« Faire en sorte que chaque Burkinabè sache faire quelque chose de ses dix doigts. » Voici résumé l'ambition de Burkina Suudu Bawdè (La maison des compétences en fulfuldé). Créée en juillet 2023, cette structure est le pivot de la formation professionnelle et contribue à doter les jeunes et les adultes de compétences pratiques adaptées aux besoins du marché du travail. Afin de permettre aux journalistes de connaître davantage ses missions et d'améliorer leur compréhension des fondamentaux de la formation professionnelle, elle organise un atelier de communication du 14 au 19 avril 2025, à Ziniaré, dans la région du Plateau central.
« La formation professionnelle doit être au cœur de nos préoccupations. Elle permet non seulement à chacun d'acquérir des compétences solides, mais aussi de garantir une insertion durable dans le monde du travail », a déclaré, lundi, le directeur général de Burkina Suudu Bawdè, Kèrabourou Palé.
Il a rappelé que sa structure a été créée en juillet 2023, suite à une instruction donnée en janvier 2023 par le chef de l'État, le capitaine Ibrahim Traoré, au ministre en charge de la jeunesse et de l'emploi de réformer le système éducatif en collaboration avec les ministères de l'Éducation nationale et de l'Enseignement supérieur, afin de favoriser l'apprentissage de métiers et l'insertion professionnelle rapide des jeunes.
Burkina Suudu Bawdè (BSB) étant très peu connu des journalistes et des Burkinabè en général, cet atelier de communication était donc le bienvenu. Il réunit une dizaine d'hommes et de femmes de médias de Ouagadougou et de la ville de Ziniaré. Objectif : renforcer leurs compétences sur les fondamentaux de la formation professionnelle, en constante évolution.
Kèrabourou Palé, directeur général de Burkina Suudu BawdèUne offre de formation de 144 métiers dans neuf domaines
BSB compte 31 centres dont 3 centres nationaux, 13 centres régionaux et 15 centres provinciaux qui offrent par an 4 781 places. L'offre de formation concerne 144 métiers dans neuf domaines, à savoir le génie civil, le génie mécanique, le génie électrique, le génie électronique, le textile-habillement-cuir, l'agro-alimentaire, la maintenance industrielle, l'hygiène et les soins corporels.
« Nous avons 304 formateurs sur l'ensemble de notre réseau, dont 146 permanents et 158 vacataires. C'est insuffisant au regard de nos ambitions et il faut toujours travailler à étoffer ce personnel », reconnaît le directeur général de BSB, M. Palé, pour qui la finalité de la formation demeure l'insertion professionnelle qui passe par l'auto-emploi.
Faso Kuna-Wili pour accompagner les projets « viables »
Même si Burkina Suudu Bawdè dit ne pas offrir d'équipements à ses apprenants formés, il précise qu'un certain nombre de kits sont remis aux meilleurs en fin d'année pour les encourager. « Le gouvernement a mis en place le fonds national de financement "Faso Kuna-Wili", qui propose un produit spécifique aux apprenants issus des centres de formation professionnelle, avec des conditions de prêt souples », rassure M. Palé. Grâce à une convention avec ce fonds, BBS pourra envoyer chaque année une liste d'apprenants avec des projets, dont la viabilité économique sera analysée par le fonds.
Les participants à l'atelier posant ici avec le premier responsable de BSBLes limites du système francophone
Dans son module sur les concepts, enjeux, défis et perspectives de la formation professionnelle, le directeur du centre d'ingénierie et de formation professionnelle de BSB, Boubakar Ba, considère la formation professionnelle comme « la voie royale » pour l'employabilité et note qu'elle doit être intensifiée, à l'heure où de plus en plus d'usines se créent et que l'offensive agro-sylvo-pastorale est en marche.
Selon lui, il ne faut plus considérer les apprenants de la formation professionnelle comme « des déchets » du système éducatif. Et l'une des limites du système francophone a longtemps consisté, regrette-t-il, à enfermer les apprenants dans des carcans où des employeurs ne jurent que par le diplôme et non la compétence réelle des apprenants.
La formation professionnelle revêt à la fois des enjeux politiques, économiques et sociaux, soutient Boubakar Ba. « C'est un moyen d'expression de la souveraineté nationale. C'est un levier de lutte contre le chômage, mais aussi un moyen de compétitivité des secteurs productifs et de performance de l'économie, et un puissant facteur de promotion des investissements », a-t-il expliqué.
