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Adrar-Info - Certaines sources concordantes ont rapporté au journal « Mayadin », que l’ancien Premier ministre Moulaye Ould Mohamed Lakhdaf...

Les Algériens représentent 12% de la totalité des bénéficiaires de titres de séjour délivrés en 2017 en Ile-de-France, selon des chiffres publiés par l’Institut d’aménagement et d’urbanisme (IAU) de la même région française. Sur les 96.000 titres de séjour accordés en Ile-de-France en 2017, 11.613 ont été accordés aux Algériens qui sont suivis par les Marocains (8.012), les Chinois (7.290), les Tunisiens (6.604) et les Maliens (3.383), selon les données de l’institut publiées lundi. Les cinq pays représentent 40% des bénéficiaires d’un séjour légal en France, alors que les membres de la communauté maghrébine représentent à eux seuls 28% des bénéficiaires. Plus de la moitié des titres franciliens sont accordés à des Africains (54%) dont la plupart sont francophones, a-t-on ajouté, soulignant que l’immigration familiale est composée à 68% d’Africains essentiellement du Maghreb et des pays francophones. L’immigration familiale ne compte que pour 35% des titres délivrés dans la capitale, alors qu’elle représente six titres sur dix en Seine-Saint-Denis et Seine-et-Marne, et plus de la moitié en Essonne et dans le Val-d’Oise. En lien avec l’importance du regroupement familial, les Africains sont plus nombreux parmi les détenteurs de titres de séjour dans l’Essonne (sept sur dix) et la Seine-et-Marne (deux tiers). Selon l’Institut, les étudiants viennent surtout d’Afrique (44%) et d’Asie (36%), indiquant que les étudiants chinois sont les plus nombreux (14%). Paris se singularise par sa place prépondérante dans l’accueil des étudiants (plus de quatre sur dix y résident) et des entrées pour motif professionnel (plus du tiers), explique-t-on de même source. Il faudra noter, dans ce contexte, que les étudiants algériens en France sont parmi les plus nombreux à étudier en France avec un nombre de 30.521 contre 26.116 en 2017, selon les dernières données de Campus France. Dans le top 25 de 2017, l’Algérie occupait le 3erang après le Maroc et la Chine avec +10% en évolution des effectifs de 2011 à 2016. Par ailleurs, plus de quatre migrants économiques sur dix proviennent du Maroc, de Tunisie, de l’Inde, du Bengladesh et des Etats-Unis, selon l’IAU qui souligne que la France reste en Europe un pays modéré en matière d’immigration. On indique également que l’Ile-de-France représente à elle seule 39% des titres de séjour délivrés en France, alors que sa part était proche de 45% en 2000. Parmi cette part, 30 % sont accordés pour suivre des études, second motif après la famille (36%). En matière de demandeurs d’asile, 26 % du total de la France ont été accueillis en 2017 en Ile-de-France.

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Andrej Kiska államfő kedden átvette a brünni Masaryk Egyetem Nagy Arany Díját, amelyet Mikuláš Bek rektor adott át az egyetem megalapításának 100. évfordulója alkalmából. Mint elmondta, a szlovák államfő szerinte hozzájárult a Masaryk- és Štefánik-féle hagyomány megőrzéséhez a cseh és a szlovák politikában.

Der mutmassliche Serienmörder Bruce McArthur aus Toronto hat gestanden, zwischen 2010 und 2017 acht Männer ermordet zu haben. Das berichteten kanadische Medien am Dienstag nach einer Gerichtsanhörung.

Nach sechs Monaten Mutterschafts-Pause ist Eli Simic bereit, wieder ins Berufsleben einzusteigen. Dazu hat sie nun eine Ausbildung zur Reiki-Therapeutin abgelegt. Ein Experte sieht darin aber nicht viel Nutzen.

Tvnoviny.sk: Szabadlábra helyezte és nyomkövető karperec viselésére kötelezte a bíróság Vanessa Pútikovát (18), a pozsonyi Iris öregotthon hamis ápolónőjét. Az egyébként takarítónő Vanessa akkor került a sajtó figyelmének központjába, hogy a Markíza tévé felhívta a figyelmet az otthonban történt gyanús halálesetekre.

Am Freitag kollidierte über dem Ruton-Gletscher ein Ultraleichtflugzeug mit einem Hubschrauber für Heliski. Sieben Menschen starben, zwei überlebten schwer verletzt.

