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Afrique

Manifestantes déshabillées au commissariat: Mohcine Belabbes exige l’ouverture d’une enquête !

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 23:19

Dans une publication Facebook, le président du RCD, Mohcine Belabbes, exige l’ouverture d’une enquête concernent l’interpellation des militantes qui ont été déshabillées dans un commissariat à Beraki (Alger)

« L’arrestation des policiers impliqués et leur présentation devant la justice ne suffira pas parce que cela n’est pas seulement une atteinte à la dignité des militantes. puisqu’il s’agit d’une sorte de torture. Un message à travers lequel on veut humilier le peuple tout entier  » a-t-il écrit.

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Le RCD boycotte la présidentielle !

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 22:22

 Les élus du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) ont annoncé, dimanche, leur refus pour « l’organisation et l’encadrement » de l’élection présidentielle prévue le 4 juillet, indique un communiqué de cette formation politique.

Le Bureau national des élus progressistes du RCD « renouvelle le refus collectif et catégorique de tous ses élus pour l’organisation et l’encadrement » de cette élection, et ce sur l’ensemble des Assemblées populaires communales (APC) gérées par le parti, précise le communiqué.

« Conscients de cette responsabilité historique et, déterminés à accompagner le mouvement populaire et à honorer le mandat municipal, les élus progressistes du RCD continueront leur combat pour honorer la confiance de nos concitoyens », souligne la même source.

Depuis le 22 février, l’Algérie vit une « éclosion démocratique qui fait l’admiration des forces progressistes du monde entier », ajoute le RCD, soutenant qu' »avec la démission du chef de l’Etat, l’opinion publique était en droit d’attendre du pouvoir de fait, une feuille de route qui restitue au peuple Algérien son droit à diriger une transition de rupture par des représentants et des mécanismes de son choix ».

Il est à rappeler que le RCD avait obtenu 37 APC lors des élections locales de novembre 2017.

APS

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Les étudiants donnent carte blanche à Gbadamassi et Adambi

24 Heures au Bénin - Sun, 04/14/2019 - 22:00

Le député Rachidi Gbadamassi et le ministre des mines, Samou Séïdou Adambi étaient à l'Université de Parakou ce samedi 13 avril 2019 pour la campagne pour le scrutin législatif du 28 avril prochain. Vénus nombreux à cette rencontre, les étudiants n'ont pas marchandé leur soutien à ces deux leaders du Bloc Républicain de la 8ème circonscription électorale. Ils ont réaffirmé leur détermination à les accompagner jusqu'à la victoire au soir du 28 avril.
Avant l'étape de l'Université, l'équipe de campagne du Bloc Républicain était au contact des élus locaux de la commune de Parakou.
F. Aubin AHEHEHINNOU

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Mascara: Des lycéens ont fermé le tronçon de la RN 14 !

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 21:47

Les lycéens de la commune de Zelamta dans la wilaya de Mascara ont fermé le tronçon de la RN 14 reliant leur commune à celle de Takhemaret (wilaya de Tiaret) pour faire entendre leur voix auprès les autorités locales.

Selon le quotidien El Watan, la mairie de Zelamta ne compte que six autobus destinés au ramassage scolaire. La majorité ou la quasi-majorité sont dans un état lamentable. À cause des pannes récurrentes des bus, seuls trois ou quatre autobus assurent quotidiennement le transport, dans des conditions qui ne peuvent être décrites, de plus de 300 lycéennes et lycéens vers leur lycée à Hachem.

Un parent d’élève a déclaré à El Watan « Les bus sont souvent surchargés. Le nombre des lycéens dans chaque bus dépasse les 60. C’est injuste de parcourir plus de 25 km aller-retour dans des conditions délicates. En plus, nos enfants arrivent souvent en retard en cours. les conditions déplorables dans lesquelles sont transportés les lycéens ont encouragées le phénomène de la déperdition scolaire dans la localité de Zelamta et autres douars limitrophes. »

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Hania Chabane: « Une policière nous a demandé de nous déshabiller complètement » (MAJ)

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 20:58

MAJ: Hania Chabane nous a contacté et expliqué que l’expression « yetnahaw GAA3 » c’était de l’humour et que la policière en question n’a pas tenu ce propos par contre elle lui a demandé de se déshabiller complètement.

Les militantes du MDS et du RAJ qui ont été interpellées à la grande poste d’Alger, le samedi 13 avril, ont été obligées de se dénuder pour subir une fouille au commissariat de Baraki !

