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Le Championnat d’Algérie Open de natation a débuté mercredi matin à la piscine Hacene-Khitmane d’Hydra (Alger) avec la participation attendue de plus de 290 nageurs.
Ces athlètes représentent 39 clubs issus des 13 ligues de wilaya suivantes : Alger, Tipasa, Boumerdès, Béjaïa, Biskra, Tizi-Ouzou, Oran, Tlemcen, Blida, Batna, Sétif, Constantine et Jijel.
Le rendez-vous, qui se déroule dans un bassin de 50m, s’étalera sur 5 jours avec deux séances quotidiennes (les matinées pour les éliminatoires et les après-midi pour les finales).
Neuf épreuves sont inscrites au programme de cette première journée.
1re séance (09h00) – séries
– 50m papillon (messieurs)
– 50m nage libre (dames)
– 100m brasse (messieurs)
– 400m quatre nages (dames)
– 800m nage libre (messieurs)
– 100m papillon (dames)
– 200m dos (messieurs)
– 4x200m nage libre (dames)
– 4x200m nage libre (messieurs)
2e séance (17h00) – finales
– 50m papillon (messieurs)
– 50m nage libre (dames)
– 100m brasse (messieurs)
– 400m quatre nages (dames)
– 800m nage libre (messieurs)
– 100m papillon (dames)
– 200m dos (messieurs)
– 4x200m nage libre (dames)
– 4x200m nage libre (messieurs).
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La Société algérienne de gestion du réseau de transport du gaz (GRTG), une filiale du groupe Sonelgaz, compte investir, d’ici à 10 ans, 327 milliards de DA pour la concrétisation de son plan de développement du réseau de transport gaz haute tension. Ce plan sera axé sur la réalisation des programmes gaz initiés par les pouvoirs publics, la sécurité d’approvisionnement, le raccordement de nouveaux clients, la fluidité du réseau de transport… D’ici à 2027, le GRTG prévoit la réalisation de 8033 km de nouvelles canalisations permettant un transport de 18,1 Gm3 (giga mètre cube).
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La baptisation officielle de la maison de la culture de Béjaïa du nom de la célèbre écrivaine-cantatrice kabyle Taos Amrouche tarde à se concrétiser. En effet, en dépit de la procédure administrative effectuée par l’ex-wali de Béjaïa, Ould Salah Zitouni, auprès du ministère de la Culture en vue de décréter une telle baptisation, le fronton de la maison de la culture de la ville des Hammadites ne porte toujours pas le nom de la première romancière algérienne de langue française. On se demande pourquoi le département de Azzedine Mihoubi ne veut pas approuver une telle appellation ? Qui en veut à cette femme de culture d’origine de la tribu des Ath Abbas (Ighil Ali) ? Serait-elle victime de sa confession chrétienne ? Pourtant, tout le monde a intégré jusque-là la vulgarisation du nom de Taos Amrouche pour désigner cet établissement culturel, y compris de la part des représentants des institutions publiques.
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London – Der grösste britische Autohersteller Jaguar Land Rover droht im Falle eines harten Brexit mit einem Abschied von der Insel. «Ein schlechter Brexit-Deal würde das Unternehmen jedes Jahr mehr als 1,2 Milliarden Pfund Gewinn kosten», sagte Konzernchef Ralf Speth.
«Infolgedessen müssten wir unser Ausgabenprofil drastisch anpassen», sagte Speth am Mittwoch weiter.
Das Unternehmen habe in den vergangenen fünf Jahren umgerechnet über 65 Milliarden Franken (50 Milliarden Pfund) in Grossbritannien ausgegeben. In den kommenden fünf Jahren seien weitere 80 Milliarden Pfund geplant. «Dies wäre in Gefahr, sollten wir mit dem falschen Ergebnis konfrontiert werden», warnte Speth.
Rund neun Monate vor dem geplanten EU-Austritt Grossbritanniens macht sich in den Führungsetagen der Firmen auf der Insel zusehends Skepsis breit. In einer am Montag veröffentlichten Umfrage des Prüfungs- und Beratungsunternehmens Deloitte äusserten sich 75 Prozent der Finanzchefs mit Blick auf den Brexit pessimistisch. Sie befürchten, dass ihr Geschäftsumfeld Schaden nehmen wird.