A sztrájkoló audis munkásokat rengeteg más magyar és külföldi szakszervezet támogatja, a szolidaritást vállaló szakszervezetek listáját a Mérce tette közzé.

Le marché régional de gros des produits alimentaires de Kharouba, à l’Ouest de Boumerdès, fermé depuis plusieurs années, verra bientôt le règlement des situation, grâce à l’intégration d’une nouvelle formule pour sa gestion et organisation, susceptible de le réactiver et d’arrêter sa dégradation, a-t-on appris auprès de la wilaya.

«Il est impératif de réactiver le rôle de cet espace commercial d’importance dans les plus brefs délais», avait déclaré à l’APS le wali de Boumerdès, Mohamed Selmani, lors d’une récente visite d’inspection de ce lieu. Il a, à ce titre, fait part de la tenue d’une rencontre «programmée prochainement» avec toutes les parties concernées, en vue d’élaborer une «étude détaillée» de la situation de cet espace de 17 ha englobant 550 carrés commerciaux, et de la «prise des mesures d’urgence pour sa réactivation dans les plus brefs délais», a-t-il dit. Parmi les propositions émises en vue de la réactivation de ce marché, dont l’assiette a bénéficié d’un reclassement l’ayant intégré dans le domaine de l’Etat, la directrice du commerce de la wilaya, Ababssa Samia, a cité celle relative à sa gestion par un operateur privé, a qui il sera exigé «la présentation d’un plan d’investissement à son propos», a-t-elle précisé. Une autre proposition, devant ultérieurement être soumise à examen au titre d’une commission ad hoc, recommande la concession de la gestion de cet espace au profit d’opérateurs privés pour une durée de 30 ans , conformément à la législation en la matière.

Des réserves à l’origine de l’inexploitation du marché

Toujours selon Mme Ababsa, des réserves réglementaires formulées par la commission de wilaya chargée de l’activité commerciale, qui avait conseillé leur levée avant le règlement de la situation juridique et l’exploitation de cet espace commercial, ont conduit à la suspension officielle de toute activité à son niveau, depuis 1996, ce qui a engendré une totale anarchie en son sein, a-t-elle estimé . Parmi les réserves formulées, il est fait état de la destruction de 38 locaux et carrés commerciaux, réalisés sur des conduites d’eau potable en provenance de la commune voisine de Keddara, dont une partie (de ces commerces) a été déjà détruite. à cela s’ajoute le reclassement de l’assiette du marché, relevant à l’origine du domaine agricole. Il s’agit, également, de la fermeture des devantures de locaux commerciaux donnant sur le chemin de wilaya 222 (CW 222), mitoyen à ce marché de gros, pour «non-respect de la distance réglementaire les séparant de la route», a ajouté la même responsable, outre la nécessité pour les services de la Protection civile de la wilaya d’exprimer leur avis sur la question. Ce n’est qu’une fois ces réserves levées qu’il sera procédé à la réhabilitation et au réaménagement de ce marché, dont il est attendu «une importante contribution à la dynamique de développement de toute la partie-Ouest de la wilaya, tout en assurant des revenus pour la commune», a souligné la même responsable. Elle a fait part d’une enveloppe de près de 40 millions DA affectée à cette opération en 2014, au titre des Plans communaux de développement, mais «elle a été jugée insuffisante et l’opération fut gelée», a-t-elle fait savoir, relevant qu’une étude technique de ce projet de réaménagement a fait ressortir que l’enveloppe necessaire pour ce faire est d’au moins 100 millions de dinars. Cet espace commercial relevant de la commune de Kharrouba, unique en son genre dans le centre du pays, était auparavant un marché de gros de fruits et légumes, avant d’être promu en marché régional de gros de produits alimentaires. Il devrait générer, une fois sa mise en exploitation effective, quelque 10.000 emplois directs et indirects, selon des estimations de la direction du commerce de la wilaya. Outre son importante surface pouvant contenir un grand nombre de véhicules, lourds et légers, cette infrastructure est située dans une place stratégique, mitoyenne deswilayas d’Alger et Blida, et des routes nationales principales.

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By Rosli Omar and Jomo Kwame Sundaram
KUALA LUMPUR, Malaysia, Jan 29 2019 (IPS)

Owing to our varied circumstances and experiences, there are contradictory tendencies to either exaggerate or underestimate the power and importance of artificial intelligence (AI) in contemporary society.

