Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a reçu ce 1er décembre 2025 la toute première Carte d'identité biométrique de la Confédération des États du Sahel (CIB-AES), marquant le lancement officiel de ce document au Burkina Faso.
Adoptée lors du sommet des dirigeants de l'AES en décembre 2024, cette carte vise à renforcer l'intégration régionale, faciliter la libre circulation des citoyens et améliorer la sécurité collective. Elle constitue un outil stratégique dans la lutte contre le terrorisme et la modernisation de l'identification civile au sein de l'espace AES.
L'Office national d'identification débutera sa production en masse en janvier 2026. La CIB-AES, conçue en polycarbonate et dotée de dispositifs de sécurité avancés, sera accessible dès l'âge de 5 ans, exigible à partir de 13 ans, valable 10 ans et délivrée au coût de 3 500 FCFA.
Lefaso.net
Source : Page Facebook de la Présidence du Faso
La grande famille KABORE à Sourgoubila, Ouagadougou, Bobo -Dioulasso, côte d'Ivoire, France, Canada
Le Naaba Kango chef de Sourgoubila,
Monsieur KABORE Lamoussa, KABORE K. Alain, KABORE Pierre, KABORE Fulgence KABORE Félix, KABORE Isidore
La grande famille YAMEOGO, à koudougou Burkina Naab-yiiri
La veuve KABORE née KONSIMBO Edith à Sourgoubila,
Les enfants : Hubert, Patricia, Evariste, Chérita, Reine, Thiéry, Anicet, Estelle, Doria, et Gaétan,
Les petits -enfants et arrières-petits enfants
Les familles alliées : SAWADOGO, DIALLO, ROUAMBA, ZIDA, TIHAO, SEONI, OUEDRAOGO, DAH, KABORE, AVERIBOU, DIATTO, TRAORE.
Très touché par les nombreuses marques de sympathie et de compassion expriment leur profonde gratitude à tous ceux qui leur ont apporté soutien moral, spirituel, matériel, financier, lors du rappel à Dieu le 07/11/2025 et de l'inhumation le 10/11/2025 à Sourgoubila de leur frère, père, beau-père oncle, grand-père et arrière-grand-père ; Monsieur KABORE Patinremanogo Daniel, Instituteur à la retraite ancien Maire de Sourgoubila, chevalier de l'Ordre du Mérite Burkinabè, Médaille d'honneur des collectivités locales
LEURS REMERCIEMENTS VONT :
Sa Majesté le Mogho Naaba Baongo
Monsieur le ministre de la communication de la culture des Arts et du Tourisme,
Monsieur le Directeur Général du Bureau Burkina du Droit d'Auteur (BBDA) et à Tous ces anciens collaborateurs du BBDA
A ses premiers élèves de la commune de Niou
Aux délégations Spéciales et anciens Maires des communes de Sourgoubila, Laye, Niou, Boussé et Toéghin
Aux autorités coutumières et religieuses de la commune de Sourgoubila
A la Directrice, aux enseignants et à ses anciens élèves de l'école Nongrmassem (ex Ouaga garde)
Aux forces de défense et de sécurité de Sourgoubila
Votre présence bienveillance à leur côté lors de cette douloureuse épreuve leur à apporter force consolation et réconfort.
Que le Seigneur dans sa miséricordieux vous bénisse et vous comble d'abondante grâce.
Que Dieu vous le rende aux centuples
UNION DE PRIERE
La famille de feu général BABA SY,
La famille SANFO,
LA FAMILLE BONKOUNGOU,
Les familles alliées et amies
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès survenu le 1er décembre 2025 de leur :
Epouse, mère, grand-mère, arrière-grand-mère, tante et fille
Mme SY née SANFO Fanta dans sa 91e année
Le programme des obsèques est arrêté ainsi qu'il suit :
Lecture du coran le jeudi 4 décembre à 19H00 au domicile de la défunte à Nemnin
Vendredi 05 décembre à 13h30 : Levée du corps à la Morgue de l'hôpital Bogodogo suivi du transfert au domicile de la défunte à Nemnin
Vendredi 05 décembre à 14h30 : Enterrement au cimetière Municipal de Gounghin
Union de Prière
Le Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux opérations de maintien de la paix, Jean-Pierre Lacroix, est arrivé à Bangui pour réaffirmer le soutien des Nations unies au processus électoral en République centrafricaine.
Au cours de son séjour, il doit rencontrer les autorités centrafricaines pour échanger sur plusieurs sujets, notamment les élections groupées prévues le 28 décembre prochain, auxquelles la MINUSCA apporte un appui dans le cadre de son mandat.
