Les score et rang du Bénin dans l'indice de Perception de la Corruption (IPC) selon le classement mondial 2018 de Transpency International sont connus, ce mardi 29 janvier 2019. De 39/100 en 2017, le Bénin passe de 40/100 en 2018 et garde sa 85ème place sur 180 pays évalués.
Le Score ICP du Bénin a accru en raison de l'indicateur Variétés de démocraties (V-Dem) qui est « une nouvelle approche à la conceptualisation et à la mesure de la démocratie ». V-Dem produit « un ensemble de données pluridimensionnel et désagrégé qui reflète la complexité du concept de démocratie en tant que système de droit qui va au-delà de la simple tenue d'élections. ». Ce projet distingue 07 principes fondamentaux de la démocratie : électorale, libérale, participative, délibérative, égalitaire, majoritaire et consensuel. Il procède à la collecte des données afin de mesurer ces principes.
Selon le V-Dem, le Bénin qui a autrefois occupé en 2016 la 95ème place sur 176 pays évalués avec une note de 36 sur 100, a eu 18 nouveaux points.
Akpédjé AYOSSO
Pour sa 4ème édition, la Nuit des Idées se déroulera le jeudi 31 janvier 2019 dans plus de 70 pays, et donnera
lieu à de nombreuses manifestations autour d’une même thématique : « FACE AU PRESENT ».
Coordonnée par l’Institut français, la Nuit des Idées 2019 se tiendra dans 18 lieux différents d’Alger,
d’Annaba, de Blida et de Tlemcen le jeudi 31 janvier 2018 de 17h à 2h du matin. Projections, débats,
expositions, tables-rondes, lectures et concerts seront au programme de cette Nuit du penser-ensemble.
A cette occasion, la Cinémathèque algérienne, « la librairie du Tiers Monde », l’espace culturel « Les Ateliers
Sauvages », l’école « Artissimo », la Librairie « Mauguin », la galerie « Espaco », la galerie « Kazi » et les trois
instituts français d’Alger, d’Annaba et de Tlemcen accueilleront les 30 manifestations organisées tout au long
de la soirée.
Programme complet de l’IF Alger https://www.if-algerie.com/alger/agenda-culturel/la-nuit-des-idees-a-alger-de18h00-a-02h00-entree-libre
Programme de l’IF Annaba https://www.if-algerie.com/annaba/agenda-culturel/la-nuit-des-idees
Programme de l’IF Tlemcen https://www.if-algerie.com/tlemcen/agenda-culturel/la-nuit-des-idees
L’entrée est libre à tous les évènements. Soyez les bienvenus !
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A peine publié que Social Watch Bénin dans sa démarche de veille citoyenne et en tant que Contact National de Transparency International au Bénin a donné son appréciation sur l'Indice de Perception de la Corruption (IPC) 2018 et fait des recommandations.
Placé sous le thème « La corruption et la démocratie » le rapport de l'IPC 2018 révèle que la majorité des pays n'ont pas fait suffisament d'effort.
Le réseau d'organisations de la société civile dirigé par Mme Blanche Sonon, à travers un communiqué a apprécié à sa juste valeur les performances de l'Indice de Perception de la Corruption 2018, tant au plan mondial qu'au plan national. De façon générale l'IPC 2018 n'a pas donné une progression satisfaisante, avec plus des tiers des pays du monde qui sont en dessous de la moyenne, le Bénin a fait l'effort d'un point de plus que 2017. Une petite prouesse qui n'améliore guère son rang de 85ème sur 180 pays.
Il faut préciser que l'Indice de Perception de la Corruption (IPC) est un indice composite de Transparency International qui cote et classe les pays/territoires en fonction du degré de corruption présent dans le secteur public de ces pays/territoires tel que perçu par les experts et les chefs d'entreprise. Il s'agit d'un indice composite, une combinaison de 13 enquêtes et évaluations de la corruption, rassemblées par une variété d'institutions réputées. L'IPC est l'indicateur de corruption le plus largement utilisé dans le monde.
Marcel H.
