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Le chef d'état-major général, le général de division Fructueux Gbaguidi, a fait le point sur la situation au sein des Forces Armées Béninoises (FAB), après la tentative de mutinerie déjouée du 7 décembre 2025.
« Tout va bien dans les Forces armées béninoises à présent », a rassuré le chef d'état-major général, deux semaines après la mutinerie déjouée du 7 décembre dernier. Le général de division Fructueux Gbaguidi a reconnu tout de même la gravité des faits survenus.
Le chef d'état-major n'a pas caché son indignation face à l'implication de militaires dans les événements du 7 décembre. « Que des frères d'armes retournent leurs armes contre la République est une honte », a-t-il indiqué sur Bip radio.
Dans les jours qui ont suivi les événements, l'état-major a engagé une série d'actions internes destinées à évaluer la situation. Une revue du personnel a permis d'identifier des cas de désertion ainsi que des implications directes ou indirectes. « Le point a été fait et le compte rendu transmis à l'autorité suprême », a indiqué le général Gbaguidi, sans toutefois livrer de précisions supplémentaires.
Sur le plan judiciaire, le chef d'état-major a souligné que l'armée ne conduit pas les investigations. Les enquêtes ont été confiées à la Police républicaine, qui poursuit son travail de manière autonome. À ce stade, une trentaine de personnes ont été interpellées et plusieurs autres demeurent en garde à vue. « Dans quelques semaines, nous saurons qui sera inculpé ou non », a-t-il précisé, appelant à la patience.
Au-delà des procédures, le climat au sein des FAB est marqué par une phase de réflexion et de recentrage. Le général Gbaguidi a reconnu avoir été personnellement affecté par l'implication de Pascal Tigri, le cerveau présumé de la mutinerie. « Je prie pour lui, parce qu'il a posé des actes très graves ».
Pour le chef d'état-major, cette épreuve doit servir de leçon collective. « Les grandes nations passent toujours par des épreuves », a rappelé le général de division Fructueux Gbaguidi.
M.M.