«Zokwezo», une comédie grinçante sur l’intolérance et le non-respect des différences, a été présentée, samedi dernier, sur les planches du Théâtre national Mahieddine-Bachtarzi d’Alger. Représentant la Suisse au 9e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB,14-22 octobre)
, la pièce, produite en 2016 par la compagnie théâtrale Cie Aspara, raconte l’histoire d’une femme et d’un homme emmurés dans leurs appartements respectifs et assujettis aux pesanteurs sociales entravant leur amour naissant. Sur un texte du Congolais Julien Mabila Bissila, inspiré du film «Une journée particulière» de l’Italien Ettore Scola, le spectacle fait le procès de l’intolérance et du non-respect des différences à travers l’histoire d’un jeune informaticien africain et une mère célibataire suissesse, délaissée par un mari volage. Sur scène, Delphine (Silvea Barreiros) passe son temps à broyer du noir devant son ordinateur et la télé, qui fonctionnent au gré de la disponibilité du courant électrique dans la ville, et son voisin de palier (Roddy Molinet), un jeune informaticien renvoyé de son boulot en raison de ses orientations sexuelles jugées homophobes. Cloîtrés dans leurs appartements, le jeune noir et sa voisine blanche, finissent -au bout de quelques rencontres- par devenir amis et, affinité aidant, amoureux malgré les différences de race et de couleur. Outre l’Algérie, des troupes et compagnies théâtrales de Tunisie, d’Egypte, de France et d’Italie entre autres prennent part au 9e FITB qui se clôture aujourd’hui au Théâtre régional Abdelmalek-Bouguermouh de Béjaïa.
The post «Zokwezo», du théâtre suisse humaniste à Alger appeared first on .
Nach der Ankündigung Merkels, Waffenlieferungen nach Saudi-Arabien per sofort zu stoppen, fordert FDP-Politikerin Corina Eichenberger auch die Schweizer Regierung zu einer sofortigen Reaktion auf.
Nach der Ermordung des saudischen Journalisten und Regimekritikers Jamal Khashoggi (†59) zieht Deutschland die Konsequenzen. Man werde Riad vorläufig keine Rüstungsgüter mehr liefern, sagte Angela Merkel gestern Abend an einer Medienkonferenz in Berlin. Auch für ein international koordiniertes Vorgehen gegen Saudi-Arabien sprach sich die Kanzlerin aus.
Auch in der Schweiz werden die Stimmen lauter, die eine entschiedene Reaktion Berns gegen die Regierung Riads fordern – sogar aus dem bürgerlichen Lager. Die Aargauer FDP-Nationalrätin Corina Eichenberger sagt zu Radio SRF, dass es «der Schweiz gut anstehen» würde, wenn sie «bis zur absoluten Klärung der Verhältnisse» offene Gesuche um Waffenlieferungen vorerst sistierte.
Auch SP-Präsident Christian Levrat fordert einen Lieferstopp. «Die Schweiz muss unverzüglich jeglichen Export von Rüstungsgütern ins saudische Königreich stoppen», sagte er gestern zur «NZZ am Sonntag». Der Westschweizer fordert zudem die Suspendierung sämtlicher Verhandlungen mit dem saudischen Königreich – auch derjenigen über den automatischen Informationsaustausch im Steuerbereich.
Schweizer lieferten Saudis Waffen für 4,7 Mio. FrankenBeim Bundesamt für Wirtschaft (Seco) allerdings sieht man keinen Handlungsbedarf. Sprecher Fabian Maienfisch weist darauf hin, dass Saudi-Arabien für Schweizer Waffen schon jetzt «quasi gesperrt» sei. Seit 2009 habe der Bundesrat die Praxis etabliert, der zufolge nur einzelne Hand- und Faustfeuerwaffen zu ausschliesslich privaten Zwecken und Ersatzteile für früher bewilligtes Kriegsmaterial in den Golfstaat exportiert werden könnten, sagt er. Güter, die im Jemen-Krieg eingesetzt werden könnten, sind für die Ausfuhr gesperrt.
