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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Aïn-Témouchent: Tentative déjouée d’émigration clandestine de 30 harragas à Béni-Saf

Mon, 11/26/2018 - 11:33

Les tentatives d’émigration clandestine se suivent et se ressemblent sur le littoral témouchentois ces derniers jours, au point où il ne se passe pas un jour sans qu’on entende parler du départ d’un groupe vers la rive nord de la Méditerranée ou de l’interception d’un groupe sur les plages de la wilaya de Aïn-Témouchent.
Ce week-end, précisément vendredi, les éléments du Groupement des gardes-côtes de Béni-Saf ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de 30 personnes âgées de 19 à 35 ans, originaires de des wilayas de Aïn-Témouchent et d’Oran.
Les harragas arrêtés à bord de deux embarcations pneumatiques ont pris le départ de la plage de Rachgoune, dans la commune de Béni-Saf. Les gardes-côtes ont remis les candidats à l’émigration clandestine à la Gendarmerie nationale.
S. B.

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Réunion bouclée en … 10 minutes

Mon, 11/26/2018 - 11:32

On affirme que le ministre de la Santé a convié les professeurs chefs de service à une réunion qui n’a duré que… 10 minutes.
Il leur a juste annoncé la fin de mandat des commissions des experts.
Certains professeurs, notamment ceux venus des wilayas éloignées, se demandent pourquoi le ministre ne s’est pas contenté d’un simple courrier pour leur communiquer cette information.

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Categories: Afrique

Ça s’agite

Mon, 11/26/2018 - 11:31

Selon des sources, les boutiques du nouvel aéroport international d’Alger seront cédées moyennant un loyer mensuel qui dépassera les 1 500 000,00 DA.
Les réseaux sociaux s’agitent déjà par rapport à cette information et certains se posent la question : combien coûtera le café ?

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Categories: Afrique

Ouyahia lance le pôle industriel de phosphate à Tébessa: 3000 postes d’emploi à la clé

Mon, 11/26/2018 - 11:16

Par Hasna YACOUB

D’un coût de près de 6 milliards de dollars, le projet intégré est l’un des plus grands de la décennie, voire des 20 dernières années, dont l’impact socio-économique sur le pays sera énorme.

Le Premier ministre Ahmed Ouyahia sera aujourd’hui à Tébessa pour présider la cérémonie de signature d’un accord de partenariat entre les groupes algériens Sonatrach et Asmidal-Manal, et les groupes chinois dirigés par la Société Citic, pour le lancement du projet intégré pour l’exploitation de phosphate. Lors de ce déplacement, le Premier ministre sera accompagné des ministres de l’Intérieur, Nouredine Bedoui, de l’Energie Mustapha Guitouni et de l’Industrie et des Mines Youcef Yousfi. La forte présence des membres du gouvernement dénote de l’importance du projet qui va être lancé.

D’un coût de près de 6 milliards de dollars, le projet intégré d’exploitation et de transformation du phosphate est l’un des plus grands de la décennie, voire des 20 dernières années, dont l’impact socio-économique sur le pays sera énorme. Avec ce mégaprojet, l’Algérie réussira à se désengluer de la rente pétrolière et à engendrer une synergie de développement dans tout le pays. Le pôle industriel détenu à hauteur de 51% pour la partie algérienne contre 49% pour la partie chinoise, devra voir le jour dans les quatre prochaines années. Il est composé de plusieurs parties. A Tébessa où le coup d’envoi sera donné aujourd’hui par le Premier ministre, il s’agit de l’exploitation de la mine de Bled El-Hadba dont l’aménagement coûtera 1,2 milliard de dollars.

Dans une seconde étape, deux plates-formes seront créées. Celle de Hadjer Kebrit à Souk Ahras (2,2 milliards de dollars) et la plate-forme de Hadjar Essoud à Skikda (2,5 milliards de dollars). Enfin, une extension du port de Annaba d’un coût de 0,2 milliard de dollars sera également réalisée. Pour Ferhat Ounnoughi, le conseiller du P-DG de Sonatrach, ce pôle imposant «constitue un pas vers la création de l’industrie minière». «Un intérêt particulier est accordé par l’Etat à ce projet de portée nationale qui devra contribuer à créer des richesses et consolider la stratégie de valorisation des richesses minières», a-t-il précisé ajoutant que pas moins de 500 milliards de DA seront mobilisés pour la réalisation des infrastructures nécessaires dans les quatre wilayas concernées par ce mégaprojet.

En ce qui concerne les retombées socio-économiques, elles sont énormes, selon les responsables mêmes du projet. Pas moins de 3000 postes de travail directs seront créés, à la mise en exploitation du pôle en 2022, alors que les chantiers de réalisation à travers les quatre wilayas assureront 14.000 postes d’emploi. Le complexe de phosphate garantira des revenus en devises à hauteur de 1,9 milliard de dollars par an. Il permettra également l’exploitation du phosphate du gisement de Bled El-Hedba, d’une capacité de 500 millions de tonnes et assurera la production des dérivés du phosphate, engrais phosphoriques, acide d’ammoniaque et autres matériaux utilisés dans diverses activités économiques.

L’investissement augmentera, par ailleurs, la capacité de production du phosphate, à l’échelle nationale, estimée actuellement à 2 millions de tonnes/an, pour atteindre 10 millions de tonnes/ an avec l’entrée en service de ce mégaprojet. Des retombées positives sur d’autres secteurs sont également attendues. A commencer par les chemins de fer. Avec un flux de production à acheminer par voie ferroviaire qui atteindra 17 millions de tonnes/an, il faudrait penser au dédoublement de la voie minière reliant Bled El-Hadba à Annaba avant 2022. Le port de Annaba prévoit également une extension de 42 ha, destinée à l’exportation des produits finis et à l’importation du soufre. Côté industrie, l’Algérie aura l’opportunité de créer une industrie manufacturière structurante et peut, en y mettant de la volonté, devenir l’un des plus grands pays exportateurs d’engrais.

Autre secteur stratégique qui sera considérablement développé avec un surcroît d’engrais, est celui de l’agriculture. Ce qui va permettre d’assurer la sécurité alimentaire et de créer une véritable toile de PME pour l’industrie agroalimentaire. Pour le wali de Tébessa, Attallah Moulati, le projet intégré «métamorphosera la région de Tébessa et contribuera à créer des richesses et des centaines d’emplois pour les jeunes». Il n’a pas tort, mais l’Etat a une vision beaucoup plus globale et vise, avec un projet d’une telle importance, à propulser le pays vers le développement.