Boubakar Ba, directeur du centre d'ingénierie et de formation professionnelle de BSBDes défis en matière de qualité et de financement
Toutefois, des défis doivent être relevés pour donner à la formation professionnelle une place de choix au Burkina Faso. Même si l'on assiste à un accroissement de l'offre de formation, avec 706 centres de formation professionnelle dont 88 centres publics et 618 centres privés, Boubakar Ba note qu'il faut améliorer l'accès à cette formation marquée par une insuffisance d'infrastructures surtout en milieu rural.
Un autre défi à relever, selon le communicateur, c'est l'amélioration de la qualité de la formation à travers le renforcement des capacités des ressources humaines, mais aussi l'élaboration de ressources et outils de formation de qualité et leur implémentation.
Selon le directeur général, les limitations financières ne doivent pas limiter les ambitions en faveur de la formation professionnelleLe communicateur n'oublie pas la qualité de la formation, son financement et l'insertion professionnelle qu'il considère comme d'autres défis à relever. À ce propos, M. Ba propose la mise en place d'un mode de financement alternatif à l'image d'un « Plan Marshall ». Car même si la formation professionnelle coûte assez cher au Burkina Faso, Burkina Suudu Bawdè pense que les limitations financières ne doivent pas être un frein pour « limiter ou sacrifier les ambitions ».
HFB
Lefaso.net
La grande famille KANÉ à Kouy, Tougan, Dédougou, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou, Cotonou, Bamako, Abangoro, Abidjan, Bouaké, Dori Paris et Bangui ;
La grande famille TOE à Biba, Tougan, Houndé, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou, et Abidjan ;
La grande famille BITIBALY à Kouy, Tougan, Mali, Côte-d'ivoire, Bobo-Dioulasso, Dédougou, Belgique et Ouagadougou ;
La grande famille DRABO à Tougan, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou et France ; La grande famille BORO à Tougan, Ouagadougou et Bobo-Dioulasso ;
La grande famille de Feu El Hadj Aboubacar Sangoulé LAMIZANA à Ouagadougou ;
Les familles alliées : DIAPA, ZERBO, SANOGO, DEMBELE, AGBOGBA, DICKO, SERME, PALENFO, KOUANDA, GANOU, DRABO, OUEDRAOGO, BORO, LAMIZANA ;
Les enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants,
Très touchés par les nombreuses marques de compassions, de solidarité, de sympathie et de soutiens multiformes lors du rappel à Dieu de KANÉ Gouli Pierre, Instituteur certifié admis à la retraite, décédé à l'âge de 80 ans, le lundi 07 avril 2025 à Ouagadougou suivie de l'inhumation, le Samedi 12 avril 2025 à son domicile au secteur 6 de Tougan de leur très cher père, grand-père, arrière-grand-père, mari, beau-père, vous prie d'accepter leurs sincères remerciements.
La famille se réserve de citer des noms de peur d'en oublier. Que Dieu rende à chacun le centuple de ses bienfaits.
UNION DE PRIERES
« Nul ne disparaît, si sa mémoire reste gravée dans nos esprits. »
La famille de feu Colonel Lacanapè Lamizana Vincent de Paul, ses frères et sœurs, ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants à Nouna, Tougan, Dianra, Bobo Dioulasso, Ouagadougou, Dédougou, Côte d'Ivoire, Mali, France, Etats – Unis, Canada ;
La famille de feu El hadj Abdoulaye Lamizana, ses frères, ses sœurs, ses enfants, ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants à Tougan, Dianra, Bobo Dioulasso, Ouagadougou, Banfora, Côte d'Ivoire, Mali, France, Suisse, Etats – Unis ;
La famille de feu, El hadj Aboubacar Sangoulé LAMIZANA, ancien Président, ses frères, ses sœurs, ses enfants, ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants, à Tougan, Dianra, Bobo Dioulasso, Ouagadougou, Banfora, Côte d'Ivoire, Cameroun, Mali, France, Suisse, Etats – Unis, Canada ;
La famille de feue DRABO Dièlo Bernadette, à Tougan, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Nouna ;
Les frères et sœurs du défunt : Marie épouse TEBI, Nestor, Martine épouse Tamboura, Robert, Solange épouse KADEOUA, Joachim et Sylviane épouse GEORGES ;
La famille de feu Colonel Mamadou DJERMA, Ancien Grand chancelier, à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Nouna et Bamako ;
Le Chef Coutumier de KOGNINGA ;
La veuve LAMIZANA/ZOUNDI Marie Monique et enfants : Marie Joséphine Bernadette épouse SANGARE, Lacanapè Louis Oscar Joachim, Florence Marie Pierre épouse NICOLE, Ina Suzanne et Sarah ;
Les petits enfants Aboubacar, Malika, Adrian, Arthur et Raphael ;
Les familles alliées : ZOUNDI, SANGARE, HERNANDEZ, NICOLE à Ouagadougou (Kologh-Naaba), Bobo Dioulasso, Bezannes, Saint-Priest (France), Montréal (Canada), Singapour (Singapour), New Waverly (USA) ;
Les parents, amis et connaissances ;
ont la profonde douleur de vous faire part du décès de leur fils, frère, père, beau-père, oncle, cousin et grand-père :
Médecin Colonel Major à la retraite Pierre LAMIZANA,
survenu le mardi 08 avril 2025 à son domicile, sis à Zagtouli (Ouagadougou – Arrondissement 7) dans sa 71ème année.