Le journaliste, Samir Larabi, a réagi à cet acte barbare dans une vidéo publiée sur son compte Facebook où il fait savoir que » les éléments de la police ont dénudé les quatre militantes comme au jour de leur naissance. Ces pratiques déraisonnables étaient destinées à intimider les militantes »

La militante du MDS, Hania Chabane, l’a confirmée dans une déclaration au HuffPost Algérie, elle a indiqué avoir été obligée de se dénuder et de ne garder que les sous-vêtements inférieurs pour subir une fouille de la part d’une policière.

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Soufiane Djilali : »La police de Baraki a commis une abjecte vilenie en s’attaquant à l’honneur des femmes »

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 20:49

Soufiane Djilali, président du parti Jil jadid, a condamné fermement, sur sa page Facebook, les traitements “dégradants” contre les militantes du MDS et de RAJ, arrêtées lors d’une manifestation à Alger, le samedi 13 avril. Il a interpellé le Premier Ministre, le Ministre de l’Intérieur et le DGSN de radier immédiatement les policières ayant commis cet acte barbare.

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Mauritanie : pénurie de carburant à Zouerate

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 04/14/2019 - 20:40
Saharamédias - La ville de Zouerate connait depuis hier une pénurie de carburant après que la réserve de la ville se soit épuisée du fait...
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Ould Maouloud visite le quartier paupérisé de Lemgheity et promet d’améliorer les conditions du citoyen

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 04/14/2019 - 20:32
Alakhbar – Le candidat à l’élection présidentielle 2019 et président de l’UFP Mohamed Ould Maouloud a effectué, en compagnie de plusieurs...
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Ghazouani: la visite m’a édifié sur les conditions de vie des citoyens

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 04/14/2019 - 20:29
Esssahraa - La tournée que j’ai effectuée à 36 moughataas m’a permis de m’enquérir sur les problèmes rencontrés par les citoyens et de...
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Le wali de Tipaza attribue un bien d’état qui devait être aménagé en salle de sport à un entrepreneur !

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 20:25

Lors d’une visite de travail à Cherchell, l’ex. Chef de daïra, Moussa Ghelaï avait décidé d’aménager un hangar de 800 m2 en une salle de sport pour accueillir les jeunes de la région. 

Contre toute attente, le nouveau wali, Bouchemma Mohamed, ordonne le traitement du dossier  du hangar sans consulter les autorités locales, pour donner son accord à la sarl Césari, afin de réglementer l’attribution de ce hangar au jeune Abdelhak  S, pour le transformer en un centre commercial, situé en plein centre ville de Cherchell.

En plus de tout ça le bénéficiaire Abdelhak S, s’est  vu attribuer par l’administration complice de la wilaya de Tipasa une terre agricole d’une superficie avoisinant les 05 ha dans la commune de Ahmeur-El-Ain, selon le registre des actes administratifs de 2014. L’acte de concession porte la référence 632.

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Le parti Tewassoul justifie à ses militants le choix du candidat O. Boubacar

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 04/14/2019 - 20:22
Saharamédias - Le parti Tewassoul a dépêché certains de ses dirigeants à l’intérieur du pays afin d’explique à ses militants les raisons...
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Le Procureur échange avec les OPJ sur les infractions en période électorale