(Lire l'intégralité du communiqué de Social Watch Bénin)
Lancement de l'Indice de Perception de la Corruption 2018Communiqué de Social Watch Bénin (TI-Bénin)
L'Indice de Perception de la Corruption 2018 de Transparency International (TI) vient d'être publié et les résultats sont troublants au plan mondial.
L'indice de cette année montre que la majorité des pays ne font que peu de progrès dans la lutte contre la corruption ou n'en font pas du tout. Pire encore, il en ressort que l'incapacité persistante de la plupart des pays à contrôler efficacement la corruption contribue à une crise de la démocratie dans le monde.
L'IPC 2018 s'appuie sur 13 enquêtes et évaluations d'experts pour mesurer la corruption dans le secteur public au niveau de 180 pays et territoires, en attribuant à chacun une note allant de zéro (très corrompu) à 100 (pas corrompu).
À l'échelle mondiale, plus des deux tiers des pays ont un score inférieur à 50 sur 100. La moyenne mondiale est de 43 sur 100. Le Danemark et la Nouvelle-Zélande arrivent en tête avec un score de 88 et 87, respectivement. La Somalie, la Syrie et le Soudan du Sud tiennent la lanterne rouge avec des scores respectifs de 10, 13 et 13.
Au niveau régional, l'Europe occidentale avec une moyenne de 66 points obtient le score le plus élevé. A l'opposé, les régions les moins bien notées sont l'Afrique subsaharienne (score moyen : 32), l'Europe de l'Est et l'Asie centrale (score moyen : 35).
Quant à notre pays le Bénin, l'IPC 2018 affiche un score de 40 sur 100. Il s'agit d'une augmentation de 1 point par rapport à 2017 bien qu'il ait conservé le même rang (85ème sur 180 pays ou territoires).
Le thème du rapport de cette année est « La corruption et la démocratie ».
L'indice de perception de la corruption (IPC) 2018 publié aujourd'hui par Transparency International révèle que l'incapacité persistante de la plupart des pays à contrôler efficacement la corruption contribue à une crise de la démocratie dans le monde.
Avec de nombreuses institutions démocratiques et normes actuellement menacées - souvent par des dirigeants à tendance autoritaire ou populiste -, TI a analysé la relation entre la corruption et les tendances de la démocratie mondiale.
TI a constaté que la corruption du secteur public peut contribuer à un recul des institutions et des valeurs démocratiques.
Lorsque nous parlons de démocratie, nous ne parlons pas simplement d'élections libres et équitables. Notre analyse examine la démocratie au-delà du processus électoral pour se concentrer sur une compréhension holistique de la qualité de la démocratie, surtout la démocratique financière.
En effet, « l'argent public est au cœur de l'Etat de droit et de la démocratie », selon la Directive n° 0 1I09/CMIUEMOA portant Code de transparence dans la gestion des finances publiques au sein de l'UEMOA.
C'est pourquoi Social Watch Bénin (TI-Bénin) s'efforce de travailler pour la mise en œuvre des recommandations du Rapport d'évaluation du Système National d'Intégrité (SNI).
A cet effet, Social Watch Bénin (TI-Bénin) exhorte tous les acteurs des 13 piliers du SNI à s'investir davantage dans la réalisation concrète des différentes actions inscrites dans leurs plans de promotion de l'intégrité et de lutte contre la corruption.
Ainsi nous recommandons aux acteurs politiques :
• de rendre accessibles au public toutes les informations relatives à la gestion des finances
et des marchés publics,
• de renforcer l'indépendance des institutions de contre-pouvoir et de garantir leur capacité
à fonctionner sans intimidation,
• de combler le fossé entre la législation et les pratiques de lutte contre la corruption,
• de soutenir les organisations de la société civile de contrôle citoyen des dépenses
publiques,
• de soutenir des médias libres et indépendants, en assurant la sécurité des journalistes et
leur capacité à travailler sans intimidation ni harcèlement.
Pour voir les résultats, visitez www.transparency.org/cpi2018 ou www.socialwatch.bj ou www.facebook.com/swbenin ou www.twiter.com/swbenin
Je vous remercie.
