ZÜRICH - Roboter, Virtuelle Realität, Post-Drohnen. Die Schweiz feierte gestern Digitaltag. Der Zürcher Rentner Linus Baur war vor Ort und hat alle Innovationen getestet. Denn er hat eine Mission: Er will den digitalen Wandel hautnah miterleben.
Beim Betreten der Bahnhofshalle macht Linus Baur (75) grosse Augen: «Beim letzten Digitaltag waren es noch viel weniger Stände.» Er ist froh über die Entwicklung – und freut sich, dass auch ältere Leute unter den Besuchern sind. Er weiss: «In meiner Generation gibt es einige, die mit der neuen Technik nichts zu tun haben wollen. Sie fühlen sich zu alt dafür. Das finde ich schade.»
Baur bildet sich ständig weiter – auch im AlterEr selber ist da komplett anders programmiert. Baur besuchte jüngst einen Photoshop-Kurs, bildet sich ständig fort: «Um den Anschluss nicht zu verlieren.» Jetzt eben der zweite Digitaltag. Es dauert nicht lang, schon hat der Rentner eine Hologramm-Brille auf.
Dort erscheint der virtuelle Physiotherapeut Max. Er erklärt die Kniebeuge, dann muss Baur selber ran. Wenn er etwas falsch macht, korrigiert ihn Max. «Tolle Erfindung», findet der Zürcher und macht noch eine Kniebeuge. «Solche Errungenschaften sind unerlässlich. Besonders solche, die die Gesundheit betreffen.»
Begeisterte Blicke in die ZukunftNächste Station: das digitale Fitness-Training. Baur bekommt zwei Sensoren an die Hände – ab geht es! Auf einem grossen Bildschirm vor ihm erscheinen in steigernder Geschwindigkeit verschiedene Befehle: In die Knie! Spring! Schritt nach rechts! Schritt nach links! Für alles gibt es Punkte. Der 75-Jährige schlägt sich gut. Fazit: «Ich kann mir gut vorstellen, das auch zu Hause zu machen.»
Ähnlich begeistert zeigt er sich beim Stand gegenüber. Hier können Besucher per virtueller Realität mit einer Post-Drohne fliegen. Baur setzt sich auf einen Stuhl, der sich bewegt, bekommt eine VR-Brille aufgesetzt – und los gehts. Der Kopf von Baur bewegt sich von rechts nach links. «Ich bin überzeugt, davon, dass so bald unsere Post nach Hause kommt», sagt er, als er von dem Stuhl steigt. Zum Ende schüttelt er Roboter Prepp noch die Hand. «Unfassbar, wie sich die Technik bis heute entwickelt hat», sagt Baur und verabschiedet sich ins nächste Jahr. Dann kommt er wieder, wenn die Zukunft mitspielt.
La Société Béninoise de Cancérologie (SOBECAN) a tenu, ce jeudi 25 octobre 2018, à la salle de l'Institut des Sciences Biomédicales Appliqués (ISBA), sa deuxième journée scientifique sur le thème : « Diagnostic des cancers au Bénin ».
La cérémonie officielle d'ouverture a été présidée par la conseillère technique à la médecine hospitalière du ministre de la santé, en présence de plusieurs acteurs du secteur. Au cours de ladite journée, diverses communications et échanges ont eu lieu sur différents angles du thème.
La conseillère technique à la médecine hospitalière du ministre de la santé s'est réjouie de la tenue effective de la deuxième journée scientifique de la SOBECAN. Selon elle, cette journée va permettre une fois encore de mener des réflexions pour trouver des voies et moyens pour la lutte contre les cancers au Bénin. Elle a fait part de la volonté du ministère de la santé à soutenir les actions de la SOBECAN.
Ainsi, plusieurs communications ont été présentées au cours de ladite journée. La première a été présidée par le Professeur Kofi Mensa Savi de Tovè sur « L'imagerie des cancers au Bénin ». Il a d'abord procédé à une épidémiologie des cancers. Selon le professeur, la prise en charge des cancers au Bénin devrait être multidisciplinaire intégrant plusieurs corps du secteur de la santé. « L'imagerie étant essentielle, les radiologues sont beaucoup plus indispensables et c'est ce qui témoigne leur présence dans les différents stades de la maladie », a-t-il affirmé. L'incidence des cancers sur la plan national renseigne le professeur est plus forte au niveau des pays développés que des pays sous-développés.
Au Bénin, ces incidences sont estimées en 2018 à environ 8.000 cas et la mortalité est d'environ 6.000. A ce niveau, il a souligné le problème de la notification des cas dans notre pays.
Les cancers les plus fréquents au Bénin sont les cancers des seins, de foi, du col et de la prostate avec une prédominance du cancer des seins. Pour le professeur Savi de Tovè, il urge de lutter contre ces formes de cancers car selon les estimations, en 2030, il y aura 12 000 cas de cancers au Bénin.
Cette lutte informe-t-il va viser premièrement les facteurs favorisant les cancers tout en procédant au dépistage.
Dans le cas de la présence de la maladie, il faut alors faire le diagnostic précoce afin de mettre en œuvre le traitement avec tous les moyens possibles pour aboutir à la guérison.
L'imagerie annonce le communicateur, va jouer un rôle à toutes les étapes : dépistage, diagnostic, bilan d'extension, évaluation thérapeutique.
ll a procédé à une classification des moyens de l'imagerie. Regroupés en trois types, il s'agit de : l'imagerie morphologie avec la radiologie, l'échographie, TDM, l'IRM, TEP-SCAN, l'imagerie fonctionnelle et enfin moléculaire.
En expliquant le rôle de ces imageries, il a notifié que le Bénin dispose de la Radiographie, l'échographie mais n'a aucun mammographie en public.
