You are here

24 Heures au Bénin

Subscribe to 24 Heures au Bénin feed 24 Heures au Bénin
Webzine, Quotidien Béninois indépendant, d'analyses et d'information en ligne
Updated: 13 hours 46 min ago

Serge Zaongo remporte le prix ‘'RFI Challenge App Afrique''

Tue, 11/13/2018 - 16:46

La « Saagga », c'est l'application qui a permis à Serge Auguste Zaongo du Burkina-Faso de remporter la 3ème édition du prix ‘'RFI Challenge App Afrique''. L'annonce a été faite par Claire Hédon, directrice des magazines de RFI (Radio France International) et Anne Cécile Bras, animatrice de l'émission « C'est pas du vent », enregistrée spécialement à l'Institut français de Cotonou, ce mardi 13 septembre 2018.
L'application « Saagga » est une carte électronique disposant d'un programme informatique permettant une optimisation de l'irrigation dans le secteur agricole. Elle est installée dans un nano-ordinateur qui permet également une gestion en mobilité.
Pour cette troisième édition, les membres du jury ont sélectionné parmi plus de 300 candidatures, trois finalistes. Il s'agit de Tiam Erick Gyslains du Cameroun pour son application « Agropad », de Steeve Camara de la Côte d'Ivoire pour l'application « We Fly Agri » et de Serge Auguste Zaongo pour l'application « Saagga », qui lui a valu le prix.
Selon Claire Hédon, directrice des magazines de RFI, l'idée du prix ‘'RFI Challenge App Afrique'' est « de soutenir des projets innovants pour le continent Africain dans le domaine du numérique ». Des projets qui, selon la directrice des magazines, ont une vraie utilité sociale.
Lancé en 2016, le prix « RFI Challenge App Afrique » est un concours associé chaque année à une émission de RFI. Il est remis dans un pays d'Afrique francophone. Il a pour objectif de développer l'internet citoyen en encourageant des projets aux services de l'intérêt général. Les deux premières éditions consacrées à la santé et à l'éducation des filles ont été récompensées à Dakar (2016) et à Abidjan (2017).
La troisième édition qu'abrite Cotonou s'intéresse au développement durable, notamment l'accès à l'eau et l'agriculture.
F. Aubin AHEHEHINNOU

Categories: Afrique

« Il ne sert à rien de faire des enfants qu'on ne peut pas entretenir » (Apôtre Mathias Kpanou)

Tue, 11/13/2018 - 16:44

M. Mathias Kpanou, est membre de l'organe de contrôle de la Plateforme des leaders religieux du Bénin et l'un des apôtres de l'Eglise des Chérubins et Séraphins. Il donne son point de vue sur la planification familiale et les difficultés que les religieux ont pour sensibiliser les populations.

24heuresaubenin : Apôtre Mathias Kpanou, parlez-nous du rôle des leaders religieux dans la communauté ?
Apôtre Mathias Kpanou : Les Béninois croient en Dieu et chaque Béninois a une religion. Les leaders religieux sont des gens qui ont une large audience auprès des populations. Car le leader est comme un père pour chaque fidèle. Celui qui entend tout, répond à tout ; il intervient et aide les gens à prier et se comporter dans la société puisse que nous intervenons aussi moralement.

En tant que membre de l'organe de contrôle de la Plateforme des leaders religieux du Bénin, quelle est votre mission dans le repositionnement de la planification familiale ?

C'est une mission qui nous a posés un peu petit problème au départ, étant donné que plus de 60 % de la population ne sont pas allées à l'école et ne comprennent pas vite les choses. Alors quand nous avons parlé de planification familiale, beaucoup se sont retournés contre nous pour dire que Dieu a dit de se multiplier et de remplir la terre et nous qui sommes hommes de Dieu, nous venons maintenant leur dire de limiter la procréation. Il a donc fallu que nous parlions beaucoup pour que les gens commencent par comprendre la nécessité de notre intervention dans le repositionnement de la planification familiale dans notre pays.

Alors, vos fidèles ont opposé une résistance à la planification familiale. Quel est votre mode d'intervention pour les convaincre des bienfaits de cet outil de développement ?

La résistance a existé et n'est pas totalement terminée. Elle persiste toujours. Alors, nous privilégions la sensibilisation au cours des messes et des cultes. Nous tenons également des séances particulières avec nos fidèles et la population pour leur expliquer les bienfaits de la planification familiale, qui est un outil de développement durable. Au cours des séances, nous ne demandons à personne de limiter les enfants. Mais plutôt nous demandons à nos interlocuteurs d'espacer les enfants pour assurer à la femme la bonne santé et surtout de faire des enfants en tenant compte de leurs moyens financiers car il ne sert à rien de faire des enfants qu'on ne peut pas entretenir. Peu importe le nombre d'enfant que l'on veut. Le plus important, c'est de pouvoir bien les nourrir, les vêtir, les instruire…

Réalisé par Juliette MITONHOUN

Categories: Afrique

Le Bénin sur la bonne voie en matière de planification familiale

Tue, 11/13/2018 - 16:40

Le Ministère de la santé à travers la Direction de la santé de la mère et de l'enfant (Dsme) a organisé les 7 et 8 novembre 2018, un atelier de dissémination des résultats de l'Analyse de la demande nationale (Adn) en Planification familiale (Pf) au Bénin avec l'appui technique de Camber Collective sur financement de la Fondation Hewlett. Les travaux se sont déroulés à Azalai hôtel de la plage à Cotonou avec la participation des acteurs œuvrant dans le domaine de la Pf au Bénin.
Jeunes ambassadeurs Pf, directeurs départementaux de la santé, leaders religieux, journalistes et représentants de structures travaillant dans le domaine ainsi que les partenaires techniques et financiers du pays ont pris part aux travaux de l'atelier de dissémination de l'Analyse de la demande nationale en Pf (Adn).
Organisé par la Direction de la santé de la mère et de l'enfant du ministère de la santé avec l'appui technique de Camber Collective sur financement de la Fondation Hewlett, cette rencontre vise selon les organisateurs à partager avec les participants, les résultats de l'enquête de l'analyse de la demande nationale de la Planification familiale (Adn) et discuter également avec eux des messages de communication qui seront adressés aux goulots qui ont été relevés au cours de cette analyse.
Focalisée sur les jeunes filles âgées de 15 à 24 ans, l'analyse a été faite avec l'accord de la commission nationale d'éthique pour la recherche en santé. La collecte quantitative a été faite par le Lasdel, et celle qualitative par le Crad, toutes des structures nationales avec l'appui technique de Camber Collective, a expliqué Dr Gaston Ahounou, chef service de la Planification familiale, santé des adolescents et jeunes à la Dsme.
Mais l'analyse proprement dite a été faite à Paris avec Camber Collective et deux représentants du ministère de la santé et de l'Unfpa, qui y sont allés en appui, a-t-il précisé.