Blanche SONON
Présidente Social Watch Bénin
Cotonou, le 29 Janvier 2019
Le procès ICC-Services prorogé jusqu'au 31 janvier 2019 est à son 27ème journée d'audience ce mardi 29 janvier 2019 à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Au terme de la 26ème audience, le président de la Cour Edouard Cyriaque Dossa a invité la partie civile à s'apprêter pour la plaidoirie. Mais à l'ouverture de cette nouvelle journée d'audience, le président de la Cour a fait part d'une correspondance des avocats de la partie civile. « Les avocats Gustave Cassa, Agathe Affougnon et Alain Orounla ont sollicité de la Cour qui lui plaise de convoquer certaines personnes physiques et morales (...) à comparaître à l'audience du jeudi 31 janvier 2019 », informe Edouard Cyriaque Dossa.
Ladite citation à comparaître qui a été dénoncée au procureur spécial près la CRIET cible les personnes physiques telles que : Justin Gbènamèto, président de la commission d'enquête judiciaire, Seth Akplogan, ancien régisseur central du ministère des finances, Evel Gomez, assistant de Sévérine Lawson, présidente du comité de suivi et Mariette Hinnoukpo, secrétaire démissionnaire de Emile Tégbénou. Cette dernière est partie avec une portion des déposants de ICC-Services avant l'éclatement de la crise.
Au titre des personnes morales, il y a les établissements bancaires, SGB, NSIA Banque, UBA, BOA et même l'Etat béninois.
Le procureur spécial Ulrich Togbonon a pris acte de la démarche qu'il a soumise à la Cour.
Une démarche intervenue tardivement
Pour la défense, cette demande ne saurait être appréciée puisqu'elle est intervenue de façon tardive. Me Gbaguidi annonce que la procédure est complètement biaisée. Il ajoute : « On saisit le président d'une citation à comparaître et le procureur spécial d'une citation directe ce qui est complètement nouveau à mes yeux ». Me Gbaguidi rappelle que des responsables à divers niveaux des banques ont défilé devant la Cour et que la partie civile aurait saisi cette occasion pour approfondir leurs préoccupations. « Je sollicite qu'il plaise à votre Cour de nous départager », lance-t-il.
Les avocats de l'Etat béninois s'associent à la défense et prient la Cour de rejeter cette demande d'instruction complémentaire parce qu'elle ‘'n'avancera à rien''. Se basant sur l'article 290, Me Olga Anassidé martèle que « seul le président de la Cour peut ordonner les mesures complémentaires s'il estime que l'instruction n'est pas suffisante ». L'avocate renseigne que Mariette Hinnoukpo et Seth Akplogan, « n'apporteront rien de nouveau aux débats ».
Selon Me Spero Quenum, l'initiative prise par ses confrères de la partie civile est tardive. C'est une ‘' mauvaise démarche procédurale'' qui n'est pas recevable. « Je voudrais me fonder sur l'article 313 du code de procédure pénale pour vous demander de rejeter cette demande au regard de toutes les observations faites pas mes confrères afin de permettre l'évolution des débats », conclu-t-il. Un avis qui est soutenu par Me Gnonhoué.
Une demande fondée selon la partie civile
Dans le rang des avocats demandeurs, Me Cassa Gustave soutient que leur demande est fondée. Pour lui, l''Etat béninois qui fait office de partie civile dans ce procès n'a pas daigné comparaître devant la Cour pour déposer. « Lors des dépositions, il y a eu un rapport du comité de suivi qui est déposé et non signé. La Cour a demandé à ce que diligence soit faite pour lui apporter le rapport signé. Jusqu'à la date d'aujourd'hui, aucune suite n'est donnée à cette injonction de la Cour », annonce Me Cassa Gustave. Ce dernier juge que « leur demande est très importante pour la manifestation de la vérité ». Me Cassa Gustave notifie à la Cour : « Lorsque au vu de l'instruction il est apparu à nos yeux que des préposés de l'Etat ont failli à leurs obligations, il est important de coller certaines responsabilités à l'Etat. Et donc il est important que l'Etat en tant que partie civile doit déposer ».
