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24 Heures au Bénin

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Le compte rendu du Conseil des ministres du 10 Octobre 2018

Wed, 10/10/2018 - 19:37

La réunion hebdomadaire du Conseil des ministres a eu lieu ce jour au Palais de la République sous la présidence du Chef de l'Etat. Votre journal publie le compte rendu des travaux.
Veuillez cliquer sur le lien ci-après.
https://sgg.gouv.bj/cm/2018-10-10/download

Categories: Afrique

Jean-Baptiste Satchivi au cabinet de Modeste Kérékou

Wed, 10/10/2018 - 16:35

Le président de la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin (Ccib), Jean-Baptiste Satchivi, a été reçu en audience, ce mardi 9 octobre 2018, par Modeste Kérékou, ministre des petites et moyennes entreprises et de la Promotion de l'Emploi. Objectif de cette visite, remercier le ministre des petites et moyennes entreprises qui a accepté de co-parrainer le Forum économique régional qui aura lieu les 11, 12 et 13 octobre 2018 à Natitingou aux fins de valoriser les potentialités économiques du Pôle Nord-Ouest d'une part, et d'autre part, le format dudit forum et les différentes thématiques à développer au cours des panels.
Selon le président de la Ccib, Jean-Baptiste Satchivi, ce forum connaîtra la participation des acteurs privés et locaux, les collectivités locales des départements de l'Atacora et de la Donga, les PTF, les Chambres consulaires du Burkina-Faso du Togo et du Nigeria. Plusieurs activités vont meubler ce Forum. Il s'agit selon Jean-Baptiste Satchivi, des panels de discussions portant sur les projets du PAG relatifs à la promotion des filières agro-pastorales ; du développement du Tourisme ; de la transformation locale de la production ; du commerce transfrontalier ; de la promotion des produits du terroir ; de la visite des sites touristiques etc.
Ce fut l'occasion pour le président de la Ccib, de faire part au ministre Kérékou, de l'organisation du 1er Forum Bénin-Nigéria, qui pourrait se tenir le 15 novembre prochain. Il est organisé par la Ccib et l'Ambassade du Nigeria au Bénin avec le soutien des Chambres de commerce et d'Industrie de Lagos, d'Abuja, la NACCIMA et la FEWACCI. L'objectif de ce Forum est de favoriser l'accroissement des flux commerciaux et les investissements entre le Bénin et le Nigéria à travers la mise en place d'un cadre des affaires Benin-Nigeria pour poursuivre la conversation stratégique entre les deux pays et la mise en place d'un dispositif de financement des Pme/Pmi entre les deux États. A cet effet, Jean-Baptiste Satchivi a souhaité une forte implication du ministère en charge des Pme par un appui multiforme pour la bonne organisation et le succès de ce forum.
Après avoir remercié le président de la Ccib pour cette initiative, le ministre Kérékou a assuré que son département ministériel jouera sa partition aussi bien pour la réussite du Forum de Natitingou que pour le 1er Forum Bénin-Nigéria qui sans doute augurera de lendemains meilleurs pour les Pme béninoises et nigérianes.
F. A. A.

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Patrice Talon a pris le départ pour l'Arménie

Wed, 10/10/2018 - 13:41

Le Chef de l'Etat et une délégation du gouvernement sont partis de Cotonou pour l'Arménie dans la matinée de ce mercredi 10 octobre 2018. Au cours de son séjour à Erevan en Arménie, le président Patrice Talon va participer au 17eme Sommet des chefs d'Etat et de Gouvernement de la Francophonie, prévu pour les 11 et 12 octobre 2018. Réunissant les dirigeants des pays ayant le français en partage, le thème de cette année est intitulé : « Vivre ensemble dans la solidarité, le partage des valeurs humanistes et le respect de la diversité : Source de paix et de prospérité pour l'espace francophone ».
Ce sommet va aussi permettre de définir les nouvelles orientations de la Francophonie de manière à assurer son rayonnement dans le monde, dans un cadre stratégique décennal.
Au cours de son séjour en Arménie, le président Patrice Talon aura des entretiens avec des chefs d'État et des investisseurs.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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L'hôpital St Jean de Dieu bénéficie de 02 ambulances du Japon

Wed, 10/10/2018 - 12:39

L'ambassade du Japon près le Bénin a fait don de deux ambulances à l'hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta. La cérémonie officielle de signature du protocole d'accord du don a eu lieu, ce mardi 09 octobre 2018, au ministère de la Santé. Elle s'est déroulée en présence du ministre de la santé Benjamin Hounkpatin, des membres de son cabinet, du Consul honoraire d'Espagne près le Bénin et d'une délégation du Ministère des Affaires Étrangères.
Le don offert par l'ambassade du Japon à l'hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta est constitué de deux ambulances de marque Toyota Land Cruiser. Selon le représentant de l'hôpital Frère Rodrigue Djitrinou, ce don fait suite à une requête qui a été faite pour bénéficier de nouvelles ambulances, puisque les 03 dont disposait le centre ont cessé de fonctionner. Une demande à laquelle le gouvernement japonais à travers sa représentation diplomatique au Bénin a répondu favorablement. « Ces ambulances que j'ai l'honneur et le plaisir de recevoir ce jour mardi 09 octobre 2018, (...) permettent à l'hôpital de renouer avec sa tradition de toujours se porter vers les malades pour leur transport des différents centres de santé vers l'hôpital de zone », s'est réjoui le Frère Rodrigue Djitronou, après la signature du protocole d'accord de don.
Pour l'Ambassadeur du Japon près le Bénin, S.E.M Kiyofumi Konishi, cette cérémonie témoigne de « (...) l'attachement du Japon à contribuer à l'amélioration de la santé des populations béninoises à travers ce projet de fourniture d'ambulances à l'hôpital Saint Jean de Dieu de Tanguiéta ».
Un acte qui prouve que le Japon est réellement engagé à mieux accompagner le Bénin dans le renforcement de son système sanitaire.
Quant au ministre de la Santé, Dr Benjamin Hounkpatin, il a relevé que ce don du peuple japonais « s'inscrit parfaitement dans le Programme d'Actions du Gouvernement et témoigne encore une fois de l'attachement, combien important, du peuple japonais au peuple béninois ». Il a remercié le gouvernement japonais pour ce don qui va permettre désormais d'améliorer la qualité des services de ce centre. « L'acquisition et la mise en service de ces ambulances permettront, non seulement, d'augmenter la fréquentation de cet hôpital (...), mais aussi et surtout de réduire la mortalité en générale et celle des mères en particulier », a souligné le ministre Benjamin Hounkpatin.
Le coût des deux ambulances offertes à cet hôpital est évalué à plus de 40 millions FCFA.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Un policier poignardé à mort

