Rachid Boutlelis
La flagrante irrégularité de la rotation des camions chargés de la collecte des ordures ménagères et la criarde insuffisance de cantonniers, voire carrément leur absence dans la grande majorité des quartiers de la municipalité d’Aïn El Turck, contribuent grandement à une situation de pourrissement dans le véritable sens du terme. Exaspérée au plus haut point, la population ne cesse par le biais de ses représentants et de requêtes de décrier la dégradation du cadre de vie. Ce piteux état de fait est relevé à travers le sordide, qui enlaidit les rues et les boulevards de cette municipalité où désormais il ne fait plus bon d’y vivre. Selon le constat établi sur le terrain, dans certaines zones, les trottoirs sont en grande partie tapissés d’ordures, provenant des sachets poubelles éventrés par des animaux nuisibles et de cannettes de bière. Et comme le ridicule ne tue point, des dépotoirs en parpaing, ressemblant à s’y méprendre à de petits mausolées, décriés par la population, réalisés contre vents et marées sur les trottoirs des principales artères et autres rues, sont venu ajouter leur grain de sel à cette anarchie nauséabonde et ce, en se transformant comme prévu en de véritables points noirs, où les chiens errants, les chats de gouttière et les rats se disputent rageusement la pitance.Ce piteux désordre aux odeurs pestilentielles est majoré avec les avaloirs obstrués, qui sont à l’origine de la stagnation de liquide visqueux, ayant découlé des sachets poubelles, mélangé avec les eaux pluviales, qui ruissèlent le long des caniveaux longeant les trottoirs. Dans certains quartiers, les habitants mènent régulièrement des opérations de volontariat, qui s’avèrent malheureusement insuffisantes en raison de la limite de leurs moyens matériels, pour tenter un tant soit peu de redorer le blason terni de leur lieu de résidence. « Cela fait très longtemps que nous avons perdu espoir quant à une réaction des responsables concernés, à priori beaucoup plus occupés à une guerre des tranchées, pour endiguer cette situation de déliquescence à l’extrême, qui n’a que trop perduré et ce, sans susciter le réveil de l’hibernation, qui a plongé cette prestigieuse municipalité dans la décadence », ont fait remarquer des riverains, dépités au plus haut point, du quartier Commandant Ferradj, communément appelé douar Maroc, qui végète dans la désuétude la plus exécrable à l’instar des autres zones du chef-lieu de la daïra d’Aïn El Turck. Il importe de noter également sur un autre volet, qu’en toute vraisemblance tous les ingrédients d’un comeback de la mémorable curée estivale de l’année précédente se profilent d’ores et déjà à l’horizon.
La cruelle déchéance dans laquelle végètent aujourd’hui les plages de la contrée d’Aïn El Turck, qui n’ont pas été ciblées par aucune quelconque opération de nettoyage, risque probablement de gâcher lamentablement une fois de plus le séjour d’agrément pour les dizaines de familles, qui viendront de toutes les régions du pays et même de l’étranger, pour déstresser et profiter des plaisirs que procure la mer. La saleté repoussante des plages a figuré en pole position dans l’éventail de contraintes et de désagréments, qui ont suscité un tollé de mécontentement chez les vacanciers au cours de la dernière saison estivale.The post Irrégularité des rotations de collecte des ordures et insuffisance de balayeurs: Les habitants de Aïn El Turck irrités par la dégradation du cadre de vie appeared first on .
D. B.
Pour mettre un terme aux rejets des déblais dans le domaine forestier, ou sur les espaces publics, la deuxième décharge des déchets inertes réalisée a Ain El Beida a été mise en service et reçoit quotidiennement des dizaines de camions, a-t-on appris hier de sources proches de la commune d’Es Sénia. Nos sources indiquent que cette décharge prend en charge les déchets du groupement centre d’Oran, après la saturation de la première décharge localisée dans la même commune. Notre interlocuteur signale que cette nouvelle décharge, qui s’étend sur une superficie de trois hectares, prendra en charge les mêmes communes du groupement centre d’Oran, à savoir Oran, Es-sénia, Sidi Chahmi et Bir El Djir. La première décharge, d’une superficie de huit (8) hectares, a été saturée au bout de trois (3) années. Le terrain récupéré devra revenir à sa vocation initiale dans le domaine de l’agriculture. Le nouveau centre devra atténuer le phénomène de dépôt anarchique de déblais sur les bords des routes et dans les forêts urbaines dans le groupement centre qui connaît une accentuation du problème en raison de l’importance des projets de construction. Réglé au groupement centre, le problème reste posé aux parties est et ouest qui n’ont pas encore leurs décharges des déchets inertes. A ce titre, des sources proches de la direction de l’environnement indiquent que la direction est en prospection au groupement ouest pour en ériger un CET de déchet inertes. Signalons que la deuxième décharge de Ain El Beida va accueillir les déchets inertes qui proviennent principalement des chantiers des travaux publics, du génie civil et du bâtiment. Les déchets sont générés lors de la construction, de la rénovation, maintenance ou réhabilitation de ces ouvrages et bâtiments puis lors de leur fin de vie (déconstruction, démolition). La wilaya d’Oran a bénéficié ces dernières années de l’inscription de nombreux projets (BTP, routes, infrastructures ). Ces méga-chantiers en cours ou en voie d’achèvement produisent de grandes quantités de détritus (béton, ciment, enrobés bitumineux ) qui représentent un casse-tête pour les autorités locales. Auparavant, les déchets inertes et autres déblais étaient acheminés vers la décharge d’El-Kerma. Les déchets inertes sont des déchets minéraux non souillés dont le caractère polluant et la nature évolutive sont très faibles. Le programme euro-méditerranéen pour l’environnement avait recommandé, dès l’année 2006, la création d’une nouvelle décharge pour les déchets inertes dans la wilaya d’Oran. La grande agglomération d’Oran, qui compte 1,2 million d’habitants (chiffre officiel) et 7 zones industrielles, est confrontée en effet à de sérieux problèmes environnementaux. Il est à noter que, selon le Cadastre national des déchets spéciaux, les wilayas d’Alger, Béjaïa, Skikda, Annaba, Tlemcen et Oran produiraient à elles seules près de 87% de déchets, soit 282.800 t/an et détiennent un stock estimé à 1.905.200 t.The post Aïn El Beida: La deuxième décharge de déchets inertes opérationnelle appeared first on .