Sa visite a coïncidé avec l'arrivée, le jeudi 27 novembre, du troisième et dernier vol cargo en provenance de Chine, achevant ainsi l'opération logistique de grande envergure mise en œuvre pour fournir à la République centrafricaine le matériel électoral nécessaire à la tenue des quatre élections prévues le 28 décembre.
Dans les entrailles du gigantesque appareil, soigneusement arrimées, 160 palettes : 2 047 urnes,14 006 isoloirs, 8 552 kits complets de bureaux de vote.
La MINUSCA joue un rôle central dans la logistique, en assurant le transport et la distribution du matériel électoral dans tout le pays, y compris dans les régions reculées telles que Obo, Bangassou, Djema ou Amdafock.
Dans une déclaration faite à son arrivée à l'aéroport international Bangui-Mpoko, le responsable onusien s'est félicité des progrès enregistrés dans le pays ces derniers mois. « Je pense évidemment aux élections qui vont se tenir dans quelques semaines, avec du travail à faire pour s'assurer qu'elles se déroulent dans les meilleures conditions », a déclaré Jean-Pierre Lacroix.
D'autre part, le Président de l'Autorité Nationale des Élections (A.N.E.), Mathias Barthélémy MOROUBA, accompagné d'un certain nombre de commissaires électoraux et de partenaires techniques et financiers, s'est présenté pour réceptionner la dernière cargaison en provenance de Chine, affirmant ainsi que le pays disposerait des ressources nécessaires pour organiser les élections dans les délais prévus.
Le déchargement, qui a commencé dès l'ouverture des portes du cargo, s'est déroulé sous haute sécurité, chaque palette ayant été inventoriée avant d'être envoyée dans les entrepôts sécurisés de la Commission électorale nationale.
Les partenaires internationaux, également présents, ont salué la fluidité de la chaîne logistique et la coordination entre les autorités centrafricaines et leurs homologues chinoises.
Les autorités de la République centrafricaine continuent de travailler sans relâche pour préparer pleinement le prochain processus électoral dans le pays, et les partenaires internationaux jouent un rôle important en aidant les autorités à surmonter tous les défis qui pourraient entraver l'organisation des élections.
Le soutien des partenaires internationaux s'inscrit dans le cadre du programme de coopération visant à instaurer une stabilité durable en République centrafricaine.
Omar Diallo
Dans un communiqué adressé aux présidents d'institutions et aux membres du gouvernement, le Premier ministre Jean Emmanuel Ouédraogo donne de nouvelles directives relatives aux dons et financements émanant des partenaires. Il appelle à une évaluation rigoureuse des appuis proposés et à leur strict alignement sur les priorités nationales et la vision du chef de l'État. "Dans le dialogue continuel et les échanges que nous entretenons avec les partenaires bilatéraux et multilatéraux, nous avons toujours traduit cette vision et souligné la volonté nouvelle de construction commune des politiques publiques et des interventions des différents acteurs. Le gouvernement privilégie donc les coopérations et les appuis qui s'alignent sur nos priorités nationales et contribuent au progrès réel et endogène de notre pays", lit-on dans un premier temps.
Pour le chef du gouvernement, il n'est plus question d'accepter de subir le "diktat" des partenaires avec la vision à court terme que "mieux vaut peu que rien". "Dorénavant, il est impératif de se départir de cette vision, de recadrer et de recentrer les partenariats et les interventions en se focalisant sur les initiatives, les projets et les programmes structurants, conformes aux priorités nationales et qui renforcent la vision du Camarade Président. A cet effet, toute forme de don et de financement provenant des partenaires, qu'ils soient nationaux ou internationaux, doit étre examinée et évaluée avec rigueur avant acceptation. Je vous invite donc à décliner tout soutien qui serait de nature dégradante, contraire aux valeurs d'honneur et de dignité du peuple burkinabè, ou qui ne s'inscrirait pas dans la vision de la RPP", invite M. Ouedraogo.
Lefaso.net
Le sélectionneur manager de la République démocratique du Congo, Sébastien Desabre, a rendu public, via les canaux officiels de la Fédération congolaise de football Association (FECOFA), la liste de vingt-six Léopards sélectionnés pour la Coupe d'Afrique des Nations Maroc 2025, prévue du 21 décembre au 18 janvier 2026.
Plus de cinquante agents et cadres du ministère des Droits humains participent, du 1er au 3 décembre à Kinshasa, à une session de sensibilisation sur le respect des droits de l’homme.