Les éditions Média-Plus de Constantine publient, à l’occasion du 56ème anniversaire de l’Indépendance, « Hadjira : La ferme Ameziane et au-delà… », un ouvrage poignant sur la torture coloniale en Algérie, sous la plume de l’historienne Claire Mauss-Copeaux.
L’auteure, connue notamment pour ses travaux sur les événements du 20 août 1955 et sur les appelés en Algérie durant la Guerre de libération, s’appuie dans cet ouvrage sur le témoignage de Hadjira, une rescapée de la ferme Ameziane à Constantine, qui fut avec la villa Susini à Alger, l’un des plus importants centres de tortures aménagés par l’administration coloniale durant la Guerre de libération nationale.
Issue d’une famille favorisée et militante, activant pour l’indépendance du pays, Hadjira est une jeune algérienne qui fut raflée chez elle, de nuit, par une unité de parachutistes et enfermée arbitrairement avec d’autres personnes, puis torturée dans la « ferme Ameziane ».Dans le récit qu’offre Hadjira, il n’y a ni haine ou volonté de vengeance, mais simplement le souci de témoigner au plus près de la vérité et de résister.
L’historienne Claire Mauss-Copeaux a publié plusieurs ouvrages sur les mémoires des conflits. Pour ce faire, elle a croisé des récits puisés des archives, se basant sur des investigations menées sur les deux rives de la Méditerranée.
Elle est notamment l’auteure de « La Source, Mémoires d’un massacre : Oudjehane 11 mai 1956 » (Payot, 2013 et éditions Média-Plus, 2015) et « Algérie, 20 août 1955. Insurrection, répression, massacres » (Payot et Rivages, 2011 et Média-Plus, 2012).
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De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer des situations intolérables, voire dangereuses. Des bus vétustes continuent d’assurer le transport des voyageurs dans la capitale. Les usagers de la ligne Staouéli-Alger alertent sur les dangers qu’ils encourent en montant dans ces transports bons pour la casse. Ils ne comprennent pas pourquoi les autorités concernées, en l’occurrence la direction des transports de la wilaya d’Alger, ne réagit pas. Le ministère des Transports est interpellé.
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Le gouvernement vient d'approuver les modalités de dédommagement des personnes affectées par la mise en œuvre du projet de construction d'une station de traitement de boues de vidange à Abomey-Calavi. La capacité de l'infrastructure est de 600 m³/jour à l'horizon 2025.
Selon le conseil des ministres de ce mercredi, « Ce projet vise l'amélioration du cadre de vie des populations d'Abomey-Calavi et d'une partie de Cotonou, à travers l'accessibilité des ménages aux infrastructures d'assainissement ». Ledit projet, présenté par le ministre de l'Eau et des Mines a nécessité l'expropriation d'un domaine de 19ha 23a 84ca et sa réalisation permettra de « suppléer la seule station de traitement actuellement disponible et dont les capacités sont dépassées », a indiqué le Conseil des ministres.
C'est l'une des actions prioritaires du Plan Directeur d'Assainissement des eaux usées (2015-2035) des villes de Cotonou, Sèmè-Kpodji, Abomey-Calavi et Porto-Novo.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Roger Federer ist da für seine Fans. Aber gehts um die Privatsphäre seiner Kinderschar, kennt er kein Pardon.
Wer dann nah genug ist, hört das Maschinengewehr-artige Klicken der Fotografen und deren Apparaten. Aus allen Winkeln und Distanzen richten sie riesige Teleobjektive auf die niedlichen Sujets, die einen Abdruck in Zeitungen der ganzen Welt garantieren und sich auf den Online-Portalen im Netz wie ein Lauffeuer verbreiten.
Je rarer, desto begehrter – und seine beiden Zwillingspaare zeigt der Weltstar nicht oft. So gerne er auch vor ihnen Tennis spielt, so ungern setzt er sie der voyeuristischen Gesellschaft aus. Auch in Wimbledon, dem «Family-Slam», wo die Stars in gemieteten Privathäusern wohnen, wandeln die bald neunjährigen Girls Myla und Charlene sowie die vierjährigen Buben Leo und Lenny mit Mama, den Lehrerinnen und Babysittern mehrheitlich durch private Clubräume und werden in Transport-Autos mit verdunkelten Scheiben gefahren.
