Bei Barack Obama, Hillary Clinton und dem New Yorker Büro von CNN sind am Mittwoch Sprengsätze gefunden worden. Dies, nachdem bereits bei Milliardär George Soros eine Paketbombe eingetroffen war. In San Diego wurde ein Hochhaus evakuiert, in dem die kalifornische Senatorin Kamala Harris ein Büro hat. Auch BLICK war betroffen. US-Präsident Donald Trump (72) hat die Taten verurteilt, gleichzeitig aber auch die Journalisten gerügt.
Terror gegen Trump-GegnerZwei Wochen vor den US-Kongresswahlen wurde eine Paketbombe ans Büro des früheren Präsidenten Barack Obama (57) gesandt. Zudem wurde nahe des Anwesens von Bill Clinton (72) und seiner Frau Hillary (70) im Bundesstaat New York eine Bombe entdeckt. Das berichten US-Medien und die Nachrichtenagentur AP.
Der Inlandgeheimdienst FBI und die Sicherheitsbehörde Secret Service untersuchen die unheimliche Serie.
Die beiden Pakete fielen nach Angaben des Secret Service am späten Dienstag respektive Mittwoch bei der routinemässigen Kontrolle von Sendungen an Adressaten auf, für deren Schutz der Secret Service zuständig ist. Ihr Inhalt der Pakete sei dabei als «potenzielle Sprengsätze» identifiziert worden.
Wie es laut einem Bericht von CNN heisst, wurde auch ein verdächtiges Paket im New Yorker Büro des Nachrichtensenders entdeckt. Der Alarm im Time Warner Center war live auf Sendung zu hören. Die Räumlichkeiten wurden evakuiert. Die Polizei bestätigt einen Einsatz wegen eines verdächtigen Pakets in dem betroffenen Gebäude.
Kontrollierte SprengungErst am Dienstag war am Wohnsitz des Milliardärs und Demokraten-Unterstützers George Soros (88) eine Briefbombe gefunden worden. Ein Angestellter habe den Sprengsatz im Briefkasten von Soros' Anwesen in Bedford nördlich von New York entdeckt, berichteten die «New York Times» und BBC.
Soros war nicht zu Hause. Sprengstoffexperten liessen den Gegenstand kontrolliert explodieren. Wie die «New York Times» in Berufung auf offizielle Quellen berichtet, handelt es sich in allen Fällen um ähnliche Sprengsätze.
Zu den versuchten Mordanschlägen hat sich bisher niemand bekannt. (noo/SDA)
Beim ehemaligen US-Präsidenten Barack Obama, Ex-Kandidatin Hillary Clinton und dem New Yorker Büro des Nachrichtensenders CNN sind Sprengsätze gefunden worden. Dies, nachdem bereits bei Milliardär George Soros eine Paketbombe eingetroffen war. In San Diego wurde ein Hochhaus evakuiert, in dem US-Senatorin Kamala Harris ein Büro hat. Auch BLICK war betroffen.
Terror gegen Trump-GegnerZwei Wochen vor den US-Kongresswahlen wurde eine Paketbombe ans Büro des früheren Präsidenten Barack Obama (57) gesandt. Zudem wurde nahe des Anwesens von Bill Clinton (72) und seiner Frau Hillary (70) im Bundesstaat New York eine Bombe entdeckt. Das berichten US-Medien und die Nachrichtenagentur AP.
Der Inlandgeheimdienst FBI und die Sicherheitsbehörde Secret Service untersuchen die unheimliche Serie.
Die beiden Pakete fielen nach Angaben des Secret Service am späten Dienstag respektive Mittwoch bei der routinemässigen Kontrolle von Sendungen an Adressaten auf, für deren Schutz der Secret Service zuständig ist. Ihr Inhalt der Pakete sei dabei als «potenzielle Sprengsätze» identifiziert worden.
Wie es laut einem Bericht von CNN heisst, wurde auch ein verdächtiges Paket im New Yorker Büro des Nachrichtensenders entdeckt. Der Alarm im Time Warner Center war live auf Sendung zu hören. Die Räumlichkeiten wurden evakuiert. Die Polizei bestätigt einen Einsatz wegen eines verdächtigen Pakets in dem betroffenen Gebäude.
Kontrollierte SprengungErst am Dienstag war am Wohnsitz des Milliardärs und Demokraten-Unterstützers George Soros (88) eine Briefbombe gefunden worden. Ein Angestellter habe den Sprengsatz im Briefkasten von Soros' Anwesen in Bedford nördlich von New York entdeckt, berichteten die «New York Times» und BBC.
Soros war nicht zu Hause. Sprengstoffexperten liessen den Gegenstand kontrolliert explodieren. Wie die «New York Times» in Berufung auf offizielle Quellen berichtet, handelt es sich in allen Fällen um ähnliche Sprengsätze.
Zu den versuchten Mordanschlägen hat sich bisher niemand bekannt. (noo/SDA)
WASHINGTON – Le groupe de pression, Global Legal action Network (GLAN) a annoncé mercredi avoir officiellement porté plainte auprès du gouvernement irlandais contre le groupe pétrolier San Leon Energy pour activités illégales dans les territoires sahraouis occupés, a rapporté mercredi le magazine américain Forbes.
