Ramtane Lamamra s’inspire des interlocuteurs qu’il avait rencontré lors de sa tournée mondiale européenne , il décide lui aussi de laisser le peuple choisir et être maître de son destin sauf que là il ne parle pas du peuple Algérien qui bat le pavé depuis le 22 février. Il décide de focaliser toute son attention vers le peuple Sahraoui laissant ainsi un gouvernement non formé, un Bedoui recherché et une déclaration de chef d’état-major qui sème le doute.
Le vice Premier ministre et ministre des affaires étrangères a salué hier, mardi 26 mars, depuis Pretoria la capitale de l’Afrique du sud, l’engagement des pays membres de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) en faveur de la cause sahraouie. En tant que peuple qui a toujours soutenu la cause Sahraoui, on pense qu’on est en fortiori prioritaire de son attention.
M.A.Y
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La capitale économique du Bénin va abriter du 08 au 10 mai 2019, la première édition de Africa BRICS Forum, sous le thème : « Défis de croissance et de développement économique durable en Afrique ».
Plus de 250 entreprises de l'espace BRICS, 165 de l'espace CEDEAO et 85 d'autres zones africaines sont attendues à cette rencontre.
Cette première édition a pour but de favoriser les échanges commerciaux entre les entreprises africaines et celles de l'espace BRICS. Elle vise aussi à encourager des investissements importants en matière de développement durable.
Ce Forum « devrait connaître au cours de cette période quelque 500 milliards de francs CFA (860 millions de dollars) d'investissements dans des projets de développement, de partenariats et de contrats de passation de marché entre des entreprises africaines et celles de l'espace BRICS ».
Depuis l'été 2015, les pays de l'espace BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) disposent de leur propre banque internationale de développement. La Nouvelle Banque de développement (NDB), dont le siège est à Shanghai en Chine est une institution conçue comme une alternative à la Banque Mondiale et au Fonds monétaire international (FMI).
La Banque est configurée pour favoriser une plus grande coopération financière et de développement entre les pays émergents.
Akpédjé AYOSSO
Suite à l'arrestation d'une partie de son staff en Côte d'ivoire dans le cadre d'une mobilisation pacifique contre le néocolonialisme et le franc CFA, Kemi Seba s'est rendu lui-même à la police mardi 26 mars 2018, suite à l'annonce d'un avis de recherche lancé par les autorités ivoiriennes. Après interrogatoire, Kemi Seba a été relâché et renvoyé au Bénin. Mais, ce dernier été interpellé dès sa descente de l'avion par la police béninoise et est resté introuvable.
Selon les informations, suite à la présentation de l'activiste Kemi Seba à la police ivoirienne, les membres du staff et son coordonnateur stratégique international de l'ONG (Urgences Panafricanistes) Hery Djehuty ont été libérés. Expulsé d'Abidjan après l'interrogatoire, Kemi Seba a été mis dans un avion en direction de Cotonou vers 20h40 sur Air Côte d'Ivoire. Arrivé tard dans la nuit du 26 au 27 mars 2019 à l'aéroport cardinal Bernadin Gantin de Cotonou, l'activiste a été interpellé par la police béninoise.
Selon la coordination béninoise de Urgences Panafricanistes, les membres de sa famille, et même ses proches collaborateurs n'ont pas connaissance de son lieu de détention.
Kemi Seba et son staff sont allés en Côte d'Ivoire dans le cadre de la tournée africaine organisée par l'ONG Urgences Panafricanistes pour manifester contre le néocolonialisme et les réseaux occultes de la Françafrique et le franc CFA.
Le gouvernement ivoirien n'a pas autorisé la tenue de la conférence prévue pour ce dimanche l'activiste et l'a purement et simplement expulser du pays.
Akpédjé AYOSSO
L'impasse dans laquelle se trouve le processus électoral après la publication des listes des partis éligibles pour les prochaines législatives continue de susciter des réactions. Il n'y a pour le moment pas péril en la demeure selon le professeur agrégé en droit public, Dandi Gnamou.
" Sur le plan juridique, on ne peut pas dire qu'il y a un blocage en tant que tel. Il y a une frisson sur le plan politique", souligne Dandi Gnamou. " C'est vrai, il y a des lois qui ont été votées et ces lois sont en application et ces lois n'ont pas été abrogées. Et donc dire qu'il y a blocage, c'est aller au-delà de la chose juridique", relève le professeur de droit. Il n'en demeure pas moins rappelle cette dernière, "qu'il y a eu au sein de notre République des discussions assez fortes entre certains partis qui estiment qu'ils ne peuvent pas participer à ces élections du 28 avril. Ce qui amène le débat autour de la revue ou non des textes régissant à la fois, la vie des partis politiques donc la participation à la compétition électorale mais aussi le code électoral dans son ensemble. C'est peut-être relativement à la revue de ces deux lois qu'on peut constater aujourd'hui qu'il semble y avoir un blocage".
Le professeur de droit public estime que ''le risque est grand qu'au niveau de la plénière, qu'il n'y ait pas de consensus".