K. Assia
Dans le cadre de la lutte contre la criminalité et la délinquance juvénile, 24 individus ont été arrêtés de la période allant du 21 au 23 novembre par les services de la police judiciaire de la sûreté de la wilaya d’Oran. Ainsi cinq personnes ont été appréhendées pour port d’armes prohibées.Trois autres personnes faisant l’objet de mandats d’arrêt ont aussi été arrêtées et six dealers ont été placés sous mandats de dépôt pour détention et commercialisation de stupéfiants. Les policiers ont saisi 96 comprimés psychotropes de différentes marques. Pour ce qui est affaires de vol par effraction ou avec violence, le bilan de la sûreté de la wilaya d’Oran fait état de l’arrestation de deux individus et de la récupération d’un véhicule. D’autre part, les services de la 3e, 13e, 2e et 18e sûreté urbaine ont mis hors d’état de nuire 8 individus pour CBV. Toujours dans le cadre de la lutte contre la criminalité, 13 opérations de police ont été menées durant ces trois jours par les services de la Sûreté de la wilaya d’Oran dans plusieurs quartiers de la ville. L’objectif était de renforcer la sécurité urbaine et améliorer le rapprochement des citoyens des services de la police. Ainsi, et selon le bilan de ces opérations, on apprend que 2 personnes ont été arrêtées pour détention et commercialisation de stupéfiants et 4 autres font l’objet de recherches. Au total, les policiers ont arrêté 30 individus en trois jours pour différents délits liés au vol, aux coups et blessures volontaires (CBV), à l’usage et à la détention de stupéfiants.The post Port d’armes prohibées, commerce de stupéfiants, CBV, vols… 30 individus arrêtés en trois jours appeared first on .
Houari Barti
Le porte-parole du Rassemblement National Démocratique, RND, M. Seddik Chiheb a défendu, hier, le choix de son parti de soutenir Abdelaziz Bouteflika pour un cinquième mandat à l’occasion de la présidentielle de 2019.Lors d’une session extraordinaire du Conseil de wilaya, élargi aux cadres du parti, tenue à la Cinémathèque d’Oran, en présence de membres de l’APN et du Sénat et des militants de la wilaya d’Oran, M. Seddik Chiheb a, tout d’abord, exprimé la confiance « totale et absolue » du RND au Président Bouteflika, depuis 1999 jusqu’à ce jour et le renouvellement de cette confiance, en prévision du prochain mandat.
La projection, en début de rencontre d’un reportage qui met en relief les différentes réalisations et projets dont la wilaya d’Oran a bénéficiés durant les deux dernières décennies, a constitué une bonne matière pour le porte-parole du RND, dans son argumentaire de soutien au 5ème mandat. «Ensemble pour la continuité » a été, ainsi, le leitmotiv de cette rencontre avec les militants de base et son slogan officiel. « N’ayez pas honte et n’ayez aucun complexe de ce choix pour la continuité qu’il faut assumer, pleinement et fièrement. Et soyez convaincus que c’est le choix le plus approprié, » a-t-il lancé à l’adresse de ses militants. Soulignant la clairvoyance du parti d’Ahmed Ouyahia, à travers des positions qui privilégient, avant tout, l’intérêt de la Nation, Seddik Chihab n’a pas omis de rappeler « le choix du parti à défendre le recours au mode de financement non-conventionnel (la planche à billets) pour faire face à la crise financière que traverse le pays. Un choix souverain pour lequel on a opté, en dépit de tous les avis alarmistes. Un choix qui a été, surtout, préféré à l’option de l’endettement auprès du Fonds Monétaire International, auquel l’Algérie a déjà fait appel par le passé mais qui l’a payé très cher », a-t-il martelé. Et d’ajouter : « Nous défendons, donc, nos choix et nous les assumons complètement, car nous estimons qu’ils sont les mieux à même de garantir les intérêts suprêmes du pays ». Répondant aux questions des journalistes présents lors d’une conférence de presse, organisée à l’issue de cette rencontre, le porte-parole du RND a affirmé que l’objectif premier de cette session extraordinaire du Conseil de wilaya, élargi aux cadres du parti est « de se rapprocher des militants de la base pour les convaincre du bien-fondé de nos décisions. C’est un travail auquel contribue l’ensemble des cadres du parti qui sortent sur le terrain et animent des assemblées pour expliquer et vulgariser, au maximum, la pertinence des choix adoptés au niveau des instances ». Une précision qui sonne comme un appel à serrer les rangs, dans une conjoncture marquée par la défection, dernièrement, d’élus locaux du RND, à Oran, ayant fait le choix de rallier les rangs du frère ennemi, le FLN, mais aussi et surtout, par les attaques portées par le ministre de la Justice et un des actuels ténors du FLN, Tayeb Louh contre le chef du RND, Ahmed Ouyahia. A ce propos, M. Seddik Chiheb rappellera que « l’alliance entre le RND et le FLN ne date pas d’aujourd’hui ». « C’est un parti nationaliste de la même mouvance que nous et avec lequel on partage les mêmes référents, » a-t-il souligné. « Beaucoup de dénominateurs communs nous unissent, même si dans nos relations, nous avons, bien évidemment, des hauts et des bas ». Cependant, a-t-il précisé, « l’objectif que nous nous sommes assigné dépasse de loin les considérations d’ordre personnel. On ne s’arrête pas sur des déclarations mal comprises ou mal reprises.» Par conséquent, « on fait toujours preuve de maturité politique pour ne pas tomber dans le piège de la surenchère. Nous restons attachés à notre alliance stratégique avec le FLN, au-delà de tout ce qui peut émaner des personnes », a-t-il souligné.The post Seddik Chiheb à Oran: Le cinquième mandat, la planche à billets et les attaques contre Ouyahia appeared first on .