La plainte a été déposée auprès du département du Commerce, de l’innovation et des entreprises irlandais qui veille au respect des directives professionnelles de l’OCDE par les entreprises irlandaises.
Elle intervient quelques jours seulement après les plaintes pour crimes de colonisation déposées par le Front Polisario contre six grandes entreprises françaises.
Dans sa plainte, GLAN a indiqué que le groupe irlandais n’avait pas obtenu le consentement du peuple sahraoui pour procéder aux forages pétroliers sur ses territoires, ce qui constitue une atteinte aux droits humains des sahraouis, selon ce groupe de pression, basé à Dublin.
GLAN a demandé au département irlandais de déterminer si San Leon Energy se conformait aux directives de l’Organisation de Coopération et de développement économiques en matière de conduite responsable des entreprises.
Le groupe de pression a fait savoir que sa plainte a été appuyée par le Front Polisario, le représentant légitime du peuple sahraoui, ainsi que par de nombreuses ONG au Sahara Occidental, dont la Campagne sahraouie contre le pillage, l’Association pour la surveillance des ressources et la protection de l’environnement au Sahara Occidental, et le Comité sahraoui pour la protection des ressources naturelles.
San Leon Energy, dont le siège se trouve également à Dublin, détient plusieurs licences d’exploration dans les territoires occupés, notamment à Tarfaya et Zag, deux blocs d’exploration très controversés puisque l’ONU a déclaré que toute exploration pétrolière au Sahara Occidental violait le droit international si les Sahraouis n’y consentent pas et n’en bénéficient pas.
Le magazine américain rappelle que la prétendue souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental n’est pas reconnue par les Nations Unies qui considèrent ce territoire comme non autonome.
San Leon Energy a refusé de commenter le dépôt de plainte, selon Forbes.
« Les activités de San Leon au Sahara occidental contribuent au maintien d’une annexion illégale et au déni du droit internationalement reconnu du peuple sahraoui à l’autodétermination », a déclaré la conseillère juridique de Glan, Valentina Azarova, citée par le magazine.
Sans vouloir spéculer sur l’aboutissement de la plainte, Forbes a souligné que les ministres du gouvernement irlandais se sont opposés par le passé aux entreprises souhaitant investir dans les territoires occupés.
Le magazine rappelle, à ce titre, le discours prononcé en 2011 par le chef de la diplomatie irlandaise, Brian Cowen, devant le parlement dans lequel il avait affirmé que « toute activité d’exploration et d’exploitation qui irait à l’encontre des intérêts et des souhaits du peuple du Sahara occidental serait une violation des principes du droit international « .
« Le gouvernement s’attend à ce que les entreprises irlandaises opérant à l’étranger respecte dûment les principes du droit international et les droits des habitants du territoire », avait, alors, déclaré Brian Cowen qui avait auparavant pris les fonctions de Premier ministre d’Irlande.
Selon Forbes, le parlement irlandais s’attèle à examiner un projet de loi sur l’activité économique dans les territoires occupés. Le texte visant principalement l’occupation israélienne en Cisjordanie occupée s’appliquera également sur le Sahara Occidental s’il est adopté, a expliqué GLAN.
La proposition de loi se trouve actuellement au niveau Seanad Eireann, la chambre haute du parlement irlandais.
Pour rappel, le groupe pétrolier irlandais a été exclu des portefeuilles de placement du Fonds de pension du gouvernement norvégien pour » violation des normes éthiques fondamentales » du fait de ses opérations dans les territoires sahraouis occupés.
Le plus grand fonds d’investissement au monde s’est débarrassé des actions de San Leon en 2016.
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TORENTO – Le film « Zabana » du réalisateur Said Ould Khelifa, sera projeté samedi 3 novembre à l’université Ryerson à Toronto (Canada), dans le cadre de la célébration du 1er novembre fête de la révolution algérienne, à l’initiative de la nouvelle association des algériens du Grand Toronto (AAGT) et en collaboration avec l’Ambassade d’Algérie au Canada.
Le film « Zabana » réalisé en 2012 est un témoignage sur des événements importants ayant marqué histoire de la révolution algérienne.
Ce long métrage traite de la guerre de libération nationale à travers le personnage d’ Ahmed Zabana, le premier martyr guillotiné par les forces coloniales, le 19 juin 1956.
Cette initiative est appuyée par le recteur de l’université de Ryerson à Toronto, le professeur, Mohamed Lachemi, ressortissant algérien diplômé de l’université des sciences et de la technologie d’Oran (USTO) .
L’association des algériens du Grand Toronto (AAGT) a été créée le 18 juin 2018 à Toronto et dirigée par le ressortissant algérien Housseyn Belaiouer.
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Écrit par Seddiki Djamila
Sur un million d’entreprises, en Algérie, seules 600 sont, aujourd’hui, certifiées ISO, a indiqué le directeur de la société Sociad, au cours d’une journée consacrée aux certifications ISO destinées aux entreprises et organismes qui a permis d’engager un débat à Tipasa sur la question.
