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Décès de Charles-Henri Favrod, journaliste et écrivain suisse ami de la Révolution algérienne

Algérie 360 - Mon, 16/01/2017 - 15:31

Le journaliste, photographe et écrivain suisse, Charles-Henri Favrod, ami de la Révolution algérienne, est décédé dimanche à l’âge de 89 ans, a-t-on appris de son entourage.

Le défunt, né en 1927, s’est intéressé à l’Algérie depuis 1952, année durant laquelle il réalisa son premier reportage sur la situation en Algérie pour le compte de la Gazette de Lausanne. Il publia, en 1956, une interview de Ferhat Abbas, devenu par la suite, le président du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA).

Charles-Henri Favrod, qui a aidé des militants algériens, en Suisse et ailleurs, joua un rôle important dans la prise de contacts en Suisse entre des responsables de la Révolution et les autorités françaises en vue des négociations
qui déboucheront sur les accords d’Evian signés le 18 mars 1962.

Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’Algérie, notamment « La révolution algérienne » et « Le FLN en Algérie », publiés respectivement en 1959 et 1962. « Je dois beaucoup à l’Algérie. C’est elle qui m’a donné une conscience politique », témoigna-t-il.

Charles-Henri Favrod était aussi le fondateur du Musée de l’Elysée à Lausanne (Suisse).

Categories: Afrique

Argent et politique La jonction entre dans les mœurs

Algérie 360 - Mon, 16/01/2017 - 15:27

La pratique n’est plus secrète en Algérie : la jonction entre le monde de la politique et celui de l’argent est de plus en plus perceptible. Récemment, elle a été rendue encore plus évidente à travers l’introduction publique d’hommes d’affaires dans des listes électorales par de puissantes formations politiques telles que le RND.
Lorsque les mots viennent d’Ouyahia, il ne faut pas en chercher le reste. Directeur de cabinet auprès de la présidence de la République et patron du RND, il a récemment tenté de décharger le concept du mélange argent-politique de son aspect le plus sombre, le plus péjoratif en se livrant à des mises au point qui ont pu surprendre.

Au moment où le premier responsable du FCE (Forum des chefs d’entreprises) se faisait publiquement bouder par le Premier ministre, le MAE et d’autres membres du gouvernement à l’occasion du Forum africain, Ouyahia est intervenu à contresens pour «laver» Ali Haddad de toutes les accusations dont il faisait l’objet. «J’ai des sentiments envers lui», affirmait-il alors, tout en précisant qu’il «n’avait pas pour habitude de tourner la veste lorsque je sens que les vents tournent».

Plus qu’une déclaration d’amitié et de soutien, cette position vient prouver le peu d’embarras qu’il éprouve face à ceux qui y verraient une confirmation de sa tendance à mélanger argent et politique. Ahmed Ouyahia le prouve d’ailleurs officiellement en portant sur les listes des candidats RND aux prochaines législatives un candidat comme on n’en avait jusque-là rarement vus.

A Blida, apprend la presse, la tête de liste du Rassemblement national démocratique n’est autre que Tayeb Zeraïmi, patron de SIM connu surtout pour ses activités dans le secteur de l’agroalimentaire. Une première pour ce parti habitué à concevoir uniquement la présence d’hommes d’affaires de moindre envergure sur ses listes électorales. Les détracteurs d’Ouyahia lui accordent cependant une faveur : celle d’avoir porté son choix sur un homme sans dossiers compromettants. Tout l’inverse du FLN sans cesse ciblé pour avoir ouvert la porte à des hommes fortement controversés tels que Baha Eddine Tliba et Mohamed Djemaâ. Les passerelles entre le monde de la politique et celui de l’argent ne sont pas nouvelles. Si à travers le monde, la pratique passe pour un fait des plus connus, elle n’a fait son apparition que très récemment en Algérie.
Au début des années 2000, on le perçoit nettement au sein des partis islamistes. Le MSP du défunt Mahfoudh Nahnah illustrait déjà à cette époque l’existence d’une connexion flagrante entre les hommes d’argent et la politique, situation dont ne se cachait nullement le mouvement basé sur des alliances bien connues avec des milieux d’affaires allant du simple commerçant à l’industriel le plus en vogue.