24 Heures au Bénin - Sun, 04/14/2019 - 20:01

Le Procureur de la République près le Tribunal de première instance de première classe de Cotonou, Mario Elonm Mètonou a tenu le vendredi 12 avril 2019, jour du démarrage de la campagne électorale, une rencontre avec les officiers de police judiciaires en charge des commissariats des 13 arrondissements de Cotonou et des Unités spécialisées de la Police Républicaine de la ville de Cotonou. Encadré de ses substituts, le procureur s'est entretenu avec les hommes en uniforme sur les infractions en période électorale et les stratégies à mettre en place en vue de la préservation de la paix.
Le Procureur de la République, Mario Elonm Mètonou a relevé l'importance de la tenue de cette rencontre qui intervient à une période sensible du fait de la tenue des élections législatives le 28 avril prochain. D'après lui, ces élections les mettent face à leurs responsabilités d'hommes de lois et d'agents de l'ordre public.
La réunion a pour but d'échanger sur les dispositions légales et pratiques qui sont déjà prises et celles à envisager pour sortir de ces élections sans anicroche.
Le procurekur indique que les hommes en uniformes et ceux chargés de l'application des lois de la République ont le devoir de se serrer les coudes en vue de la réussite de leurs missions.
Antoine Abévi, le 3ème Substitut du Procureur de la République a exposé les infractions avant l'ouverture et pendant la campagne électorale.
Avant l'ouverture de la campagne électorale, les infractions sont entre autres : la propagande pouvant influencer ou tenter d'influencer le vote 06 mois avant tout scrutin et jusqu'à son terme, l'utilisation des moyens, biens de l'Etat ou des sociétés, offices et institutions d'État à des fins de propagande pendant la période interdite.
Selon Antoine Abévi, lors de la campagne électorale, aux heures de service, il est interdit à tout agent public de distribuer des bulletins, circulaires ou autres documents de propagande et de porter ou d'arborer des emblèmes ou des signes distinctifs des candidats au cours de ses heures de service, la corruption active ou passive au vote ; l'empêchement de faire campagne ; la propagande anti-vote, les manifestations culturelles ou traditionnelles publiques restrictives des libertés pendant la période électorale, le soutien électoral par un agent chargé d'un Ministère de service public, le soutien électoral par autorités non élues de l'administration territoriale et enfin le dépassement des dépenses de campagne.
Quant aux infractions pendant les élections, le magistrat Antoine Abévi a mentionné l'omission de retrait des objets de propagande dans les délais légaux avant le vote, le retard ou empêchement des opérations de vote, le retard dans le démarrage du scrutin par membres Cena ou membres poste de vote, l'omission de réception des réclamations par le président de poste de vote et enfin la soustraction ou détournement de suffrages.
Les infractions élections sont entre autres : le remplissage des procès-verbaux de déroulement du scrutin et feuilles de dépouillement, le défaut de signature des procès-verbaux de déroulement du scrutin et feuilles de dépouillement, la délivrance de procès-verbaux de déroulement du scrutin et/ou de feuilles de dépouillement non conformes aux résultats du scrutin, la falsification des résultats électoraux, l'enlèvement ou destruction des procès-verbaux ou de tous documents électoraux, la transmission tardive de cantines des résultats de scrutin à la Cena et enfin le défaut de dépôt de compte de campagne.
Selon le magistrat, ces infractions sont punies à des peines d'emprisonnement ferme, des amendes voire une inéligibilité sur une période donnée.
Selon le Directeur départemental de la Police Républicaine, Sédou Houndé toutes les dispositions sécuritaires sont prises pour le bon déroulement des prochaines élections législatives.
Invitant les officiers de police judiciaire à œuvrer pour la préservation de la paix, le Procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Cotonou, Mario Elonm Mètonou a informé que le parquet de Cotonou sera ouvert même les week-ends pour la bonne tenue des élections.

Akpédjé AYOSSO

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Le Premier secrétaire du FFS démissionne !

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 19:37

Le secrétaire national du Front des Forces Socialistes (FFS), Hakim Belahcel a annoncé sur son compte Facebook sa démission de son poste.

Hakim Belahcel a écrit, dans une lettre adressée aux militants « Pour empêcher de ternir d’avantage la réputation de notre cher parti et non pas parce que ma nomination fut frappée d’une quelconque entorse juridique ou statutaire, puisque je rappelle que je suis nommé dans le cadre de la collégialité et fort de l’appui de trois membres sur cinq qui composent l’instance présidentielle du FFS .  C’est une décision irrévocable ! J’ai pris cette décision, dénuée de toute contrainte ou de pression afin de préserver l’unité du parti et d’éviter l’irréparable à ses militants « .

« Malheureusement arrivé à une situation dramatique, voir chaotique ! C’est un constat amer mais combien, réel.Dieu m’est témoin, que durant mon exercice à la tête du secrétariat national, limité soit-il, et avant cela en ma qualité de chef de cabinet de l’instance présidentielle et membre du comité éthique et du conseil national, j’ai consacré énormément de temps et d’énergie afin de contenir cette crise interne à plusieurs origines .Une crise qui couvait au sein de notre formation politique en sourdine, depuis maintenant, plusieurs années « a-t-il ajouté.

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Rassemblement contre l’interdiction de manifester à Alger ! [vidéo]

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 19:25

Une dizaine de manifestants se sont rassemblés à la place D’émir Abdelkader à Alger pour protester contre l’interdiction de manifester dans les lieux publics.

Les forces de l’ordre ont arrêté plusieurs militants quelques minutes après le début du rassemblement .

