little more than a table with some basic medicines, and there are only five doctors and one blood bank for perhaps close to a million people.

Despite many rounds of peace talks since fighting began in 2011, the Sudanese government and the Sudan People’s Liberation Army-North have failed to agree on how to allow aid – needs-based and impartially delivered – into the affected areas. Instead they are still arguing about whether aid can come through a third country, or, as the government insists, only from inside Sudan. Some aid groups have found ways to provide occasional help, unauthorised by the government but supported by the rebels, but this is no substitute for the large-scale effort needed. 

This has very serious consequences for reproductive health. None of the women I met in the Nuba mountains had any access to family planning. One clinic provides a three-month injectable contraception, but local rebel regulations require women to get their husband’s permission first. Despite evidence that gonorrhoea and syphilis are on the rise and hepatitis B common, condoms are scarce. Most of the women I met had never seen a condom, let alone any other form of contraception.

It is also feared that the number of women and girls dying in childbirth in the rebel-held areas of Southern Kordofan – already much higher than other states in Sudan – is rising yet further. And two major aid efforts, including a UN polio vaccination campaign for children, have failed.

Sudan has a long history of aid obstruction going back to the start of the conflict: denying travel permits; rejecting visas; blocking work permits; and expelling aid workers. Meanwhile, citing mistrust of the government, the rebels have still not agreed to an offer by the US to provide aid via Khartoum, and have instead called for yet more negotiations. 

Although aid saves lives, and warring parties in conflict have an obligation to allow the delivery of humanitarian assistance to civilians, preventing it from reaching people is rarely punished. The UN security council briefly threatened punitive action against Sudan in 2012, but never acted. The health crisis unfolding in the Nuba mountains should prompt a change of tack. The UN security council, the African Union and the EU should investigate and consider travel bans and asset freezes on rebel and government leaders found to have deliberately blocked such deliveries. 

International aid is often a lifeline to civilians trapped in conflict. And it would help women like Sebila to access contraception, avoid risky childbirth, and feed their children.

„Azért vagyunk itt, hogy emlékezzünk. Emlékezzünk és lerójuk kegyeletünket az előtt a 208 első világháborúban elesett katona előtt, akiknek ez a föld örök álmát őrzi”- kezdte beszédét Takács Márk hadnagy a Pec/Peja-i katonai temetőben, Koszovóban, ahol a KFOR-ban szolgálatot teljesítő magyar és osztrák katonák megemlékezést tartottak az első világháborúban elesettek emlékére.