Ob derzeit Gesuche aus Saudi-Arabien hängig sind, dazu äussert sich das Seco nicht. Zu laufenden Geschäften könne man keine Stellung nehmen, sagt Sprecher Maienfisch. 2017 hat die Schweiz Kriegsmaterial im Wert von 4,7 Millionen Franken nach Saudi-Arabien exportiert. Damit liegt der Golfstaat auf Rang 19 der grössten Rüstungsempfänger. Zum Vergleich: Mit knapp 118 Millionen auf Platz 1 lag im vergangenen Jahr Deutschland.
Botschafter zum dritten Mal einbestelltWährend die Schweiz in Sachen Rüstungsexporten kein Zeichen setzen will, wird der Bund auf diplomatischer Ebene tätig. Heute bestellt das Aussendepartement schon zum dritten Mal den saudischen Botschafter ein.
Zudem steht ein offizieller Besuch des Königreichs, der für nächstes Jahr geplant war, auf der Kippe. Ueli Maurer, nächstes Jahr Bundespräsident, wollte zusammen mit Vertretern des Finanzplatzes nach Saudi-Arabien reisen. Die Reise werde angesichts der jüngsten Entwicklung nun überprüft, teilte das Eidgenössische Finanzdepartement mit. (lha)
ALGER- Huit (8) personnes ont perdu la vie et 6 autres ont été blessées dans des accidents de la circulation survenus au cours des dernières 24 heures dans plusieurs régions du pays, indique lundi un bilan établi par les services de la Protection civile.
La wilaya de Djelfa déplore le bilan le plus lourd avec le décès de 2 personnes suite au renversement d’un camion sur la R.N 46, dans la commune de Zaafrane.
Durant la même période, les secours de la Protection civile sont intervenus dans la wilaya de Constantine pour évacuer un enfant, mort par noyade dans une mare d’eau dans commune d’El Khroub.
Les unités de la Protection civile sont également intervenus dans la wilaya de Relizane pour évacuer 48 personnes victimes d’une intoxication alimentaire vers l’hôpital de la commune de Zemmoura.
The post Accidents de la circulation: 8 morts et 6 blessés au cours des dernières 24 heures appeared first on .
En marge de la célébration de la Journée nationale de la presse, ce lundi 22 octobre 2018, BOMARE COMPANY présente à cette occasion, ses vœux de réussite et de prospérité à l’ensemble de la corporation de la presse algérienne.
BOMARE COMPANY exprime sa reconnaissance envers la presse nationale pour son accompagnement et son soutien, saluant son dévouement et son professionnalisme.
Souhaitant conforter son partenariat avec les médias algériens, BOMARE COMPANY lance en cette occasion le « média club » de Stream System, qui sera le point de rencontre incontournable des parties prenantes de la presse nationale, tous supports confondus et l’endroit propice à la mise en débat et au partage d’expériences.
The post Journée nationale de la presse: BOMARE COMPANY présente ses meilleurs vœux à la presse algérienne appeared first on .
ALGER – Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a annoncé lundi, que le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, avait ordonné au gouvernement, la prise en charge « immédiate », des victimes des dernières intempéries ayant touché certaines wilayas.
« Le Président Bouteflika a instruit la prise de mesures urgentes en vue d’effacer les séquelles des dernières intempéries ayant touché nombre de wilayas et la prise en charge immédiate de leurs victimes, tout en anticipant ces risques, à travers une bonne préparation tout au long de l’année », a indiqué M. Bedoui dans son allocution d’ouverture des travaux de la rencontre nationale sur la gestion des risques de catastrophes, placée sous le thème « Pour une plus grande capacité de résilience ».
A ce propos, le ministre a affirmé que le président de la République avait accordé « une période de six (06) mois pour procéder à l’actualisation de la stratégie nationale de prévention contre les risques des catastrophes naturelles et à la définition de ses perspectives à l’horizon 2030, parallèlement aux stratégies locales spécifiques à chaque wilaya qui tiennent compte des caractéristiques de chaque région et aux plans d’action sectoriels pour la même période visant à mettre en oeuvre la stratégie nationale, conformément aux recommandations des Nations-Unies en la matière ».