Wed, 10/10/2018 - 12:37

Un policier républicain a été poignardé dans la nuit de lundi à mardi dernier à Parakou. La scène s'est produit au quartier Gbira pendant qu'il pourchassait des hors-la-loi.
Selon des sources policières, le drame s'est produit vers 2h 33. Deux motocyclistes dont l'un tractait le second ont été aperçus par la patrouille du 3ème arrondissement de Parakou, au quartier Gbira. Dans leur course pour échapper à la police, « ceux-ci ont alors abandonné la moto tractée et ont poursuivi leur chemin avec la seule fonctionnelle ». Quelques instants après, lors de l'embarquement de la moto abandonnée, un conducteur de taxi-moto a indiqué la cachette des fugitifs aux forces de sécurité. Les patrouilleurs ont alors pris en chasse les deux individus. Compte tenu de l'impraticabilité de la voie, ces derniers ont abandonné leur moto et pris la fuite dans des directions opposées. L'agent de police Bernard Mohamed Chabi, qui tentait de maîtriser l'un des présumés bandits a été grièvement poignardé à la côte gauche par ce dernier. Transporté aux urgences du Centre Hospitalier Universitaire du Borgou, il a succombé à ses blessures.
Les dangereux agresseurs sont activement recherchés par la forces de sécurité. Leurs têtes sont mises à prix..

G.A

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Le PRD en congrès extraordinaire le 27 octobre

Wed, 10/10/2018 - 12:13

La Direction exécutive nationale du PRD, réuni le 9 octobre 2018, a pris d'importantes décisions en prélude à la formation du Parti Républicain (PR). Il s'agit d'une part de la convocation du Bureau politique du parti pour le mercredi 24 octobre 2018, de la tenue du Conseil national le samedi 27 octobre 2018 et d'autre part, de l'organisation d'un Congrès extraordinaire le samedi 27 octobre 2018.

Après avoir donné mandat au bureau directeur de négocier à la formation d'un grand bloc politique, les responsables du Parti du renouveau démocratique (PRD) ont fait le point de leur négociation et appelle à l'adhésion de tous ses militants.
Réunie, ce mardi 09 octobre 2018, à Porto-Novo, la direction nationale du PRD a évalué la mission confiée aux responsables dans le cadre de la formation d'un grand bloc. Ceci dans le but de rester en conformité avec la nouvelle charte des partis politiques au Bénin. A l'issue de cette rencontre, un communiqué signé du secrétaire général du parti a permis de faire le point de cette assise. « Il s'est tenue à Cotonou une réunion de la Direction exécutive nationale (DEN) du Parti du renouveau démocratique (PRD), élargie aux Députés, Maires et au Haut Conseil des Sages, sous la présidence effective de Maître Adrien Houngbédji, président du Parti », indique le communiqué.
Le secrétaire général rappelle que la réunion du PRD fait « suite à celle tenue le 23 septembre 2018, à l'issue de laquelle, quitus a été aux instances du parti, pour poursuivre les négociations devant aboutir à la création d'un grand parti ». Ceci dans l'optique de « la mise en œuvre des diligences à faire pour la réalisation de cet objectif dans le respect des textes fondamentaux du parti ».
Les débats ont permis d'aboutir à un consensus. Ainsi selon le communiqué, « (...) il ressort que le PRD contribuera à la création du nouveau parti dénommé : Parti Républicain (PR) ».
Conformément aux articles 85 des statuts et 10 du règlement intérieur du PRD, que la Direction exécutive nationale a décidé d'une part de la convocation du Bureau politique du parti pour le mercredi 24 octobre 2018, de la tenue du Conseil national le samedi 27 octobre 2018 et d'autre part, de l'organisation d'un Congrès extraordinaire le samedi 27 octobre 2018.
« Le président adresse ses remerciements aux militants pour leur adhésion aux conclusions des différentes négociations et les exhorte à se mobiliser davantage pour les actions futures ».

G.A.

Categories: Afrique

Le Bénin salué pour sa diplomatie

Wed, 10/10/2018 - 12:09

Le Bénin s'est une une fois de plus fait remarquer pour sa diplomatie. C'est à travers la participation d'une délégation conduite par le Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération M. Aurélien Agbénonci à la Conférence ministérielle de la Francophonie les 8 et 9 octobre 2018, à Erevan en Arménie.
C'était en prélude au 17ème Sommet de la Francophonie.