Le richissime Djillali Mehri incarne à cette époque l’image parfaite de ce ponte qui s’est peu à peu construit entre les deux mondes. Battu à la course électorale lors les législatives de 1991, il devient député de 1997 à 2002 grâce au soutien que lui apporte le MSP.
Le phénomène ne gêne pas outre mesure et s’étend au fil du temps. Les exemples de l’immixtion de l’argent dans le monde de la politique se font plus nombreux. L’épisode Moumen Khalifa en dit long sur le sujet. Même sans avoir trempé directement dans des affaires de politique, l’homme s’y frotte de près en consacrant par exemple un large temps d’antenne de sa télévision à de sévères critiques contre un pouvoir avec lequel il a trop longtemps entretenu des relations ambiguës.

La situation n’est pas propre à l’homme. Une ambiguïté similaire plane aujourd’hui tout autant sur les relations qui caractérisent les hommes d’affaires actuels, les plus en vue du moins, et le pouvoir. Rassemblés dans des organisations patronales censées constituer des garde-fous destinés à éviter les situations d’anarchie et surtout à renforcer le secteur économique privé, ces structures sont encore loin d’avoir atteint leur objectif, les patrons s’inscrivant plus dans la politique que dans l’espace qui leur est astreint.

Ammar Saâdani, l’ancien SG du FLN qui avait la réputation d’incarner l’homme porteur de messages, avait réagi à une tentative du FCE d’inscrire les siens parmi les candidats aux législatives. «Nous n’accepterons pas, avait déclaré ce dernier, de mélanger l’argent et la politique (…) nous ferons face aux mentalités archaïques». Une déclaration qui a poussé Ali Haddad à faire marche arrière en annonçant à son tour que le FCE n’avait aucune intention de faire de la politique. Quelques semaines plus tard, un appel à la mobilisation des Algériens contre le phénomène a été lancé par le président du groupe parlementaire du FFS à l’Assemblée.

Chafaa Bouaïche a, il y a peu, dénoncé «l’ingérence de richissimes hommes d’affaires dans la politique (…) A l’époque, ils étaient au service des décideurs, à présent, ils veulent que ces derniers soient à leur service avant de devenir eux-mêmes décideurs (…) ils veulent se débarrasser de toute tutelle pour prendre en otage les institutions».
Perçus comme étant un phénomène ordinaire dans les pays avancés, les liens qui se sont tissés au fil des années entre les milieux de l’argent et les politiques alimentent de vives inquiétudes en Algérie. A l’origine de ces craintes, l’inexistence d’un système de contrôle des activités financières au profit du politique. Tout reste à faire.

Categories: Afrique

‘In Defense of Europe. Can the European project be saved?’ book launch event

ELIAMEP - Mon, 16/01/2017 - 15:20

The book launch  event for the title In Defense of Europe. Can the European project be saved? -authored by Professor Loukas Tsoukalis and published in Greek by Papadopoulos Publishing House -  will take place on Thursday 26 January 2017, at 19:00, at the National Museum of Contemporary Art (Kallirrois Avenue & Amvr. Frantzi Street). Working language will be Greek.

Participants:

- Kyriakos Mitsotakis, President of New Democracy 

- Yannis Stournaras, Governor of the Bank of Greece

- George Kaminis, Athens Mayor

- Petros Markaris, Writer

- Loukas Tsoukalis, Professor at the University of Athens, President of ELIAMEP 

Journalist Maria Choukli will moderate the event.

To reserve your seat please contact rsvp@epbooks.gr.

For more information: 210 2816134 (int. 817)

Une conférence pour rien ?