« La planification familiale est sous-utilisée ou mal utilisée… »
Au cours de la première journée de l'atelier, la directrice de Camber Collective a livré à l'assistance les résultats de l'enquête terrain. « Après l'analyse des données recueillies auprès de 1500 jeunes filles âgées de 15 à 24 ans, nous avons constaté que les jeunes Béninoises connaissent une évolution dynamique au niveau des normes sociales, et aussi par rapport à leur étape de vie. Elles ont des buts ambitieux dans de multiples domaines. Au sein du foyer, les femmes aspirent à des familles heureuses. En dehors du foyer, les femmes semblent attacher de la valeur à l'éducation et à la stabilité financière. Pourtant, la planification familiale est sous-utilisée ou mal utilisée, alors qu'elle pourrait aider les femmes dans cette évolution », a reconnu Jessica Vandermark, en s'appuyant sur les résultats des recherches qualitatives et quantitatives menées au niveau national.
Dans le but de rechercher la demande par palier, les experts ont utilisé une méthode particulière. Il s'agit de la méthode de segmentation de la demande qui consiste à prendre chaque cible et chaque sous cible pour voir les goulots qui sont à la base de ce problème de la demande pour chaque cible, a étayé Dr Ahounou.
Ainsi, la méthode de segmentation a révélé six (06) Segments parmi les filles avec des ambitions, habilité, et niveau d'autonomie bien différentes. Il s'agit de la jeune soucieuse, de la jeune traditionnelle, de la jeune indépendante, de la célibataire rêveuse, de la célibataire septique et de la célibataire pré-famille.
Les participants ont élaboré des messages de communication qui vont aider à accroître la demande en Pf chez les différentes cibles. Des observations ont également été faites pour améliorer la qualité du travail des experts.
A la fin des travaux, Mme Jessica, très satisfaite de la qualité des discussions et des apports a remercié les participants pour leur franche collaboration qui souligne-t-elle vont aider à relever les défis relatifs à la demande en Pf chez ces filles.

Bénin, 3ème pays d'Afrique de l'ouest à avoir fait l'Adn

Après la dissémination, les résultats obtenus seront intégrés aux grandes actions qui seront retenues pour le Plan d'action national budgétisé de la Pf (Panb) pour la période de 2019-2024 pour pouvoir agir sur les éléments relevés afin d'avoir des résultats très certains pour les adolescents et jeunes, a conclu Dr Ahounou, qui a présidé les travaux.
Après la Côte d'Ivoire et le Niger qui avaient déjà bénéficié de l'analyse de la demande nationale de la Pf financée par la Fondation Hewlett en vue d'approfondir la compréhension des moteurs de la demande de PF en Afrique de l'Ouest, les partenaires ont décidé désormais que ça soit par concours, par soumission par pays et c'est le pays qui a le plus soumis qui sera retenu pour bénéficier de cette analyse.
Le Bénin a donc sur cette base concouru en décembre 2017 avec les six (06) autres pays et c'est notre demande qui a été retenue, explique Dr Gaston Ahounou. Ainsi, le Bénin a bénéficié de l'appui technique de Camber Collective sur financement de la Fondation Hewlett pour faire cette analyse en 8 mois.
Juliette MITONHOUN

Categories: Afrique

Un atelier de formation à l'endroit des forces de défense et de sécurité

Tue, 11/13/2018 - 16:38

Les agents des Forces béninoises de défense et de sécurité impliqués dans la gestion des stocks sont depuis, lundi 12 novembre, à un atelier de formation à Cotonou. Cet atelier entre dans le cadre du renforcement leurs capacités pour une lutte efficace contre le trafic illicite des armes. La formation durera cinq jours.
« Mécanisme du traçage des armes illicites ». Tel est le thème autour duquel se déroule cette formation des agents des forces béninoises de défense et de sécurité.
La prolifération des armes légères et de petit calibre inquiète d'avantage les acteurs de protection civile. C'est l'occasion de renforcer les capacités des Forces armées de défense et de sécurité contre ce trafic qui fait accroître les braquages divers.
Directeur du Cabinet militaire du président de la République et président de la Commission nationale de lutte contre la prolifération des armes légères (Cnlcpal-Bénin), le colonel Bertin Bada, a précisé que ladite formation vise à outiller les acteurs sur les moyens efficaces d'analyse et les techniques d'identification et de prévention de l'apparition des flux d'armes illicites.
Cette formation qui regroupe une trentaine d'acteurs impliqués dans la gestion des stocks d'armes au niveau de l'Armée, de la Police républicaine, de la Douane et des Eaux et forêts, permettra selon le colonel Bada, à ces acteurs de pouvoir déterminer l'origine des armes illicites, localiser les points de détournement à partir des stocks nationaux, identifier les acteurs impliqués dans les transferts d'armes illicites et assurer une gestion sécurisée des ressources nationales et des espaces frontaliers sur la base de preuves factuelles.
Le colonel Bertin Bada a invité les bénéficiaires de cette formation à faire preuve de discipline et d'assiduité afin qu'au terme de cet atelier, le pays puisse tirer une plus-value évidente et contributive au renforcement effectif de la lutte contre tout trafic d'armes illicites.
Directeur des opérations pour l'Afrique de l'Ouest de Conflict Armement Research souligne que ce projet permet de réduire les violences armées et le taux d'utilisation des armes illicites car dira-t-il, « beaucoup de défis persistent ». Claudio Gramizzi fait remarquer que « La problématique continue de se poser à cause des problèmes de gestion des frontières qui sont parfois poreuses et difficiles à contrôler, malgré l'arsenal institutionnel et juridique mis en place ».
Chargé du programme relatif aux armes légères et de petit calibre à la Cedeao, Abayomi N. Adeomi, souligne qu'à la fin de cette formation, il sera question de définir des stratégies ainsi que des actions à mettre en œuvre au niveau national et régional pour une lutte efficace contre le trafic illicite des armes.
Après le Burkina Faso et le Nigeria, le Bénin est le troisième pays pilote de ce projet de renforcement de capacités des forces de défense et de sécurité conduit par l'organisation internationale Conflict Armement Research (Car) avec l'appui de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao) et le soutien du Mécanisme de financement des Nations Unies pour la coopération en matière de réglementation des armements (Unscar).
Un nouvel acquis pour le pays dans le cadre de la lutte efficace contre le trafic illicite des armes.
G.A.