Les enjeux et défis actuels du numérique pour les pays de l'espace francophone dans un contexte de mondialisation étaient abordés au cours de la Conférence ministérielle de la Francophonie (CMF), à Erevan en Arménie. Le thème a été présenté par le Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération M. Aurélien Agbénonci qui a mis l'accent sur la pertinence de la proposition du chef de l'Etat, Patrice Talon sur la mise en place d'un réseau des Ministres en charge du numérique dans les pays francophones. Ceci permettra selon celui-ci, d'arriver à un meilleur repositionnement des pays francophones.
Le ministre des Affaires étrangères a fait une plaidoirie en faveur du Bénin pour accueillir à Cotonou le Secrétariat permanent dudit réseau dont le lancement est prévu pour le 10 octobre à Erevan, où sera présente la Ministre de l'Economie Numérique et de la Communication du Bénin, Mme Aurélie Adam Soulé Zoumarou. En sa qualité de président en exercice de la Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports de la Francophonie (CONFEJES), Oswald Homeky a présenté sa vision pour la jeunesse. Une intervention qui est d'ailleurs salué par les participants.
Il a expliqué que le dynamisme de la jeunesse et la puissance du sport dans l'espace francophone sont les défis de son mandat. Oswald Homeky n'a pas manqué de mettre l'accent sur l'urgence et l'importance d'avoir un plan d'actions cohérent en faveur des jeunes et des femmes de l'espace francophone. M. Homeky appelle les pays francophones à oeuvrer chacun pour une meilleure synergie d'actions afin de garantir une paix durable et la stabilité sans équivoque dans l'espace francophone. Aussi, a-t-on noté dans l'intervention du nouveau Secrétaire général de la Conférence des Ministres de l'Éducation des Etats et Gouvernement de la Francophonie (CONFEMEN), M. Abdel R. Baba-Moussa, la volonté du chef de l'Etat, Patrice Talon, pour le positionnement des cadres béninois dans les instances internationales. La présentation officielle aux délégués de la CMF de cette politique internationale et les actions futures de la diplomatie béninoise ont été saluées et encouragées.
Le Bénin représenté par le Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mme Marie-Odile Attanasso, a été retenue en tant que membre du Comité de Pilotage de l'Institut de la Francophonie pour la Formation et l'Education (IFEF) pour la période 2019-2022.
La Secrétaire générale de la Francophonie ainsi que le Président de l'Association internationale des Maires francophones (AIMF), n'ont pas raté l'occasion de présenter le Bénin comme un exemple en matière de coopération avec l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
La voie est ainsi tracée pour la participation rehaussée du Chef de l'Etat, le Président Patrice Talon, au 17ème Sommet des chefs d'Etat et de Gouvernement de la Francophonie les 11 et 12 octobre 2018.
Il sera question en dehors du thème, « Vivre ensemble dans la solidarité, le partage des valeurs humanistes et le respect de la diversité : source de paix et de prospérité pour l'espace francophone » qui sera présenté par le Président de la conférence ministérielle suivi de débat, de l'adoption du rapport de la Secrétaire générale de l'OIF.
Ce qui aboutira à la désignation du nouveau Secrétaire général de l'organisation.
Giscard AMOUSSOU

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La valorisation de la médecine traditionnelle au centre d'un séminaire

Wed, 10/10/2018 - 12:04

Un séminaire international se déroule depuis ce lundi à Bohicon, dans le cadre du renforcement des capacités des professionnels de la médecine traditionnelle, de la médecine moderne, responsables d'œuvres spirituelles et chercheurs en naturopathie, de la sous-région ouest-africaine. Selon l'Agence Bénin presse, ledit séminaire durera sept jours.
Organisé par Action nature et médecine (ANaMed), une structure internationale allemande, le séminaire réunit les praticiens de la médecine traditionnelle venus du Bénin, du Togo, du Burkina Faso, du Ghana, de la Côte d'Ivoire, du Niger, du Sénégal et d'Allemagne, qui seront formés sur la fourniture des services et produits de qualité. Ceci dans l'optique de l'amélioration de la santé et le cadre de vie des communautés africaines, et des peuples du monde. Ils échangeront des expériences avec leurs pairs.
Il sera adjoint à la formation des travaux pratiques liés à la fabrication des phytomédicaments améliorés et des types de pommades.
Les participants ont sept jours pour mieux échanger leurs connaissances en matière de phytothérapie.
Le président de ANaMed Bénin, Marcellin Agossou Aïgbé, souligne que ce séminaire vient à point nommé. Car dira-t-il pour accompagner les réformes en cours dans le secteur de la santé. « Les rapports de l'OMS (rapport 2002), spécifient que 80 % de la population béninoise ont recours à la médecine traditionnelle ou naturelle », rappelle-t-il. C'est donc indispensable de renforcer les capacités techniques organisationnelles et pratiques des professionnels du domaine pour améliorer leurs efforts.
Le président de l'ONG Jeunesse sans frontières Bénin, Marcellin Agossou Aïgbé, met en exergue les actions de ANaMed qui facilitent la politique sanitaire du gouvernement béninois.
Le secrétaire général de la préfecture du Zou, Julien Ouankpo, et le directeur départemental de la santé, Evariste Tokplonou, n'ont pas manqué de souligner le bien fondé de cette formation.
Les recommandations de ce séminaire
conduit par Dr Katharina Madrid, présidente de Action nature et médecine (ANaMed)- Allemagne, permettront d'améliorer la pratique dans la médecine naturelle au Bénin.
G.A

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La 2ème session du Conseil national a démarré lundi