" Si je parle du blocage, c'est sur le plan juridique. Sur le plan politique, c'est vrai qu'on constate des frissons mais sur le plan juridique, des lois existent et elles sont entrain d'être appliquées. Aucune loi n'est venue les modifier pour le moment. Donc, on ne peut pas en tirer conclusion de l'existence d'un blocage", explique Dandi Gnamou.
Selon le professeur, "Avec l'absence de consensus, ça peut se prolonger beaucoup plus loin". Elle précise qu' "Une assemblée n'adopte des lois que si la majorité des députés donnent son accord. Est-ce que aujourd'hui quand on constate le non consensus au niveau des lois, on n'est pas en mesure de penser que ce non consensus ira se prolonger à l'Assemblée nationale. (...). Ce qui ne change rien au fait que c'est aux députés de prendre leurs responsabilités de décider qu'on modifie ou qu'on ne modifie pas telle ou telle loi".
La Cour ne peut pas prolonger le mandat députés
A la question de savoir si la Cour constitutionnelle peut-être l'arbitre dans le cas du blocage à l'Assemblée nationale, Dandi Gnamou explique que "Le pouvoir régulateur intervient quand il y a blocage institutioonelle". Mais pour l'agrégé en droit public, " Quand il y a conflit entre les pouvoirs d'État, le juge constitutionnel veut protéger certains droits d'un des pouvoirs constitutionnellement établis. Autrement dit, pour que le président de l'Assemblée nationale puisse se tourner vers le président de la Cour constitutionnelle pour dire, prenez une décision sur cette question, il faut qu'il dise quel est le blocage. En réalité, le blocage institutionnel parce que c'est bien du conflit entre les pouvoirs d'État qu'il s'agit, entre l'exécutif et le législatif, ou l'exécutif et le judiciaire ou le législatif et le judiciaire. Or ici, il ne s'agit pas de cela mais le problème se pose au sein de l'Assemblée nationale".
Elle pense qu' "On ne peut donc pas demander au président de la Cour constitutionnelle en l'absence de blocage institutionnelle de venir réguler quelque chose (...).
Sur le plan juridique, mais on ne peut pas non plus demander à la Cour constitutionnelle de faire prolonger la mandat des députés de la 7ème législature. Ce n'est pas du tout de son ressort".
La Cour constitutionnelle ne peut pas procéder estime-t-elle, "à l'allongement du délai constitutionnellement établi par le constituant en disant vous avez jusqu'au 15 mai mais moi j'ai décidé que dans cette situation là, je vais vous amener à rester trois mois, quatre mois, cinq mois de plus". Dans ce cas martèle-t-elle "Ce serait admettre que la Cour constitutionnelle du Bénin est détenteur du pouvoir constituant. Évidemment pour moi, c'est inacceptable".
G.A.
Le mouvement de contestation qui s’exprime dans la rue maintient le cap. Mobilisés depuis le 22 février dernier, les Algériens réclament le départ de figures bien précises symbolisant l’échec de la gestion des affaires du pays ou associées aux cercles accusés de corruption et de pillage des affaires nationales.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – La rue exige des démissions, des départs immédiats. Des noms s’affichent régulièrement sur les pancartes brandies tous les vendredis depuis plus d’un mois, les manifestants y vont de slogans de plus en plus virulents, défilent avec des portraits, des caricatures, parfois grandeur nature et surtout surmontées de messages on ne peut plus clairs : «Dégagez !» Ces noms, les plus cités, sont bien connus.
Abdelaziz Bouteflika
Elu chef d’Etat en 1999, il s’apprêtait à briguer un cinquième mandat. Le mandat de trop contre lequel les Algériens ont fini par réagir pour recouvrer, disent-ils, une «dignité perdue», celle d’un pays offrant au monde l’image d’une société acceptant d’être gouvernée par un homme n’ayant pas su respecter l’alternance démocratique, centralisant tous les pouvoirs à son niveau et dépendant de son «clan» auquel l’opinion attribue de larges prérogatives.
Certains affirment qu’il en serait même «l’otage» depuis la perte de ses capacités physiques (due à deux AVC) et que ce dernier serait à l’origine de l’émergence d’une oligarchie qui s’est enrichie de manière douteuse. Depuis le 22 février dernier, les citoyens mobilisés revendiquent le départ de Bouteflika et dénoncent toute tentative de prolongation du quatrième mandat.
Saïd Bouteflika
Le frère conseiller du président de la République est, depuis un long moment, accusé de gérer le pays à la place de son frère affaibli par la maladie. Son nom est scandé par les manifestants tous les vendredis. Un peu partout à travers le territoire national, les Algériens défilent avec des caricatures grand format accompagnées d’une inscription qui en dit long : «Vous avez pillé le pays.»