Categories: Afrique

Le directeur régional rassure les populations

Tue, 11/13/2018 - 16:36

L'absence d'agence de la Société béninoise d'énergie électrique (Sbee) dans la commune de Ouassa-Péhunco n'est pas du goût des populations de cette localité. Aussi, déplorent-ils notamment les cartes à crédits non fonctionnelles. Il s'agit d'une dizaine que leur ont livrée vendredi dernier, certains agents de cette société en mission dans la localité, rapporte l'Abp.
Les populations de Péhunco ne sont pas contentes de la Société béninois d'énergie électrique. Et pour cause, des compteurs à carte non fonctionnels. Elles dénoncent la négligence dont font montrent les agents de la Sbee pour servir la clientèle « J'ai été en vain, trois fois à Natitingou à la recherche de ces cartes et j'ai même demandé à un frère à Parakou de m'en chercher, lui aussi n'a pas trouvé », déplore Ousmane Daouda, l'une des victimes de ces cartes non-fonctionnelles. Cette situation a contraint certains citoyens à dormir dans le noir
« Le vendredi 9 novembre 2018, deux agents de la Sbee Natitingou étaient venus à Péhunco pour nous vendre les cartes. Mais après l'achat, au nombre de sept personnes, nous sommes partis chacun, insérer ces cartes dans nos différents compteurs, malheureusement, elles n'ont pas fonctionné », confie Ousmane qui ajoute que sept cartes défaillantes ont été remises aux agents vendeurs qui ont refusé de les prendre.
« Je ne pouvais pas tout de suite apporter mon appréciation par rapport à ce problème, puisque je n'ai pas encore eu le compte rendu du chef d'agence (CA) que j'ai envoyé en mission dans ces localités », explique le Directeur régional de la Sbee Atacora-Donga, cité par Abp. Adéchoubou Machoudi reconnaît avoir eu vent de la situation, via les réseaux sociaux. Néanmoins, il explique que le compteur à cartes a un certain principe notamment, lorsqu'on paye du crédit pendant un long moment, ce compteur peut fournir de l'énergie même sans avoir acheté de crédit, mais tout en le comptabilisant. Et le jour où le client décide de fournir d'unités à ce compteur, ce dernier défalque automatiquement le crédit consommé indûment.
Le directeur reconnaît aussi la défaillance de certaines cartes « C'est vrai, il y a des cartes dont les lecteurs sont défaillants », a confirmé Adéchoubou Machoudi. Il indique que « Lorsque tu achètes une carte, il ne faudrait pas que sur sa partie magnétique qu'il ait un contact avec un objet métallique, sinon, le crédit sera dedans mais ne sera pas restitué dans le compteur ».
Le directeur régional invite les populations au calme et annonce que la Sbee mettra bientôt à leur disposition de nouveaux compteurs.
Pour le moment, il annonce que les clients peuvent à défaut des compteurs à pré-payement, faire une reprise en compteurs électromécaniques.
G.A.

Categories: Afrique

Un incendie a causé des dégâts à Bodjecali

Tue, 11/13/2018 - 10:18

Le village de Bodjecali, dans la commune de Malanville a connu lundi dernier un incendie lié à l'utilisation non contrôlée des produits pétroliers. Aucune perte en vies humaines n'est dénombrée mais quelques dégâts matériels.
En dehors des 100 bidons de vingt-cinq litres de carburant brûlés, trois réfrigérateurs détruits, des câbles autoportés de la Sbee n'ont pas été épargnés, privant ainsi une partie de Bodjecali d'électricité. C'est au niveau de l'intersection de la route inter Etat Bodjecali Iloua - frontière Nigéria que les populations ont assisté à ce drame vers13h 45.
Le maire de la commune de Malanville Inoussa Dandakoé et les forces de sécurité sont allés constater les dégâts sur les lieux du drame. Le maire a adressé un message aux personnes qui s'adonnent à la commercialisation des produits pétroliers. Il leur a conseillé demande de faire recours aux mini-stations, prônées par le gouvernement.
G.A

Categories: Afrique

Le procureur siffle la fin de l'insalubrité à Cotonou

Tue, 11/13/2018 - 10:11

Le procureur de la République donne l'ordre aux forces de sécurité d'interpeller tout citoyen qui jetterais des ordures sur les voies publiques. L'instruction a été donnée au cours d'une rencontre avec la police judiciaire la fin de la semaine écoulée.
Plus de repis pour les citoyens qui jettent les ordures aux abords des voies publiques ou sur les terres-pleins centraux. Le procureur décide de sévir.
Au cours de sa rencontre avec le commandement de la police, Mario Mètonou souligne « Si vous voyez des gens jeter des ordures sur les voies publiques, interpellez-les et engagez la procédure ». Ainsi donc les forces de sécurité ont une nouvelle mission. Celle de garantir la propreté de la ville capitale. Le procureur de la République près le Tribunal de première instance de première classe de Cotonou, Elonm Mario Mètonou, s'engage donc dans la nouvelle dynamique que prône le gouvernement pour rendre attractive, la ville de Cotonou.
L'incivisme grandissant et délibéré dont font preuve les populations qui prennent du plaisir à jeter les ordures ménagères aux abords des voies publiques n'est plus du goût des autorités judiciaires. Selon le procureur, tous les ménages de Cotonou ont l'obligation de s'abonner aux services de collecte des ordures.
Cette volonté affichée du procureur de la République témoigne une fois encore de l'implication de tous les acteurs dans le processus d'aménagement des villes.
La décision vient donc renforcer la détermination du gouvernement à faire de Cotonou comme bien d'autres, des cités attractives pour le tourisme.
G.A.