Les différentes certifications, à savoir ISO 9001 V2015, ISO 14001, ISO 22000 et (HACCP) et enfin ISO 45001, ainsi que les aides à la certification à travers le programme de normalisation et la loi de modernisation des PME, ont été abordées au cours de cette journée d’information et de sensibilisation organisée par la Chambre de commerce et d’industrie du Chenoua (CCIC). La certification des entreprises et organismes pour l’accès au programme d’aide de l’Etat à l’accompagnement pour une certification ISO a été au menu d’une rencontre organisée par la CCIC, au niveau de la bibliothèque de lecture publique de la wilaya de Tipasa, qui a permis de faire un tour d’horizon de la question. Selon le président de la CCIC, Sérandi Maâmar, cette rencontre n’était pas inutile, d’autant que «le sujet n’est pas bien connu et peut être d’un apport certain aux opérateurs économiques, qui gagneraient à l’adopter pour s’inscrire dans la qualification garante d’une bonne santé économique qui peut ouvrir des portes au marché international».
«Ce rendez-vous est important, car c’est le moment de lever la barre des entreprises de toutes catégories, faire une mise à niveau et certifier le produit. Il faut préciser que comparés à nos voisins tunisiens et marocains, nous sommes loin, puisque leur nombre est multiplié par 5 par rapport à l’Algérie», a précisé le président de la CCIC. Il y a, aussi, l’aide de l’Etat, jusqu’à 50% des frais, pour encourager la certification qui n’est pas connue de nos opérateurs. Et de préciser que sur 14 000 entreprises, à Tipasa, seules 10 ont déposé des dossiers de certification. Ce qui est très faible. Pour notre interlocuteur, c’est un problème de culture managériale qu’il faut inculquer et c’est ce que fait la Chambre de commerce qui, en plus de ces rencontres d’information et de sensibilisation, va organiser une formation dans ce sens animée par un expert, en l’occurrence le directeur de Sociad, une société de conseil, d’expertise et d’assistance aux entreprises, créée par Gérard Lambret, fondateur de Pigier en Algérie. Il a signé une convention avec le ministère de l’Industrie pour accompagner les entreprises intéressées par la certification, qui est un gage de qualité. Selon Gérard Lambert, Sociad travaille avec le ministère de l’Industrie sur la mise à niveau et, actuellement, planche sur le plan d’organisation pour aider les entreprises à se faire certifier ISO. Pour obtenir la certification ISO, selon lui, c’est simple, il suffit d’en faire la demande puis on fait le diagnostic pour choisir la norme. En général, c’est la 90001 2015, relative au management, qui pose des conditions d’organisation. La certification, selon notre interlocuteur, «est devenue incontournable si vous voulez répondre à un appel d’offres international. Si vous voulez entrer dans le marché extérieur et exporter il faut être ISO. C’est même devenu une obligation». L’orateur expliquera aux nombreux chefs d’entreprise présents à la rencontre que la certification «est une procédure par laquelle un organisme agréé et extérieur à une entreprise garantit qu’un produit, un service, un système d’organisation ou un processus, répond aux exigences d’une norme».
«Les demandes de certification ou de normalisation, auprès d’organismes agréés, sont faites par les entreprises qui souhaitent avoir un atout supplémentaire face à la concurrence ou encore mettre leurs clients en confiance. Les certifications ISO concernent principalement les méthodes de management de la qualité employées pour mener à bien la production d’un produit ou d’un service». Les deux certifications ISO les plus connues sont la certification ISO 9001, qui atteste que l’organisation de l’entreprise prend en compte l’approche processus et l’orientation client. La certification ISO 14001 atteste que l’organisation de l’entreprise ainsi que la production répondent à une forme de management environnemental. Le conférencier a, également, abordé la question de la certification 22000 (et HACCP) et ISO 45001.
La conférence a porté aussi sur les aides à la certification à travers le programme de normalisation et la loi de modernisation des PME. Un débat intéressant et instructif a suivi. La certification est-elle utile, à l’heure actuelle, en Algérie ? Question posée lors de cette rencontre. Elle est non seulement utile mais obligatoire, selon Gérard Lambret. Si la certification est a son début en Algérie, et si aujourd’hui les entreprises veulent obtenir la norme ISO, c’est parce que cela leur est demandé dans le cadre de leurs marchés. Je pense qu’il faut entreprendre une réelle démarche de qualité et faire face à cette obligation qui est une volonté d’aller de l’avant. Le processus de certification, qui a été détaillé au cours de la rencontre, comporte trois phases, à savoir l’envoi d’un dossier de candidature accompagné des frais associés, l’étude de recevabilité du dossier, le passage d’un QCM, 50 questions relatives aux différents thèmes de la formation, chaque QCM étant proposé aux candidats à la fin de chaque module, et ensuite soumission à un jury d’un audit social. De nombreux chefs d’entreprise, la directrice de l’industrie et des mines, le responsable de l’Agence nationale du développement industriel (Andi), des cadres du commerce étaient présents à la rencontre, marquée par un débat intéressant sur différents points relatifs à la certification, au coût de l’accompagnement, aux conditions d’éligibilité et d’acquisition de la norme, les frais supplémentaires à payer pour conserver la norme ISO…
Les participants ont pris connaissance des conditions d’éligibilité et du cahier des charges relatif à la sélection des entreprises et organismes pour l’accès au programme d’aide de l’Etat à l’accompagnement pour la certification des systèmes de management selon les normes ISO. La société Sociad a débuté ses activités en Algérie en 2004 avec deux activités distinctes, d’abord, l’aide aux investisseurs étrangers en Algérie, puis la mission de conseil. Dirigée par Gérard Lambret, Sociad se veut au service de l’économie algérienne et distribue la Certification ethical integrity corporate standard (ETHICS), une norme de certification accréditée au niveau international par l’International standardization and accreditation services group (ISAS).