« Notre position est claire : faire comparaître l'Etat afin qu'il puisse s'expliquer dans ce dossier dans lequel il a failli », ajoute Me Agathe Affougnon.
Abondant dans le même sens, Me Alain Orounla informe qu'on ne peut auditionner les autres comités mis en place dans le cadre de la gestion de ce dossier sans écouter la commission d'enquête qui est au cœur de cette procédure. « L'Etat doit venir laver son honneur par rapport à toutes ces anomalies », affirme-t-il. Pour Me Orounla les promoteurs de ICC-Services et l'Etat montrent « à travers leur position dans ce procès leur complicité ».
Il indique que « si l'Etat a tenté de les aider à obtenir l'agrément il est donc clair que la responsabilité de l'Etat est engagée ».
Selon l'avocat de la partie civile, il n'y a pas d'intérêt à poursuivre des gens qui ont acheté les immeubles des promoteurs de ICC-Services alors que des personnes qui se sont enrichies dans cette affaire sont libres de leur mouvement.
Après une suspension de quelques minutes, la Cour a statué sur la requête des avocats des victimes. Elle a finalement accédé à la demande de la partie civile. L'audience a été suspendue à 12 heures 25. Elle sera reprise donc le jeudi 31 janvier 2019.
Akpédjé AYOSSO
Une conférence s'est ouverte ce lundi 28 janvier 2019 à Cotonou dans le cadre du programme régional de renforcement des capacités et d'évaluation d'impact en Afrique de l'Ouest (Wacie). Pendant quelques jours, les participants venus des pays de l'Uemoa vont discuter autour de l'évaluation d'impact en Afrique francophone.
« L'évaluation d'impact en Afrique francophone : il est temps d'agir ». Tel est le thème sur lequel vont se pencher les participants au cours de cette rencontre.
L'évaluation d'impact constitue un outil de performance devant éclairer les choix de politiques publiques. Néanmoins, elle reste le maillon faible des stratégies de développement dans les pays de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa). Consciente de cette faiblesse, la communauté francophone entend à travers cette rencontre améliorer celle-ci dans le processus de prise de décision. La conférence sur l'évaluation d'impact dans l'espace Uemoa est organisée en collaboration avec l'Initiative internationale pour l'évaluation d'impact (3ie).
Membre du Bureau de l'évaluation des politiques publiques et de l'analyse de l'action gouvernementale, Abdel Jawed Bouraïma, souligne qu'il s'agit d'une première dans la sous-région,. C'est donc pour lui, un résultat majeur du programme régional de renforcement des capacités et d'évaluation d'impact en Afrique de l'Ouest (Wacie). Un programme dont le but est de contribuer à améliorer la qualité de la gouvernance à travers l'utilisation effective des résultats issus des évaluations d'impact.
Pour le représentant du ministre d'Etat, secrétaire général à la présidence de la République, Abdoulaye Gounou, « L'ambition du programme Wacie est de faire de l'Uemoa une région championne de l'évaluation d'impact à l'échelle du continent africain d'ici à 2025 ». Marie Gaarder, directrice du bureau de l'évaluation de 3ie, chef de file des partenaires techniques et financiers dans la réalisation des évaluations en Afrique, indique qu'il s'agit un changement remarquable de paradigme en matière d'évaluation du développement. La phase pilote du programme dure trois ans (2018-2021). Pour elle, il s'agit d'une initiative unique qui porte en elle un grand potentiel pour aider les décideurs dans le choix et l'adoption de politiques publiques pertinentes et efficaces pour chacun des pays de l'Uemoa, pour la région de l'Afrique francophone et pour l'Afrique au sens large.
Marie Gaarder rassure de l'engagement de 3ie à contribuer à la production et l'utilisation des données probantes dans la prise de décision en Afrique.
Le professeur Emmanuel Akpo, économiste et enseignant-chercheur à l'université d'Abomey-Calavi, a échangé avec les participants sur le thème principal de la rencontre.