Wenn ein Fan auf der Strasse, am Flughafen oder im Garten seine Kids fotografiert, wird Roger sauer. «Wenn das jemand ohne zu fragen macht, kann ich als Familienvater schon mal gereizt reagieren», sagte er im Mai bei einem Interview mit «Credit Suisse».
Mobiltelefone seien oft schon ein Problem: «Wenn ein Fan wegen mir sein Handy zückt, kann ich das nachvollziehen. Er sieht mich vielleicht nie mehr und möchte die Gelegenheit nutzen.» Er habe diesbezüglich aber eine persönliche Wichtigkeitspyramide: «Kinder kommen bei Autogrammen und Fotos zuerst. Speziell Rücksicht nehme ich zudem auf Menschen mit einer Beeinträchtigung.» Federer habe sich zum Glück langsam an diese Situation gewöhnen können. «Ich bin da gewissermassen reingewachsen.»
Seine Zwillings-Kinder haben sich dieses Leben indes nicht ausgesucht. Sie wurden in eine Superstar-Welt hineingeboren, erleben gute wie schlechte Seiten des Ruhms, ohne diese schon begreifen zu können. Federer will sie so gut wie möglich schützen. «Respekt ist ein zentraler Wert in meinem Leben», sagt er – und erwartet den auch ihm gegenüber.
Er gehört nicht zu denen, die ihr Privatleben im sozialen Netz exponieren. Wie Serena Williams, die Livestreams ihrer noch nicht einjährigen Tochter Olympia auf Instagram setzt. Oder wie die allein erziehende Mutter Victoria Azarenka, die ihre Liebe zum knapp zweijährigen Sohn Leo mit etlichen Bildern auf Twitter zelebriert.
Der 36-jährige Schweizer hat 15 Millionen Freunde auf Facebook und 6,7 Millionen Follower auf Instagram, postet aber nur selten und nur über sich selbst. Seine Mirka füttert gar keinen Social-Media-Account. Dafür gibts etliche Fan-Seiten über beide, auf denen jeder Schritt oder Haarschnitt kommentiert und diskutiert wird.
Sogar einen Facebook-Seite «Federer’s Twins», wo sich derzeit 9320 Personen über die Grösse der süssen Jungs oder die Ähnlichkeit der hübschen Mädchen austauschen. Nur wenige Fotos darauf sind offiziell – meist gibts dort Schnappschüsse der Federers am Strand, im Shoppingcenter, der Kinder beim Nasenbohren und Schaukeln. Letztere «gefallen» besonders vielen Fans – Papi Roger bestimmt weniger.
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HAUSEN AG / SÜDFRANKREICH - Seine Gedanken sollten bei seiner Frau (†38) und deren Schwester (†31) sein, die er getötet hat. Doch als gestern der Zweifach-Killer R. B.* (54) zur Tat-Rekonstruktion zurück nach Hausen AG gebracht wird, jammert er lieber über die Hitze.
Es ist schwül, gefühlte 40 Grad. Da fährt plötzlich ein Gefängniswagen bei einem Sechsfamilienhaus in Hausen AG vor. In Hand- und Fussfesseln steigt der mutmassliche Zweifachmörder R. B.* (54) aus. Bewacht von Polizisten. Er ist zurück. Zur Tat-Rekonstruktion.
Doch anstatt an die Opfer zu denken, jammert der Kosovare. «Auf dem Weg sagte er, dass es heiss sei», so eine Anwohnerin zu BLICK. Sie hatte gestern «die unheimlichen Szenen» gesehen und gehört.
R. B. soll am 8. Januar 2018 seine albanische Frau Alma B.* (†38) und ihre Schwester Ilda F.* (†31) erstochen haben. Der Sozialhilfeempfänger wurde noch vor Ort verhaftet (BLICK berichtete).
«Bleich und sehr, sehr alt geworden»Nun musste R. B. zurück in seine Wohnung im mittleren Stock. Die Nachbarskinder sind bereits in der Schule, als er reingeführt wird. «Er ist bleich und sehr, sehr alt geworden», sagt eine Zeugin.
Wie in einem solchen Fall so üblich muss R. B. am Tatort nochmals Red und Antwort stehen sowie zeigen, wie sich alles abgespielt hat. Auch Fotos dürften gemacht worden sein. «Nach etwa zwei Stunden gingen sie wieder», sagt eine Anwohnerin. R. B. muss zurück ins Gefängnis.