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Raouya présente la PLF 2019 devant le conseil de la nation et rappelle: « Il n’y a pas de nouveaux impôts! »

Mon, 11/26/2018 - 11:11

Par Abdelkrim AMARNI

Le ministre des Finances a tenu à mettre en avant le fait que le besoin au financement non conventionnel «baissera».

Le grand argentier du pays, Abderrahmane Raouya, était, hier, devant les sénateurs pour présenter le projet de loi de finances. Le ministre a tout d’abord tenu à rappeler qu’en 2019, le président Bouteflika ne veut pas entendre parler de nouvelles taxes. «Il n’y aura pas de nouvelles taxes et impôts dans le texte de cette loi qui a préservé également le caractère social du budget, et ce malgré la crise financière», a t-il rappelé.

Un texte qui traduit, dans sa globalité, la continuité des efforts consentis par l’Etat visant à alléger des effets de la récession des ressources financières sur l’économie nationale dans un contexte caractérisé par des tensions pesant sur les équilibres internes et externes du pays sous l’influence du recul des cours du pétrole. Les dispositions législatives prévues dans le projet de loi, a-t-il expliqué, ont pour objectifs l’amélioration des revenus de l’Etat, la coordination et la simplification des procédures, la lutte contre la corruption et l’évasion fiscale, outre l’encouragement et la promotion de l’investissement productif et la bonification des taux d’intérêts bancaires au profit des citoyens.

Le texte consacre, à cet effet, la poursuite du contrôle de la dépense publique dans le but de limiter l’impact de ces tensions sur le Trésor public. Surtout que, selon Raouya, les réserves de changes sont appelées à fondre encore plus durant les prochaines années. Le PLF 2019 prévoit un recul des réserves de changes à 62 mds USD en 2019, puis à 47,8 mds USD en 2020, ensuite à 33,8 mds USD en 2021. Rappelant les principaux chiffres du texte de loi, le ministre a fait savoir que le PLF 2019 prévoit une croissance de 2,9% pour l’exercice 2019, contre une croissance hors hydrocarbures de 3,2%.

Il a été élaboré sur la base d’un prix référentiel de 50 dollars (USD)/baril de pétrole algérien «Sahara Blend» et sur la base du prix du marché à 60 USD. Pour ce qui est du taux de change du dinar algérien, le même texte de loi indique qu’il devrait se situer autour de 118 dinars/dollar, prix moyen annuel pour la période 2019-2021 avec une inflation de 4,5% en 2019 et 3,9% en 2020 et 3,5% en 2021. Devant des prévisions faisant état d’un recul des exportations des hydrocarbures de 1% en termes de volume, pour s’établir à 33,2 mds USD en 2019, il est prévu une croissance hors hydrocarbures en termes de volume, grâce à la contribution des secteurs du bâtiment et des travaux publics à hauteur de 4,7%, l’industrie (5%), l’agriculture (3,7%) et les services marchands (4%) et les services non marchands (1,8%)…

Le PLF 2019 prévoit aussi une baisse de 10,9% des dépenses d’équipement et une hausse de 8,1% des dépenses de fonctionnement, induisant un déficit du Trésor de -10,4% par rapport au produit intérieur brut (PIB) (contre -11% en 2018).

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Rien ne va entre le ministre des affaires religieuses Mohamed Aïssa et les imams: Le statut particulier sème la discorde

Mon, 11/26/2018 - 11:09

Par Hocine NEFFAH

Le torchon brûle entre le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa et les imams et leurs syndicats.

Le syndicat des imams algériens représenté par son secrétaire général, Djelloul Hadjimi, en l’occurrence, a décidé d’entreprendre des mesures plus spectaculaires pour faire entendre la voix des imams qui sont selon lui «victimes d’une situation socioprofessionnelle désastreuse». Cette situation qui se manifeste par l’absence d’un statut particulier «digne» de la fonction de l’imam, donne comme résultat, la dégradation et la détérioration des conditions socioprofessionnelles de l’imam.
Il faut rappeler que les imams disposent d’un statut qui encadre et organise leur fonction, leurs droits et leurs attributions. Mais ce statut qui remonte à 2008, les imams ne voient pas en lui un mécanisme susceptible de répondre à leur situation «désastreuse» compte tenu de la dégradation du pouvoir d’achat et la dépréciation historique et de la dévalorisation du dinar depuis 2008, c’est-à-dire depuis la mise en oeuvre et en branle de ce statut objet de «guéguerre» entre le ministre Mohamed Aïssa et ses imams qui ne décolèrent pas et persistent dans leurs doléances qui consistent à réviser illico presto ce statut qui est devenu dépassé par la force des choses.
Le syndicat des imams ne veut pas entendre parler ou avaler l’argument de la crise économique que traverse le pays. Pour le secrétaire général de ce syndicat, Djelloul Hadjimi, la question a été traitée par les responsables de la tutelle, y compris le ministre, mais rien de concret n’a été entrepris pour mettre un terme à ce ballottage dans lequel se trouve l’imam et sa situation qui se dégrade davantage.
Le dernier sit-in des imams était celui de la dénonciation de la tutelle à cause de la question de l’augmentation des salaires. Ce volet sensible de la plate-forme revendicative, a été traité avec un sens qui a échappé à la tutelle dans la mesure où ce dossier délicat est tributaire de l’intervention du secteur auprès des services de la fonction publique pour en débattre et trouver des solutions idoines à ce problème.
L’imbroglio se fait sentir à ce niveau de la situation, c’est-à-dire que le syndicat tient à sa plate-forme de revendications de 47 points et le ministre Aïssa sait que les conditions ne s’y prêtent pas pour la satisfaire, surtout en l’absence d’un nouveau statut particulier exigé par les dépositaires de la fonction de l’imam. Toute la plate-forme se heurte à ce sempiternel problème qui réside dans la mise en oeuvre d’un nouveau statut particulier qui encadre et qui régit la fonction de l’imam avec ce que cela implique comme nouvelle grille des salaires et de régime indemnitaire inhérent à la fonction.
La colère des imams semble être légitime, mais le ministre se défend d’avoir tourné le dos à leurs préoccupations et leurs doléances. Dans ce sens, le ministre Mohamed Aïssa vient de déclarer que «vaut mieux une vérité choquante qu’un espoir mensonger», une manière d’assumer ses responsabilités et rappeler aux imams que leurs revendications sont légitimes, mais qu’elles nécessitent du temps et que ces derniers doivent patienter. Mais de l’autre côté, le ministre Aïssa rappelle que la question des salaires ne relève pas de ses prérogatives à lui seul, elle dépend du gouvernement. C’est cet aveu qui a suscité le courroux des imams, dans la mesure où ce dossier a été traité par la tutelle il y a de cela quelques années, en promettant aux imams que les salaires seront révisés, mais en vain.
La situation vient de sortir du giron de la tutelle, les représentants des imams viennent de lancer un appel à la Présidence pour intervenir et exigent à ce qu’ils soient protégés.