Le programme des obsèques se déroulera comme suit :
– Mercredi 16 avril 2025 : veillée de prières à son domicile sis à Zaktouli ;
– Jeudi 17 avril 2025 à 08h : levée du corps à la morgue du Camp Général Aboubacar Sangoulé Lamizana sis à Gounghin et transfert à sa Résidence, sise à Zagtouli (Ouagadougou) ;
– 08h45 à 09h : recueillement ;
– 09h : prière ;
– 10h : inhumation à sa Résidence, sise à Zagtouli (Ouagadougou) ;
Que par la miséricorde de Dieu, son âme repose en Paix.
Unions de prières.
Né le 26 février 1975 à Ouagadougou, Sidbéwendin Issouf KABRE est avocat inscrit au Barreau du Burkina Faso, après une courte carrière de Magistrat. Il exerce à Ouagadougou.
Le lit est l'endroit le plus dangereux au monde. C'st ce qu'on raconte à Pitmoiga où 55% des femmes meurent au lit. C'est également ce que Sombdèbda, fille femme de Ouili Nanga, ne va pas tarder à apprendre à ses dépens.
Mais ce qu'elle ignore encore, c'est que les hommes les plus dangereux sont ceux qui frappent leurs femmes tout en les persuadant qu'ils les aiment. Précipité dans un ménage qui la broie alors que rien, ni dans son éducation ni dans sa personnalité, ne l'a préparée à une semblable épreuve, Sombdèbda doit subir le joug féroce de son mari toujours imaginatif lorsqu'il s'agit du pire. Coups, excuses, pardon, coups encore…Le plan diabolique de Ouilli Nanga Semble Imparable.
Sombdèbda souffre en silence le martyre, jusqu'au jour où son chemin croise celui de Maître Monrimda, avocat de renom. Celle-ci décide de s'adjoindre les compétences du roi de la presse lui-meme, Yimmio Fa pour alerter l'opinion et sauver l'épouse malheureuse. Mais réussiront-ils à arracher Sombdèbda des griffes de Ouili Nanga ? car il est établi que certains prédateurs ne lâchent jamais leur proie.
Les familles NACRO, NIGNAN et alliées
Les enfants : Nafissa, Awa, Wassiatou et Rachide
Très touchés par les nombreuses marques de compassion, de sympathie et de solidarité à leur endroit lors de la maladie, du décès et de l'hunimation le samedi 12 avril 2025 de leur épouse, grande sœur, mère, tante, grand-mère et arrière grand-mère, madame NACRO/NIGNAN Damata Ortense dit Bébé, secrétaire à la retraite au quartier Karpala de Ouagadougou, épouse de Feu NACRO Seydou, vous réitèrent leur gratitude et leurs sincères remerciements pour les soutiens multiformes dont ils ont bénéficié.
Nous ne pouvons citer de noms de peur d'en oublié. Que Dieu vous rende au centuple vos bienfaits.
Union de prières.
Au moins onze agriculteurs ont été pris en otage mercredi 2 avril par des hommes armés non identifiés au village Mbongya, situé à environ 12 kilomètres de la ville de Beni, au Nord-Kivu.
Le chef du village voisin de Bapakombe-Bakondo, Mwami Achu Daibo qui rapporte les faits, soupçonne que cette prise d’otage a été orchestrée par les rebelles des ADF, actifs dans cette zone.