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BERN - Nicht alle Grünen sind sich grün mit dem Mietzins-Maximierer Daniel Leupi. Die Aargauer Nationalrätin Irène Kälin (31) wagt sich aus dem Busch und kritisiert den Zürcher Stadtrat öffentlich. Auch Mieterverbandspräsident und SP-Nationalrat Carlo Sommaruga (58) zeigt sich schockiert.
Daniel Leupi (52) kämpft im Zürcher Stadtrat für günstigen Wohnraum. Die Mieter seiner Wohnung sollen jedoch rund 5000 Franken für eine 5½-Zimmer-Wohnung hinblättern. Dieser Widerspruch, den der «SonntagsBlick» aufdeckte, sorgt landesweit für Kopfschütteln.
Die Parteispitze der Grünen wäre am Montag wohl am liebsten im Boden versunken. Leupis Erklärung, er vermiete sein Eigentum so teuer, um seine Altersvorsorge zu sichern, machte alles nur noch schlimmer. Heute nun platzte der Grünen-Nationalrätin Irène Kälin (31) der Kragen. «Das ist eine sehr unbefriedigende Begründung», findet sie.
Kälin glaubt der Begründung Leupis nicht«Ich werde nicht grün mit Leupis Tun und noch weniger mit seiner Begründung», sagt Kälin gegenüber BLICK. Beides entspreche nicht ihrem grünen Gewissen.
Kälin nimmt ihrem Zürcher Parteikollegen die Begründung nicht ab, dass er wegen seiner Altersvorsorge auf diesen horrenden Mietzins angewiesen ist. «Exekutivpolitiker werden im Kanton Zürich sicher nicht sehr viel schlechter auf ihre alten Tage vorbereitet als im Kanton Aargau.» Dort nage jedenfalls keiner im Alter am Hungertuch.
Einschreiten und bei der Parteileitung auf eine Massnahme drängen will Kälin jedoch nicht. «Ich bin weder Zürcherin noch liegt es an mir zu entscheiden, was andere Grüne tun oder lassen sollen. Letztlich ist jeder sich selber Rechenschaft schuldig, nicht mir.» Sie würde allerdings bis über beide Ohren rot werden, wenn sie einen solchen Mietzins verlangen würde.
Mieterverbands-Präsident vermisst linke VerantwortungNichts ausrichten gegen den Grünen-Stadtrat kann auch SP-Nationalrat Carlo Sommaruga (58). Aber der Präsident des Schweizerischen Mieterinnen- und Mieterverbands appelliert an das soziale Gewissen der Immobilienbesitzer. «Ich bin schon schockiert über das Verhalten von Vermietern wie Leupi», sagt Sommaruga gegenüber BLICK.
Das Ziel des Mieterverbands sei der Wechsel von Marktmieten zu sogenannten Kostenmieten. «Diese bringen immer noch eine schöne Rendite für die Altersvorsorge und ermöglichen zugleich auch Mittelklasse-Familien eine grössere Wohnung», so Sommaruga weiter. Dies sei seines Erachtens gelebte linke Verantwortung.
Les tournois de rugby des 3èmes Jeux Africains de la Jeunesse (JAJ 2018), prévus à Alger du 19 au 28 juillet prochain, seront animés par 24 équipes, soit plus de 300 athlètes, a annoncé ce mardi le comité d’organisation sur sa page facebook.
Le tournoi masculin sera rehaussé par la participation de 17 nations. Outre l’Algérie, pays organisateur, il y aura également : le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, le Congo, la République démocratique du Congo, la Côte d’Ivoire, le Kenya, Madagascar, l’Ile Maurice, le Maroc, la Namibie, le Sierra Leone, l’Afrique du Sud, la Tunisie, la Zambie et le Zimbabwe.
Concernant la compétition chez les féminines, elle sera animée par 6 pays : le Maroc, la Tunisie, la République démocratique du Congo, la Côte d’Ivoire, le Kenya et Madagascar.
Pour rappel, cette 3e édition des JAJ comportera 27 disciplines au total, dont cinq qualificatives aux Jeux olympiques de la jeunesse (JOJ 2018). Soit 4 disciplines de plus que lors de la dernière édition disputée en 2014 au Botswana.
Selon les organisateurs, le rendez-vous d’Alger devra rassembler quelque 3000 athlètes de 54 pays, âgés entre 15 et 18 ans, membres de l’ACNOA.