G.A.
Le président de la Commission électorale nationale autonome (Céna) a reçu en son cabinet, ce lundi 28 janvier 2019, les membres du bureau de l'Association nationale des administrateurs civils du Bénin (Anacib). Les hôtes du président Emmanuel Tiando ont émis la volonté de jouer efficacement leur partition dans l'organisation des législatives du 28 avril prochain.
Conduit par son président, Aurélien Lalèyè, le bureau de l'Anacib a effectué avec les responsables de la Commission électorale nationale autonome (Céna), une séance d'échanges sur le processus électoral enclenché depuis quelques jours. Cette visite aux membres de l'institution chargée d'organiser les élections vise selon Aurélien Lalèyè à présenter l'association au président de la Céna et pour discuter de la possibilité pour eux de participer à l'organisation des législatives du 28 avril prochain. Il s'agit aussi à travers cette rencontre de faire comprendre aux autorités l'importance des administrateurs civils dans l'organisation d'une élection afin qu'elles leur accordent une place de choix dans ce processus. Aurélien Lalèyè a indiqué qu'au moment où le ministère de l'Intérieur se chargeait de l'organisation des élections, les administrateurs civils étaient à l'avant-garde du processus. Pour lui, « ce n'est pas le cas aujourd'hui avec la Céna ». Il rappelle que la loi leur permet d'être associés. « Les administrateurs civils doivent donc s'inscrire massivement pour aider la Céna à organiser à bon escient ces joutes électorales et pour leur déroulement sans anicroche », a-t-il souligné. Dans ce cadre, M. Lalèyè exhorte ses pairs à faire preuve de beaucoup de rigueur une fois retenus pour démontrer tout le bien qu'on pense d'eux. Il remercie le président de la Céna pour cette rencontre fructueuse gage de leur dévouement à ne pas décevoir l'institution.
G.A.
2019 januárja havazással indult, amelyet azután felváltva követett az olvadás és az újabb havazás. Ennek megfelelően a repülőgépeket fotózva hol hóban, hol sárban topoghattam a dombokon, de a december végi, január eleji spottingtól eltérően, ebben a hónapban verőfényes napsütésben is fotózhattam.
Január 11. Mivel a délelőtt folyamán kék ég és zavartalan napsütés volt, jó ötletnek tűnt egy-két órára kiugrani Ferihegyre és a kargó dombról lencsevégre kapni a 31L pálya induló forgalmát. Sajnos kora délután a természet fokozatosan letekerte a fényerőt, és a kék eget felváltotta a számomra oly ismerős szürke.
Aeroflot A320-as indul haza, Moszkvába.
Alig nyolc hónapos A320neo a British Airways színeiben. Amíg süt a Nap, a gépek hasát szépen megvilágítja a havas felületről visszaverődő fény.
Az észt lajstromú Airbus hófehér sárkánya alul is tiszta.
A319-es távozik Berlin felé. A fékszárnymozgató mechanizmus áramvonalazó lemezeit is easy-narancssárgára festették.
A KLM 737-esének indulásának idejére behúzódott a felhőzet, jelezve, hogy lassan vége a napsütéses időnek.
Az EI-EVA reggel már fordult egyet Budapest és London között, most Marrakeshbe indul.
A Wizz-gép hasán az orrfutóval felvert szennyeződés húzódik.
Megannyi török Boeing fotó után most egy Airbus 321-est sikerült lefotózni.
Román ATR 42-es, alulnézetből.
Mint a puzzle utolsó darabjai, helyükre kerültek a futómű aknák ajtói és így már egybefüggő a felirat a Qatar Cargo felszálló A330-asának hasán.
Jött és már ment is. A lengyel légierő Boeing 737-ese nagyon rövid időt töltött Ferihegyen.
Tornyos kép, Emirates 777-essel.
*
Január 18. A helyszín a spotter domb, amelynek csúszós tetejét az olvadás után hó helyett sár borította.
Aeroflot A320-as fékez a 31R pályán.
Szép tiszta easyJet A320-as Gatwickről.