Le pays dispose de 06 scanners et quant à l'IRM, il n'y a qu'une seule machine. Aussi, a-t-il relevé qu'il n'y pas de TEP, ni de table de radiologie interventionnelle. En ce qui concerne le personnel humain, c'est-à dire les radiologues, il y en a 16 au plan national soit 12 à Cotonou et 04 à Parakou. Or d'après l'OMS, il faut 1 radiologue pour 50 000 habitants donc 220 radiologues pour le Bénin. Parmi les 16 radiologues, 10 sont dans le secteur public et il faut noter qu'il n'y a aucun radiologue spécialiste dans la morphologie.
Ces moyens d'imagerie dont disposent le Bénin, vont permettre de lutter contre le cancer avec pour première cible celui du sein.
Que retenir du dépistage des cancers au Bénin
Concernant le dépistage du cancer du sein, c'est surtout la palpation qui est réalisée. A ce stade, le communicateur, propose de réaliser des échographies sous formes de dépistage. Selon lui, l'échographie est sensible pour les femmes jeunes et les seins denses. « On sait que le cancer de seins survient plus tôt chez la femme noire et que les femmes noires ont des seins le plus souvent plus denses ».
Le Professeur notifie qu'il y a encore des efforts à faire dans le cadre du dépistage gastro hépatocellulaire. Quant au cancer du côlon, il n'y a pas de dépistage au Bénin.
« Le radiologue est présent tout au long de la maladie », a-t-il martelé. Pour ce dernier, il faudrait un équipement diagnostic de qualité et adapté à la prise en charge des cancers, l'introduction d'imagerie interventionnelle, l'augmentation du nombre de radiologue et l'accès des patients aux examens d'imagerie et enfin promouvoir la prise en charge multidisciplinaire.
D'autres communications sur « l'apport de l'imagerie dans la prise en charge du cancer » et « la contribution de la médecine nucléaire dans le diagnostic des cancers » ont été présentées respectivement par Dr Sonia Adjadohoun et le Président national des hôpitaux, Kuassi Marcellin Amoussou-Guenon.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Frankreichs Wilder Süden ist in permanentem Wandel. Topbeispiel: Seit nicht ganz zwei Jahren gibt es die kleine, aber feine AOC Pic Saint-Loup. Eine Appellation wider dickflüssige Traubensäfte. Und: Diego Mathier ist zum dritten Mal Winzer des Jahres.
Südfrankreich. Nicht unweit von Montpellier. Hier, am Fusse von Pyrenäen, Montagne Noir und Cevennen, stehen die spannendsten Rebparzellen des gewaltigen Languedoc. Die Riesenzahl von 240 Millionen Flaschen werden im Languedoc-Roussillon produziert. Grossunternehmen füllen Wein generalstabsmässig in Flaschen. Kleinbetriebe andrerseits kämpfen für eine eigene AOC, wie die Winzer um den Pic Saint-Loup. Ein Kampf, der am 1. Januar 2017 mit der AOC Pic Saint-Loup endet.
Treibende Kräfte sind die Domaine de L’Hortus und Jean-Benoît Cavalier, Besitzer des Châteaus de Lascaux. «1990 haben wir mit der Umsetzung der Idee unserer AOC begonnen», erzählt Letzterer. «Wir waren damals Teil der riesigen Appellation Languedoc. Ohne Pflichtenheft. Wir machten dem nationalen Komitee Vorschläge, wie ein solches unter Berücksichtigung der Eigenheiten unseres Terroirs auszusehen habe. Die Kommission sagte Ja. Und da sind wir nun!», sagt der Gründervater stolz.
Was sind denn diese Eigenheiten? «Das gesamte Languedoc ist ja ein Amphitheater, das dem Meer zuschaut. Bei uns gibt es immer wieder frische Brisen, die an den Gebirgen gestoppt werden, was zu Wirbeln führt. Wir haben also viel Wind.» Hier dominiert die Garrigue, das Strauchheidenland, das so symptomatisch ist für Südfrankreich. Die Reben liegen auf rund 150 Meter über Meer. Es ist also nicht die Höhe, welche die Frische und diese tolle Mineralität in die Weine bringt, die diese so nervig und spannend macht. «Nein, es ist die Gesamtheit unseres Terroirs», sagt Cavalier. «Also der Wind, die Regenarmut, die Ablagerung der Meeressedimente mit sogar vulkanischen Resten. Cap d’Agde ist ja ein ehemaliger Vulkan. Die Böden sind heute aber vornehmlich aus Kalk.»
Cavalier selber hat die Genossenschaftskellerei in eine Privatkellerei umgewandelt, in welcher er nun 500 000 Flaschen abfüllt, davon 70 000 mit der AOC Pic Saint-Loup. Seit 2013 steht die neue Kellerei, in welcher Betontanks dominieren. «Die sind hier traditionell. Die Temperaturkontrolle geschieht so auf natürliche Art und Weise.» Unter dem Strich füllen die rund 50 Produzenten, die in der Appellation leben, fünf Millionen Flaschen ab. Das ist beispielsweise weniger als die Walliser Genossenschaftskellerei Provins in Flaschen bringt.
«Wir sind Idealisten», sagt Cavalier. «Und wir haben Charme», sagt er und lächelt auf den Stockzähnen.
Und wie sehen die Weine von Pic Saint-Loup aus? Bekannter sind die roten. Mindestens 50% müssen Syrah sein, aber es darf nicht 100% sei. Der Rest sind bekannte südfranzösische Sorten wie Grenache, Cinsault, Mourvèdre etc. Degustativ? Cavalier: «Kalk und Frische führen zu mehr Mineralität, Nervigkeit, Eleganz und Länge. Aromatisch dominieren schwarze und rote Früchte, Würze, schwarze Oliven und Nelken.» Machen wir die Probe aufs Exempel.