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Les services de sécurité civile ont arrêté une femme mendiante dans la quarantaine à Oran dans le quartier Al Sabah. Elle avait pour habitude de garer sa voiture « Golf série 04 » un peu loin de son lieu habituel pour prendre un enfant dans ses bras et se mettre dans la rue et mendier. Des personnes l’auraient signalés aux services de sécurité, ce qui a déclenché une enquête et qui a aboutit à son arrestation. La femme ramène chaque jour avec elle un enfant de cinq ans et mendie dans les marchés. La mendiante qui ne semblait pas du tout être dans le besoin est actuellement en état d’arrestation, et attends son procès.
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Le ministre des Travaux publics et des transports, Abdelghani Zaalane, a effectué mardi une visite d’inspection au chantier du projet d’extension de l’aéroport international Houari Boumediene, dont les travaux ont atteint 87%, a indiqué un communiqué du ministère.
Lors de cette visite qui s’inscrit dans le cadre du suivi périodique sur le terrain des grands projets relevant du secteur, le ministre a inspecté les travaux de réhabilitation de la piste principale et de réalisation de la nouvelle tour de contrôle ainsi que le nouvel hôtel de l’aéroport.
Il a inspecté, également, le projet de la voie ferrée devant relier le nouvelle aérogare à la station de Bab Ezzouar sur une distance de 2,8 km avec un tunnel de 1,4 km et une station souterraine à deux étages.
A l’issue de sa visite, le premier responsable du secteur a indiqué que ce projet auquel le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika accorde un grand intérêt « doit être entièrement livré dans les délais fixés » et ce, à travers l’intensification des efforts et la coordination entre tous les intervenants. APS
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Près de six tonnes de viandes avariées ont été saisies à Batna au cours des dix premiers jours du mois de ramadhan, a-t-on appris mardi du directeur local du commerce, Akacha Daghman.
Selon ce responsable, l’opération qui a été menée le 24 mai dernier par une brigade mixte regroupant les services de sûreté et ceux de la Direction du commerce au marché couvert dit « El Rahba » au centre ville de Batna, s’est soldée par la saisie de près de six tonnes de viande impropres à la consommation.
Le directeur du commerce a fait savoir que toutes les mesures judiciaires ont été prises à l’encontre des commerçants concernés pour manquement au contrôle vétérinaire et absence de registre de commerce.
M. Daghman a également indiqué que les services de commerce ont proposé, au cours de la même période, la fermeture de 110 locaux commerciaux à travers la wilaya, dont trois implantés au marché d’El Rahba.
Le défaut de facturation, durant cette période, est estimé à 60 millions de dinars, a indiqué la même source qui a fait état de 2000 interventions induisant un total de 1 220 procès-verbaux (PV) de poursuites judiciaires pour non déclaration de prix et tarifs, absence de registre de commerce et pour défaut de facturation.
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Je ne signe pas beaucoup de tribune, mais celle-là je ne pouvais pas la laisser passer. A la lumière de la crise italienne qui risque d’impacter tout le projet européen, elle est plus que jamais d’actualité. Elle a été publiée par une série de médias européens au début du mois.
Dans cette période de reprise économique et d’accalmie, n’oublions pas qu’il y a peu nous avons frôlé l’abime et que notre réalité reste pleine d’incertitudes géopolitiques et financières, avec un niveau de dette mondial record pouvant entraîner une nouvelle crise. Ne croyons pas non plus que nos dirigeants puissent seuls, sans la participation active des citoyens, relever les défis de notre temps.
Le 9 mai 2016, nous lancions un appel pour une nouvelle renaissance européenne. Notrepréoccupation: éviter l’implosion de l’Union dans une période de vide politique sans précédent, de montée des populismes et de repli national. Notre conviction : seule une dynamique rassemblant leaders d’opinion et citoyens de toutes sensibilités permettrait de créer la pression politique suffisante pour garantir l’unité des 27 en cas de vote négatif au référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE. Les leaders européens avaient en effet accepté la demande de David Cameron de ne pas préparer de plan B, susceptible selon lui d’augmenter les risques d’une issue défavorable.
