Zetchi : «On espère voir Mahrez à son meilleur niveau en Égypte»
L’attaquant international algérien de Manchester City, Riyad Mahrez, a été désigné meilleur sportif de l’année 2018 dans un sondage lancé par l’APS. L’ancien meilleur joueur de la Premier League anglaise 2016, auteur d’une fin d’année parfaite avec les Citizens, a surclassé par mal d’athlètes de haut niveau, dans les différentes disciplines. Mahrez a fini donc largement devant ses concurrents. Retenu par un match officiel de Coupe d’Angleterre, Riyad était absent à cette cérémonie organisée par COA avant-hier pour décerner aux meilleurs sportifs de l’année leurs trophées respectifs. Dans le classement féminin des meilleurs athlètes de l’année, la championne algérienne de Karaté-do, Lamya Matoub, a été élue meilleure sportive de l’année 2018.
Zetchi : «On espère voir Mahrez à son meilleur niveau en Égypte»
Le président de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, s’est exprimé concernant le trophée remporté par l’attaquant international algérien Riyad Mahrez, désigné meilleur sportif de l’année 2018 dans une soirée organisée par le COA avant-hier pour récompenser les meilleurs athlètes algériens. Zetchi affirme que la consécration de Mahrez est méritée et ne cache pas son enthousiasme de voir ce trophée encourager Riyad à hisser son niveau lors de la prochaine Coupe d’Afrique pour aider l’Équipe nationale à aller loin en Égypte. «Mahrez réalise de très belles choses en Angleterre, notamment en ce début de saison avec Manchester City.»
«L’Algérie attend beaucoup de lui, j’espère qu’il sera au top le mois de mai»
Kheireddine Zetchi trouve la consécration du joueur de Manchester City amplement méritée, tant Riyad Mahrez s’est distingué avec son club et espère que l’ex-joueur de Leicester City maintiendra son niveau le plus longtemps possible. «Franchement, on attend beaucoup de lui, à vrai dire toute l’Algérie espère le voir évoluer à son meilleur niveau le mois de mai prochain, afin qu’on puisse préparer ensemble la prochaine Coupe d’Afrique des nations en Égypte inch’Allah», dira Zetchi dans une déclaration accordées aux journalistes après la cérémonie du COA qui a eu lieu à l’hôtel Sheraton.
Auteur : Moumen A.
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The Navy awarded a $26.3 million contract to Rolls Royce for repair of T56-A-427 engines, used on the E-2 Hawkeye aircraft. The E-2 Hawkeye is an American all-weather, carrier-capable tactical airborne early warning aircraft by Northrop Grumman. Its primary mission is battlespace mission command and control, as well as early warning detection. The aircraft was designed specifically for electronic warfare and early detection, which was a big change from previous aircraft. The Allison T-56 is a single-shaft, modular design turboprop with a 14-stage axial flow compressor driven by a four-stage turbine. The T56-A-427 fitted to the E-2 Hawkeye has a 5250 shp rating and a 12:1 compression. In addition, the T56 produces approximately 750 lbs of thrust from its exhaust. Work for the contract till take place in Canada, Texas, Indiana and California and is scheduled to be finished by January 2020.
The Navy tapped Northrop Grumman with a $19.6 million contract modification for the procurement of software design and system integration, qualification testing and cybersecurity activities as well as engineering services in support of the MQ-8 Fire Scout Unmanned Air System. The Northrop Grumman MQ-8 Fire Scout is an unmanned autonomous helicopter designed to provide reconnaissance, situational awareness, aerial fire support as well as precision targeting support for ground, air and sea forces. The System has the ability to autonomously take-off from and land on any aviation-capable warship and also at unprepared landing zones close to the forward edge of the battle area. Work under the modification will occur in San Diego and is scheduled to conclude in December.
Middle East & AfricaDespite earlier media reports, Egypt will not sign any contract with Dassault Aviation for purchase of an additional twelve Rafale fighter aircraft during President Emmanuel Macron’s visit. The french president is currently visiting Egypt until the 29th of January. In 2015, France agreed to deliver 24 Rafale fighter jets to Egypt at a price of $5.9 billion in order to equip its Air Force with a latest-generation multirole fighter capable of meeting the country’s operational requirements and enabling Egypt to secure its geostrategic position in the region. In June 2016, Egypt started negotiations with Dassault to acquire 12 additional Rafales, which was an option on the original contract. However, Egypt has been facing opposition from the French Treasury to recieve the same favorable financial package it obtained for the original order.
EuropeThe Air Force Lifecycle Management Center awarded Lockheed Martin Aeronautics with a $33.7 million ceiling requirements contract for C-130J long-term sustainment support for the Royal Norwegian Air Force. The company will provide the Royal Norwegian Air Force with return and repair support, spares support, engineering support, and in-country representative support for their C-130J aircraft platform. The C-130J Super Hercules is a four-engine turboprop military transport aircraft. It is the newest model of the Hercules and the only one still in production. Lockheed Martin received a contract from the U.S. government in November 2007 for the purchase of four C-130J Super Hercules airlifters, plus initial spares and training, through the Foreign Military Sales program. The contractor delivered Norway’s first C-130J in November 2008 and its second in April 2009. Work for the current contract will take place in Marietta, Georgia as well as Gardermoen Air Station, Norway and is scheduled to be completed by the end of the year.