Yazid Alilat
Menaçant de recourir à un sit-in national des imams si leurs revendications ne sont pas satisfaites, Djelloul Hadjimi, secrétaire général de la Coordination nationale des imams, en a gros sur le cœur, et s’interroge sur la passivité et le refus du ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aïssa, de satisfaire la revendication de hausse des salaires des imams. Il a expliqué hier samedi dans une déclaration au Le Quotidien d’Oran que le ministre «nous a donné des assurances quant à la satisfaction de nos revendications», mais il a par la suite fait machine arrière, alors qu’il y a «des PV de réunions sur ce dossier» avec la société civile et l’association des Imams. «Le ministre n’a pas à nous refuser cette hausse des salaires, il doit soumettre nos revendications au gouvernement», estime encore M. Djelloul Hadjimi selon lequel l’autre importante revendication de la fédération des imams est la révision du statut particulier de l’Imam. «Il (le ministre) ne veut accéder à notre demande de révision du statut particulier de l’imam», précise t-il avant de souligner qu»’un imam, qui a un grade de professeur, est payé en moyenne à 30.000 dinars. Ce n’est pas normal.» «Nous revendiquons autant une hausse des salaires des imams que la mise en place d’un nouveau statut particulier», explique M. Djelloul Hadjimi, qui a indiqué que «nous avons demandé une intervention du président Bouteflika, pour satisfaire la principale revendication de la fédération des imams algériens.Après une période d’accalmie qui aura duré deux à trois ans, après la promulgation fin 2008 du dernier statut particulier de l’imam du temps de l’ex-ministre des Affaires religieuses et des Waqfs Bouabdallah Ghlammallah, le bras de fer entre la fédération des imams et le ministère a repris en mai dernier, lorsque l’imam de la grande mosquée d’Alger, Ali Ayya, avait publiquement dénoncé les conditions de vie des imams, et appelé à une amélioration de leur pouvoir d’achat et de leurs conditions de vie. Sur un plateau de télévision le 16 mai dernier, il s’était emporté, et a lancé que «l’imam a honte devant l’épicier, devant le vendeur de légumes, l’Etat doit donner à l’imam de quoi suffire à ses besoins». Globalement, les salaires des imams, qui sont des fonctionnaires, varient de 30.000 DA à 40.000 DA, plus les primes. La revendication de la profession à une amélioration des salaires n’est pas nouvelle, et dure depuis la dernière revalorisation des salaires en 2008 avec les nouveaux statuts des imams, payés selon les barèmes de la fonction publique, puisqu’ils émargent au budget du ministère des Affaires religieuses et des Waqfs.
En 2008, le département des Affaires religieuses avait proposé dans le projet de statut particulier des fonctionnaires du secteur, et selon les grades, des primes entre 6 000 et 10 000 DA, alors que le salaire de base des imams est de 28.000 dinars. Signé le 24 décembre 2008 par Ahmed Ouyahia, Premier ministre, le décret exécutif n° 08-411 du 24 décembre 2008 portant statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps spécifiques de l’administration chargée des affaires religieuses et des wakfs prévoit en son chapitre III quatre corps pour les imams (art.33), à savoir le grade d’imam instituteur (catégorie 10, mis en voie d’extinction), le grade d’imam Mouderess (instructeur, catégorie 11) ), le grade d’imam professeur (catégorie 13) et celui d’imam professeur principal (catégorie 14). Quant aux postes supérieurs, le même décret exécutif fixe le salaire de l’Imam Mufti (niveau 9), l’imam agréé (niveau 7) et le Premier imam de la mosquée.
Le même décret portant statut particulier des imams a fait passer la liste des postes de dix à dix-neuf, selon la responsabilité et l’importance de la tâche. Mais, le décret exécutif du 24 décembre 2008 portant statut particulier de l’Imam interdit à cette profession toute action de protestation. Ce statut particulier des fonctionnaires des affaires religieuses interdit ainsi aux hommes de culte l’adhésion à des organisations à caractère politique, le recours à la grève et les astreint au respect de la référence religieuse officielle. D’où le recours, a annoncé au Le Quotidien d’Oran Djelloul Hadjimi, à un sit-in national de protestation si les revendications de la fédération ne sont pas satisfaites, ou prises en considération. «Nous allons déterminer avec les imams la date et le lieu de ce rassemblement de protestation», a-t-il ajouté. «Ce n’est pas au ministre de nous refuser une hausse des salaires, ou la révision des statuts de la profession», estime-t-il par ailleurs, avant de dénoncer les niveaux bas des salaires des imams algériens.Déjà, au mois de mai dernier, durant le mois sacré de ramadhan, la coordination nationale des imams et des fonctionnaires des Affaires religieuses avait organisé un sit-in devant le siège de l’Union générale des Travailleurs algériens (UGTA), à laquelle elle est affiliée, à l’appui de revendication portant sur l’amélioration de leur situation socioprofessionnelle. «Nous sommes affiliés à l’UGTA», a insisté M. Hadjimi, qui a appelé le ministère de tutelle au dialogue afin de trouver des solutions urgentes aux doléances des imams, dont le logement. Il y a également la «dépénalisation du métier de l’imam», car le statut particulier prévoit en cas d’incitation à la violence, des poursuites judiciaires, l’ouverture d’une formation continue dans les universités et l’application du principe d’égalité des chances. Dans son coup de gueule du 16 mai dernier, l’imam de la Grande mosquée d’Alger Ali Ayya avait proposé pour les imams un salaire mensuel de 80.000 dinars, un logement et une voiture de fonction. «C’est un minimum. L’imam doit également pouvoir bénéficier d’un logement social», a-t-il ajouté.