IRIS - Mon, 16/01/2017 - 15:00

Ce dimanche 15 janvier s’est tenue à Paris une conférence pour la paix au Proche-Orient, réunissant soixante-quinze pays mais sans les deux principaux protagonistes. Quels en furent les enjeux et quels en sont les résultats ?

Sans surprise, elle s’est achevée par un communiqué rappelant le soutien de la communauté internationale à la solution dite des « deux États », sans qu’elle n’ait pu pour autant faire avancer cette cause. En réalité, l’objectif de la conférence était plus modeste. Nul ne se faisait d’illusion sur les possibilités d’un progrès quelconque, notamment du fait du refus du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, de soutenir cette conférence et son objectif, ainsi que de celui des autres pays de le sanctionner.

L’ambition n’est plus de réanimer la solution des deux États mais plutôt de la maintenir dans un coma artificiel. Personne ne voulait prendre la responsabilité de « débrancher » cette grande malade. Tout le monde s’accorde à dire que le statu quo n’est pas tenable. Pourtant, aucune action concrète n’est prise pour en sortir. Pour reprendre la formule d’Yves Aubin de la Messuzière, fin connaisseur du dossier, il ne faut plus parler de processus de paix mais de récessus.

En Israël, le débat n’est plus autour de ceux qui soutiendraient le processus et ceux qui y seraient opposés. Mais entre ceux pour qui il faut toujours officiellement s’y déclarer favorable tout en laminant tout ce qui peut y conduire (B. Netanyahou), et ceux pour lesquels il faut affirmer ouvertement qu’il n’y a plus de place pour deux États et intensifier la colonisation (N. Bennett). Il y a des divergences sur la tactique, pas sur la solution à long terme. Au Congrès américain, le débat est sur le même plan, Républicains et Démocrates confondus. Leur seule interrogation porte sur la manière de soutenir la colonisation et lutter contre le mouvement Boycott Désinvestissement Sanctions (BDS). Les États Unis ne feront rien, ou alors un geste aux conséquences catastrophiques en transférant leur ambassade à Jérusalem (ville importante non seulement pour la Palestine mais pour TOUS les États musulmans). La Russie a pour priorité la Syrie et ne veut pas gâcher ses relations avec Israël. À l’ONU, António Guterres souhaite avoir le temps de prendre ses marques et ne peut pas s’attaquer frontalement à Israël et à Donald Trump dès son arrivée. La Chine ne veut pas aller seule dans cette affaire. Le Royaume-Uni a été jusqu’à critiquer le discours de John Kerry. L’Allemagne ne veut et ne peut rien faire. Tous ont déclaré qu’il n’était pas étonnant que la France soit seule à avoir pris cette initiative et qu’elle-seule peut et doit continuer. La France en fait moins qu’avant mais il faut reconnaître que c’est le pays occidental – et certainement le pays tout court – le plus actif sur le sujet. À vingt-huit, la capacité d’action de l’Union européenne est limitée, y compris pour simplement enjoindre à Israël d’arrêter de détruire les infrastructures payées par le contribuable européen. Il est encore moins question de demander une indemnisation lorsque celles-ci sont détruites. Nous sommes face à un véritable recul depuis la position commune de 1979.

Les dirigeants israéliens estiment qu’ils ont tissé des liens avec les pays arabes et de nombreux pays africains et qu’Israël n’est pas isolé. Ce discours est remis en cause par la résolution 2334. La seule chose qui effraie réellement Israël est une campagne de boycott. Car ce que désormais craignent les dirigeants israéliens ne sont pas les pressions internationales (les dernières ont été exercées par Georges Bush père en 1991), mais un mouvement d’opinion qu’ils ne peuvent contrôler et qui, de surcroît, établit un parallèle avec le régime d’apartheid en Afrique du Sud.