« Les décisions du Président Bouteflika et son appui important à cette rencontre se veulent une feuille de route pour les participants, appelés à s’enquérir de la réalité sur le terrain lors de la formulation de leurs recommandations relatives à la stratégie, tout en plaçant la prévention et la gestion des risques des catastrophes au coeur de l’approche de gestion centrale ou locale et en mettant l’accent sur le rôle de la société civile et du citoyen, en tant qu’acteur essentiel dans cette équation complexe, en ayant un comportement civilisé envers son environnement », a-t-il ajout
The post Prise en charge « immédiate » des victimes des dernières intempéries (le Président Bouteflika) appeared first on .
Le MC Alger a frappé un gros coup lors de la 11e journée du Championnat de Ligue 1 Mobilis de football, disputée vendredi et samedi, en ramenant une victoire (1-0) de son déplacement chez le CA Bordj Bou-Arréridj, au moment où le MO Béjaïa et l’AS Aïn M’lila se sont neutralisés (0-0) tout comme le CS Constantine et l’O.Médéa.
Sur sa lancée, le Mouloudia qui restait sur deux victoires consécutives, a fait la différence grâce au défenseur Ayoub Azzi, ayant trompé son ancien coéquipier, Fawzi Chaouchi, d’une tête plongeante, après un centre tendu du capitaine Abderrahmane Hachoud. Un précieux succès en déplacement qui propulse «Le Doyen» à la 3e place du classement général, ex aequo avec l’Entente de Sétif, avec 18 points pour chaque club, au moment où le CABBA reste scotché à la 12e place, avec 11 points. De son côté, le MO Béjaïa s’est neutralisé avec l’AS Aïn M’lila (0-0). Un résultat qui n’arrange aucune des deux équipes, même si celles-ci ne sont pas vraiment en danger, puisque le MOB est 7e, ex aequo avec le CS Constantine (14 points), alors que l’ASAM est 10e avec 12 unités. Un peu plus tôt dans l’après-midi, le CS Constantine s’était neutralisé à domicile avec l’Olympique de Médéa, sur le score de zéro partout.
Un résultat qui arrange beaucoup plus l’équipe visiteuse, car elle lui permet de réaliser une petite avancée au classement général, au moment où le CSC, Champion d’Algérie en titre, reste dans le ventre mou du classement. Le bal de cette 11e journée a été ouvert vendredi, avec le déroulement de trois gros matchs, et le suspense était dès lors au rendez-vous, puisque chacune de ces rencontres a connu des faits marquants, à commencer par le derby NAHD-CRB, où le Chabab, actuellement lanterne rouge, a réussi à terrasser sa « traditionnelle bête noire» (2-0). Une issue qui était loin d’être évidente, car outre son statut de bête noire, le Nasria se porte bien en ce début de saison. Le CRB l’a emporté grâce à Djerrar (33′) et Chettal, qui avait transformé un penalty à la 86′, mais reste bon dernier au classement général, avec six unités au compteur, alors que le NAHD, malgré la défaite reste solidement accroché à la 4e place, avec 16 points. Autre match à rebondissements, celui qui a mis aux prises la JS Saoura et le Paradou AC, puisqu’après avoir ouvert le score par Bouladouidet (43′), l’équipe locale a concédé l’égalisation devant Bouabta (55e), avant de se retrouver menée, sur un but de Zorgane (82e). Il a fallu attendre les cinq dernières minutes du temps réglementaire pour voir le renard des surfaces, Mustapha Djallit sauver les meubles (2-2) et éviter à son équipe une défaite amère à domicile.
Les débats de cette 11e journée se poursuivront mardi, avec le déroulement du match DRB Tadjenanet – USM Bel-Abbès (17h30), et s’achèveront le 29 novembre, avec le choc USM Alger – ES Sétif. Un match entre clubs de haut de tableau, prévu à partir de 17h45 au stade Omar-Hamadi de Bologhine.
Résultats partiels
Vendredi :
NA Husseïn Dey – CR Belouizdad 0-2
MC Oran – JS Kabylie 0-0
JS Saoura – Paradou AC 2-2
Samedi :
CS Constantine – Olympique Médéa 0-0
MO Béjaïa – AS Aïn M’lila 0-0
CABB Arréridj – MC Alger 0-1
Mardi, 23 octobre
A Tadjenanet : DRB Tadjenanet – USM Bel-Abbès (15h00)
Jeudi, 29 novembre
USM Alger – ES Sétif (17h45)
Classement
Pts J
1). USM Alger 23 10
–). JS Kabylie 23 11
3). ES Sétif 18 10
–). MC Alger 18 11
5). NA Husseïn Dey 16 11
6). JS Saoura 15 11
7). CS Constantine 14 11
–). MO Béjaïa 14 11
9). MC Oran 13 11
10). O. Médéa 12 11
–). AS Aïn M’lila 12 11
12). CABB Arreridj 11 10
13). Paradou AC 10 10
14). DRB Tadjenanet 8 10
15). USM Bel-Abbès 7 10
16). CR Belouizdad 6 11
The post Ligue 1 Mobilis (11e journée): Le MC Alger enchaîne, le CS Constantine n’avance plus appeared first on .