Tue, 10/09/2018 - 18:07

La 2ème session du Conseil national du dialogue social (Cnds) a démarré, ce lundi 08 octobre 2018 à l'Infosec de Cotonou. Ouvrant les travaux, le président du CNDS, Guillaume Attigbé a souligné que « le tripartisme est un dialogue permettant au gouvernement, aux employeurs et aux travailleurs par le biais de leurs représentants de s'exprimer sur un pied d'égalité et en toute indépendance en vue de rechercher des solutions idoines à des problèmes d'intérêts communs ». Pour lui, l'expression du dialogue social, vise les institutions, mécanismes et les processus de consultation, de négociation et de prise de décisions concertées, selon les modalités convenues par les parties intéressées. Ces modalités, poursuit le président, peuvent être définies de façon ponctuelle ou systématique. « Le tripartisme est considéré comme un mécanisme de résolution des problèmes, et un moyen pour parvenir à l'équité social, à l'efficacité économique, et à la participation démocratique. Il joue un rôle important dans la protection des droits au travail, dans la fixation des salaires, l'amélioration des conditions de travail et la promotion d'entreprises durables », a-t-il ajouté.
Ce fut l'occasion pour Guillaume Attigbé, de renouveler aux conseillers, toute sa reconnaissance pour les efforts qu'ils déploient individuellement et collectivement afin d'asseoir les bases du Conseil, dont le rôle dans la création de la paix sociale n'est plus à démontrer.
Durant cette session qui va durer un mois, d'importants dossiers liés à la consolidation et à la bonne marche de l'organe seront examinés. Il s'agit essentiellement de la tenue de l'atelier de renforcement des capacités des membres titulaires et suppléants du CNDS, grâce à l'appui technique et financier du Bureau international du travail (Bit) ; de la réunion des commissions techniques du Conseil en vue de proposer des thèmes pertinents qui pourraient faire l'objet d'étude ; de la poursuite des échanges et de l'insertion dans le règlement intérieur, des conclusions retenues à la 2ème session extraordinaires du CNDS, relativement au cadre national du dialogue social ; de l'organisation dans huit départements, de la campagne de vulgarisation des textes fondamentaux du CNDS et enfin des questions diverses.
Le président du Cnds, Guillaume Attigbé a précisé que cette session ordinaire se tient au lendemain d'une rentrée scolaire 2018-2019, effectuée dans le calme et la convivialité. A cet effet, il a renouvelé les félicitations des conseillers et leur soutien à tous ceux qui ont œuvré à ce succès important, mais qui reste encore partiel. Selon Guillaume Attigbé, il n'est pas question pour les partenaires sociaux de dormir sur leurs lauriers car, l'objectif principal est de contribuer à instaurer un climat social apaisé, stable et durable pour une vraie renaissance de l'école béninoise.
Conscient de la tâche effectuée, il a demandé aux conseillers de faire violence sur eux-mêmes en participant pleinement aux travaux, faire preuve d'assiduité et de ponctualité, afin de prouver une fois encore leur attachement à la bonne marche du Cnds.
Les travaux de cette 2ème session ordinaire prendront fin le 07 novembre prochain.
F. A. A.

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Les étudiants saluent les réformes engagées par le chef de l'Etat