Changement de lieu de protestation à la dernière minute pour échapper à la surveillance policière.
Direction place de l’émir AbdelKader.
Protestation contre l’interdiction de manifester dans les lieux publics en dehors du vendredi.#Algerie #الجزائر #الشعب_الجزائري pic.twitter.com/c2G0WVSIBc

— Mahrez Rabia (@mahrezrabia) 14 avril 2019

Arrestation de ahcene Kadi à l’instant La répression continue,
5 minutes après le début de la protestation, les forces de l’ordre s’adaptent au nouveau lieu de manif.
Arrestation de plusieurs militants, hélas, pas assez nombreux pour résister.#Algerie #الحراك_الشعبي #الجزائر pic.twitter.com/vMEIfnwiSF

— Mahrez Rabia (@mahrezrabia) 14 avril 2019

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Nacer Bouteflika toujours en poste !

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 19:17

Contrairement à ce qui a été écrit à son sujet, notamment sur les réseaux sociaux, Nacer Bouteflika, le frère du président de la République sortant Abdelaziz Bouteflika, est toujours en poste au ministère de l’Enseignement et de la Formation professionnels. De source sûre, nous avons appris qu’il n’a en rien changé ses habitudes et qu’il travaille normalement.

La démission, de la manière qu’on sait, de son frère de la magistrature suprême n’a pas déteint sur son vécu professionnel.

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Hommage à une jeunesse à l’avant-garde de la révolution

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 19:07

Gardons ceci en mémoire :

Ce mouvement citoyen sans précédent doit une partie de son éclosion à une jeunesse laissée pour compte qui, pendant de très longues années, n’a eu que les stades et le foot comme exutoires.

Au-delà de tous les sobriquets dont elle est notoirement affublée, cette jeunesse dont certains d’entre nous font partie et que d’autres croisent dans la rue, le triste qualificatif qu’elle a reçu sans le vouloir, c’est « 3raya » (des voyous – en algérien dans le texte).

De grâce, ne prononçons plus jamais ce mot sans nous arrêter sur le moteur de la cassure, sans nous interroger sur la mécanique de la désunion et quel carburant l’alimente à notre insu. Pourquoi cette jeunesse qui regorge d’énergie et de citoyenneté est-elle ce qu’elle est ? L’a-t-elle ouvertement sollicité ? Le destin a-t-il frappé à la porte de chacun pour lui demander de choisir d’être un 3aryane ou pas ?

Je ne souhaite pas être dans l’émotion ‘excluante’, ni encore moins dans l’excès grotesque de repentance. Bien sûr il y a parmi ceux-là comme parmi d’autres certains qui arrachent des téléphones et prennent la fuite, certains qui insultent des filles gratuitement et impunément, et bien d’autres choses encore. Mais pourquoi ? Et comment ? Qu’est-ce que cela cache ? De quelle dure réalité sociale et de quelle désolante politique éducative tout cela est le résultat ? Peut-on au moins se donner la peine de réfléchir un instant ? Chercher le pourquoi des choses au lieu de se contenter d’un adjectif vaguement formulé pour indiquer une virtuelle partie du monde habitée par ces autres, là, tout près mais séparément ?

Je suis honteux du peu de fois où il m’est arrivé de dire ou de penser ce mot à propos d’une personne, simplement parce qu’elle est habillée d’une certaine façon, simplement parce qu’elle habite un certain quartier, ou simplement parce qu’elle a certaines manières de se tenir. Je suis également honteux de devoir écrire cela, de devoir m’expliquer en mon nom et sans doute au nom de beaucoup d’entre vous qui auront l’humilité de l’aveu et non pas la suffisance du rejet. Je m’en veux de devoir écrire cela, car je m’efforce de mettre des mots sur une supposée altérité dont les symptômes ne sont que des taches féroces sur la façade de ce qui aurait dû être tolérance et fraternité.

Comme s’il existait moi, et puis cet autre que je ne suis pas.

Pourtant je le suis aussi, moi, un voyou ; un 3aryane. Je suis un voyou qui n’a pas réussi à l’être, un 3aryane raté qui n’a suivi le cursus de la rue que par intermittence. Je suis un voyou que le hasard fantasque a fait naître un peu plus loin mais dans la même ville que les autres. J’ai manqué de peu d’être parmi vous, mes chers frères de sang et de terre. J’ai manqué de peu de mériter autant que vous cette douce appellation de « voyou ».

À présent je suis à la traîne, derrière vous qui menez une marche qui a pourtant germé dans mes tripes autant qu’elle a germé dans les vôtres. Mais je vous suis avec assurance et respect, et j’aurais au moins rattrapé quelque chose de mon échec en récitant par cœur et sans balbutier les hymnes nouveaux que vous avez fait descendre dans la rue. Moi aussi j’en ai le cœur qui vibre et le corps qui tressaillit, quand je crie les mêmes refrains que des milliers d’autres autour de moi.