Le ministre de la Santé, Samuel Roger Kamba, a annoncé officiellement, ce lundi 1er décembre à Kinshasa, la fin de l’épidémie d’Ebola dans la zone de santé de Bulape, dans la province du Kasaï.
Aucun nouveau cas n’ayant été signalé au cours des 42 derniers jours, depuis la guérison du dernier patient le 19 octobre, les autorités considèrent désormais que l’épidémie est terminée.
Le trafic est suspendu depuis samedi 29 novembre sur l’axe Iga Barrière-Mongwalu, à la suite de l’effondrement du pont Nizi, en territoire de Djugu (Ituri).
Selon Jean-Pierre Bikilisende, député provincial élu de cette entité, l’écroulement de cet ouvrage provoque déjà une flambée des prix, certains articles devenant rares sur les marchés :
Le trafic est suspendu depuis samedi 29 novembre sur l’axe Iga Barrière–Mongwalu, à la suite de l’effondrement du pont Nizi, en territoire de Djugu (Ituri).
Selon Jean-Pierre Bikilisende, député provincial élu de cette entité, l’écroulement de cet ouvrage provoque déjà une flambée des prix, certains articles devenant rares sur les marchés :
Près de 280 pêcheurs de Kimuabi dans le territoire de Moanda (Kongo-Central) ainsi que leurs dépendants sont vivent dans la précarité totale depuis la confiscation de leurs équipements de pêche par la marine angolaise en juin dernier. Martin Kula, président de ces pêcheurs, a lancé lundi 1er décembre 2025 un cri d’alarme, appelant à une intervention urgente du Gouvernement.
L’ONG Wokovu Way (en français : la voie du salut) sensibilise, du 1er au 3 novembre à Goma, des acteurs humanitaires sur la prévention d’exploitation et abus sexuels.
Selon son directeur exécutif, Alain Bagula, cette initiative vise à renforcer la réponse face aux risques d’abus et d’exploitation sexuels perpétrés par certains agents humanitaires sur des personnes déplacées et retournées.
Dans quelles mesures les écosystèmes d'innovation entrepreneuriaux peuvent-ils accélérer l'émergence de systèmes alimentaires durables ? C'est autour de cette problématique que s'est articulé le séminaire organisé par le projet « Accélérer les dynamiques d'innovation dans l'agriculture par le renforcement des Services Support à l'innovation » (AcceSS), tenu du 19 au 21 novembre à l'Université Thomas SANKARA à Saaba. L'objectif principal de cette rencontre était de renforcer les capacités des acteurs à concevoir, développer et soutenir des écosystèmes d'innovation entrepreneuriaux capables de favoriser l'émergence de systèmes alimentaires durables.
Ce séminaire a réuni 103 participants aux profils variés. La majorité était composée de mastérants et doctorants d'universités publiques et privées, mais également d'entrepreneurs, de fournisseurs de services support ainsi que de chercheurs nationaux et internationaux, présents à la fois en présentiel et en ligne. Pendant trois jours, les participants ont échangé autour des composantes, des dynamiques et des interactions caractéristiques des écosystèmes d'innovation entrepreneuriaux en Afrique subsaharienne, et plus particulièrement au Burkina Faso. Les travaux se sont déroulés sous forme de conférences, de communications, de panels ainsi que de travaux de groupe. Ce fut également un cadre privilégié de partage d'expériences mettant en lumière des modèles de réussite issus du Burkina Faso mais aussi d'autres pays tels que le Sénégal, le Maroc, Madagascar et l'Ouganda.
Présent pour donner le top de départ des travaux, aux côtés du Directeur du CEDRES et du Vice-président chargé de la Recherche et de la Coopération Internationale de l'Université Thomas Sankara représentant le Président de l'institution, le Délégué Général du Centre National pour la Recherche Scientifique et Technique (CNRST), Dr. Emmanuel Nanema, a encouragé les participants à faire de ce séminaire « un espace de réflexion, de partage et de construction collective ».
Selon lui, la créativité, les compétences et l'engagement de tous les acteurs sont indispensables pour inventer les solutions de demain. S'adressant particulièrement aux étudiants, il les a invités à saisir cette activité comme une opportunité d'apprentissage, de débat, de formulation de recommandations et de projections en tant qu'acteurs du changement. Il a également exprimé sa gratitude au consortium AcceSS ainsi qu'à l'Union européenne, pour leur accompagnement financier et leur engagement en faveur de l'innovation dans les systèmes alimentaires durables.