Les Kouninef
Auparavant murmuré à voix basse dans les discussions des personnes bien au fait de la situation en cours dans le pays, le nom des Kouninef est, depuis quelques jours, au centre de tous les débats publics. On le trouve dans les médias qui s’intéressent de plus près à l’une des plus grandes fortunes du pays bâtie, dit-on, grâce aux liens étroits qu’entretient la famille avec les Bouteflika. Le plus gros de la polémique et des interrogations liées à son enrichissement circulent cependant sur les réseaux sociaux.
Les Kouninef sont soupçonnés d’avoir monté leur empire au lendemain de l’accession de Abdelaziz Bouteflika au pouvoir. La société phare du groupe familial, Kougc, concentre les activités les plus lucratives, dit-on, mais c’est sous l’ère Bouteflika qu’elle est devenue la plus grande entreprise privée algérienne dans le secteur de l’hydraulique.
L’amitié du père Kouninef avec le président de la République serait à l’origine de l’expansion de ses affaires et de celles de ses trois fils. Le plus en vue est Rédha, surnommé le «prince des oligarques» par certains médias étrangers ou «l’homme qui susurre aux oreilles de Saïd Bouteflika».
Depuis deux jours, des structures de l’Etat tentent de démentir le prêt de 100 millions de dollars qui lui aurait été fait par le CPA. Algérie Télécom a également réagi aux informations diffusées sur les réseaux sociaux et faisant état d’un procès intenté par les Kouninef contre Algérie Télécom et dans lequel l’opérateur public ne s’est pas constitué partie civile sur instruction de Houda Feraoun .
Sidi Saïd
A la tête de l’UGTA depuis 1997, il est considéré comme l’un des plus grands soutiens à Abdelaziz Bouteflika et d’avoir instrumentalisé l’organisation syndicale au seul profit du président de la République. Soutenu par le pouvoir, Sidi Saïd a réussi à faire échec à toutes les tentatives de «renversements» menées par la base.
Au lendemain des premières marches réclamant l’annulation du cinquième mandat et le départ du Président, il a tenu des propos qui ont provoqué la colère de la rue.
Selon lui, l’annulation du cinquième mandat risquait de faire sombrer le pays dans la violence. Aux yeux de l’opinion, il incarne le système dont le départ est réclamé.
Ahmed Ouyahia
En dépit de son éviction du poste de Premier ministre, son nom continue à être scandé dans les rues. Raillé, critiqué parfois en des termes trop indécents pour pouvoir être rapportés ici, Ouyahia concentre une grande partie de la colère populaire qui s’exprime régulièrement.
Auteur des mesures les plus impopulaires qu’ait connues l’Algérie postindépendance, il est aussi perçu comme étant l’homme de toutes les sales besognes, missions ayant plongé le pays dans la crise actuelle.
Ali Haddad
Il est le symbole par excellence de cette oligarchie qui s’est emparée du pouvoir. Proche du cercle présidentiel, connu pour sa grande proximité avec les Bouteflika, le président du FCE est au centre d’un véritable jugement populaire exprimé dans les chants et les slogans.
Lamamra, Bedoui, Brahimi, Moad Bouchareb, le FLN et le RND…
Ce vendredi 22 mars, les manifestants ont affiné leurs messages. Lamamra, Bedoui et Brahimi ont fait l’objet d’une caricature portée par de nombreuses personnes et les montrant vêtus d’une tenue de bagnards, liés, aux pieds, par des chaînes et des boulets.
L’image en dit long : vous vous êtes fait prisonniers, porte-parole d’un système dont le départ est réclamé, vous êtes jugés et condamnés pour cela. La caricature est également surmontée d’un écrit : «Dégagez!»
La pancarte circule au milieu d’autres affiches raillant l’actuel secrétaire général du FLN. «Tu es un apostat, tu t’es retourné contre ton Dieu», dit l’une d’entre elles. Son parti doit aller «au musée», scande la foule, doit disparaître tout comme le RND…
A. C.
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par Mahdi Boukhalfa
La grande muette vient de s’exprimer. Elle demande l’application de l’article 102. Depuis quelques jours, les appels qui demandaient au chef d’état-major, le général Gaïd Salah, d’intervenir pour éviter d’éventuels scénarios catastrophe pour le pays à travers le probable embourbement des manifestations populaires contre la poursuite du 4ème mandat du président semblent avoir été entendus. Les graves déclarations de l’ex-SG du FLN Amar Saadani sur un prétendu «Etat profond» qui gère dans l’ombre le pays, ses compétences et ses richesses ont-elles été le détonateur de cette réaction tout à fait respectueuse de la Constitution et des lois de ce pays du vice-ministre de la Défense ?A l’évidence, la position de Gaïd Salah est claire, car autant elle prend la précaution, pour faire partir Bouteflika, d’invoquer la Constitution pour réclamer l’application d’un de ses articles pour préserver le pays de quelques «parties hostiles qui usent de manœuvres douteuses pour attenter à la stabilité du pays», autant il reste droit dans ses bottes pour prévenir contre toute tentative de déstabilisation. Devant une situation politique qui s’acheminait inévitablement vers un bras de fer entre l’opposition, qui ne veut plus entendre parler de la «continuité» et du 4ème mandat, et le clan présidentiel soutenu par le FLN notamment, le vice-ministre de la Défense a tranché de la manière la plus logique et la plus intelligente en faisant appel à la loi fondamentale du pays. Cela préserve autant l’armée d’une quelconque velléité de s’emparer du pouvoir à un moment où le peuple est très échaudé contre le pouvoir, comme elle interpelle les politiques à prendre leurs responsabilités.