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H. Hichem
Pourquoi Adlene Guedioura ne fait plus partie de la liste de Belmadi ? Une question qui en remorque d’autres, qui n’ont pas pour objectifs de perturber la liste du sélectionneur, nous-dit-on, mais les fans de ces joueurs bénéficie de beaucoup d’éloges des Britanniques, notamment des médias et des supporters.Ils ne souhaiteraient pas qu’il y ait une cassure entre le terrain national et cet homme qui a évolué face à la Gambie, où il n’aurait pas fourni le meilleur jeu qui aurait fait la différence. Adlene se dit qu’il est «un joueur, un être humain où il y a des moments où on n’est pas en forme, cela ne veut pas dire que ne je ne suis pas honoré de porter le maillot de l’Equipe nationale». Un ex-international jugera Adlene, comme le joueur qui ressemblerait à des Mahrez ou Brahimi qui ne paraîssent pas sur le terrain et provoquent toute la nation qui crie sa colère sur ces joueurs qui ne produisent pas grand-chose sur le terrain. En janvier, l’international algérien est revenu à Forest après avoir accepté un accord qui le maintiendrait au City Ground jusqu’en 2020-21.
«Depuis qu’il a rejoint les hommes d’Aitor Karanka, l’ancien joueur du Sporting Charleroi a déjà marqué 13 fois en championnat et il est heureux de continuer son séjour avec l’équipe du championnat. En football, on ne sait jamais ce qui va arriver. Je ne pensais pas partir en premier lieu. Mais quand quelque chose de spécial se produit, quand vous vous sentez bien quelque part, vous voulez revenir» déclarait-t-il à un journal anglais «C’est pourquoi, je suis revenu et c’est pourquoi je suis très heureux d’être ici. C’est un de mes clubs préférés pour lequel j’ai joué». Ainsi Guedioura devrait être impliqué lors de la visite de la forêt de Nottingham au stade KCOM pour affronter Hull City.
Un média s’est aussi interrogé sur le «pourquoi Adlene Guedioura est devenu l’un des prénoms de la feuille d’équipe de Nottingham». Lors du premier passage d’Adlene Guedioura à Nottingham Forest, il était de trop, un homme de spectacle que de joueur d’équipe. Dans diverses interviews enregistrées auprès de ses coéquipiers, tous évoquent un Guedioura qui a amélioré son jeu jusqu’à devenir un homme incontournable. «J’ai toujours senti qu’il passait trop de temps à chercher cette longue balle parfaite. Quelqu’un m’a dit un jour que la passe la plus difficile à choisir était parfois la plus simple. Vous n’avez pas toujours besoin de chercher le ballon parfait.
Et c’est quelque chose qu’Adlene a évidemment appris pendant son séjour loin de City Ground. Parce que maintenant, quand on le voit jouer pour les Reds, il a trouvé le bon équilibre. En fait, il est un très bon fabricant de jeu. Il maintient le ballon en mouvement avec une simple passe quand il le souhaite et, de temps en temps, il tentera quelque chose de plus spectaculaire. Nous savons tous qu’il a ce meurtrier dans son casier, mais il a apparemment appris que ce n’est pas quelque chose qu’il doit essayer à chaque fois qu’il joue le ballon. Mais Guedioura a atteint le point où il doit être l’un des premiers noms de la feuille d’équipe. Guedioura, Yacob et Colback auront tous un rôle important à jouer. Et il est toujours un bon joueur et un homme qui sait ce qu’il faut pour réussir à ce niveau et au-dessus. Il a de la qualité.» Cet extrait d’une interview d’un de ses coéquipiers illustre parfaitement qu’il restera un joueur qui devra avoir sa place parmi les Verts qu’il a de tout honorés lorsqu’il est appelé.
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Les accidents de la route ont fait 26 morts, percutées par des véhicules, au cours des dix (10) premiers mois écoulés, dans la wilaya d’Alger, sur un total de 53 victimes déplorées dans la wilaya, a-t-on appris samedi d’une source à la Direction de wilaya de la Protection civile.
Le nombre d’accidents de la circulation enregistré dans la wilaya d’Alger, de janvier jusqu’à octobre dernier, a atteint 5019 accidents ayant fait 53 morts (38 hommes, 9 femmes et 6 enfants), et 5123 blessés, sachant que les accidents de la route où les victimes ont été percutées par des véhicules, ont causé le plus grand nombre de victimes (26 morts), a indiqué le Chargé de Communication à la Direction de wilaya de la Protection civile, le lieutenant Khaled Benkhalfallah, dans une déclaration à l’APS.
La même source indique qu’en ce qui concerne les victimes percutées par des véhicules, il a été enregistré 1139 blessés, 26 morts, contre 2148 blessés et 17 morts, suite au télescopage de véhicules, ainsi que 275 blessés et 4 morts, victimes de renversement de véhicules, outre 1561 blessés et 6 morts, suite à d’autres accidents.
Le nombre d’interventions enregistré, au cours des 10 premiers mois écoulés de l’année en cours 2018 à Alger, en matière de secours et d’évacuation, a atteint 43.002 interventions lors desquelles, 34.333 personnes ont été secourues, mais 975 décès sont à déplorer, précise-t-on de même source.
