Közölte ma a pénzügyminisztérium. Az államháztartási deficit ezzel alacsonyabb lett a 2018 elején kitűzött 2,97 százalékos célértéknél. A HotNews tájékoztatása szerint a 2,88 százalékos hiányt nem az Európai Unió statisztikai módszertana alapján számolták ki, márpedig ez lesz a mérvadó a 3 százalékos uniós vállalásnál. Eugen Teodorovici pénzügyminiszter az év elején elmondta, hogy az idei költségvetést 2,5 százalékos államháztartási hiánnyal tervezik. A kormány várhatóan a héten fogadja el az idei állami büdzsétervezetet.
Un panel d’experts nationaux et internationaux s’est réuni samedi à Alger pour parler de l’urbanisme à Alger. L’objectif n’est pas de changer ce qui existe actuellement, mais le débat se veut un espace d’échange d’idées sur comment bâtir le nouvel Alger au-delà de 2030. A l’initiative des architectes Sihem et Nacym Baghli, cette rencontre était l’occasion de présenter le projet Djisr El Djazaïr, dont l’idée est de relier les deux extrémités de la baie d’Alger.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – L’idée est peut-être folle, utopique même pour certains, mais le projet de construire un pont reliant les deux extrémités de la Baie d’Alger, Tamentfoust à Kettani, à Bab-el-Oued, en passant par le Jardin d’Essai, est bel et bien réalisable pour les architectes présents samedi lors d’une conférence intitulée la Rencontre d’Alger. Nacym Baghli, l’un des deux initiateurs du projet, ne veut, d’ailleurs, pas que l’on associe son projet à simplement du béton mais bien au-delà.
L’idée est beaucoup plus large et complexe. Le projet Djisr El Djazaïr, dit-il, est un vecteur social et économique de bien vivre ensemble. Il imagine à travers son projet, la ville future d’Alger, une ville que l’on aimerait admirer, dit-il. Une ville qui ne doit pas non plus, selon lui, être en décalage avec le monde 2.0 que nous vivons. D’ailleurs, selon les estimations, d’ici 2050 la population en milieu urbain sera de 75% contre 55% actuellement. Il faut donc, suggèrent les architectes conviés à cette rencontre, réfléchir à la manière dont il faudra gérer la ville. D’autant que, relèvent-ils, les instruments d’urbanisme utilisés actuellement ont été inventés dans les années 1960. L’ambition de ce panel d’architectes c’est de proposer de nouvelles idées urbaines innovatrices.
Selon l’un des architectes présents à cette conférence, lorsqu’on regarde Alger actuellement on aperçoit du désordre. «Il est impossible d’ordonner cet espace, mais il faut construire», suggère-t-il. Les pouvoirs publics ont-ils donné leur accord pour ce projet ? Nacym Baghli avoue avoir eu le soutien moral de la Wilaya d’Alger. «C’est un projet de société qui est long et laborieux mais qui ne peut être porté que par l’Etat, c’est un projet de souveraineté nationale», a déclaré M. Baghli. En plus d’être complexe, le projet nécessite un financement important. Le couple initiateur n’a pas donné d’estimation. Ils ont souligné que le projet sera réalisé en plusieurs phases et proposent à ce qu’il y ait des partenariats publics-privés pour pouvoir mener à bout ce projet.
Cependant, soulignent-ils, les retombées économiques du projet sont tout aussi importantes. «Nous nous ne voulons pas nous précipiter, nous voulons prendre notre temps, nous sommes encore au stade d’idées, nous voulons créer un débat, d’ailleurs nous avons lancé un concours d’idées pour des solutions innovantes où l’on peut se projeter dans le futur, où nous avons eu 400 inscrits de 55 nationalités», a souligné M. Baghli qui dit que son projet peut être réalisé en cinq ans. «La réalisation est très facile, le problème c’est la réflexion», dit-il.
Djisr El Djazaïr est un pont imaginé en Y dont le premier tronçon s’étale sur 10 km et le deuxième sur 7 km. L’accès est autorisé pour les véhicules légers, mi-lourds, deux-roues, tramway, véhicules de sécurité et de service. Il compte deux voies centrales et une voie d’urgence avec 4 passerelles piétonnières et des îles flottantes.
S. A.
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Alors que la guerre fait rage au Yémen, Djibouti vit au rythme des stratégies militaires étrangères et des passages de migrants qui tentent de gagner coûte que coûte la péninsule arabique. Dans un environnement hostile, le grand jeu économique et tactique des grandes puissances s'ajoute au chaos yéménite.
- Lettres de... / Corne de l'Afrique, Afrique, Djibouti, Yémen, Relations internationales, Services secrets, ArméeException faite du FFS qui a déjà arrêté l’option, le boycott de la prochaine élection présidentielle demeure encore en attente d’autres adeptes.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – A moins de trois mois de l’élection présidentielle du 18 avril prochain, la décantation se fait encore au compte-gouttes concernant les partants, les «non-participationnistes» et les boycotteurs. Car même parmi les candidats à la candidature, il y a certains qui conditionnent encore le maintien de leur participation à «l’aune de nouvelles donnes» à même de clarifier davantage la situation «floue» et «incertaine».
A l’image de Louisa Hanoune qui, par souci de se faire prendre au dépourvu avec d’éventuels nouveaux éléments, a pris le minutieux soin de «réunir les conditions techniques et juridiques» liées au scrutin, entendre par là qu’elle retirera les formulaires de candidature dans l’attente que le comité central du parti tranche définitivement la question de la participation ou pas à ce scrutin. Ceci tout en tenant, une première, à partager publiquement sa conviction que le parti ne doit pas prendre part, cette fois-ci, à cette élection présidentielle.
Mais à côté de tout ce beau monde réservé et attentiste, il est des partis qui ont d’ores et déjà tranché pour le boycott dans l’attente que d’autres en fassent de même.
Il s’agit du FFS qui a été le premier à adopter ce mot d’ordre. Le conseil national du parti, réuni vendredi dernier, a considéré à l’issue de sa réunion que les «conditions d’une élection démocratique, libre, honnête et transparente, à trois mois de la tenue du prochain scrutin présidentiel, ne sont pas réunies». Les membres de cette instance délibérant entre deux congrès affirment, par ailleurs, «ne soutenir aucun candidat dont la participation «ne servirait qu’à donner une façade faussement démocratique à un scrutin fermé d’avance au profit du candidat du régime». Ceci avant d’appeler la population— qui sait déjà que son vote ne comptera pour rien dans les résultats du scrutin et que les résultats officiels ne refléteront en rien le niveau réel de participation — «à boycotter activement, massivement et pacifiquement un scrutin qui ne viserait qu’à pérenniser un régime autoritaire et liberticide».
Ceci dit, le doyen des partis de l’opposition ne risque pas d’être «sans fratrie» dans cette option de boycott du rendez-vous du 18 avril prochain. Le RCD lui emboîtera à coup sûr le pas, le conseil national du parti devant entériner cette option lors de la troisième session ordinaire prévue vendredi prochain. Le même jour, le conseil consultatif national du FJD que préside Abdallah Djaballah devra, lui aussi, faire sienne cette position qui pourra même être adoptée par le mouvement Mouatana, eux qui invitent les candidats au retrait de la course si le président de la République venait à candidater de nouveau.
M. K.
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