L’intervention de l’Armée nationale populaire confirme autrement que la situation interne du pays est arrivée à un point de non-retour et qu’il fallait donc intervenir pour épargner au pays des scénarios catastrophe. L’application de l’article 102 a été en fait revendiquée à plusieurs reprises depuis 2013 après l’AVC du président et sa candidature à un 4ème mandat avait atterré la classe politique nationale. ONG et partis d’opposition avaient entre 2014 et 2016 appelé, sans succès, à l’application de cet article de la Constitution. Et le vice-ministre de la Défense a rassuré par ailleurs l’opinion publique internationale et protégé le pays contre de possibles mauvaises interprétations en restant dans les limites sécurisantes de la Constitution, et donc ni «putsch» ni coup d’Etat, juste l’application de la Constitution.
Cette solution, le général Gaïd Salah a su l’exploiter pour maintenir non seulement l’Algérie loin de tous dérapages politiques, mais également pour contenir toute interprétation malintentionnée quant à l’invocation de l’article 102 par les «militaires». Et, dans son discours, Gaïd Salah a montré que l’ANP reste attachée aux lois de ce pays et qu’elle est leur premier rempart en invoquant cette «solution qui s’inscrit exclusivement dans le cadre constitutionnel qui constitue l’unique garantie pour la préservation d’une situation politique stable». Le reste, il appartient au Conseil constitutionnel de statuer sur cette solution et de convoquer les deux chambres du Parlement pour se prononcer. La balle est donc dans le camp du Conseil constitutionnel qui doit se réunir, constater la réalité de «cet empêchement par tous moyens appropriés» et proposer à l’unanimité au Parlement de déclarer l’état d’empêchement.
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Le Ministre de l'énergie Dona Jean-Claude Houssou a mis en service le mardi 26 mars à Gbéko, dans la vallée de l'Ouémé, des lignes électriques. Il était entouré pour la circonstance des députés et autorités de la localité ainsi que des cadres de son ministère. Les nouvelles lignes électriques mises en service fournissent de l'énergie électrique à sept (7) villages sur les huit (8) que compte l'arrondissement de Gbéko dans la commune de Dangbo.
Ce projet mis en œuvre par l'Agence béninoise d'électrification rurale et de la maîtrise d'énergie (Aberme), émane de la volonté du Chef de l'Etat de sortir de l'obscurité l'arrondissement Gbéko. « L'électrification de l'arrondissement de Gbéko est une promesse de campagne que le Chef l'Etat avait fait », a rappelé le Chef de l'arrondissement de Gbéko, Nicolas Houssou.
Estimé à 885 millions de francs CFA, l'ouvrage mis en service est composé de Long réseau HTA pur 18200m, Long réseau mixte 1400 m , Long réseau BT pur 9800 m , 2 transformateurs de puissance 100 KVA, 3 transformateurs de puissance 160 KVA, lampadaires 60. Il s'étend comme suit : La construction de ligne de traversée du fleuve Ouémé sur une longueur d'un kilomètre et la construction des réseaux de distributions électriques dans les localités de Seho, Agbanta et Gbéko centre, Dékangbo, Dankpo et Allawadan. A cela s'ajoute l'installation de 60 lampadaires publics a expliqué le Directeur général de l'Aberme, Francis Tchèkpo. « (…) l'objectif est atteint malgré les difficultés », a-t-il indiqué.
Pour lui, la construction de la ligne électrique traversant le fleuve Ouémé et l'implantation des poteaux électriques sans les ‘'grus'' ont été possibles grâce à la motivation de toutes les parties prenantes et la pression nécessaire du Ministre de l'énergie. Il a ajouté que « (…) C'est un challenge, un défi relevé. Il a fallu la volonté et l'engagement d'un homme pour que le projet soit réalisé ».
Mais la volonté des autorités de sortir l'arrondissement de Gbéko de l'obscurité ne s'arrêtera pas à la réalisation du projet. « Il y aura dans les jours à venir, le lancement des branchements promotionnels à coût réduit pour les habitants de Gbéko. Ceci, dans le but de permettre à toute la population de disposer de l'électricité à partir 86.000 Fcfa au lieu de 180.000 Fcfa, prix d'acquisition du compteur », a annoncé le Directeur général de la Sbee Laurent Tossou. « Le salaire du gouvernement pour avoir réalisé ce projet est votre adhésion massive à la campagne de branchement promotionnel qui va être lancé », a-t-il ajouté. Il a exhorté les populations à souscrire massivement. Avant de préciser que « (…) Le nombre espéré est de 25 mille abonnés ».