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Écrit par Hakim Ould Mohamed
Les cours du pétrole ont fortement dévissé, hier, sous l’effet d’une combinaison de facteurs inquiétants. Les prix ont atteint leur plus bas niveau en un mois alors que les marchés se détournaient des actifs les plus risqués, dont le pétrole. Les tentatives chinoises de rassurer le marché quant à la bonne santé de son économie n’ont pas suffi, jusqu’ici, à effacer la prudence des investisseurs.
Du côté du marché, l’évolution des cours est prise en tenaille entre les perspectives de sanctions américaines contre l’Iran et l’offre de plus en plus abondante de l’Opep et de ses partenaires. La grisaille provoquée par la mort du journaliste saoudien Jamal Khashoggi, semble se dissiper peu à peu. En tout cas, à très court terme, c’est l’Iran qui inquiète le plus le marché avec, comme perspective, le rétablissement, dès le 5 novembre prochain, des sanctions contre son pétrole. Le pays pèse 4,5 millions de barils par jour sur l’échiquier pétrolier mondial. Le ministre saoudien de l’Energie, Khaled Al-Faleh, a laissé entendre, lundi, que son pays serait incapable de compenser les pertes iraniennes, une déclaration qui n’est pas passée inaperçue, d’autant plus qu’elle ne correspond point avec les précédentes formules usitées par le même ministre, dans ses différentes tentatives de rassurer quant à l’approvisionnement mondial du pétrole. Khaled Al-Faleh a indiqué, lundi, que «si trois millions de barils par jour disparaissent, nous ne pourrons pas couvrir ce volume». Le ministre a, par ailleurs, indiqué que l’Arabie saoudite augmenterait sa production de 10,7 millions de barils par jour à 11 millions, précisant que le pays pourrait encore l’accroître jusqu’à 12 millions. Il a surtout précisé qu’il ne pouvait donner aucune garantie que les prix ne puissent atteindre 100 dollars le baril dans les mois à venir. Hier, s’exprimant lors d’un forum international sur l’investissement à Riyad, le ministre saoudien semble vouloir préciser ses déclarations de la veille et tenter, par la même, de corriger un pas de danse raté, soulignant que son pays augmenterait sa production de brut et sa capacité de réserve pour contribuer à maintenir un équilibre sur le marché mondial.
Opep-non-Opep, vers un accord à durée indéterminée
Outre le fait qu’il n’exclut pas que «la production du royaume, qui a été de 9-10 (millions de barils par jour) au cours de la dernière décennie, sera supérieure d’un à deux millions de barils», Khaled Al-Faleh a également déclaré que l’Opep et les producteurs non-membres du cartel devraient signer en décembre un accord «à durée indéterminée» pour poursuivre leur coopération sur les marchés énergétiques. Le ministre saoudien a dit s’attendre à ce que la demande de pétrole, qui s’élève actuellement à environ 100 millions de barils par jour, atteigne 120 millions de barils par jour au cours des trois prochaines décennies. Khaled Al-Faleh a déclaré qu’environ 25 pays producteurs, de l’Opep et non-membres du cartel, devraient signer en décembre un accord de coopération à long terme après le succès de leur coordination jusqu’ici qui a contribué à faire remonter les prix. «Ce que nous espérons faire, c’est signer un accord entre au moins les 25 (producteurs) signataires de l’entente actuelle. Espérons que d’autres pays (nous) rejoindront», a-t-il dit. «Il s’agira d’un accord à durée indéterminée pour continuer à surveiller et à travailler ensemble pour stabiliser les marchés. C’est l’objectif de l’accord : surveiller et stabiliser», a-t-il déclaré. Le ministre saoudien a estimé que le marché pétrolier était « en bonne position aujourd’hui en termes d’équilibre entre l’offre et la demande et de stocks », après la levée des restrictions sur la production en juin. En tout cas, les propos de Khaled Al-Faleh n’ont pas été de nature à rassurer les investisseurs qui gardent les yeux rivés sur l’Iran et la Chine, deux facteurs d’inquiétude qui ont contribué à la chute des cours, se situant, hier, à leur plus bas niveau en un mois. Vers 16h30 (heure d’Alger), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre valait 77,33 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 2,50 dollars par rapport à la clôture de lundi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» (WTI) pour la même échéance, dont c’est le premier jour d’utilisation comme contrat de référence, cédait 1,95 dollar à 67,22 dollars.