Warum drehte R. B. an diesem Januartag durch? Anwohner sind wie schon nach der Tat überzeugt, dass Alma ihren Mann eifersüchtig gemacht habe. Zudem sei sie – als ihre Schwester aus Südfrankreich zu Besuch war – oft mit ihr im Ausgang gewesen und habe nicht mehr so gut für die drei gemeinsamen Kinder (7, 14 und 16) geschaut. Eine Angehörige von R. B. sagte nach der Tat gar: «Ich sage besser nichts über diese Ehefrau!»
Sie zog Anzeigen immer zurückGanz anders tönte es vom Schwager der getöteten Schwestern. «R. B. hat Alma jahrelang misshandelt», sagte Kreshnik G.* (37). Sie sei zwei Mal bei der Polizei gewesen. Doch am Ende habe sie die Anzeigen immer zurückgezogen.
Auch am Abend vor der Tat soll Alma im Ausgang gewesen sein. Kam es deshalb zum tödlichen Streit mit ihrem Mann? Sicher ist: Ihre Kinder sind die Leidtragenden. Sie leben seitdem im Kinderheim.
Ermittlungen bald abgeschlossen?Und was hat R. B. ausgesagt? «Zum Aussageverhalten des Beschuldigten nehmen wir keine Stellung», sagt Fiona Strebel, Sprecherin der Aargauer Staatsanwaltschaft. «Wir werden dann den Abschluss des Verfahrens kommunizieren.»
Lange dürfte dies nicht mehr dauern. Kreshnik G., der Schwager der getöteten Schwestern, sagt auf Nachfrage: «Die Ermittlungen sollen Ende Juli abgeschlossen sein. Dann weiss ich endlich mehr zum schrecklichen Tod der beiden.»
* Namen der Redaktion bekannt
Toronto – Beim Angriff eines Eisbären ist im Norden Kanadas ein Mensch getötet worden. Die Polizei in Arviat im Territorium Nunavut teilte am Mittwoch mit, das Opfer sei ein 31 Jahre alter Mann. Ein weiterer Mann habe den Bären getötet.
Der Vorfall ereignete sich den Angaben zufolge am Vorabend auf einer Insel in der Hudson Bay.
Angriffe von Eisbären auf Menschen sind selten: Das «Wildlife Society Bulletin» berichtete im vergangenen Jahr von 73 Vorfällen, die in Kanada, Grönland, Norwegen, Russland und den USA im Zeitraum zwischen 1870 und 2014 dokumentiert wurden. Dabei wurden 20 Menschen getötet und 63 weitere verletzt.
Am Unabhängigkeitstag der USA ist eine Frau aus Protest gegen die Migrationspolitik von US-Präsident Donald Trump auf die New Yorker Freiheitsstatue geklettert. Als Vorsichtsmassnahme wurde die Insel Liberty Island geräumt.
Eine Protestaktion gegen die Migrationspolitik von US-Präsident Donald Trump an der New Yorker Freiheitsstatue hat zu Festnahmen und zur Räumung der Touristenattraktion geführt. Als Vorsichtsmassnahme wurde die Insel Liberty Island zwischenzeitlich geräumt.
Polizisten bemühten sich am Mittwoch, eine Frau, die auf den Sockel der berühmten Statue rund 2,5 Kilometer vor der Südspitze Manhattans geklettert war, zur Aufgabe zu bewegen. Nach zwei Stunden gelang die Aufgabe.
Mitglieder der Aktivisten-Gruppe «Rise and Resist» bekannten sich zu der Protestaktion am Unabhängigkeitstag der USA. Sie hatten am Fuss der Freiheitsstatue eine Fahne mit der Aufschrift «Abolish ICE» ausgerollt. Damit riefen sie zur Abschaffung der Polizeibehörde Immigration and Customs Enforcement (ICE) auf. Deren Beamte waren immer wieder durch als überhart kritisiertes Durchgreifen gegen Migranten aufgefallen.
Von der Kletteraktion der später festgenommenen Frau distanzierte sich die Gruppe allerdings auf Twitter. Nach US-Medienberichten wurden sieben Demonstranten festgenommen. (SDA)
DJELFA – Le projet de modernisation d’un tronçon de 20 km de la RN1 reliant Djelfa à Laghouat a été inauguré, mercredi, à Djelfa.