DIE WEINE DES CHÂTEAU DE LASCAUX
(Die Weine des Châteaus de Lascaux gibts bei www.hugiweine.ch)
DOMAINE DE L’HORTUS: SHOOTING STAR DER REGION
Die Kellerei wirkt monumental. Und doch steht davor ein mobiler Abfüll-Truck, der auf Hochtouren läuft. Klar ist Yves Orliac im Stress, eines der vier Geschwister, die den Betrieb führen. «Wir sind immer noch im Aufbau begriffen, weshalb wir noch nicht selbst abfüllen», erklärt Yves.
Die Stärke des Betriebs? «Wir haben einige Parzellen, die der Hitze sehr gut widerstehen. So sind wir nicht gezwungen, früher zu lesen und können die Ernte in der physiologischen Reife einfahren. Und die Weissen sind im kühleren Tal angepflanzt.» Unter dem Strich werden dann beachtliche 350 000 bis 400 000 Flaschen abgefüllt. Mir der Grande Cuvée als Höhepunkt. Die Weine:
(Die Weine der Domaine de l’Hortus gibts bei www.reichmuth-weine.ch)
UND DREI WEITERE WEINE VOM PIC SAINT-LOUP
OUTSIDERS AUS DEM LANGUEDOC
Wir verlassen nun die Region um den Pic Saint-Loup, öffnen das Languedoc-Spektrum. Denn auch in anderen Regionen dieser Gewaltsappellation tut sich etwas. Desperados aus teils entlegenen Regionen beginnen Saft in Flaschen abzufüllen, der so gar nichts zu tun hat mit den Kraftbolzen, für welche die Region gemeinhin steht.
So auch die Outsiders, welche sich zusammengeschlossen haben, um gemeinsam stärker zu sein. Es sind unter anderem dabei ein Schweizer Ex-Banker, ein früherer Ballett-Tänzer aus Australien oder ein ehemaliger Rechtsanwalt aus dem schwedischen Malmö. Einige stammen aber auch aus alten Winzerfamilien. Bunt gemischt, der Haufen. Was ihn vereint? Der Wunsch, eigenständige Weine abzufüllen, die das Terroir des Languedoc-Roussillon wiederspiegeln, das so vielfältig ist wie kaum ein anderes in Frankreich. «Wir wollen das beste aus der Diversität der Trauben, des Klimas und des Bodens der Region machen. Wir wollen geist-anregende Weine produzieren. Oder noch einfacher ausgedrückt: Andere Weine», so das Credo der Outsider: Ihre Page: www.languedoc-outsider.com. Und ihre Weine? Hier das Best of:
OKZITANIEN: GRÖSSTE BIOWEIN-REGION DER WELT
Denken wir noch ein bisschen grösser. Mit 280 000 Hektaren im Languedoc-Roussillon sowie einem Teil der Rhône-Region und dem französischen Südwesten ist das Weinbau-Gebiet von Okzitanien das weltweit grösste und vielfältigste. Und es ist unglaublich innovativ. Das zeigen die Outsiders auf. Aber auch weitere zahllose Betriebe.
Was die Region speziell speziell macht: Es ist der grösste Biowein-Produzent auf unserem Planeten. 23 000 Hektar (davon 21 000 im Languedoc-Roussillon) Bio-Anbau ist eine gewaltige Zahl! Nur Spanien kommt auf gleich viel. Das sind acht Prozent der Gesamt-Weinbaufläche der Region und 30 Prozent des Bio-Anbaus in Frankreich. Einige Betriebe haben sich im Zürcher HB vorgestellt. Hier das Best of.
Makel: Kein einziger der Weine ist in der Schweiz erhältlich. Also ist es eher ein kleiner Guide für Ihre nächste Südfrankreich-Reise, wenn sie sich dann einen exzellenten und bezahlbaren Tropfen gönnen wollen. Denn auch das zeichnet die Region Okzitanien aus: Das hervorragend Preis-/Leistungsverhältnis!
WEIN DER WOCHE: CLAVIS ORÉA 2015
Bleiben wir in Südfrankreich, wechseln aber vom Mittelmeer an die Atlantikküste. In die berühmteste Region der Welt, das Bordelais. Und gehen nach Saint-Emilion, die Merlot-Hochburg diese Planeten. Dort haben der Sommelier Lahcene Boutouba und der Önologe Franck Jugelmann, Berater des weltberühmten Château Haut-Brion, einen neuen Wein kreiert. Und sie meinen damit, den goldenen Schlüssel gefunden zu haben, denn nicht Anderes bedeutet die Übersetzung aus dem Lateinischen von Clavis Oréa. So heisst nun der Wein, ist ein Saint-Emilion Grand Cru des starken Bordeaux-Jahrgangs 2015 aus 75% Merlot, 15% Cabernet Franc und 10% Cabernet Sauvignon. Ein Fruchtpotpourri schwebt einem da entgegen mit feinen Würzaromen, Rauch und Tabak. Die Tannine sind merkbar, aber schön saftig und kraftstrotzend, die Struktur ist einwandfrei, sie Säure knackig, ein Kraft-15er, der aber immer trinkig bleibt, Mundfülle, wunderbare Länge. Im Moment steht er bei 17 Punkten, kann aber mit zunehmender Reife locker auf 17,5/20 kommen (CHF 20.45. www.daniel-vins.ch).
WINZERIN DER WOCHE: MERCÈ SANGÜESA
Also die Ü im Katalonischen sind ja schon reizend! Ein Buchstabe, den man eigentlich exklusiv im Deutschen vermutet und über den sich Romands wie auch anglophone Weltbürger mit dem Wort «Umlaut» regelmässig lustig machen. In Katalonien zieren die beiden Pünktchen auch den Namen eines Weinguts: Mercè Sangüesa.