D’après le bilan des interventions de la Protection civile d’Alger, les services mêmes services ont effectué 7784 interventions et ont fait état, de 4062 incendies, au cours desquels 139 victimes ont été secourues et 5 victimes déplorées. Quant au nombre des incendies industriels survenus dans la capitale, ils sont au nombre de 3, contre 230 incendies urbains.
Le nombre total des feux de végétaux, de forêts, de récoltes et de palmiers dans la wilaya, s’élève à 2411, outre 458 divers véhicules, ainsi que 14 engins, ayant pris feu.
D’autre part, 2207 personnes ont été secourues, dont des personnes sans abris, souligne-t-on de même source.
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Les services de la gendarmerie de la wilaya d’El Tarf ont arrêté, récemment, un dangereux criminel qui faisait l’objet de dix (10) mandats d’arrêt pour divers crimes et délits, a-t-on appris samedi auprès de ce corps de sécurité.
Se déployant dans le cadre de leurs activités visant la lutte contre la criminalité dans toutes ses formes, les gendarmes ont intercepté un véhicule, immatriculé dans la wilaya d’Annaba, « en stationnement suspect sur la route menant à la daïra de Dréan », a ajouté la même source, détaillant qu’après vérification d’usage de l’identité du conducteur, il s’est avéré que le conducteur était un criminel activement recherché.
L’individu en question, répondant aux initiales A.D, âgé de 37 ans, fait l’objet de mandat d’arrêt pour, entre autres, homicide volontaire, vol de bétail, non-assistance à personne en danger, tentative de cambriolage, coups et blessures, a-t-on précisé.
Présenté devant le procureur de la République près le tribunal de Dréan, le mis en cause dans ces affaires criminelles a été placé sous mandat de dépôt, a-t-on indiqué de même source.
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Le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Youssfi, a annoncé, samedi à Oran, l’étude de la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet (dans le sud-ouest du pays).
Inaugurant la 3e phase d’investissement au complexe d’acier de l’opérateur turc « Tosyali », le ministre a déclaré « nous avons entamé l’étude sur la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet en adéquation avec le développement de la dynamique de fabrication de l’acier en Algérie », soulignant qu’il est nécessaire de réfléchir à l’exploitation de la mine de Ghar Djebilet.
« Nos capacités productives actuelles estimées à 5 millions de tonnes/an de fer et d’acier atteindront 12 millions de tonnes dans 4 à 5 années et 16 millions à l’horizon 2030, ce qui nécessite de fournir 20 millions à 25 millions de tonnes/an », a-t-il ajouté.
Youcef Yousfi a estimé que l’exploitation des mines d’El Ouenza et de Khadra, dans l’Est du pays, « ne peuvent pas couvrir les besoins pour développer l’aciérie et la sidérurgie », d’où la nécessité de réfléchir à la possibilité d’exploiter la mine de Ghar Djebilet. « Faisons que ce grand projet dans le Sud-ouest équivaut à celui du phosphate dans l’Est du pays. Deux projets qui peuvent opérer un immense changement au développement économique des deux régions », a-t-il soutenu.
« Nous demandons à nos partenaires, spécialisés dans ce domaine, surtout dans l’aciérie à contribuer à réfléchir au projet de l’exploitation de la mine Ghar Djebilet », a indiqué le ministre.
Par ailleurs, Youcef Yousfi a mis en exergue l’importance de la 3e phase d’investissement au complexe Tosyali qui traitera des minerais, saluant la programmation d’une 4e phase d’investissement permettant d’atteindre une capacité productive de 6 millions de tonnes/an dans deux ans et demi.
Le ministre a affirmé, dans ce cadre, que Tosyali satisfait les besoins nationaux en ce produit, valorisant l’exportation de son surplus.
Youcef Yousfi a annoncé que la quatrième phase permettra de couvrir d’autres besoins du marché national, de se diriger vers l’exportation pour toucher les marchés étrangers et de satisfaire les besoins de l’industrie automobile en Algérie.
Le ministre a, au passage, appelé à réhabiliter cet investissement pilote reflétant le développement de l’industrie algérienne à la faveur de la politique du pays qui encourage les investissements nationaux et étrangers, sur laquelle veille le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
« La dynamique que connait l’investissement de l’opérateur Tosyali est le meilleur exemple de l’encouragement de l’Algérie à l’investissement », a-t-il déclaré dans ce sens, tout en exprimant sa satisfaction quant au développement de l’industrie algérienne de manière continue.
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Le Directeur du Crédit et de la Régulation bancaire à la Banque d’Algérie (BA), Mohamed Lahbib Koubi a indiqué, samedi à Alger, que le taux d’épargne nationale en circulation en dehors des banques était estimé à 31% de la masse monétaire en Algérie.
Intervenant lors du premier Symposium algérien sur les Assurances et la Finance islamiques (SAAFI 2018), M. Koubi a qualifié cette part de « très élevée », préconisant de drainer ces ressources vers les banques pour mieux financer l’activité économique notamment en matière d’investissement.
« Dans un contexte caractérisé par un défaut de ressources bancaires conventionnelles, la collecte des ressources via la diversification et l’adaptation des produits d’épargne et de financement afin de répondre aux attentes de l’ensemble des opérateurs et citoyens, s’avère une nécessité impérieuse pour l’économie nationale », a-t-il soutenu.
A ce propos, le responsable a fait état d’un nouveau règlement devant être publié prochainement dans le journal officiel, un texte définissant les règles applicables aux produits dits participatifs, approuvé le 4 novembre par le Conseil de la monnaie et du crédit (CMC).
Ce système définit ces produits et leur cadre procédural, tout en les distinguant des activités bancaires conventionnelles.