Notre appel a été formidablement entendu. Des dizaines de milliers de citoyens ont réagi. Des chefs d’Etat et de gouvernement nous ont reçus et, surtout, ont suivi notre double recommandation: unité dans la négociation et ébauche d’une feuille de route de relance de l’Union. Les Présidents de la Commission européenne et du Conseil européen nous ont demandé de réfléchir à cette feuille de route et à la manière d’articuler au mieux souverainetés nationale et européenne. Ce fut chose faite dans le rapport « la Voie européenne pour un futur meilleur » que nous leur avons remis en mars 2017. L’essentiel de nos propositions a depuis fait l’objet d’un puissant portage politique, aussi bien par le Président de la Commission européenne lors de son intervention sur l’Etat de l’Union, que par le Président de la République française dans ses discours de la Sorbonne et de Strasbourg. Le Parlement européen s’en est également saisi.
Certaines recommandations deviennent réalité, comme les consultations citoyennes, la nouvelle priorité donnée à l’intelligence artificielle par la Commission européenne, le travail mené pour la qualité de l’information, la modernisation du modèle social européen, ou encore le projet d’un Erasmus des collégiens et lycéens. Ces avancées devront être confirmées par un budget permettant effectivement de démocratiser Erasmus, de maintenir un programme ambitieux pour la culture, et d’accroitre l’effort de recherche et développement. Nous nous réjouissions de ces succès, mais restons inquiets.
L’envie d’Europe manifestée par nos concitoyens après le référendum britannique menace de fléchir si davantage d’actes concrets n’accompagnent pas les paroles des dirigeants. Les derniers résultats électoraux témoignent d’une montée des partis populistes. Pire, le respect de l’Etat de droit et des valeurs fondamentales, coeur du projet européen, n’a jamais été à ce point menacé au sein de l’Union. Celle-ci entre, à quelques mois du Brexit, dans une période de léthargie préoccupante.
Ce 9 mai, nous appelons donc à un nouveau sursaut des gouvernants mais aussi des citoyens, des leaders d’opinion et des dirigeants syndicaux et d’entreprise de ce continent. Sans engagement du Conseil européen de juin sur un plan et un calendrier précis fixant une relance européenne, faite d’actions concrètes impactant positivement le quotidien de nos concitoyens, les élections européennes signeront une montée en puissance sans précédent des forces populistes. Aussi encourageons-nous la participation de tous aux consultations citoyennes qui doivent inclure les plus vulnérables et donner lieu à une véritable écoute des opinions exprimées. Mais notre conviction est qu’il faut oser l’ambition et inventer une nouvelle étape de la démocratie européenne.
Nous proposons de créer un droit à la participation continue de chacun à la vie politique de l’Union et invitons tous ceux qui le souhaitent à nous rejoindre pour bâtir avec nous civico.eu, une plateforme civique permanente, transnationale et multilingue, permettant aux citoyens européens non seulement d’être consultés mais d’être eux-mêmes les initiateurs d’un dialogue civique direct ayant pour but de faire émerger des propositions concrètes nourrissant en continu les institutions européennes. Les technologies numériques, la traduction automatique avancée, l’intelligence artificielle, permettent de penser différemment la démocratie. Il ne s’agit nullement de mettre fin à la démocratie représentative mais de la compléter à travers une démocratie délibérative et participative continue. Nous croyons plus que jamais à la nécessité pour nos concitoyens européens de se constituer en force civique transnationale.
Soixante-dix ans après le Congrès fondateur de la Haye, nous appelons à un nouveau congrès des consciences européennes qui rassemble citoyens, leaders d’opinion et dirigeants de toutes sensibilités, pour écrire ensemble une page inédite de notre histoire commune. C’est en misant sur des avancées concrètes et rapides, un renouveau démocratique et un rassemblement des bonnes volontés, que nous rétablirons la confiance entre les citoyens et les institutions européennes dans un esprit renouvelé de solidarité. C’est la condition pour transformer l’Union en puissance démocratique, culturelle, sociale, écologique et industrielle, capable de peser sur les évolutions de la planète, de défendre les intérêts des Européens et de contribuer à un monde meilleur.