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Le monopole sur son importation a été levé pour baisser les prix: La République au secours de la… banane!

Mon, 11/26/2018 - 11:06

Par Walid AÏT SAÏD 

Ce fruit de luxe n’est pas le seul produit qui va être rouvert à l’importation sans limites de quotas. L’importation, sans limites, de la viande fraîche est également de retour…

La banane de nouveau une… affaire d’État! En effet, ce fruit exotique occupe encore une fois le devant de la scène. Comme il y a presque deux ans lors de l’interdiction de son importation avant de le soumettre au régime des licences d’importation, ce fruit frôle la barre fatidique des 1000 dinars le kilogramme. Un véritable scandale pour les Algériens montés au créneau pour dénoncer cette situation. Une campagne de boycott de ce produit, qui, faut-il le souligner, n’est pas vital, a même été lancée sur les réseaux sociaux.

Le gouvernement a décidé de réagir pour sauver ce fruit des plus politiques. Le monopole sur son importation va prochainement être levé. Les six entreprises (cinq privées et une publique, Ndlr) qui ont continué a se sucrer avec la banane, même après l’abandon des tant décriées licence d’importation devront partager le gâteau. Elles ne seront pas seules à avoir l’autorisation d’importer ce fruit. La concurrence sera relancée comme avant mars 2017, date à laquelle elles ont obtenu le fameux sésame, et ce, dans l’espoir de rééquilibrer le marché. C’est-à-dire l’inonder par des bananes afin que le kilogramme revienne aux alentours de 200 DA pour le client final. Les 36 opérateurs qui avaient été exclus lors de l’attribution des licences se frottent déjà les mains afin de revenir en force dans ce marché des plus juteux. Un ouf de soulagement pour beaucoup d’Algériens! Mais il faut avouer que cette affaire de la banane prend des proportions des plus ridicules. Elle mobilise l’opinion publique alors que cela n’est pas indispensable, notamment dans le pays des dattes et des agrumes.

Néanmoins, il faut comprendre que la banane a une forte symbolique pour la population. Dans les esprits, elle est le témoin de l’élévation de leur niveau de vie. Frustrés durant des années où elle était un luxe que l’on ramenait dans ses bagages, de retour de voyage que l’on partageait en petits morceaux à toute la famille, pour de nombreux Algériens, elle est devenue un produit que l’on consomme à outrance. Au grand bonheur des importateurs… Qu’importe, tant que cela redonne la… banane aux Algériens! Surtout que ce fruit de luxe n’est pas le seul produit qui va être rouvert à l’importation sans limites de quotas. La viande fraîche est elle aussi concernée par cette nouvelle mesure. Cette activité qui est également limitée à quelques opérateurs, plus précisément 17 (16 privés et un public) va elle aussi se re-libéraliser. Car, comme la banane, cette limitation a provoqué un déséquilibre du marché poussant les prix vers les sommets. Ce qui n’est pas du tout bon pour une année électorale.

Le monopole va donc être levé puisque les éleveurs locaux, dont cette restriction des importations était censée les protéger, n’ont pas réussi à couvrir les besoins du marché. Surtout que l’on ne dispose pas d’un office ou d’un instrument d’anticipation des besoins du marché. Ce qui éviterait tout déséquilibre et maintiendrait les prix à des niveaux appréciables. À défaut, l’importation va donc revenir de plus belle puisque les locaux ne suivent pas le rythme. Malheureux!

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Gérants des centres de formation des chauffeurs de transport: « Nous évoluons dans l’anarchie »

Mon, 11/26/2018 - 11:01

Par Madjid BERKANE

La loi régissant la création des centres de formation promulguée en 2016 est incomplète et souffre de plusieurs vices de forme, dénonce-t-on.

Réunis hier au siège de l’Union générale des commerçants et des artisans algériens(Ugcaa) à Alger, les gérants des centres de formation des chauffeurs de transport de personnes et de marchandises ont dénoncé l’anarchie et les conditions difficiles dans lesquelles ils évoluent. Selon Boulaid Taloumène, membre du bureau national de la Fédération nationale de gérants des centres en question, qui a présidé la rencontre, la goutte qui a fait déborder le vase est la décision qu’a prise récemment le ministère de l’Intérieur concernant l’envoi de façon obligatoire des chauffeurs des APC pour se former au niveau du centre de formation des chauffeurs relevant de la société Cosider à Alger. «Cette décision est totalement abusive et insensée», a déploré le conférencier.

«Les chauffeurs des APC constituent l’essentiel de la clientèle des centres», a fait savoir Boulaïd Taloumène. Et d’ajouter: «La loi régissant l’ouverture de ces centres publiée au Journal officiel en 2016 ne fait aucune distinction entre les chauffeurs de transport de personnes et de marchandises relevant du secteur public et du secteur privé», dira-t-il. La deuxième anomalie qui s’est greffée dernièrement, dénonce le membre national, est celle relative à l’interdiction de transporter des marchandises dangereuses pour les transporteurs de marchandises privés. «Cette décision introduite par le ministère des Transports est aussi abusive et incompréhensible», dira-t-il. Poursuivant la lecture de la plateforme des revendications, Taloumène a indiqué que la loi régissant la création des centres en question est incomplète et souffre de plusieurs vices.

«La clause prévoyant le passage d’un examen pratique pour le gérant d’une auto-école ayant 30 ans d’exercice dans le dossier d’ obtention d’un agrément pour l’ouverture d’un centre est insensée. Elle est même humiliante», précise-t-il. L’autre revendication qui pénalise les gérants de ces centres est l’indétermination de la rémunération des formateurs. «La loi de 2016 détermine les frais de la formation, mais elle ne détermine pas le prix d’une heure de formation. Ce vide fait qu’aujourd’hui les formateurs imposent leur diktat», a souligné le conférencier. Taloumène a dénoncé aussi la clause obligeant les gérants d’auto-écoles à choisir entre la gestion d’ une auto-école ou l’ouverture d’un centre de formation. «Toutes les auto-écoles peuvent devenir des centres de formation», indique-t-il.
«La durée de la délivrance de l’agrément pour l’ouverture d’un centre de formation est aussi longue», a signifié le représentant de la Fédération nationale.