La consommation de drogue et de psychotropes prend une ampleur périlleuse en Algérie. Le nombre de toxicomanes augmente chaque année et touche toutes les couches sociales et tous les âges. D’après les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la consommation de drogue dans chaque société à travers le monde représente près de 6% de la population. Pour se mettre à l’abri de ce fléau mortel, tout le monde doit s’impliquer, à commencer par la cellule familiale, l’environnement social et l’action effective de tous les acteurs sociaux.
Pour faire état sur la gravité de cette situation, nous vous proposons à lire le dernier bilan établi, dressé par l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie, où les chiffres rendus publics dernièrement par ce service sont sans doute alarmants. Durant les huit premiers mois de l’année 2018, la quantité de cocaïne saisie a très fortement augmenté, passant de 3.951,4 grammes durant les huit mois de l’année 2017 à 670.225,3 grammes à la même période de 2018. Pour ce qui est de la quantité d`héroïne saisie, elle a également augmenté (+13,27%) passant de 985,7 grammes à 1.116,5 grammes durant la même période de référence. Quant aux psychotropes, le bilan relève aussi une hausse de 28,2% des quantités saisies, passant de 746.424 à 957.403 comprimés durant cette même période.
De la toxicomanie à la pharmacodépendance
Les experts livrent des diagnostics sans complaisance sur la situation des toxicomanes en Algérie. Ils affirment que la prise en charge de ces personnes droguées est très coûteuse, tout en avouant que le pays compte deux centres de cure seulement, un à Blida et l’autre à Oran. Pour une population de près de 40 millions d’habitants c’est insuffisant. D’après un médecin généraliste, Dr Fahima B. nous a fait savoir que : «la stratégie nationale de lutte contre la drogue est basée sur deux volets ; la répression et la sensibilisation. Dans ce cadre, il faut savoir que tous les soins sont répartis sur le territoire national pour prendre en charge les personnes toxicomanes qui sont très nombreuses en Algérie.» Avant de parler sur la toxicomanie, notre interlocutrice a bien voulu prendre le soin pour bien déterminer la situation, elle s’est expliqué sur les drogues en disant : «Il faut savoir qu’à l’heure actuelle nous ne parlons plus de toxicomanie mais de pharmacodépendance. Et il faut quand même définir ce qu’est une drogue.
La drogue est une substance naturelle ou synthétique licite ou illicite qui modifie la conception de la réalité en agissant sur le système nerveux central.» Concernant les nouvelles drogues qui envahissent notre pays, Dr Fahima indique que : «De nouvelles drogues de synthèse existent dans le monde et non seulement en Algérie avec des produits qu’on ne connaissait pas, il y a parfois des symptômes qu’on ignore, donc au bout d’un cas ou deux cas on apprend sur le tas avec ces nouvelles drogues de synthèse. Je vous donne un exemple, un jour j’ai traité une patiente qui a pris le G.H.B. sans savoir la dose qu’elle peut supporter. Vous savez, en petites quantités le G.H.B. est un euphorisant, mais à haute dose il crée des trous de mémoires, il est connu sous le nom du drogue de violeur. Ces risques se répercutent sur la perte de connaissance et le faite que le malade ne soit pas conscient de ce qui se passe autour de lui c’est très vulnérable, et c’est ce qui est arrivé à cette fille que je l’ai soignée, elle a eu des attaquescardiaques, tensionnelle et respiratoires.»