Signataires de l’appel CIVICO Europa (civico.eu):
Guillaume Klossa(FR), initiateur de CIVICO Europa, dirigeant d’entreprise, essayiste, et ancien sherpa du groupe de réflexion sur l’avenir de l’Europe (Conseil européen);Alberto Alemanno(IT), professeur de droit, fondateur du Good Lobby;László Andor(HU), économiste, ancien commissaire européen; Lionel Baier(CH), réalisateur;Miklos Barabas (HU), directeur, Maison de l’Europe;Enrique Baron Crespo (ESP), ancien président du Parlement européen;Mars di Bartolomeo(LU), président du Parlement du Luxembourg;Brando Benifei (IT), parlementaire européen; Sylvain Bonnet(FR), chef d’entreprise; Mercedes Bresso (IT), parlementaire européenne, ancienne présidente du Comité des Régions ;Elmar Brok (DE), parlementaire européen, ancien président de la commission des affaires étrangères, Parlement européen;Philippe de Buck (BE), ancien directeur général de Business Europe, membre du comité économique et social européen; Thomas de Charentenay(FR), dirigeant d’entreprise ; Daniel Cohn-Bendit(FR/DE), ancien président du groupe « Les Verts », Parlement européen;Georgios Dassis(GR), syndicaliste, ancien président du Comité économique et social européen; Piotr Dudek (PL), coordinateur jeunesse et universités, CIVICO Europa;Paul Dujardin (BE), directeur général, BOZAR; Isabelle Durant(BE), ancienne vice-première ministre, secrétaire générale adjointe de la CNUCED; Michele Fiorillo(IT), philosophe, coordinateur réseaux CIVICO Europa; Cynthia Fleury (FR), philosophe et psychanalyste;Markus Gabriel(DE), philosophe;Christophe Galfard (FR), astrophysicien et écrivain; Aart de Geus(DE), président de la fondation Bertelsmann;Felipe Gonzalez(ES), ancien premier ministre, ancien président du groupe de réflexion sur l’avenir de l’Europe (Conseil européen); Sandro Gozi(IT), sous-secrétaire d’Etat aux affaires européennes;Danuta Huebner (PL), ancienne commissaire européenne, présidente de la commission des affaires constitutionnelles, Parlement Européen; Ulrike Guérot (DE), directrice, European Democracy Lab; Alain Juppé (FR), ancien premier ministre, maire de Bordeaux; Charles Kaisin(BE), désigner; Mathieu Labey(FR), entrepreneur; Christophe Leclercq (FR), entrepreneur média et fondateur d’EurActiv;Jo Leinen(DE), parlementaire européen, ancien président du Mouvement européen-International; André Loesekrug (DE), fondateur d’ACapital, porte-parole du J.E.D.I;Robert Menasse(AT), écrivain; Jean-Pierre Mignard(FR), avocat; Joelle Milquet (BE), députée à la région bruxelloise, ancienne vice-première ministre; Alexandra Mitsotaki (GR), présidente, ActionAid Hellas;Jonathan Moskovic (BE), membre fondateur de CIVICO Europa, co-coordinateur du projet G1000;Ferdinando Nelli Feroci (IT), ambassadeur, ancien commissaire Européen, président du IAI (Istituto Affari Internazionali);Catherine Noone (EIRE), sénatrice, présidente de l’assemblée citoyenne d’Irlande; Johanna Nyman(FIN), ancienne présidente du Forum européen de la Jeunesse;Sofi Oksanen(FIN), écrivaine; Guilherme d’Oliveira Martins (PT), Fondation Gulbenkian, ancien ministre; Erik Orsenna (FR),écrivain;Rossen Plesneviev (BG), ancien président de la république de Bulgarie;Francesco Profumo (IT), ancien ministre, président de la fondation Compagnia di San Paolo;Sneska Quaedvlieg-Mihailovic(NL/RS), secrétaire générale d’Europa Nostra pour la protection du patrimoine européen;Jean Quatremer (FR), journaliste et essayiste;Francesca Ratti (IT), ancien secrétaire général adjoint du Parlement Européen, présidentede CIVICO Europa;Maria João Rodrigues(PT), ancienne ministre, vice-présidente du groupe « Socialistes et démocrates », Parlement européen;Robin Rivaton(FR), auteur;Petre Roman (RO), ancien premier ministre; Taavi Roivas(EST), ancien premier ministre d’Estonie; Wytze Russchen(NL), membre fondateur de CIVICO Europa; Jochen Sandig (DE),directeur de la compagnie de danse Sasha Waltz and Guests; Roberto Saviano(IT), écrivain; Nicolas Schmit (LU), ministre du travail, de l’emploi et de l’immigration;Gesine Schwan(DE), présidente de la plateforme de gouvernance Humboldt-Viadrina;Denis Simonneau(FR), président d’EuropaNova ; Benjamin Spark (BE), artiste;Farid Tabarki (NED), fondateur Studio Zeitigest ; Wolfgang Tillmans(DE), photographe et plasticien;Kirsten Van den Hull (NED), députée;René van der Linden(NL), ancien président de l’Assemblée du Conseil de l’Europe, ancien président du Sénat Néerlandais; Guy Verhofstadt(BE), ancien premier ministre, président du groupe « ADLE », Parlement européen; Vaira Vike Freiberga(LAT), ancienne présidente de la République de Lettonie;Cédric Villani (FR), mathématicien, Médaille Fields, député;Pietro Vimont (FR/IT); membre fondateur et directeur des opérations de CIVICO Europa; Luca Visentini(IT), secrétaire général de la Confédération européenne des Syndicats; Leendert de Voogd (NL), dirigeant d’entreprise; Sasha Waltz(DE), chorégraphe et danseuse ; Wim Wenders(DE), cinéaste.