Categories: Afrique

L'IRM désormais disponible au CNHU de Cotonou

Tue, 11/13/2018 - 10:09

Le gouvernement Talon a doté, ce mercredi 07 novembre 2018, le Centre national hospitalier universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU-HKM) de Cotonou d'une Imagerie par résonance magnétique (IRM).
La cérémonie de réception a réuni le staff du CNHU, une délégation de la direction des Infrastructures, de l'Equipement et de la Maintenance (DIEM/MS), la direction du Budget (DB/MEF), et des membres des Cabinets d'Architecture et d'Equipements de l'ouvrage.
Elle a également connu la présence du Pr Yekpe Ahouansou Patricia, Maître de Conférence Agrégé de Radiologie.

Au cours de la réception de l'équipement, le plan architectural et le site d'implantation de l'appareil ont été présentés par les membres de la délégation au staff de la direction du CNHU-HKM.
Les travaux de construction et d'équipement démarrent ce mois de novembre pour une durée de 15 mois.
Alexandre Sossou, directeur général du CNHU-HKM, a remercié le président de la République, Patrice Talon pour son accompagnement et ses nombreuses actions qui visent l'amélioration de la prise en charge des populations.
Le directeur général du CNHU-HKM n'a pas manqué de renouveler son soutien aux réformes sanitaires du gouvernement.

L'IRM en question

L'Imagerie à résonance magnétique (IRM) est un examen qui permet d'obtenir des vues en deux ou trois dimensions de l'intérieur du corps. Elle étudie avec beaucoup plus de précision plusieurs organes tels que : le cerveau, la colonne vertébrale, les articulations et les tissus mous. L'IRM est d'une grande utilité lorsqu'une analyse très fine est nécessaire et que certaines lésions ne sont pas visibles sur les radiographies standards, l'échographie ou le scanner.
Cet équipement désormais disponible au CNHU-HKM, 58 ans après les indépendances, montre une fois encore la volonté du Chef de l'Etat, Patrice Talon à offrir aux populations une meilleure qualité de soins.

Akpédjé AYOSSO

Categories: Afrique

Les coordinations communales et d'arrondissement dans le ‘'Bloc progressiste''

Mon, 11/12/2018 - 20:08

Les Coordinations communales de campagne et les Coordinations d'arrondissements de campagne de la 6ème circonscription électorale adhèrent désormais au ‘'Bloc Progressiste''. Réunies en congrès extraordinaire, ce samedi 10 novembre 2018, sur le terrain de sport du CEG 2 d'Abomey-Calavi, ces coordinations ont clamé à la face du monde, leur appartenance au ‘'Bloc Progressiste''.
« Nous adhérons solennellement et librement au Bloc Progressiste, l'un des deux blocs politiques qui accompagnent notre leader charismatique, le Président Talon », a informé Angelo Ahouandjinou, porte-parole des coordinations de campagne.
Les différentes coordinations, souligne-t-il, s'engagent à travailler main dans la main avec tout le bloc pour l'atteinte des objectifs fixés.
Angelo Ahouandjinou invite tous les militants et sympathisants des 03 communes de la 6ème circonscription électorale à s'approprier les idéaux du Bénin révélé et à mener le combat pour la continuité des réformes salvatrices lancées par le Président Talon et son gouvernement.
Épiphane Honfo pour sa part, a remercié tous les participants venus des communes de Zê, So-Ava et Abomey-Calavi pour prendre part à ce congrès.
Il a adressé ses remerciements et ceux des coordinations au chef de l'Etat Patrice Talon pour les nombreuses actions menées pour sortir le Bénin de l'état comateux dans lequel il était.
Ce congrès extraordinaire a connu la présence de Oswald Homéky, ministre du tourisme, de la culture et des sports.
F. A. A.

Categories: Afrique

Zul Kifl Salami rallie le ‘'Bloc Progressiste'' avec Panaco-Ned

Mon, 11/12/2018 - 17:11

Le Parti national du Congrès pour un nouvel élan de la démocratie (Panaco-Ned) a rallié le ‘'Bloc progressiste'' de la mouvance.
Les militantes et militants du parti l'ont fait savoir, ce vendredi 09 novembre 2018, à Cotonou.
L'objectif du parti, observe le président Vincent Choubiyi, est de ne pas opter pour le choix des intérêts égoïstes. L'arme du combat, souligne-t-il, est la pédagogie du développement. Il a expliqué la quintessence de la pédagogie du développement du Panaco,-Ned.
Pour le président d'honneur du Panaco-Ned, Zul Kif Salami, la décision de ralliement du ‘'Bloc Progressiste'' a été prise de concert avec les membres du parti à la suite d'une réunion au terme de laquelle, le parti a donné mandat au président d'honneur et au président, de prendre contact avec les blocs en cours de formation.
Les démarches auprès des blocs achevés, le parti a été convoqué de nouveau pour une nouvelle session extraordinaire consacrée à l'analyse des résultats des contacts.
Ces analyses se sont soldées par la prise de la décision du Panaco-Ned d'adhérer au ‘'Bloc progressiste''.
Zul Kif Salami n'a pas manqué de réaffirmer son attachement et celui de son parti, aux orientations émises par le chef de l'Etat Patrice Talon, sur la nouvelle architecture du paysage politique national.