Le ministère des Transports n’a pas fait aussi un travail de sensibilisation à l’endroit des chauffeurs de transport de personnes et de marchandises. «Cet état de fait prive les centres de la clientèle», a-t-il dénoncé. Il est à rappeler que la loi portant obligation de formation des chauffeurs de transport de personnes et de marchandises va entrer en vigueur à partir du 19 août 2019. Au-delà de cette date, aucun chauffeur ne peut conduire sans une attestation de formation.
La durée de formation est de 72 heures pour les transporteurs de marchandises et de 71 h pour les transporteurs de personnes.

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La prévention pour éradiquer le sida: 17.000 nouveaux cas cette année

Mon, 11/26/2018 - 11:00

Par Wahib AïT OUAKLI 

Le représentant de l’ONU-sida affirme que l’Algérie procure un traitement de qualité qui contribue amplement à la baisse de la mortalité des personnes atteintes du VIH.

«En 2017, nous avons enregistré 1700 nouveaux cas alors que notre stratégie globale vise la baisse de nouvelles infections en les ramenant à 500 nouveaux cas d’ici l’année 2020», a déclaré hier, le représentant de l’ONU-Sida Algérie, Adel Zedam. Raison pour laquelle, ce dernier a estimé nécessaire la révision de la stratégie de prévention, de sensibilisation. Le financement ou encore la budgétisation des campagnes de lutte et la prévention contre la propagation du sida ne dépasse par le seuil des 3% du budget global, consacré par les instances en charge de cette problématique. Ce qui reste insuffisant comparé aux sommes dépensées pour le traitement des malades porteurs du virus et qui dépassent les 160 millions de dollars. Aujourd’hui, le monde entier, dont l’Algérie, se trouve avec une escalade vertigineuse du nombre des porteurs du VIH.

Cette montée en flèche est arrêtée au taux de 39% depuis 2010 à ce jour. Au 31 décembre de l’année passée, l’ONU-sida Algérie, se basant sur les chiffres transmis par le ministère de la Santé, a recensé 14.000 sidéens composés de 6200 femmes, 7400 hommes et 400 enfants. Dans l’Oranie, 4000 porteurs du VIH bénéficient de traitement de qualité au niveau du CHU d’Oran. D’ailleurs, Adel Zedam a affirmé que «ce traitement de qualité en Algérie contribue amplement à la baisse de la mortalité». Sur sa lancée, il a plaidé, encore une fois, pour le renforcement de la prévention et du dépistage. «J’ai fait mon test. Et toi?» Tel est le slogan de la vaste campagne de sensibilisation à mener, cette année, par ONU-sida Algérie en collaboration avec ses partenaires habituels, la radio algérienne Chaîne 3, OMS, Unic, Unicef, Onda, Onci et l’Oref. Autrement dit, le ton sera donné autour du renforcement du dépistage et la prévention. La célébration de la Journée mondiale de la lutte contre le sida représente un important événement permettant de regrouper les différents acteurs de résistance de la maladie, à travers des actions novatrices de promotion, de l’accès universel à la prévention, le traitement et les soins, afin d’atteindre l’objectif voulu, à savoir mettre fin au sida d’ici à 2030.

Cette année marque le 30e anniversaire de la première Journée mondiale de lutte contre le sida. Trente ans d’activisme et de solidarité sous la bannière de la Journée mondiale de lutte contre le sida. Trente ans de campagne pour l’accès universel aux services permettant de traiter et de prévenir le VIH.
Mais après 30 ans, le sida n’est toujours pas éradiqué. «Nous avons encore du chemin à parcourir», relève-t-on dans le communiqué diffusé par ONU-Sida Algérie. La présente édition «Yed Fel Yed Aids» (main dans la main) est exceptionnelle, elle se déroulera sans son architecte feu Yazid Ait Hamadouche. Un grand hommage sera rendu au défunt journaliste de la Chaîne 3, à travers cette campagne, pour tout le travail qu’il a accompli durant ces dix dernières années en faveur de la lutte contre le sida en Algérie. La campagne de sensibilisation s’inscrit en harmonie avec le thème de la campagne mondiale de ONU-sida de cette année visant essentiellement la sensibilisation des personnes à connaître leur statut VIH et leur charge virale. «Vivez la vie positivement. Informez-vous de votre statut VIH». Elle regroupera les jeunes artistes de différents univers, les activistes de la société civile, les différents acteurs institutionnels, le personnel des Nations unies et autres organisations internationales, ainsi que l’ensemble des citoyens.

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Secondes manifestations des «gilets jaunes», violences et stigmatisations: La France se voit de bas en haut

Mon, 11/26/2018 - 10:53

Par Chaabane BENSACI

Mouvement apolitique, les «Gilets jaunes» bénéficient ainsi d’un fort soutien populaire, qui ne devrait pas fléchir malgré l’érosion de la mobilisation qu’ils justifient par les difficultés d’un autofinancement et d’un usage pragmatique des jours de repos des personnes engagées.

Les images des affrontements qui ont duré, depuis la matinée jusque tard dans la nuit, sur l’avenue des Champs Elysées, ont particulièrement impressionné les observateurs. La manifestation des «gilets jaunes», ces dizaines de milliers de citoyens qui contestent les nouvelles taxes sur les carburants, entre autres griefs, a donné lieu à des batailles rangées entre les forces de l’ordre et des groupes encagoulés qui leur répliquaient à coups de projectiles divers tout en enflammant des barricades, sous une pluie de grenades lacrymogènes et de canons à eau. La journée d’hier aura beau être relativisée par le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, qui a indiqué que «seulement» 106 000 manifestants dont 8000 à Paris étaient recensés contre 283 000, le samedi précédent, le fait est que les échauffourées de l’artère la plus prestigieuse du pays ont illustré l’importance du bras de fer qui se déroule depuis deux semaines.

Réagissant à ces incidents violents, le président Emmanuel Macron a exprimé samedi soir sa «honte», persuadé que l’impact négatif de ces faits va ternir la mobilisation des «gilets jaunes», certes moins forte que la semaine dernière, au niveau national. Les contestataires porteurs de ces chasubles phosphorescents bénéficient néanmoins, à en croire les sondages qui se succèdent, d’une large sympathie auprès de la population qui soutient leurs dénonciations des taxes, de la baisse du pouvoir d’achat et du refus du gouvernement de prendre en compte leurs doléances. Mouvement apolitique, les «Gilets jaunes» bénéficient ainsi d’un fort soutien populaire, qui ne devrait pas fléchir malgré l’érosion de la mobilisation qu’ils justifient par les difficultés d’un auto financement et d’un usage pragmatique des jours de repos des personnes engagées. A Paris, les autorités ont déploré 24 personnes qui ont été blessées, dont cinq membres des forces de l’ordre alors que 130 manifestants ont été placés en garde à vue pour tout le pays.