M. Koubi a estimé que ce nouveau texte, élaboré par la BA, ne prenait pas en compte toutes les opérations bancaires participatives à l’instar des opérations en Open Market et des opérations interbancaires, ce qui requiert « de fournir davantage d’efforts afin d’aboutir à de nouveaux textes complémentaires à l’arsenal juridique et encadrer l’ensemble du financement participatif ».
Pour ce faire, une méthode proposée par la BA a été adoptée, basée sur les principes de la graduation dans l’application, la consultation dans l’élaboration, et l’inclusion de l’ensemble des opérateurs économiques et sociaux.
Le responsable a estimé, par ailleurs, que la mise en place d’un cadre organisationnel et comptable complémentaire couvrant cette activité « prendrait plus de temps et requerrait un souffle long et plus d’efforts, de patience et de persévérance ».
La réussite du projet du financement participatif repose également, selon M. Koubi, sur l’efficacité d’un personnel qualifié et formé de manière « suffisante et globale ».
Lors des travaux du symposium, des représentants des banques ont relevé une hausse de la demande sur ce genre de produit, puisque les actifs des banques « Al Baraka » et « Essalem » -seules banques islamiques activant en Algérie- ont atteint respectivement 270 milliards de dinars et 100 milliards de DA.
Concernant l’assurance islamique « Takaful », Mohamed Benarbia, directeur de Salama assurances Algérie, la seule compagnie qui active dans ce domaine en Algérie, a fait observer le manque d’outils juridiques permettant sa croissance, étant actuellement encadrée par les lois destinées aux assurances conventionnelles.
M. Benarbia a déploré s’est plaint du fait que les textes actuels imposent à son entreprise, à l’instar des autres compagnies d’assurances l’investissement de 50% de ses actifs dans les bons de trésor adossés d’intérêts même si celle ci n’est pas conforme à la charia, en l’absence de sukuks sur la place financière algérienne, ce qui impose la déduction des rendements de ces investissements des résultats financiers de cette compagnie.
Le responsable a évoqué l’absence de compagnies de réassurance Takaful et l’existence de deux banques islamiques sur la scène financière algérienne, en dépit du fait que le règlement impose la diversification des banques qui traitent avec les compagnies d’assurance pour réduire les risques.
Pour combler ce vide législatif, le conseil national des assurances (CNA) a récemment proposé une série de mesures pouvant être introduit lors de la prochaine révision du code des assurances pour traiter ces insuffisances, selon le même intervenant.
De son côté, le directeur général de la Société de gestion de la bourse des valeurs (SGBV), Yazid Benmouhoub a précisé que la Bourse d’Alger s’intéresse au lancement des sukuk, toutefois la législation en vigueur ne le permet pas.
La bourse s’attelle actuellement en collaboration avec un laboratoire relevant de l’Université de Sétif à « élaborer un projet portant sur une nouvelle approche organisationnelle qui sera présentée à la commission de surveillance des opérations en bourse (COSOB) pour défendre un éventuel lancement des sukuk.
M. Benmouhoub a mis l’accent sur le rôle de la Bourse dans le financement de l’économie notamment dans le cadre du recul de la liquidité monétaire de 75% suite au choc pétrolier subi par l’Algérie.
Il a, par ailleurs, révélé que la Bourse d’Alger sera totalement numérisée début 2019 et que les opérateurs pourront gérer les opérations boursières de manière électronique.
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Après le rejet de leurs revendications par le ministère des Affaires religieuses, et en vu des problèmes socioprofessionnelles qui mettent en déficit le cadre de vie et le travail de l’imam, le Syndicat national des imams accélère le ton et menace d’une grève pour faire entendre leurs revendications.
En effet, le porte-parole et secrétaire général du Syndicat des imams Djelloul Hadjimi, a dénoncé vivement l’attitude du ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, qui a catégoriquement rejeté la revendication d’augmentation de salaires. Mais Djelloul Hajdimi assure que les revendications des imams ne se limitent pas à la question salariale. Il s’agit de revendications plus larges et plus globales directement liées au cadre du travail de l’imam et aux moyens matériels mobilisés pour lui permettre de réussir sa mission. Djelloul Hadjimi impute l’entière responsabilité au ministère de tutelle en cas de recours à des actions de protestation. Il n’écarte d’ailleurs pas le recours à des actions de rue. Le secrétaire général du syndicat des imams se dit «étonné» par la réaction du ministre des Affaires religieuses, qualifiant d’erreur «la fermeture des portes du dialogue» afin de trouver «ensemble» des solutions adéquates aux problèmes des imams qui persistent depuis de très longues années. Selon le même responsable, les imams n’ont réclamé que leurs droits ignorés depuis de longues années. La revalorisation salariale, le logement de fonction, un véhicule de service et plus de sécurité sont autant de revendications soulevées par le Syndicat des imams.The post Le Syndicat des imams menace d’une grève ! appeared first on .
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En l’espace de dix ans, la wilaya de M’sila qui s’apprête à abriter les festivités du 44ème anniversaire de l’Union nationale des paysans algériens (UNPA), est passée du statut de région pastorale à celui de pôle agricole par excellence, et de la 34ème à la 14ème place à l’échelle nationale en matière de production de légumes, a-t-on appris de la direction locale des Services agricoles (DSA).
La filière lait a enregistré un développement « considérable » avec une production annuelle de l’ordre 80 millions de litres, actuellement, dont 30 millions sont livrés à trois laiteries situées au chef-lieu de wilaya et dans la commune de Bousâada, a précisé la même source.
Ce développement a été rendu possible grâce aux mesures incitatives établies en direction des éleveurs bovins, consistant à ce que les vaches laitières soient achetées par les transformateurs puis octroyées aux éleveurs contre le remboursement du prix d’achat en production laitière, selon la DSA qui a souligné que ces mesures ont déjà fait leur preuve dans deux laiteries privées de la wilaya de M’sila et Béjaia.