F. A. A.

Categories: Afrique

Des insectes sèment la peur à N'Dali

Mon, 11/12/2018 - 16:45

Depuis quelques semaines, des insectes non identifiés jusque là sont apparus dans le village de Wêrèkè, dans la commune de N'Dali. Ces insectes selon les informations ont envahi la plupart des manguiers du village et les personnes ayant été touché, ont vu leurs corps s'enfler.
Face à l'ampleur de la situation ces cinq derniers jours, le chef du village de Wêrèkè, Ounin Allagbé, a déconseillé aux populations de s'asseoir sous les manguiers du village, au risque de voir ces insectes tomber sur elles. « Il suffit seulement qu'ils touchent une partie de votre corps et vous commencez à y sentir de vives douleurs et la partie s'enfle », a-t-il informé avant de citer le cas d'un individu dont la moitié du bras est actuellement enflée, après qu'un de ses doigts a été touché par un de ces insectes.
Ounin Allagbé invite les autorités compétentes à voler à son secours et à les aider à exterminer ces insectes.
Pour remédier à la situation, certains cotonculteurs aspergent leurs manguiers avec les pesticides destinés à traiter les champs de coton.
F. A. A.

Categories: Afrique

L'Ancb plaide pour la hausse à 2% des biens immobiliers

Mon, 11/12/2018 - 16:14

Une délégation de l'Association nationale des communes du Bénin (Ancb) était devant la commission budgétaire de l'Assemblée nationale, ce vendredi 09 novembre 2018. L'objectif de cette sortie, est de plaider auprès de l'Assemblée nationale, une augmentation à 2% des taxes et impôts liés aux biens immobiliers fonciers bâtis ou non harmonisées à 1% du coût de l'acquisition de la parcelle par le gouvernement. Cette réforme selon l'Ancb, vise à encourager les populations à sécuriser leurs biens immobiliers, mais constitue également le socle de chute libre des ressources propres.
Les droits d'affirmation de parcelle représentent selon l'association faîtière des communes, la majeure partie des ressources issues des transactions foncières.
Le taux de 1% retenu ne serait pas en adéquation avec la consistance des prestations fournies par la commune pour la sécurisation foncière ainsi que les charges y afférentes. Selon Innocent Akobi, maire de Bantè et trésorier général de l'Ancb, « il y a des communes qui perdent et d'autres qui gagnent selon que le tarif initialement appliqué dans la commune est élevé ou selon que cela n'existe même pas ».
Il a plaidé pour la hausse à 2% de ces taxes en vue de permettre aux communes d'augmenter leurs recettes afin de faire face à leurs charges de fonctionnement.
A défaut de l'augmentation souhaitée, l'Ancb a proposé la réintroduction des taxes liées aux pylônes des réseaux Gsm retirées aux mairies depuis la loi de finances de 2009.
Le retour de ces taxes selon l'Ancb, permettrait aux communes de combler le vide créé par la mesure d'harmonisation des frais d'affirmation des parcelles bâties ou non qui induit la révision à la baisse des tarifs de délivrance des attestations de mutation de nom, des attestations de recasement et autres actes fonciers. Elle observe par ailleurs que la fixation des frais de compulsion à 10 000 FCFA par le projet de loi, n'est pas précise sur la structure bénéficiaire étant donné que la prestation objet desdits frais est fournie aussi bien par l'Agence nationale des domaines et du foncier (Andf) que par les mairies.
La délégation a noté avec satisfaction l'augmentation des ressources Fadec (Fonds d'appui au développement des communes) non affectés dans le projet de loi de finances. Selon les prévisions budgétaires pour l'année 2019, ces ressources s'élèvent à 33, 465 200 milliards FCFA contre 29, 520 milliards FCFA en 2018.

F. A. A.

Categories: Afrique

Les réformes Talon saluées par 62 % de nos concitoyens

Mon, 11/12/2018 - 11:09

En vue de comprendre ce que pensent les citoyens de la gestion du gouvernement, une enquête d'opinion a été lancée à travers le site du journal 24Heures au Bénin. Cette enquête gérée par un serveur sécurisé a permis à plus de 4000 fidèles lecteurs d'apprécier à juste valeur, la pertinence des actions du chef de l'État.
Le sondage vise à appréhender la perception des populations sur la gestion du chef de l'État. A la question de savoir " Comment appréciez-vous la gouvernance de Talon ?", on note que près de 36 % des votants apprécient très bien les réformes mises en œuvre par le chef de l'État depuis 2016.
Pour 27 %, la gouvernance est bonne tandis que pour 25%, elle est mauvaise.
Le taux le plus faible de cette enquête (12,25 %) a été celui des sans opinion.
Ces statistiques montrent que malgré tous les cris de détresse, la majorité des citoyens porte toujours Patrice Talon dans son cœur. On déduit de ces résultats que plus de 62 % restent favorables aux actions du chef de l'Etat.
Malgré les critiques et les grincements de dents des opposants au pouvoir en place, la majorité des béninois continue d'être sidérée par la gouvernance Talon. Même si de ce lot de votants, 25 % n'apprécient pas cette gouvernance, il faut tout de même remarquer que chacun apprécie selon sa vision. Ceux-ci ont peut-être des arguments pour étayer leur vote. Sur le nombre total de votants, certains n'ont pu donner leur appréciation. C'est une occasion pour le gouvernement de redoubler d'effort dans ses actions afin que ceux-ci soient davantage convaincus.
Le moins qu'on puisse dire sur ce sondage qui continue toujours sur la plateforme de 24 Heures au Bénin (www.24haubenin.info), c'est que les populations se sentent concernées par les réformes engagées par le gouvernement depuis 2016. Ce qui s'explique davantage à travers leur vote.
Il faut rappeler que le sondage est sécurisé de sorte à empêcher le vote multiples à partir d'un même terminal. Ce qui témoigne de la qualité de ce sondage d'opinion sur la gouvernance actuelle.
Pour le moment, la gouvernance actuelle continue de rassurer bien des béninois qui estiment que la gestion du président Patrice Talon est salutaire.