Le président français a condamné dans un tweet ceux qui ont «agressé» les forces de l’ordre et «violenté d’autres citoyens et journalistes «, passant sous silence les réponses attendues par le mouvement. Il devrait cependant s’exprimer mardi prochain sur la manière dont il entend répondre aux revendications, même si depuis plusieurs jours le gouvernement affirme que «le cap sera maintenu». On aura relevé la passe d’armes politique entre le ministre de l’Intérieur et la dirigeante du Rassemblement national, Matignon ayant désigné du doigt les «casseurs de l’ultradroite» comme responsables des violences commises sur les Champs Elysées. Attitude promptement dénoncée par les partis de droite comme de gauche qui y voient une stratégie de diabolisation des «gilets jaunes» au moment où le pays attend un geste en faveur de leurs revendications.
Partout en France, il y a eu des rassemblements, des manifestations et des sit-in pacifiques qui ont conféré une autre dimension à cette seconde journée de mobilisation, sept jours après l’amorce de la contestation. Avec les faits et les réactions de samedi dernier, le mouvement qui se veut hors des partis et des syndicats aura sans nul doute du mal à prendre ses distances vis-à-vis des critiques gouvernementales à un moment où les participations aux blocages s’essoufflent partout en France.

Aussi bien le président Emmanuel Macron que le Premier ministre Edouard Philippe parient sur cette disqualification pour cause de brutalité des «gilets jaunes» et c’est pourquoi ils comptent camper sur leur position, droits dans leurs bottes, tout en jouant la montre contre une mobilisation clairement populaire et dont les partis, de quelque bord qu’ils soient, ne sont pas parvenus à s’emparer. Un pari hasardeux si l’on en croit le dernier sondage de l’institut BVA qui donne 72% de Français favorables aux revendications des «gilets jaunes», excédés par la hausse d’une taxe pour le financement de la transition énergétique qui a impacté les prix des carburants. A en juger par les slogans des manifestants de samedi dernier, «Macron démission», «Macron, rends le pognon», rien n’est encore joué et il faudra attendre la déclaration du chef de l’Etat mardi pour savoir où va le vent.

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Tout le monde est appelé à faire preuve de sagesse et de retenue: Ces déclarations incendiaires

Mon, 11/26/2018 - 10:51

Par Saïd MEKKI 

La très mauvaise programmation a participé pour beaucoup à des réactions négatives des responsables des clubs ainsi que du premier responsable de la Ligue de football professionnel, Abdelkrim Medouar.

La rétrospective du championnat d’Algérie 2018-2019 qui est à un match de la fin de sa phase-aller a été beaucoup plus caractérisée par la très mauvaise programmation, le très mauvais arbitrage, la violence et surtout les très mauvaises réactions des responsables qui ont participé à cette violence d’une certaine manière. La preuve de la très mauvaise programmation est le fait qu’il reste encore un match en retard entre l’USM Alger et l’ES Sétif. De plus, on a bien remarqué que la Ligue de football professionnel a, à plusieurs reprises, programmé des matchs en retard en combinaison avec des matchs avancés, ce qui est du jamais-vu dans des championnats dignes de nom.
Et dire, que les actuels responsables, y compris au niveau de la Fédération algérienne de football (FAF), ne cessent de critiquer leurs prédécesseurs. On n’a pas vu une aussi mauvaise programmation des matchs de championnat qu’en cette première partie, non encore achevée de la phase-aller. On se demande donc bien qu’en serait-il pour la suite de la programmation pour une phase-retour «décisive» et où les enjeux sont très importants. D’autant qu’il faut ajouter l’entrée en lice des clubs de la Ligue 1 dès le mois de décembre dans une nouvelle compétition, à savoir la coupe d’Algérie.

Travailler au jour le jour
Gérer le championnat, la coupe d’Algérie, les coupes africaines et la Coupe arabe, pour ne rester que dans le contexte des clubs de la Ligue 1, n’est, certes pas chose aisée. Mais, il est d’importance que les responsables actuels cessent de faire dans le travail «au jour le jour». Il est important d’avoir une certaine planification. Encore faut-il ne pas oublier que l’élection présidentielle est pour le début de l’année prochaine et elle coïncide avec la fin de la phase-retour. Ironie du sort, cette très mauvaise programmation a participé, pour beaucoup, à des réactions négatives des responsables des clubs ainsi que du premier responsable de la Ligue de football professionnel, Abdelkrim Medouar.

La fuite en avant
Chacun évoque «un complot contre lui». Quand ce sont les responsables eux-mêmes qui transgressent le fair-play, que doit-on attendre alors des jeunes supporters, souvent inconscients de leurs responsabilités? La LFP insiste pour faire respecter l’«obligation de réserve». Ce qui est bien réglementaire lorsqu’il y a dépassement dans des déclarations intempestives des responsables.
Cependant, il faudra aussi éviter de tomber, entre-temps, dans son propre piège! La preuve, le président de la Ligue répondait récemment au président de la JSK (les deux sont fautifs bien qu’ils défendent leur «organisme») que «s’il était président d’un club, il ferait entendre des choses au président de la JSK». Et le président de la JSK. qui rétorque: «que le président de la ligue devienne président d’un club et qu’il me réponde»… Une explication bien enfantine, faut-il le faire remarquer.

Interminable polémique autour de l’arbitrage
D’autre part, l’arbitrage a fait couler beaucoup d’encre avec des suspicions et des accusations de corruption. Les déclarations des uns et des autres incitent beaucoup plus à l’excitation qu’au calme. Et là, inutile de citer des exemples, car il y en a beaucoup et ils sont bien connus puisque les médias ont bien disserté là-dessus. Cette forme de violence verbale incite donc les jeunes supporters à s’y familiariser et prolonger ce fléau nuisible dans les gradins, voire en dehors des stades.
Des responsables de clubs ne parlent que des problèmes et des critiques alors que les responsables du football tombent dans le piège en répondant au lieu d’essayer de trouver des solutions aux problèmes décriés. Là, on n’est qu’à un match de la fin de la phase-aller, et tout le monde espère plus de «responsabilité» des responsables concernés pour, enfin, parler football et uniquement football avec un véritable cachet de fair-play. A bon entendeur…

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Daesh revendique une attaque meurtrière au sud-est de la Libye: L’armée de Haftar traque les terroristes

Mon, 11/26/2018 - 10:51

Cette attaque est la deuxième en moins d’un mois contre des forces loyales au maréchal Haftar. La première, revendiquée par l’EI, avait fait au moins cinq morts, le 29 octobre, dans la région d’al-Joufra, au centre du pays.