Moi aussi, sa3et el f’jer ou ma ijini noum. Car je pense à cette Algérie qui n’en finit pas de naître et dont les gémissements nous serrent l’estomac et nous montent brûlants à la gorge. La gestation a été longue et la naissance a pris du temps, car les uns pensaient pouvoir vivre l’Algérie sans les autres, et inversement. Maintenant que nous avons arraché la paternité à ceux-là qui d’en haut croyaient pouvoir nous duper indéfiniment, nous avons enfin compris que nous devons la vivre ensemble cette Algérie, que seule l’union rendra possible l’enfantement.

Larbi Amine Lamellad

Les opinions et contributions publiées sur Algérie36 ne reflètent pas la position de notre rédaction.

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Retour sur un vendredi de violences contre les manifestants : Lacrymogènes, démentis de la DGSN et témoignages à charge contre ses flics

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 16:47

Fayçal Djoudi

La DGSN n’a peut-être jamais publié autant de communiqués en une seule journée que durant celle du vendredi 12 avril.

Ses services ont, en effet, diffusé au moins six bulletins, dont deux à usage de bilans et un seul pour indiquer que son directeur, Abdelkader Kara Bouhadba, s’était déplacé, en compagnie du wali d’Alger Abdelkader Zoukh, à l’hôpital de police des Glycines pour s’enquérir de l’état de santé des policiers blessés lors des «violences et des destructions» qu’a connues Alger au rond-point de convergence de la rue Didouche et du boulevard Mohamed V. Les termes de «violences» et de «destructions» sont inscrits dans le dernier communiqué de la Dgsn et diffusé par l’APS à 23h20. Ils accompagnent un bilan qui fait seulement état du nombre de policiers blessés – 83 agents – et celui des 108 personnes interpellées durant les échauffourées.

Un bilan qui ne fait pas mention des manifestants blessés, les ministères de l’Intérieur et de la Santé ayant été significativement absents dans ce domaine, et les secouristes bénévoles, dont ce n’est pas la préoccupation, s’étant contentés de faire leur travail et de laisser les réseaux sociaux le relayer. Ce qui fait surtout polémique, car pour la Dgsn les débordements et l’usage de la violence spectaculaire par ses agents à place Audin et dans le tunnel des facultés étaient une réplique à une provocation fomentée par des personnes venues spécialement pour en découdre.

Selon des témoins dont des journalistes, la Dgsn n’a pas restitué la vérité des faits lorsqu’elle a indiqué dans un communiqué, repris par l’APS à 22 heures 07, que ses agents n’ont pas utilisé de gaz lacrymogènes, comme il est mentionné dans le communiqué, selon lequel «les forces de la police ont fait barrage à un groupe de manifestants ayant subitement adopté un comportement agressif au niveau du tunnel des facultés, en recourant à des fumigènes et des pétards». La même source a ajouté que les éléments blessés de la police ont été «victimes de jets de pierres et d’objets tranchants par des délinquants au niveau du boulevard Mohamed V et Alger-Centre», ajoutant que «plusieurs véhicules de la Dgsn ont été saccagés».

«Ils ont réagi à coups de lacrymogènes», témoignera, par contre, un journaliste se trouvant sur place au moment du dérapage. Selon ce journaliste, «des flics ont volontairement et abusivement chargé des manifestants, dont des femmes, des personnes âgées et des enfants. Ce sont des jeunes qui, par courage et altruisme, leur ont porté secours pour les sortir de là… » Un autre témoin rapporte que des éléments portant la combinaison du Gosp ont délibérément fait usage de balles en caoutchouc (une vidéo montre des éléments de ce service opérationnel présents sur la rampe Ben Boulaïd) sans que les circonstances, selon le témoin, ne les contraignent à l’utilisation de ces projectiles.

Des interrogations sur la présence de «voyous»
Et s’il y a unanimité sur la présence de «voyous» qui ont eu recours à la provocation, les interrogations sont fortes sur la motivation de ces nervis et sur leurs présumés commanditaires. il y a eu aussi accord presque unanime sur le «curieux» communiqué de la Dgsn faisant état, entre 17h30 et 17h40 (l’APS l’a diffusé à 17h44) de la présence d’«étrangers» venus «attiser les tensions et pousser les jeunes à recourir à des formes d’expression radicales, en vue d’exploiter leurs images via les médias et sur les réseaux sociaux».