Rien ne peut avancer tant que les États-Unis et surtout Israël ne le souhaitent pas. Aucune pression n’est exercée sur ce dernier, ce qui est unique par rapport à tous les autres conflits dont a voulu s’occuper la communauté internationale. Face à l’inaction générale des acteurs, la France doit se demander quelle est la meilleure solution : attendre et faire du surplace avec le plus petit dénominateur commun ou avancer en petit comité de façon plus active, récupérant ainsi le prestige attaché à ses positions traditionnelles.

François Hollande franchira-t-il le pas en reconnaissant la Palestine, comme il s’y était engagé en 2012 ? Car c’est bien un engagement majeur qui n’a pas été respecté jusqu’ici.

Fillon dénonce le «cancer» de l'antisémitisme et du racisme

Le Figaro / Politique - Mon, 16/01/2017 - 14:53
En visite au Mémorial de la Shoah, à Paris, l'ancien premier ministre a associé le combat contre l'antisémitisme à celui pour la défense de la France et de la République.
Categories: France

Près de 300 militaires américains déployés en Norvège pendant au moins un an

Zone militaire - Mon, 16/01/2017 - 14:31

En octobre 2016, il avait été question de déployer au moins 300 militaires américains à Vaernes, près de Trondheim, à environ 1.000 km, à vol d’oiseau, de la frontière que partagent la Norvège et la Russie. À l’époque, une porte-parole du ministère norvégien de la Défense avait expliqué qu’il s’agissait d’une demande adressée par Washington […]

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Categories: Défense

« Tabagisme » et « alcoolisme » dans le Nord : Emmanuel Macron dit plutôt vrai

Le Monde / Politique - Mon, 16/01/2017 - 14:22
Critiqué pour ses propos sur l’espérance de vie et les addictions dans le Nord-Pas-de-Calais, samedi 14 janvier, le candidat à la présidentielle décrit néanmoins une certaine réalité. Explications.
Categories: France

Az újvidékiek kabátot ajándékoznak a rászoruló polgártársaiknak

VajdaságMA (Szerbia/Vajdaság) - Mon, 16/01/2017 - 14:20
Pénteken kezdődött meg Újvidék központjában, a Mita Ružić utcában található La Vista galéria előtt a Ha van, hozd el, ha nincs, vidd el elnevezésű humanitárius akció, amelynek keretében a lakosok téli kabátot ajándékozhatnak a rászorulóknak.

Europaparlament: Wer wird der nächste Präsident?

EuroNews (DE) - Mon, 16/01/2017 - 14:06
Erstmals in der jüngeren Geschichte ist der Ausgang der Wahl des Präsidenten des Europaparlaments offen.
Categories: Europäische Union

Több mint 60 milliárd forintos nagyvállalati beruházás-sorozat indul el kormánytámogatással

Pályázati Hírek - Mon, 16/01/2017 - 13:58

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A kormány támogatásával több mint hatvan milliárd forintnyi fejlesztés indulhat el 2017-ben közel 1200 új munkahelyet teremtve.  A Nemzetgazdasági Minisztérium kezdeményezésére először 2015-ben döntött úgy a kormány, hogy 3 milliárd forinttal támogatja azokat az ipari nagyvállalatokat, amelyek az előírások szerint elesnek az uniós forrásoktól – emlékeztetett Varga Mihály kiemelve, hogy megötszörözve a keretet tavaly már 15 milliárd forinttal támogatták a hazai nagyvállalatok kapacitásbővítő és munkahelyteremtő beruházásait. 

Categories: Pályázatok

Több mint 60 milliárd forintos nagyvállalati beruházás-sorozat indul el kormánytámogatással

Pályázati Hírek - Mon, 16/01/2017 - 13:58

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A kormány támogatásával több mint hatvan milliárd forintnyi fejlesztés indulhat el 2017-ben közel 1200 új munkahelyet teremtve.  A Nemzetgazdasági Minisztérium kezdeményezésére először 2015-ben döntött úgy a kormány, hogy 3 milliárd forinttal támogatja azokat az ipari nagyvállalatokat, amelyek az előírások szerint elesnek az uniós forrásoktól – emlékeztetett Varga Mihály kiemelve, hogy megötszörözve a keretet tavaly már 15 milliárd forinttal támogatták a hazai nagyvállalatok kapacitásbővítő és munkahelyteremtő beruházásait. 