Le groupe jihadiste Etat islamique (EI) a revendiqué samedi une attaque perpétrée la veille dans le sud-est de la Libye durant laquelle neuf membres des services de sécurité ont été tués et 11 personnes enlevées. L’attaque a visé vendredi des membres des services de sécurité loyaux au maréchal Haftar -homme fort de l’est libyen qui dirige l’autoproclamée Armée nationale libyenne (ANL)- dans un commissariat de Tazirbou, une ville située à 1.500 km au sud-est de la capitale Tripoli. Dans un communiqué publié via son agence de propagande Amaq, l’EI a affirmé avoir enlevé des «officiers» et tué et blessé 29 membres des forces loyales au maréchal Haftar, qui contrôlent la région de Tazirbou. Un haut responsable des services de sécurité avait fait état vendredi de neuf policiers tués et de 11 personnes enlevées, dont des civils et un commandant. Cette attaque est la deuxième en moins d’un mois contre des forces loyales au maréchal Haftar. La première, revendiquée par l’EI, avait fait au moins cinq morts le 29 octobre dans la région d’al-Joufra (centre). La précédente attaque revendiquée par l’EI, en août 2017, avait fait 11 morts, dont neuf membres de l’ANL.
L’armée libyenne et les forces de sécurité ont abattu 12 éléments du groupe terroriste autoproclamé «Etat islamique» près de la ville de Tazirbou (sud-est), a indiqué une source militaire samedi soir. Les forces conjointes «ont poursuivi les traces des terroristes, qui s’étaient cachés dans les régions inhabitées à l’ouest de Tazirbou», selon la même source. Des véhicules armés ont été détruits, des armes et des munitions ont été saisies, a-t-elle ajouté.
Cette ville, une petite oasis, a connu une attaque meurtrière vendredi lorsque des dizaines d’assaillants dans des véhicules armés ont ciblé un poste de police et un certain nombre de bâtiments du gouvernement, tuant neuf personnes et en blessant plus de quinze autres. Les terroristes avaient également pris des dizaines de personnes en otage avant de partir. La Mission d’appui des Nations unies en Libye (MANUL) a condamné l’attentat, appelant les parties en conflit à «cesser immédiatement de cibler des personnes et objets civils, conformément au droit humanitaire international». Tazirbou possède l’une des plus importantes sources d’eau souterraine approvisionnant les villes de l’ouest et du centre de la Libye.
L’EI avait profité du chaos pour s’implanter dans la ville côtière de Syrte en 2015, mais les forces loyales au Gouvernement d’union nationale (GNA), soutenu par l’ONU et basé à Tripoli, ont repris le contrôle de la cité en 2016, après huit mois de combats meurtriers. Depuis, plusieurs terroristes se sont repliés vers le désert, d’où ils tentent de se réorganiser. Le 11 septembre, l’EI avait revendiqué une attaque-suicide commise contre le siège de la Compagnie nationale libyenne de pétrole (NOC), au coeur de Tripoli, qui a fait deux morts et dix blessés. Quatre mois plus tôt, le groupe avait également revendiqué un attentat contre la Haute commission électorale à Tripoli, qui avait fait 14 morts.

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Réunion FAF – LFP – clubs professionnels le 5 décembre prochain: Zetchi et Medouar veulent calmer les ardeurs

Mon, 11/26/2018 - 10:47

Par Mohamed BENHAMLA

Zetchi, mais aussi Medouar, qui font face à plusieurs fronts, veulent profiter de cette réunion afin de mettre les choses au clair et se dégager de la forte pression qui pèse actuellement sur leurs épaules.

Les présidents des clubs professionnels sont conviés à une réunion avec les responsables de la FAF et ceux de la LFP, le 5 décembre prochain au Centre technique national de Sidi Moussa. C’est la FAF qui a fait part de cette rencontre, hier, sur son site officiel où il était mentionné: «Le président de la Fédération algérienne de football (FAF) Kheireddine Zetchi, en concertation avec le président de la Ligue de football professionnel, Abdelkrim Medouar, convie les présidents des 32 clubs professionnels à une réunion le lundi 5 décembre 2018 au Centre technique national de Sidi Moussa avec pour objet de dresser le bilan de la phase-aller des championnats Mobilis L1 et L2.»

Certes, comme mentionné dans ce document, il s’agira de faire le bilan de la phase-aller, mais force est de reconnaître que ce bilan est loin d’être sportif. Il s’agira surtout de revenir sur différents faits marquants, tels que la guerre médiatique déclenchée entre le président de la LFP, Abdelkrim Medouar et plusieurs responsables de clubs, comme c’est le cas avec le président de la JS Kabylie, Chérif Mellal. Il s’agira aussi d’une tentative, de la part de Kheïreddine Zetchi, de trouver une issue à toutes les polémiques nées de ces déclarations pour que la deuxième moitié de la saison se déroule dans le calme et la sérénité, ce qui va éviter à son instance de plonger davantage dans une situation de chamboulement qui risque de mener vers des horizon flous. Aussi, il sera question d’évoquer le cas des arbitres décriés par la majorité des responsables, entraîneurs et joueurs des équipes des deux premiers paliers.

Autre point qui sera à l’ordre du jour, celui des dettes des clubs envers les joueurs ayant eu gain de cause après leur recours, à la Chambre de résolution des litiges (CRL) ainsi que le «deux poids, deux mesures» soulevé par certains clubs dans le traitement de leurs dossiers.

Zetchi, mais aussi Medouar, qui font face à plusieurs fronts, veulent profiter de cette réunion afin de mettre les choses au clair et se dégager de la forte pression actuellement sur leurs épaules. Ceci, dans le but de se consacrer à d’autres aspects, notamment la préparation de la CAN-2019 au Cameroun.

Cependant, le risque de voir cette réunion tourner au vinaigre est là, d’autant qu’il sera difficile, voire impossible, de satisfaire tout le monde, du moment que la manière avec laquelle les deux instances gèrent les différents dossiers, fait que s’en sortir ne sera certainement pas une sinécure.

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BMS: Des vents violents sur les wilayas côtières

Mon, 11/26/2018 - 10:21

L’Office nationale de météorologie a annoncé aujourd’hui de fortes rafales de vents sur de nombreuses wilayas côtières. 