Osztott megoldású winglet és CFM LEAP 1B hajtóművek a lengyel nemzeti légitársaság Boeing 737 Max 8-asán.
Az Eurowings Europa Parkot hirdető "vidám" gépe.
A horvát Trade Air Varsóból érkező Fokker 100-asa minden bizonnyal tankolni szállt le Ferihegyen, majd az olasz csizma orrára, Reggio Calabriába indult tovább.
Ryanair járat indul Máltára, a hajtóművek gázsugarában az Emirates színes festése vibrál.
*
Január 21. A ragyogó napsütésben szinte harapni lehetett a mínusz 9 fokos levegőt. A hétfő délelőtti órákban a gyönyörű idő ellenére meglehetősen magányos hely volt a spotter domb. Ez a remek hely a kargó dombbal ellentétben már kint van a természetben, amit a vadállatok hóban hagyott lábnyoma is jelzett.
A Minszkből érkező reggeli Belavia járat CRJ-200-asának leszállása után forgalmat a 2-es pályáról bonyolították. (Ez a kép még a kargó dombról készült.)
A török Boeing a pálya felett húzódó ködrétegbe süllyed.
Az Air Dolomiti 31R küszöböt átrepülő ERJ-195-ösét körbeöleli a köd.
- Csillog-villog és útra kész – mondták Chuck Yeager X-1-es rakéta-repülőgépére az Igazak című filmben. Ugyanezt mondhatjuk a Qatar A320-asára is.
Hósapkás Bombardier Global 6000-es.
Az Eurowings A319-esét OK-NEM lajstromjellel a cseh nemzeti légitársaság üzemelteti. A gép vezérsíkján is a CSA festésmintája van.
Bonjour! Megérkezett a Joon Párizs-Budapest járatát teljesítő A321-es.
Airbus 318-as a Tarom színeiben.
A YR-ASB a román repülés egyik úttörőjének, az 1872 és 1950 között élt Trajan Vuiának nevét viseli.
Ez a kékek napja. A 31R pályára leszáll a hatszázadik legyártott E-Jet, a LOT Embraer ERJ-175-öse.
Az Eurowings A320-asa a 31R váróponton több gép leszállását várja.
Felhős az ég a pálya felett.
Az Aeroflot 737-ese mellett kavargó hófelhő a várópontról elinduló Eurowings Airbus hajtóműveinek köszönhető.
A Wizz A320-asa mellett ernyedten fityegő szélzsák jelzi, hogy a szélerősség gyakorlatilag nulla.
A319-es, minimál easyJet festéssel.
A hatszázadik E-Jet nem sokat időzött Ferihegyen.
Egy belföldi desztináció mellett aznap több külföldit is teljesített a kék hasú osztrák Dash 8-as.
Néhány járat nem gurult el a 31R pálya végéig, hanem az X-Ray (X) gurulón állt fel a pályára.
A Belavia reggeli CRJ-je a délelőtt folyamán megjárta Belgrádot, hogy azután ismét érintse Budapestet, mielőtt hazarepül Minszkbe.
* * *
Fotó: Szórád Tamás
This report is for the media and the general public.
Summary
Ceasefire violations[1]
In Donetsk region, the SMM recorded a similar number of ceasefire violations, including a similar number of explosions, compared with the previous 24 hours (about 30 explosions). The highest number of ceasefire violations was recorded in areas west of Debaltseve (non-government-controlled, 58km north-east of Donetsk), while the highest number of explosions was recorded in areas south-east of Svitlodarsk (government-controlled, 57km north-east of Donetsk).
In Luhansk region, the SMM recorded no ceasefire violations, compared with the previous 24 hours, when the SMM recorded ceasefire violations, including one explosion.
Man died while crossing the contact line near Stanytsia Luhanska
The SMM followed up on reports that a man (68 years old) died while crossing the contact line near Stanytsia Luhanska (government-controlled, 16km north-east of Luhansk) on 28 January. At the entry-exit checkpoint north of the Stanytsia Luhanska bridge (15km north of Luhansk), a representative of an international organization said that a man had collapsed at 13:45 near a humanitarian container used as a heating point and had not been able to be revived, despite having been provided first aid. A police officer at the same location told the SMM that the man had been traveling to non-government-controlled areas with his wife and son and that his body had been taken to the morgue in Stanytsia Luhanska.