La filière viande n’est pas en reste, puisque la capitale du Hodna occupe la troisième place à l’échelle nationale en matière de viandes rouges avec une production annuelle de plus de 160 000 quintaux et s’ajoute à cela une production avicole de plus de 140000 qx, a-t-on fait savoir.
Bien que la wilaya de M‘sila ne soit pas répertoriée parmi les wilayas versées dans la céréaliculture, le soutien de la DSA aux agriculteurs de la wilaya laisse présager une production céréalière de plus de 200 000 qx de céréales au titre de l’exercice 2018-2019, soit une hausse de près de 40000 qx par rapport à la saison précédente, a-t-on encore noté.
La même source a expliqué cette hausse de la production céréalière par l’intensification des campagnes de vulgarisation agricole mettant en avant les méthodes modernes utilisées dans l’agriculture intensive, en plus de l’extension des surfaces dédiées aux céréales et le recours à une gestion optimale de l’irrigation.
Dans ce contexte, plus de 3400 exploitations agricoles de la wilaya de M’sila ont fait l’objet d’opérations de modernisation et de réaménagement au cours des cinq dernières années, a-t-on encore appris de la DSA.
Ces opérations de remise à niveau se sont traduites par le forage de puits profonds, l’installation de nouveaux systèmes d’irrigations, la réalisation de bassins et le renouvèlement du parc d’engins mécaniques.
Pour ce faire, plus de 214 millions de DA ont été débloqués et plus de 10 000 emplois saisonniers créés, voyant ainsi la production de légumes passée de moins d’un million de quintal en 2012 à 2,5 millions de qx en 2018, a-t-on conclu.
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Le président du parti Tajamoue Amal Jazair (TAJ), Amar Ghoul, a affirmé samedi à Alger que le parti tiendrait son 1er premier congrès national du 13 au 15 décembre.
Animant une conférence de presse au niveau du siège de son parti, M. Ghoul a fait savoir que cette date « a été arrêtée après finalisation des différents congrès régionaux organisés par le parti en préparation de cette rencontre nationale décisive pour le parti ».
Les participants à ce congrès évoqueront, selon le premier responsable du parti, les « solutions proposées par TAJ face aux différents défis sécuritaires et socio-économiques »
Aussi, il a indiqué que ce rendez-vous se penchera sur « les méthodes de généralisation de la langue amazighe qui fait partie intégrante des fondements de l’identité nationale », saluant dans ce sens les différentes décisions prises par le président de la République en la matière ayant permis de fermer la porte devant ceux qui ont voulu en faire un « fond de commerce ».
A une question sur la présidentielle 2019, M. Ghoul a indiqué que son parti « examinera ce dossier à l’occasion de la tenue de son premier congrès ».
Par ailleurs, le même responsable a présenté un exposé sur le parcours du parti qui, selon lui, œuvre à « la consolidation des institutions de l’Etat ».
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Les participants au 3ème congrès afro-international d’allélopathie, organisé, samedi à Blida, ont plaidé pour l’impérative adoption des projets de recherche universitaire en matière de plantes médicinales et aromatiques, en vue d’ »en tirer profit ».
Les intervenants à cette manifestation de deux jours, organisée par le laboratoire de recherche des plantes médicinales et aromatiques en collaboration avec la Faculté des sciences de la nature et de la vie de l’Université Saàd Dahled de Blida, ont souligné l’existence de nombreuses études réalisées par des universitaires nationaux, susceptibles, selon eux, d’être mises à profit dans l’économie nationale « pour peu qu’elles (études) soient exploitées dans l’industrie pharmaceutique, médicinale ou de beauté », ont-ils soutenu. Ils ont déploré le fait que toutes ces « recherches demeurent au stade théorique », constituant une « perte considérable pour le secteur ».
« Une base de données sur les personnes activant dans ce domaine (plantes médicinales et aromatique) , en Algérie, a été réalisée dernièrement par le laboratoire de recherche des plantes médicinales et aromatiques de l’université de Blida, en perspective de son exploitation, dans des projets de distillation et d’exaction d’huiles et d’essences », a signalé, à l’occasion, Moumeme Saida, chercheuse au niveau de ce laboratoire.
Pour elle, ce « travail colossal », n’a pas eu l’impact souhaité auprès des services concernés, appelant les autorités publiques « à appuyer cette démarche scientifique et à l’exploiter, afin de contribuer à la relance de l’économie nationale »
Quant à la responsable du même laboratoire, Allal Benfekih Leila, elle a souligné l’action de cette structure en vue, a-t-elle dit, d’ « instaurer un climat propice à des recherches et innovations en matière de plantes », dans le but d’arriver à un « produit naturel (bio) de haute qualité ».
Ce premier congrès du genre, en Algérie, a pour objectifs de réunir et mettre en contact des chercheurs des domaines de l’allélopathie de différents pays (Algérie, Tunisie, Pakistan, Japon), tout en mettant en lumière l’état actuel de la recherche en la matière, a indiqué la même responsable .
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Le projet de Loi de finances (PLF) 2019 sera présenté en plénière dimanche 25 novembre au Conseil de la nation par le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, et sera débattu le même jour et le lundi par les membres de cette institution parlementaire, indique un communiqué du Conseil.
Les séances plénières consacrées à cet effet débuteront dimanche 25 novembre avec la présentation du PLF 2019 par le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, suivies des débats entre les membres du Conseil.
A rappeler, le Conseil de la nation avait indiqué dans un précédent communiqué, que la réponse du ministre aux préoccupations des membres du Conseil de la nation est programmé pour la journée du lundi 26 novembre, tandis que la séance plénière consacrée à l’adoption du projet de loi en question aura lieu mercredi 28 novembre.
Pour rappel, les membres de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont adopté à la majorité, le projet de loi de finances 2019, mi-novembre en cours.