Pour sa part, le ministre Dona Jean-Claude Houssou espère que l'apport de l'énergie fasse rayonner la localité. « Je crois que dans quelques années, quand nous allons revenir ici, le village de Gbéko va changer littéralement et les habitants auront la joie de célébrer le passage d'un homme », a-t-il laissé entendre.
Au nom des populations, le maire de Dangbo, Mathias Kouwanou a dit toute sa gratitude au Président de la République et a demandé à ses administrés de prier pour lui afin qu'il puisse mettre en œuvre ses réformes pour le développement durable du Bénin. « Le Président Talon règle ses problèmes sans bruits. Il est concret et pragmatique. Il est le Président qu'il faut pour les Béninois », a-t-il fait savoir.
Il faut préciser qu'environ 1300 ménages seront impactés par la mise en service du réseau électrique de l'arrondissement Gbéko.
Marcel H.
Ironie du sort. Celui qui a fait du respect des échéances électorales presque un sacerdoce termine son long parcours présidentiel par une chute brutale, après un report anticonstitutionnel de l’élection présidentielle.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, devra quitter le pouvoir par la petite porte, poussé vers la sortie par une rue qui réclame son départ et celui du système depuis maintenant 46 jours. Ironie du sort, donc, pour celui qui a fait du respect des échéances électorales presque un sacerdoce et qui termine son long parcours présidentiel par une chute brutale, après un report anticonstitutionnel de l’élection présidentielle.
En effet, Il y a 46 jours, et contre toute logique et bon sens, Abdelaziz Bouteflika annonce, par le biais d’un communiqué rendu public sous forme de “Lettre aux Algériens”, son intention de briguer un nouveau mandat présidentiel malgré une santé chancelante. Puis, pour faire admettre cette option, le chef de l’État, ou ceux qui ont écrit la lettre en son nom, expliquait que c’était là “son ultime engagement” pour le pays. Il promet d’organiser une révision profonde de la Constitution pour aller à une deuxième République.
Mais ça ne passe pas.
Quelques jours plus tard, une grande manifestation se tient à Kherrata, dans la wilaya de Béjaïa, pour s’opposer à l’option d’un cinquième mandat. Sur les réseaux sociaux, des appels sont lancés pour des manifestations nationales contre la reconduction de l’homme, malade, pour un nouveau mandat à la tête de l’État. Le vendredi 22 février, les Algériens marquent à nouveau l’Histoire. Des millions de citoyens, tous âges et sexes confondus, sont sortis dans les rues, y compris dans la capitale, interdites aux manifestants depuis juin 2001, pour dire à l’unisson : “Non au cinquième mandat.” Le mur de la peur est brisé. Et les Algériens surprennent le monde entier par le sens civique et pacifique de ces manifestations. Le pouvoir vacille, mais résiste.
Le Premier ministre d’alors, Ahmed Ouyahia, réagit 5 jours plus tard. Devant les députés qui devaient débattre de sa déclaration de politique générale, le Premier ministre, d’habitude offensif, a le verbe hésitant.
Il met en garde contre la reproduction du scénario syrien. Mais cela ne prend pas. Le vendredi d’après, beaucoup plus de manifestants sont sortis dans la rue pour réclamer le départ d’Abdelaziz Bouteflika, qui se trouvait, depuis le dimanche 24 février, en Suisse pour des soins, officiellement pour des contrôles médicaux. Ces manifestations n’ont pas dissuadé le pouvoir d’aller dans sa logique d’imposer un homme malade à la tête de l’État. Le 3 mars, dernier jour légal pour le dépôt des dossiers de candidature à l’élection présidentielle, le nouveau directeur de campagne du candidat Bouteflika dépose le dossier du chef de l’État.
Le dossier est accompagné d’une lettre attribuée à Bouteflika où il s’engage à organiser une élection présidentielle anticipée s’il était élu et qu’il s’engageait à ne plus se représenter. Pas convaincant. La rue dit, une nouvelle fois, non. Pendant ce temps, l’armée, dont le chef s’est exprimé plusieurs fois, change de ton. Après avoir menacé les “égarés”, Ahmed Gaïd Salah se met, désormais, à évoquer la fraternité qui existe entre le peuple et l’armée. Il n’a pas désavoué le chef de l’État, mais il y allait progressivement. La semaine dernière, il évoquait “l’existence de solutions”. C’était un pas de franchi vers ce qui allait suivre.
La promesse de Bouteflika ne passe pas. Le 8 mars, des millions d’Algériens sortent de nouveau. Ils refusent les propositions du pouvoir et demandent le départ du système. De retour de Suisse, Abdelaziz Bouteflika annonce, le lundi 11 mars, avoir renoncé à briguer un mandat présidentiel et promet une période de transition avec l’installation d’une Conférence nationale inclusive.