Categories: Pályázatok

Valls, Montebourg, Hamon... Quel candidat à la primaire vous correspond le plus ?

Le Monde / Politique - Mon, 16/01/2017 - 13:42
Testez votre compatibilité avec les sept candidats à la primaire de la gauche sur une vingtaine de sujets.
Categories: France

How Trump will Impact the Indian and Chinese Geopolitical Chessboard?

Foreign Policy Blogs - Mon, 16/01/2017 - 13:09

By Prarthana Kashinath

The 21st century will certainly go down in history as the beginning of an epoch that transformed the world from a unipolar to a multipolar global structure, where amongst other poles, China conspicuously sticks out its flag, closely followed by India. Consequently, the most extrusive transatlantic challenge for the predominant United States will be China—with its burgeoning economy, tenacious and ever-expanding military and navy, and territorial claims in and around its border.

Ever since 1972, when Nixon paid its first official visit to China, until 2016 under Obama’s presidency, the U.S. policy towards China has been accommodative. For instance, in 1979, the United States under Carter backed the ‘One-China Policy’, pursuant to which it ended the diplomatic recognition of Taiwan, shut down all its bases there, and recognized the People’s Republic of China as the sole authority in order to enhance its relationship with China.

The U.S. also opened up imports from China on such massive scale, that China’s foreign exchange coffers are now overflowing and has catapulted China as an economic superpower, even surpassing the United States in 2014, as estimated by the International Monetary Fund, in GDP terms.

However, the 2016 United States presidential election with Trump’s victory marks a watershed moment in the Sino-American relations. On many aspects, he is an aberration, considering that he is a novice in politics and diplomacy, but has a brash, native business intelligence. Notwithstanding the narcissistic ,sexist,racist and xenophobic undertones of the election campaign, Trump nevertheless won the electoral college. His election maybe signaled the shattering of the status quo and the banausic Washington establishment.

The United States has expressed discomfiture with China’s rise under Obama. Indeed, his “pivot to Asia” policy was aimed at “rebalancing” China. With Trump taking over the Presidential office, it appears likely that there will be a complete reversal of policy accommodation towards China.

China owes its extensive economic growth to its aggressive manufacturing and export industry. The United States has been a core consumer of cheap Chinese goods. As a consequence, U.S. trade deficit with China has increased manifold, and China has become the holder of  a substantial share of U.S. public debt. Trump has vouched to impose heavy import tariffs to reverse this trend. He has constantly chastised China for currency manipulation and violations of intellectual property rights. Trump holds China responsible for loss of factory and manufacturing jobs in the United States.

With Trump pulling out of the Trans Pacific Partnership (TPP) agreement, he is all the more pressured to take up and negotiate trade issues bilaterally with all U.S. partners including China. While the world contemplated the extent to which Trump may adhere to his election pitch, he made it real by appointing Peter Navarro—a long-time critic of China—as head of the newly created White House National Trade Council.

Trump recently struck China’s most sensitive emotional chord, by calling into question the One-China policy and establishing direct contact with the Taiwan president, the first of such contacts since 1979. It is hard to know if this move was strategically contrived or just reckless.

If Trump’s China policy is mostly motivated by mercantilism and the need to seek trade concessions, then he has certainly gotten China’s attention by playing the Taiwan card. Trump is also miffed about China not doing enough to assist and bring North Korea to the negotiating table.

In this backdrop, it becomes crucial to assess the impact of Trump on India, particularly while looking at it through the prism of Sino-American relationship. If Trump wants to take his China policy, as underscored in the election campaign, to its logical conclusion, it will serve him best if he capitalizes on and galvanizes strategic ties with India.