Tue, 10/09/2018 - 17:57

En prélude à la rentrée académique 2018-2019 qui aura lieu le 15 octobre prochain, le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Marie-Odile Attanasso, dans un message adressé aux acteurs de l'université publique, a informé ces derniers des nombreuses mesures prises par le gouvernement du Nouveau Départ pour améliorer les conditions des étudiants et la qualité de la formation.
Les efforts engagés selon le ministre, concernent notamment la gestion des bourses et autres allocations universitaires, le renforcement des intrants du système universitaire, les infrastructures et équipements, la formation et le recrutement d'enseignants.
Marie-Odile Attanasso a rappelé la mise en place d'une plate-forme informatique de gestion des allocations universitaires et leur bancarisation aux fins d'assurer la célérité dans leur traitement et le paiement à bonne date aux étudiants. Une réforme importante devenue réalité depuis la rentrée universitaire 2016-2017. Une autre réforme importante selon le ministre, a consisté en la prise du décret n°2017-155 de mars 2017 pour une amélioration remarquable des pratiques alors en cours. L'application de ce décret, explique le ministre, a conduit à retenir un effectif global de 29 977 allocataires dont 14 197 anciens et 15 780 nouveaux, soit une augmentation de plus de 100% du nombre de bénéficiaires.
Les nouveaux allocataires, poursuit le ministre, sont les nouveaux étudiants qui démarrent la première année d'études à la rentrée universitaire 2018-2019.
La fixation des quotas d'allocations universitaires au titre de cette rentrée et le budget alloué au paiement des allocations au titre de 2018-2019, qui s'élève à 10 milliards de francs CFA, ont produit un boom d'étudiants allocataires béninois, a expliqué Marie-Odile Attanasso.
Par ailleurs, l'augmentation des fonds alloués aux bourses en 2018 a permis d'apurer des arriérés d'allocations sur la période 2015-2017, à hauteur de 14 911 935 889 FCFA. Les allocations de l'année en cours sont assurées à fin août pour 3 346 117 582 FCFA, soit à cette date, 18 258 053 471 FCFA engagés en 2018 au titre des allocations universitaires contre 7,5 milliards de francs en moyenne par an jusqu'en 2015 à la veille de l'avènement du régime du Nouveau Départ, a-t-elle fait savoir.
Concernant la gratuité et les frais d'inscription, le ministre de l'enseignement supérieur rappelle qu'en 2008, en l'absence de toute étude prospective visant à garantir l'équilibre financier des budgets des universités, la suppression des frais d'inscriptions dans les universités publiques a été annoncée. Par la suite, le décret n° 2008-802 du 31 décembre 2008 portant prise en charge par l'Etat, des frais d'inscription des étudiants béninois non boursiers, non secourus et non-salariés dans les universités nationales du Bénin (UNB) a été adopté.
Pis, aucune mesure d'accompagnement n'a été prise pour compenser le déficit occasionné par cette décision. A titre d'exemple, Marie-Odile Attanasso souligne que durant la période de 2013 à 2016, en moyenne 70% des étudiants de l'université d'Abomey-Calavi non boursiers, non secourus et non-salariés, ont bénéficié de la gratuité des droits d'inscription. Mais seulement 40% des besoins de subventions annuelles ont été pris en charge par l'Etat. Une situation qui occasionne chaque année un déficit de financement évalué en moyenne à 2 milliards de francs CFA, regrette-t-elle. Pour compenser ce déficit important, les responsables des Universités publiques ont demandé la réinstauration des frais d'inscription, voire leur augmentation. Mais tenant compte du contexte social national, et en attendant la réflexion prospective sur l'avenir des universités et leur gouvernance, sous l'impulsion du Conseil national de l'éducation dont le processus d'installation est en voie d'achèvement, le gouvernement a retenu que les efforts d'investissements de l'Etat seront maintenus et soutenus, pour améliorer le cadre de vie et d'études des apprenants dans lesdites universités.
Le gouvernement a également décidé de maintenir le statu quo sur les droits d'inscription et de formation dans les universités nationales. Par conséquent, précise le ministre de l'enseignement supérieur, il n'y a ni retour de frais d'inscription, ni augmentation des frais de formation dans les universités nationales au titre de l'année académique 2018-2019.
Pour cela, des subventions seront accordées aux universités nationales dans les mêmes conditions que l'année précédente avec une possibilité d'augmentation, si les demandes exprimées par les rectorats sont justifiées.
Au sujet du renforcement des intrants du système universitaire, Marie-Odile Attanasso rappelle que depuis 2016, l'Etat consacre en moyenne chaque année, 55 milliards de francs CFA contre 38 milliards de francs CFA en 2015 au fonctionnement des universités, de leurs personnels et de programmes d'intervention.
La politique d'allocation des ressources permet, selon le ministre, de mettre en phase la construction d'un système éducatif avec les ambitions économiques du gouvernement. Ainsi, au chapitre des infrastructures et équipements, les efforts entrepris par le gouvernement depuis l'année 2016, se traduisent, entre autres, par la construction et l'équipement d'infrastructures administratives, pédagogiques et de laboratoires au profit des universités nationales d'Abomey-Calavi et de Parakou, de l'université nationale d'agriculture ainsi que du centre universitaire de Sakété ; l'acquisition et la réhabilitation en cours d'un domaine à Ouidah, pour abriter la Faculté des sciences économiques et de gestion (Faseg).
S'agissant de la formation et de renforcement de la qualité des ressources humaines, le ministre de l'enseignement supérieur a souligné que pour donner plus d'employabilité aux formations dans les universités, l'Etat a créé de nouvelles filières qui rendront les étudiants directement employables à la fin d'une formation courte de 2 ans.
Outre cette innovation, poursuit le ministre, de nombreuses réformes ont été menées. A titre indicatif, elle a cité la création de l'institut national supérieur des classes préparatoires aux études d'ingénieurs (Inspei) ; la création des Instituts universitaires d'enseignement professionnel (Iuep) dont 08 domaines de métiers ont été retenus par le Conseil des ministres (l'agriculture, du tourisme, des bâtiments, des travaux publics, du textile, l'art et la culture, la vente et le commerce, la maintenance des véhicules) ; l'organisation des examens nationaux de Licence et de Master au niveau des établissements privés d'enseignement supérieur. Ces réformes concernent aussi l'organisation des travaux de la sélection des nouveaux bacheliers qui valorise la compétence et assure l'équité et la réorganisation du système d'attribution des bourses pour tenir compte des besoins en formation de l'économie nationale et faciliter leur utilisation optimum.
En vue d'améliorer la qualité de la formation et de corriger le ratio enseignants/étudiants, de nombreuses actions ont été menées.
Le gouvernement a fait l'option de doter les universités d'un nombre de suffisant d'enseignants en 5 ans, a informé Marie-Odile Attanasso. Pour cette raison, explique-t-elle, un programme de recrutement de 200 doctorants est engagé pour alimenter les écoles doctorales avec l'espoir que dans 03 ans, les universités publiques du Bénin auront à leur disposition 200 nouveaux assistants.
De plus, une vague de 100 assistants a été sélectionnée en juillet 2018 pour être recrutée pour les 4 universités nationales. Le processus de sélection de 100 nouveaux assistants sur le budget de 2019, est en cours.
Tous ces efforts sont menés dans un contexte où, la prise en compte du volet social est une préoccupation constante du gouvernement et sont fortement salués par les étudiants et l'ensemble des acteurs du monde universitaire.
F. Aubin AHEHEHINNOU

Categories: Afrique

La fermeture des centres illégaux se poursuit à Parakou

Tue, 10/09/2018 - 17:31

Après une première phase la semaine écoulée, l'opération de fermeture des formations sanitaires illégales s'est poursuivie dans la ville de Parakou, ce lundi 08 octobre. Une délégation composée du médecin coordonnateur de la zone sanitaire Parakou-N'Dali, Akim Gouda et du commissaire central de la cité des Kobourou, Barnabé Amagbégnon, s'est rendue dans plusieurs formations sanitaires le 08 octobre 2018.
Lors de cette opération, plusieurs centres illégaux ont vu leurs portes fermées par les autorités. Les formations sanitaires illégales ayant volontairement procédé à la fermeture de leurs portes suivant les instructions, ont juste été contrôlées par les autorités. Celles qui n'ont pas voulu se conformer aux injonctions des pouvoirs publics ont été fermés et leurs matériels saisis. Un moratoire a été donné aux formations sanitaires ayant déposé les dossiers pour la régularisation leur statut.
Selon le médecin coordonnateur de la zone sanitaire Parakou-N'Dali, Akim Gouda, tant qu'il restera une formation sanitaire illégale, le contrôle ne cessera d'être fait. Il invite les responsables des structures sanitaires illégales à se rapprocher de la zone sanitaire ou de la Direction Départementale de la santé, pour avoir la liste des pièces à fournir pour leur enregistrement.
Le commissaire central de la ville de Parakou, Barnabé Amagbégnon, a assuré de la disponibilité des éléments de la Police Républicaine, à veiller au grain pour que les centres de santé fermés le restent jusqu'à leur régularisation. Pour ce faire, souligne-t-il, des patrouilles et enquêtes seront menées pour démanteler toute manœuvre d'exercice clandestin.
F. A. A.