ALGER – Le tabagisme représente un « véritable problème de santé publique » en Algérie et provoque plus de 15.000 morts par an, soit une moyenne de 45 décès chaque jour, a mis en garde Mme Kaïd Nouara, professeur en économie de la santé et auteure de plusieurs publications sur les effets des fléaux sociaux.
Sur l’ensemble de ces décès, on dénombre environ 7.000 infarctus du myocarde, 4.000 cancers bronchiques et plus de 3.000 insuffisants respiratoires, a détaillé cette experte dans un entretien à l’APS.
« Le taux de prévalence du tabagisme dans la société algérienne était de 7,7% en 1978. En 20 ans, la consommation du tabac a triplé et passe à 20,6% en 1998. Cette augmentation évolue jusqu’à 2004 avec un taux de prévalence de 28,6%, puis passe à 27,2% en 2009. En 2018, l’OMS estime que la prévalence du tabagisme en Algérie a baissé et passe à 20% dans la population totale », a précisé l’experte qui s’apprête à publier un livre sur le tabagisme en Algérie.
Pour situer l’ampleur de ce phénomène, elle a noté qu’avec les changements de mode de vie, notamment le développement des comportements à risque, en l’occurrence le tabagisme chez les jeunes, « les maladies chroniques et non transmissibles occupent une place de plus en plus importante dans le profil épidémiologique et représentent actuellement un problème majeur de santé publique ».
« Ainsi, a-t-elle expliqué, les maladies cardiovasculaires, les cancers, les affections respiratoires chroniques et les maladies métaboliques constituent une cause importante de morbidité, de mortalité et d’invalidité et pèsent lourdement sur le système de santé algérien ».
En 2014, les données du ministère de la Santé indiquaient que 70 % des cancers de la trachée, des bronches et du poumon, 42% des cancers de la bouche et de l’oropharynx, 42 % des cancers de l’£sophage, 28 % des cancers de la vessie et 22% des cancers du pancréas sont liés au tabac. En outre, 90% des cancers du poumon surviennent chez les fumeurs en Algérie, a-t-elle observé.
Le tabagisme, comme facteur seul et/ou associé, est compté parmi les facteurs à l’origine des maladies cardiovasculaires en Algérie. A cause du tabagisme, ces dernières années, ces maladies sont en nette augmentation chez les jeunes en Algérie, a déploré l’experte.
De plus, 500.000 fumeurs passifs sont victimes de pathologies respiratoires chroniques.
Selon une étude réalisée en 2015 et citée par l’experte, le tabagisme « affecte sensiblement la population vulnérable en affaiblissant le pouvoir d’achat des fumeurs et de leurs familles, en amoindrissant leur épargne familiale ou carrément en contribuant à leur paupérisation ».
A cause du tabagisme, des familles ne se permettent pas une meilleure alimentation, dont certains membres sont privés du panier alimentaire de base. D’autres familles auraient pu faire mieux pour protéger la santé de leurs enfants et investir dans leur éducation, nourriture, vêtement, etc.
Par ailleurs, les fumeurs malades supportent des coûts extrêmement élevés dus à leur maladie. Les paiements directs des soins des maladies imputables au tabagisme sont exorbitants pour les malades pauvres et appauvrissent davantage les plus défavorisés, selon le constat établi dans cette étude.