Au terme de trois jours de travaux intenses et riches en échanges, le séminaire consacré aux écosystèmes d'innovation entrepreneuriaux et à leurs rôles dans la transformation durable des systèmes alimentaires au Burkina Faso a permis de consolider un véritable cadre de réflexion collective, de partage d'expériences et de co-construction de solutions adaptées aux réalités nationales.
L'activité a renforcé les connaissances des participants, en particulier des étudiants sur les dynamiques d'innovation et les mécanismes qui sous-tendent les écosystèmes entrepreneuriaux. Elle a également suscité chez eux un intérêt renouvelé pour la recherche innovante, encourageant l'orientation vers des thématiques de recherche en lien avec l'innovation agricole et la durabilité des systèmes alimentaires.
La Banque asiatique d'investissement pour les infrastructures (BAII) a approuvé un financement souverain de 200 millions de dollars (plus de 100 milliards FCFA) pour le Projet de mobilité urbaine durable dans les villes du Grand Nokoué au Bénin.
« Améliorer la mobilité urbaine, la sécurité des transports et l'accès à des services inclusifs et durables ». Tel est l'objectif du Projet de mobilité urbaine durable dans le Grand Nokoué. Un financement de 200 millions de dollars a été approuvé par la Banque asiatique d'investissement pour les infrastructures (BAII) dans le cadre du projet.
Les investissements portent sur des axes routiers stratégiques de Cotonou, Sèmè-Podji, Porto-Novo, Abomey-Calavi et Ouidah.
Le projet, cofinancé par l'IDA de la Banque mondiale, entend répondre à la pression d'une croissance urbaine rapide. Il prévoit des infrastructures « résilientes au changement climatique, sûres, fiables et moins polluantes ».
La mobilité électrique figure au cœur du dispositif, avec l'électrification progressive des taxis-motos, les célèbres Zémidjan. Un programme pilote sera suivi d'un déploiement à grande échelle et d'un soutien à la filière locale des motos électriques.
Cinq composantes structurent l'intervention : renforcement de la gouvernance du secteur, professionnalisation des opérateurs, amélioration du transport public multimodal, électrification des motos et appui institutionnel. Le projet inclut notamment l'opérationnalisation de nouveaux services de transport public et la création d'infrastructures adaptées au multimodal.
Classé catégorie A, le projet comporte des « risques environnementaux et sociaux élevés ». Les travaux toucheront un « écosystème lagunaire côtier sensible », incluant plusieurs zones protégées autour du lac Nokoué.
Les autorités devront gérer les impacts liés au dragage, à la biodiversité, à la pollution ou encore au traitement des batteries des motos électriques. Un vaste corpus d'instruments (PEES, CGES, EIES, PAR, plans de gestion) a été préparé pour encadrer l'ensemble des opérations. La Convention de Ramsar a donné son aval après examen des évaluations environnementales.
Le chantier entraînera des déplacements économiques et fonciers. Sur certaines sections, 746 personnes affectées ont été recensées. Le PAR prévoit une « indemnisation au coût de remplacement intégral ».
Le remplacement des motos à essence pourrait affecter les revenus des conducteurs. Un programme d'accompagnement facilitera l'accès aux motos électriques et proposera des alternatives économiques.
Intégration du genre et de la sécurité
La dimension genre est intégrée dans la conception : espaces sécurisés dans les stations, éclairage renforcé, prévention des violences sexistes. Les risques d'exploitation et d'abus sexuels sont jugés « faibles » par la Banque mondiale.
Un mécanisme de règlement des griefs fonctionnera à quatre niveaux. La Banque mondiale et la BAII mèneront des missions conjointes au moins deux fois par an. Un groupe de suivi tiers inclura autorités locales et société civile.
La République démocratique du Congo a officiellement lancé, lundi 1er décembre, l’usage de la facture normalisée, marquant ainsi un tournant majeur dans la gestion fiscale du pays. C’est la Direction générale des impôts (DGI) qui pilote cette réforme, dans le cadre d’un vaste programme visant à lutter contre la fraude fiscale, mobiliser davantage de recettes pour l’État et protéger les droits des consommateurs.
Le colonel Kisembo Isingoma Benjamin, commandant du Secteur opérationnel Sukola 2 Nord Sud-Kivu, a effectué une visite d'inspection le 27 novembre 2025 sur l'axe Shabunda-Nzibira, visant à galvaniser le moral des troupes des Forces armées de la RDC, (FARDC), engagées contre les rebelles AFC/M23.