SEM Karamoko Jean Marie TRAORE, Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l'Exterieur, a accordé une audience au Directeur régional du Fonds des Nations unies pour la Population ( UNFPA) pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre, Dr Sennen HOUNTON le lundi 26 février 2024.
L'émissaire de l'UNFPA dit être au Burkina Faso pour deux raisons, notamment pour participer à une session du comité régional de pilotage du projet SWEDD à Ouagadougou, et effectuer une visite terrain à l'intérieur du pays, pour toucher du doigt les réalités et les besoins réels des populations dans le cadre de l'action humanitaire.
Sur ce dernier point, Dr HOUNTON qui s'est rendu dans la région du Nord, dit avoir été impressionné par le leadership du gouvernement à travers les autorités régionales, dans la coordination des actions humanitaires, ainsi que la collégialité qui prévaut entre les différents acteurs.
« Nous allons faire le maximum de mobilisation de ressources, pour accompagner le gouvernement qui a une vision claire et un plan d'assistance des personnes qui sont dans le besoin, surtout les femmes et les filles vulnérables », a indiqué le Directeur régional de l'UNFPA pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre.
SEM Karamoko Jean Marie TRAORE a salué la démarche et la stratégie de L'UNFPA qui consistent à prendre en compte le volet visite terrain.
Pour lui c'est la meilleure façon d'avoir une appréciation juste de la situation, d'evaluer les besoins réels, et de pouvoir réajuster les réponses à apporter.
Il a traduit sa reconnaissance à l'UNFPA pour ses différentes interventions au Burkina Faso au profit des populations défavorisées.
DCRP/ MAECR-BE
La patrouille nigérienne dénommée « Boboye », installée à Dosso, dans la région du Sud-ouest du pays, a permis de saisir 1980 engins explosifs sur deux individus qui se déplaçaient chacun sur une moto, dans la soirée du 25 février 2024.
L'information a été donnée par le gouverneur de ladite région, le général Iro Oumarou, dans l'agence nigérienne de presse (ANP)
Selon l'agence nigérienne de presse, les deux individus transportaient une quantité importante de munitions composée de 1980 bâtonnets d'explosifs.
Les deux hommes, dont l'un a pu s'échapper, se rendaient avec cette quantité d'explosifs à Niamey, précise l'ANP. La saisie a donc été présentée ce 26 février au gouverneur de la région de Dosso.
Dans sa prise de parole lors de la présentation de la saisie, il a déploré le fait qu'en plus du trafic de stupéfiants, les bandits commencent à faire circuler des munitions qu'ils placent souvent dans des bidons pour faire croire qu'il s'agit de carburant.
Tout en expliquant que ces terroristes s'appuient sur la population pour mener leurs opérations. C'est pourquoi, il a saisi l'occasion pour l'inviter à collaborer avec les Forces de Défense et de Sécurité et à doubler de vigilance pour montrer à la face du monde que cette affaire est réelle.
Lefaso.net
Source : ANP
Grâce aux réseaux sociaux, il est de plus en plus possible de faire du commerce en ligne. C'est une activité qui nécessite moins de coûts pour le commerçant. C'est pourquoi Sophiane Maré, étudiant en deuxième année de communication numérique à l'Institut supérieur de la communication et du multimédia (ISCOM), a décidé de se lancer dans ce domaine. Avec un autre de ses camarades, il gère sa structure en ligne nommée Tech City 226.
Tech City 226 est une entreprise née de l'amour de Sophiane Maré pour les appareils technologiques et électroniques. Avec ses aptitudes en community management et infographie, il a ouvert des pages en ligne pour commercialiser ses appareils numériques.
« Je propose des ordinateurs, des montres connectées, des drones, des téléviseurs et un peu de tout ce qui est électronique. Je travaille pendant mes temps libres pour créer des contenus qui attirent la clientèle », indique le propriétaire de la e-commerce.
Le jeune étudiant stocke le matériel chez lui et pour les appareils volumineux, il en prend uniquement lorsqu'il a une commande. Actuellement, il possède un important stock de montres électroniques qui, selon lui, sont très prisées.
Son camarade de classe Jean Élysée Nikièma, qui est beaucoup présent sur les réseaux sociaux, l'aide à gérer ses communications. « Je dirais que cette initiative nous permet de mettre en pratique ce qu'on apprend en cours. Il faut s'exercer et utiliser les réseaux sociaux de manière professionnelle. La partie de community management que je gère est une phase pratique de mon cours », a fait savoir le gestionnaire des pages de Tech City 226.
Sophiane Maré estime que sa collaboration avec Jean Élysée Nikiema est très bénéfique pour son activité. Les deux étudiants envisagent de créer un site Web et un magasin physique plus tard pour mieux faire la promotion de leurs marchandises.
Être étudiant et gérer un business n'est pas toujours facile
Avant de s'inscrire à l'Institut supérieur de la communication et du multimédia (ISCOM), Sophiane Maré avait déjà des ambitions d'entrepreneuriat. Pourtant au début de ses activités, ses parents étaient un peu dubitatifs car ils craignaient pour ses études. C'est au fil du temps, suite à son engagement, que ces derniers ont décidé de le laisser gérer son business. « Étant donné que les deux activités sont proches et que j'arrive à avoir la moyenne à l'université, il n'y a plus eu de problème avec les parents », explique l'initiateur de Tech City 226. Lire la suite
Farida Thiombiano
Lefaso.net
La famille d'écrivains burkinabè s'est agrandi avec le livre « Quand passeront nos douleurs » de Jean Sylvanus Ouali. C'est un roman de 94 pages reparties en 9 chapitres, qui dépeint les causes et les conséquences de l'insécurité au Burkina Faso.