Categories: Afrique

Le procès Atao reporté au 23 octobre prochain

Tue, 10/09/2018 - 16:00

Prévu pour se tenir ce mardi 09 octobre 2018, le procès du député Mohamed Atao Hinnouho, inculpé dans une affaire de faux médicaments, a été reporté au mardi 23 octobre prochain. Et pour cause, l'absence du juge qui n'était présent au procès. L'audience a donc été reportée au 23 octobre prochain.
Mohamed Atao Hinnouho retourne ainsi en prison en attendant cette date pour connaître la sentence du juge dans cette affaire.

F. A. A.

Categories: Afrique

Les Ecureuils ont effectué leur première séance d'entrainement

Tue, 10/09/2018 - 13:23

Quelques heures seulement après l'arrivée des joueurs, l'équipe conduite par le sélectionneur français a effectué sa première séance d'entrainement dans l'après-midi de ce lundi 08 octobre 2018. Au cours de cette séance qui a eu pour cadre, l'enceinte du stade Sauvnej appartenant à un club de district, Michel Dussuyer a soumis son groupe à un menu léger. « C'est un travail déjà en fonction de l'effectif, qui est là. On a individualisé un peu la charge du travail ; travail de récupération pour ceux qui ont joué le samedi, travail athlétique supplémentaire pour ceux qui ont joué le vendredi", a déclaré le technicien français. Les séances vont se poursuivre ce mardi 09 octobre avant que l'équipe et le staff technique ne rallient Alger mercredi prochain.
Pour l'expédition algérienne de vendredi prochain, l'encadrement technique, apprend-on, devra se passer des services de Mama Séïbou. Le sociétaire de Touloun traîne une blessure qui l'éloigne des stades. Sur les 21 joueurs que Michel Dussuyer attend, 15 sont déjà sur place. Il s'agit de Junior Salomon, Jean Marie Guera, Stéphane Sessègnon, Emmanuel Imourou, Jodel Dossou, Khaled Adénon, Moïse Adilehou, Jordan Adéoti, Désiré Azankpo, Sessi d'Almeida, Seïdou Barazé, Olivier Verdon, Steve Mounié, Saturnin Allagbé et David Kiki. Fabien Farnolle et David Djigla sont quant à eux attendus ce mardi soir. Michael Poté qui aurait quelques soucis familiaux ainsi que les trois "Appelés" de la Tunisie à savoir Jacques Bessan, Marcellin Koukpo et Chaona Chamsdeen, rejoindront le groupe en Algérie.
F. A. A.

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Le nombre des allocataires augmenté à plus de 100%

Tue, 10/09/2018 - 12:58

C'est à travers un message adressé aux acteurs du monde universitaire que le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique révèle les actions nobles engagées dans l'enseignement supérieur notamment les allocations universitaires qui des années durant n'ont jamais été autant organisées.
La gestion des allocations universitaires devient de plus en plus perfectionnée. Depuis l'arrivée à la tête de la nation du gouvernement du Nouveau départ, les actions en direction des étudiants sont de plus en plus réconfortantes. Dans un message du ministre Marie Odile Attanasso adressé aux acteurs des universités nationales, plusieurs réformes ont été faites dans l'enseignement supérieur. Entre autres, les allocations universitaires. Selon le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, « la mise en place d'une plateforme informatique de gestion des allocations universitaires et leur bancarisation aux fins d'assurer la célérité dans leur traitement et le paiement à bonne date aux étudiants, est devenue une réalité depuis la rentrée académique 2016-20117 ». Cette nouvelle forme facilitant la fluidité et la régularité des allocations a conduit à la prise d'un décret visant à améliorer les pratiques existantes. « Une réforme importante a consisté en la prise du décret n°2017-155 de mars 2017 pour une amélioration remarquable des pratiques alors en cours », souligne le ministre. Ainsi, « l'application de ce décret a conduit à retenir un effectif global de 29.977 allocataires. Ce nombre couvre 14.197 anciens et 15.780 nouveaux soit une augmentation de plus de 100% du nombre de bénéficiaires ».
Il faut comprendre à travers ce nombre que « Les nouveaux allocataires sont des étudiants qui démarrent la première année d'études à la rentrée universitaire 2018-2019 ». Ce qui fait augmenter le montant initial des allocations. « La fixation des quotas d'allocations universitaires au titre de cette rentrée et le budget alloué au payement des allocations au titre de 2018-2019 qui s'élève à 10 milliards de FCFA, ont donc produit un boom d'étudiants allocataires béninois ». Il est à noter dans le message du ministre Attanasso que « l'augmentation des fonds alloués aux bourses 2018 a permis d'apurer des arriérés d'allocations sur la période de 2015 à 2017, à hauteur de 14.911.935.889 FCFA ». C'est donc grâce à la volonté réelle du gouvernement et le dynamisme du ministre que cette révolution a pu être effective. On note donc que « Les allocations de l'année en cours assurées à fin août pour 3.346.117.582 FCFA soit à cette date, 18.258.053.471 FCFA engagés en 2018 au titre des allocations universitaires contre 7,5 milliards FCFA en moyenne par an jusqu'en 2015 à la veille de l'avènement du régime du Nouveau départ ». L'assainissement dans le secteur d'octroi et de gestion des allocations universitaires n'est plus à conter. Les actions en parlent d'elles-mêmes.
Giscard A.