Trump has been vocal about his interest in India—from recording advertisement campaigns in Hindi, to appointing Indian-Americans to the top echelons of government. Inter alia, Trump pulling out of the TPP and a possible bonhomie between Putin and Trump also works in India’s favor.

However, on the trade and economic front, what works best in the interest of the United States will be detrimental to India. Like China, India is an outsourcing destination for the U.S. India will also be negatively affected by the U.S. currency and trade war with China, by the potential immigration policy of Trump, and the likely interest rate hikes.

In this broad framework of probable U.S. policy toward China and India, New Delhi stands in an advantageous position. Trump perceives China as hostile, and India as an opportunity. He is likely to undertake measures to neutralize China and distract it from geographical forages in the Asia-Pacific region, thus leveraging India’s geostrategic status and also boosting Indo-U.S. congeniality.

As United States attempts to isolate China, there is also the likelihood that China may reach out to India, to negotiate with the United States in ‘regional’ interest. If that is the case, it will be an opportunity for India and China to break the ice and kick-start a new diplomatic relationship.

This will open the doors for India to commence negotiations with China on several outstanding and far- reaching issues, like membership into the Nuclear Suppliers Group, border issues, United Nations Security Council reforms, Regional Comprehensive Economic Partnership Therefore, Trump’s election looks like a win-win for India.

Prarthana Kashinath is an Indian lawyer at the Karnataka High Court.

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Scrapped US Health Conference Costs Bosnia Canton Dear

Balkaninsight.com - Mon, 16/01/2017 - 12:57
The former director of the Health Insurance Institute of Sarajevo Canton faces a lawsuit after spending more than 20,000 euros on a conference in the US that never took place.  
Categories: Balkan News

Une élection municipale-test ratée pour l’opposition hongroise

HU-LALA (Hongrie) - Mon, 16/01/2017 - 12:51
Malgré un rassemblement large de la gauche derrière un candidat indépendant, c’est le parti gouvernemental Fidesz qui s’est imposé hier lors de l’élection municipale partielle à Szentendre.

Les résultats sont serrés, mais c’est avec 41 voix d’avance que la candidate Fidesz-KDNP Katalin Négyessy a été élue hier élue du bureau de vote n°7 de Szentendre, petite localité touristique au nord de Budapest. L’opposition avait pourtant réussi à fédérer le Parti socialiste hongrois (MSzP), la Coalition démocratique (DK) et Ensemble (Együtt) derrière le candidat présenté par l’Union Vivre à Szentendre (TESz), Imre Helyes.

Selon le Magyar Nemzet, ces résultats ont une valeur test pour la capacité de la gauche à dévisser le Fidesz pour les élections législatives de 2018. Si la coalition gouvernementale résiste effectivement bien, elle a sans doute bénéficié d’un report des voix marginal du parti d’extrême-droite Jobbik, lequel n’a pas réussi à présenter de candidat. Quant à la gauche, elle a souffert de la concurrence de la formation écologiste LMP et du Parti des travailleurs hongrois (MMKP), d’obédience marxiste.

Source : Magyar Nemzet

Categories: PECO

Közbeszerzési ügyintéző

EU Pályázati Portál - Mon, 16/01/2017 - 12:49

Kecskemét Megyei Jogú Város Polgármesteri Hivatal
Pályázatkezelési és Közbeszerzési Osztály Közbeszerzési Csoportjába
 

a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény 45. • (1) bekezdése alapján

pályázatot hirdet

közbeszerzési ügyintéző

munkakör betöltésére.

A közszolgálati jogviszony időtartama:

határozatlan idejű közszolgálati jogviszony.       

Foglalkoztatás jellege:

Teljes munkaidő

A munkavégzés helye:

Bács-Kiskun megye, 6000 Kecskemét, Kossuth tér 1.