Paul Tonon

Categories: Afrique

Jeunes et femmes déterminés à accompagner le chef de l'Etat

Mon, 11/12/2018 - 11:08

Sur initiative de la League de la Jeunesse de l'Union Progressiste (LJUP), les populations des communes de l'Atacora ont exprimé leur adhésion à la vision et aux ambitions de développement du chef de l'Etat Patrice Talon. Elles l'ont fait savoir, ce samedi 10 novembre 2018, à l'occasion d'un géant meeting organisé à l'hôtel de ville de Natitingou.
Ce fut l'occasion pour le président de la League de l'Union de la Jeunesse Progressiste de l'Atacora, Jean-Yves Koutonguè de rassurer du soutien des hommes et des femmes de la localité, à accompagner l'œuvre de construction du Bénin révélé. Il n'a pas manqué de témoigner l'honneur pour la ville de Natitingou, chef lieu du département de l'Atacora, d'accueillir cette manifestation de soutien au président de la République.
« Les jeunes de la commune de Natitingou et de ses environs apportent leur soutien indéfectible et sans faille aux actions du chef de l'Etat, Son Excellence Patrice Talon », a martelé Mathieu Kougotia, représentant des jeunes.
Adidjatou Biaou, a pour sa part, confirmé au nom des femmes de Natitingou et environs, leur appartenance à la mouvance présidentielle et aux nobles idéaux défendus par le chef de l'Etat.
La jeunesse progressiste et les populations de l'Atacora et environs ont saisi l'occasion de cette rencontre pour exposer non seulement certaines actions phares du Pag (Programme d'actions du gouvernement) dans le département, mais aussi et surtout, remercier le chef de l'Etat.
Par ce creuset, les jeunes de l'Atacora et les populations de façon générale, entendent batailler fort pour des victoires écrasantes lors des prochaines compétitions électorales.

F. A. A.

Categories: Afrique

Wanep-Bénin et Giz renforcent les capacités des représentants de clubs

Mon, 11/12/2018 - 11:07

Les représentants de clubs spécialisés dans la lutte contre le harcèlement sexuel en milieu scolaire venus de onze départements ont participé à une formation de renforcement de leurs capacités, ce samedi 10 novembre, à Natitingou.
Organisée par le réseau ouest-africain, Wanep-Bénin, cette formation est soutenue par la Giz.
Axée sur les techniques et les outils d'animation en matière d'éducation sexuelle, cette formation a regroupé 32 représentants de 16 clubs scolaires de lutte contre le harcèlement sexuel en milieu scolaire. C'est une occasion propice visant à prévenir les grossesses en milieu scolaire et préparer les séances de sensibilisation des élèves sur la campagne "16 jours d'activisme contre les violences basées sur le genre". Basée sur l'interactivité, cette formation met en exergue les principaux acteurs pour une approche participative et inclusive.
L'un des participants, Bienvenue Kassehin a indiqué que l'atelier permettra de faire régresser ou de mettre fin au harcèlement sexuel en milieu scolaire. Enseignant au Ceg 5 de Bohicon, Patrice Assogba, suggère de regarder les apprenants comme ses propres enfants. Selon lui, c'est l'occasion adéquate pour mieux s'occuper d'eux et les conduire à la réussite.
L'élève Véronique Djossa demande à ses camarades de contrôler leur habillement et d'avoir des comportements non provocateurs devant les enseignants. Ce qui les mettrait à l'abri du harcèlement.
Cette formation conduite par Wanep-Bénin entend contribuer à la réduction des violences sexuelles et du harcèlement sexuel en milieu scolaire. Cette formation a été assurée par Anne Akuété, assistante technique genre à Wanep-Bénin et Bienvenue Kassehin, chargée de programme Education à la paix et à la non-violence à Wanep-Bénin.
G.A.

Categories: Afrique

833 candidats affrontent les épreuves de Master ce lundi

Mon, 11/12/2018 - 11:04

Les premières épreuves des examens de Master débutent ce lundi matin. Ils sont au nombre de 833 candidats inscrits à la quête de ce parchemin. C'est la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Marie Odile Attanasso, qui procède au lancement officiel des compositions.
Le collège d'enseignement Général les Pylônes de Cotonou abrite les compositions pour cette première édition du Master national.
Pour la première vague, les compositions concernent 6 filières : Marketing-Communication-Commerce, Finances-Comptabilité-Audit, Transport et Logistique, Banque-Finance et Assurances, Entrepreneuriat et Gestion des Projets et Management des Ressources humaines.
Les candidats vont plancher pendant deux (02) semaines. Les compositions prennent fin le mardi 27 Novembre 2018. Répartis en 4 groupes, les 833 candidats sont issus de 33 établissements privés d'enseignement supérieur et composent dans 39 différentes filières.