Categories: Afrique

Le directeur du CEG2 retrouvé mort chez lui

Tue, 10/09/2018 - 12:50

Les enseignants et apprenants du CEG 2 de Bohicon sont en deuil suite au décès du sieur Brice Vidéta Kottin, précédemment directeur dudit Collège. Agé de 49 ans environ, son corps sans vie a été retrouvé, ce lundi 08 octobre 2018, à son domicile à Bohicon.
Selon les informations, le défunt n'était pas à son bureau lundi matin. L'ayant appelé plusieurs fois sur son téléphone en vain, le censeur de l'établissement et une délégation d'enseignants se sont rendus au domicile du sieur Brice Vidéta Kottin. Son corps a été retrouvé sans vie dans sa chambre, où il habitait seul.
Les services compétents ont constaté que le directeur Brice Vidéta Kottin est décédé dans la nuit de dimanche au petit matin de ce lundi.
Ses collègues ont confié qu'il a passé le week-end en famille à Glazoué avant de rentrer chez lui. Les causes réelles de sa mort restent inconnues.
Etant en poste depuis 2016 au CEG2 de Bohicon, il exerçait aussi la fonction de directeur au CEG de Kinta, dans la commune d'Agbangnizoun.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

Categories: Afrique

La majorité présidentielle passe à l'offensif

Tue, 10/09/2018 - 10:48

Les partis ou blocs de partis politiques soutenant les actions du chef de l'État se montrent désormais très actifs sur le terrain. Ce qui leur donne une longueur d'avance sur ceux de l'opposition.
On ne doute plus du combat des partisans du chef de l'État. De démonstrations en démonstrations, le coup de maître sort ses griffes. Tous les départements, voire les communes et arrondissements sont de manière presque simultanée, animés tous les week-ends. Personne ne veut se laisser surprendre. Chacun prend son bâton de commandement pour rallier les populations de sa circonscription électorale derrière le chef de l'État. Pour le moment, seule l'opposition reste fébrile. Le combat sur le terrain se remarque déjà dans le camp présidentiel avec la sensibilisation hebdomadaire des populations pour accompagner le chef de l'État. C'est désormais clair, la majorité présidentielle ne veut laisser aucun espace libre pour l'opposition. Que ce soit dans l'Atlantique ou le Littoral, le Mono ou le Couffo, le Zou ou les Collines, l'Atacora ou la Donga et même le Borgou ou l'Alibori, les actions du chef de l'État pour un Bénin révélé sont chantées comme une hymne aux couleurs du PAG. Les adhésions se font à la vitesse du son. A quelques mois des prochaines élections, force est de constater que la mouvance présidentielle prend de l'avance sur le terrain. De quoi rassurer le chef de l'État. 2019 s'annonce très palpitant dans le rang de la majorité présidentielle. La mobilisation sur le terrain démontre déjà la force de certains dans leur fief électoral. Même si certaines choses restent à régler, il faut dire que le combat ne serait pas amusant. Chacun s'y met déjà pour sortir sa tête du jeu.

Le bien fondé du système partisan

Il n'est plus question d'un combat personnel. Le vote du nouveau code électoral et celui portant charte des partis politiques donnent déjà des résultats. La formation de grands blocs avec des ralliements qu'on ne pouvait soupçonner, témoignent déjà de la réalité de la chose. Les soutiens quotidiens entre les partis ou alliances de partis révèlent l'unité prônée par les nouvelles lois. Le réformes politiques qui exigent la fin des partis individuels s'imposent sur le terrain. Les formations s'unissent déjà pour une même idéologie et un combat unique. La création du bloc Progressiste avec les ténors de certains partis ou alliances de partis montre ainsi l'importance du système partisan prôné par le chef de l'État. D'un autre côté, c'est l'organisation en Parti Républicain d'un second bloc formé avec d'autres soutiens du chef de l'État. Les deux blocs qui d'ailleurs sont constitués des partis ou alliances de partis représentés du nord au sud et de l'est à l'ouest, dénotent de cette volonté d'unir les forces pour un combat réel et commun.

Giscard AMOUSSOU

Categories: Afrique

La position de l'UDBN sera connue au cours du congrès du 20 octobre

Tue, 10/09/2018 - 10:42

La présidente du parti Union pour le développement d'un Bénin Nouveau (UDBN), Claudine Prudencio, a apporté des clarifications sur certaines rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux. Interviewée sur la Diaspora FM, elle s'est prononcée entre autres sur l'appartenance de son parti à l'un des deux blocs politiques pro-Talon en formation.

Dans le cadre de la réforme du système partisan au Bénin, plusieurs partis proches de la mouvance présidentielle sont en négociations pour la formation de deux grands blocs politiques. Sur les réseaux sociaux et divers médias beaucoup de confusions règnent sur la position du parti UDBN. Par rapport à ces rumeurs, la présidente du parti a affirmé qu'aucune décision n'a été encore prise « car l'organe suprême de l'UDBN qui porte toutes les décisions du parti est le congrès ». Selon Claudine Prudencio, seule la décision de ce congrès qui se tiendra le 20 octobre 2018 va orienter tout le monde. « Nos statuts sont très clairs. L'organe suprême, c'est le congrès », a-t-elle martelé.
La présidente de l'UDBN a rappelé que même le Chef de l'Etat a dit à ceux qui doivent venir à lui d'aller d'abord faire leur congrès. « Mais nous, on n'a pas fait de congrès et on fait écrire partout qu'on est dans tel et tel bloc », a-t-elle déploré.
Au petit matin du 21 octobre 2018, renseigne la présidente, la décision finale sortira et tout le monde sera situé.
S'agissant de la polémique d'une vidéo sur les réseaux sociaux où on accuse la présidente du parti de régionalisme, Claudine Prudencio a précisé que non seulement les éléments sont sortis de leur contexte, mais aussi et surtout ils sont utilisés à dessein pour déstabiliser l'UDBN et semer la confusion pour distraire les militants et militantes.
Face à ces attaques, elle « appelle au calme et à la quiétude des citoyens qui ne doutent point du sens du civisme et des nobles idéaux qui fondent l'UDBN ».
Pour la présidente, les défis électoraux en démocratie et en décentralisation sont des enjeux de proximité et de représentativité nécessitant la confiance surtout et en tenant compte du taux élevé d'illettrisme. « (..) C'est ma langue que j'ai parlée. J'ai parlé la langue au peuple et les gens ne savent pas ce que l'autre a dit et j'ai donné cette réponse-là », a confié l'Honorable Claudine Prudencio.
Rappelant qu'elle est une femme très bien éduquée, la présidente du parti a indiqué que les propos tenus dans cette vidéo de 2011 ne sont pas du tout des injures. « Ce que j'ai dit n'est pas du tout du régionalisme », a-t-elle clarifié.
« Que personne ne pense qu'on peut déstabiliser Claudine Prudencio et raconter n'importe quoi sur elle », a ajouté la présidente de l'UDBN.
Elle exhorte les braves et vaillants militants de l'UDBN au calme et à ne pas succomber à la manipulation et aux chantages. « Les militants et les sympathisants de l'UDBN doivent attendre le 20 octobre 2018 et le congrès va délibérer en toute liberté sur le sujet. Et tout le monde verra ce qui va se passer. Les militants de l'UDBN doivent rester sereins », a-t-elle conclu.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