Les employeurs assument également des coûts directs et indirects engendrés par le tabagisme de leurs employés: absentéisme et baisse de productivité à cause de maladie.
Selon la même étude, le traitement du cancer des poumons dû au tabagisme en Algérie coûterait quelque 272 milliards DA pour le système de santé national chaque année.
Consciente des dangers que représente le tabagisme pour la santé publique et de ses répercussions économiques, l’Algérie a ratifié, il y a 12 ans, la Convention-Cadre de Lutte Anti Tabac (CCLAT OMS), à travers laquelle les pays signataires sont tenus d’appliquer, dans la mesure du possible et selon les capacités techniques, humaines et financières, un programme comportant six stratégies.
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Viele Jutzer und sogar etwas Country: Hansueli Oesch wird zu seinem 60. Geburtstag von seiner Familie geehrt.
Sie sind die erfolgreichste Familien-Gruppe der Schweiz, begeistern seit Jahrzehnten das Land. Oesch’s Die Dritten gehören aber auch zu den wichtigsten Schweizer Musik-Exporten: Sie haben von Amerika bis China bereits in 16 Ländern Konzerte gegeben. Immer im Mittelpunkt: Jodlerin Melanie Oesch (30).
Album nach Vätus GeschmackZum 60. Geburtstag ihres Familienoberhauptes Hansueli «Üelu» Oesch (59) Mitte Juli verändert sich nun aber die Optik. Der Scheinwerfer wird neu auf den Vater gerichtetet. «Vätu’s Wunschliste» heisst die CD, mit der er von der Familie gewürdigt wird. Sie beinhaltet vierzehn Titel, darunter ein alter Schlager, ein Ländler, ein Country-Song, ein Blues und einen Naturjutz. «Eigentlich wissen wir schon lange, dass es Vätus Wunsch ist, einmal ein Album ganz nach seinem Gusto zu gestalten», erklärt Melanie Oesch. «Zeitlich haben wir es aber immer wieder aufgeschoben – bis jetzt!»
Musiker nicht als HauptberufHansueli Oesch stand schon als Bub auf der Bühne. Damals zog er mit seinem Vater Hans (1936–2004) jodelnd durch die Schweiz. Mit elf erlernte er das Schwyzerörgeli – und ist dem Instrument bis heute treu geblieben. Er spielte bei den Jodlerfründe vo Stauffenalp, beim Schwyzerörgeliquartett Stockhorn und dem Trio Oesch. Hauptberuflich bewirtschaftete er den Familienhof in Schwarzenegg BE und arbeite als Pöstler.
Zusammen mit Gattin Annemarie (55) und den drei Kindern Melanie (30), Mike (29) und Kevin (27) gründete er Mitte 90er-Jahre Oesch's Die Dritten – und prägte mit ihnen in den letzten Jahren die Schweizer Volksmusik. «Vätu hat uns die ersten musikalischen Schritte beigebracht und mit uns früher stundenlang Lieder einstudiert, die wir ausgesucht hatten», erinnert sich Melanie. «Er hat uns immer machen lassen.»
Um ihn zu ehren, würden sie nun für einmal seine Wünsche berücksichtigen. «Dass wir die Vätu-CD just zu seinem 60. Geburtstag veröffentlichen dürfen, macht das Projekt umso schöner für uns», schwärmt Melanie.
Lenkt sich unsere Autorin Alexandra Fitz mit Kinderkram vom Alltag ab, wird sie schon mal ausgelacht. Doch das ist ihr egal. Denn Einschlafen mit Bibi Blocksberg ist eh besser als ohne!
«Werd mal erwachsen» – das ist mit das Schlimmste, was man von mir verlangen kann. Es bedeutet, dass ich noch ganz schön lila hinter den Ohren bin, auf jeden Fall nicht ready für die grosse Welt. Und – das beunruhigt mich mehr – das Gegenüber rät mir zu etwas, das ich gar nicht will. Etwas, das ich mehr nicht will als alles andere. Erwachsen sein ist deckungsgleich mit Verantwortung, Vernunft und Gewohnheit. Also Langeweile.