Nor should we uncritically legitimize everything AI can be used for, even if it has been hailed as the main frontier of the Davos-proclaimed Fourth Industrial Revolution. AI, more than other elements of Industry 4.0, is transforming humanity’s understanding of ourselves in novel ways the world has neither experienced nor conceived.

Jomo Kwame Sundaram

AI unfettered
The AI market is already huge but still growing fast. The expertise needed is said to be growing ‘exponentially’. In fact, many enterprises seem to be struggling to meet this fast growing demand for expertise with the needed capabilities.

AI’s role is already very significant, but it is still transforming many painstakingly slow processes in diverse fields, typically displacing manual as well as skilled labour. For example, precision agriculture uses equipment to supply water and plant nutrients as well as to measure plant growth, eliminate pests, including weeds, and cater to the needs of individual plants.

Driverless cars are at very advanced stages of testing in many jurisdictions while AI is greatly improving supply chains and logistics. AI-based equipment is being used to track, police and solve crime, while its military applications, including killing enemy targets, are already infamous, not least because of the collateral damage caused.

AI applications in health care, elderly care and precision medicine and surgery are among some of the better-known applications. AI machines have the capacity to do many things more efficiently than humans and even perform tasks too dangerous or difficult for human beings.

The mantra we are being urged to accept is to accept all AI without qualification or to risk being left further behind. But there is no reason to define the challenge in such all or nothing terms.

Much AI development and applications are driven by business considerations, and business in turn shapes politics and the law, influencing science and technology, and how AI and its uses are seen and understood.

Business rules
Big business and its representatives have long managed, shaped and manipulated public knowledge, opinion and sentiment, not only about AI and its applications, but also industry’s accountability and responsibilities. AI depends heavily on information, especially big data, in order to mimic and improve upon human thought processes and behaviour.

The issue of breach of privacy has received considerable attention as questions of individual freedom, privacy and property rights have allegedly been violated. Frequent apologies by tech companies for earlier breaches and even sale of personal data have become so routine as to cast doubt on their sincerity.

AI’s continued progress may displace many more workers very quickly as suggested by some scenarios, while others suggest that AI’s advent will enable us to devote more time to care work and creative endeavours. With so much conjecture, it is difficult to plan, e.g., revise educational curricula.

Known and unknown unknowns
For businesses involved with AI, established or start-up, financial bottom lines are crucial although deep pockets and medium-term strategies may give start-ups longer leases.

But to survive, beating the competition remains imperative, which often means being the biggest, the best and the most innovative in order to survive challenges from disruptive new technologies marginalizing and displacing incumbents.

AI’s role in advancing medical technology has also enhanced its reputation for doing good, eclipsing the plight of victims of AI. Meanwhile, there has been growing acceptance of the individualistic ideology that we are all responsible for the decisions we make, whether explicit or implicit.

One fallacy often invoked is that we just do not know enough about AI to rush to judgement about our concerns. But clearly, the businesses involved and the governments that purchase, use and shape demand have the relevant experience and knowledge to make better-informed tentative assessments.

Policymakers generally lag behind in regulating AI, especially in developing countries. Regulating what is little known or understood remains especially challenging. AI is not only to help us do things better, faster and more efficiently. We must recognize the multiple functions of AI to begin to understand its complexity. Legislation and industry regulations must keep up with changes.

We must deal with it
AI is here to stay or at least the businesses, investors, politicians and technologists have decided so. AI offers potentially great means to enhance human capacities, but what and how businesses, governments and people deploy it is another matter.

What are the responsibilities of businesses creating, selling and using AI? Will the rise and spread of AI lead to new modes of mass surveillance, control and manipulation, even digital dictatorship or authoritarianism?

The seemingly limitless potential of AI is undoubtedly attractive, even seductive. Those directly involved have identified much of the immediate and even medium-term potential. Futurologists are more likely to envision, reflect and speculate on the longer-term potential.

But much of the public, even those unfamiliar with AI, imagine its potential after encountering some applications in their own experience. As it continues to evolve in human society, pundits increasingly debate the many dimensions of the ecosystems of AI.

A few will disagree over how best to encourage and ensure the optimum development and use of AI for the greater good in the face of the imperatives of profits and power.

Others worry about how AI is already being made use of and the potential for further abuse, but it is not clear what impact this will have on government interventions and social collective action.

Rosli Omar was the first Malaysian to get a PhD in artificial intelligence and is now a nature photographer. His latest book is Forest Birds of Peninsular Malaysia.
Jomo Kwame Sundaram is Senior Adviser with the Khazanah Research Institute. He was an economic professor and United Nations Assistant Secretary General for Economic Development.