Categories: Afrique

Les clarifications de l'Honorable Claudine Prudencio

Mon, 10/08/2018 - 23:24

Mme Claudine Prudencio, Présidente du parti Union pour le développement d'un Bénin Nouveau », est montée au créneau ce jour pour apporter des clarifications au sujet de l'appartenance de son parti à l'un des deux blocs politiques pro-Talon qui verront bientôt le jour dans le cadre de la réforme du système partisan au Bénin. Elle s'est confiée à nos confrères de Diaspora FM.

Honorable Claudine Prudencio Bonjour !

Bonjour à vous Monsieur le journaliste.

Votre parti est aujourd'hui sous les feux de la rampe parce que beaucoup de confusions règnent sur la position de votre parti par rapport aux grands partis de la mouvance présidentielle en gestation. Qu'est-ce qui peut expliquer cette situation ?

Merci beaucoup Monsieur le journaliste pour l'occasion que vous m'offrez pour pouvoir une fois pour de bon dissiper le doute qu'entretiennent les réseaux sociaux et médias divers. Consciente de la portée de la confusion inhérente à l'ouverture des négociations avec l'un des grands regroupements du pays, je voudrais dire aux braves et vaillants militants de l'UDBN qui résistent et refusent de succomber à la manipulation et aux chantages aussi de se calmer car l'organe suprême de l'UDBN qui porte toutes les décisions du parti est le congrès. Il se tiendra le 20 octobre prochain. Je ne vois donc pas pourquoi tout de suite les gens se sont lancés dans cette communication tout azimuts. Tout le monde doit attendre le congrès. Je l'ai dit la dernière fois dans un communiqué à tous les militants. Les militants et les sympathisants de l'UDBN doivent attendre le 20 octobre 2018 et le congres va délibérer en toute liberté sur le sujet. Et tout le monde verra ce qui va se passer. Les militants de l'UDBN doivent rester sereins.

Mme la Présidente, on vous a vu dans une vidéo qui fait polémique sur les réseaux sociaux où on vous accuse de régionalisme. Que pouvez-vous répondre à ces attaques ?

Il n'est plus un secret pour personne que le parti UDBN que je dirige et ma personne font l'objet depuis quelques jours d'une série d'attaques sur les réseaux sociaux et autres canaux de diffusion d'informations officielles et officieuses. Face à ces attaques, je tiens à préciser que non seulement les éléments sont sortis de leurs contextes, mais aussi et surtout ils sont utilisés à dessein pour déstabiliser l'UDBN et à semer la confusion pour distraire les militants et militantes. Pour ce faire, je voudrais en appeler au calme et à la quiétude des citoyens qui ne doutent point du sens du civisme et des nobles idéaux qui fondent l'UDBN. Je m'en voudrais de ne pas rappeler que les défis électoraux en démocratie et en décentralisation sont des enjeux de proximité et de représentativité nécessitant la confiance surtout et en tenant compte du taux élevé d'illettrisme. Il faut parler sa langue. Et c'est ma langue que j'ai parlée. J'ai parlé la langue au peuple et les gens ne savent pas ce que l'autre a dit et j'ai donné cette réponse là. Je suis une femme très très bien éduquée. Ceux qui connaissent Claudine Prudencio savent très bien que je suis une femme bien éduquée. Je n'ai jamais insulté quelqu'un dans ma vie et ce que j'ai dit dans cette vidéo de 2011 n'est pas du tout des injures. Ce que j'ai dit n'est pas du tout du régionalisme. Donc, que personne ne me mêle à cette affaire de régionalisme ! Le Bénin est un et indivisible. Je le sais très bien. Que personne ne pense qu'on peut déstabiliser Claudine Prudencio et raconter n'importe quoi sur elle.

Qu'avez-vous à ajouter pour rassurer tous vos militants et tous ceux-là qui sont prêts à se donner pour vous et qui luttent à vos côtés ?

Je vais simplement demander aux militants d'attendre le congrès du parti que nous organisons le 20 prochain. C'est la décision de ce congrès qui va orienter tout le monde parce que dans nos statuts et autres, l'organe suprême de décision, c'est le congrès. C'est vrai que les militants m'ont mandaté pour participer aux négociations et parler en leur nom. Mais ils ne m'ont pas demandé de prendre de décision à leur place. Nos statuts sont très clairs. L'organe suprême, c'est le congrès. Au petit matin du 21 octobre 2018, la décision finale sortira et tout le monde sera situé. J'exhorte donc les uns et les autres au calme tout simplement. Les membres de l'UDBN n'ont qu'à se calmer. Le Chef de l'État lui-même a dit à ceux qui doivent venir à lui d'aller d'abord faire leur congrès. Mais nous on n'a pas fait de congrès et on fait écrire partout qu'on est dans tel et tel bloc. Non, non pas du tout. On attend notre congrès.

Propos transcrit par El-Hadj Affissou Anonrin

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flex 0

Mon, 10/08/2018 - 22:42
Categories: Afrique

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