G. A.

Categories: Afrique

« Atcho », la nouvelle collection de Lolo Andoche

Mon, 11/12/2018 - 11:02

Le créateur de mode et styliste béninois Charlemagne Andoche Amoussou vient une fois de plus enrichir sa collection. La révélation de la nouvelle collection s'est déroulée, samedi 2 novembre 2018, à Cotonou.
100% made in Bénin. C'est ce à quoi s'attèle le créateur de mode depuis quelques années. Aujourd'hui, les œuvres du styliste sont présentées dans plusieurs pays d'Afrique et du monde. Spécialiste de la promotion du prêt-à-porter africain, le créateur de mode et styliste Charlemagne Andoche Amoussou lance ‹‹ Archo››, une collection « 100% made in Bénin ».
Dans l'optique de conserver sa clientèle et d'en gagner d'autres, sa vision est de « …créer l'industrie textile sur toute sa ligne ».
« Atcho », littéralement se traduit dans certaines langues locales par « Style » ou « Tissu ».
Selon Charlemagne Andoche Amoussou, alias Lolo Andoche, « Nous avons choisi cette dénomination parce que c'est un tissu fait et teinté par nous-même avec l'accompagnement de teinturiers sélectionnés par nous et pour nous ».
Il faut souligner que de la fabrication du tissu au produit fini en passant par la teinture, chacune des étapes a eu lieu au Bénin. « Contrairement au polyester qui pique, le tissu est doux sur la peau », explique le styliste avant de préciser qu'il est entièrement fait dans du tissu 100% coton.
Aussi, souligne-t-il, c'est une collection qui comporte tout type de style pour répondre à toutes les occasions.
Pour les femmes, il y a des jupes, de petits hauts, des tuniques, etc. Les hommes, quant à eux, trouveront leur style et satisfaction dans les chemises avec ou sans col, à manches courtes ou longues, etc.
« Nous avons fait une variété de gamme de produits afin qu'ils soient portés à toutes les occasions. Par exemple, il y a des robes qu'on peut porter pour aller faire de petites courses, pour se rendre au cocktail, pour aller à événement ou se rendre au bureau », souligne Lolo Andoche.
Il indique que la nouvelle collection est accessible à tous, selon le modèle et la gamme du produit.
Lolo ne s'est pas fait prier avant de mettre la main sur du bon. Il s'agit des gammes de produits à savoir les basiques, les classiques et autres.
Pour Lolo Andoche, « Quand vous prenez les produits de notre nouvelle collection, vous verrez que c'est un travail authentique qui a été fait, un travail qui révèle l'art africain et met en valeur le prêt-à-porter africain ».

Giscard A.

Les Boutiques Lolo Andoche

Les produits de cette collection sont disponibles dans les boutiques Lolo Andoche, situées à côté de la pharmacie Adéchina à Sikècodji ; dans la rue en allant à l'Hôpital de la mère et l'enfant lagune (Homel), rue du Fitheb, ex ciné Vog ; sur la route de l'aéroport, non loin de « Air France ».
Il y a également une boutique Lolo Andoche à Porto-Novo, au niveau de l'espace « Ubuntu », en face du collège Notre Dame ; à Grand-Popo, dans l'hôtel « Millenium Popo Beach » et à Lomé, à côté de Fréo Jardin, non loin de la bijouterie "Walidia".
Les articles Lolo Andoche peuvent également être commandés sur le site www.loloandoche.com ou sur la page Facebook de l'entreprise.

Categories: Afrique

Sur les traces de Erice Hector Hounkpè

Mon, 11/12/2018 - 10:55

Le Club press café médias plus a reçu à la maison des médias vendredi dernier au cours de sa causerie hebdomadaire, le directeur du Fitheb. Eric Hector Hounkpè a dévoilé aux professionnels des médias les innovations de cette 14ème édition.
« 14ème édition du Fitheb, du 16 au 24 novembre 2018 : de la nouveauté et des enjeux ». Tel est le thème sur lequel le directeur du Festival International du Théâtre du Bénin a animé sa causerie avec les professionnels des médias. Selon le directeur, le Fitheb ‹‹ est créé en 90 et la première édition a lieu en 91. Nous sommes à la 14ème édition››. Il reconnaît que
‹‹Depuis qu'il a décidé de porter l'initiative, l'Etat ne cesse d'accomplir sa part. C'est lui qui est le bailleur fondamental depuis qu'il a commencé en 1991 ».
Au cours du festival de cette année, il y aura des troupes béninoises et des spectacles étrangers.
Le thème de cette édition porte sur : « Théâtre et engagement civique et social pour un développement durable au Bénin, en Afrique et dans le monde ». Ce thème a été choisi pour bien des raisons.
« Nous avons remarqué les deux dernières décennies que les créations théâtrales ont de plus en plus tendu les mains aux questions sociales fortes. Et le théâtre est devenu le vecteur utilisé pour aller sensibiliser. Alors à l'ombre du grand théâtre universitaire classique, poussent de nouveaux théâtres (théâtre de développement, théâtre forum, théâtre de sensibilisation) », a-t-il expliqué.
Eric Hector Hounkpè fait remarquer que « le théâtre est le vecteur de communication pour un développement durable. Quoi qu'on dise, le théâtre commence par nourrir son homme››. Comme activités au cours du Festival cette année, précise le directeur, « il y aura une table ronde les 16 et 17 novembre ».
A cette occasion, sont invités une dizaine de personnalités et des programmateurs. « Il y aura ensuite le 21 novembre, la rencontre des directeurs de festival avec des programmateurs parce qu'il devient de plus en plus important qu'on installe un marché actif du théâtre en Afrique », soutient-il.
Selon le directeur du Fitheb, « C'est une démarche pour ouvrir les route sahélienne, la route côtière, in fine les deux routes puissent co-pénétrer. Le but est que nos créations circulent et qu'on attende pas chaque deux ans à l'organisation d'un festival pour se rencontrer et continuer par être dans le mouvement. C'est ça qui nous permet de vivre ».

Fitheb 2018 et ses distinctions

Selon le directeur du Fitheb, il sera question de « Marquer des personnalités qui ont été remarquées dans le Fitheb pour la production théâtrale au Bénin comme en Afrique ».
Ce sera un moment de les célébrer parce que, insiste Eric Hector Hounkpè, « nous devons apprendre de moins en moins à nous célébrer que morts ». Ce sera ainsi un moment de joie où seront baptisées deux salles.
« La salle Laraston Dadélé, en mémoire de Antoine Dadélé, membre fondateur du Fitheb, la salle de conférence sera baptisée Oscar Kidjo », dévoile le directeur.