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Und täglich grüsst das Murmeltier. Wieder einmal steckt Lugano in der Krise. Es scheint nur noch eine Frage der Zeit, bis auch Trainer Greg Ireland gehen muss.
Noch im Frühjahr herrschte im Tessin eitel Sonnenschein. Lugano schaffte es bis in den Playoff-Final, träumte vom ersten Meistertitel seit 2006. Trainer Greg Ireland schwärmte mit Tränen in den Augen von diesem grossartigen Verein, dankte allen Angestellten. Doch jetzt, sechs Monate später, steckt Lugano wieder einmal in der Krise.
Fünf ihrer letzten sechs Partien haben die Tessiner verloren, liegen bloss noch auf dem zehnten Platz. Sechs Zähler hinter den Playoff-Rängen. «Wir haben mal einen guten, dann wieder einen Katastrophen-Match. In der Vorwärtsbewegung verlieren wir zu oft die Scheibe und offensiv sind wir zu harmlos», sagt Sportchef Roland Habisreutinger. «Irgendwann ist es dann eine Frage des Selbstvertrauens. Beisst man in den Stock, sobald man die Scheibe erhält, ist das suboptimal.»
«Das erste Drittel war grottenschlecht»Auch innerhalb der Spiele wechseln sich Licht und Schatten ab. «Gegen Biel war nach einem super Drittel plötzlich die Luft raus. Gegen Zug kam dann zunächst gar nichts mehr. Das erste Drittel war grottenschlecht. Dabei sind wir zuhause eigentlich eine Macht. Da kann man nicht so aus der Kabine kommen. Die Absenzen können auch nicht als Ausrede gebracht werden. Auch andere Teams haben verletzte Spieler.»
Zuletzt wurden Final-Verlierer bei ihren Klubs nicht alt. In den letzten vier Jahren mussten alle spätestens Ende Saison gehen. Harold Kreis in Zug. Doug Shedden in Lugano. Marc Crawford beim ZSC. Und Felix Hollenstein in Kloten. Erwischt es jetzt auch Ireland?
«Es ist nicht so, dass wir gleich in Panik verfallen würden. Ireland macht nichts anders als im letzten Jahr. Zumindest unserer Auffassung nach nicht. Fakt ist aber auch: Wir brauchen Punkte. Da gibt es nichts schönzureden. Sonst ziehen die Teams uns irgendwann davon.»
Jetzt zweimal gegen DavosIn der Vergangenheit brachten Trainerwechsel während der Saison stets die gewünschte Wirkung. Ireland schaffte es direkt in den Halbfinal. Shedden führte das Team vom letzten Platz bis in den Final, ehe er im Januar 2017 gefeuert wurde.
«Es ist nicht wie damals, als die Mannschaft auseinanderfiel», so Habisreutinger. «Aber wir können nicht einfach nur mitmachen. Wir haben das Messer am Hals. Dass man aufgrund der letzten Saison in den ersten drei Spielen vielleicht noch nicht ganz bei der Sache war, kann ich noch nachvollziehen. Aber mittlerweile sollte jeder realisiert haben, worum es geht. Alle stehen in der Pflicht.»
Am Wochenende trifft Lugano zweimal auf Davos. Die Bündner sind noch schlechter klassiert. Weitere Niederlagen wird sich Ireland, der 16. Lugano-Coach seit 2006, wohl nicht mehr erlauben können.
Die Tabelle Spiele Torverhältnis Punkte 1. Biel 13 49:26 30 2. Zug 12 35:26 24 3. Bern 11 32:16 23 4. Tigers 12 33:24 21 5. Ambri 12 32:32 20 6. Genf 13 28:31 20 7. Fribourg 13 29:31 20 8. ZSC Lions 11 24:25 18 9. Lausanne 13 29:35 13 10. Lugano 11 28:29 12 11. Davos 11 20:41 9 12. Lakers 12 14:37 6
Emirates offre aux voyageurs au départ d’Alger l’opportunité de visiter Dubaï grâce à une offre unique en Classe Économique et en Classe Affaires qui inclut des prix attractifs, un troisième bagage gratuit et un bonus Skywards Miles.
Cette offre au départ d’Alger à destination de Dubaï est à partir de 59,800 DA en Classe Économique et 178,000 DA en Classe Affaires. Elle est limitée et valable jusqu’au 7 novembre 2018, pour des voyages jusqu’au 31 mars 2019. Offre soumise à conditions. Emirates propose également un troisième bagage gratuit de 23kg en Classe Économique et de 32kg en Classe Affaires, en plus de la franchise bagage en vigueur de 02 pièces.
Dubai est une escapade unique avec ses journées ensoleillées toute l’année, son shopping et ses restaurants de renommée mondiale, ses superbes plages et ses constructions emblématiques. Dubaï a quelque chose à offrir pour tous.
