Balkans Occidentaux

C'est une grande voix de la littérature monténégrine. Dans Mort à Gaza, Miraš Martinović tente de mettre des mots sur le génocide en cours dans l'enclave palestinienne. Comment la poésie peut-elle raconter les horreurs que le monde observe au travers des écrans ? Entretien.

C'est une grande voix de la littérature monténégrine. Dans Mort à Gaza, Miraš Martinović tente de mettre des mots sur le génocide en cours dans l'enclave palestinienne. Comment la poésie peut-elle raconter les horreurs que le monde observe au travers des écrans ? Entretien.

6 mars – 25 juin 2025
Sur les murs extérieurs des jardins de l'Hôtel de Béhague,
Résidence de Roumanie en France | 22-24 avenue Bosquet, 75007 Paris
L'exposition est désormais sur les murs des jardins de l'Hôtel de Béhague, Résidence de Roumanie en France, et vous attend jusqu'au 25 juin !
Lors de vos promenades auprès de la Tour Eiffel, n'hésitez pas à vous arrêter au 24 avenue Bosquet, Paris 7e.
Vous allez découvrir l'univers de Brancusi sous un jour nouveau, et apprécier la (…)

Contre l'avis du Conseil pour l'égalité et malgré les protestations de la communauté juive locale, le gouvernement libéral de Dorin Recean refuse de changer le titre du manuel d'histoire de terminale intitulé "Histoire des Roumains et universelle".

Le ministre de l'Intérieur du Kosovo a émis un mandat d'arrêt contre le président du parti Démocratie serbe, Aleksandar Arsenijević. Le jeune politicien, poil-à-gratter pour Pristina comme pour Belgrade, dénonce un « complot » et « une persécution politique » orchestrés par le gouvernement d'Albin Kurti.

Le ministre de l'Intérieur du Kosovo a émis un mandat d'arrêt contre le président du parti Démocratie serbe, Aleksandar Arsenijević. Le jeune politicien, poil-à-gratter pour Pristina comme pour Belgrade, dénonce un « complot » et « une persécution politique » orchestrés par le gouvernement d'Albin Kurti.

L'espace aérien bloqué et des actifs de la Banque centrale saisis. Voilà ce que risque aujourd'hui la Bosnie-Herzégovine à cause d'une dette que l'entité serbe refuse de payer depuis de longues années à la société slovène Viaduct. En juin, le délai de remboursement a expiré, sans solution.Explications.

L'espace aérien bloqué et des actifs de la Banque centrale saisis. Voilà ce que risque aujourd'hui la Bosnie-Herzégovine à cause d'une dette que l'entité serbe refuse de payer depuis de longues années à la société slovène Viaduct. En juin, le délai de remboursement a expiré, sans solution.Explications.

L'espace aérien bloqué et des actifs de la Banque centrale saisis. Voilà ce que risque aujourd'hui la Bosnie-Herzégovine à cause d'une dette que l'entité serbe refuse de payer depuis de longues années à la société slovène Viaduct. En juin, le délai de remboursement a expiré, sans solution.Explications.

L'espace aérien bloqué et des actifs de la Banque centrale saisis. Voilà ce que risque aujourd'hui la Bosnie-Herzégovine à cause d'une dette que l'entité serbe refuse de payer depuis de longues années à la société slovène Viaduct. En juin, le délai de remboursement a expiré, sans solution.Explications.

L'espace aérien bloqué et des actifs de la Banque centrale saisis. Voilà ce que risque aujourd'hui la Bosnie-Herzégovine à cause d'une dette que l'entité serbe refuse de payer depuis de longues années à la société slovène Viaduct. En juin, le délai de remboursement a expiré, sans solution.Explications.

L'espace aérien bloqué et des actifs de la Banque centrale saisis. Voilà ce que risque aujourd'hui la Bosnie-Herzégovine à cause d'une dette que l'entité serbe refuse de payer depuis de longues années à la société slovène Viaduct. En juin, le délai de remboursement a expiré, sans solution.Explications.

Plus de trois mois après l'arrestation du maire d'Istanbul, ayant provoqué une importante mobilisation, son avocat ainsi qu'un journaliste ont été placés en détention. Non sans provoquer un soulèvement de bouclier.

Plus de trois mois après l'arrestation du maire d'Istanbul, ayant provoqué une importante mobilisation, son avocat ainsi qu'un journaliste ont été placés en détention. Non sans provoquer un soulèvement de bouclier.

C'est une « monstrueuse coalition » qui s'est formée. Le nouveau Premier ministre Ilie Bolojan a prêté serment lundi 23 juin, au palais Cotroceni. de Bucarest. Il dirigera un exécutif regroupant toutes les formations réputées « pro-européennes » - le PSD, le PNL, l'UDMR et, pour la première fois, l'USR-Plus. Il est peu probable que cela dissipe la confusion politique qui règne dans le pays.

C'est une « monstrueuse coalition » qui s'est formée. Le nouveau Premier ministre Ilie Bolojan a prêté serment lundi 23 juin, au palais Cotroceni. de Bucarest. Il dirigera un exécutif regroupant toutes les formations réputées « pro-européennes » - le PSD, le PNL, l'UDMR et, pour la première fois, l'USR-Plus. Il est peu probable que cela dissipe la confusion politique qui règne dans le pays.

C'est une « monstrueuse coalition » qui s'est formée. Le nouveau Premier ministre Ilie Bolojan a prêté serment lundi 23 juin, au palais Cotroceni. de Bucarest. Il dirigera un exécutif regroupant toutes les formations réputées « pro-européennes » - le PSD, le PNL, l'UDMR et, pour la première fois, l'USR-Plus. Il est peu probable que cela dissipe la confusion politique qui règne dans le pays.

C'est une « monstrueuse coalition » qui s'est formée. Le nouveau Premier ministre Ilie Bolojan a prêté serment lundi 23 juin, au palais Cotroceni. de Bucarest. Il dirigera un exécutif regroupant toutes les formations réputées « pro-européennes » - le PSD, le PNL, l'UDMR et, pour la première fois, l'USR-Plus. Il est peu probable que cela dissipe la confusion politique qui règne dans le pays.

C'est une « monstrueuse coalition » qui s'est formée. Le nouveau Premier ministre Ilie Bolojan a prêté serment lundi 23 juin, au palais Cotroceni. de Bucarest. Il dirigera un exécutif regroupant toutes les formations réputées « pro-européennes » - le PSD, le PNL, l'UDMR et, pour la première fois, l'USR-Plus. Il est peu probable que cela dissipe la confusion politique qui règne dans le pays.

La Roumanie s'est redonnée un peu de stabilité avec la formation d'un nouveau gouvernement de coalition qui a prêté serment, lundi 23 juin, au palais Cotroceni.