Fitheb, une industrie culturelle à part

Les programmations se dérouleront tant dans les salles que dans les espaces. Selon le directeur, « il y aura du pré-Fitheb qui met en exergue, le théâtre dans les écoles, des spectacles d'attraction sur les places publiques dans chacune des villes retenues (Porto-novo, Cotonou, Abomey, Lokossa, Parakou et Natitingou).
Au regard des difficultés financières dont sera confronté le festival puisque l'Etat est le principal partenaire. Ce financement uniquement de l'Etat n'est pas de manière à favoriser une excellente organisation. Néanmoins, le directeur du Fitheb estime que le financement de l'Etat est plus important pour le moment que celui venu d'ailleurs.
Pour lui, « Tout événement culturel a double politique et s'il est porté par l'état le double politisme est davantage creusé ».
Il fait comprendre que
« Ce que nous avons à assainir et ce que nous avons à garder. Je ne veux pas que des pays viennent transformer le Fitheb en ce qu'ils veulent et vendre leurs talents et les miens sont là et servent de pacotille. Ce n'est pas possible. Ce que nous avons à faire, c'est ça ma vision. Faire du Fitheb une industrie culturelle à part. Malheureusement, je ne suis pas compris ».
Eric Hector Hounkpè soutient que « Si nous voulons du Fitheb et moi je le veux, totalement autonome, et j'ai une politique simple ».
Il ajoute : « actuellement, je suis dans plus d'Etat, moins de financement extérieur. Ensuite, je passerai à plus de nations moins d'Etat et j'aurais réglé ».
C'est dans cette vision qu'il pense évoluer pour porter autrement le festival. « Nous sommes dans une phase intermédiaire. Quand quelqu'un te finance, il te demande de porter son idéologie », confie-t-il.

Giscard A.

Categories: Afrique

Deux nouveaux agrégés pour les universités du Bénin

Sun, 11/11/2018 - 19:12

Le 19è concours d'agrégation de médecine humaine, pharmacie, odontostomatologie, médecine vétérinaire et productions animales organisé par le CAMES se tient du 05 au 14 novembre 2018, à Libreville au Gabon.
Deux médecins, enseignants à la faculté de médecine de l'Université de Parakou ont décroché avec succès ce concours d'agrégation.

Ils sont deux enseignants à la faculté de médecine de l'Université de Parakou à être admis au 19è concours d'agrégation 2018 pour la section médecine humaine.
Le médecin Codjo Rodrigue Abel Assavedo, de l'Université de Parakou, candidat dans la section médecine humaine, option Chirurgie et spécialité ophtalmologie en sort 5ème parmi les 08 candidats déclarés admis.
Dans l'option, sciences fondamentales et mixtes, sur les 07 candidats ayant réussi à ce concours, Moutawakilou Gomina, aussi de l'université de Parakou décroche la 2 ème place pour le compte de la spécialité Biochimie.

L'Université de Parakou honorée

A travers ces deux réussites en médecine dans le cadre du concours d'agrégation au titre de l'année 2018, le Bénin, et particulièrement l'Université de Parakou vient d'être honorée.
La réussite de ces candidats au concours d'agrégation CAMES 2018, apporte non seulement une visibilité au pays mais aussi fait de l'Université de Parakou un haut lieu du savoir digne de nom.

Le concours d'agrégation

Le CAMES s'est doté d'un programme d'agrégation afin d'offrir aux institutions d'enseignement supérieur des pays membres des enseignants et des chercheurs qualifiés dans les sciences médicales et dans les sciences juridiques, économiques et de gestion en aménageant une voie courte pour l'accès au corps des Maîtres de conférences.
L'Agrégation CAMES comporte deux concours, qui se déroulent en alternance : le concours de Médecine, Pharmacie, Odontostomatologie, Médecine vétérinaire et Productions animales d'une part qui se tient les années paires, et le concours de Sciences Juridiques, Économiques et de Gestion, d'autre part, qui se déroule les années impaires.
Les jurys internationaux chargés de l'évaluation des candidats font appel à d'éminents représentants des communautés universitaires des pays membres et des pays partenaires au rang desquels on compte la France, la Belgique, le Canada, le Maroc et la Tunisie.
Depuis sa création en 1968, plusieurs missions ont été assignées au CAMES. Il s'agit entre autres d'assurer la promotion et favoriser la compréhension et la solidarité entre les États membres, d'instaurer une coopération culturelle et scientifique permanente entre les États membres, de collecter et diffuser tous documents universitaires ou de recherche, de préparer les projets de conventions entre les États concernés dans les domaines de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de contribuer à l'application de ces conventions. Aussi, a-t-elle pour mission de coordonner les systèmes d'Enseignement Supérieur et de la Recherche afin d'harmoniser les programmes et les niveaux de recrutement dans les différents établissements des pays membres.
Le CAMES regroupe 19 pays membres et son secrétaire actuel est le professeur Bertrand Mbatchi.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

Categories: Afrique

Le CCDD déclare son adhésion au ‘'Bloc Républicain''

Sun, 11/11/2018 - 14:39

La Conférence Citoyenne de développement de Dogbo (CCDD), a tenu son congrès extraordinaire, ce samedi 10 novembre 2018. Au terme des travaux, les militantes et militants du CCDD à travers la devise ‘'S'unir ou disparaître'', ont affirmé leur adhésion au ‘'Bloc Républicain'' dans le cadre de la réforme du système partisan.
Selon Vincent Codjo Acakpo, maire de la commune de Dogbo, il est temps que les fils et filles de Dogbo se prennent en charge politiquement et se donnent la main pour le développement de leur commune.
Au nom des cadres et personnalités, il a pris l'engagement de rassurer le chef de l'Etat que « Dogbo est dans sa vision, Dogbo l'a été au commencement et y demeure jusqu'à la fin ».
Pour Gabin Dégbey, président du CCDD, ce mouvement est initié dans le but de relever un défi, celui de lier les hommes politiques à leurs bases.
Rendant officielle la décision du congrès, il a informé que le congrès a approuvé la fusion du CCDD au ‘'Bloc Républicain''. Cette fusion, précise le président, se traduit par la perte du nom et du logo CCDD par la voie de fusion absorption. « Désormais, nous allons grandir en tant que militants du ‘'Bloc Républicain », s'est-il réjoui.
Très heureux du choix fait par le CCDD, Assan Séïbou, représentant du ‘'Bloc Républicain'', a rassuré que les portes sont ouvertes. « Battez-vous dans le ‘'Bloc Républicain'', le boulevard est grand pour vous. Entendez-vous et vous allez monter », a-t-il lancé.
Les militants et militantes se sont séparés très confiants du succès de leur bloc au prochaines joutes électorales.
F. A. A.

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.