Dahinter steckt eine Powerfrau, Mercè (ist die Abkürzung für Mercedes), die erkannt hat, welch Potenzial die Region um das Kleinstädtchen Sant Pau d’Ordal hat. Die Familie ihres Mannes besass eigene Parzellen, deren Trauben an Genossenschaften verkauft wurden. Mercè macht daraus nun eigene Weine, kaufte zudem brachliegende Rebberge darum herum auf und bewirtschaftet heute ein Gebiet von 43 Hektaren. Gemeinsam mit Biowein-Pionier Josep Albet i Noya hat sie das Gut und die mittlerweile vier Weine kreiert.
Drei habe ich degustiert. Herausgestochen ist der rote Pla de Morei 2015 aus Cabernet Sauvignon, Merlot, Garnacha und Syrah, DO Catalunya (Foto): In der Nase ist er aussergewöhnlich ausladend, enorm würzig, Lakritze und Cassis schimmern durch, die Säure ist knackig, dadurch bleibt der Wein trotz sehr reif wirkenden Fruchtnoten frisch, er ist elegant, trinkig, endet mundfüllend und recht lang. Sehr schön! Dafür gibts 17 Punkte (CHF 17.80). Auch auf hohem Niveau ist der Weisse aus der autochthonen Traube Xarel-Lo, Jahrgang 2017, DO Catalunya: Er kommt erfrischend daher, mit viel Zitrusfrucht, frisch geschnittenem Gras und nassem Gestein. Die Säure ist angenehm, ganz im Stil eines starken Sauvignons, er fliesst schön, wird dann sogar ein bisschen füllig und ist mittellang. Score: 16,5/20 (CHF 14.80). Und zu guter Letzt der La Solana 2016 aus Merlot und Tempranillo, DO Catalunya. Ein eher durchschnittlicher Zeitgenosse, rotbeerig-zältlig, easy-drinking mit etwas gar viel Fruchtsüsse. Score: 15/20 (CHF 13.80).
(Die Weine von Mercè Sangüesa gibts bei www.kueferweg.ch)
WEINGUT DES JAHRES: DIEGO MATHIERS HATTRICK
«He did it again!» Wiederholungstäter Diego Mathier ist zum dritten Mal Winzer des Jahres. Der Mann, der bereits als Winzer des Jahrzehnts ausgezeichnet worden ist, räumte am Grand Prix du Vin Suisse so ziemlich grossflächig ab! Er gewann zum dritten Mal den Titel Weingut des Jahres, jenen des liebsten Weissweines sowie die drei Kategorien weisse und rote Assemblagen sowie sortenreine Weissweine. «Ich bin überwältigt», sagte der umtriebige Winzer aus Salgesch. Zumal seine Einreichungsstrategie bei der diesjährigen Ausgabe mehr auf Kategoriensiege denn auf den Gesamtsieg gezielt habe. Dieser war indes eine unumgängliche Folge, wenn einer drei Kategorien gewinnt, zwei weitere Male auf dem Podest und einmal im Finale der besten sechs steht.
Auch wenn die Neider diesen Erfolg dem grossen Diego nicht unisono werden gönnen mögen, der für GaultMillau lächerlicherweise nicht zu den 125 besten des Landes gehört, Nobodys wie Abbet und Mathieu hingegen schon. Zudem scheiterten die Organisatoren grandios an einem Plan, Mathier nicht immer wieder gewinnen sehen zu müssen. Okay, das war jetzt ein bisschen böse und überspitzt. Zumal der Erfolg des Salgeschers eines deutlich aufzeigt: Der Wettbewerb ist absolut sauber. Null Manipulationen und Korrekturen nach dem Blindverkosten.
Dies und die starken Marken Vinea und VINUM machen ihn zum mit Abstand wichtigsten Schweizer Weinwettbewerb. Die Zahlen dazu: Trotz kleinerer Ernten 2017 wurde mit 2867 Weinen von 525 Kellereien für die 12. Ausgabe des GP eine neue Rekordmenge eingereicht. Sechs Tage lang haben 19 Juroren die Weine aus 19 Kantonen degustiert, und bewertet. Eine zehnköpfige internationale Jury erkor dann aus den jeweils sechs Finalisten in den 13 Kategorien die Sieger. 15 Mal standen Vertreter der grössten Weinbauregion Wallis auf dem Treppchen, 7-mal das Waadtland und 6-mal die Deutschschweiz.
Hier alle Gewinner. Zuerst die Spezialpreise:
Und die 13 Kategoriensieger, von denen ich vier verkostet habe, die alle toll sind:
WO GIBTS WAS ZU DEGUSTIEREN
Montag, 29. Oktober, 17.30 bis 20 Uhr. Die Essenz des Veneto in einem Glas. Die grossen Rotweine aus Valpolicella und die eleganten Schaumweine aus Conegliano Valdobbiadene. Je 13 Produzenten sind vor Ort. Workshop um 18.15 Uhr: Veneto – Land der grossen Weine: Prosecco Superiore und Amarone. Gratis mit Voranmeldung bis 26. Oktober. Tageskasse CHF 10.--. Hotel Metropol, Fraumünsterstrasse 12, Zürich. www.vinum.ch/veneto.
Aluminiumsalze in Deos sind schädlich und verursachen Brustkrebs – dieses Gerücht hält sich hartnäckig. Doch sind die Alu-Deos wirklich so gefährlich?