Es gibt Sprüche, die mein Gefühl ganz gut beschreiben: «Werdet bloss nicht erwachsen, das ist eine Falle!» Gerne würde ich öfters antworten: «Ich bin nicht erwachsen, ich seh nur so aus.» Oder mir selber sagen: «Mit über 30 noch nicht erwachsen? Dann kann ich es jetzt auch lassen!»
Die Aufforderung, erwachsen zu werden, ist auch absurd. Wir sind doch alle noch ein bisschen Kind, zumindest bewahren wir uns etwas Kindliches. Eine Gewohnheit, die einen in unschuldige, heitere und zuckersüsse Kindertage zurückversetzt. Eine, die einen Moment schafft, weit weg von der bitterbösen Realität und dem nervenden Alltag, und einem stattdessen ein warm-wohliges Gefühl gibt. Das schafft mein Kinderkram.
Wenn ich davon erzähle – das mach ich selten –, lachen die Leute oft. So wie es eben Erwachsene bei ganz Kleinen tun. Das kann mir absolut nichts anhaben. Letztlich bin ich in dem Augenblick ein Kind, oder? Null Verantwortung, null Rechtfertigungsdrang. Ich fragte mein Umfeld, ob es auch an etwas aus vergangenen Tagen festhält. Und staunte.
Der eine zieht auf dem Balkon Bohnen, weil es ihn an sein Zuhause erinnert, und kauft Fischstäbli, obwohl jeder weiss, dass in diesem gepressten Fischmocken wahrlich nichts Gutes drin sein kann. Eine Freundin erzählt von einem Babybrei, den sie früher bekam, und wie sie noch heute Rüebli, Kartoffeln, Milch und Butter püriert und löffelt. Eine andere läuft immer noch am liebsten barfuss herum, wie damals als Kind, und schmeisst nach wie vor Pyjamapartys wie zu Schulzeiten. Und Sie, was haben Sie aus Ihrer Kindheit konserviert?
Mein Überbleibsel heisst übrigens Bibi Blocksberg. Die kleine Hexe, die sanfte Stimme des Sprechers und das Zischgeräusch nach einem Hexenspruch versetzen mich zurück in mein Kinderzimmer in den 90ern. Die Wirkung ist noch heute dieselbe: Ich kann gut einschlafen.
In this section you will find videos of Federica Mogherini, EU HR for Foreign Affairs and Security Policy, at the European Parliament.
(B2) Depuis les attentats de mars 2016, la Belgique semblait être repassée dans une zone plus calme, même si le couvercle était à peine posé sur une situation difficile. L’attaque à Liège ramène la question de la radicalisation, de la prison, à défaut du terrorisme pur, sur le devant de l’actualité.
Une attaque au couteau
Il était 10h30 environ dans le centre de Liège à hauteur du café des Antonins sur le boulevard d’Avroy lorsqu’un homme est arrivé derrière deux policières sur la voie publique, les agressant mortellement au couteau. Il en profite pour dérober l’arme d’un des policiers. Il se dirige ensuite vers l’Athénée Léonie de Waha (un des gros lycées de la ville), tout proche. Au passage, il abat un jeune de 22 ans qui se trouvait dans un véhicule stationné sur le côte. Dans le lycée, il prend une femme de service en otage.
Une pénétration dans un lycée de Liège
La police (notamment le peloton anti-bandistime) intervient rapidement et abattent l’agresseur. Au bilan final : trois tués ainsi que l’auteur des coups de feux. Quatre policiers ont été blessés par balles : deux policiers en civils de la brigade judiciaire au bras et deux hommes du peloton anti-banditisme à la jambe, l’un d’eux plus légèrement atteint a pu sortir de l’hôpital ce mardi soir. Tous les élèves ont été confinés dans les classes d’abord, puis ensuite rassemblés dans le Jardin botanique, sous protection de la police.
Des éléments terroristes
Le parquet fédéral belge à été saisi, indiquant qu’il y avait des éléments terroristes dans cette attaque. « L’objectif de l’assassin était de s’en prendre à la police, c’est ce qu’il a fait d’emblée en se dissimulant derrière les deux agents de police, et après les avoir poignardées sauvagement dans le dos » indique Christian Beaupère le chef de la police de Liège, lors d’une conférence de presse ce matin à Liège.