A munkakörhöz tartozó főbb tevékenységi körök:

Közbeszerzési, valamint központosított közbeszerzési eljárások előkészítése és lebonyolításában közreműködés. Az Európai Uniós forrásokból megvalósuló projektekhez kapcsolódó közbeszerzési eljárások előkészítése és lebonyolításában való közreműködés. Közbeszerzési eljárások során bíráló bizottsági részvétel. A közbeszerzési értékhatár alatti beszerzési eljárások teljes körű lebonyolítása, közbeszerzési tervek és éves statisztikai összegzés készítése, közbeszerzési szempontú állásfoglalások készítése, beszerzéssel és közbeszerzéssel kapcsolatos önkormányzati rendeletek és szabályzatok készítése, módosítása, véleményezése, felülvizsgálata.

Jogállás, illetmény és juttatások:

A jogállásra, az illetmény megállapítására és a juttatásokra a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény , valamint a(z) Kecskemét Megyei Jogú Város Önkormányzata Közgyűlésének a köztisztviselőket megillető szociális, jóléti, kulturális, egészségügyi juttatásokról, valamint a szociális és kegyeleti támogatásokról szóló 9/2010. (II. 5.) önkormányzati rendelete, továbbá az Egységes Közszolgálati Szabályzat rendelkezései az irányadók.    

Pályázati feltételek:

  • Magyar állampolgárság,
  • Cselekvőképesség,
  • Büntetlen előélet,
  • Egyetem, jogász vagy közgazdász végzettség,
  • Vagyonnyilatkozat tételi eljárás lefolytatása,

A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:

  • közbeszerzési referens végzettség, vagy közbeszerzési szakjogász végzettség, vagy közbeszerzési eljárások lebonyolításában szerzett gyakorlat

A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:

  • fényképes önéletrajz a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. tv. 5. mellékletében foglalt adattartalommal, iskolai végzettséget igazoló okiratok másolata, 90 napnál nem régebbi hatósági erkölcsi bizonyítvány, nyilatkozat a vagyonnyilatkozat-tételi kötelezettség teljesítéséről

A munkakör betölthetőségének időpontja:

A munkakör legkorábban a pályázatok elbírálását követően azonnal betölthető.

A pályázat benyújtásának határideje: 2017. január 24.

A pályázati kiírással kapcsolatosan további információt Balogh Zoltán osztályvezető nyújt, a 76-513-523 -os telefonszámon.

A pályázatok benyújtásának módja:

  • Postai úton, a pályázatnak a Kecskemét Megyei Jogú Város Polgármesteri Hivatal címére történő megküldésével (6000 Kecskemét, Kossuth tér 1. ). Kérjük a borítékon feltüntetni a pályázati adatbázisban szereplő azonosító számot: 587-2/2017. , valamint a munkakör megnevezését: közbeszerzési ügyintéző.
  • Személyesen: Balogh Zoltán Pályázatkezelési és Közbeszerzési Osztály vezetője, Bács-Kiskun megye, 6000 Kecskemét, Kossuth tér 1. I/14.

A pályázat elbírálásának határideje: 2017. február 3.

A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:

  • www.kecskemet.hu – 2017. január 10.

A munkáltatóval kapcsolatos egyéb lényeges információ:

A közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX, törvény 46. § (1) bekezdése alapján 6 hónap próbaidő kerül kikötésre.

A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2017. január 10.

A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a közigazgatási szerv által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.

További állások >>

Categories: Pályázatok

Pénzügyi és projekt asszisztens

EU Pályázati Portál - Mon, 16/01/2017 - 12:45

Csongrád Megyei Egészségügyi Ellátó Központ Hódmezővásárhely-Makó
Egészségfejlesztési Iroda hódmezővásárhelyi és makói munkahelyére

a “Közalkalmazottak jogállásáról szóló” 1992. évi XXXIII. törvény 20/A. • alapján

pályázatot hirdet

pénzügyi és projekt asszisztens

munkakör betöltésére.