«0% Aluminiumsalze» – dieser Slogan ist heute auf fast jedes Deo gedruckt. Zusehends verschwinden Produkte mit Alu, obschon sie besser wirken. Doch warum sind Alu-Deos so unpopulär? Na weil das Aluminium schädlich ist, es verursacht Brustkrebs. Das ist heute weitverbreitetes Wissen – oder Unwissen. Denn obwohl diese Vermutung seit Jahren kursiert, konnte bisher kein Zusammenhang zwischen der Benutzung von aluminiumhaltigen Deodorants und Brustkrebs nachgewiesen werden.
Tunichtgut AluminiumIn unserer Umwelt kommt Aluminium überall vor und wir nehmen winzige Mengen davon über die Nahrung auf. Was passiert, wenn es sich in grösseren Mengen im Körper ansammelt, ist bis heute nicht ganz klar. Laborversuche mit menschlichen Zellen haben aber gezeigt, dass diese unter dem Einfluss von Aluminium eher zu Krebszellen mutieren. Dieses Wissen und der Fakt, dass im achselnahen Teil der Brust am häufigsten Krebs entsteht, führte vor rund 20 Jahren zur Hypothese, dass die Aluminiumsalze im Deo den Krebs verursachen.
Erhöhten Krebsrisiko wegen Gebrauch von Alu-DeosDoch diese Ansicht wurde kurz darauf erstmals widerlegt, als eine US-Studie mit rund 800 Probandinnen keinen Zusammenhang zwischen dem Gebrauch von Alu-Deos und einem erhöhten Krebsrisiko fand. Auch das Argument, dass sich als Folge des Deo-Konsums Brustkrebs häufiger im achselnahen Bereich bildete, wurde entkräftet. «Dort kommt es zu mehr Brustkrebs, weil es schlicht mehr Brustdrüsengewebe gibt», erklärt Konstantin Dedes, Leitender Arzt am Brustzentrum des Unispitals Zürich.
Auch die Schweizer Krebsliga hat darum grundsätzlich nichts gegen den Gebrauch von Alu-Deos einzuwenden. Ihre einzige Empfehlung: Das Deo nicht gleich nach dem Rasieren auftragen. Denn durch eine leicht verletzte Haut kann mehr Aluminium in den Körper gelangen als durch eine gesunde Haut. Darum: Abends rasieren und morgens deodorieren.
Mehr Wissen auf higgs – das Magazin für alle, die es wissen wollen.
Eine THC-ähnliche Substanz aus Lebermoos könnte THC aus Hanf überlegen sein, um Schmerzen zu stillen und Entzündungen zu hemmen. Das berichten Schweizer Forscher. Aber wie fühlt sich so ein Rausch an?
1994 hat ein japanischer Pflanzenchemiker herausgefunden, dass bestimmte Lebermoose aus Japan, Neuseeland und Costa Rica eine Substanz enthalten, die der Wirkung des psychoaktiven THC sehr ähnlich ist. Die Substanz nannte er Perrottetinen.
Danach hörte man lange nichts mehr davon. Bis das Lebermoos in Kiffer-Foren wieder auftauchte: angepriesen als legale Rauschdroge. Das brachte das Schweizer Forschungsteam um Jürg Gertsch von der Universität Bern und Erick Carreira von der ETH Zürich auf die Idee, die Wirkung von Perrottetinen genauer zu untersuchen.
Um das zu tun, musste das Team die Substanz aber erst synthetisch herstellen. Im Interview mit dem «Tages-Anzeiger» erklärt Jürg Gertsch: «Man kann das Moos nicht einfach exportieren, da gibt es Regulierungen. Die Mengen an benötigtem Moos wären sowieso viel zu gross gewesen.»
Und selbst anpflanzen? «Das ist nicht einfach. Vielleicht könnte man es biotechnologisch in einem anderen Moos herstellen», sagt Gertsch. In der Schweiz wachse zwar eine Art Lebermoos der Gattung Radula, aber darin sind keine Perrottetinen enthalten.
Weniger NebenwirkungenDer Aufwand mit der synthetischen Herstellung hat sich aber gelohnt: Die Wissenschaftler fanden heraus, dass Perrottetinen dem Cannabis-Wirkstoff THC für therapeutische Zwecke überlegen sein könnte. In niedriger Dosis wird THC bei verschiedenen chronischen Erkrankungen eingesetzt, um Schmerzen zu stillen, sowie Entzündungen, Muskelkrämpfe und Übelkeit zu bekämpfen.
Da THC aber in höherer Dosis stark psychoaktiv wirkt, gilt es als illegales Rauschmittel und ist entsprechend streng reguliert. Und genau da liegt der Unterschied: Tests an Mäusen haben ergeben, dass Perrottetinen weniger psychoaktiv sind, sehr einfach ins Gehirn gelangen und dort sogar eine grössere entzündungshemmende Wirkung entfalten als THC.
Moos wird wohl kaum zum Rausch-Konsum missbrauchtUnd wie wirkt so ein «Lebermoos-Rausch»? Wie die «Aargauer Zeitung» schreibt, seien die Mäuse im Versuch mit Perrottetinen leicht «stoned» geworden. Indizien dafür waren leichte Trägheit und kleinere Schmerzempfindung. Zudem sank ihre Körpertemperatur. Selbst ausprobiert hat Jürg Gertsch die Wirkung nicht. In Öl aufgelöst wurde der Wirkstoff aber schon von Testpersonen geraucht und soll positiv-beruhigend wirken.
Den Drogenmarkt wird das Moos wohl nicht erobern. Dafür sei die psychoaktive Wirkung zu gering, fassen die Tester in den Foren zusammen.