Disengagement areas[2]
Positioned in the disengagement areas near Stanytsia Luhanska and Zolote (government-controlled, 60km west of Luhansk), the SMM observed calm situations.[3]
Withdrawal of weapons
The SMM continued to monitor the withdrawal of weapons in implementation of the Memorandum and the Package of Measures and its Addendum.
In violation of withdrawal lines
Non-government-controlled areas
26 January
An SMM mini-unmanned aerial vehicle (UAV) spotted:
Beyond withdrawal lines but outside of designated storage sites:
Government-controlled areas
26 January
An SMM mini-UAV spotted:
28 January
The SMM saw:
Non-government-controlled areas
26 January
An SMM mini-UAV spotted:
Indications of military and military-type presence in the security zone[4]
Government-controlled areas
28 January
The SMM saw:
Non-government-controlled areas
28 January
The SMM saw:
SMM facilitation of repair works to civilian infrastructure
The SMM facilitated and monitored adherence to the ceasefire to facilitate repairs to water pipelines near Berezove (government-controlled, 31km south-west of Donetsk) and to facilitate the inspection of water wells at a pumping station near Artema (government-controlled, 26km north of Luhansk). The SMM continued to facilitate the operation of the Donetsk Filtration Station.
Public gathering in honour of Maidan activist
In Kyiv, on 26 January, the SMM observed about 80 people (mostly men, about 20-50 years-old) marching from Mykhailivska Square to an area near Dynamo Stadium in tribute to a Maidan activist who lost his life on 22 January 2014. Some participants were wearing camouflage military-style uniforms and others were carrying torches as well as flags, including those of the Ukrainian National Assembly – Ukrainian People's Self-Defence and the Right Sector. The SMM observed 15 police officers present along the route and a bus of about 30 police officers in riot gear near the stadium. The SMM did not observe any incidents.
The Mission continued monitoring in Kherson, Odessa, Lviv, Ivano-Frankivsk, Kharkiv, Dnipro and Chernivtsi.
*Restrictions of SMM’s freedom of movement or other impediments to fulfilment of its mandate
The SMM’s monitoring and freedom of movement are restricted by security hazards and threats, including risks posed by mines, unexploded ordnance (UXO) and other impediments – which vary from day to day. The SMM’s mandate provides for safe and secure access throughout Ukraine. All signatories of the Package of Measures have agreed on the need for this safe and secure access, that restriction of the SMM’s freedom of movement constitutes a violation, and on the need for rapid response to these violations. They have also agreed that the Joint Centre for Control and Co-ordination (JCCC) should contribute to such response and co-ordinate mine clearance. Nonetheless, the armed formations in parts of Donetsk and Luhansk regions frequently deny the SMM access to areas adjacent to Ukraine’s border outside control of the Government (for example, see SMM Daily Report 25 January 2019). The SMM’s operations in Donetsk and Luhansk regions remain restricted following the fatal incident of 23 April 2017 near Pryshyb; these restrictions continued to limit the Mission’s observations.
Denial of access:
Regular restrictions related to disengagement areas and mines/UXO:
[1] For a complete breakdown of ceasefire violations, please see the annexed table. During the reporting period, the SMM camera in Stanytsia Luhanska was not operational. Winter weather conditions limited the observation capabilities of the majority of the SMM cameras throughout the reporting period.
[2]Disengagement is foreseen in the Framework Decision of the Trilateral Contact Group relating to disengagement of forces and hardware of 21 September 2016.
[3] Due to the presence of mines, including on a road between Bohdanivka and Petrivske, the SMM’s access to its camera in Petrivske remains limited, and thus the SMM has not been able to access observations from the camera since 22 June 2018.
[4] The hardware mentioned in this section is not proscribed by the provisions of the Minsk agreements on the withdrawal of weapons.