Le meilleur des activités à Dubaï comprend :
1. De grandes aventures au Dubai Parks and Resorts : Rencontrez des héros et des créatures et vivez des expériences sensationnelles avec les attractions à thèmes, durant votre prochain voyage à Dubaï.
Le Dubai Parks & Resorts est le plus grand parc de loisirs et de divertissement à thèmes du Moyen-Orient composé de MOTIONGATE Dubai, inspiré de l’univers d’Hollywood ; LEGOLAND® Dubai, le premier LEGOLAND de la région ; LEGOLAND® Water Park et Bollywood Parks Dubai.
2. Dubai Aquaventure Waterpark à Atlantis : Plongez dans les attractions et les toboggans vertigineux du parc aquatique Aquaventure, et côtoyez plus de 15,000 espèces marines au Lost Chambers Aquarium à l’hôtel Atlantis the Palm. Faîtes monter l’adrénaline dans les toboggans aquatiques et découvrez les labyrinthes et
tunnels de la civilisation perdue en croisant des requins, des anguilles, des hippocampes et des piranhas.
3. Arabian Adventures Desert Safari : Slalomez à bord de véhicules 4×4 sur les dunes de sables rouges et dorées du désert d’Arabie au cours d’un safari. Vous pourrez observer le coucher du soleil, faire une promenade en chameau, profiter d’un spectacle de faucons et enfin savourer un diner authentique du désert.
4. Dubai Frame : Dubai Frame est la dernière nouveauté ajoutée à la ville de Dubaï et constitue un exploit technique et architectural. Situé au Zabeel Park de Dubaï et centré entre le vieux et le nouveau Dubaï, la structure offre une vue panoramique sur la ville à 150m de hauteur. L’une des plus incroyables caractéristiques est la passerelle vitrée reliant les tours parallèles verticales, créant ainsi la forme d’un cadre photo.
5. Dubai Miracle Garden : Un monde de fleurs vous attend au Miracle Garden de Dubaï avec un jardin de 72,000m² où sont exposées des créations et des reconstitutions entièrement recouvertes de fleurs dont une reproduction de l’appareil A380 d’Emirates. Ici vous pourrez vous plonger dans plus de 50 millions de fleurs à travers les différentes expositions.
Emirates Skywards, le programme de fidélité primé de la compagnie aérienne, permet aux voyageurs de gagner et de dépenser des Miles avec Emirates et flydubai, ainsi qu’avec sa large sélection de partenaires. Emirates a également introduit une offre enrichie dénommée « Ma famille » permettant aux membres d’une même famille d’associer jusqu’à 100% de leurs Miles Skywards cumulés à bord de vols Emirates, et de les échanger plus rapidement qu’auparavant. Plus d’informations sur cette offre sont disponibles au niveau des agences de voyages agréées par Emirates ou au 098 3299 298.
Emirates opère une liaison quotidienne entre Alger et Dubaï. Le vol EK758 décolle d’Alger tous les jours à 15:20 et arrive à Dubaï à 00:50 le lendemain. Le vol retour EK757 décolle de Dubaï à 8:10 pour arriver à Alger à 12:40.
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Écrit par Bouzid Chalabi
«Sans ancrage juridique clair et ne souffrant d’aucune ambiguïté, l’implémentation en Algérie de la finance islamique et de ses instruments risque de tarder.» C’est du moins ce que redoute Mohamed Boudjelal, universitaire et membre du Haut-conseil islamique algérien (HCI), qui s’étonne que l’Algérie n’ait pas encore introduit cette formule alors que près de 50 pays, dont certains non musulmans, ont adopté ce mode de financement.
S’exprimant, à l’occasion d’un point de presse de présentation du Premier symposium algérien de l’assurance et de la finance islamiques, organisé sous le patronage du Haut-conseil islamique par le cabinet conseil Saafi, spécialisé dans la distribution et la conception de solutions Takaful et en finance islamique, qui se tiendra du 24 au 25 novembre prochain à Alger M. Boudjelal considère que «si l’on veut vraiment développer la financement chez nous, il va falloir introduire des aménagements dans la loi sur la monnaie et le crédit». Et d’ajouter dans ce sens : «La Banque d’Algérie devrait mettre en place une plateforme spécifique pour faire accélérer sa mise en place.»
De son côté, le président fondateur du cabinet conseil Saafi, Azzedine Ghlamallah, a estimé que «tout semble rouler au ralenti dans le processus d’implémentation de la finance islamique, alors que le pays aurait tout à gagner à l’accélérer. Et pourtant, depuis quelques mois, on attend que se soit mis sur rail». Et de rappeler, dans le même ordre d’idées : «Bien que de multiples annonces aient prévu l’offre par trois banques publiques de solutions conformes à la finance islamique, avant fin 2017, seule la Cnep a lancé, en novembre 2017, un produit de financement immobilier islamique.» Et d’ajouter que «malgré ce contretemps, l’actuel ministre des Finances, Abderrahmane Raouia, a récemment affirmé, selon l’APS, que d’autres produits participatifs proposés par la BDL et la Badr seront lancés au cours du premier semestre 2018.