Lorsque les conditions socio-environnementales poussent les jeunes à sniffer
Par ailleurs, nous avons interrogé un autre toubib sur les raisons qui poussent les jeunes à consommer la drogue. Notre interlocuteur explique. «Les jeunes sont très curieux, ils veulent essayer absolument tout ! Expérimenter un produit dont il a entendu parler à plus forte raison si c’est interdit, un peu comme la première cigarette. Vient ensuite la pression du groupe et l’effet de mode pour ne pas être exclu et marginalisé. Il y a aussi les conduites à risque, le plaisir, car la drogue procure du plaisir qui est malheureusement éphémère. D’autres aspects entrent en considération, tels que la convivialité, notamment le cannabis consommé lors de fêtes et soirées privées. Et pour finir, les conditions socio-environnementales. Il faut savoir que la drogue touche tous les milieux. Elle ne fait pas de différence sociale, mais quand on survit dans la misère, la précarité, sans emploi et parfois même sans logement, on peut facilement fuir dans la drogue. Ajouter à cela la pauvreté du paysage culturel et l’injustice sociale, la drogue reste la seule échappatoire. On consomme pour fuir une réalité insupportable et mettre à distance tout ce qui pose problème. »
Ces substances pharmaceutiques fortement prisées
Dans ce récit, nous avons fait appel aux témoignages de spécialistes en pharmacie, car à partir des officines pharmaceutiques, toutes sortes de médicaments et autres substances médicalement certifiées y sont disponibles. Ainsi avec B. Mustapha, pharmacien de son état, nous avons évoqué avec lui ce sujet, sans pour autant qu’il sache l’objet de notre mission. Il dira à ce propos qu’«aujourd’hui, il y a plusieurs variétés de substances utilisées. Il y a les stimulantes telles que les antiparkinsoniens de synthèse, l’artane, parkidol. Il y a également la cocaïne, amphétamines, ecstasy, solvants, diluants. Il y a les excitants, comme la caféine, la nicotine, l’alcool à faible dose. Il y a aussi la famille des sédatifs comme les hypnotiques, tranquillisants essentiellement les benzodiazépines, comme le rivotril, diazépam et maintenant bromozépam (kiétyl). Il y a les opiacées et dérivés d’opium, la codéine, la morphine, tramgésic et l’héroïne. » Il souligne que la loi interdise la commercialisation de ce genre de médicament, seulement les malades qui ont des ordonnances qui peuvent s’approvisionner. Par contre, il n’a pas exclu l’idée que ces médicaments se vendent illégalement chez les trafiquants de drogue…
600 000 toxicomanes en 2016 Près de 100 000 EN PLUS aujourd’hui
Le recensement de 600 000 toxicomanes en 2016 en Algérie interpelle davantage et appelle à la vigilance et à la lutte contre le fléau de la drogue, selon le président de l’Instance nationale de promotion de la santé et de développement de la recherche, Mustapha Khiati, qui a indiqué que l’étude menée dernièrement par l’Office national de lutte contre la toxicomanie et la drogue fait état de 600 000 toxicomanes à travers le pays recensés en 2016.
«Il faut intensifier les efforts à tous les niveaux pour lutter contre le danger de la toxicomanie », a-t-il insisté, soulignant que la lutte contre la drogue est devenue l’affaire de tous.
« La violence en milieux scolaire et familial a une relation directe avec l’addiction », a soutenu le professeur Khiati, ajoutant qu’une stratégie doit être mise au point par tous les acteurs de la société civile, parents d’élèves, afin de faire face à ce fléau.
« La drogue conventionnelle n’est pas le seul danger pour les jeunes », a-t-il souligné, ajoutant qu’ »il faut mettre en place une stratégie de lutte contre la cybercriminalité, d’où la vigilance des parents. »
B.M. Wali
The post La lente et dangereuse plongée des jeunes dans l’univers psychédélique : De la toxicomanie à la pharmacodépendance appeared first on .
L’international algérien Ryad Mahrez a contribué au large succès de Manchester City contre Burnley (5-0) en inscrivant le quatrième but de son équipe et son 3e en championnat d’Angleterre cette saison. Aligné pour la deuxième fois de suite dans le onze de départ par l’entraîneur Pep Guardiola, Mahrez a marqué le quatrième but de Manchester City à la 83e minute. L’ailier algérien a nettoyé la lucarne gauche d’un tir enveloppé des 25 mètres, un véritable bijou. A la faveur d’une bonne prestation durant les 90 minutes, le joueur algérien a été élu «Homme du match». C’est le troisième but en Premier League cette saison de l’ancien joueur de Leicester sous les couleurs des Citizens, après avoir réussi un doublé contre Cardiff City. Mahrez avait également marqué un but en Coupe de la Ligue. A la faveur de ce succès, Manchester City s’empare de la tête du classement provisoirement avec 23 points en attendant le match de Liverpool contre Huddersfield.