En effet ces vents atteindront ou dépasseront localement les 60 km/h, durant la journée du lundi et ce jusqu’à 21 heures. 

Les wilayas concernées sont: Annaba, Jijel , Bejaia, Tizi Ouzou, Boumerdès, Alger Centre,Tipaza, Chlef. El Tarf, Tlemcen, Skikda, Relizane, Mostaganem, Mascara, Oran et Ain Temouchent.

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L’ex PDG de la Sonatrach :  » L’Algérie renferme des ressources extrêmement importantes »

Mon, 11/26/2018 - 10:12

L’ancien ministre et ancien PDG de Sonatrach, Abdelmadjid Attar, était sur les ondes de la radio chaîne 3, pour répondre aux questions de Souhila El Hachemi  dans l’émission l’invité de la rédaction.

Abdelmadjid Attar, précise qu’il faudrait aller vers l’économie d’énergie et les renouvelables, en ajoutant que « l’Algérie renferme des ressources extrêmement importantes ». 

« Il va falloir arbitrer entre les besoins et les ressources en introduisant de l’économie d’énergie,  avec de nouveaux comportements« , précise l‘ancien ministre et ancien PDG de la Sonatrach.

Concernant le gaz, Abdelmadjid Attar énnonce qu’il est indexé sur le pétrole, et qu’il faudrait le libérer car c’est la source d’énergie du futur, en ajoutant que le prix du gaz augmentera probablement. L’ancien PDG de Sonatrach informe que : « Le prix du baril est depuis quelques années inférieur à 60 dollars, la réunion Opep sera décisive, il faudrait prendre la décision de réduire les prix ».  Pour lui Trump serait le nouveau facteur qui définira les prix du pétrole, en sachant que le président américain ne voudrait pas que le prix augmente de 50 dollars.  Ainsi, Abdelmadjid Attar confirme que la sécurité énergétique sera assurée en Algérie, mais il faudrait augmenter les gisements en développant les hydrocarbures non conventionnelles.

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Élection du Libyen Jamal Jaafari nouveau président de l’UNAF

Mon, 11/26/2018 - 10:03

Le président de la Fédération libyenne de football Jamal Jaafari a été élu nouveau président de l’Union nord-africaine (UNAF), lors de l’Assemblée générale élective, tenue dimanche à Rabat.

A cette occasion, M. Jaafari a exprimé son souhait d’apporter une plus-value au sein de l’instance nord-africaine, faisant savoir que la prochaine saison connaîtra une programmation riche et diversifiée en activités et compétitions.

Il a, également, souligné que cette AG annuelle permet aux fédérations membres de l’UNAF d’examiner les différents rapports et de faire le suivi de la stratégie élaborée par la commission technique.

Dans ce sens, les représentants des cinq fédérations (Maroc, Tunisie, Algérie, Libye et Egypte) ont approuvé les rapports administratif et financier au titre de l’année 2017. Ils ont également présenté et examiné les activités et programmes de 2018, notamment, les éliminatoires nord-africaines qualificatives à la CAN (U17) qui s’est déroulée en Tunisie, et les deux éditions des (U15) qui ont eu lieu en Tunisie et en Algérie.

Il a été aussi procédé à la désignation du Maroc à la tête de la commission financière et de la Tunisie à la tête de la commission des compétitions. L’Algérie prendra, quant à elle, les commandes de la commission technique, l’Egypte de la commission des arbitres et la Libye de la commission médicale.

Concernant les activités de l’année prochaine, l’UNAF a mis le point sur la Coupe nord-africaine des clubs prévue l’été-2019, et ce pour permettre aux équipes qui y prendront part de mieux se préparer.

Les cinq membres ont, en outre, adressé une correspondance à la CAF, dans laquelle ils ont appelé l’instance dirigeante du football continental à la nécessité de mettre en place tous les critères cités dans le cahier de charge pour l’organisation de la CAN-2019, prévue au Cameroun.

Depuis sa création, l’UNAF a été présidé, selon un système d’alternance, par feu Samir Zaher (Egypte), Mohamed Raouraoua (Algérie), Ali Fassi-Fihri (Maroc) et Wadii Jarii (Tunisie).

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Algérie : Pas de retrait de permis de conduire pour les émigrés et les étrangers

Sun, 11/25/2018 - 21:55



Selon une circulaire interministérielle adressée à la police et à la gendarmerie nationale à travers tout le pays de se contenter d’amendes financières pour les conducteurs porteur de permis étrangers, notamment les émigrés. La décision est intervenue pour éviter de pénaliser ainsi les citoyens et les ressortissants étrangers dont les séjours en Algérie sont limités dans le temps.

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Un séisme de magnitude 6,4 secoue l’Iran

Sun, 11/25/2018 - 21:43

Un séisme de magnitude 6,4 a frappé dimanche la province de Kermanshah dans l’ouest de l’Iran, a annoncé l’Institut de géophysique iranien, et 210 personnes ont été blessées, selon les autorités locales.

L’épicentre du séisme a été localisé à 17 kilomètres au sud-ouest de la ville de Sar-e Pol-e Zahab, à sept kilomètres de profondeur, a indiqué l’Institut de géophysique. Cette région de l’ouest de l’Iran, frontalière de l’Irak, a subi plusieurs tremblements de terre ces dernières années.

Séisme de magnitude 6,4 dans l’ouest de l’Iran https://t.co/7RmiE0JEci pic.twitter.com/x2LzXYEc8G

— Le Soir (@lesoir) 25 novembre 2018

Au moins 210 personnes ont été blessées à Sar-e Pol-e Zahab et dans la ville voisine de Gilan-e Gharb, a annoncé le gouverneur de Kermanshah, Houshang Bazvand, à la télévision d’État.

Le nombre de blessés pourrait augmenter dans les heures qui viennent, les 18 équipes de secours continuant à répertorier les dégâts.

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Alternative aux pesticides : Promotion de la lutte biologique pour la protection des végétaux à Chlef

Sun, 11/25/2018 - 21:11

La Station régionale de la protection des végétaux de Chlef aspire au développement de moyens de lutte propres contre les maladies et parasites nuisibles aux récoltes agricoles, parallèlement à l’incitation des agriculteurs à l’usage rationnel des pesticides.