Le ministre avait, par ailleurs, indiqué que les autres banques publiques devaient lancer leurs produits participatifs au cours du second semestre». On doute fort que cela puisse se concrétiser dans la mesure où, jusqu’ici, il n’existe pas de cadre légal qui puisse rendre effective l’implémentation de la finance islamique et ses instruments.
Cela dit, et pour revenir au symposium, selon un communiqué remis à la presse par l’agence événementiel et de voyages Med Voyages, co-organisatrice, ce sera une occasion pour les acteurs du système financier algérien, institutionnels et professionnels, de procéder à un benchmark de pays sur les expériences de réussite ou d’échec, relatives à l’implémentation de la finance islamique en vue d’en tirer les meilleurs enseignements. Toujours d’après cette même source, l’objectif de ce symposium est de soutenir les efforts des pouvoirs publics dans leur rôle d’intégrer les produits de la finance islamique, dits alternatifs, et conformes aux préceptes de l’islam dans le système financier national en vue de l’élargissement de la bancarisation et l’inclusion des ressources financières disponibles.
Rappelons, enfin, que la finance islamique représente, aujourd’hui, moins de 2% du secteur financier mondial, avec plus de 2 200 milliards d’euros d’actifs.
Mais sa réserve de croissance est considérable dans la mesure où seuls 40 millions, sur 1,6 milliard de musulmans en sont aujourd’hui clients.
Ajoutons que le FMI y a consacré un rapport qui estime que les actifs des institutions financières islamiques on été multipliés par 9 entre 2003 et 2013.
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ALGER- Un atelier de préparation d’explosifs contenant 11 bombes de confection artisanale et 2 obus, a été détruit mardi, suite à une opération de ratissage, menée à Tizi Ouzou, par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique mercredi le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste, et suite à une opération de recherche et de ratissage menée à Tizi-Ouzou (1e Région militaire), un détachement de l’Armée nationale populaire à découvert et détruit, le 23 octobre 2018, un (1) atelier de préparation
d’explosifs contenant onze (11) bombes de confection artisanale, deux (2) obus pour mortier et divers autres objets, tandis qu’un autre détachement de l’ANP a arrêté un (1) élément de soutien aux groupes terroristes à Tissemssilt (2e RM), précise la même source.
Par ailleurs et dans le cadre de la sécurisation des frontières et de la lutte contre la criminalité organisée, des détachements de l’ANP « ont arrêté, lors d’opérations distinctes menées à Tamanrasset et Bordj Badji Mokhtar (6e RM), onze (11) contrebandiers et saisi un camion, (4.000) litres de carburant, deux (2) tonnes de ciment, ainsi que cinq (5) détecteurs de métaux et sept (7) motocyclettes, alors que sept (7) quintaux de tabac ont été saisis à El-oued (4e RM) », rapporte le communiqué.
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Écrit par Farid Messaoud
En Algérie, la finance islamique doit permettre, selon des spécialistes, de mieux financiariser l’économie par l’utilisation des sukuk et la création d’une offre grand public. L’utilisation des sukuk va permettre au pays de diversifier ses sources de financement externes et de contribuer aussi au financement de ses entreprises nationales.
L’offre de produits bancaires grand public aura pour premier effet de soutenir le marché de l’immobilier et de la construction grâce à l’octroi de nouveaux crédits.
Grâce à la mise sur le marché d’une offre grand public de comptes d’épargne sans intérêts et/ou participatifs, les banques arriveront à drainer de nouvelles ressources dormantes, thésaurisées hors circuit bancaire. Dans le but de combler son déficit budgétaire dû à la baisse du prix du baril et la faiblesse des exportations, le gouvernement souhaite faire évoluer rapidement ce secteur. Il était d’ailleurs question qu’une offre financière conforme à la jurisprudence musulmane soit faite en 2018 par deux banques publiques, puis par quatre autres dans un futur proche. L’Exécutif a prévu également de recourir à plusieurs émissions souveraines de sukuk entre 2018 et 2022. Et il a fait savoir que se financer sur les marchés financiers islamiques et capter les ressources des marchés informels est tout à fait possible. Mais on constate qu’il existe, sans aucun doute, un fossé entre les intentions et les actions.
Et le gouvernement ne dit pas de quelle manière il entend lever, à l’avenir, les contradictions qui subsistent manifestement entre les intentions et la réalité en matière de finance islamique.
En dépit de l’introduction de la banque Al Baraka d’Algérie, au début des années 1990, et en l’absence d’un cadre juridique et règlementaire, la finance islamique est en effet restée relativement peu développée en Algérie. Seules certaines banques privées disposant de capitaux étrangers, telles que les banques Al Baraka d’Algérie, Algeria Gulf Bank, Al Salam Bank Algeria et Trust Bank Algeria proposent actuellement des produits financiers islamiques.