La mise en service de cet axe stratégique du trafic routier entre le Nord du pays et le Grand sud est inscrite au titre des festivités commémoratives du 56ème anniversaire de la fête de l’Indépendance et de la Jeunesse.
Dans son intervention à l’occasion, le wali Hamna Guenfaf a souligné la contribution attendue de cet axe routier, auquel s’ajoutera un tronçon prévu à la livraison en août prochain, dans la fluidification du trafic, tout en participant à la réduction des accidents de la circulation sur cet axe routier, théâtre auparavant d’une moyenne de deux décès tous les deux jours. « Un chiffre qui a sensiblement baissé, depuis sa modernisation », s’est félicité le wali.
Durant cette semaine, le secteur des travaux publics, à Djelfa, a été le théâtre de la réception d’un axe routier global de pas moins de 74 km, représenté par la réalisation d’un dédoublement de voie sur la RN1, traversant le Nord de la wilaya. Il s’agit d’un axe de 34 km reliant Ain Ouessara à Boughezoul (W.de Médéa), et de l’axe Hassi Bahbah – Ain Ouessara, reliant ces deux villes, sur une distance de 40 km.
Le wali a fait, aussi, part d’une prévision de réception « pour septembre prochain » d’un autre projet routier d’importance. Il s’agit de la réhabilitation d’un axe de 35 km de la RN 1 devant relier Hassi Bahbah à Djelfa.
L’ouverture officielle au trafic de l’axe (voie unique) Djelfa- Laghouat, ayant bénéficié d’une action de modernisation, a, aussi, donné lieu au lancement, par le wali, des travaux de dédoublement du même axe routier sur une distance de 64 km, dont 24 km constituant un évitement de la ville de Djelfa, et 40 km en direction de Laghouat.
Selon les chargés de la direction des travaux publics, ce projet affecté d’une enveloppe de 19 milliards de dinars, a pour objectif principal d’aider à l’éradication des points noirs au niveau de cet axe, tout en contribution à la fluidification du trafic sur cette route stratégique, reliant de nombreuses wilayas du pays entre elles.
Outre l’évitement de Djelfa et le dédoublement de voie, le projet englobera un viaduc de 1.400 mètres de long, six échangeurs et trois ponts, a-t-on ajouté de même source.
Ces festivités de commémoration du 56eme anniversaire de la fête de l’Indépendance ont, également, constitué une opportunité pour la mise en service d’un nouveau centre payeur de la Caisse nationale des assurances sociales à Messaàd ( 75 km au Sud de Djelfa) , outre l’inauguration dans la même ville d’un siège de l’Agence de l’emploi et d’une salle polyvalente à la cité « Saàifi ».
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ORAN – Le ministre des travaux publics et des transports, Abdelghani Zaâlane, a instruit, mercredi, les responsables du projet du nouvel aéroport international d’Oran de régler tous les problèmes pouvant retarder la réception du projet et de ne pas dépasser le délai prévu, qu’il a qualifié d’ »incompressible ».
Lors de la visite du chantier du nouvel aéroport international d’Oran « Ahmed Ben Bella », le ministre a souligné que « la réception du projet est tributaire du règlement de tous les problèmes, et afin de ne pas dépasser les délais prévus ».
Dans ce cadre, il a instruit les responsables du projet de réunir, la semaine prochaine, tous les sous-traitants du projet pour discuter avec eux des difficultés auxquelles ils font face dans le cadre de leurs sections respectives. Cette réunion sera présidée par le wali, en présence d’un représentant du ministère.
« L’objectif de cette réunion sera de régler tous les problèmes que rencontrent les sous-traitants afin de faire avancer les travaux pour livrer le projet dans les délais prévus », a déclaré le ministre, ajoutant que le responsable du nouvel aéroport devra, dès maintenant, préparer tout ce qui concerne la gestion de cette nouvelle infrastructure répondant aux standards internationaux. « Cet aéroport sera l’une des importantes vitrines d’Oran », a-t-il dit.
Le nouvel aéroport international d’Oran sera livré à la fin de l’année 2018, selon les responsables du projet dont l’Entreprise de Gestion des Services Aéroportuaires (EGSA) est le maitre d’ouvrage. Les gros œuvres du bâtiment ont été achevés et le taux d’avancement global est estimé à 76%, indiquent les responsables du projet.