Il annule l’élection présidentielle, renvoie Ahmed Ouyahia et nomme Nouredine Bedoui comme Premier ministre, avec Lamamra comme adjoint et ministre des Affaires étrangères. Mais cela est perçu comme une nouvelle ruse du chef de l’État qui veut “poursuivre sa présidence sans élection”.
La rue ne décolère pas, et des millions d’Algériens sont encore sortis deux week-ends de suite. Ils sont rejoints par toutes les catégories de la société, y compris par les juges qui réclament une indépendance de la justice.
Hier, de la wilaya d’Ouargla, le chef d’état-major de l’ANP tranche. Il réclame l’application de l’article 102 de la Constitution. Il met fin au règne de Bouteflika.
Ali Boukhlef
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A. Zerzouri
Une convention cadre de coopération et d’intégration a été signée, hier, entre le recteur de l’université Constantine «3» « Salah Boubnider » et le PDG du groupement GICA, filiale ciment de «Hamma Bouziane».
Cette convention vise une ouverture de l’université sur l’environnement économique et social, où les stages et la formation constituent l’axe principal, relèvera le recteur Ahmed Bouras. Ajoutant que la signature de cette convention répond également au souci de coopération entre le groupement de Ciment de «Hamma Bouziane» et l’université Constantine «3», et constitue une bonne opportunité pour les enseignants, les étudiants et les chercheurs. Ces derniers peuvent dans ce cadre bénéficier de stages et de formation pratique au sein de cette entreprise publique. « C’est également une occasion d’ouverture sur l’environnement économique et social de nos différents instituts et facultés, que nous espérons enrichissante », dira-t-il en marge de la signature de la cérémonie de signature de cette convention.
En tout cas cet accord cadre, vient donner corps à la dynamique des recherches, qui sont menées actuellement dans les différentes spécialités, dont dispose l’université, à savoir l’environnement, la pollution et la gestion des déchets, ainsi que la promotion d’une économie « propre et équilibré ». D’autant que la convention cadre en question est axée sur le traitement des problèmes liés à la protection de l’environnement, très bénéfique pour les étudiants et chercheurs de l’institut de gestion des techniques urbaine, qui dispense déjà une formation en Master dans le domaine de la gestion des déchets.
Pour sa part, le PDG du groupement GICA filiale Ciment Hamma Bouziane relèvera que « on prévoit d’aller vers la signature d’annexes de cet accord, cibler des thèmes de recherches qui peuvent être bénéfiques pour l’entreprise et l’université ». Ajoutant dans ce sillage que le groupement a toujours privilégié cette relation entre la recherche et la pratique, citant à l’exemple qu’une centaine d’étudiants ont été encadrés entre 2017 et 2018 au sein de l’entreprise.
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Par K. Assia
Une quantité de 13,254 kg de bijoux en or a été saisie, avant-hier, par les agents de l’inspection principale des visites de voyageurs à l’aéroport international Ahmed Ben Bella, a indiqué M. Zaoui, responsable du département de la communication et de l’informatique à la direction régionale des douanes d’Oran.
Cette quantité d’or non déclarée a été découverte dans deux bagages à main que le propriétaire avait abandonnés avant de passer au contrôle douanier. Il s’agit d’une infraction à la législation des changes réprimée par l’ordonnance 96-22 relative à la répression de l’infraction à la réglementation des changes, souligne la même source. La valeur de la marchandise sur le marché national est de 79 millions de dinars.
Les douaniers ont confisqué les bijoux et des pénalités encourues dans le cadre de cette affaire sont de l’ordre de 159 millions de dinars. Le mois dernier, quelque 430 g de bijoux en or ont été découverts chez un ressortissant indien lors du traitement des passagers en provenance d’Istanbul via le vol Turkish Airlines.
L’administration douanière a mis des dépliants à la disposition des passagers pour les renseigner sur le seuil des bagages autorisés et surtout sur les produits prohibés à l’importation et à l’exportation en plus des marchandises devant être déclarées, à l’exemple des bijoux et des devises.
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Ali Ghediri ancien candidat aux élections présidentielle s’exprimé dans une déclaration à TSA, sur la décision émise par le chef de l’état major hier, 26 mars, après-midi concernant l’application de l’article 102 de la constitution algérienne. « Le chemin le plus court au point où en sont les choses, c’est le passage par l’article 102. Mais à lui seul, il ne peut pas régler le problème. Il a le mérite de placer les choses dans leur contexte constitutionnel mais il est loin de répondre aux demandes de l’opposition, du peuple ou du pouvoir. Il faut donc accompagner l’application de cet article par des mesures. Il faut pousser le président de la République à la démission pour faire l’économie des 45 jours » la période durant laquelle le président du Conseil de la nation assura les affaires de l’Etat. Il ajoute « il faut voir avec les juristes pour essayer, dans la mesure du possible, de trouver un artifice juridique pour considérer le retrait du président de la course électorale comme une démission. Là, on gagnerait une vingtaine de jours. C’est pour réduire la période séparant entre le départ du président et la tenue de l’élection présidentielle. »
M.A.Y
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Le Hirak, la contestation ou le mouvement populaire, la claque qui a réveillé les Algériens d’un sommeil de deux décennies à dire plus, de cinq décennies, a causé la panique de plus d’uns. Et comme une cuillère de somnifère qui se dirige vers le peuple en simulant des agitations d’avion afin de ruser le bébé réveillé, Le Hirak attire de plus en plus de monde.