Umso wichtiger könnte das Moos aber für die Medizin werden. «Wir wollen weitere Studien machen, um die Wirkung zu erforschen», sagt Gertsch. Damit erhofft er sich, Patienten mit Entzündungen im Nervensystem, etwa Multipler Sklerose, helfen zu können. (aho)
Madrid – Unter dem Druck stark wachsender Konkurrenz durch private US-Firmen hat die Europäische Weltraumorganisation Esa sich für die kommenden Jahre neu ausgerichtet.
«Ich bin sehr glücklich, wir haben einen klaren Kurs festgelegt», sagte Esa-Generaldirektor Johann-Dietrich Wörner am Donnerstag nach einem Treffen mit vielen der für Raumfahrt zuständigen Minister der 22 Mitgliedstaaten der Organisation. Sie waren in Villanueva de la Cañada bei Madrid zusammengekommen.
Kurz zuvor hatte der Chef von Arianespace, Stéphane Israël, mit Blick auf die Tagung betont: «Wir werden billiger werden, aber wir brauchen die Unterstützung unserer Regierungen.» Hundert Prozent der europäischen Aufträge sollten an europäische Raketen vergeben werden, forderte er im Gespräch mit der Nachrichtenagentur DPA.
Im französischen Evry - dem Sitz von Arianespace - bereitet vor allem der Aufstieg der US-Konkurrenzunternehmen SpaceX von Tesla-Chef Elon Musk und Blue Origin von Amazon-Gründer Jeff Bezos grosse Sorgen. Beide US-Raketenanbieter erhalten hoch dotierte Aufträge von der Regierung in Washington und können so die Preise auf dem kommerziellen Markt drücken.
Als Antwort lässt die Esa die neuen Trägerraketen Ariane 6 und Vega C entwickeln, die Fracht günstiger ins Weltall bringen können. Die Ariane 6, deren Oberstufe in Bremen montiert wird, soll im Juli 2020 erstmals vom Weltraumbahnhof Kourou in Französisch-Guayana abheben. Bislang liegen Arianespace sechs Startaufträge für dieses Modell vor.
Wörner sprach vor seinem Treffen mit den Esa-Ministern von einer «dramatischen Marktveränderung». Nach der Tagung klang er optimistischer. Es seien zwei Beschlüsse verabschiedet worden - «und zwar beide einstimmig, das ist sehr wichtig». Mit der ersten Resolution werde er beauftragt, «zweckdienliche Verbindungen» zur EU herzustellen. Die zweite Resolution gebe ihm «strategische Leitlinien» für die Vorbereitung der Programme und Tätigkeiten.
Die Zwischenkonferenz diente der Vorbereitung der für November 2019 im spanischen Sevilla angesetzten nächsten Ministerratstagung der Esa, der «Space19+». Die Esa habe keine eigenen Etat und müsse daher bei den Ministerratstagungen Programme vorschlagen, erklärte Wörner im Europäischen Weltraum-Astronomiezentrum der Esa (Esac). «Die Mitgliedstaaten entscheiden dann, ob sie zahlen oder nicht zahlen.»
Wörner präsentierte den Ministern in Spanien einen «Fahrplan für die weitere nachhaltige und effiziente Finanzierung und Durchführung von Weltraumprogrammen in Europa (...) in Anbetracht des Paradigmenwechsels im Raumfahrtsektor sowie Anregungen für die nach 2019 von der Esa durchzuführenden Weltraumprogramme».
Einer der wichtigsten Punkte des Fahrplans ist nach Angaben der Esa unter anderem «die Positionierung Europas als Hauptakteur der neuen Ära des globalen Vorhabens zur Exploration des Weltraums - auf zum Mond und anschliessend zum Mars - in Zusammenarbeit mit bestehenden (wie den USA) und neuen Partnern (wie etwa China)».
Am Rande der Tagung wurde eine Erklärung über den Einsatz der Trägerraketen Ariane-6 und Vega-C unterzeichnet. Fünf Staaten - Deutschland, Frankreich, Italien, Spanien und die Schweiz - bringen darin «ihren uneingeschränkten Rückhalt für die europäische Raumfahrzeugträger-Industrie» zum Ausdruck.
Dans le cadre de la lutte contre la fraude et le commerce illicite des produits de tabac dans la sous- région ouest africaine, les industriels du tabac ont initié ce jeudi 25 octobre, un séminaire de sensibilisation et de formation à Azalaï hôtel de Cotonou. L'objectif de cette de rencontre qui s'articule autour du thème : Trafic illicite de cigarettes – Enjeux et perspectives, est d'élaborer un plan d'actions pour l'éradication de la fraude et le commerce illicite des produits du secteur du tabac. Plusieurs responsables de la sécurité et des finances du Bénin ont pris à l'atelier.
« Nous Industriels du tabac, sommes particulièrement intéressés par le panel relatif au commerce illicite car celui-ci affecte de façon considérable, aussi bien l'industrie du tabac que les gouvernements, et nous pensons pouvoir apporter une contribution significative et partager notre savoir-faire en matière de solutions règlementaires et numériques. » a indiqué Mamadou Guèye, le représentant de l'industrie du tabac.
Pour lui, une coopération pour élaborer des stratégies appropriées afin de lutter efficacement contre ce fléau s'avère nécessaire.
« La contrebande de cigarette est devenue un phénomène très répandu en Afrique de l'Ouest avec des conséquences majeures sur le plan sanitaire, sécuritaire et financier », a-t-il souligné.
M. Guèye a précisé que l'essor de la contrebande a engendré un manque à gagner de près de 108 milliards de francs Cfa sur les recettes des Etats de l'Afrique de l'Ouest ces trois dernières années.
« La lutte contre le commerce illicite nécessite une approche collaborative et concertée », a-t-il insisté.
Le représentant du Ministre de l'Economie et des finances, Jean Toboula a fait savoir que le commerce illicite du tabac est devenu un phénomène très répandu dans la région, de ce fait, une réponse efficace, concertée et suivie s'impose.