La nouvelle aérogare sera également dotée d’un système de gestion de type centralisé avec détection des mouvements des passagers et disposera de 12 postes de contrôle passagers extensibles à 20, ainsi que 18 postes d’enregistrement, des escalators, des ascenseurs et des passerelles panoramiques.
Cette infrastructure devra accueillir annuellement quelque 3,5 millions de passagers. Elle sera dotée aussi d’un nouveau parking pour avions de 18 hectares ainsi qu’un parking à étages de véhicules qui sera livré en novembre prochain.
Par ailleurs, le ministre a visité le projet de la nouvelle pénétrante du port d’Oran, s’étendant sur 8 km et considérée comme un projet structurant qui aura pour principal objectif de désengorger la circulation automobile au niveau de plusieurs secteurs du centre-ville.
Le ministre a procédé à l’ouverture du tunnel et ce par la destruction d’un pan entier du mur séparant les deux parties du tunnel, permettant ainsi aux deux tranches de se rejoindre. Ce tunnel reliera le site des Genêts à Haï El Menzah (ex-Canastel).
Il est à noter que la première tranche de ce projet de pénétrante du port, devra être réceptionnée à la fin de l’année 2018. Les travaux de réalisation de cette infrastructure qui reliera le port d’Oran à l’autoroute Est-Ouest, ont connu plusieurs interruptions en raison de difficultés budgétaires, contraignant ainsi les entreprises chargées de sa réalisation, la société turque « Makyol » et l’Entreprise nationale des grands ouvrages d’art (ENGOA), à suspendre les travaux.
Toutefois, l’adoption d’une autorisation de programme de l’ordre de 40 milliards DA, affectée à ce projet, décidée par le Conseil des ministres en décembre 2017, a permis de lever les contraintes et la reprise des travaux au niveau des différents chantiers du projet.
Cette pénétrante va permettre de fluidifier la circulation des poids lourds, en créant un deuxième accès à l’enceinte portuaire et réduire de manière drastique la pression enregistrée sur le réseau routier intra-muros qui connait de fréquents bouchons, notamment aux heures de pointe.
Cette réévaluation du coût du projet est justifiée par les changements introduits dans la consistance du projet, prévoyant la réalisation d’un second tunnel à double voie, d’une longueur de 1.680 mètres, afin d’éviter le déplacement d’un ensemble urbain et le transfert des différents réseaux. Le projet révisé prévoit de réaliser un accès reliant la nouvelle pénétrante au rond-point des Falaises via un ouvrage d’art.
Pour rappel, le projet de la pénétrante du port d’Oran consiste en trois sections, à savoir la réalisation d’une liaison autoroutière reliant le port d’Oran à la 1ère rocade-sud, au niveau du carrefour de Haï El-Menzah sur une distance de 8 km, la mise à niveau de la 1ère rocade-sud entre le carrefour de Haï El-Menzah et l’échangeur de la RN 4 (sur 10 km) et la mise à niveau de la RN 4 de l’échangeur de la 1ère rocade-sud jusqu’à la bretelle autoroutière d’Oran (sur une distance de 8 km).
Comportant deux tranchées couvertes, un viaduc, quatre murs de soutènement et deux échangeurs, le projet verra sa première tranche livrée à la fin de l’année en cours.
Lors d’un point de presse, tenu à l’issue de cette visite, le ministre a indiqué que le projet de la nouvelle pénétrante du port d’Oran et celui du nouvel aéroport international « Ahmed Ben Bella » sont deux projets structurants très importants, inscrits dans le cadre des projets prévus par le programme du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, surtout qu’Oran accueillera, en 2021, les Jeux Méditerranéens. Pour lui, le projet de la pénétrante est un « véritable projet-école », car réunissant tous les aspects des travaux publics, notamment des travaux maritimes, des travaux sur le réseau routier et autres.
Le ministre a aussi révélé que tous les problèmes qui ont « miné » le téléphérique d’Oran, à l’arrêt depuis six ans, ont été réglés et le projet sera relancé incessamment.
Concernant le tramway d’Oran le ministre a ajouté que trois extensions sont prévues, la première vers le nouvel aéroport, la seconde vers le nouveau pôle urbain de Misserghine « Ahmed Zabana » et la troisième vers le pôle de Belgaïd qui accueille les infrastructures sportives prévues pour les JM 2021 et un important pôle universitaire ainsi qu’une zone urbaine.
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