L'auteur part d'un diagnostic en se basant sur les potentialités du Burkina Faso. Cette vie sans l'insécurité où les gens avaient la joie de vivre. Siema, le personnage principal, fait voyager le lecteur de « Quand passeront nos douleurs », de son parcours en classe du Cours élémentaire première année (CE1) à son statut d'élève déplacé interne.
« Les grands points de ce roman sont un condensé de douleurs que nous ressentons au volet profond des difficultés que le Burkina Faso traverse depuis un certain moment. Il était temps pour moi de dire ce que nous pensons, ce que nous ressentons, ce que ces enfants oubliés vivent, cette frange de la jeunesse qui est censée prendre la relève mais qui subit dans le silence et que la société semble ignorée », a indiqué l'auteur.
« Il était temps pour moi de donner voix à nos sentiments, en particulier à ces jeunes oubliés, cette frange de la jeunesse destinée à prendre le relais mais qui souffre en silence, ignorée par la société ».
« Quand passeront nos douleurs », c'est aussi un clin que l'auteur fait aux Forces de défense et de sécurité (FDS). Dans le sixième chapitre, l'auteur présente le dilemme dans lequel un gendarme sur le théâtre des opérations s'est retrouvé. Engagé pour la libération de son pays, son épouse se bat pour la guérison de leur fille qui est malade. « Ma patrie ou ma fille », s'interroge le militaire lorsqu'il a appris la nouvelle de sa fille.
« Quand passeront nos douleurs » est, selon Jean Sylvanus Ouali, une représentation talentueuse et captivante de la société burkinabè dont la quiétude a été profondément et brutalement perturbée. Malgré les conséquences de l'insécurité dont les personnages du livre ont du mal à tout citer, ils fondent l'espoir d'un retour à la vie normale, quand passeront leurs douleurs.
Au cours de la cérémonie de dédicace du livre, le préfacier, Dr Bendi Benoît Ouoba a proposé que l'œuvre soit traduite en langue Gulmancema pour toucher plus de public. L'auteur est originaire de la région de l'Est du Burkina Faso où cette langue est dominante.
Le roman « Quand passeront nos douleurs » est publié aux Editions BUFAC à Koudougou. L'ouvrage est disponible à la librairie Mercury à Ouagadougou, et dans d'autres villes du pays comme Bobo-Dioulasso, Fada N'Gourma et Koudougou au prix de 3 500 FCFA.
Cryspin Laoundiki
Lefaso.net
Le Directeur Général de la Société Nationale d'Aménagement des Terrains Urbains (SONATUR) invite tous les acquéreurs de parcelles des sites SONATUR de OUAGA 2000 dont les délais de mise en valeur sont dépassés, de bien vouloir mettre diligemment lesdites parcelles en valeur conformément à leurs destinations.
Des contrôles seront incessamment menés et les contrevenants s'exposent à la rigueur de la loi.
Par ailleurs, il invite également les acquéreurs des parcelles de la SONATUR dont les délais de paiement sont arrivés à échéance, à solder leurs parcelles au plus tard le 30 juin 2024, délai de rigueur.
Il les informe que passé cette date, la SONATUR se réserve le droit de procéder au retrait desdites parcelles sans aucune autre forme de préavis.
Pour toutes informations, contacter le 25 30 17 73/74.
La SONATUR, bâtir dans un cadre agréable !
Le Directeur Général
Boureima OUATTARA
La Générale des Assurances (GA) est une société anonyme d'assurances créée en 1997 et qui fait partie d'un grand groupe qui compte plusieurs autres sociétés anonymes qui opèrent dans divers secteurs. L'Acte Uniforme révisé relatif au droit des sociétés commerciales et des Groupements d'Intérêt Economique dispose que la désignation d'un Commissaire aux Comptes suppléant est obligatoire pour les sociétés anonymes au cours de leur existence.
C'est dans ce contexte que la GA, consciente du respect des dispositions règlementaires de la Conférence Interafricaine des Marchés d'Assurances (CIMA) et de l'Organisation pour l'Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) d'une part, de l'intérêt de la tenue et de la présentation des états financiers sincères, fiables et réguliers aux instances de décision d'autre part, lance un appel à candidatures pour le recrutement d'un Commissaire aux Comptes suppléant.
Le présent avis d'appel d'offres met en compétition uniquement les cabinets régulièrement inscrits à l'Ordre National des Experts Comptables et Comptables Agréés du Burkina Faso (ONECCA-BF).
Le dossier d'appel d'offres peut être retiré au niveau de la Direction Financière et Comptable de la GA contre paiement d'une somme non remboursable de cent mille (100 000) francs CFA.
L'avis d'appel d'offres est ouvert le lundi 26 février 2024 et le délai de dépôt des offres est fixé au vendredi 22 mars 2024 à 15h30mn. Les offres remises en retard ne seront pas acceptées.
Ouagadougou, le 18 février 2024
Le Directeur Général
Yannick Yves GOUNGOUNGA