The post Premier League: Mahrez signe un but d’anthologie contre Burnley appeared first on .
La parenthèse Bouhadja à la tête de l’Assemblée populaire nationale est en cours d’être définitivement fermée, si l’on croît les dires des membres de la Commission juridique de l’APN.
Selon son président, une séance plénière sera bientôt organisée pour élire le nouveau président de l’Assemblée nationale, qui mènera à terme ce qui reste du mandat du président sortant. En termes clairs, la parenthèse Bouhadja sera définitivement fermée et il n’y aura alors plus aucun recours à faire de la part de celui-ci, «qui fait désormais partie du passé». Pourtant, Bouhadja continue à dire, à qui veut l’entendre, qu’il demeure le président légal de l’Assemblée nationale, et que tout ce qui a été fait est illégitime, illégal et frappé de nullité. Bouhadja prévoit même demain une « descente » à son bureau à l’Assemblée nationale, « si les conditions de sécurité le permettent », estimant que ceux qui ont cadenassé les portes du Parlement « peuvent porter atteinte à son intégrité physique ».
Bouhadja, indémontable, affirme qu’il va reprendre ses activités en se rendant à son bureau. S’il le fait, des soucis sont à craindre : soit on lui porte atteinte, et là, il fera figure de victime et s’entourera d’une nouvelle légitimité, soit en le laisse faire et on élit un nouveau président, et là, on va avoir un scénario inédit avec la perspective de voir deux présidents à la tête de la Chambre basse du Parlement.
Les partis de la majorité qui ont déclaré « vacant » le poste de président sont conscients de la fragilité des choses et tentent maintenant de ne pas faire l’erreur de trop. Car il faut bien penser à tous les scénarios et penser que si Bouhadja s’avise de regagner son bureau, comme il le proclame, il y a de fortes chances de voir sa décision de demeurer «président de l’APN » prendre des virages vaudevillesques et aboutir à des résultats aux conséquences lourdes sur l’image de l’Algérie et de ses institutions aux yeux de la communauté internationale.
I.M. Amine
The post Le spectre d’une Assemblée « bicéphale » plane sur l’Hémicycle: Une séance plénière de l’APN pour élire un nouveau président appeared first on .
Entamé par des lycéens des Ath Zemenzar à Tizi-Ouzou, dimanche dernier, le boycott des cours de langue arabe est en train de gagner du terrain et de prendre des proportions alarmantes. Hier, une dizaine d’établissements scolaires des trois paliers éducatifs ont été paralysés dans de nombreuses régions de Kabylie.
à Ath Douala, Fréha, Aïn Zaouia, M’kira, comme à Bouzeguene, les élèves ont répondu à un appel anonyme véhiculé sur les réseaux sociaux pour le boycott des cours d’arabe en réponse au groupe de parents d’élèves de la wilaya de Jijel ayant contesté l’obligation de l’enseignement de Tamazight à leurs enfants, en septembre dernier. Alors qu’aucune réaction de la part de la tutelle n’a eu lieu depuis le début, cette action est en train de gagner du terrain et toucher tous les établissements scolaires des communes relevant de la wilaya de Tizi-Ouzou. Sur les réseaux sociaux, les internautes ont été nombreux à s’indigner contre la manipulation des élèves et l’instrumentalisation de Tamazight à des fins politiques. Selon eux, des pages sur facebook ont influencé «l’esprit juvénile», et les parents d’élèves doivent agir vite pour empêcher que la situation ne s’aggrave. Du côté des syndicats du secteur, le secrétaire général du Conseil des lycées d’Algérie (CLA), Idir Achour, a réagi en qualifiant la situation de «désolante» pour les deux parties. Selon lui, ces comportements mèneront à un conflit qui risque de prendre des ampleurs graves. à propos de la réaction des lycéens de Tizi- Ouzou, il a estimé qu’«elle n’est pas correcte» bien qu’elle soit légitime. Pour le secrétaire général du Syndicat des travailleurs de l’éducation et de la formation (SATEF), les élèves ne devraient pas tomber dans ce genre de piège bien que leur réaction soit «naturelle».