A közalkalmazotti jogviszony időtartama:

határozott idejű 2017.december 31-ig tartó közalkalmazotti jogviszony.    

Foglalkoztatás jellege:

Teljes munkaidő

A munkavégzés helye:

Csongrád megye, 6800 Hódmezővásárhely, Dr. Imre József utca 2.

Csongrád megye, 6900 Makó, Kórház utca 2.

A munkakörbe tartozó, illetve a vezetői megbízással járó lényeges feladatok:

  • részvétel a pénzügyi és szakmai tervezésekben, fejlesztésekben, megvalósításban és jelentésben;
  • projekt adminisztráció: dokumentumok rendszerezése a projektek alatt, jelentések elkészítése;
  • számla és szerződések egyeztetése;
  • a keletkező dokumentáció papír alapú és elektronikus nyilvántartása, rendszerezése;
  • az Egészségfejlesztési Iroda munkájának koordinálása;

Illetmény és juttatások:

Az illetmény megállapítására és a juttatásokra a “Közalkalmazottak jogállásáról szóló” 1992. évi XXXIII. törvény, valamint a(z) CSMEK Kollektív Szerződésének rendelkezései az irányadók.   

Pályázati feltételek:

  • Felsőfokú képesítés, felsőfokú közgazdasági alap végzettség,
  • felhasználói szintű számítástechnikai ismeret (Word, Excel, PowerPoint, Outlook),
  • emelt szintű Excel ismeret,
  • magyar állampolgárság
  • büntetlen előélet (alkalmazás esetén három hónapnál nem régebbi erkölcsi bizonyítvány),
  • munkaköri egészségügyi alkalmasság

A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:

  • angol nyelvismeret
  • Jó kommunikációs képesség
  • ECDL számítógép-használó végzettség

A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:

  • részletes szakmai önéletrajz
  • a munkakör betöltéséhez szükséges iskolai végzettséget, szakképzettséget igazoló dokumentumok másolata
  • hozzájáruló nyilatkozat ahhoz, hogy a pályázat elbírálásában részt vevők a pályázati anyagot megismerjék, valamint hozzájárulás a pályázati anyagában foglalt személyes adatainak a pályázati eljárással összefüggő kezeléséhez

A munkakör betölthetőségének időpontja:

A munkakör legkorábban a pályázatok elbírálását követően azonnal betölthető.

A pályázat benyújtásának határideje: 2017. január 24.

A pályázati kiírással kapcsolatosan további információt Gyurisné Pethő Zsuzsanna nyújt, a 62/532-367 -os telefonszámon.

A pályázatok benyújtásának módja:

  • Postai úton, a pályázatnak a Csongrád Megyei Egészségügyi Ellátó Központ Hódmezővásárhely-Makó címére történő megküldésével (6800 Hódmezővásárhely, Dr. Imre József utca 2. Gyurisné Pethő Zsuzsanna programigazgató nevére ). Kérjük a borítékon feltüntetni a pályázati adatbázisban szereplő azonosító számot: 31-34-1/2017. , valamint a munkakör megnevezését: pénzügyi és projekt asszisztens.

A pályázat elbírálásának módja, rendje:

A pályázatokat előkészítő bizottság véleményezi, amely a pályázati feltételeknek megfelelő pályázó(ka)t meghallgatja. A felkért előkészítő bizottság véleményezését követően a pályázatokat a főigazgató bírálja el és dönt, hogy élni kíván-e a kinevezés jogával.

A pályázat elbírálásának határideje: 2017. január 31.

A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:

  • www.csmekhm.hu
  • www.aeek.hu
  • www.evp.hu

A munkáltatóval kapcsolatban további információt a www.csmekhm.hu, www.evp.hu honlapon szerezhet.

A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2017. január 9.

A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a munkáltató által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.

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