Summary
(B2) C’est un véritable massacre qu’ont commis les troupes érythréennes dans la ville d’Aksoum, les 28 et 29 novembre 2020, dénonce Amnesty international. L’Union européenne lance un rappel à la raison
carte indiquant les dommages subis dans la ville et les débris (crédit : Amnesty international)Des exécutions de civils systématiques
Les forces érythréennes appelées à la rescousse par le gouvernement d’Addis Abeba pour ramener l’ordre et mater les autorités de l’État du Tigré « ont tué de manière systématique des centaines de civil·e·s non armés ouvrant le feu dans les rues et fouillant toutes les maisons » indique Amnesty International dans un rapport publié le 26 février.
Des entretiens directs et des témoignages qui se recoupent
Un massacre qui s’apparente à « un crime contre l’humanité », selon l’ONG de défense des droits de l’Homme. Pour arriver à cette conclusion, Amnesty International s’est entretenue avec 41 victimes et témoins – notamment en réalisant des entretiens en personne avec des réfugié·e·s récemment arrivés dans l’est du Soudan et des entretiens téléphoniques avec des habitant·e·s d’Aksoum – et avec 20 personnes au courant des événements.
L’offensive érythréenne au Tigray
Leur récit est « cohérent » sur les exécutions extrajudiciaires, les bombardements aveugles et les pillages généralisés, intervenues après l’offensive menée par les soldats éthiopiens et érythréens pour prendre le contrôle de la ville contre le Front populaire de libération du Tigré (FPLT), mi-novembre.
Un appel de l’Union européenne
La Commission européenne a immédiatement réagi à cette publication, envoyant une sorte de rappel à l’ordre aux autorités éthiopiennes et érythréennes, comme à tous les acteurs de ce conflit civil.
Un appel à la cessation des hostilités
Le commissaire européen Janez Lenarčič (Gestion de crises), et le Haut représentant de l’UE Josep Borrell (Politique étrangère) condamnent « dans les termes les plus fermes, tous les crimes contre les civils » et demandent « que leurs auteurs soient rapidement traduits en justice ». Les obligations du droit international humanitaire « s’appliquent à toutes les parties ». « Les hostilités doivent cesser immédiatement et tous les acteurs humanitaires et les médias autorisés doivent avoir un accès complet et sans entrave à l’ensemble du Tigré »
Une situation humanitaire déplorable
Depuis le début du conflit il y a plus de 100 jours, « des milliers de civils ont perdu la vie et, selon les informations disponibles, 80 % de la population reste coupée de l’aide extérieure, confrontée à une insécurité alimentaire et à une malnutrition croissantes ». Le niveau de souffrance enduré par les civils, y compris les enfants, est « épouvantable ».
(NGV)
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L'artiste malien, Sidiki Diabaté a foulé le sol béninois ce vendredi 26 février 2021.
Le chanteur malien Sidiki Diabaté est arrivé à Cotonou dans le cadre d'un show privé. Dans le cadre du concert à Cotonou, il sera accompagné de Boukary, un comédien ivoirien.
Sidiki Diabaté fut incarcéré le 25 septembre 2020 pour une affaire de violences conjugales. Poursuivi pour des faits de séquestration et coups et blessures aggravées sur son ex-compagne, Mariam Sow alias Mamasita, il recouvre sa liberté le 29 décembre 2020 suite à une décision de la Chambre d'accusation de la Cour d'Appel, sous caution de 15 millions de francs CFA.
L'arrivée à Cotonou de Sidiki Diabaté intervient après celles de Fally Ipupa, Daphné et Singuila.
F. A. A.
Le bilan coronavirus en Algérie, est reparti à la hausse en Algérie, ce 26 février, selon les chiffres présentés, aujourd’hui par Djamel Fourar. L’Algérie a enregistré 183 nouveaux cas confirmés de coronavirus durant les dernières vingt-quatre heures, contre 161 la veille. Alors qu’il a été enregistré 4 décès, soit une légère hausse que la veille […]
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Az ítélőtábla a jogerős ítéletről tájékoztató közleményében azt írta: a férfit csoportosan, felfegyverkezve, jelentős értékre elkövetett rablás miatt ítélték el, a másodrendű vádlott 13 év fegyházbüntetést kapott. Harmadik – mindeddig ismeretlen – társukkal együtt raboltak ki egy pécsi vállalkozót 2017 június 17-én. A vállalkozó házába behatolva a maszkot viselő vádlottak a sértettet a földre lökték, hasra fektették, kezeit összekötötték, többször megütötték, miközben pénz és értéktárgyak után kutattak.
Amikor a vállalkozó közölte, hogy nem tart pénzt a lakásban, az egyik elkövető a fülei levágásával fenyegette meg, majd egy konyhakéssel metszéseket is ejtett mindkét fülén. A tettesek megtalálták a sértett táskáját, amelyben egyebek mellett csaknem tízmillió forintnyi pénz volt. A támadók a megszerzett értékekkel elmenekültek. Az elsőrendű vádlottat néhány órával később fogták el, csaknem 8,5 millió forintot találtak nála. A másodrendű vádlottat több mint egy évvel a cselekmény elkövetése után azonosították DNS-nyomok alapján.
Az első fokon eljáró Pécsi Törvényszék 2019-ben csoportosan, felfegyverkezve, jelentős értékre elkövetett rablás bűntettében mondta ki bűnösnek a vádlottakat, ezért az elsőrendű vádlottat erőszakos többszörös visszaesőként életfogytig tartó fegyházra, másodrendű vádlott-társát – szintén többszörös visszaesőként – 13 év fegyházra ítélte, azzal, hogy a vádlottak feltételes szabadságra nem bocsáthatók.
A Pécsi Ítélőtábla a vádlottak cselekményét társtettesként elkövetett magánlaksértés bűntettének is minősítette. Rendelkezett arról, hogy az elsőrendű vádlott legkorábban huszonöt év elteltével bocsátható feltételes szabadságra. A másodrendű vádlottat a tábla nem többszörös, hanem különös visszaesőnek minősítette. Az ítélet jogerős.
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On 26 February 2021, the Council of Europe (CoE) convened the 8th meeting of the Protocol Drafting Plenary of the Cybercrime Convention Committee (T/CY), which represents the State Parties to the Budapest Convention on Cybercrime. The aim of the meeting was to prepare a 2nd Additional Protocol to the Convention.
The OSCE was invited to attend the meeting as an observer and without the right to vote. The meeting was also observed by many other international organizations, such as the European Union, the G7 High-Tech Crime Subgroup, INTERPOL, and the United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC).
The OSCE’s activities on cybercrime complement international efforts to combat this cross-border threat, which is steadily increasing in scope and sophistication. To build synergies and co-ordinate existing initiatives in this area, the Organization is working closely with its participating States and other partners, such as UNODC, CoE and the Global Forum on Cyber Expertise (GFCE), in its related capacity building activities.
The OSCE’s Transnational Threats Department (TNTD) — Strategic Police Matters Unit is working to enhance the criminal justice response to cybercrime, while upholding human rights. To better understand the evolving features of this phenomenon and to promote the most effective ways to identify and investigate cybercrime, TNTD is assisting in updating training curricula for law enforcement and promoting co-operation among relevant national stakeholders, including the private sector.
TNTD is also focusing on the use of new technologies by security actors, including the use of artificial intelligence (AI) by law enforcement agencies.