«Nous avons réalisé une importante avancée dans ce domaine», s’est félicité le directeur de cet organisme, Boualem Mekhanek, citant, à titre indicatif, la mise au point de deux programmes de lutte contre les mineuses (parasites) des agrumes et de la tomate aux fins, a-t-il expliqué, de «réduire l’usage des pesticides et d’encourager les agriculteurs à exploiter des moyens propres et amis de l’environnement, tout en préservant la santé humaine». Le responsable s’est réjoui du fait que les agriculteurs «soient de plus en plus convaincus de l’intérêt de l’usage de la lutte biologique pour leurs récoltes, comparativement aux pesticides». Il a fait part, dans ce sens, de lâchers d’auxiliaires contre la mineuse de la tomate, réalisés dans nombre de serres de la région. Parallèlement à ces lâchers d’auxiliaires (organismes vivants considérés comme des prédateurs ou concurrents aux parasites nuisibles aux récoltes ou aux végétaux), M. Mekhanek a signalé l’organisation de campagnes d’information sur le bien fondé des méthodes de prévention et de traitement naturelles des végétaux et récoltes, outre la bonne préparation de la terre et la sélection de semences résistantes aux maladies. Chaque année, la station de Chlef effectue un nombre de lâchers, a indiqué, de son côté, Ali Arrous, agronome chargé du développement du programme de lutte biologique, faisant cas pour cette année de 15 opérations, pour un lâcher global de 4000 auxiliaires contre la mineuse de la tomate, dans nombre de serres de la région. Le lâcher de ces organismes, multipliés en grand nombre dans des bio-fabriques de la station de Chlef, est généralement effectué une fois par an, durant les mois d’avril et de mai, a-t-il informé, précisant que le programme en question a été axé, dans une première étape, sur deux types d’auxiliaires pour faire face aux mineuses des agrumes et de la tomate, considérées comme les maladies végétales les plus répandues dans la wilaya. Dans les prochains jours, il s’agira, a ajouté M. Arrous, de développer d’autres types d’auxiliaires pour lutter contre nombre de maladies végétales récemment apparues dans la région, à l’instar des coccinelles des agrumes, la mouche méditerranéenne des fruits et le ver de pomme. à noter l’existence de trois méthodes de lutte biologique. La première représentée par la lutte biologique par l’utilisation des prédateurs, qui tuent leur proie pour satisfaire leurs besoins nutritifs, tandis que la deuxième méthode de lutte biologique utilise des parasitoïdes, soit des insectes entomophages qui, pour compléter leur cycle de vie, tuent leur hôte. Quant à la 3e méthode de lutte biologique, elle met a profit les bactéries, qui infectent les insectes par leur tube digestif, sans pour autant constituer un danger ni pour les végétaux, l’homme ou les animaux.

Une lutte biologique comme alternative aux insecticides
«Le traitement biologique des végétaux est une alternative inéluctable, inscrite au titre d’un développement durable, garant de l’équilibre environnemental et de la santé humaine», a estimé, pour sa part, le président de l’association des producteurs de la tomate industrielle, Mohamed Benyamina. Il a souligné l’impératif de l’ancrage de cette pratique (lutte biologique) chez les agriculteurs, qui sont majoritaires à préférer l’usage d’un seul pesticide pour le traitement de nombreuses maladies, au lieu d’utiliser un prédateur vivant pour chaque maladie. Sachant que les « récoltes traitées biologiquement sont de bien meilleure qualité que celles traitées aux pesticides», a-t-il assuré. M. Benyamina a lancé un appel aux responsables de la Station régionale de la protection des végétaux, au même titre qu’à tous les acteurs du secteur agricole local, en vue de l’organisation davantage de manifestations susceptibles de «rapprocher l’agriculteur de cette technique d’avenir, qui a commencé à faire son chemin parmi eux, parallèlement à l’usage rationnel des pesticides». Amar fait partie des agriculteurs de la wilaya ayant expérimenté cette technique biologique, durant cette année 2018. Il a assuré à l’APS que cette opération a induit, chez lui, « une baisse dans l’usage des traitements chimiques», tout en prévoyant une récolte de tomate de «meilleure qualité pour cette année, comparativement à la campagne précédente». Cet agriculteur, qui a cité sa «non maîtrise de cette technique» comme étant à l’origine de sa non généralisation à toutes les serres en plastique dont il dispose, a émis son désir et sa volonté de veiller à s’informer sur cette méthode de traitement afin d’arriver, à terme, à «la généraliser à toute son exploitation « et à abandonner totalement les pesticides «nuisibles pour la santé humaine», selon son propre aveu.
Parallèlement au lancement de la campagne labours-semailles à Chlef, une campagne de sensibilisation sur le traitement préventif des récoltes contre la mouche méditerranéenne des fruits a été lancée, par les services de la Station de protection des végétaux, de concert avec les acteurs du secteur agricole local, en direction des agriculteurs appelés, également, à s’inscrire sur les listes leur ouvrant droit aux programme de soutien contre le rat des champs, est-il signalé.

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Mila : La chirurgie pour guérir les diabétiques de type 2

Sun, 11/25/2018 - 21:10

Beaucoup de personnes ayant subi une chirurgie de l’obésité «sont guéries du diabète de type 2», a indiqué, le professeur en chirurgie Messaoud Bendridi au second jour des 39es Journées nationales médicales tenues à la Maison de la culture de Mila.

Les diabétiques de type 2 ayant subi une chirurgie de l’obésité en Europe et en Amérique «sont guéris de leur diabète et le travail est actuellement mené pour confirmer le rapport de causalité entre cette chirurgie et la guérison du diabète de type 2», a ajouté Pr. Bendridi, chef du service chirurgie à l’hôpital Didouche Mourad de Constantine.
«Depuis dix ans, le recours à cette chirurgie pour traiter ce diabète est pratiqué dans les pays développés, mais des études ont montré que la maladie réapparaissait après cinq années ou plus», a ajouté le spécialiste qui a relevé que les recherches se poursuivent pour développer une chirurgie qui permettrait une guérison définitive ou, au moins, le plus longtemps possible aux patients qui pourraient ainsi avoir une vie normale.
«La chirurgie du diabète étant encore au stade de l’étude n’est pas pratiquée en Algérie. Toutefois, la chirurgie de l’obésité existe donnant ainsi la possibilité aux personnes qui la subissent de guérir du diabète de type 2», a ajouté ce praticien. De son côté, Dr. Khaled Saïd, président pour la région Est de l’Union médicale algérienne, a estimé important que cette rencontre aborde la question de la chirurgie et le diabète, «surtout que le pays compte 5 millions de diabétiques selon les statistiques du ministère de la Santé». Les travaux de cette rencontre de deux jours se sont déroulés en plénières et dans des ateliers animés par des médecins spécialistes.

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