La police évoque l’arrestation de personnes «en possession d’équipements sensibles, de substances psychotropes à effet hallucinogène, en quantités importantes et qui agissaient en réseaux et sur des points ciblés».
Le communiqué de la Dgsn relève encore que «pendant toutes les semaines, et chaque jour, des délinquants et autres malintentionnés ont été interpellés parmi les manifestants, dont certains tentaient d’écouler leurs marchandises prohibées, dérober les biens des citoyens, voire les harceler ou les agresser», faisant état également «de foules nombreuses, constituées d’enfants innocents ainsi que d’écoliers, de personnes âgées fragiles, voire même handicapées».
Des témoignages recueillis durant les vendredis précédents ont fait état de délits commis par des pickpockets et de petits délinquants.

Le doute s’installe, selon un journaliste présent au moment de la «charge inexpliquée» des manifestants dans le tunnel des facultés, quand la police dit que des «instigateurs aux desseins machiavéliques n’avaient d’objectif que celui de jeter des enfants dans le feu de l’action, au détriment de leurs droits fondamentaux, en interrompant leur scolarisation et en les exposant aux dangers pouvant découler de telles situations».
Cependant, et ce qui a surpris beaucoup de monde dans les rédactions, les réseaux sociaux en ont fait une matière d’humour, c’est l’annonce de «l’arrestation d’un groupe de terroristes qui planifiaient de commettre des exactions contre les citoyens».

Le communiqué indique que les services de police «ont eu également à déjouer des projets criminels d’envergure, tels que l’arrestation d’un groupe de terroristes fortement pourvu en armes et munitions qui planifiait de commettre des exactions contre les citoyens, profitant de la densité humaine générée par la mobilisation».
La Dgsn a fait savoir que les investigations entreprises ont permis d’établir que «certaines armes détenues par ces criminels ont servi pour des assassinats perpétrés contre des membres des services de sécurité durant la décennie noire».

Des révélations qui s’ajoutent au constat que «des ennemis du peuple, de son Histoire et de ses acquis sont déterminés à faire basculer la rue pour mettre en exécution leurs desseins malveillants, dont certains connus par leur alarmisme irrationnel et n’ont pas hésité à altérer calomnieusement l’intervention légale et cohérente des forces de l’ordre pour en faire une action de répression». Un démenti auquel beaucoup de militants du Hirak ne croient pas et ils l’ont fait savoir sur les réseaux sociaux.

Saïd Salhi, vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme, relève que, «pour la première fois depuis le 22 février, on a vu que les services de police, dès le début des manifestations, n’étaient pas là pour encadrer, mais pour perturber et empêcher la mobilisation».

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« Le choix des deux blocs relève de l'application pure et simple de la loi » (Mme Baba Moussa)

24 Heures au Bénin - Sun, 04/14/2019 - 16:44

Au cours d'une séance d'échanges avec les militants de la 8ème circonscription électorale en fin de semaine écoulée, la candidate du Bloc Républicain, Mariama Baba Moussa a souligné que le choix des deux blocs aux législatives 2019, relève de l'application pure et simple de la loi. Pour elle, à l'exception des autres partis en lice, seuls le Bloc Républicain et l'Union Progressiste ont pu être en règle vis à vis des exigences du nouveau code électoral, adopté à l'unanimité à l'Assemblée nationale.
La candidate a expliqué de long en large aux militants, les tractations menées par le chef de l'Etat Patrice Talon en vue d'un consensus pour l'organisation des élections inclusives.
Des tractations qui malheureusement se sont soldées par le statu quo au parlement du fait de la volonté manifeste de l'opposition à faire échec au consensus tout au long des débats.
Dans ce contexte, Mariama Baba Moussa après avoir notifié à ses militants que seuls les blocs Union Progressiste et Bloc Républicain sont en règle pour participer aux élections, les a exhortés à aller massivement voter le 28 avril prochain, dans le calme et la quiétude.
Satisfaits des échanges avec l'amazone de la 8ème circonscription électorale, les militants ont jugé cette rencontre nécessaire pour éviter de tronquer les informations.