Et même si ce dernier se fait dans la rue et en plein air, ses portes ne sont pas ouvertes à tous. C’est soit on y soit on y pas, les dernier convertis ne sont pas les bienvenus, pourquoi ? Parce que la mémoire algérienne n’oublie pas aussi facilement que ça. Pour le rejoindre, il ne suffit pas de faire une apparition télé, lire un discours de quelques pages croyant ainsi supprimer et mettre à la poubelle tous les anciens discours du « Rêvez toujours », « vous voulez allumer la fitna.», « vous allez finir comme la Syrie». Le peuple Algérien n’oublie pas, sa confiance ne se vend pas ainsi, on ne peut pas le mépriser aujourd’hui et le glorifier le lendemain.
Après avoir détruit l’Algérie sur plusieurs plans: économique, culturel et social, le clan présidentiel met la main dans la poche en essayant d’acheter l’opinion publique, ou essayant de s’acheter une virginité, se débarrasser de tous les actes anticonstitutionnels commis auparavant, croyant ainsi que la conscience du peuple est similaire à une somme d’argent corrompue facile à blanchir.
Par principes, prudence ou paranoïa le peuple réponds : les jambes ne lâcheront pas, les plumes ne sécheront pas, la voix ne rouillera pas. Le nouveau maître, le Peuple, ne veut pas de vous.
M.A.Y
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Le programme officiel des obsèques du regretté Mgr Paul Kouassivi Vieira est connu. L'enterrement de l'évêque de Djougou est prévu pour le mercredi 3 avril 2019.
Décédé le jeudi 20 mars dernier, à Rome (Italie) des suites d'une maladie, le corps de Mgr Paul Vieira sera accueilli le samedi 30 mars 2019 à l'aéroport international Bernardin Gantin de Cotonou. Après différentes célébrations eucharistiques corps présent, en l'église Saint Michel de Cotonou, à Agoué, à la cathédrale de Lokossa, il sera accueilli dans son diocèse le dimanche 31 mars 2019 pour être enterré à la cathédrale de Djougou le 3 mars 2019.
Toute la communauté chrétienne est appelée à rester de union de prières pour le repos de l'âme de l'évêque qui a servi le diocèse de Djougou pendant 24 années.
Que l'âme de Mgr Paul Kouassivi Vieira repose en paix.
G.A.
SAMEDI 30 MARS 2019
07H00 : Accueil de la dépouille mortelle à l'aéroport de Cotonou
09H00 : Messe à l'église Saint Michel de Cotonou
13H30 : Départ pour Agouè
15H00 : Arrivée à Agouè
Passage dans la maison paternelle.
16H00 : Départ pour l'église d'Agouè
17H00 : Messe à Agouè
19H00 : Départ pour Lokossa
21H00 : Veillée à la Cathédrale de Lokossa.
DIMANCHE 31 MARS 2019
05H00 : Office des défunts
05H30 : Départ pour Djougou
13h30 : Accueil à Wèwè, à l'entrée du diocèse de Djougou
14H00 : Absoute à Wèwè
15H30 : Départ pour Djougou
Du dimanche 31 mars au mardi 02 avril 2019 : Programme spécial pour le diocèse de Djougou
MARDI 02 AVRIL 2019
21H00 : Messe veillée
23H00 – 05H00 : Veillées
MERCREDI 03 AVRIL 2019
08H00 : Office des défunts par les prêtres et les religieuses
08H30 : Départ pour le stade de Djougou
10H00 : Messe de requiem présidée par Son Excellence Mgr Brian UDAIGWE, Nonce Apostolique au Bénin.
L'homélie sera assurée par Son Excellence Mgr Clet FELIHO, Evêque de Kandi.
L'Absoute sera présidée par Son Excellence Mgr Victor AGBANOU, Président de la CEB.
L'inhumation à la Cathédrale de Djougou sera présidée par un Evêque.
REQUIESCAT IN PACE
Par Yazid Alilat
L’industrie de la céramique algérienne se porte «mieux», après une année 2018 «très perturbée», a déclaré hier mardi le président de l’association algérienne des céramistes Bouderba Mohamed Moncef. Il a expliqué à la radio nationale que «nous avons eu cependant gain de cause et on a réussi à convaincre le ministère du bien fondé de notre démarche, et rétablir les choses dans l’intérêt du pays, honorer les engagements du gouvernement dans la commande publique, et le programme logements du président». Malgré les difficultés, «nous avons atteint nos objectifs en 2018», avec la réalisation de 150 millions de m² de produits, et «notre secteur est devenu une source d’approvisionnement en devises pour le pays», a expliqué M. Bouderba selon lequel «nous avons le potentiel et la technologie.