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More than 1,000 people have been held in protests against President Omar al-Bashir's government.

OMS Mauritanie - Les travaux de l’atelier international pour le renforcement des capacités de surveillance et du suivi et évaluation des...

Le gouvernement palestinien basé à Ramallah a soumis mardi sa démission au président de l’Autorité Mahmoud Abbas, a indiqué l’agence de presse palestinienne Wafa. Le gouvernement continuera à « assumer toutes ses responsabilités jusqu’à ce qu’un nouveau gouvernement soit formé », a rapporté Wafa, citant un communiqué du Conseil des ministres. Cette durée est indéterminée. Le Premier ministre palestinien, Rami Al-Hamdallah, a mis son gouvernement à la disposition du président Mahmoud Abbas, avait indiqué lundi le porte-parole du gouvernement, Yousuf Al-Mahmoud.

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La conseillère municipale genevoise compte parmi les soutiens de Pierre Maudet.

Komikerin Gaby Köster macht sich über Heidi Klum lustig. Die Stimme der «Germany's Next Topmodel»-Jurorin vergleicht sie mit einer Ziege.

European Union, EP

The first item on the agenda for this week’s part-session is a formal sitting on Wednesday to mark International Holocaust Remembrance Day. In remembering the fate of the millions of Europeans who suffered between 1933 and 1945, Parliament has made its position clear that racism and xenophobia are not opinions but crimes. The worrying recent rise in anti-Semitism in Europe adds to the difficult social conditions under which Holocaust survivors live, many of whom suffer physical and psychological consequences of the persecution. To alleviate this situation, the EU has decided on a common approach to protect Jewish communities in Europe.

A statement by the European Commission on combatting the climate of hatred and physical violence against democratically elected mandate holders is scheduled for Wednesday afternoon, and Members will also debate a report calling to block sites when the domain name is defamatory or racist later on Wednesday evening. The trilogue agreement on new rules on the .eu top level domain (TLD), to be debated on Wednesday, ensures greater promotion of EU data protection rules and values in the proposed revamping of the rules on domain names, as well as encouraging best practice and reorganising the management of domain names in the EU.

Also on Wednesday afternoon, the Council and Commission will make statements on the rule of law and fundamental rights in Hungary. Parliament has made several resolutions on the risks of serious breaches of the EU’s founding principles by the Hungarian state. A proposal currently under consideration seeks to allow for sanctions measures with regard to EU funding.

Parliament will then debate a Committee on Budgetary Control (CONT) report on the 2017 annual report on the protection of EU financial interests, and the fight against fraud. The European Commission prepares the annual report, based on information provided by the Member States’ authorities, who manage the actual expenditure. While the CONT committee acknowledges that irregularities decreased during the period, the amount of money involved actually increased. The report stresses the uneven geographical distribution of fraud, and decries the low average recovery rate.

In the latest, and one of the last, of the current series, a debate will be held with the Prime Minister of Finland, Juha Sipilä, on the Future of Europe on Thursday morning. Perhaps the Prime Minister will touch upon some of the burning issues for the next few years: such as an EU at 27 Member States, trade issues and other geopolitical changes, as well as security, the environment, or the challenges of the digital transformation.

Finally, on Thursday lunchtime, Members will vote on a report on the European Commission proposal to change the way EU overseas countries and territories are funded. Parliament’s Development Committee is proposing to increase the budget for the non-UK linked overseas territories plus Greenland to €669 million, and to include these territories in EU regional dialogues with their immediate neighbours. The measures also seek to reinforce environmental and human rights considerations, as well as the territories’ competitiveness.

Visit the European Parliament homepage on Future of Europe

Washington hozzáférést biztosít a venezuelai vagyon amerikai bankokban tartott egyes számláihoz az Egyesült Államok által Venezuela ideiglenes államfőjeként elismert Juan Guaidónak – jelentette be kedden az amerikai külügyminisztérium.

Ambassade de France - Dans le cadre de la coopération de sécurité et de défense entre la République Islamique de Mauritanie et la République...

Trois bombes de confection artisanale ont été découvertes et détruites lundi lors d’une opération de fouille et de ratissage menée à Boumerdes par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique mardi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). « Dans le cadre de la lutte antiterroriste et suite à une opération de fouille et de ratissage menée, le 28 janvier 2019 à Boumerdès, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert et détruit 3 bombes de confection artisanale », précise la même source.

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