Une radicalisation en prison
Très vite, le nom de l’auteur des faits est apparu : Benjamin Herman, un homme de 36 ans, originaire de Rochefort, condamné notamment pour trafic de drogues et pour divers faits de délinquance. Détenu à la prison de Marche-en-Famenne (une prison moderne), il était « en congé pénitentiaire de deux jours pour préparer sa réinsertion en vue de sa libération prévue en 2020 » indique la RTBF. Il s’est « converti à l’Islam en fréquentant un autre prisonnier à Arlon » et radicalisé en prison, a confirmé le ministre de la Justice Koen Geens, lors d’une interview sur la Première mercredi matin (30 mai). Il était fiché depuis 2017 par la Sûreté de l’Etat.
La police visée
Pour le bourgmestre de Liège, Willy Demeyer, « c’est la police [surtout] qui était visée » et pas tellement la population. « Plusieurs signes l’indiquent ». « Il s’agit d’un loup solitaire » a confirmé de son côté le ministre de la Justice Koen Geens. L’OCAM, l’office d’évaluation des alertes, a maintenu le niveau 2 de l’alerte principale.
(Nicolas Gros-Verheyde)
Mis à jour mercredi 30 mai
Cet article L’attaque de Liège va ressusciter le débat sur la radicalisation en prison est apparu en premier sur Bruxelles2.
By Danielle Nierenberg and Emily Payne
NEW ORLEANS, United States, May 29 2018 (IPS)
Many factors contribute to the cost of a tomato. For example, what inputs were used (water, soil, fertilizer, pesticides, as well as machinery and/or labor) to grow it? What kind of energy and materials were used to process and package it? Or how much did transportation cost to get it to the shelf?
But that price doesn’t always reflect how the plant was grown—overuse and misuse of antibiotics, water pollution from pesticide runoff, or whether or not farm workers harvesting the tomatoes were paid a fair wage. It turns out cheap food often comes with an enormously expensive cost to human and planetary health.
Agricultural production, from clearing forests to producing fertilizer to packaging foods, contributes 43 to 57 percent of global greenhouse gas emissions (GHG). And almost 40 percent of all food that is produced is lost or wasted. As that food decomposes in landfills, it releases methane, which is 25-times more potent of a GHG than carbon dioxide—in fact, landfills are the third-largest source of human-related methane emissions in the U.S.
Often, today’s food systems are incentivized to favor low-cost, processed foods. Corporations and large-scale producers are often subsidized to grow select staple crops, which are typically grown in monocultures using practices that strip soils of nutrients. And it’s becoming increasingly clear that poor diets have produced a global public health crisis.
Six of the top eleven risk factors driving disease worldwide are diet-related, and the World Health Organization estimates the global direct costs of diabetes to be more than US$827 billion per year.
To feed 10 billion people by 2050, we need to start thinking of food production, health care, and climate change as interconnected. As the world’s population grows, so does the need for more resilient food and agricultural systems that address human need while minimizing environmental damage and further biodiversity loss.
In a recent report by The Economics of Ecosystems and Biodiversity for Agriculture & Food (TEEBAgriFood), a new framework was developed to look at all the impacts of the value chain, from farm to fork to disposal. The framework hopes to give policymakers, researchers, and citizens more reliable information on the real and unaccounted for costs of our whole food system—not just parts of it.
This type of systems thinking supports a shift away from measuring the success of food production by metrics like yield per hectare, which fails to provide a complete picture of the true, often invisible costs of the entire system.
Changemakers across the globe are rising to this challenge and bringing sustainable and regenerative practices into the farming of the future. Recognizing that farming is in a period of transition, they are helping build a system that increases food production to meet a growing population while reducing harm on the environment and feeding those in need.
It’s now easier than ever to access resources and learn how our everyday decisions impact not just ourselves, but our environment and public health. The Barilla Center for Food & Nutrition developing the Double Pyramid to help people make food choices which are both healthy for people and sustainable for the planet. And recognizing carbon footprints and water footprints allow individuals to better understand how deeply intertwined the food system and climate change are.
No one person or organization will be able to fix this food system. Businesses, policymakers, farmers, and, of course, eaters have a responsibility to help protect natural resources, improve social equity, and create a more sustainable food system through more informed decisions and responsible consumption.
The post Are You Paying Enough for Your Food? appeared first on Inter Press Service.
Excerpt:
Danielle Nierenberg is Founder and President of Food Tank. Emily Payne is a food and agriculture writer based in New York
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