F. Aubin AHEHEHINNOU

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La contestation appelle les partis à boycotter Ouyahia : La crise s’exacerbe au RND

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 16:42

NADIA BELLIL

La crise s’exacerbe au Rassemblement national démocratique (RND). C’est ainsi que la contestation, dirigée par Belkacem Mellah et regroupée au sein de l’instance nationale de préparation du Congrès extraordinaire rassembleur, s’est réunie, hier à Alger.
« C’est une très importante réunion au cours de laquelle beaucoup de militants, les membres fondateurs, des cadres et anciens ministres du RND ont pris part », a indiqué Mellah, dans une déclaration à Reporters, qui précise que « tous nous convergeons sur l’impératif du départ de Ouyahia, de son bureau national et la tenue d’un congrès extraordinaire». Dans cette optique, la contestation sollicite « les membres du Conseil national, les élus nationaux et locaux, les membres des bureaux de wilaya et «tous les militants à s’inscrire dans le processus de préparation du congrès extraordinaire du RND pour en finir avec l’époque d’Ouyahia». Et pour cause.

«Le départ immédiat de Ouyahia de son poste de secrétaire général sera salvateur pour le RND, qui commencera sur de nouvelles bases », a-t-il expliqué, avant de préciser que «c’est une personne qui ternit son image tant auprès de la population qu’auprès des militants ». Dans un communiqué rendu public, hier à l’issue de la rencontre de l’instance, il est précisé que Ouyahia «compromet ainsi les espoirs des militants et militantes honorables qui aspirent à contribuer positivement dans l’avenir du pays qui sera confronté à de grands défis». «Nous exprimons notre profonde inquiétude quant à la situation actuelle du parti sur les plans politique et populaire en raison du comportement irresponsable d’Ahmed Ouyahia, un secrétaire général à la légitimité contestée », est-il expliqué.

Avant de dénoncer le fait que le patron du RND ait « instauré la politique de l’exclusion et de la marginalisation des compétences, en introduisant l’argent sale à tous les niveaux des structures du parti et en donnant la priorité à des intrus qui ne croient pas aux principes de militantisme et qui ne servent que leurs intérêts personnels ».
Mais pas seulement. Cette instance contestataire appelle tout autant la classe politique à ne pas traiter avec Ahmed Ouyahia. « Nous demandons à la classe politique de refuser de traiter avec Ahmed Ouyahia en tant que secrétaire général du RND en réponse aux demandes de la population et de rejeter toutes ses initiatives dans le fond et dans la forme », lance Mellah, qui explique : «Nous sommes majoritaires, c’est nous qui représentons le parti et pas lui, puisque les militants sont avec nous.»

Evoquant le mouvement de contestation de la rue, la contestation du RND réitère son soutien « aux revendications légitimes des Algériens exprimées dans les marches pacifiques, notamment celles relatives à la consécration de la démocratie, la liberté d’expression, la liberté de l’action partisane et syndicale». «Nous appelons toutes les catégories de la société à faire confiance à l’Armée et à son commandement actuel qui sont attachés à l’unité territoriale, la sûreté du peuple et à la souveraineté nationale », est-il encore précisé dans le communiqué de la contestation.

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Exposition d’artisanat et d’objets artistiques à la galerie Aïcha-Haddad : La créativité et le savoir-faire féminins à l’honneur

Algérie 360 - Sun, 04/14/2019 - 16:39

Sihem Bounabi

Sous le slogan «La femme créative, une richesse pérenne», l’Etablissement art et culture organise depuis le 7 avril dernier une exposition d’artisanat et de créativité à la galerie Aïcha-Haddad, réalisée exclusivement par des femmes. Une dizaine d’exposantes présentent à cette occasion divers produits artisanaux, objets de décorations ou usuels, bijoux traditionnels et de fantaisie, produits culinaires du terroir…

Le point commun entre les exposantes est que ce sont toutes des femmes au foyer qui vivent de leur passion en proposant des produits authentiques, fruits d’un véritable savoir-faire fait main qui connaît de plus en plus de succès auprès du grand public.
Meriem Benarab, spécialisée dans la peinture sur bois, propose aux visiteurs différentes créations d’objets décoratifs et usuels à l’instar de coffrets, de miroirs et d’objets de décoration au design moderne ou fabriqués avec des matériaux de récupération. Elle nous explique à ce sujet que sa démarche pour la décoration sur bois est de respecter les modèles ancestraux tout en explorant des applications plus modernes. «C’est à travers le traditionnel que l’on peut moderniser les choses. Par exemple, ce modèle de coffret respecte la tradition d’un savoir-faire dans les motifs peints et dans la forme et la matière du support perpétué de génération en génération. Par contre, le vase est inscrit dans le moderne et dans le concept du design avec un support en poterie serti d’une couche de peintures florales aux motifs typiquement traditionnels », explique-t-elle.