On est donc revenu à la normalité dans le fonctionnement et on va reprendre les investissements, le transfert de technologie et la création de l’emploi». Début 2018, le ministère du Commerce avait interdit l’importation de près de 871 produits, dont ceux entrant dans la matière première pour la fabrication des produits en céramique, une décision contestée par les professionnels du secteur, d’autant qu’elle allait obliger une cinquantaine de petites unités de production à mettre la clé sous le paillasson, faute de matière première. Mais, le problème a été réglé par la suite, le ministère du Commerce ayant octroyé au secteur une licence d’importation de la matière première pour la production céramique.
«Nous n’importons que 5% de notre produit», explique M. Bouderba. «Je souhaite que le gouvernement tienne ses engagements, pour la commande publique, et dans 24 à 36 mois, le programme du gouvernement va tirer à sa fin, et donc dans trois ans, on va se retrouver en excédent de production», explique par ailleurs le président de l’association algérienne des céramistes, selon lequel «on va encourager la mise en place d’un programme d’exportations». «Si on place 10 à 15 % de la production, soit 20 millions de m² à l’export, ce sera une source de devises appréciable pour le pays. C’est notre stratégie à l’export vers les pays africains et du Moyen Orient», a-t-il dit, relevant qu’ «il y a des ouvertures intéressantes en Afrique».
M. Bouderba a affirmé d’autre part que «le produit céramique algérien est aux normes internationales, car nos équipements le sont. Il y a également les bons produits comme la matière première disponible en Algérie, et nous avons d’excellents contacts à l’étranger pour améliorer la qualité de la matière première, que nous importons de l’étranger, qui nous permet justement d’aller sur les marchés internationaux et d’honorer nos engagements», explique t-il. Quant au taux d’intégration, il est de «95%», a-t-il indiqué, avant de relever que «la qualité aujourd’hui est fondamentale».
Pour autant, le président des céramistes algériens rappelle qu’il y a toujours des problèmes pour les opérations de commerce extérieur, notamment celui de «la garantie bancaire, que l’Etat doit mettre en place». «Ce problème est un handicap», a-t-il affirmé. «Ils ont décidé de créer des banques algériennes à l’étranger, mais il fallait réfléchir au dispositif juridique légal à mettre en place, car il faut protéger l’opérateur algérien, et là où il va : il faut protéger sa transaction financière et sa transaction commerciale». Pour lui, «il y a un travail à faire pour les ministères des Finances, de la Justice et du Commerce pour les garanties d’assurance de transport de marchandises.
Il faut que la banque centrale nous donne les moyens de nous installer à l’extérieur, pour ouvrir des marchés et être compétitifs». En outre, «il faut que le gouvernement algérien nous accompagne et nous fasse confiance, qu’il nous donne les moyens et mette fin au sentiment de suspicion à l’endroit des industriels nationaux», souligne t-il encore. Pour 2019, «nous avons des projections de production de 160 millions de m²», annonce M. Bouderba, qui a indiqué que «nous sommes devenus une moyenne puissance importante de la céramique en Méditerranée, et donc le pouvoir doit changer son regard sur nous et prendre en considération ce que nous proposons». Jusqu’en 2017, le secteur a énormément souffert de la concurrence du produit espagnol, avec des importations algériennes estimées à 123,4 millions d’euros en 2017, avant l’interdiction de l’importation des produits espagnols décidée par l’ex-ministre du Commerce Abdelmadjid Tebboune en 2018.
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Maghreb Emballage, un des leaders algériens du secteur de la fabrication et de la transformation du carton ondulé participe au salon pack expo 2019, le salon de toutes les nouveautés en emballage, processing, print et manutention dont la première édition a lieu à ORAN du 27 au 30 Mars 2019, l’entreprise dévoile dans le cadre de cet évènement les innovations majeures déjà réalisées et en cours dans le domaine de la production d’emballage en carton ondulé, d’emballages spéciaux destinés à la conservation et stockage des produits agroalimentaires, du stockage à basse température et d’emballage répondant aux normes internationales liées à ce secteur dans l’export afin d’accompagner au mieux les entreprises locales dans leurs activités
Les collaborateurs experts en partenariat avec le groupe SAICA en matière première, BHS et BOBST en équipement, s’adaptent à toutes les demandes, grâce à un savoir-faire reconnu depuis des décennies; Une fois la meilleure solution technique et le volume des conditionnements sont clairs et identifiés , ceux-ci sont personnalisés selon la demande du client,
« Nous sommes aujourd’hui en pleine phase d’investissement et d’expansion pour nous améliorer encore et toujours dans nos activités » – Abd Samed Mered, P-DG de l’entreprise Maghreb Emballage.
Pour rappel Maghreb Emballage compte actuellement plus de 500 salariés répartis sur 3 sites de production sur une surface de 5 hectares à Oran avec une capacité de production de plus d’un million de caisses par jour et autant de plaque pour les transformateurs.
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