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Le porte-parole du Rassemblement National Démocratique (RND), Seddik Chihab, a estimé, samedi à Oran, que les différents programmes gouvernementaux ont permis de faire barrage, de manière définitive, à toutes les sources de sous-développement.
« Les différents programmes gouvernementaux ont permis de faire barrage, de manière définitive, à toutes les sources de sous-développement par la mobilisation de tous les moyens pour garantir la réussite de l’ensemble des projets de développement dans tous les domaines », a-t-il souligné, lors d’un conseil de wilaya du RND, élargi aux cadres du parti.
Dans ce contexte, il a mis en exergue la nécessité d’aller de l’avant sur la voie du développement global et de poursuivre la réalisation des grands projets devant assurer la sécurité au pays, loin des dangers des crises structurelles mondiales et leurs conséquences.
Le porte parole du RND n’a pas manqué de revenir sur les réalisations de l’Algérie, durant ces deux dernières décennies, dans tous les domaines, permettant à l’Algérie de « réaliser un taux de développement appréciable et un saut qualitatif, sous la direction éclairée du président de la République, Abdelaziz Bouteflika ».
Seddik Chihab a, à cette occasion, rappelé les positions « stables » du parti depuis sa création, mobilisant ses troupes pour la défense du pays et garantir la continuité des institutions de l’Etat et d’aller en avant dans le sens du développement.
Auparavant, un documentaire résumant les principaux projets dont a bénéficié la wilaya d’Oran dans divers secteurs, durant ces deux dernières décennies, a été projeté en marge de cette rencontre partisane.
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Une cache d’armes et de munitions a été découverte samedi par un détachement de l’Armée nationale populaire, en coordination avec les services des Douanes, au cours d’une opération de reconnaissance et de fouille menée au niveau de la zone frontalière de Bordj Badji Mokhtar, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et de la sécurisation des frontières et grâce à l’exploitation de renseignements, et lors d’une opération de reconnaissance et de fouille menée au niveau de la zone frontalière de Bordj Badji Mokhtar (6ème Région militaire), un détachement de l’Armée nationale populaire, en coordination avec les services des Douanes, a découvert, aujourd’hui 24 novembre 2018, une cache d’armes et de munitions », note la même source.
Il s’agit d' »un fusil mitrailleur de type FM , d’un pistolet mitrailleur de type kalachnikov, de trois fusils semi-automatiques de type simonov, d’un fusil à répétition, de 866 balles de différents calibres ainsi que 71 kilogrammes de kif traité ».
« Cette opération de qualité vient s’ajouter à l’ensemble de résultats concrétisés sur le terrain et confirme la grande vigilance et la ferme détermination des Forces de l’ANP, mobilisées le long des frontières, à déjouer toute tentative d’intrusion, d’introduction d’armes ou d’atteinte à la sécurité et la stabilité du pays », ajoute le communiqué du MDN.
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La victimologie doit être enseignée et reconnue comme module, pour une meilleure prise en charge des femmes victimes de violences, a insisté samedi à Alger, la présidente de l’association Avife/RéseauWassila, Wahiba Mammeri Oussedik.
« La victimologie n’a pas son module dans l’enseignement et sa spécificité, étant la science de la victime, n’est pas bien prise en charge », a précisé Mme Oussedik, à l’occasion d’une Journée d’étude à la veille de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, organisée sous le thème « Plaidoyer pour la reconnaissance de la victimologie ».
Elle a souligné que cette spécialité pourrait grandement contribuer à une meilleure prise en charge des femmes violentées, et à mieux lutter contre le fléau de violence envers la femme.
Mme Oussedik a relevé, d’autre part, que « de grandes avancées ont été enregistrées en matière d’égalité entre l’homme et la femme, un volet consacré, notamment, par la Constitution. Mais sur le terrain, on ne trouve pas la même connotation, à cause, notamment, des comportements et des mentalités qui caractérisent la société algérienne », a-t-elle fait observer, soutenant qu' »il y’a encore beaucoup de travail à faire pour changer les choses ».
Elle a mis, à cet égard, l’accent sur le rôle de « la communication pour aller de l’avant, à travers un débat constructif des principaux acteurs concernés comme la Justice, la Santé, l’Enseignement et la Solidarité, et aussi en matière d’éducation et d’information ».
Pour l’association Avife/RéseauWassila, les violences à l’encontre des femmes, « véritable urgence sociale, méritent un traitement et une prévention différents, coordonnés, inscrits dans une politique d’aide aux victimes visant par exemple à l’élaboration et l’application de protocoles nationaux de prises en charge spécifiques des victimes (viol entre autres) ».
A ce propos, « il est temps que la victimologie sorte de l’improvisation, de la dispersion et d’un suivi à court terme et qu’elle sorte aussi du champ exclusif de l’action humanitaire. Elle doit être institutionnalisée, enseignée, structurée, la victime, sujet de droit étant au centre d’actions pluridisciplinaires concertées ».
L’objectif de cette journée d’étude est de « poser les bases d’une collaboration dans la durée avec l’espoir d’apporter des réponses concrètes aux besoins multiples des femmes victimes », souligne l’association.
Plusieurs thèmes sont débattus à l’occasion de cette rencontre, parmi lesquels « l’Autodéfense féministe: un autre regard sur la victime », « Historique de la victimologie en Algérie et expérience du Réseau/Avife », « L’accompagnement juridique: la clé pour la reconnaissance de la victime par la justice », et « La victimologie: expériences algériennes ».
Les travaux portent également sur « La victimologie: échange de pratiques », « La victime de violences: les fondamentaux pour sa prise en charge globale d’après l’expérience du légiste », l' »Evolution et perspectives de la victimologie et de l’aide aux victimes ».
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