The program office for the Lockheed Martin F-35 Lightning II Joint Strike Fighter awards BAE Systems a sole-source contract to conduct flight trials of the F-35’s future electronic warfare (EW) and countermeasures suite, Jane’s reports. The British defense company will conduct tests of a modified version of the AN/ASQ-239A suite aboard the CATBird surrogate test aircraft. The AN/ASQ-239 system is BAE System’s advanced electronic warfare suite, providing the F-35 with end-to-end capabilities. The demonstration of elements of the EW/countermeasures suite on the modified Boeing 737 airliner known as the Cooperative Avionics Test Bed (CATBird) is known as the Project Heisenberg.
Asia-PacificThe Air Force contracted Space Dynamics Laboratory $18.3 million to support the Republic of Korea’s Global Hawk program. The deal includes tasking, collecting, processing, exploitation, and dissemination (TCPED) capability. The contract provides for the procurement of the TCPED system, spares and support equipment, sustainment support, and system familiarization. The Global Hawk is an unmanned surveillance aircraft by Northrop Grumman. In November 2018 Northrop was contracted to provide contractor logistics support to the Republic of Korea’s Global Hawks. Space Dynamics Laboratory is a nonprofit unit of the Utah State University Research Foundation. It is responsible for the design, fabrications, and operation of sensors on over 400 payloads ranging from aircraft to rocket-borne experiments to space shuttle experiments and satellite-based sensor systems. Work under the current deal will be performed at North Logan, Utah, and is expected to be completed by May 2020. The contract involves Foreign Military Sales to the Republic of Korea.
Today’s VideoWatch: America’s newest carrying-F-35B amphibious assault ship to replace USS Wasp in Japan
Publié par Salima Akkouche
Un panel d’experts nationaux et internationaux s’est réuni samedi à Alger pour parler de l’urbanisme à Alger.
L’objectif n’est pas de changer ce qui existe actuellement, mais le débat se veut un espace d’échange d’idées sur comment bâtir le nouvel Alger au-delà de 2030. A l’initiative des architectes Sihem et Nacym Baghli, cette rencontre était l’occasion de présenter le projet Djisr El Djazaïr, dont l’idée est de relier les deux extrémités de la baie d’Alger.
L’idée est peut-être folle, utopique même pour certains, mais le projet de construire un pont reliant les deux extrémités de la Baie d’Alger, Tamentfoust à Kettani, à Bab-el-Oued, en passant par le Jardin d’Essai, est bel et bien réalisable pour les architectes présents samedi lors d’une conférence intitulée la Rencontre d’Alger. Nacym Baghli, l’un des deux initiateurs du projet, ne veut, d’ailleurs, pas que l’on associe son projet à simplement du béton mais bien au-delà.
L’idée est beaucoup plus large et complexe. Le projet Djisr El Djazaïr, dit-il, est un vecteur social et économique de bien vivre ensemble. Il imagine à travers son projet, la ville future d’Alger, une ville que l’on aimerait admirer, dit-il. Une ville qui ne doit pas non plus, selon lui, être en décalage avec le monde 2.0 que nous vivons. D’ailleurs, selon les estimations, d’ici 2050 la population en milieu urbain sera de 75% contre 55% actuellement. Il faut donc, suggèrent les architectes, conviés à cette rencontre, réfléchir à la manière dont il faudra gérer la ville. D’autant que, relèvent-ils, les instruments d’urbanisme utilisés actuellement ont été inventés dans les années 1960. L’ambition de ce panel d’architectes c’est de proposer de nouvelles idées urbaines innovatrices.
Selon l’un des architectes présents à cette conférence, lorsqu’on regarde Alger actuellement on aperçoit du désordre. «Il est impossible d’ordonner cet espace, mais il faut construire», suggère-t-il. Les pouvoirs publics ont-ils donné leur accord pour ce projet ?
Nacym Baghli avoue avoir eu le soutien moral de la Wilaya d’Alger. «C’est un projet de société qui est long et laborieux mais qui ne peut être porté que par l’Etat, c’est un projet de souveraineté nationale», a déclaré M. Baghli. En plus d’être complexe, le projet nécessite un financement important. Le couple initiateur n’a pas donné d’estimation. Ils ont souligné que le projet sera réalisé en plusieurs phases et proposent à ce qu’il y ait des partenariats publics-privés pour pouvoir mener à bout ce projet. Cependant, soulignent-ils, les retombées économiques du projet sont tout aussi importantes. «Nous nous ne voulons pas nous précipiter, nous voulons prendre notre temps, nous sommes encore au stade d’idées, nous voulons créer un débat, d’ailleurs nous avons lancé un concours d’idées pour des solutions innovantes où l’on peut se projeter dans le futur, où nous avons eu 400 inscrits de 55 nationalités», a souligné M. Baghli qui dit que son projet peut être réalisé en cinq ans. «La réalisation est très facile, le problème c’est la réflexion», dit-il.
Djisr El Djazaïr est un pont imaginé en Y dont le premier tronçon s’étale sur 10 km et le deuxième sur 7 km. L’accès est autorisé pour les véhicules légers, mi-lourds, deux-roues, tramway, véhicules de sécurité et de service. Il compte deux voies centrales et une voie d’urgence avec 4 passerelles piétonnières et des îles flottantes.
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