«On ne doit pas réponde à quelque chose de négatif par de l’ultra négatif», a déclaré Boualem Amoura, allusion faite à l’action initiée par les parents d’élèves «intégristes» de la wilaya de Jijel qui, selon lui, refusent le savoir. Appelant les élèves à la sagesse, et à ne pas entrer dans ce genre de provocations «inutiles», le SG du SATEF estime qu’il faut élever le niveau et surtout de s’ouvrir à tous les savoirs. Sur la question de Tamazight, notre interlocuteur a affirmé qu’elle doit être obligatoire dans tous les établissements scolaires au niveau national, et à ce que le caractère facultatif ne lui soit pas attribué. Pour finir, Amoura rejette toute instrumentalisation de Tamazight à d’autres fins tout en espérant que la grève des élèves soit très vite gelée et qu’elle n’atteigne pas les autres villes du pays.
Ania Nait Chalal
The post Ils boycottent l’enseignement de la langue arabe : La grève des élèves se généralise à Tizi-Ouzou appeared first on .
Une production de 7 560 quintaux d’arachide ‘’Bio’’ dont les grains appelés communément «cacahuètes» est attendue au titre de la campagne de cueillette 2018 qui a débutée le mois d’octobre courant dans la wilaya de Ghardaïa, a-t-on appris auprès de la Direction des services agricoles (DSA). Une superficie cumulée de près de 420 hectares a été consacrée à la culture d’arachide, principalement dans les localités de Seb Seb, Mansourah et Metlili , au sud de la wilaya, précise la même source, ajoutant que la campagne de cueillette pour cette saison est «prometteuse» . Les premières récoltes d’arachide sont cédées ce week-end, sur les étals du souk de Ghardaïa avec un prix oscillant entre 500 et 550 DA le Kilogramme, selon la taille de la gousse. De tous les produits qui s’offrent aux touristes et autres visiteurs de l’incontournable souk de Ghardaïa, ce sont les différentes variétés de dattes et l’arachide de qualité supérieure de la région de Seb Seb qui retiennent l’attention. Car bien que la production arachidière n’ait pas encore atteint sa vitesse de croisière, les cacahuètes de «Seb Seb» ont gagné une notoriété qui a dépassée les frontières de la région de Ghardaïa, a-t-on indiqué. De nombreux vendeurs professionnels achètent en gros la production arachidière de Seb Seb avant de la griller dans les fourneaux des torréfacteurs très répandus à Ghardaïa et la redistribuent ensuite en détail.
Le produit est très prisé, notamment par les touristes et autres vacanciers de passage à Ghardaïa, a fait savoir Hadj Boumediene vendeur au quartier de Theiniet El Makhzen .
L’arachide de Seb Seb est l’une des meilleures au monde, a souligné fièrement Hadj Boumediène indiquant que pour obtenir un produit d’une telle qualité, les agriculteurs de Seb Seb suivent tous la même recette : une culture biologique. Des cultivateurs des localités Seb Seb , Mansourah et Metlili accordent un grand intérêt à l’intensification de l’arachide qui constitue «une culture lucrative dénommé d’«Or brun» et qui rapporte beaucoup, notamment avec l’abondance de l’eau, l’ensoleillement et un sol sablonneux, a expliqué Khaled Djebrit , ingénieur à la DSA. Introduite dans les années trente par un agriculteur à Seb Seb, localité désenclavée située à 50 km au sud du chef-lieu de wilaya, la culture d’arachide fut généralisée dans les localités de Mansourah et Metlili dans les années soixante dix avec l’importation des semences de deux variétés d’origine égyptienne et espagnol, souligne le même technicien, ajoutant que cette culture reste au stade traditionnel dans ces régions désertiques.
Les travaux de semis sont réalisés manuellement par une centaine d’agriculteurs qui sont confrontés à de nombreux problèmes en particulier leur ignorance de l’itinéraire technique de cette culture et aux nombreux ravageurs de ce type de culture, notamment les moineaux, les rongeurs et autres prédateurs.