Selon lui, cet atelier est d'une grande importance car le Bénin, compte tenu de la position stratégique qu'elle occupe dans la sous-région, et étant donné la densité de ses activités portuaires, est de plus en plus exposé à l'ampleur de ce trafic et ses conséquences sur le plan sanitaire, les recettes des Etats et la menace terroriste.
Il a précisé que les produits du tabac issus du commerce illicite sont non conformes et ne satisfont pas aux exigences de la réglementation des produits du tabac.
« Ces produits illicites privent les consommateurs de produits réglementés, perturbent le commerce légal des produits du tabac et entraînent des pertes substantielles de revenus pour les gouvernements », a-t-il déploré.
Avant de lancer les travaux, il a signalé que le triomphe dans ce combat, nécessite une synergie au niveau national et régional, tout en harmonisant les efforts sur les plans législatif, organisationnel et opérationnel.
Il faut préciser que trois grandes industries du tabac sont les initiatrices de cet atelier. Il s'agit du Group Impérial Tobacco, de British American Tobacco, et de Philip Morris International.
A l'issue des propositions concrètes seront faites au gouvernement du Bénin pour lutter efficacement contre le phénomène.
Par Marcel HOUETO
Auf der Oltenstrasse in Oberbipp BE kam es am Donnerstagnachmittag zu einem heftigen Unfall. Ein Jugendlicher wurde von einer Rentnerin mit Smart angefahren. Er wurde dabei verletzt und musste ins Spital gebracht werden.
Schwerer Unfall gegen 17.30 Uhr auf der Oltenstrasse in Oberbipp BE. In Richtung Solothurn hatte sich eine Kolonne gebildet, in der anderen Richtung hatten die Autofahrer aber freie Fahrt. Wie ein Leserreporter berichtet, wollte ein Jugendlicher in dieser Situation die Strasse abseits der Fussgängerstreifen überqueren. Als er aus der Kolonne auf die andere Strassenseite trat, kam es zum Unglück.
Gemäss Leser wurde eine Rentnerin im Smart vom plötzlich auftauchenden Jugendlichen überrascht. Sie konnte nicht rechtzeitig bremsen und prallte frontal mit ihm zusammen. «Der Smart kam mit mindestens 40 km/h angebraust», sagt der Leser.
«Er konnte seine Beine nicht bewegen»«Der Jugendliche wurde erst knapp fünf Meter mitgeschleift und dann fast zehn Meter weggeschleudert, als das Auto bremste.» Er blieb mit schweren Verletzungen auf der Strasse liegen. «Er hatte eine offene Kopfwunde und konnte seine Beine nicht bewegen», schreibt der Leser, der dem Jugendlichen zu Hilfe geeilt war.
Die Kantonspolizei Bern bestätigt den Unfall auf Anfrage. Der Verletzte wurde mit einem Rettungswagen ins Spital gebracht. Die Strasse wurde gesperrt, der Verkehr umgeleitet. Der Vorfall wird nun von der Polizei untersucht. (krj)
Rosa Tapeten für Prinzessinnen und hellblaue Vorhänge für kleine Prinzen? Bei vielen Eltern sind Klischees noch immer beliebt. Es gibt aber auch bezaubernde und praktische Alternativen für Kinderzimmer – unabhängig vom Geschlecht des Babys.
Kaum steht die Schwangerschaft fest, können werdende Eltern nicht widerstehen, das Babyzimmer auszusuchen und in liebevoller Vorfreude einzurichten. Wer sich dann in Babyfachmärkten und im Internet umschaut, weiss bei der Riesenauswahl bald nicht mehr, wo ihm der Kopf steht. Bei Schwangeren schlagen dann auch die Hormone Purzelbäume, und sie geraten in einen Kaufrausch. Bei aller Vorfreude lohnt es sich aber, wenn sich Eltern etwas Zeit lassen, bevor sie sich ins Abenteuer «Kinderzimmereinrichtung» stürzen.
Bunte Kinderwelt und zeitlose KlassikerVielleicht steht mit der neuen Familiensituation noch ein Umzug an, und die Einrichtung sollte daher erst den neuen Räumlichkeiten angepasst werden. Viele Familien haben auch während der ersten Monate das Baby im Schlafzimmer, und das Neugeborene braucht noch gar kein eigenes Zimmer. Vorerst tut es ein praktisches Beistellbett oder eine Wiege.
Bei der Farbwahl der Babyaustattung sind Rosa für Mädchen und Hellblau für Jungs noch immer die Klassiker. Nicht alle Eltern wollen aber das Geschlecht des Babys im Vorfeld wissen oder lehnen solche farbtypischen Zuordnungen ab. Da bietet sich ein Kinderzimmer in Weiss an. In Kombination mit Grau oder Beige wirkt ein Kinderzimmer zeitlos und elegant. Mit Accessoires wie Motivlampen, Bildern und Vorhängen in Lila, Gelb oder Mint kann ohne geschlechtertypische Zuordnung für etwas Farbe im Reich der Kleinsten gesorgt werden.
Der trendige helle Wohnstil aus dem Norden hat auch Einzug in die Kinderzimmer gehalten, und «Hygge» – für kuschelige Gemütlichkeit aus Dänemark – passt perfekt in die Babywelt. Ein Schaukelstuhl mit Fell ist nicht nur dekorativ im Babyzimmer, sondern auch praktisch für Mütter zum Stillen oder für Väter, um das Baby in den Schlaf zu wiegen. Kinderzimmermöbel in hellem Holz sind ebenfalls zeitlos und lassen sich leicht kombinieren.