Mais pourquoi cette valse-hésitation des autorités au sujet de cette finance ? Pour certains experts, la finance islamique n’est pas une recette miracle permettant de régler des problèmes en lien avec la sphère financière, dont l’informel. Et, ils estiment que ce qui fonctionne avec succès dans certains pays, peut ne pas fonctionner aussi bien dans d’autres. La finance islamique représente aujourd’hui moins de 2% du secteur financier mondial, avec plus de 2200 milliards d’euros d’actifs. Mais sa réserve de croissance est considérable dans la mesure où seuls 40 millions des 1.6 milliard de musulmans en sont aujourd’hui clients. Le Fonds monétaire international (FMI) y a consacré un rapport, qui estime que les actifs des institutions financières islamiques ont été multipliés par 9 entre 2003 et 2013. Compartiment de la finance éthique, la finance islamique recouvre l’ensemble des transactions et produits financiers conformes à la loi musulmane. Elle repose sur 5 piliers qui lui sont propres : l’interdiction de l’intérêt, la prohibition de la réalisation d’investissements aléatoires et incertains et de la spéculation hasardeuse, l’obligation de partager les pertes et profits et l’obligation d’investir exclusivement dans l’économie réelle et tangible. A ces règles, s’ajoute l’exclusion de certains secteurs d’investissements jugés nocifs à la vie. En 1975, l’Organisation de la conférence islamique crée la Banque islamique de développement (BID), ouvrant la voie à de multiples initiatives publiques et privées dans les pays musulmans, notamment à Dubaï, au Koweït, en Malaisie, au Soudan, en Iran, et au Pakistan.
En 1992, l’Accounting and Auditing Organization for Islamic Financial Institutions (AAOIFI) est créée à Alger, puis déplacée à
Bahreïn. Cette institution a joué un rôle dans l’expansion de la finance islamique en mettant en place des normes communes.
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ALGER- Le Général de corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, effectuera jeudi une visite de travail à la 1ère Région militaire, indique mercredi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
Lors de cette visite, le Général de corps d’Armée procèdera à l’inauguration de la Société algérienne de production des explosifs à Hammam Dalaa, dans la wilaya de M’sila, ajouet la même source.
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ALGER – Les participants à la conférence nationale sur la gestion des risques de catastrophes ont mis l’accent, à l’issue de leurs travaux mardi, sur l’importance du processus de consolidation des capacités juridique, de formation et de sensibilisation de l’Algérie afin d’affronter efficacement les risques des catastrophes naturelles.
Les participants à cette conférence ont appelé à une meilleure prise de conscience quant aux risques indésirables et aux lourdes pertes causés par les catastrophes naturelles qui ont frappé le pays, et ce à travers une meilleure identification des risques et une plus grande collaboration entre les centres spécialisés et les universités.
Les intervenants composés d’experts et de représentants de différents organismes, nationaux et internationaux, ont relevé l’impératif mise en place d’une base de données spéciale à chaque risque, en prenant en considération l’élaboration de cartographies relatives aux risques, et d’un système d’information géographique spécial.
Les participants ont, également, plaidé pour la mise en place de systèmes d’alerte spéciaux des risques (littoral, désertification, invasion de criquets …etc.) et pour la création d’une commission chargée du suivi des risques, tout en informant le citoyen des dangers qui guettent son entourage en le mettant en garde contre ces risques.
Outre le renforcement et l’actualisation de la base juridique et institutionnelle en l’adaptant à la cartographie des nouveaux risques, les conférenciers ont mis en exergue l’importance de promulguer des lois et des textes règlementaires en rapport avec ce thème.
La détermination minutieuse des responsabilités pour une gestion efficace des risques de catastrophes à travers la cohésion et la complémentarité entre les secteurs a été également relevée.
S’agissant du renforcement de la préparation aux catastrophes pour une intervention efficace, les experts et spécialistes ont préconisé la prévision, la planification et l’intégration de la notion du risque au processus de la planification et de la politique du développement, à tous les niveaux, avec l’encouragement des villes et des sociétés locales à consentir davantage d’efforts pour se développer et se rénover, et ce dans le but de bâtir des sociétés en mesure de faire face, à l’avenir, aux catastrophes.
Les conférenciers ont également souligné l’importance de la formation des différents intervenants, à travers des actions de formation dans la réalisation et l’exécution des plans de secours.
Pour rappel, les travaux de la conférence nationale sur la gestion des risques de catastrophes avaient débuté lundi au centre international des conférences (CIC) à Alger, en présence de plus de 600 participants issus d’institutions et organismes nationaux.
Cette rencontre de deux jours s’est penchée sur les grands axes de la stratégie nationale (2019-2030), les plans d’actions multisectoriels en matière de gestion des catastrophes et la sensibilisation et la mobilisation des institutions nationales, des collectivités locales et de toutes les parties prenantes autour de cette problématique, en sus de l’actualisation des fondements juridiques et leur adaptation aux contenus de différentes règlementations internationales.
Lors de cette conférence, le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui avait annoncé, lundi, la décision du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika de prendre en charge « immédiatement », les victimes des intempéries ayant touché récemment certaines wilayas.
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