L’artiste artisane, passionnée de peintures décoratives, explore aussi la modernité à travers la création d’objets décoratifs conçus avec des matériaux de récupération. A l’exemple des épingles à linge en bois finement rehaussées par des motifs peints, proches de la technique de la miniature et assemblées de manière à en faire un objet de décoration digne des créations les plus contemporaines. En matière de récupération, elle utilise aussi des éléments de tous les jours pour en faire des produits de décoration qui interpellent l’imaginaire, telle cette tasse à café suspendue dans les airs avec des graines de café qui s’écoulent dans une soucoupe.

Il y a aussi ce tableau fait à partir de la récupération d’une théière et d’une tasse de dînette à travers lesquelles s’écoule un flot de fleurs aux couleurs de l’arc-en-ciel. Meriem Benarab souligne que c’est un concept de 3D qu’elle affectionne particulièrement et qui a beaucoup de succès auprès du public. A propos des prix, elle nous confie qu’ils varient entre 600, 1 500 et 3 000 DA. Elle nous présente également des paniers en osier de l’artisane Souhila Bencharchaoui. Cette dernière les tisse elle-même et qu’ensuite elle décore avec des accessoires modernes de sorte à en faire un objet du quotidien pratique et élégant. Dans le même esprit de création d’objets décoratifs et de bibelots sertis de dessins finement travaillés, Zahia Bendadi expose pour sa part des objets en céramique, en poterie et en matière de récupération qui dénotent d’un véritable esprit d’innovation.

Elle nous avoue qu’au début, elle faisait elle-même le montage et les dessins des œuvres décoratives qu’elle présente, mais, au fil des années, sa fille âgée de vingt-et-un ans a pris le relais pour peindre et finaliser les dessins et les motifs décoratifs. C’est avec fierté qu’elle nous confie que sa fille, qui prépare un master en génie civil à Bab Ezzouar, a également ses propres créations d’objets sortis tout droit de son imaginaire avec du matériel de récupération pour, au final, avoir de beaux bibelots qui scintillent de mille éclats. Ces bibelots sont créés à partir notamment de supports de CD usagés, de roses et de fleurs séchées, de boules en bois qui deviennent des œuvres uniques.

L’exposante présente également des bougies parfumées et des porte-clefs en coquillages peints enduits de résine qui sont également des pièces uniques. La fourchette des prix reste raisonnable variant de 100 DA pour les petits modèles de bougie, 200 DA les porte-clefs, 400 DA les bougeoirs et jusqu’à 1 000 DA pour cette pièce en céramique.
Dans un autre registre, mais toujours dans l’esprit de créativité, Assia Lazouni propose des bijoux modernes et traditionnels en modèle unique entièrement fait main. Si elle reprend les modèles traditionnels pour certaines pièces en perles et ambre, toutefois elle apporte sa touche personnelle qui donne l’exclusivité de la pièce.

Pour les modèles de fantaisie, elle nous confie qu’à part les bracelets inspirés de modèles vus sur Internet, le reste sont des modèles uniques, à l’instar d’une paire de boucles en nacre, ou de collier en pierres semi-précieuses. Assia Lazouni nous explique qu’elle est passionnée par le montage de bijoux en pièce unique. Elle nous confie qu’au début « j’avais commencé à fabriquer des bijoux pour moi-même, car j’aime que chacune de mes tenues, que cela soit de tous les jours ou pour les occasions spéciales, possède ses propres accessoires. Mon entourage me demandait où je les avais achetés. Et c’est comme cela que je me suis retrouvée à fabriquer des bijoux pour un plus grand public».
Fascinée par les vertus bénéfiques des pierres, Assia Lazouni, elle, s’attelle à se documenter sur les différentes pierres semi-précieuses et précieuses pour ses créations. Elle nous présente ainsi un collier en hématite, une pierre connue pour ses vertus bienfaitrices et qui est très demandée par des dames qui connaissent sa valeur énergétique. Elle souligne toutefois la difficulté de trouver de la matière première de qualité et peu onéreuse.

Cependant, elle arrive à proposer au niveau de son stand des pièces uniques de qualité dont les prix peuvent varier de 400 à 1 500 DA pour les boucles d’oreilles et entre 2 500 et 3 500 DA pour les colliers. Elle nous précise que ses prix restent raisonnables si on prend compte l’authenticité du fait main, la qualité des pierres, de vraies perles et d’ambre ainsi que des autres matières utilisées et en plus des œuvres uniques et exclusives.

Il est à noter que l’exposition a été organisée en partenariat avec la direction de l’action sociale de la wilaya d’Alger affiliée au ministère de la Solidarité nationale pour la promotion et la valorisation des femmes productrices.

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