Nicht nur auf die Optik achten!Auch bei der Wahl von Motiven wie beispielsweise an den Wänden oder bei
Nachtvorhängen sollte daran gedacht werden, dass Babys schnell heranwachsen und süsse Teddybärchen an der Wand vielleicht bald Wandmotiven mit Rennboliden oder Traktoren weichen müssen.
Kleine Prinzessinnen haben häufig auch vor Kindergarteneintritt genug von rosa Wänden und Einhörnern in Pink und Glitzer. Motive mit Zoo- oder Bauernhoftieren erfreuen sich meist längerer Beliebtheit bei Jungs und Mädchen.
Wer weder Zeit noch Mittel für laufende Erneuerungen im Reich der heranwachsenden Kinder hat, sollte das beim Kinderzimmereinkauf mitbedenken. Praktisch sind daher auch Babybetten, die später zu Kinderbetten umfunktioniert, und Wickelkommoden, die ohne Wickelaufsatz über Jahre noch genutzt werden können. Bei längerfristig geplanter Nutzung der Kinderzimmermöbel sollte darum ganz besonders auf Qualität und Verarbeitung geachtet werden und nicht nur auf Optik und «Jö-Faktor».
Papas alte Wiege in neuem LookKostengünstig und einzigartig sind Wiegen oder Stubenwagen, die manchmal noch im Estrich von Eltern oder Schwiegereltern schlummern und mit etwas handwerklichem Geschick und neuer Bettwäsche und neuem Vorhang wieder in ein hübsches und einzigartiges Babynest verwandelt werden können.
Ein schönes und emotionales Projekt für werdende Eltern oder Grosseltern.
Larysa Switlyk hat ihre eigene Jagd-TV-Show in Kanada und kam für einen Ausflug nach Schottland. Dort zog sie den Zorn der Bevölkerung auf sich – ausgelöst von der Mutter von Tennisstar Andy Murray.
Sie posierte neben der toten Geiss, lächelt in die Kamera. Das Bild, das TV-Moderatorin Larysa Switlyk auf ihr Instagram-Profil stellt, sorgte für Aufruhr. Sie schrieb dazu: «Wunderschöne wilde Ziege hier auf der Insel Islay in Schottland.» Sie beschrieb, wie sie das Tier zur Strecke brachte: «Es machte solchen Spass! Sie leben am Rand der Klippen und sind Meister im Verstecken.»
Switlyk ist in Florida geboren, hostet eine TV-Show, die sich um die Jagd dreht. Sie veröffentlichte auf ihren sozialen Medien noch mehr Bilder von Tieren, die sie in Schottland geschossen hatte.
Erste Ministerin schaltete sich einJudy Murray, Mutter des Tennisstars Andy Murray, sah die Bilder und twitterte: «Schande!» Sie bat die Regierung einzugreifen. Ein Mitglied des schottischen Parlaments, Michael Russell, sagte gemäss britischen Medien: «Das sollte sofort gestoppt werden.»
Und Schottlands Erste Ministerin, Nicola Sturgeon, sagte, die Regierung werde die aktuelle Situation prüfen und eine entsprechende Gesetzesänderung in Erwägung ziehen. Es sei verständlich, dass Bilder von toten Tieren, die als Trophäe gezeigt würden, für Ärger sorgen.
Und Larysa Switlyk? Die bekommt vom Wirbel vielleicht gar nicht allzu viel mit. Sie sei «im Busch» und könne die nächsten zwei Wochen keine Nachrichten empfangen, kündigte sie an.
Izrael a világ egyik legfontosabb kémprogram fejlesztője és exportőre, az izraeli szoftverek segítségével a világ számos pontján követnek nyomon és lepleznek le ellenzékieket, kisebbségeket, vagy szexuális szokásaik miatt üldözötteket.
Noha az izraeli vállalatok a terrorizmus, vagy a szervezett bűnözés elleni küzdelem eszközeként kínálják lehallgató programjaikat, különböző diktatúrák sokszor saját polgáraik ellen használják fel azokat.
Ugyanazt a programot sokféle célra is igénybe vehetik: a Verint nevű vállalat kémprogramját az emberrablások felszámolása érdekében adták el a hatóságoknak Mozambiknak, illetve az illegális orvvadászat lefülelésére Botswanának, de Indonéziában ezen program segítségével gyűjtöttek információt a homoszexualitással és a vallási eretnekséggel vádolt csoportok ellen.
A jól ismert, Herzlián, az izraeli it-szektor egyik fellegvárában gyártott Pegasus nevű trójai elven működő szoftver lehetővé teszi a kormányok számára, hogy kövessék polgáraik mobiltelefonjait, lehallgassák a hívásokat, sőt a telefonok közelében zajló beszélgetéseket.
Az utóbbi években a mexikói kormány ennek segítségével követte nyomon bírálóit. Az izraeli oknyomozó kutatás tizenöt országból származó száz forrásra támaszkodik, melyek közül sokan az érintett kibernetikai termékeket előállító cégeknél álltak, vagy állnak alkalmazásban.
A kutatók arra a következtetésre jutottak, hogy az izraeli szabályozó testületek, melyeknek biztosítaniuk kellene, hogy az exportot a vásárló kormányok ne használhassák fel illegális vagy erkölcstelen célokra, nem állítják le az értékesítést még akkor sem, ha egyértelmű bizonyíték van a termékkel való visszaélésre.
Az izraeli kémprogramokat már százharminc országban használják fel a helyi kormányzati szervek, még olyan országokban is, melyekkel Izraelnek nincs diplomáciai kapcsolata, mint Katar, Bahrein és az Egyesült Arab Emírségek, és olyan afrikai országokban is, ahol az emberi jogokat egyáltalán nem tisztelik, mint például Szváziföldön, Dél-Szudánban, vagy Angolában – állítja a Háárec.