The post Arachides: Une récolte de 7 560 quintaux attendue cette saison à Ghardaïa appeared first on .
Credit: HOPE Foundation
By Dr Iftikher Mahmood
DHAKA, Bangladesh, Oct 22 2018 (IPS)
Solar energy has long powered homes, businesses and portable electronics. Now, it’s powering a field hospital in the middle of the world’s fastest-growing refugee camp.
Last month, my organization, the HOPE Foundation for Women and Children of Bangladesh, opened the HOPE Field Hospital for Women in the Kutupalong mega-camp for Rohingya refugees.
Here, the population density is five times above the United Nations’ recommended standard for refugee camps, and there is a dire need for more health services among this vulnerable community.
UN Women estimates that more than half of the refugee population are women and girls—and UNFPA has estimated over 64,000 pregnant women will give birth this year—many of whom have been traumatized and are suffering from injuries caused by fires, brutality, rape, gunshots, and more.
The HOPE Field Hospital for Women is the first to be opened by a Bangladeshi NGO, and the only hospital in the camp that specializes in care for women. But there is another important distinction that we are equally proud of: our field hospital is significantly powered by solar energy, at a scale not seen anywhere else in the camps.
Credit: HOPE Foundation
Solar power is unique in its ability to be brought into remote areas, to be pollution free, and to scale easily. Before the new solar installations, there were numerous times when a lack of power put women and children at risk.
One example is during the recent monsoon season, when our midwives found themselves providing care in the dark after flooding brought power outages. They worked in the conditions they had to, but as you would imagine, they were quite concerned that in the dark they might make a mistake that could harm mother or the baby. But, when a mother goes into labor, you can’t exactly tell a baby to wait for the lights to come back on.
It’s not just monsoons that cause loss of power. The hot, humid conditions in southern Bangladesh are often responsible for disruptions to the electrical service.
This is another reason why it was important to HOPE to make sure that solar energy played a key role in powering our new facility. A generous donation from the family foundation of 8minutenergy Renewables’ CEO, called the Abundant Future Foundation, helped us do just that. Five solar-powered clinics, custom-built by SOLARKIOSK in Germany, now power our field hospital’s most important and power-dependent services.
They’re ensuring that labor and delivery rooms stay well lit, that our sterilization units maintain power and that our medications and vaccinations remain refrigerated at the appropriate temperature. We’ve also incorporated solar into other areas of the hospital power grid, using this technology to fuel our indoor lighting as well as lighting around the perimeter of the hospital.
Credit: HOPE Foundation
Now, our midwives won’t have to worry about delivering in the dark. And babies who need incubators and specialized care will stay safe and warm.
Nearly one million Rohingya refugees have crossed the border to Bangladesh since the Rohingya influx began a little over a year ago.
This is the world’s fastest-growing humanitarian crisis. The last thing any aid organization wants to have to worry about is loss of power during an operation or a life-saving intervention.
Solar will be a game-changer for our ability to provide high-quality, uninterrupted care, and there is room for growth in this area. Other organizations have utilized solar power on a smaller scale in the camps. For example, UNFPA has distributed solar-powered LED lights to all of the health facilities in the camps that are open 24/7.
But investment in renewable energy on a larger scale could provide a tremendous payoff in terms of lives saved here in Bangladesh, and in refugee camps around the globe. In Jordan last year, UNHCR opened a solar plant in the Za’atari refugee camp, which supports 80,000 Syrian refugees.
In Kenya, you’ll find Africa’s largest solar-powered borehole, providing clean drinking water for refugees in the Dadaab camp in the country’s arid northern border. Renewable energy is good for the planet and the pocketbook, too, reducing emissions and saving precious dollars that aid organizations can apply toward providing critical services and procuring medicines, materials and staff to help alleviate suffering.
The HOPE Field Hospital for Women is the first facility to apply solar technology at such a scale in the Rohingya camps. Hopefully we’re just the first of many.
The post Solar Power Lights up the World’s Fastest-Growing Refugee Camp appeared first on Inter Press Service.
Excerpt:
Dr Iftikher Mahmood is Founder and President, HOPE Foundation for Women and Children of Bangladesh
The post Solar Power Lights up the World’s Fastest-Growing Refugee Camp appeared first on Inter Press Service.